the great escape
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( aleskie + jorden )Outta my way, you scruffy-looking nerf harder

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MessageSujet: ( aleskie + jorden )Outta my way, you scruffy-looking nerf harder ( aleskie + jorden )Outta my way, you scruffy-looking nerf harder EmptyJeu 2 Mai - 4:31

❝.He found a six shooter gun in his dad's closet hidden with a box of fun things.
And I don't even know what but he's coming for you.❞
. YOU BETTER RUN OUTRUN MY GUN . ▶ . Je regardais, d’un air ennuyé et distrait, les aiguilles de l’horloge accrochée au-dessus du tableau. Je devais me concentrer sur les paroles du professeur en avant qui débitait des choses qui m’était incompréhensible pour l’instant, faute par manque d’envie et de concentration. Je devais dire que le sujet abordé était la partie la plus ennuyante de mon parcours scolaire supérieur. Moi qui d’habitude se régale des aspects et des sujets à apprendre, je n’avais jamais eu l’envie de m’en aller le plus vite possible de cette salle. Je pouvais sentir sur moi le regard insistant de mon professeur, il faisait bien attention à ce que ces meilleurs élèves gardent l’attention sur ses cours et qu’ils ne s’échappent pas dans les pays des rêves et des pensées. J’avouerais même que je pensais piquer un petit somme sur mon bureau, manque de de bol pour moi, je m’étais installé droit dans le mire du périmètre de l’enseignant, aucune chance de m’en tirer sans qu’il me remarque. Moi et mes bonne habitudes de fille studieuse, j’aurais pu être en compagnie des dormeurs on fond de la salle. J’aurais pu me faire discrète et monter de quelque marche pour atteindre un certain niveau et de penser sans être surveiller, mais je baisserais dans l’estime du professeur et de plus je l’insulterais indirectement, donc je devais absolument me remettre en mode note de cours. Regardant mon cahier, je n’avais pas fait attention que j’y ai dessiné quelques petites choses ici par-là, sans qu’elles aient une réel signification. Il m’arrivait de faire ça quand je me perdais dans le flot de mes pensées. Je décidais de faire semblant, de m’intéresser à son cours, et retournais à mes préoccupations mental tout en me faisant discrète. Je repensais à ma fille et sa question tant redouté. Où était son père, s’il je le savais, je lui aurais bien dit, enfaite, je ne crois pas, il m’arrive encore de passer des nuits blanches par la simple vu de son visage au-dessus du mien, déformé par la cruauté et la colère. Je n’ai jamais eu autant peur de ma vie, même les orages m’effrayait moins que lui, et pourtant cette phobie est ancrée en moi depuis toute petite. Pour dire, il m’avait bien traumatisé mon être au point que je refuse à ma fille, peu importe ses crises, de le rencontré. Il ne mérite pas de savoir le fruit de son idiotie, encore même, ma fille ne mérite pas un être aussi bas comme père. Elle mérite plus que lui, il n’était pas à la hauteur pour s’en occuper et encore moins de remplir son rôle paternel. Pour être clair, dès que je vois sa tronche, je me vengerais tout d’abord avant de le l’emmener en justice pour viole. Il