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« On est des sous-produits d’un mode de vie devenu une obsession. » MARNI-LAY&THEODORE

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MessageSujet: « On est des sous-produits d’un mode de vie devenu une obsession. » MARNI-LAY&THEODORE « On est des sous-produits d’un mode de vie devenu une obsession. » MARNI-LAY&THEODORE EmptyVen 24 Mai - 21:31

La tête entre les mains, Theodore se retenait de pleurer. Lui… pleurer ? Theodore Osmund William Perkins-Zaran allait pleurer ? Non c’était un événement improbable. Il s’était promit de ne plus le faire bien des années auparavant. Pourtant, il avait du mal à se retenir. Il était dans une mauvaise période, malgré tous ses efforts pour s’en sortir. Il avait beau faire la fête tous les soirs, ramener une jeune femme inconnue chez elle et squatter son lit pour quelques activités qui l’empêchait de réfléchir, ça n’était plus suffisant. L’alcool, les drogues, le sexe, tout cela ne suffisait plus. Enfin, pour le moment. Il s’était promit de vivre la vie de Rueben, de vivre à 100 à l’heure, de ne jamais réfléchir. Pourtant, ces temps-ci, il ne pouvait plus s’empêcher de penser à lui et… à ses parents. Ces êtres extraordinaires qui étaient morts par sa faute, pour lui. Sa famille était réduite à néant, il était le dernier Perkins-Zaran. Rueben avait réussi à trouver le bonheur dans un monde qu’il détestait… et c’était lui qui était mort, aujourd’hui. Il aurait préféré que ce soit lui qui meurt de cette overdose. Il n’avait jamais aimé sa vie. Suivre les traces de son père, être la petite fierté intellectuelle de sa famille. Il n’avait jamais aimé cela. C’était peut-être la raison pour laquelle il avait décidé de vivre la vie de Rueben. La mort de son frère était peut-être simplement un prétexte, l’ultime rébellion contre son père une excuse, tout cela pour vivre la vie dont il avait toujours rêvé sans le regretter. Ces temps-ci… il le regrettait amèrement. Il buvait pour oublier, non plus pour s’amusait, il se défonçait pour tenter de trouver une quelconque étincelle d’amusement dans cette vie merdique, il baisait pour penser à autre chose. Il ne faisait plus rien pour s’amuser, pour simplement vivre sa vie. Peut-être avait-il besoin de voyager ? Non. Il ne pouvait pas recommencer. Il s’était promit de se poser et il avait choisi l’Amérique, il devait donc y rester. Peut-être avait-il besoin d’autre chose que d’une soirée arrosée où il terminerait la nuit ailleurs, tellement ivre qu’il en aurait oublié son propre nom. Theodore jeta un coup d’œil à l’horloge accrochée sur le mur. 20h30. À cette heure-là, habituellement, il était déjà en route pour une quelconque boîte de nuit branché de la ville, mais ce soir… il était en caleçon dans son salon, posé sur son sofa, la télévision éteinte, un verre de whisky posé sur la table. Il jeta un coup d’œil à son portable et vit qu’une amie lui avait envoyé un SMS, lui demandant de ses nouvelles. Marni-Lay. Les débuts de leur relation avaient été difficiles. Elle l’avait remarqué et l’avait approché, mais lui s’était enfui, la rembarrant. Il se souvenait parfaitement de l’avoir envoyé promener assez violemment, pourtant, elle n’avait pas semblé très impressionnée. Elle avait insisté et il l’avait finalement laissé faire. Il répondait à ses questions par des monosyllabes. Puis, finalement, lorsqu’il comprit enfin qu’elle était différente des autres et qu’elle n’était pas simplement là parce qu’il avait un petit air mystérieux, il engagea une vraie conversation. Au fil du temps, une relation compliquée s’était installée. Tout d’abord un flirt, puis finalement une relation je t’aime/moi non plus. Ils pouvaient passer des soirées collés, se racontant leurs journées comme un vieux couple, comme il pouvait passer une soirée à s’engueuler et presque en venir à se battre. Pourtant, Marni-Lay représentait l’une de ses plus belles relations à Berkeley. Sans répondre à son SMS, le jeune anglais prit la décision d’aller la voir, espérant qu’elle était bien où il le pensait. Il se dirigea vers sa chambre, enfila un jeans, un t-shirt blanc et un pull vert forêt, avant de sortir de chez lui et de se diriger vers l’appartement de Marni, dans l’est de la ville.

Dès ses premiers jours en Amérique, il avait acheté une voiture qui lui servait bien moins souvent qu’il ne l’aurait cru. Il l’utilisait pour aller et revenir de l’université, sauf quand il dormait dans sa chambre universitaire. Mis à part cela, il allait à pied en boîte, pour pouvoir se rendre facilement jusqu’au lit d’une jeune femme inconnue et idem pour ses autres sorties. Mais cette fois-ci, le jeune anglais prit la peine de prendre sa voiture pour se rendre jusque chez son amie. Il fit deux arrêts essentiels avant d’arriver dans l’est de la ville et d’arrêter sa voiture devant l’appartement de Marni. Cela faisait tellement longtemps qu’ils ne s’étaient pas vus. Brièvement aperçus l’un l’autre dans un couloir de la fac, mais rien de plus. Il se doutait qu’elle aurait plein de chose à lui raconter… et étrangement, lui aussi avait l’envie de lui parler de beaucoup de choses. Il n’était pas du genre bavard, encore moins sur ses affaires personnelles, pourtant, il se sentait d’humeur, pour la première fois de sa vie, ou presque, pour parler de ses propres souffrances. Il grimpa rapidement les marches jusqu’à la porte de la jeune femme et frappa vigoureusement sur le bois de cette dernière. Il tendit l’oreille, espérant sincèrement qu’elle était là… et qu’elle était seule. Heureusement pour lui, il entendit des pas glisser doucement sur le parquet, derrière la porte. Peut-être avait-elle aussi décidé de passer une soirée tranquille ? Lorsqu’elle ouvrit la porte, il ne lui laissa pas le temps de le saluer, il brandit entre eux les sachets de confiseries qu’il avait acheté et le film à l’eau de rose qu’il avait loué. Et entre les deux, il glissa son visage et lui offrit un bref sourire. « J’espère que je ne te dérange pas. J’avais envie de te voir. » Voilà trop longtemps qu’il ne l’avait pas vue. Il réitéra un nouveau sourire. Il n’était pas du genre démonstratif. Enfin, pas le premier. Elle le connaissait, si elle voulait un câlin ou un truc de ce genre, elle n’avait qu’à demander… ou lui sauter dessus, comme elle se plaisait toujours à le faire. Parce qu’il n’était pas habitué et il était encore très maladroit dans les relations amicales ou intimes, et elle le savait et se faisait toujours un malin plaisir de lui rappeler en se moquant de lui. Malgré tout cela, il l’appréciait énormément et elle comptait beaucoup pour lui. Voilà pourquoi c’était elle qu’il avait choisi pour une soirée cinéma. Encore une chose qu’il n’avait pas l’habitude de faire…
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MessageSujet: Re: « On est des sous-produits d’un mode de vie devenu une obsession. » MARNI-LAY&THEODORE « On est des sous-produits d’un mode de vie devenu une obsession. » MARNI-LAY&THEODORE EmptySam 25 Mai - 10:14

