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« ohana » signifie famille, famille signifie que personne ne doit être abandonné, ni oublié. (gclc&mri)

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MessageSujet: « ohana » signifie famille, famille signifie que personne ne doit être abandonné, ni oublié. (gclc&mri) « ohana » signifie famille, famille signifie que personne ne doit être abandonné, ni oublié. (gclc&mri) EmptyJeu 13 Déc - 16:23



❝ Quand ça fait mal faut pas que ça dure. C’est comme quand on arrache un pansement, faut le faire d’un coup. On serre les dents et c’est fini. Ce n'est qu'après cela que l'on se sent mieux, que l'on se sent bien.. Que l'on se sent revivre ❞ gaël L.C


2018 ;; FRANCE. L'anneau roulant entre mes doigts, je me replongeais dans les dires de ma fiancée, ou plutôt ex fiancée désormais, non sans une pointe d'amertume et de tristesse. Voilà quelques jours désormais que je me cloitrais dans la maison familiale Levy-Carcenac, noyant ainsi mon chagrin d'amour dans la chaleur enivrante de mon enfance. Ma chambre d'enfant, transformée en chambre d'ado puis en chambre de jeune homme se montrait tel le plus beau des havre de paix. Ici, tout le monde me foutait la paix. Ou presque. Mon frère et ma sœur s'entêtait à venir me rendre visite, cherchant à apaiser mes maux et à me sortir de mon état semi-dépressif. Cadence n'oubliait pas d'attribuer à Francesca toute sorte de noms d'oiseaux pour la qualifier, me certifiant qu'elle n'avait rien d'une future Levy-Carcenac et mieux fallait que je l'oublie. Au téléphone, Micah me rappelait à quel point elle avait toujours considéré sa belle-soeur comme étant la pire des sorcières. Mais aucuns de leurs témoignages ne pouvaient m'apaiser. Au contraire. J'aurai juste préféré qu'ils se taisent tous et cessent de rabaisser la femme dont j'étais fou amoureux, et qui m'avait planté à quelques mois seulement de notre mariage. Je m'amusais à jouer avec la bague de fiançailles de Francesca, rendue par cette dernière à notre rupture, sans bouger de mon canapé. Nouvelle journée à rester enfermé chez moi, nouvelle journée à déprimer nouvelle journée à me complaire dans ma mélancolie. La seule femme que je n'avais jamais aimé venait de me quitter et plus rien n'avait d'importance. Je me foutais de trouver un nouveau sens à ma vie. Je me foutais d'avancer. Je me foutais de tout et de tous. Je priais seulement pour que Francesca me revienne. Ce n'était qu'une mauvaise passe, elle allait revenir, me revenir, j'en étais certain. C'était normal d'avoir des doutes avant un mariage, tous les mariés se posaient la question avant le jour fatidique. Fais-je vraiment le bon choix ? Francesca souhaitait avoir un temps de réflexion et que pouvais-je faire d'autre que de le lui accorder ? Je me persuadais qu'elle me reviendrait et que nous finirions par nous marier. Je me complaisais dans mon utopie et me berçait par l'illusion d'un futur heureux avec mon italienne.