devrait pourrir en prison après ce qu’il m’a fait endurer. J’étais plus la même à cause de lui, je ne pouvais plus avoir une relation amoureuse saine par sa faute. Je me sentais faible devant les regards des autres, je devais rester forte pour ma fille dont je voulais éviter une enfance comme la mienne, aussi pathétique. L’argent ne manquait pas de mon côté, mais je ne voulais pas que ma fille soit mêlé de cet autre côté de moi. Elle était si douce et aimable pour son âge, qu’elle en sera détruite si elle y rentrait. Je me souviens bien des quelques peu personnes avec qui je m’étais lier d’amitié. Un seul parmi me revenait à l’esprit puisque contrairement aux autres, il m’avait profondément blessé et abandonné au moment où j’avais besoin de soutien moral. À en croire, qu’il trouvait que je n’étais plus intéressante depuis l’annonce de ma grossesse. Heureusement que j’ai gardé pour moi ce qui m’ait arrivé, je n’avais pas grandement confiance en lui, plutôt, tous ceux qui faisait partie comme lui, de la haute classe, n’était pas des personnes en qui j’avais une grande estime, donc divulguer ma vie personnelle à lui serais la pire erreur que j’aurais commis dans tout mon existence. Je fus vite interrompue par le bruit des chaises qui résonna dans toute la classe annonçant la fin du cours. Quand je regardais en avant de moi, le professeur commençait à ranger ses effets tout comme les élèves. J’en fis de même et fut vite la dernière à sortir. J’allais me faire discrète pour partir mais trop tard, il m’avait déjà repérer. «J’espère mademoiselle Leclaire que mon cours ne vous a pas trop ennuyé j’espère ? » , « Non monsieur, c’est que j’ai quelques petits problèmes ces temps-ci, mais je vous promet de ne plus recommencé ». Connaissant ma situation, il fit signe de compréhension et termina de ranger. Je mordis ma lèvre honteuse d’avoir pris un alibi pareil pour expliquer ma distraction, j’irais droit en enfer pour avoir profité de cette excuse. Je partais au plus vite et respirait enfin quand j’arrivais dans le couloir. La tête ailleurs, je marchais tranquillement, ayant largement le temps de me rendre à mon prochain cours. C’est la vue d’un visage familier que je m’arrêtais nette. N’étant pas la reine de la discrétion, Jorden me repéra. Je rebroussais chemin prête à le semer, mais j’étais loin d’avoir la même vitesse que lui en courant. Il me rattrapa aussi vite que je m’étais enfuit et se posta devant moi. « Oh salut Jorden, au revoir Jorden, ou plutôt à jamais crétin »dis-je d’un ton acerbe avant de le pousser violement de mon chemin, mais il fut plus insistant que je l’aurais cru. « Je suis très heureuse de te revoir, ce qui serait ironique après que ce que tu m’as faite, alors ne t’attend pas de ma part un accueil chaleureux, j’aimerais plutôt qu’on me passe sur le corps» J’essayais de m’échapper mais il arriva tout de même à m’intercepté, que ce mec pouvait être lourd !
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MessageSujet: Re: ( aleskie + jorden )Outta my way, you scruffy-looking nerf harder ( aleskie + jorden )Outta my way, you scruffy-looking nerf harder EmptySam 4 Mai - 10:13