MARNI-LAY. STEVENSEN & THEODORE O. PERKINS-ZARAN


installe toi, fait comme chez toi « On est des sous-produits d’un mode de vie devenu une obsession. » MARNI-LAY&THEODORE 277800 MARNI-LAY. STEVENSEN & THEODORE O. PERKINS-ZARAN J'étais de retour dans mon appartement, tranquillement allongé sur mon canapé en mode détente. Je m'ennuyais quelques peu, ma télécommande était devenue mon esclave. Je zappais en m’arrêtant sur chaque chaîne en attendant quelques seconds. C'était énervant, j'en avais conscience et pourtant je continuais. Après plusieurs minutes, je posais ma télécommande et décida de tout éteindre. Ouaiiiiiiiiiiii, elle me faisait chier cet télévision. " Bordel qu'elle programme de merde " c'est vrai ça ? à part les feux de l'amour, la météo, les publicités et film que j'avais déjà une bonne vingtaine de fois. Il n'y avait rien. Un peu blaser, je me mis à prendre mon livre. La lecture était bien plus passionnante d'après moi même si le cinéma était une de mes activités favorites. Je dévorais mon livre assez vite, même un peu trop vite. Après une heures et demi a lire, mes yeux se faisaient lourd. Je posais mon livre et décida de prendre mon téléphone. Je parcourais ma liste d'amis " Léo, Jorden, Maëlle, Auréa, Théodore... " Théodore, l'homme parfait de la situation. En repensant à lui, il me manquait déjà. Cela faisait pas mal de temps que je ne l'avais pas vu. Il était tant de savoir comment il allait. J'avais envie d'avoir de ses nouvelles, j'étais curieuse et à la fois attentive. Depuis quelques semaines, je semblais plus douche, plus épanouie même si mes vieux démons n'hésitaient pas à réapparaître parfois. Il est vrai que notre relation entre moi et Théodore n'avait pas toujours été très amicale. A vrai dire au début, nous étions loin des confession et des soirées festives. Non, a vrai dire j'avais eu une certaine rancœur avec lui qui m'avait vallu d'être insistante. Cet homme m'avait attirée et j'avais une sensation étrange, la sensation d'être comme lui.

Après plusieurs minutes, mon message resta sans réponse. Il devait sans doute être occuper quoi que j'en doutais fortement. Nous étions en plein milieu de l'après-midi, quoi que en réfléchissant bien il devait sans doute prendre du bon temps avec une de ces donzelles. Je n'avais jamais eu la chance de voir comment il procédait lors de ses soirées bien arrosées ? comment il draguait les demoiselles et bizarrement j'étais curieuse de savoir qu'elle était ses armes de séduction. Je posais alors mon téléphone sur ma table basse, sachant très bien que j'allais rester sans réponse. J’espérais sincèrement qu'il allait bien et qu'il ne m'évitait pas. Après tout, je reconnaissais avoir mis pendant quelques temps mes amis de cotée en même temps ce mariage et cet homme m'avait prit la plupart de mon énergie à la reflétions. J'étais au jour d'aujourd'hui une femme marié même si en soit j'étais tout simplement une femme qui profitait du bon temps avec monsieur Rosenbach. C'était ça notre truc, profiter de l'instant et nous comportez comme des gens irresponsables et stupide. Jusque là, c'était réussi. Alors que je comptais prendre un bain, histoire de me détendre et peut être de faire un petit dodo. Quelqu'un frappa à ma porte, je fronçais des sourcils. Peut-être Léo ? j'en avais aucune idée. Je me lançais en direction de ma porte et l'ouvrit. J'eu un magnifique sourire en voyant ce cher Théodore planter devant mon appartement. J'étais heureuse de le voir et surtout de voir qu'il n'était pas venue les mains vide. UN FILM + DES COCHONNERIES = c'était parfait et à cet instant la j'étais au ange. Il ne me fallait pas grand chose mais Théodore savait y faire et je lui en étais reconnaissante. " J'espère que je ne te dérange pas. J'avais envie de te voir. ". Hannnnnnnnn, au contraire, j'était terriblement contente. J'allais pouvoir enfin avoir une discution avec lui et enfin pouvoir rigoler pleinement en commentant un film à l'eau de rose. C'était parfait et ma journée semblait bien plus amusante tout d'un coup. Je m'avançais et finis par lui prendre le film et les bonbons d'abord. Je lui fis : " Les plaisirs d'abord " ouaiiiiiiii bah ouaiiiiiiiiii, grosse morfale que je suis. Les bonbons étaient prioritaires à vrai dire c'était juste histoire de l'embêter. Je les balançais sur mon canapé et finit ensuite par m'approcher de Théodore et lui fit un jolie petit câlin. " Bordel, je suis contente de te voir aussi, tu m'avais manqué ! " il lui avait manquer, ouiiii ouiiii. Je finis par lui faire ensuite un énorme bisous sur la joue et me remit devant la porte. " Bon tu comptes rester dehors encore longtemps Razz " aaaaaah toujours aussi chiante hein. Je lui fis un sourire moqueur. Il entra dans mon appartement, il y était habitué à vrai dire. Ce n'était pas la premier fois qu'il venait, c'était peut être un des rares hommes à être venu autant de fois dans cet appartement même Jorden n'avait pas eu la chance de le découvrir encore. Je finis par le regarder à nouveau et lui fit : " Tu veux quelques choses à boire ? coca, alcool, boisson chaude ? j'ai tout " moi personnellement j'allais opter pour quelques choses de chaud, un bon petit chocolat chaud.
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MessageSujet: Re: « On est des sous-produits d’un mode de vie devenu une obsession. » MARNI-LAY&THEODORE « On est des sous-produits d’un mode de vie devenu une obsession. » MARNI-LAY&THEODORE EmptySam 25 Mai - 16:35

