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/!\ C'est à croire que la déchéance est un mode de vie. | PV Ayane. /!\

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MessageSujet: /! C'est à croire que la déchéance est un mode de vie. | PV Ayane. /! /!\ C'est à croire que la déchéance est un mode de vie. | PV Ayane. /!\  EmptyMar 12 Mar - 12:54


Cliiiick /!\ C'est à croire que la déchéance est un mode de vie. | PV Ayane. /!\  828200


Un sourire ironique pointait lentement sur ses lèvres. Elle ne prendrait même pas la peine de lui répondre, tout cela était bien trop futile, bien trop ridicule ; ça n’avait pas d’intérêt. Sa faiblesse d’esprit la dégoûtait, tout autant que tout ce qu’elle était. L’asiatique était dans un sens pire que la blonde. Une telle exagération ! Elle lui avait peut-être fait vivre un enfer, oui, mais elle n’était pas restée plus de deux semaines au Japon. Ce pays ne lui avait pas plus, tout autant que les gens là-bas ne lui avaient pas plu : elle qui était si excentrique, voir des gens si … coincés, ça l’avait grandement reboutée. Mais en tous les cas, elle était là, coincée contre cette saloperie qui ne se gênait pas pour la peloter. Elle en frémissait de dégoût. Pendant un instant, elle se demanda si elle n’avait pas fait une énorme erreur, et si elle n’aurait pas mieux fait d’accepter la cure de désintox. De toute façon, elle y serait restée deux semaines, et puis elle serait partie et aurait recommencé. Elle soupira légèrement, à nouveau à moitié nue. Elle attrapa son pull avec réticence, et le passa sans un mot, fronçant les sourcils. Elle préférait encore se faire reluquer plutôt que porter ses fringues, mais puisqu’elle avait le choix … Elle la laissa finalement s’écarter, et resta un instant prostrée contre le lit, relevant les yeux vers elle, un sourire empli de haine aux lèvres.

« Je n’ai pas de problème avec les putes, elles font ce qu’elles peuvent. C’est toi que je suis incapable de respecter. Tu ne le mérites pas. »

Ses yeux crachaient presque des éclairs. Elle se redressa lentement, et s’approcha à pas lents, fronçant les sourcils. La suivre ? Elle se foutait de sa gueule ? Si elle pouvait marcher toute seule, elle n’aurait pas besoin de son aide ! Vraiment pas maligne la gamine. Elle se traîna laborieusement jusqu’à elle, prenant appui sur le mur. Elle finit par s’arrêter juste à côté de la porte, plantant son regard sur elle.

« Il faut que tu m’aides. »

Ca lui arrachait la gueule de dire ça, mais elle n’avait pas le choix. Avec son aide donc, elles parvinrent à sortir de l’hôpital sans se faire arrêter par des médecins ou des infirmières. Une fois dehors, s’appuyant toujours sur l’asiatique, la blonde appela un taxi, et grimpa avec lenteur à l’intérieur. Son cœur semblait épuisé de ce seul petit effort. Elle mettrait un moment à s’en remettre, et le fait de devoir … coucher avec Ayane n’arrangerait sûrement rien. Mais pour l’instant ça lui sortait de la tête, elle avait d’autres chats à fouetter. Parlant de chats … Ca faisait plus de trois jours qu’elle n’avait pas pu le nourrir ! Elle fronça légèrement les sourcils, et donna distraitement son adresse au chauffeur, lui demandant de se dépêcher. Elle ignorait totalement Ayane, qui était à côté d’elle. Elle pensait à son pauvre petit Sträng, qui devait se sentir bien seul, et sûrement affamé. Peut-être que sa voisine, ne la voyait pas revenir, aurait eu l’idée de le nourrir, du moins l’espérait-elle. Rapidement elles arrivèrent chez elle, elle n’habitait pas si loin de l’hôpital. Donnant un billet au chauffeur, elle s’extirpa du véhicule sans se soucier de l’asiatique.

Elle fouilla lentement son sac, et y attrapa après quelques secondes ses clefs. Les mains tremblantes, elle glissa la clef dans la serrure, et déverrouilla la porte de sa maisonnée de ville, et rentra en laissant la porte ouverte, qu’elle la suive si ça lui faisait plaisir. Jetant son sac dans le fauteuil à côté de l’entrée, elle s’agenouilla en voyant son chat courir vers elle, et le prit dans ses bras, gratouillant derrière ses oreilles en lui parlant en suédois, doucement, murmurant presque. Le gardant dans ses bras, elle se dirigea dans sa cuisine à pas lents, apercevant Ayane du coin de l’œil, et déposa son chat sur le buffet alors qu’elle sortait une boite de pâté, la vidant dans une assiette pour son petit animal. Une fois nourri, elle remplaça aussi son eau, et finit par se tourner vers Ayane, s’adossant contre le plan de travail.