ALESKIE E. LECLAIRE & JORDEN-KOL ROSENBACH



L'air frais me chatouillait les narines et pourtant, j'allais quand même goudronner le passage jusqu'à mes poumons. Apportant une cigarette jusqu'à mes lèvres, je l'allumai d'un geste élégant, presque familier. Je n'étais pas un grand fumeur et pourtant en ce moment, je ressentais pas mal le manque de nicotine à travers mon corps. Pourquoi ? Certainement le stress et les derniers événements de ma vie qui ont fait que je devenais petit à petit, une véritable boule de nerfs. J'avais du mal à m'endormir et mes nuits étaient particulièrement agités. J'avais l'impression qu'il me manquait quelque chose et depuis peu, j'avais ce sentiment de vide, de solitude qui avait du mal à passer. En fait, j'avais quand même vingt-trois ans et derrière mes airs de gros dur, j'avais quand même envie d'un truc sérieux. Même si je multipliais les aventures, cela ne m'intéressait pas plus que cela. Je profitais de la vie mais sans plus quoi. Limite, j'en serai presque lassé.

J'inspirai profondément pour avaler un maximum de fumé avant de la recracher. Mes yeux se fermèrent par réflexe, je dégustais ma cigarette, je la savourais. Plusieurs heures de cours m'attendaient et je n'avais pas particulièrement envie de m'y rendre. Même si la motivation n'était pas au rendez-vous, je ne pouvais absolument pas me permettre de rater des cours, il en était clairement hors de question. Je finissais tranquillement ma clope sur le devant de l'université, je saluais quelques têtes connues, je traînais un maximum quoi. Une fois terminée, je la jetai sur le sol avant de l’éteindre avec le talon de ma chaussure. Bien l'écologie, bien ! Je pris l'escalier, direction les salles de cours. Comme à mon habitude, je m'installais dans le milieu. Autant j'étais de nature assez social, autant quand il s'agissait des cours, je n'avais plus aucun amis. C'était chacun pour sa gueule, peu importe des autres. Je ne me mettais pas de le fond pour ne pas être gêné par le bruit, ni tout devant parce que je n'aimais pas tout simplement. Ah ouais mais les cours, c'était tout une organisation. Bref, une fois installé, le cours commença et malgré ma démotivation, j'essayais d'être le plus présent possible. Enfin, pas que physiquement quoi. Quelques heures plus tard, le cours se termina tout doucement. J'avais noté le principal et j'avais suivi correctement ce que le prof avait dit. Enfin prof était un bien grand mot. Pour mon cas, il s'agissait d'un chef d'entreprise qui venait raconter sa vie, rien de plus. Je n'avais pas beaucoup d'estime pour lui, il n'avait aucun don pour l'enseignement et n'importe quel clampin ferait dix fois mieux. Mais bon, je ne pouvais pas non plus choisir les profs qui allaient nous enseigner l'économie. Je rassemblais mes affaires pour quitter les cours, bien décidé à me changer les idées. J'avançais vers la sortie quand un regard m'interpella. Mon regard croisa celle d'une petite brune que je reconnue immédiatement : Aleskie. En même temps, je ne pouvais pas ne