Rares étaient les soirées que Theodore passait loin d’une boîte de nuit, mais ce soir était une exception acceptable. Plus qu’acceptable, même. Il n’avait pas revu Marni depuis des semaines, si ce n’était pas plus. La vérité était qu’il n’osait pas compter. Il ne voulait pas se rendre compte du vide qu’avait causé leur éloignement, il ne voulait pas comprendre qu’il avait besoin d’elle. Il était indépendant et il n’avait jamais eu besoin de personne depuis la mort de sa famille. Il s’était débrouillé seul, il s’était relevé seul d’une chute qui lui avait paru mortelle. Pourquoi aurait-il besoin de Marni-Lay ? Certes, la jeune Stevensen représentait l’une des seules personnes qui avaient de l’importance dans sa vie, ici. Elle n’était pas la seule, mais avait été l’une des premières. Il y avait un lien inexplicable entre eux. Au début, il l’avait trouvé surtout extrêmement séduisante et il avait eut l’intention de la draguer, mais au fil de leurs rencontres, cette intention s’amenuisa et vint presque à s’éteindre. Aujourd’hui, il l’a trouvait toujours aussi séduisante, il s’amusait même à flirter avec elle et se faisait toujours un plaisir de se coller à elle, mais il ne s’imaginait pas la mettre dans son lit pour l’abandonner à l’aube et l’éviter jusqu’à la fin de leurs jours. Non, elle était devenue bien trop précieuse à ses yeux pour qu’il lui fasse un coup pareil. Parce que s’il cédait et se laissait aller à la tentation de la mettre dans son lit, il savait que le lendemain serait la fin de leur amitié. Il était tout simplement incapable de rester le lendemain d’une nuit de ce genre, peu importe avec qui. Cela aurait compliqué leur relation. Il aurait fuit, refusant de lui avouer la vérité et un fossé se serait creusé entre eux. Au lieu de risquer de la perdre, Theodore préférait faire une exception et abandonner cette idée, lui qui, pourtant, ne manquait jamais une occasion d’ajouter un nom à sa liste de conquêtes. En cette soirée chaude du mois de mai, le jeune anglais préféra une soirée cinéma en compagnie de son amie plutôt qu’une bonne soirée en boîte et une nuit de baise torride. En y réfléchissant, Theo ne put se retenir de se dire qu’elle lui faisait faire toutes sortes de choses pas croyables. Une soirée cinéma, franchement ! Était-il vraiment du genre à faire cela ? Ce n’était définitivement pas son genre d’activité.

Arrivé sur le pas de la porte de la jeune femme, il en était venu à se poser des questions plus futiles. Avait-elle du pop corn ? Il n’était certes pas un habitué de la chose, mais il savait qu’un cinéma ne pouvait pas se faire sans pop corn. Heureusement, il avait des confiseries, ce qui ne manquerait pas de faire plaisir à Marni, il le savait. Lorsqu’elle lui ouvrit la porte et l’aperçu en compagnie de cochonneries et d’un bon film à l’eau de rose qu’il ne doutait pas une seconde qu’elle allait adorer, encore une chose dont il était surprit d’avoir fait, un film à l’eau de rose n’était certainement pas son genre préféré, elle lui offrit un sourire éblouissant. Elle sembla très touchée de ses paroles simples. J’avais envie de te voir. Ce n’était que la simple et pure vérité. Elle empoigna les victuailles que Theodore tenait entre ses mains et les lança sur le canapé de son salon. Et comme il s’y attendait, elle se retourna vers lui et lui offrit un câlin. Après une brève hésitation habituelle, il resserra ses bras autour d’elle. « Tu m’as manqué aussi. » lui souffla-t-il. Après un bref baiser sur sa joue, elle s’écarta de lui et le taquina sur le fait qu’il se trouvait toujours sur le pas de sa porte. Après tout, il était habitué d’entrer dans cet appartement, alors il était vrai que c’était un peu étrange. Il lui offrit un sourire railleur à ses paroles et pénétra dans son appartement derrière elle. Lorsqu’il eut refermé la porte, il franchit les dernier pas qui le séparaient d’elle. Lorsqu’elle lui proposa un rafraîchissement, il fut tenté de lui demander un bon whisky, mais il n’était pas la pour ça. Il voulait une vraie soirée tranquille, en compagnie de son amie. Pour une fois, il ne voulait pas boire et juste tenter l’expérience de ce genre de soirée. Après mure réflexion, il opta pour quelque chose de plus gentil. « Je veux bien un coca, s’il te plaît. » Il détourna le regard, sachant pertinemment que la jeune femme serait surprise. Elle le connaissait, il était un amoureux de l’alcool. Il observa quelques instants son salon, remarquant que rien n’avait changé depuis sa dernière visite. Alors qu’elle s’éloignait vers la cuisine pour servir leurs boissons respectives, il brisa le silence. « J’imagine que tu as plein de choses à me raconter, depuis le temps qu’on s’est vu. Qu’est-ce que j’ai manqué ? » Il contourna le canapé et déposa les confiseries et le film sur la petite table qui séparait le téléviseur du canapé. Il prit place sur ce dernier, jetant un coup d’œil derrière lui pour voir si Marni revenait. À priori, elle devait se faire quelque chose comme un chocolat chaud pour que ce soit si long. Un bref sourire vint étirer ses lèvres. Il était presque certain d’avoir raison, il l’a connaissait bien. Elle adorait ce genre de boisson chaude qui, d’habitude, était les boissons favorites des enfants. À quelque part, la jeune femme qu’était Marni avait toujours une petite gamine en elle. C’était quelque chose qu’il avait toujours apprécié chez elle. Avec les évènements de son passé, il se sentait parfois vieux et avait l’impression que sa vie avait déjà duré une éternité. Avec la jeune Stevensen, il se sentait vivant et presque enfantin, parfois. Elle faisait ressortir un côté de lui qu’il n’avait jamais connu…
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MessageSujet: Re: « On est des sous-produits d’un mode de vie devenu une obsession. » MARNI-LAY&THEODORE « On est des sous-produits d’un mode de vie devenu une obsession. » MARNI-LAY&THEODORE EmptySam 25 Mai - 21:36

MARNI-LAY. STEVENSEN & THEODORE O. PERKINS-ZARAN


installe toi, fait comme chez toi « On est des sous-produits d’un mode de vie devenu une obsession. » MARNI-LAY&THEODORE 277800 MARNI-LAY. STEVENSEN & THEODORE O. PERKINS-ZARAN Il est vrai que Théodore c’était une grande histoire, ce garçon m’avait intriguer et ça dès la première fois que mon regard s’était posé sur lui. Il m’avait disons intrigué, cet homme était un vrai mystère que j’avais finis par amadouer. Il faisait partie des rares personnes qui me connaissaient plutôt bien. Bizarre soit-il, il savait bon nombre de chose sur moi-même si j’avais toujours un peu de mal à me livrer sur mes parents, sur l’accident, sur mon changement de comportement. Ce n’était pas par manque de confiance mais tout simplement parce que je n’y arrivais pas. Ces démons s’étaient une chose… Je vous assure. Au premier abord, Théodore m’avait beaucoup plus, visage angélique, un vrai connard de nature et mystérieux. Le genre de mec que j’avais la fâcheuse manie de collectionner lorsque j’étais… célibataire. Pourtant au premier abord, notre relation avait assez mal débuté. Ouiiiii, son mauvais caractère m’était sortis par les narines et ils nous arrivaient encore de nous crêper le chignon. Mais au fond, je l’adorais et je l’admirais. Il me ressemblait énormément et je voyais en lui un véritable pilier même si je m’amusais à le crier sur les toits. Il était important pour moi.