« Tu devrais rentrer chez toi. »
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MessageSujet: Re: /!\ C'est à croire que la déchéance est un mode de vie. | PV Ayane. /!\ /!\ C'est à croire que la déchéance est un mode de vie. | PV Ayane. /!\  EmptyDim 24 Mar - 21:18

Nous passons à travers les mailles du filet de cet hôpital. Nous arrivons devant la porte de la maison. Je rentre à l’intérieur fermant la porte doucement. Le chat se colla a sa maitresse. Je ne dis rien, pour l’instant je n’ai aucune raison de dire quelque chose. Mon regard se pose sur cette maison qui sentait le renfermer. Je ne fais aucune remarque. J’avoue que Lisbeth a du gout niveau décoration. Je la vois en train de nourrir le chat, j’hausse légèrement les sourcils voyant la tendresse qu’elle éprouvait pour son compagnon. Cela m’affecte-t-il ? Dois-je rompre le pacte ou la laissé tranquille pendant cette soirée.

Juste au moment elle me dit de rentrer chez moi. Je ne dis rien puis je secoue la tête.

« Tu peux rêver.. n’oublie. Pas que je ne vais pas te laisser tranquille. Puis t’as vue ton état….JE ne sais pas qu’est qu’il t’arriverait si je te laissais seule… Je vais te surveiller.

Fixant toujours cette femme devant moi. Tels que je la connais…Elle ne supporterait pas ça.

« Tu peux me haïr. Je n’en ai rien à faire. Toute façon tu sais aussi bien que moi que tu auras besoin de moi en cas ou ton cœur ferait de drôle de chose. Puis, j’hésite si je dois te l’amour ou pas en faites ? Me venger en voyant ton faible état…sera tellement amusant. J’hésite oui. »

Un sourire bien provocateur. Tiendra-t-elle le choc avec moi ? C’est tentant de voir cela. Puis son regard de défis me donne encore plus envie de lui faire l’amour. Mhhh alors comment vas-tu faire ma tendre Lisbeth ? Vas-tu résisté à mes griffes ou pas ?
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MessageSujet: Re: /!\ C'est à croire que la déchéance est un mode de vie. | PV Ayane. /!\ /!\ C'est à croire que la déchéance est un mode de vie. | PV Ayane. /!\  EmptyJeu 18 Avr - 23:19

Elle récupéra son chat, le gardant tendrement entre ses bras. La chaleur de sa fourrure la rassurait, et Dieu sait qu’elle en avait besoin. Qu’est-ce qu’elle pouvait bien lui vouloir, à force, cette asiatique ? Elle était obsédée par elle, ou c’était juste une passion pour la vengeance ? Certes, la suédoise ne niait pas qu’elle pouvait l’avoir mérité, mais la punition n’était pas à hauteur de sa faute, d’après elle, elle était exagérée. Et inquiétante. Quel était le genre de personne qui demandait ça ? Sûrement une personne malade mentalement, il n’y avait que ça. Toutes les autres personnes auraient demandé de l’argent, ou au pire, certains services ; mais servir d’esclave sexuelle, c’était le signe qu’Ayane était totalement folle. Et dans un sens, ça la rassurait. Se dire qu’elle était simplement dérangée rendait ça plus acceptable. Ca lui faisait ressentir de la pitié, à vrai dire. Evidemment, ce n’était pas non plus particulièrement enchantant que de se laisser aller à ses bras, mais elle pensait que ce serait sûrement pire si elle lui résistait. Après tout, les gens qui se braquent ne sont-ils pas plus dangereux que les autres ? Et si la suédoise ne craignait pas particulièrement la mort, elle ne souhaitait pas non plus vraiment l’embrasser. Et puis elle avait succombé, littéralement, quelques jours auparavant, elle n’était pas pressée que cela recommence. Elle soupira alors en l’entendant, glissant son nez dans le cou de son chat. Elle résista à lui envoyer une bonne pique et se contenta de baisser les yeux, murmurant à nouveau quelques mots à son chat, qui miaula.