pas la reconnaître. Quand même ! Sans vraiment réfléchir, je m'avançais vers elle. Voilà avec elle, j'avais perdu assez de temps et je devais me faire pardonner, cette situation me rongeait depuis un moment déjà. Mais à peine l'avais-je approché que déjà elle répliqua. « Oh salut Jorden, au revoir Jorden, ou plutôt à jamais crétin. » Bon .. elle m'en voulait, c'était tout à fait légitime et je n'allais pas la blâmer. Je m'étais comporté comme un véritable connard mais au moins, je m'en étais rendu compte et je m'en voulais. J'aurais très bien pu m'en foutre et passer à autre chose comme avec les autres. Mais non, pas avec Aleskie, je tenais énormément à elle pour la laisser filer une deuxième fois. Elle venait de me pousser pour qu'elle puisse passer mais il était hors de question que je la laisse partir ainsi. « Ales' attend ! » Trop tard, elle commençait déjà à partir, je marchais derrière elle, ne tardant pas à la rattraper. Je me plaça juste devant elle, pour lui barrer la route et ainsi éviter qu'elle ne s'échappe une nouvelle fois. Oh non, il fallait qu'on ait une discussion ou du moins, je devais lui parler, m'expliquer et essayer de me faire pardonner. « Je suis très heureuse de te revoir, ce qui serait ironique après que ce que tu m’as faite, alors ne t’attend pas de ma part un accueil chaleureux, j’aimerais plutôt qu’on me passe sur le corps. » Au moins, je m'attendais à une baffe, j'étais un peu rassuré. J'avais déjà préparé ma joue à recevoir une gifle mais non, elle ne le fit pas. Alors peut-être qu'elle n'avait pas autant de haine contre moi, peut-être qu'elle était tout simplement déçue et dégoutté de mon comportement, ce qui était légitime. J'osais à peine la regarder dans les yeux. Et oui, moi Jorden Rosenbach, je me sentais mal et j'allais présenter mes excuses. Vite que quelqu'un prenne une photo ! « Ecoute moi, s'il te plait. » Je marquais une petite pause pour voir si Aleskie était bel et bien décidé à m'écouter, pas la peine que je parle dans le vent. Elle marqua un temps d'arrêt, j'en déduis alors qu'elle était prête à m'écouter. Soit. C'était à mon tour maintenant de parler. « Je sais que tu me détestes et que je suis la dernière personne que tu as envie de voir ici. J'en suis bien conscient mais je tenais à m'excuser. Pour mon comportement, pour t'avoir laissé tomber alors que tu avais besoin de soutien. J'ai agis comme un gros con et je le regrette. » Jamais je n'aurai cru pouvoir sortir de tels mots de ma bouche, c'était limite un honneur que je lui faisais là car jamais je m'excuse et elle était presque la première à recevoir des excuses de ma part. Putain de fierté de merde. Aleskie ne semblait toujours pas convaincue. « Laisse moi une seconde chance, laisse moi me faire pardonner. » Je faisais limite mes yeux de chiens battus.
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MessageSujet: Re: ( aleskie + jorden )Outta my way, you scruffy-looking nerf harder ( aleskie + jorden )Outta my way, you scruffy-looking nerf harder EmptyDim 5 Mai - 1:50