« Tu m’as manqué aussi » contraire à lui, j’étais assez tactile, les câlins et les bisous s’étaient mon truc. J’aimais ça. En réalité, j’avais toujours été habitué à un minimum d’attention. Un petit câlin d’accueil et un petit bisous c’était la base chez la Stevensen. Ouiiiiiii ouiiiiii à moins que vous ne teniez à votre vie. J’étais contente de savoir qu’il allait passer la journée avec moi. Je l’invitais à entrer et me dirigeais vers la cuisine en lui proposant un petit breuvage. A vrai dire, j’étais presque persuadée de sa réponse. « Je veux bien un coca, s’il te plait. » UN COCA ? WHAT THE FUCK. Je fronçais les sourcils, un coca. Puis je mis ma tête sur le cotée afin de pouvoir le voir : « Un coca ? Et bien allons y pour un coca ». C’était surprenant mais les habitudes étaient faite pour être changées. Je préparais ma boisson ainsi que celle de Théo’. Alors que j’étais dans la cuisine essayant d’être le plus rapide possible pour pouvoir rejoindre Théodore dans le salon. Il me fit : « J’imagine que tu as plein de chose à me raconter, depuis le temps qu’on s’est pas vu. Qu’est-ce que j’ai manqué ? » bouaaaaaaaah qu’es qu’il avait manquer et bah disons que ma vie s’était révéler être une véritable pièce de théâtre depuis quelques jours. C’était assez bizarre de voir tout ce qu’il m’était arrivée en quelques semaines, j’avais l’impression de vieillir encore plus vite. Mon chocolat chaud prit un peu plus de temps que prévus. Je décidais donc de prendre le coca de Théo et de lui apporter. « Et bien j’ai l’impression d’avoir vécu trop de chose depuis qu’on s’est pas reparler » c’est vrai ça ? Depuis quand j’avais autant de chose à dire sur moi. Moi la petite fille qui se contentait de ses habitudes, de ses caprices. Pourtant, en quelques semaines j’avais vécu les pires et les meilleures choses de ma vie. Je lui mis son verre sur la table. Et lui fit : « bordel si tu savais… » a vrai dire, j’étais loin de me douter que Théodore avait déjà eu une discutions avec Jorden. « attends, je reviens y a mon chocolat chaud qui est prêt » aaaaah aaaah il me connaissait bien le Perkins-Zaran hehe. Je pris alors mon chocolat chaud et vint me joindre à nouveau à lui. En m’installant à ses cotées, je finis alors par lui dire spontanément : « Et toi ça va ? Parce que un coca ça te ressemble pas. » dis-je un peu méfiante. Aaaaaaah mon sourire était visible, j’étais vraiment contente de le voir ici. Je me mis en tailleur et le regarda essayant de décrypter les mimiques de son visage. Je savais pertinemment qu’il était le genre de mec à nier les problèmes, il était comme moi en même temps. Je lui fis un sourire voyant qu’il ne répondait pas. Je lui fis histoire de le détendre un peu : « Je me suis mariée » ouaiiiiiiiiiii surprenant et pourtant véridique.
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MessageSujet: Re: « On est des sous-produits d’un mode de vie devenu une obsession. » MARNI-LAY&THEODORE « On est des sous-produits d’un mode de vie devenu une obsession. » MARNI-LAY&THEODORE EmptyDim 26 Mai - 19:35

Theodore était un passionné des soirées déchaînées où tout était possible. Se défoncer, boire jusqu’à en oublier son nom, baiser toute la nuit et puis, disparaître à l’aube. Ces soirées dont vous vous souvenez toute votre vie. Enfin, pour lui, ce n’était plus réellement le cas. Il en oubliait la plupart et de même pour les visages de ses conquêtes, parfois, parce qu’il en avait tellement et il allait tellement souvent dans ces soirées, que c’était devenue une routine pour lui. Les soirées qu’il ne passait dans une boîte ou dans le lit d’une jeune fille étaient exceptionnelles, alors que les fêtes inoubliables qui se prolongeaient jusqu’à l’aube n’étaient qu’habitude dans sa vie. Certains enviaient sa position et son mode de vie. Il avait beaucoup d’admiratrice, pour son côté mystérieux et beaucoup de jaloux, pour son statut. Pourtant, le jeune anglais n’avait jamais rien demandé de tout cela. Tout ce qu’il voulait, c’était vivre comme si chaque jour était le dernier, vivre la vie de Rueben, vivre comme son frère aurait voulu qu’il le fasse, et une ultime fois, se rebeller contre son père. Contrairement à ce que l’on pouvait croire, il n’était plus en colère. Sa rébellion contre son patriarche décédé était aussi un ultime acte d’amour envers ce dernier, acte d’amour qu’il n’avait jamais pu poser du vivant de celui-ci. Il n’avait été que robot ou déception pour lui et c’était un regret pesant pour Theodore. Il y pensait tous les jours, sans exception. À quel point il avait déçu son père… et sa mère. Sa merveilleuse mère. Douce, intelligente et si aimante. Elle lui avait apprit la musique et lui avait transmis sa passion pour les arts. Il lui devait tellement. À elle et à son père. Pourtant, à la fin de leurs jours, il n’avait fait que les décevoir et c’est par sa faute qu’ils s’étaient engagés sur la route un soir froid d’automne. Pour venir le chercher. Et ils étaient morts, par sa faute, pour lui. Il n’y avait pas une journée où il ne s’en voulait pas, où il oubliait. Certes, il y avait de nombreuses soirées où il se perdait dans mille et un vices pour oublier cela, mais le jour, il n’avait rien pour lui faire oublier tout cela. Et Rueben… sa mort, le soir de son anniversaire, son overdose. Il l’avait laissé là, il s’était enfui. Et il était mort, par sa faute. Il n’aimait le montrer ni y penser, mais sa vie était un véritable enfer. Sa famille n’était plus que néant et il était l’unique naïf et stupide responsable. Il se détestait et se détesterait toujours pour cela. Mais heureusement, il n’y avait pas que les soirées pour le distraire de ses démons. Il y avait quelques rares personnes qui avaient réussies à creuser assez loin pour découvrir une part du vrai Theodore. Comme Marni. La première fois où il avait accepté de se rapprocher d’elle, c’était lorsqu’elle lui avait avoué que ses parents étaient morts, ayant sûrement remarqué qu’il avait un passé troublé. Elle avait toujours eu un don pour l’observation et la compréhension chez les autres. Il lui avait aussi avoué, brièvement et à sa propre surprise, que ses parents étaient morts. Mais il n’avait pas raconté comment et il n’avait jamais évoqué le nom de Rueben en sa présence. Il avait peur. Peur qu’elle décide simplement de partir en courant, loin de lui, lorsqu’elle comprendrait pourquoi sa famille n’était plus de ce monde. Il avait peur qu’elle comprenne quel monstre il était. Mais il avait besoin d’elle.