Quelques jours plus tard. « Elle ne reviendra pas Gaël. Alors arrête de croire n'importe quoi et vient me rejoindre. Léo serait ravi que son parrain vienne le voir. Allez Gaël, fais tes valises, on t'attend. Et c'est pas négociable ». Je soupirai avant de raccrocher. Les mots de Meleya ne cessaient de tournoyer dans mon esprit. Elle ne reviendra pas. Elle ne reviendra pas. Il fallait que je m'y fasse et que je l'accepte. Mais comment ? J'hésitai à m'envoler pour la Bulgarie, lieu de résidence de ma meilleure amie. Bien que visiblement, elle ne m'en ai pas donné le choix. Il était vrai que mon filleul et Meleya me manquaient énormément. Et peut-être était-ce l'occasion d'aller les voir. Puisque d'ordinaire je n'en avais pas vraiment le temps. Mais maintenant que Francesca n'était plus là et que je me retrouvais seul, en arrêt de travail pour encore quelques temps, qu'est-ce qui me retenait ici après tout ? Pas grand chose, à part quelques amis par-ci, par-là, ma famille. Mais ils comprendraient surement mon envie d'évasion et je savais que ma sœur et mon frère me pousseraient à m'éloigner de cet endroit et de tous les souvenirs qui s'y renfermaient. Souvenirs partagés avec mon ex fiancée. J'attrapai mon cellulaire d'une main et écrivit un texto destinée à ma meilleure amie « Ok je viens. J'arriverai demain matin. ». Valises, réservation de billets d'avion, cadeaux pour mon filleul, cadeaux pour Meleya, tant d'occupations qui m'accaparèrent l'esprit jusqu'au lendemain, jour du départ pour la Bulgarie. J'avais pris le soin d'informer mes plus proches amis, Cadence, Gaulthier et mes parents de mon imminent voyage et je me laissai transporter par ce voyage dans les terres froides de la Bulgarie. Pays d'une personne chère à mon cœur, chez qui la convalescence de mon cœur brisé n'en serait que plus appréciable.

BULGARIE. « Air France vous remercie d'avoir choisi sa compagnie pour votre vol et vous souhaite une bonne journée ». Encore assis sur mon siège, j'attendais que la foule se dissipe et sorte de l'avion avant de m'engager à mon tour dans le couloir me rendant à la salle de récupération des bagages. Après quelques heures de vol, Bulgarie, I'm here. Je sortis de l'avion après tout le monde, récupérai mes bagages et me dirigeai vers la sortie de l'aéroport où je pensais que Meleya m'attendrait. Mais ma surprise fut grande lorsque j'aperçus mon nom sur une petite pancarte, tenu par un des hommes de ma meilleure amie. Je me présentai à lui et le saluai. « Monsieur Levy-Carcenac, Mademoiselle Ivanova n'a pu faire le déplacement, une réunion la retenant. C'est moi qui vais vous amener sur place. Sa réunion devrait en être terminé quand nous arriverions chez votre amie ». Je le remerciai et le suivit, avant de prendre place à l'arrière de la voiture. Je laissais mes saphirs azurs se promener sur le paysage, non des plus désagréable. J'aimais ce pays et l'ambiance qui y régnait. Mais je saurais expliquer pourquoi mais je me sentais apaiser ici. Comme si une sorte de bien-être intérieure s'installait. Il ne fallu pas longtemps pour rejoindre la résidence de Meleya, aussi voir plus grandiose que la résidence Levy-Carcenac, je devais bien l'avouer. A peine eus-je mis les pieds en dehors de la voiture qu'une petite voix se fit entendre. « Tontoooooon ! ». Je rattrapai Léo au vol, une fois le bonhomme arriver à ma hauteur, en le serrant le plus fort que je le pouvais. Mon filleul, mon petit Léo à moi. Meleya n'avait pas choisi ce prénom au hasard. Je m'appelais Gaël Charles Léo Franck. Et mon filleul s'appelait Léo, la base. « Ca va minimoys ? ». Je le vis faire la moue lorsque je prononçais le « minimoys » et je ne pus réprimer un rire. Il grandissait chaque jour un peu plus. « Bon tu m'emmènes voir maman ? ». Je le reposai à terre et tiré par la main, je suivis mon filleul qui prenait son rôle très au sérieux. Mais à peine nous eumes le temps d'arriver jusqu'au perron que Meleya sortit et vint m'accueillir à bras ouverts. Je fermai les yeux, la serrant contre moi. Elle aussi m'avait manqué. « Ma plus belle ». Je lui déposai un baiser sur la joue avant de lui sourire. « Alors comme ça on a une réunion tellement importante qu'elle empêche de venir chercher son meilleur ami à l'aéroport ? ». Je fis mine de bouder quelques secondes avant de lui sourire à nouveau. Ca va, joke, je plaisante Meleya, fais pas cette tête. Je l'aime bien moi ton chauffeur. « Plus sérieusement, merci pour l'invitation. Et je suis heureux d'être ici et de vous retrouver ». Nouvelle accolade avant d'ébouriffer les cheveux de Léo, rester à mes côtés. « Vous m'avez manqué ». True story. Mais genre, vraiment quoi.
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June D. J. Martin
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June D. J. Martin
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MessageSujet: Re: « ohana » signifie famille, famille signifie que personne ne doit être abandonné, ni oublié. (gclc&mri) « ohana » signifie famille, famille signifie que personne ne doit être abandonné, ni oublié. (gclc&mri) EmptySam 22 Déc - 1:05