❝.He found a six shooter gun in his dad's closet hidden with a box of fun things.
And I don't even know what but he's coming for you.❞
. YOU BETTER RUN OUTRUN MY GUN . ▶ . Je viens d’une famille armée de grande richesse, d’une grande loyauté, d’une grande influence, la seule erreur pourrait être outrance à notre réputation de puissant. Chez les Leclaires, que trois enfants qu’il y a, mon frère ainé Maxim bientôt successeur de la grande entreprise de mon père, Clara ma sœur cadette dont le les exploits avaient tant de répercutions au sein de mes proches, et pour la fin moi, Aleskie Emily Véronika Leclaire, la seule des enfants Leclaire dont le parcours est dérapé. On peut dire que j’étais le mouton noir de la famille, j’étais tombée enceinte par accident à l’âge de 19 ans, dont les circonstances sont dure encore à avouer, j’ai été exilée au loin de mes proches dans un pays à la culture étrange à la nôtre, rien qu’à regarder l’accoutrement de ces filles qui se pavanent dans la rue, j’étais loin de m’imaginer qu’il existait des gens aussi peu réserver physiquement. On pouvait dire que j’avais atterri au beau milieu de nulle part. Malgré sa popularité envers les plus haut placés, je ne trouvais rien d’intéressant sur le territoire américain, à part quelque endroit à la beauté indescriptible, tandis que la population elle, laissait à désirer. J’étais seule, isolée, entouré de visages inconnus, aucun autre accès où aller que le pensionnat. La seule parcelle de liberté était l’appel que je pouvais effectuer une fois par jour. Je passais près de deux heures avec mon frère au téléphone, demandant des nouvelles de la famille, de ses études et d’autres âneries. Je n’appelais jamais ma sœur, pour la simple et bonne raison que je ne voulais pas l’importuner de mes malheurs, je ne veux pas lui donner une image faible de moi. Elle me croyait courageuse d’avoir pu me rebeller face à mes parents, tandis qu’elle était coincée sur une surveillance stricte pour ne pas qu’elle reproduise la même erreur que sa sœur. Non elle n’était pas au courant de ce qui m’est arrivée, je ne veux pas qu’elle le sache, ça la détruira de savoir que quelqu’un ait pu blesser sa grande sœur. Je ne la berce pas d’illusion, mais il y a bien des choses qu’elle peut se passer de savoir, je veux protéger du monde obscur ma petite sœur, j’y ai gouté et la saveur amer ne s’oublie pas, rien de plaisant. Maxim quant à lui, se faisait l’honneur d’être un support pour moi durant cette longue période. Trois ans après, ma fille dans les bras, il a vite pris le premier billet d’avions pour venir me rejoindre à San Francisco. Quel joie, quel soulagement de retrouver parmi tous ces gens son visage, enfin une part de moi venait me rejoindre dans cette jungle. Et depuis mon intégration au sein de l’université de Berkeley, je ne voyais que des anciennes connaissances, dans l’un d’entre eux se retrouvait en face de moi. Jorden Rosenbach, un nom très reconnu dans ma famille. Les Rosenbach étaient parmi tant d’autre richissime famille , de bon amis de la mienne. C’est même lors d’une rencontre entre eux que j’ai fait la connaissance de Jorden accompagné de sa sœur Eileen. Je n’avais pas eu l’occasion de lui parler puisque Jorden avait monopolisé toute mon attention. Je m’étais bien entendu avec lui, ce qui est étonnant puisque je ne portais pas dans mon cœur chaque enfant des connaissances de ma famille, leur conversation et leur attitude de bourgeois me donnait l’un de ces haut le cœur que je ne préférais pas trainer avec eux. Je parlais tant en tant avec quelques-uns qui sortait du lot, pour le reste, je les ignorais. Croyant qu’on avait une vraie complicité, je fus vite remis en doute quand les appels se faisaient rare, que les texto avaient arrêté. Quand je sus la vraie raison de son éloignement, je fus plus que profondément blessée qu’il ait pu aussi bêtement m’abandonner. J’aurais dus me méfier plus tôt, pourquoi il serait différent des autres ? Comment avoir stupidement cru que je pouvais compter sur lui en tant qu’ami ? Je crois avoir abusé de boisson à cette soirée pour pensé que je pouvais lui faire confiance. Et maintenant qu’il se retrouve en face de moi, en me demandant mon pardon et de lui accorder une deuxième chance. S’il croit que je me ferais reprendre une deuxième fois à son jeu, même pas en rêve que cela arriverait. « Ecoute moi, s'il te plait. »« Pourquoi bon dieu je t’écouterais ? Oh j’oubliais tu te crois le centre du monde, pardonné moi ma majesté, je me fourvoie. » Dis-je d’un ton acide semé d’hypocrisie. « Je sais que tu me détestes et que je suis la dernière personne que tu as envie de voir ici. J'en suis bien conscient mais je tenais à m'excuser. Pour mon comportement, pour t'avoir laissé tomber alors que tu avais besoin de soutien. J'ai agis comme un gros con et je le regrette. » « T’es pas aussi bête que ça Rosenbach, comme un champion tu as bâtis une hypothèse des plus meilleurs et grâce à toi je viens de trouver l’idiot qui m’accompagnera au diner des cons, tu me feras même remporté le prix. Si tu crois que je te prendrais en pitié Rosenbach, tu te met le doigt dans l’œil » un rire amer traversa mes lèvres devant le petit minois de Jorden, ah la bonne vieille méthode des yeux doux, mauvaise pioche mon gars, j’ai une gamine de trois ans et je peux dire que je suis immunisée. « Si tu crois que je vais céder facilement, c’est peu me connaître mec, j’ai déjà vue mieux » dis-je en souriant de méchanceté. Je n’allais définitivement pas craquer pour si peu.
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MessageSujet: Re: ( aleskie + jorden )Outta my way, you scruffy-looking nerf harder ( aleskie + jorden )Outta my way, you scruffy-looking nerf harder EmptyLun 6 Mai - 21:41