Le Perkins avait toujours remarqué le côté tactile de la Stevensen et il l’avait accepté. Contrairement à elle, ce n’était pas tout à fait son genre. Certes, lorsqu’il passait la nuit avec une jeune femme, il était très tactile, mais c’était une autre histoire. Intimement, de cette façon, avec une amie… il était simplement incapable de le faire, ou presque. Marni était une des rares exceptions, encore une fois. Avec elle, il arrivait à être… différent. Quand ils ne s’engueulaient pas, il acceptait de passer des soirées avec elle, collé, à discuter de tout et de rien. Ce qu’il ne faisait jamais. Il était horripilé par les conversations futiles, habituellement. Mais tout était différent avec elle. Il avait l’impression qu’il pourrait bâtir un nouveau monde avec elle. Elle faisait ressortir le meilleur côté de lui et Theodore en était le premier surprit. Mais c’était exactement pourquoi il était là, ce soir, chez elle, au lieu d’être dans le lit d’une jeune femme qui lui serait complètement inconnue. Il avait besoin d’elle. Lorsqu’il lui demanda entre les lignes ce qui se passait de nouveau dans sa vie, elle lui offrit une réponse évasive, dans les recoins de sa cuisine. Elle avait l’impression d’avoir vécu… trop de choses ? Que pouvait-il bien s’être passé entre aujourd’hui et la dernière fois qu’ils s’étaient parlé ? Fronçant les sourcils, il l’observa alors qu’elle s’approchait de lui, lui apportant son coco. Il prit une brève gorgée avant de reposer le verre sur la petite table du salon. Elle disparut à nouveau dans la cuisine, pour aller chercher son chocolat chaud. Un vague sourire vint étirer les lèvres du jeune anglais. Il avait eu raison, elle avait toujours cet amour pour cette boisson enfantine. Une autre chose qu’il aimait elle, ce côté enfantin qu’elle avait conservé. Pourtant, elle était loin d’être une gamine. Elle était une femme et il le savait pertinemment. La première chose qui l’avait fait cédé et avancer vers elle, c’était cette attirance qu’il avait ressentit pour elle. C’était une magnifique jeune femme, extrêmement séduisante, n’importe quel homme pouvait l’avouer. Elle coupa net le cours de ses pensées lorsqu’elle demanda s’il allait bien. Il lâcha un bref éclat de rire, certes, il n’était pas un habitué du coca. « C’est vrai, mais… je n’avais simplement pas envie de me saouler ce soir. J’avais juste envie de passer une soirée avec toi. Tu sais, une vraie soirée tranquille, comme les gens normaux font. » Il était toujours maladroit avec les mots. Il avait longtemps été un grand solitaire et peu bavard, il n’était pas doué avec les mots et encore moins pour exprimer ce qu’il voulait ou ses sentiments. Certes, Marni l’aidait beaucoup, mais il savait qu’il ne serait jamais un maître dans l’art de maîtriser ce genre de chose. Il avait gardé tout cela en dedans pendant bien trop longtemps, ça n’allait jamais changer. Mais peut-être pouvait-il au moins se débarrasser de ce côté associable qu’il possédait toujours, vestiges d’un passé de solitaire. Son regard croisa celui de la jeune femme face à lui et son sang vint littéralement se figer dans ses veines lorsqu’elle brisa de nouveau le silence. Il prit la peine de boire une gorgée de coca, ayant l’impression que sa gorge brûlait. Il se retourna vers la jeune femme et tenta d’adopter un ton calme et non paniqué. « Tu plaisantes, j’espère ? Allez, Marni, tu ne t’es pas vraiment… mariée ? Si ? » Elle connaissait son aversion pour le mariage. Il était allergique à l’amour, déjà cela n’aidait pas à la cause et de plus, le mariage représentait tout ce que détestait le plus Theodore. L’engagement, de fausses promesses, le romantisme, etc… Il détestait les mariages, il ne croyait pas à ces balivernes et il trouvait cela absolument ridicule. Il devait avouer, par contre, qu’il avait toujours imaginé que Marni aurait un mariage de princesse et cela ne l’avait pas répugné. Il avait accepté qu’elle puisse croire au mariage, si elle le voulait. Mais de là, à se marier comme ça, sans le prévenir et avec il ne savait qui… c’était plus que surprenant. Puis, soudainement, un souvenir désagréable revint à sa mémoire. Certes, il avait été amoché à ce moment là… mais il se souvenait parfaitement de sa conversation avec Jorden. Son regard effaré croisa brusquement celui de son amie et il s'adressa à elle sur un ton presque effrayé. « Tu t’es mariée avec ce Jorden ? »

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MessageSujet: Re: « On est des sous-produits d’un mode de vie devenu une obsession. » MARNI-LAY&THEODORE « On est des sous-produits d’un mode de vie devenu une obsession. » MARNI-LAY&THEODORE EmptyLun 27 Mai - 19:54

MARNI-LAY. STEVENSEN & THEODORE O. PERKINS-ZARAN


installe toi, fait comme chez toi « On est des sous-produits d’un mode de vie devenu une obsession. » MARNI-LAY&THEODORE 277800 MARNI-LAY. STEVENSEN & THEODORE O. PERKINS-ZARAN « C’est vrai, mais… je n’avais simplement pas envie de me saouler ce soir. J’avais juste envie de passer une soirée avec toi. Tu sais, une vraie soirée tranquille, comme les gens normaux font » Je ne pu retenir mon sourire, il était tellement maladroit mais j’adorais ça et savoir qu’il avait décidé de rester sobre me fit plaisir. Après tout, j’étais bien placée pour dire que l’alcool et la drogue ne faisaient pas bon ménage. Je lui fis un nouveau petite sourire et lui fis : « Bonne initiative monsieur, tu verras après tu seras un vrai fan de coca. » J’avais toujours été fan des boissons sucrés même si ma boissons préférait restait contre toute attente - ou pas - le chocolat chaud. C’était ce que j’aimais le plus et ce qui m’apaisait le plus. Cet boisson avait même parfois le pouvoir de m’endormir, vous y croyez vous ? Comme une enfant après un chocolat chaud le soir, j’avais toujours l’envie irrésistible de fondre dans les bras de Morphée. C’était comme ça.