3 words, 8 letters, say it and I’m yours.
Parfois je pense qu’on gâche nos mots et qu’on gâche nos moments. Et qu’on ne prend pas le temps de dire les choses qui nous tiennent à cœur quand on en a l’occasion. The greatest thing you’ll ever learn is just to love and be loved in return. Si vous cherchez bien, j’ai la désagréable impression que vous constaterez qu’en définitive, nous sommes cernés par l’amour. Meleya Ivanova-Fletcher & Gaël Levy-Carcenac


    « Madame Ivanova-Fletcher? Vous avez un rendez vous à quinze heure au palais pour signer un contrat de nationalisation. Votre sœur étant en déplacement en Amérique du Sud, il lui est impossible de s'en occuper. » Merci de me rappeler ce rendez vous, je m'apprêtais justement à partir pour l'aéroport, récupérer mon meilleur ami que je n'avais pas vu depuis des lustres et qui surtout, en avait plus besoin que jamais. Merci beaucoup Irina. Mais bien sur, j'étais beaucoup trop douce et gentille pour pouvoir lui dire la vérité et lui faire la moindre remarque acerbe. Aussi, j'acquiesçais docilement aux paroles de mon assistante, un petit sourire triste affiché sur le visage. « Très bien faites préparer ma voiture, je pars dans la minute qui suit alors. Je n'ai que peu de temps à perdre aujourd'hui. D'ailleurs, à ce propos, il serait très utile de faire préparer une voiture pour monsieur Levy-Carcenac s'il vous plait. » Je me tus quelques instants, replongeant mon regard dans l'infâme tas de paperasse qui se dessinait sous mes yeux avant de me rendre compte que ma secrétaire me dévisageait d'un air incrédule. Je pris alors un instant pour réfléchir aux paroles que j'avais bien pu prononcer, et je m'aperçus que j'avais prononcé le nom de Levy-Carcenac, sans avoir précisé duquel il s'agissait. Cela prêtait bien entendu à confusion puisque l'un était mon meilleur ami, l'autre mon ex mari. J'avais rencontré le premier, sans même avoir fait le lien de la relation qui le liait au second. Gaulthier était mon fiancé de naissance, paquet cadeau bien caché de ma nouvelle identité, alors que Gaël était celui que j'avais choisi, le meilleur ami dont j'avais toujours rêvé. J'avais fini par succomber aux charmes de Gaulthier, et notre mariage avait été conclu au début de l'année scolaire deux mille douze, deux mille treize. Gaël avait bien entendu été présent au mariage, en bon meilleur ami qui se doit et bien évidemment, en bon frère qui se respecte. Au bout de quelques mois cependant, nous avions rapidement montré des signes de colère répétitives, de disputes incessantes, et petit à petit, nous nous étions éloignés, signe que ce qui nous unissait n'était pas réellement de l'amour mais plutôt une profonde attache sentimentale. L'annulation de mariage ou divorce selon les Etats, avait rapidement été établi, et nous avions repris la liberté qui nous était du. J'avais plus d'une fois recroisé sa route, mais je n'avais plus jamais pensé à lui de cette manière là. « Gaël. Gaël Levy-Carcenac. Mon meilleur ami. Ce Levy Carcenac, pas l'autre évidemment.» Précisai-je à l'encontre de ma secrétaire, afin d'éviter tout quiproquo. Cloturant la conversation avec la fermeture sèche du livre trônant sur mon bureau, je me levais, attrapais mes affaires et pris la direction de la voiture qui m'attendait à l'entrée de ma maison. Mais sur le