ALESKIE E. LECLAIRE & JORDEN-KOL ROSENBACH



La revoir n'était absolument pas prévu à mon programme pour la journée et justement, cela me perturbait un peu. En fait, je m'en voulais pour mon comportement mais en aucun cas je n'avais réfléchis à la façon de m'excuser ou encore à ce que je pourrais bien lui dire. A y réfléchir d'un peu plus prêt, jamais, ô grand jamais je n'avais présenté mes excuses à quelqu'un, je ne savais pas comment m'y prendre. Et étant de nature assez maladroit, quoi que je puisse faire ou dire, cela ne fera qu'empirer les choses. En temps normal, j'assumais tous mes actes, toutes mes paroles mais pour la première fois, j'avais conscience de mon comportement. J'avais été trop loin avec elle et même si Aleskie ne me donne pas de deuxième chance, je voudrais juste qu'elle me pardonne.

Encore une fois, je suis un gros égoïste et si je faisais ça, c'était uniquement pour apaiser un peu ma conscience. Bon allez, honnêtement ? C'était aussi pour Aleskie, elle a du traverser beaucoup de choses toute seule et je suis sur qu'inconsciemment, elle aurait voulu m'en parler ou du moins un peu d'aide ma part. Après tout, nous avions été très proches, elle m'avait accordé sa confiance et je l'avais lamentablement piétiné. J'avais honte de moi et parfois encore, cela me rongeait de l'intérieur. Je ne l'avais pas vu depuis bien longtemps et rien que le fait de croiser son regard me rendit tout chose. De nombreux sentiments apparurent ainsi, un mélange de surprise, de joie, de honte. Beaucoup trop pour mon petit cerveau. Moi qui ne montre jamais ses sentiments, c'était un peu dur de garder la tête froide. Aleskie m'en voulait et c'était tout à fait normal. Franchement, si elle m'avait fait ce coup-là, je n'aurais même pas prit la peine de l'écouter. Mais elle non, elle m'avait quand même laissé parler, elle en valait vraiment la peine. Mais quel connard je peux être, putain ! « T’es pas aussi bête que ça Rosenbach, comme un champion tu as bâtis une hypothèse des plus meilleurs et grâce à toi je viens de trouver l’idiot qui m’accompagnera au diner des cons, tu me feras même remporté le prix. Si tu crois que je te prendrais en pitié Rosenbach, tu te met le doigt dans l’œil . » Eh bim. J'avais qu'une envie : rigoler mais le moment était certainement très mal choisi pour rire. Elle venait juste de me casser sur place. Pfiou, ONE SHOOT. Je déglutis en cherchant quoi répondre. Et bah ouais, je n'avais pas l'habitude qu'on me parle aussi franchement. Elle devait vraiment avoir une dent contre moi. Après tout, c'était peut-être perdu d'avance. Aleskie ne voulait peut-être plus me parler, ni même me revoir. Chose également très compréhensible. « Si tu crois que je vais céder facilement, c’est peu me connaître mec, j’ai déjà vue mieux. » Bon, je ferais mieux de partir et de laisser avant de tout aggraver. Je quelques pas en arrière avant de me retourner. Non, je ne pouvais pas laisser passer ma chance. J'avais trop attendu, ça me rongeait trop. « Et qu'est ce que tu crois ? Je n'ai pas besoin que tu ais pitié de moi, je n'ai pas besoin que tu parles comme un chien, Leclaire ! » Sans trop m'en rendre compte, je commençais à hausser la voix. Je m'en foutais des apparences et même s'il y avait plein de monde, ce n'est pas pour autant que je ferai des efforts pour être " politiquement correct " Ne dit-on pas que la meilleur défense est l'attaque ? « Tu es la première personne à recevoir des excuses de ma part. Ouh, Jorden Rosenbach qui s'excuse, que quelqu'un prenne vite une photo. » Le premier qui oserait prendre une photo retrouverait sa tête explosé contre le mur. Non mais je rêve où j'étais en train de m'énerver tout seul comme un con ? Voilà, j'avais ma putain de fierté et jamais encore je ne l'avais mise de côté. Pas de chance, les couloirs étaient pleins, certains étudiants s'étaient arrêtés pour regarder, d'autres continuaient simplement leur chemin sans prêter attention à nous.Je m'étais rendu compte du ton de ma voix, je décidais donc de parler un peu moins fort. « Je suis désolé mais mes excuses sont sincères et c'est la seule chose que tu auras de ma part. C'est mon maximum, je ne sais pas quoi faire d'autre. Enfin j'sais pas, tu devrais être la meilleure personne pour savoir ça. » J'étais démuni face à une situation qui m'échappait totalement. Je ne la lâchais pas du regard, je m'en foutais des autres, pour le moment, il n'y avait que elle et moi. « Grave bien ce moment dans ta tête parce que je ne le ferais qu'une seule fois. » Je soupirai avant de me mettre à genou, de la regarder avec un grand sourire et de joindre les mains comme pour prier. « Ô Aleskie Leclaire, pardonne-moi d'être un gros naze. » Alors là, c'était le summum !

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MessageSujet: Re: ( aleskie + jorden )Outta my way, you scruffy-looking nerf harder ( aleskie + jorden )Outta my way, you scruffy-looking nerf harder EmptyMer 22 Mai - 2:43