S’en suivit ensuite une discutions des plus sérieuse sur mon mariage. Mon mariage inattendu avec le superbe Jorden-Kol. Rosenbach. C’était déjà assez bizarre de savoir que mon nom de famille avait été remplacer par Rosenbach. Non pas que je n’aimais pas le nom de Jorden mais disons que j’avais du mal à me dire que mon nom de famille était définitivement mise au oubliette. Plus de Stevensen, j’étais disons mélancolique quand je pensais à cela et je chassais cet idée noir de mon esprit. Ce n’était pas le moment, ni le lieux pour partir dans une parfaite déprime. Théodore arqua ces magnifique sourcils et me regarda calmement. Je n’arrivais pas à déchiffrer le moindre de ses sentiments face à cette nouvelle. «  Tu plaisantes, j’espère ? Allez, Marni, tu ne t’es pas vraiment… mariée ? Si ? » en réalité je détestais tout autant le mariage que lui. Cet cérémonie était loin d’être quelques choses dont je rêvais et pourtant. J’étais finalement mariée. L’idée était encore dur à digérer mais disons que je commençais à m’y habituer à ma manière. Ce mariage n’avait pour moi et pour le moment aucun impact sur ma vie. Je profitais tout simplement des bon moment avec mon nouvel amant - mari -. Je savais pertinemment que Théodore n’était pas le genre d’homme à aimer le mariage. Et en voyant son visage et sa réaction, j’en fus encore plus convaincu. Je ne lui répondis pas tout de suite, en faite, j’y arrivais pas vraiment. J’avais la sensation de le dégoutter et c’était vraiment horrible. Théodore me coupa court dans ma réflexion : « Tu t’es mariée avec ce Jorden ? » Ce jorden ? À mon tour de arquer les sourcils. Comment connaissait-il sont nom ? Et pourquoi avait-il l’air si dégoutter ?. J’étais blessée, blessée par sa réaction et son manque de t’acte. «  Tu le connais ? Vous vous êtes parlez ? » dis-je en essayant de me calmer histoire d’éviter une énième dispute avec mon cher ami. Mon chocolat semblait avoir un gout amer et je le posais délicatement sur la table et vint à le regarder une nouvelle fois même si mes yeux le fuyait plus à cet instant. « Je sais, je me suis mariée c’est stupide. Je les parfaitement compris, mais j’aime bien ce jorden. Après je ne te cache pas que ce mariage n’a pas vraiment changer grand-chose dans ma vie. Disons que je ne me considère même pas comme une femme mariée. Essaye de comprendre » ouaiiiiiiiiii, j’avais envie qu’il comprenne même si c’était peine perdu. J’avais envie qu’il ne se mette pas dans tout ses états pour un mariage qui m’avait déjà bien prit la tête la semaine passer. Il ne semblait pas vouloir fuir cet conversation, ni même faire un effort. J’en étais maintenant blasée : « Arrête ! Tu vas m’énervée, oublis ça ok ! » dis-je en soupirant.
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MessageSujet: Re: « On est des sous-produits d’un mode de vie devenu une obsession. » MARNI-LAY&THEODORE « On est des sous-produits d’un mode de vie devenu une obsession. » MARNI-LAY&THEODORE EmptyMar 28 Mai - 23:44

L’histoire du coca resterait certainement marquée dans l’esprit de Marni. Elle avait ce don de se souvenir des choses les plus futiles et de les transformer en un événement marquant. En même temps, ne pas boire d’alcool était un vrai miracle pour Theodore. Il n’était pas du genre petit garçon sage à boire ses petites boissons sucrées. Il était un amoureux inconditionnel du whisky, de la vodka, de tout ce qui brûlait la gorge avec délice. Il aimait l’alcool assez fort pour lui rappeler amèrement qu’il n’était pas invincible, pour lui rappeler que la douleur existait, bien qu’il chercher à l’éviter par tous les moyens. Pourtant, ce soir, il avait préféré opter pour quelque chose de plus sage, un breuvage qui ne lui rappellerait pas ses pensées sombres et tordues. Il avait été maladroit, comme toujours, tentant d’expliquer son envie d’une réelle soirée tranquille entre amis, ce que la plupart des gens normaux faisaient à l’occasion. Mais il n’était pas une personne normale. Il était complexe, torturé et tordu. Il n’était pas comme les autres et il ne l’avait jamais été. Tout d’abord surprise, la Stevensen l’avait observé d’un regard suspicieux, puis, lui avait servie la boisson demandée. Finalement, elle trouvait cela très amusant, à priori, puisqu’elle lui fit remarquer qu’il finirait sans doute par adorer cela. Il en doutait fortement, mais il pouvait bien faire un effort pour son amie. Il hocha vaguement la tête, un sourire amusé étirant ses fines lèvres. Elle avait beau dire n’importe quoi, elle arrivait toujours à le faire sourire.