Elle finit par rire un peu, sûrement nerveusement. Dans son état ? Oui, certes, on aurait dit qu’elle allait s’écrouler après avoir fait trois pas, mais elle était bien plus résiliente que cela. Elle en avait bavé pour arriver où elle était, même si sa vie ne pouvait se comparer à celle d’autres. Pour certains elle aurait été bien simple, et bien préférable, mais pour Lisbeth, elle avait dû faire de nombreux sacrifices pour devenir ce qu’elle était à présent, et c’était inoubliable. Alors non, ce n’était pas ce stupide contrat qui allait la foutre par terre, et encore moins le fait de se soumettre à la japonaise. Si encore elle arrivait à la soumettre ! Car elle ne comptait pas non plus lui rendre la tâche facile. Se laisser faire, dans l’idéal, c’était dans ses cordes, mais se soumettre volontairement, ça, c’était déjà un peu plus délicat. Pas spécialement à cause d’Ayane, d’ailleurs – même si, avouons-le, ça avait beaucoup à faire dans la décision – mais surtout à cause de son caractère. Se soumettre, pourquoi pas, mais alors il fallait que le dominateur soit vraiment doué. Eh bien sinon … Ca n’irait pas. Elle n’avait d’ailleurs jamais vraiment fait du SM, elle pensait que ce n’était pas pour elle, mais c’était cependant parfois très beau à regarder.

Enfin, pour en revenir à nos moutons, elle ne savait pas quoi faire. Elle n’avait certainement pas la force de s’engueuler une énième fois avec elle, et encore moins de la foutre dehors. Alors quoi ? L’ignorer et aller dormir ? C’est vrai qu’elle était extrêmement fatiguée. En y repensant, ça pouvait être une toute autre humiliation pour la japonaise, que de voir Lisbeth s’endormir si jamais elle tentait de … la baiser. Elle sourit légèrement, amusée par cette idée. Séduite, même. Elle lâcha son chat, qui en profita pour détaler vers le salon et se vautrer sur le canapé. La blonde en profita pour attraper le paquet de cigarettes qui traînait dans la cuisine et s’en sortit une, l’allumant puis tirant dessus, ignorant totalement la japonaise. Elle finit par relever les yeux, et posa sa cigarette dans le cendrier, le temps d’enlever son haut, qu’elle laissa tomber par terre. Elle détacha également son soutien-gorge, laissant la japonaise voir sa peau blanche de slave. Elle récupéra alors sa cigarette, et tira une bouffée, avant de l’écraser dans le cendrier. Se redressant, elle s’approcha lentement de la japonaise, et se colla à elle. Elle attrapa son menton entre ses doigts, et lui fit relever la tête, plaquant ses lèvres contre les siennes.
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MessageSujet: Re: /!\ C'est à croire que la déchéance est un mode de vie. | PV Ayane. /!\ /!\ C'est à croire que la déchéance est un mode de vie. | PV Ayane. /!\  EmptyJeu 25 Avr - 20:57

Je la regarde doucement et je la vois plonger ses lèvres contre les mienne. Au début, je reste surprise puis j’accompagne ce baisé avec douceur pour l’instant. Je mordille doucement sa lèvre inférieur puis la lèvre supérieure avec légèreté. Même si je la hais….je veux lui procurer du plaisir. Avant tout je pense à mon partenaire et en dernier lieu moi. Ma main se glisse doucement sur son dos. Mes doigts tâtonne
doucement sa peau. Sa peau est douce et je ne peux que sourire. Mon ennemie est fort charmante.

Son tâtonnement laisse place à une douce caresse sur son dos. On peut sentir un léger frisson de la
femme et de moi-même. L’autre main vient caresser ses bras fin. Ensuite mes deux mains se collèrent pour le repoussé doucement. Je m’approche d’elle examinant son corps. Je souris un peu, je vais exploiter mes talents de catin. Mes lèvres embrassent doucement ses lèvres, par la suite la joue pour ensuite finir sur son cou. Sa poitrine subisse doucement une agréable torture provenant de ma main. Mon doigt caresse doucement le mont de chair faisant une petite auréole, ensuite, les doigts tâtonnent un peu pour ensuite la masser. Je ne voulais avant tout pas lui faire du mal.

Mes yeux de loup la fixe avec une légère envie mais surtout voir sa réaction. Si ma partenaire ne prend plaisir, je m’arrêterais là. Je n’aime pas de voir une personne qui ne prends pas de plaisir. Déjà parce que je pourrais m’ennuyais puis le sexe se joue à deux. Je retire doucement mont haut montré cette voluptueuse poitrine. La nature m’a bien gâté et je savais comment bien la mettre en valeur. Je m’approche d’elle poitrine contre poitrine. Mon regard fixe toujours la femme. J’attendais ce qu’elle allait faire par la suite.
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MessageSujet: Re: /!\ C'est à croire que la déchéance est un mode de vie. | PV Ayane. /!\ /!\ C'est à croire que la déchéance est un mode de vie. | PV Ayane. /!\  EmptySam 27 Avr - 1:06