❝.He found a six shooter gun in his dad's closet hidden with a box of fun things.
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. YOU BETTER RUN OUTRUN MY GUN . ▶ . Un chien malfamé, voilà l'image qu'il représentait pour elle. Ses yeux plissé de colère, le regardait d'en haut en bas. Son esprit fermé, ne se laissait point atteindre par les pauvres paroles d'excuses du jeune homme. Son orgueil lui interdisait de faiblir sous sa sincérité, son manque de jugement, elle était blessée, éraflé, son cœur renfermer elle interdisait accès à sa bonté. Pas après tout ce qu'il a pu lui faire. Son amitié, une confiance aveugle, voilà ce qu'elle lui a offert sur plateau d'or. Lui, l'avait négligé, comme s'il cela n'était pas une importance. Et puis pourquoi ne pas faire autrement quand on possède un nom aussi puissant que les Rosenbach ? Même avant qu'elle put connaitre Alexander dans des conditions peu favorables, elle avait tout de même entendu ce nom qui signifiait un grand respect, un honneur pour certain. À cette époque, Remy se moquait bien de ce qui pouvait arriver dans le monde des affaires, elle avait des problèmes bien plus soucieux pour se pencher sur les fait et gestes d'une famille à la comparaison royale. « Et encore il n'y a pas seulement de la pitié que j'ai à ton égard » elle cracha son poison au visage. La symétrie d'une veine se forma sur son front, couvert par la couche de sa peau colorée par les rayons du soleil. Pour quelle raison avait-elle pu comparaître un ancien ami par ce gamin. Il ne ressemblait à rien de l'image qu'elle s'était fait de Jeremy. Malgré qu'il l'ait pu entraîner au plus profond des douceurs de la rébellion et de l'interdit, il ne lui avait jamais autant blessé, meurtrie son coeur par l'ignorance simple de sa personne. Elle avait été trop naïve à ce moment, trop influençable. À l'âge qu'elle avait à leur rencontre, on pouvait la faire croire à n'importe quelle sottise, elle y croirait fermement. Encore éblouie par Alexander, épanouie dans leur début d'histoire d'amour qui connut une fin catastrophique, Jorden avait été le premier à qui elle avait adressé la parole lors d'une soirée mondaine, accompagnée au bras de son défunt petit ami. Son visage doux, graver par sa masculinité, l'avait amené à sa rencontre. Son être transpirait la confiance, l'amabilité. Mais tout était tromperie, seulement une image. Il s'était salit lui-même pour ses pauvres yeux bleu-vert. « Tu es la première personne à recevoir des excuses de ma part. Ouh, Jorden Rosenbach qui s'excuse, que quelqu'un prenne vite une photo. » « Oh pauvre petit chou, sortir ces mots de ta sale gueule a dû être une sacrée torture pour toi n'est-ce pas ?. » Un prince, voilà l'impression qu'il lui donnait. Le misérable ne pouvait pas se mettre à la formalité du petit peuple ? Elle en pleurait de rire devant cette mine de supériorité qu'il prenait. Comme si le passé allé être oublié, effacé par un simple souffle pour reformer de nouveaux liens. Pathétique, horripilant, elle perd son temps à faire entendre au petit prince qu'aucune parole n'atteignait son coeur de glace. Son petit minois contrarier déclenchait en elle une hilarité sourde, il ne faudrait pas le mettre encore plus en colère. « Grave bien ce moment dans ta tête parce que je ne le ferais qu'une seule fois. » « Ah ouais ? Et dis-moi pour quelle raison je le ferais ? » Elle fut vite déconcertée quand il posa genoux à même le sol, salit pas la circulation des étudiants. Dommage pour lui, il allait couvrir son pauvre pantalon, qui devait couter une fortune, de poussières. Les yeux exorbités, elle regarda les environs et des regards curieux s'étaient posés sur les deux cas exceptionnels que formaient Remy-Lou et Jorden. L'afflux de son sang remonta vers ses joues, créant des rougeurs au niveau de ses pommettes. « Jorden, arrête tes conneries, relève toi, tout le monde nous regarde. » Elle posa sa main délicate sous son front, n'ayant pas d'autre moyen de couvrir son identité. Il ne l'écouta pas, rassemblant ses mains comme s'il s'apprêtait à prier. « Ô Remy-Lou Silverstone, pardonne-moi d'être un gros naze. » Le mot était encore faible, mais c'était des efforts considérables de sa part. Pesant le pour et le contre, elle fut un peu pressé par l'attention pesante des autres. « D'accord, d'accord,mais à une seule condition », une étincelle d'espoir rayonnait dans les yeux du jeune homme, il sera vite déçu parce qu'elle fera. Prenant un bon élan, la main droite de la jeune femme alla rejoindre férocement la joue de l'Epsilon. Un bruit sonore du claquement sur une peau, se rependit dans tout le couloir. Tous, Jorden aussi, la regardèrent ébahi de son geste. La tête hautement fière, de son côté, Remy trouva satisfaction de cette douce vengeance succulente.
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MessageSujet: Re: ( aleskie + jorden )Outta my way, you scruffy-looking nerf harder ( aleskie + jorden )Outta my way, you scruffy-looking nerf harder EmptyVen 24 Mai - 12:57