Puis, alors que l’amusement ne faisait que commencer, ils dérapèrent brusquement sur un sujet bien plus sérieux. Lorsqu’elle lui avait avoué son nouveau statut de femme mariée, le jeune homme n’avait pu se retenir d’arquer ses sourcils brusquement. Pourtant, il avait conservé son calme… au début. Il s’était contenté de l’observer quelques instants, cherchant le moindre signe de plaisanterie. Certes, elle abordait un grand sourire, mais ce n’était pas signe que c’était une blague. Finalement, il osa presque croire que c’était vrai. Ses paroles eurent l’effet de blesser la jeune femme, il le savait. Il en était désolé, mais il ne pouvait faire autrement. Il était horripilé par le mariage et de savoir qu’elle s’était mariée si jeune, avec un jeune homme qu’elle ne connaissait certainement pas assez pour s’engager dans une telle relation… tout cela le dépassait. Puis, il vint lui-même à la conclusion que c’était avec Jorden, le jeune homme qui l’avait abordé au Starbucks pour en savoir plus sur elle. Enfin, il le savait déjà, il lui avait dit, mais il avait cru espéré que ce n’était qu’une vilaine plaisanterie simplement pour apprendre plus sur son amie dans le but de la séduire. Cette idée ne l’avait pas dérangée. Mais qu’il soit réellement marié avec elle était une idée qui vint le démanger jusqu’au plus profond de son être. Encore une fois, le Perkins savait pertinemment que ses mots blesseraient la jeune femme, mais il ne put se retenir. Elle fut d’ailleurs surprise de savoir qu’il le connaissait. Certes, ils ne s’étaient pas présentés en sa présence, mais il savait qu’elle avait parlé de lui à Jorden et de son côté… il avait rencontré le jeune homme. Il détourna brièvement le regard, observant le mur qui lui faisait face. « Oui, on s’est rencontré brièvement, au Starbucks. » Theodore ne voulait pas en révéler plus. Il ne voulait pas qu’elle sache qu’il avait fait une enquête sur elle. Dieu sait comment cela se terminerait. Il ne voulait pas être mêlé à leurs histoires et si elle posait des questions sur leur rencontre, il y serait inévitablement mêlé. C’était hors de question. Heureusement pour lui, le sujet dévia rapidement lorsqu’elle tenta de justifier. Un sentiment vint le prendre à la gorge. Ce n’était pas de la colère, non. C’était, bien pire que cela. Il ne pouvait pas se l’expliquer. Un mélange d’effarement, de choc, de désespoir, d’incompréhension, entre autres. Il ne pouvait tout simplement arriver à comprendre ce qui lui avait passé par la tête. Il se doutait que cela s’était passé à Vegas, ça ne pouvait pas s’être passé autrement. Theodore était prêt à parier qu’ils avaient trop bu et que la soirée s’était terminée à l’église. Le cliché était tout simplement ridicule. C’était inconcevable. De plus, elle ne s’était pas séparée de lui, bien qu’elle osait clamer que cela n’avait pas d’importance. Elle mentait et il ne le savait que trop bien. Puis, le jeune homme se leva brusquement et passa une main sur son visage et la glissa ensuite dans ses cheveux. Il s’éloigna d’elle vers un autre coin du salon. « Je ne comprends pas, Marni ! Qu’est-ce qui s’est passé, explique moi ! Comment as-tu pu te marier ? C’est ridicule ! Tu le connais à peine ce Jorden. Et ne me fais pas à croire que c’est sans importance, sinon tu serais déjà séparée de lui. » Puis, elle enchaîna d’un ton plus blasé, lui disant qu’il allait l’énerver. Ce fut la goûte qui fit déborder le vase. Son calme s’envola au loin, comme si une tempête l’avait frappé de plein fouet. Il se retourna brusquement vers elle, le regard en feu. « Je vais t’énerver ? Et tu crois que tu ne m’énerve pas, toi ? Venir m’avouer que tu t’es mariée, comme ça, d’un ton si désinvolte. Pourquoi tu ne me l’as pas dit plus tôt ? » C’était seulement maintenant qu’il comprenait pourquoi elle ne l’avait pas revue depuis si longtemps. Elle ne voulait pas lui avouer qu’elle s’était mariée. Il trouvait ridicule et blessante l’idée qu’elle lui ait cachée un truc pareil. Oui, il ne pouvait plus le nier… il était blessé. Theodore détourna rapidement le regard d’elle et lui tourna le dos quelques instants, ne voulant pas qu’elle remarque à quel point il était blessé. Il ne montrait pas ses sentiments. À personne, ni même à Marni. Il n’aimait pas cela et il n’était pas habitué à le faire. Theodore avait toujours été ainsi, préservant le secret de ses sentiments et de ses pensées au plus profond de lui-même, accumulant une tonne d’émotions diverses et de pensées sombres de son côté du mur qu’il avait érigé entre lui et les autres.

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MessageSujet: Re: « On est des sous-produits d’un mode de vie devenu une obsession. » MARNI-LAY&THEODORE « On est des sous-produits d’un mode de vie devenu une obsession. » MARNI-LAY&THEODORE EmptyMer 29 Mai - 14:43

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installe toi, fait comme chez toi « On est des sous-produits d’un mode de vie devenu une obsession. » MARNI-LAY&THEODORE 277800 MARNI-LAY. STEVENSEN & THEODORE O. PERKINS-ZARAN " Oui, on s'est rencontré brièvement, au starbucks " pardon ? je fus surprise. Il est vrai que j'avais parlé à Jorden de Théodore mais j'étais loin de me douter qu'ils avaient véritablement fait connaissance. Quelques choses me disaient que Théodore était blasée par cette situation que j'avais encore du mal à gérer mais à laquelle je m'habituais tranquillement. J'avais envie de savoir ce qu'il s'était passer entre Jorden et Théodore, savoir de quoi ils avaient parlé mais après tout ce n'était peut-être pas le moment approprié puisque Théodore ne semblait pas vouloir oublier ce qu'elle lui avait annoncer. Il semblait plutôt résigner à comprendre mon acte de folie, à vrai dire je n'avais aucune explication. Je savais juste que l'alcool et la drogue ne faisaient pas bon ménage. J'en étais maintenant parfaitement consciente. Mon regard se posa sur le jeune tout à coup stressé, mal à laisse, déstabilise par ses paroles. Il se leva brusquement et passa une main sur son visage. J'étais carrément déstabilisée par son comportement soudain et vraiment démesure : " Je ne comprends pas, Marni ! Qu'est-ce qui s'est passé, explique moi ! Comment as-tu pu te marier ? c'est ridicule ! Tu le connais à peine ce Jorden. Et ne me fais pas croire que c'est sans importance, sinon tu serais déjà séparée de lui ". Je fronçais les sourcils, nooooooon mais j'hallucinais j'avais l'impression d'avoir à faire à mon père. Mon père aurait eu la même réaction, je me serais même peut-être pris une gifle. Il m'énervait, ma joie s'était évaporée en quelques secondes. Je ne manquais pas de lui dire qu'il m'énervait. J'avais envie d'oublier mais son comportement me disait clairement qu'il n'avait pas envie d'oublier. Il se retourna brusquement, énerver lui aussi. Je pouvais le voir dans ses yeux. Mes yeux se fronçait d'avantage. " Je vais t'énerver ? Et tu crois que tu ne m'énerve pas, toi ? Venir m'avouer que tu t'es mariée, comme ça, d'un ton si désinvolte. Pourquoi tu ne me l'as pas dit plus tôt ? ". RAAAAAAAAh qu'es qu'il pouvait être casse pied quand il commençait. Je me mis debout moi aussi et le rejoignais. Il voulait parler et bien on allait parler. " Tu veux savoir ? Et bien j'étais ivre, j'avais pris de la drogue et j'étais avec ce garçon et on s'est marié. Il n'y a pas d'explication à part qu'il me plait ! Et arrête de faire ce regard j'ai l'impression d'être juger là et j'ai vraiment pas besoin de ça " Jorden me plaisait beaucoup et à Végas il s'était montré super. Il est vrai que j'adorais Théodore, il faisait partie des personnes en qui j'avais le plus confiance et pourtant j'avais tout prévu. Je savais pertinemment qu'il allait mal réagir en sachant que j'étais mariée. Néanmoins, j'étais tout de même bien loin du compte. Toujours autant énervé, je le vis se tourner pour me faire dos. Je soupirais et finis alors par me mettre devant lui afin qu'il puisse me voir : " Je n'ai pas voulu te le dire, parce que je suis pas fière de cela et sa même si Jorden me plait beaucoup. Et je savais pertinemment que tu allais mal le prendre..." J'essayais d'avoir un ton plus doux et finis par dire à nouveau : " et puis j'avais peur que tu ne me vois plus pareil... " Il ne semblait pas encore résigner à me regarder. Qu'il pouvait être têtu lui aussi quand il s'y mettait. Je me mis à soupirer de plus belle et décida de regagner mon fauteuil, un peu vexer par cet absence.
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MessageSujet: Re: « On est des sous-produits d’un mode de vie devenu une obsession. » MARNI-LAY&THEODORE « On est des sous-produits d’un mode de vie devenu une obsession. » MARNI-LAY&THEODORE EmptyMar 4 Juin - 1:38