Surprise. Elle fut surprise. Elle s’attendait à vrai dire à tout, sauf à cela. Elle répondait au baiser. C’était tant inattendu que la suédoise en rouvrit les yeux, sans pour autant se reculer. Pas la force, ou pas le courage, au choix. Ou peut-être était-elle même envahie d’une douce sensation à laquelle elle ne s’attendait pas le moins du monde : ce baiser lui plaisait. Le contact de ses lèvres, leur douceur, leur texture ; tout cela rendait ça bien plaisant, au grand dam de la suédoise. Car si ça lui plaisait, il lui fallait maintenant trouver une autre excuse pour éviter de se laisser aller à ses bras, ce qui était, rappelons-le, son objectif premier. Elle ne voulait pas succomber, tout d’abord parce qu’elle ne pensait pas en avoir la force – faire un nouvel arrêt cardiaque ne serait pas très agréable – et ensuite parce que par principe, elle y était farouchement opposée. D’une part, coucher avec elle apporterait une relation avec des conséquences désastreuses : la détesterait-elle ? L’apprécierait-elle ? Et puis les regards dans l’université, non, elle ne voulait pas ça. Sans oublier la gêne forcément évidente qui finirait par apparaître. Mais d’un autre côté, elle avait toujours eu cette tendance à préférer les complications, à se laisser aller et même à plonger dans les problèmes. Et ça, c’était la solution facile pour s’immerger dans des galères pas possibles.

Et le plus énervant dans cette situation, c’était qu’elle embrassait bien. Evidemment, sinon ç’aurait été bien trop facile. Son souffle se fit plus court, alors qu’elle se pressait inlassablement contre elle. Sa main glissant dans son dos l’énervait autant qu’elle l’excitait. Si seulement elle n’avait pas eu ses penchants pour les disputes ! Elle se fit soudainement repousser. A ça non plus, elle ne s’attendait pas. Alors quoi, elle avait subitement décidé que non, la suédoise ne valait pas le coup ? Ou alors que c’était trop simple ? Ou peut-être que la tentative de psychologie inversée avait fonctionné. Elle eut rapidement confirmation que non, ce n’était aucune de ses hypothèses. Elle récupéra ses lèvres avec étonnement, alors qu’elle se laissait aller contre le comptoir juste derrière, y accrochant ses mains lentement. Pendant encore un instant, elle essayait de reprendre ses esprits, de savoir quelle était la meilleure décision – en admettant qu’une telle chose existât. A mesure que les mains de la japonaise glissaient sur elle, que sa peau s’échauffait doucement sous ses caresses, elle sentait sa pensée battre en retraite, son instinct – qui lui criait très élégamment de se laisser faire – prendre le dessus. Le contact sur sa poitrine finit de la désarçonner, et toute réflexion disparut instantanément. Elle le voulait. Que ce soit elle n’avait plus aucune incidence, plus aucun intérêt. Tel un héroïnomane cherchant désespérément une seringue, elle voulait désespérément ce contact, cet acte si délicieux qu’elle finirait – et elle le savait – par regretter amèrement.

Ayane se recula, et la suédoise fut bien obligée de plonger ses yeux dans les siens. Elle déglutit en silence, alors qu’elle l’observait avec une attention particulière la demoiselle se dévêtir. Elle n’avait jamais trouvé les asiatiques bien attirantes, mais là elle devait avouer que ça valait le coup d’œil : elle n’était pas aussi plate que la majeure partie de ses compatriotes. Il aurait même semblé qu’elle en avait plus qu’elle. Pas que ça importe, d’ailleurs, puisque la japonaise l’avait déjà conquise après quelques secondes de ses baisers. C’était pour Lisbeth une des choses les plus importantes : le baiser. Sans un bon baiser, vous n’arriviez que rarement à la mettre dans votre lit : c’était essentiel. Elle aimait embrasser, elle trouvait cela charmant, extrêmement plaisant ; elle préférait même parfois cela à une nuit de folies sexuelles. Elle garda les yeux fixés sur sa poitrine alors qu’elle s’approchait d’elle. Okay, elle avait définitivement gagné. Un sourire passa rapidement sur les lèvres de la suédoise, alors qu’elle se saisissait d’une des mains d’Ayane. Elle se décolla avec lenteur d’elle, et l’entraîna en toute gentillesse vers l’entrée. Elle en profita pour refermer la porte, avant d’attirer la jeune femme dans l’escalier, la prenant contre elle en récupérant ses lèvres rapidement.