REMY-LOU N. SILVERSTONE & JORDEN-KOL ROSENBACH



Moi, Jorden Rosenbach, à genoux devant une fille, lui implorant son pardon, on aura décidément tout vu. Je ne savais pas si Remy allait trouver la force de me pardonner, après tout, je m'étais comporté avec elle comme le dernier des abrutis. Tout du moins, si elle ne me pardonnait pas, qu'elle me laisse une chance. Je suis bien placé pour le dire, je suis un putain de rancunier donc quand on me fait une crasse, j'ai énormément de mal à oublier et à passer au dessus. Je crois bien que ça ne m'est jamais arrivé. Les seuls qui ont osés me faire un coup bas, je nourris une haine sans précédent contre eux. Ils peuvent venir me faire les plus belles excuses du monde, ce qui est fait est fait. Après, on dit que le temps adouci les peines et permet aux gens de pardonner. Et bien, ce dicton ne fonctionnait pas pour moi, oh que non, le temps ne jouait pas en faveur. Bien au contraire, plus le temps passe et plus je rumine l'histoire dans ma tête et plus ma haine contre la personne grandit. Je ne suis pas du tout un modèle puisque cela me joue des tours parfois et pourtant, je priais le bon Dieu pour que Remy me pardonne.

Cela faisait des années que je ne l'avais pas vu, que je n'avais même pas prit la peine de la contacter, d'essayer de lui parler. Elle m'en voulait et c'était on ne peux plus légitime. Je me sentais coupable et particulièrement con face à elle. Clairement je m'en foutais que les gens me regardent, je m'en foutais des apparences, je voulais juste me faire pardonner. Que cette journée soit marquée d'une pierre blanche, j'essayais de bien me comporter avec quelqu'un. Remy devrait être flatté des efforts - pitoyables - que j'essayais de faire. Ma fierté au plus bas, j'attendais un quelconque signe de sa part, une parole, n'importe quoi. Ce suspense semblait être insoutenable. De toute façon, le premier à faire une réflexion se prenait mon poing dans sa gueule. Làla, j'voulais bien être gentil mais il y avait des limites à la connerie. « D'accord, d'accord,mais à une seule condition. » Je vais être honnête, je m'attendais à ce qu'elle me dise que je devais faire ceci ou cela; j'étais bien loin de m'imaginer qu'elle allait oser me faire ça. Bon, inconsciemment, je m'en doutais un peu mais je refusais d'y croire, non pas devant tout le monde. Et bien si. Remy leva la main et le seul réflexe stupide que j'eu à ce moment là, ce fus de fermer les yeux. Sa main arriva à toute vitesse sur ma joue sans que je ne pu l'éviter ou quoi que ce soit. De toute façon, si je l'avais évité, cela aurait aggravé mon cas. Je n'avais donc pas eu d'autres choix que de me faire gifler. Bam, devant tout le monde. J'affichais un petit sourire de coin, je la méritais bien celle-là. Remy était la première à me foutre une baffe et en voyant cette scène, je m'étais juré qu'elle serait la dernière. Bordel, je cru voir ma vie défiler le temps de la gifle, elle avait bien claqué et tout. Parfait, j'avais l'air d'un con maintenant. C'était de bonne guerre, je l'avais fait souffrir, à mon tour d'en payer les conséquences. Je posais ma main sur ma joue qui était sans doute toute rouge avec la trace des doigts de la main. Je baissai la tête en rigolant. La honte ! Le silence s'était installé dans le couloir, il n'y avait plus un bruit, tout le monde guettait ma réaction. Je me relevai et baissa sa main. Bordel, le sang battait dans ma joue, connasse ! Je ne pouvais m'empêché de sourire. « Ca fait plaisir de te revoir Silverstone ! » lui dis-je avec un énorme sourire. Je ne lui en voulais pas, je ne pouvais pas lui en vouloir. Je me massais la joue, ouvris ma mâchoire pour voir si le mécanisme fonctionnait toujours. Mais c'est qu'elle pique fort pour une abeille ! Non mais franchement, avec ses quarante kilos tout mouillée, elle m'avait bien fait mal, surtout à ma fierté hein. Cela traduisait amplement toute la rage qu'elle avait contre moi.

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MessageSujet: Re: ( aleskie + jorden )Outta my way, you scruffy-looking nerf harder ( aleskie + jorden )Outta my way, you scruffy-looking nerf harder EmptyDim 9 Juin - 20:48

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