Theodore comprit immédiatement qu’il avait peut-être commit une erreur. Il n’aurait pas du faire mention aussi clairement de sa rencontre avec Jorden. Certes, elle avait été longue et pénible, et très instructive pour Jorden, mais il ne voyait pas l’importante d’en faire mention. Il avait fait enquête sur elle pour pouvoir mieux la saisir dans ses filets malsains. Il n’était qu’un de ces chasseurs de plus. Chasseur était le terme qu’il avait donné à tous ces hommes qui courraient après Marni sous prétexte d’être en amour avec elle, mais tout ce qu’ils voulaient, c’était la mettre dans leur lit. Évidemment, cela n’avait rien pour déplaire à la jeune femme, elle était du genre à aimer s’amuser et non s’engager, mais il était possessif et il n’aimait pas partager Marni, bien qu’ils ne partageaient aucune relation amoureuse ni sexuelle. Il s’en foutait, tout ce qu’il voulait, c’était avoir Marni pour lui seul. Ayant été seul toute sa vie, avoir une telle relation privilégiée avec la Stevensen le forçait à se montrer possessif. Enfin, c’était ce qu’il aimait se faire croire, mais Theodore savait pertinemment que ce n’était qu’un de ses nombreux défauts, la possessivité. Lorsqu’il revint les deux pieds sur terre, Marni le regardait d’un air étrange. D’accord, il avait définitivement commit une grave erreur. Soudainement, il eut peur qu’elle fasse enquête sur leur rencontre, mais elle se mura dans un silence encore plus inquiétant que son air. Elle n’était pas du genre silencieuse, mais plutôt bruyante et à exprimer son opinion haut et fort, peu importe les conséquences. Il était plus qu’étrange qu’elle garde le silence ainsi. C’est ainsi qu’il comprit que ce n’était que le calme avant la tempête. Lorsque son regard océan croisa celui de la jeune femme, il comprit que le pire était encore à venir. Son silence, comparé à ce qui se profilait à l’horizon, était la paix, le paradis. Puis, soudainement, elle éclata. Elle débita toutes ses paroles comme si elle voulait se justifier, comme si elle n’avait parlé de cela à personne avant et que cela devait sortir… maintenant. Theodore comprit que bien qu’il ait été prévenu tard de son mariage, il était le premier avec qui elle en parlait honnêtement. Ou peut-être était-elle simplement très en colère contre lui. Peut-être avait-elle cru qu’il était sincèrement dégoûté par elle. Mais il n’était pas dégoûté par elle, mais dégoûté par le fait que ce Jorden ait osé la marier et ne l’ait pas empêché de faire une telle connerie et que maintenant… il profitait de la situation. Intérieurement, la colère était sourde et le jeune anglais mettait tout en œuvre pour la contrôler. La tempête était proche aussi de son côté. Il ne pourrait pas se retenir bien longtemps.

Puis, le silence revint dans l’appartement. Le Perkins prit le temps de se murer dans son propre silence, se plongeant dans ses pensées. Elle avait mélangé drogue et alcool, à Vegas certainement, il ne pouvait en être autrement, et elle avait marié le garçon qui l’accompagnait. Et ce garçon lui plaisait. Et elle se sentait jugée. Pour la deuxième fois de la soirée, il se passa une main sur le visage. Elle avait fait le tour de lui pour se présenter face à lui. Il abaissa son regard sur elle, sa colère s’étant adoucie. « Je ne te juge pas. Je suis… inquiet, voilà tout. Je ne veux pas que tu souffres. » Il n’arrivait pas à croire qu’il avait dit ça. Il avait exprimé ses sentiments, le plus simplement du monde. Jamais il ne faisait cela, il détestait faire cela. Et à ce moment, il se détesta de l’avoir fait. Même avec Marni il n’aimait pas montrer ses failles. Il lui tourna le dos à nouveau et s’éloigna en direction du canapé. Il s’y assied, posa les coudes sur ses genoux et enfoui son visage dans ses mains. Il souffla doucement, prenant le temps de se calmer. Lorsqu’elle brisa le silence à nouveau, ses paroles lui déchirèrent le cœur. Elle savait pertinemment qu’il allait mal le prendre. Certes, elle le connaissait bien, c’était normal. Mais lorsqu’elle lui avoua qu’elle avait peur qu’il ne la voit plus pareil, il se sentit… blessé. Jamais il ne se sentait comme cela. Écartant son visage de ses mains, il leva son regard troublé dans celui de son amie. Il n’aimait pas se sentir aussi déstabilisé, mais il flancha pour l’honnêteté, bien que ce fut dur. « Marni je ne pourrais pas te juger ou te renier pour une connerie comme ça. Je sais que je ne suis pas très clair, mais quand est-ce que tu vas comprendre que tu es important pour moi ? J’ai… » Il coupa net son discours, posant chaque mot qu’il allait prononcer. Il ne lui avait jamais dit clairement ce qu’il pensait d’elle, mais aujourd’hui, il n’avait pas le choix. Pour tenter de chasser la tempête et pour la rassurer. Theodore se releva et parcouru la distance qui les séparaient l’un de l’autre. Il glissa doucement ses mains sur les joues de la Stevensen et plongea son regard dans le sien. Le silence persista quelques secondes et sachant très bien qu’il devait finir sa phrase, il se lança, déjà prêt à regretter ses paroles, sachant très bien que les sentiments étaient une mauvaise chose et qu’il aurait du garder cela pour lui, comme il l’avait toujours fait pour tout. « J’ai besoin de toi. » Contre son gré, sa voix s’était brisée alors qu’il prononçait ses dernières paroles. Et alors, ce fut la tente. Il se surprit à trembler. D’impatience ou de peur, il n’aurait su le dire. Un mélange des deux. Impatient de connaître sa réaction… mais tout autant effrayé de la connaître. Peut-être allait-elle simplement se moquer de lui. Peut-être allait-elle fuir, ne comprenant pas ce besoin qu’il avait de se rattacher à une personne. Il avait besoin d’une bouée. Il se noyait depuis tant d’années dans une souffrance qu’il terrait depuis si longtemps. Il se sentait brisé et déchiré depuis la mort de Rueben. Il n’en avait jamais parlé à personne. Et à présent, il se tenait là, dans le salon de Marni, à lui avouer qu’il avait besoin d’elle d’une voix si faible et d’un regard si effrayé qu’elle ne pourrait ignorer qu’il y avait autre chose derrière tout cela, qu’il cachait un terrible secret. Et c’est ainsi que s’annonçait certainement leur dernière soirée ensemble. Si elle lui forçait à raconter son histoire, elle ne voudrait plus jamais lui adresser la parole. Il avait laissé mourir son propre frère sans rien faire. Il était un monstre, voilà ce qu’il était.

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