Elle arriva en haut du dit escalier sans se ramasser en chemin, outre le fait qu’elle le remontait à l’envers – miracle – puisque ses lèvres étaient presque littéralement gluées à celles de la japonaise. Elle finit par rompre le baiser, reprenant une bouffée d’oxygène, la poussant à présent lentement vers la chambre, jusqu’à la faire tomber sur le lit. Ca ne dérangeait certes pas Lisbeth de le faire contre les meubles, sur le sol, ou à peu près n’importe où, mais elle était fatiguée, et préférait être au moins confortablement installée pendant que … Enfin vous avez compris. Elle fixa avec un léger sourire la japonaise, se rapprochant lentement d’elle, s’arrêtant juste avant le matelas, la dominant de toute sa taille. Sans la lâcher du regard, elle attrapa les pans de son sweat et l’enleva assez rapidement, exhibant sa peau glabre et blanchâtre de scandinave. Elle grimpa sur le lit, s’installant à califourchon sur les cuisses sur la japonaise, et attrapa son visage entre ses doigts, lui faisant relever la tête pour l’embrasser une nouvelle fois. Ne plus penser à rien, elle laissait ses appréhensions et ses réflexions jusqu’au lendemain. Ou tout du moins, jusqu’à ce que le moment soit passé.
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MessageSujet: Re: /!\ C'est à croire que la déchéance est un mode de vie. | PV Ayane. /!\ /!\ C'est à croire que la déchéance est un mode de vie. | PV Ayane. /!\  EmptyDim 28 Avr - 0:32


Je souris le voyant surprise de mes gestes et de ma manière de l’embrasser. Lisbeth est surprise de me voir aussi entreprenante. Mes baisé l’aurait-elle conquise ? A croire dans ses yeux que oui. Tant mieux dans ce cas, Même si c’est mon ennemie. Je veux avant tout la conquérir par mon charme. LA belle demoiselle est complètement conquise ainsi je présage que notre ébats va être la plus sensuel. J’ai hâte de voir les talents de ma tendre ennemie. Je verrais la scène par la suite.

Après m’être entrainé ne me décollant pas de ses lèvres. Lisbeth me pousse, je tombe lentement sur le lit. Le sweat tombe sur le sol laissant voir une magnifique poitrine dont la suédoise m’offre. Je me régale des yeux de voir un corps si joli. La nature la gâté là où il faut. Ensuite, elle s’approche de moi avec lenteur se mettant complètement sur moi. Je me laisse faire répondant à ses baisé avec atermoiement et délectation. Ses lèvres sont si douces et agréable à embrasser. Mes yeux ferme peu à peu pour apprécié ses baisé. Le frisson parcourt tout mon dos ce qui me fait légèrement cambrer le dos. La femme a un don pour embrasser. Je ne rêve pas je succombe moi aussi à son charme. De tous les baisé, je pouvais juger que c’est la meilleure.

Je donne un léger coup de hanche pour la faire tourner sur le côté. Mon corps se colle toujours aux siens. Je ne voulais pas me détaché de cette magnifique femme. Mes yeux se collent intensément aux siens. Un léger sourire en coins et un peu provocatrice.

« Tu as un magnifique corps et ton baisé est divinement magnifique. »

Pour la faire taire, mes babines se collent doucement aux siens. J’approfondis ce baisé venant chercher sa langue. Nos salives se mélangent pour laisser un gout esquisse. Ce baisé m’émoustille lentement, une légère chaleur agréable parcours mon corps. Je me sens tellement bien collé contre la femme et l’envie de la satisfaire me plaisait fortement. Je m’assoie sur son ventre, cependant, je ne l’écrase pas par égard pour elle. Mon ennemie mérite avant un tout un certain respect. Puis, aujourd’hui c’est une trêve. Ma tête se penche légèrement sur le côté, un petit sourire malicieux apparait sur mes lèvres. Je frotte doucement ma hanche contre la sienne. Je veux l’exciter d’avantage. Pour amplifier la sensualité, je plonge doucement mon corps du siens, frottant ma poitrine sur son ventre pour ensuite venir sur ses monts de chair. Puis, je me remets doucement assise, mes mains caressent son cou, ses magnifiques épaules pour atteindre sa poitrine. Mon doigt tapote lentement sur ces beaux seins. Mes doigtés attaquent doucement à ses pointes, je la caresse avec douceur la tirant un peu. Pour me faire pardonner, mes mains caressent avec délicatesse ces monts fragiles.

La fille me donne de plus en plus envie. C’est drôle non ? Ma pire ennemie arrive à me faire chauffer. Mon geste dont je procure à cette somptueuse demoiselle m’encourage de la satisfaire. Je peux sentir que mon intimité se mouille légèrement. Suis-je en manque ou cette femme qui me fait de l’effet. Je sens des petites rougeurs sur mes joues.

Je m’approche doucement d’elle venant lui susurrer a l’oreille avec ma voix suave


« Je suis à toi…mon corps est tienne…donc tu as champs libre. »


Suite à cette phrase, le cou de Lisbeth se fait assaillir par mes baisé et un léger suçon apparait sur son cou. Je continue mes douces tortures par des petits mordillements. Ma main vient doucement prendre la sienne pour lui mettre sur ma poitrine. Je voulais lui montrer a tels point elle me donner l’appétit de gouter à son corps
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MessageSujet: Re: /!\ C'est à croire que la déchéance est un mode de vie. | PV Ayane. /!\ /!\ C'est à croire que la déchéance est un mode de vie. | PV Ayane. /!\  EmptyMer 1 Mai - 23:24

Ses baisers étaient simplement enivrants. Ils l’encourageaient à se presser contre elle, augmentaient son excitation, son désir. Elle en tremblait presque. Elle la voulait terriblement. Le fait qu’elle soit Ayane n’importait plus du tout, elle était juste un corps superbement désirable, et en toute logique, elle la désirait de tout son corps, de toutes ses pores. Elle en devenait plus fougueuse, mêlant sa langue à la sienne en une impulsion érotique. Elle se laissa aller contre elle, pressant son bassin avec lenteur contre le sien, ses mains s’attelant à défaire rapidement le bouton du pantalon de la demoiselle. Elle avait toujours apprécié la fougue des préliminaires, ce moment où l’on devenait engourdi de désir, où l’on devenait maladroit, perturbé par tant d’impatience. Elle admirait ces instants de passion simple, cette célébration de l’humanité. C’était simplement beau. Et agréable, évidemment. Par ailleurs, l’acte en lui-même ne lui plaisait que par sa perspective de libération délicieuse ; si la fusion de deux corps était admirable, elle la trouvait trop mécanique.

C’était les instants où le désir montait, où l’attente commençait à devenir insoutenable, qu’elle préférait. L’acte n’était qu’une fin en soit, mais les préliminaires étaient tellement plus beaux. L’excitation était une sensation fichtrement agréable, et elle appréciait quand elle durait longtemps. Don’t get me wrong, sans préliminaires, c’était très bien aussi, mais ça manquait un peu de charme. Il manquait ce moment où l’on sent l’autre abandonner pour un instant son égocentrisme pour se concentrer sur vous, lorsque tout devient un désir, ou même une nécessité de satisfaire son partenaire. Mais Lisbeth n’était pas non plus dupe, elle savait très bien que ce n’était pas un simple acte de générosité, d’altruisme. Elle savait que c’était aussi une manière de conforter son égo, une façon de se prouver à soi-même que l’on valait encore le coup. Mais cela ne ruinait en rien l’euphorie soudaine d’être ensemble, le plaisir intense en perspective. Sa voix la sortit de ses réflexions, et sans qu’elle n’eût le temps de répondre, ses lèvres furent contre les siennes.

Elle était sur le dos et la jeune femme la dominait à présent. Elle rompit le baiser quelques instants, plongeant son regard intensément désireux dans le sien, alors que ses dents s’attaquaient sans pitié à sa propre lèvre. Elle était ivre de désir, elle n’arrivait plus à aligner une seule pensée correcte. Sentir sa peau contre la sienne l’électrisait, et elle ne pouvait plus penser à autre chose. Ses caresses, la douceur de ses lèvres, la précision de ses gestes … Elle ne résistait plus, et rapidement, sa peau réagissait à ses attentions. Déjà, ses mamelons étaient dressés ; déjà son souffle se raccourcissait. Elle ne cessait de la fixer, sans stopper de se mordre la lèvre, incapable de réagir. Elle était paralysée par son contact, et petit à petit, son corps s’affolait. Son cœur commença à accélérer, et elle profita que la japonaise s’attaque à son cou pour la retourner contre le matelas, se redressant en restant entre ses cuisses. Elle glissa ses doigts sur ces dernières, et les caressa avec lenteur, remontant patiemment vers ses hanches. A moitié penchée sur elle, elle s’arrêta finalement, et se redressa soudainement, haletante.

« I’m sorry … I can’t. »


Elle recula et posa le pied par terre, s’écartant d’elle jusqu’à toucher le mur. Son cœur tambourinait maladivement dans sa poitrine, et elle posa sa main contre celui-ci dans l’espoir de le calmer un peu. Elle baissa la tête, et glissa son autre main dans ses cheveux, stressée. Elle ne savait pas ce qui l’avait arrêtée. La peur de mourir lors de l’orgasme ? Car elle ne doutait pas qu’elles seraient allées aussi loin. Ou peut-être était-ce simplement une soudaine lucidité quant-à l’idiotie d’un tel geste. Elle ne devait pas sombrer à nouveau dans ses démons, c’était bien trop éprouvant. L’excès finirait par la tuer, et elle le savait parfaitement.
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MessageSujet: Re: /!\ C'est à croire que la déchéance est un mode de vie. | PV Ayane. /!\ /!\ C'est à croire que la déchéance est un mode de vie. | PV Ayane. /!\  EmptyMar 21 Mai - 16:53

Ayane la regarde hébété par ce changement radical de la part de Lisbeth. Pourquoi cette femme arrête ce merveilleux ébat dans ce moment le plus fatidique. L’Asiatique soupire doucement, se mordillant la lèvre inférieure avant de poser ses yeux sur elle. Lisbeth est déjà collée contre le mur,le regard perdu de la suédoise n’échappe pas l’attention de l’asiatique.
Ayane s’étire longuement arquant son dos pour mettre en valeur son corps majestueux ainsi sa lourde poitrine pour voir si Lisbeth veux reprendre. Voyant que cela ne fait aucun effet, la belle Asiatique reprend une position assise. Cependant, un sourire se marque sur ses petites lèvres. Pourquoi la jeune femme souris ? Tout simplement elle est fière de son corps et de son charme. La jeune a sculpté son corps depuis des longues années d’entrainement, de repas sains et d’hygiène. Son corps est le reflet même de sa perfection de soi. Tout un travail sur elle-même dont il arrive à terme. C’est la plus belle des femmes ? Non !Non ! ayane a des imperfection tels que son petit nez et quelque partis de son corps.

« Ne le sois pas. »

Se levant par la même occasion pour ainsi prendre une couverture, Ayane se dirige vers la belle blonde pour ensuite la couvrir de cette longue couverture. Pourquoi elle montre tant d’attention pour cette ennemie ? Car malgré son regard impassible, Ayane a un esprit très maternel dans le fond. Son regard se pose légèrement sur la poitrine pour ensuite se plonger dans ses yeux bleus. Ses mains entrelacent contre les siennes pour l’attirer sur son lit. Avec une légère inquiétude.

« Voudrez mieux s’arrêter…Si tu as besoin de quelque chose je suis là. »

S’asseyant à côté d’elle venant par ailleurs se mettre la couverture autour de sa personne pour ne pas avoir froids. Ayane dit d’une voix calme.

« Tu peux être mon ennemie…Du moins , ma raison pense encore que tu es mon ennemie même si mon cœur dit le contraire….Tu ne seras jamais mon esclave. C’est pour t’effrayer et te faire comprendre ta méchanceté de l’époque. Je n’aime pas faire perdre la liberté à une personne. »

Continuant son récit avec une voix plus faible et moins dure que les heures d’avants. La japonaise revoit quelque sévisse dont elle a subit de la part de ses clients.

« On m’a pris comme un objet….une vulgaire esclave sexuel….Je peux te jurer…que c’est humiliant de ce laisser faire car on a énormément besoin d’argent pour pouvoir manger. »

SA voix laisse un long silence,le regard de la femme montre une certaine tristesse et souffrance dont elle cache au plus profond de son être. Puis, ne voulant pas montrer sa faiblesse, Ayane se relève en se mettant face à la demoiselle.

« Bref..Tu veux qu’on regarde un film ? Et oui maintenant j’aime la culture du Cinema. A qui la faute hein ? »


Un petit sourire et un léger un clin d’œil ! LA japonaise veut chambouler cette relation pour la rendre plus positif. Voulant mettre à terme cet enfantillage entre les deux femmes.
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MessageSujet: Re: /!\ C'est à croire que la déchéance est un mode de vie. | PV Ayane. /!\ /!\ C'est à croire que la déchéance est un mode de vie. | PV Ayane. /!\  EmptyMar 21 Mai - 16:54

Elle restait figée, presque prostrée contre le mur, ne sachant que faire, que penser. Reprendre ? Non, l’excitation l’avait quittée en quelques secondes, le désir s’était échappé bien volontiers. Ca ne devait pas arriver, jamais. Si elle l’avait désirée pendant un instant, le moment était passé, et, elle l’espérait, ne se présenterait plus jamais. Elle avait fait preuve d’une faiblesse immense, et se décevait elle-même. Elle ne pouvait se permettre de se laisser aller à une étreinte passionnée avec … Ayane. Too messy. Problématique, même ; inconcevable, et inacceptable. Dans son orgueil – mais aussi à cause de son caractère borné – elle ne pouvait s’empêcher de se dire qu’elle ne la méritait pas, quoi qu’elle fasse, et que jamais, grands dieux jamais, elle ne la mériterait. Et se laisser aller entre ses bras aurait été une faute qu’elle n’aurait pas pu se pardonner. Elle ne la méritait pas. Elle la sentit approcher, et elle releva les yeux, se laissant envelopper dans la couverture. Elle n’avait pas froid, mais au fond d’elle, elle était touchée par ce geste. Par ses paroles. Elle avait cependant terriblement envie d’une cigarette. Non, rectification, elle avait envie de cocaïne. Même la moitié d’un rail lui aurait suffi. Car si son corps avait subi le manque pendant son coma, ça se répercutait à présent sur son cerveau ; si bien que dans un élan de souffrance, ses mains se mirent soudainement à trembler.

Indirectement, leurs doigts à présent enlacés lui permirent de se calmer, et les tremblements s’arrêtèrent pour le moment. Elle se laissa entraîner, et s’assit sur le lit aux côtés de la japonaise. Elle semblait dans un état second, et son cerveau tournait au ralenti. Il n’était braqué que sur une seule idée, qui résonnait en boucle dans son crâne ; cocaïne. Mais avec Ayane toujours à ses côtés, elle savait qu’il était tout bonnement impossible pour elle d’arriver à se faire une ligne. Même si elle arrivait à l’éloigner pour quelques minutes, elle n’aurait pas eu le temps, et aurait été bien trop maladroite – elle savait que les tremblements allaient reprendre – pour arriver à faire une ligne correcte. Et malgré son envie à présent dévorante, elle restait terrifiée que ça se reproduise à nouveau, et terrassée par la peur de mourir, elle se savait incapable d’aller jusqu’au bout. Mais elle en voulait tellement. Elle détourna son attention de son manque dévorant et l’écouta. Elle ne capta que très peu son regard triste, et son esprit mit un moment à comprendre ce qu’elle lui disait. Et puis elle percuta ; les mots s’enchaînèrent dans son esprit. Elle était libre ? Elle ne comptait pas profiter d’elle, de sa faiblesse manifeste ? Elle n’était peut-être pas si déséquilibrée, alors, au final.

Puis le silence s’installa. Elle regardait la jeune femme avec un mélange d’indifférence et de lassitude. Elle ne pouvait même pas semblant de s’y intéresser, parce que ça n’aurait pas été crédible. L’histoire des autres ne l’intéressait que rarement, et dans ce cas-là, outre le fait qu’elle la connaissait déjà, elle s’y intéressait encore moins. Elle n’aimait pas l’habitude des gens de se servir de leur passé comme excuse pour ce qu’ils sont aujourd’hui. Car ils sont ce qui ont voulu être, et non pas ce qu’ils étaient destinés à être. Elle trouvait les excuses de l’enfance désastreuse un peu facile. Car si l’on s’en donnait les moyens, il était tout à fait possible de renverser la situation ; c’était d’ailleurs très facilement observable. Et la prostitution, triste alternative, n’était qu’un choix parmi tant d’autres. Et Lisbeth, qui ne jugeait que rarement, ne pouvait s’en empêcher dans le cas d’Ayane ; c’était elle qui avait choisi de se prostituer, elle n’avait aucun droit de s’en plaindre. Regretter, oui, mais s’en plaindre, non. C’était lâche, tout simplement. La blonde lâcha finalement un soupir, alors qu’elle se défaisait de l’emprise d’Ayane pour se relever, abandonnant la couverture. Elle se pencha et récupéra son sweatshirt au sol, qu’elle enfila rapidement, attrapant dans la poche banane son paquet de cigarettes. Elle en prit une ainsi que son briquet, et l’alluma rapidement, rangeant ensuite le tout au même endroit. Tirant faiblement sur la cigarette, elle baissa finalement les yeux vers Ayane, toujours aussi indifférente.

« Pourquoi pas, oui. Viens. »


Elle tourna les talons, et recrachant la fumée devant elle, intercepta son chat qui grimpait les escaliers. Elle le cala contre sa poitrine, et frotta son nez contre sa fourrure, au creux de son cou, alors qu’elle montait les escaliers pour aller au troisième et dernier étage, afin de s’installer dans sa salle de cinéma aménagée. Elle poussa la porte de la pièce totalement insonorisée, et laissa Ayane rentrer, avant de refermer la porte derrière elle. Des deux côtés de la pièce, six étagères immenses remplies de DVDs, de cassettes, de bobines mêmes, ainsi que pour les dernières, de bluray. Ensuite, un simple canapé en face d’un écran géant. Elle alla s’asseoir dans le canapé, gardant le chat entre ses bras, le caressant distraitement.

« Qu’est-ce que tu veux regarder ? »


Elle braqua son regard sur Ayane, impassible. Elle devait avoir à peu près tous les films possibles et imaginables, admettant qu’ils soient un brin intellectuels ou tout du moins réussis ; elle ne regardait pas les navets, ou plutôt, elle ne les achetait jamais ; elle les regardait de temps en temps lorsqu’ils passaient à la télévision, et qu’elle s’ennuyait royalement.
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