chemin, je fus percuté par une mini tornade, répondant au doux nom de Léo, mon fils, et filleul de Gaël. « Mamaaaan, l'arrive quand tonton? Et pourquoi tu t'en vas? Tu veux pas voir tontoooon?» Je regardais mon fils avec une infinie tendresse, avant de passer délicatement ma main dans sa douce chevelure brune. « J'ai des papiers à signer au palais mon chéri, mais tonton arrivera avant moi. Tu seras là pour l'accueillir toi n'est-ce pas? Tu vas lui faire un énorme câlin pas vrai?» Le hochement de tête de mon fils me signifia qu'il avait bien compris et qu'il était prêt à répondre correctement à ma demande. Je finis par grimper dans la voiture, et posais ma tête contre la fenêtre, laissant mon esprit divaguer, quelques semaines plus tôt. Je me revoyais encore dans mon bureau, assise sous la baie vitrée, au téléphone avec Gaël, tentant de le consoler et de lui faire entendre raison. Il était persuadé que sa chère Francesca lui reviendrait la bouche en cœur, une excuse bidon toute prête pour faire accepter son erreur. Mais je ne me leurrais pas un instant. Francesca était une Da Volpedo, elle était vil et sans cœur, ne pensant qu'à sa petite personne et sa fille. « Elle ne reviendra pas Gaël. Alors arrête de croire n'importe quoi et vient me rejoindre. Léo serait ravi que son parrain vienne le voir. Allez Gaël, fais tes valises, on t'attend. Et c'est pas négociable » Voilà les mots exacts que j'avais prononcé à mon meilleur ami lorsqu'il m'avait appelé, désespéré à l'idée que sa fiancée ne lui revienne plus jamais. J'avais été ferme et sèche envers lui, mais il m'était venue à l'esprit que c'était là bien la seule chose à faire pour que Gaël réagisse et percute que jamais sa Da Volpedo ne lui reviendrait et serait entièrement sienne. Apparemment, les paroles que je lui avais tenue, avait eu l'effet escompté puisqu'il avait accepté de me rejoindre en Bulgarie, et une semaine plus tard, j'envoyais donc une voiture chercher mon meilleur ami à l'aéroport, pendant que je me rendais au palais pour signer les papiers de la nationalisation. Parfois, je devais bien admettre que la vie de politicienne était difficile et n'avait pas que des bons côtés.

    Une heure plus tard, je quittais enfin le palais, à la fois éreintée et excitée à l'idée d'avoir fini cette réunion et donc de retrouver mon gaya. Cela n'avait duré que peu de temps, pour mon plus grand plaisir d'ailleurs. Installée confortablement dans le siège arrière, j'appuyais mon front contre la vitre, priant pour que je ne tarde pas arriver à la maison. « Erton, accélérez je vous prie. J'ai des invités importants qui m'attendent. » Ordonnai-je d'un ton emprunt de force. Je trépignais d'impatience, au point d'avoir la sensation de redevenir une petite fille désireuse d'ouvrir son cadeau au matin de Noël, bien que je n'ai jamais eu le plaisir de vivre un tel moment unique. Erton avait du accélérer la cadence puisqu'au lieu de la demi heure habituelle pour atteindre la maison, j'arrivais au bout d'un tout petit quart d'heure, ce qui me permit d'apercevoir Gaël, Léo dans ses bras, un sourire affiché et grandissant à mesure qu'il me voyait venir. Je sortis de la voiture et me mis presque à courir en direction des deux hommes ayant une si grande importance dans ma vie. Gaël posa mon fils par terre et s'enquit de me prendre à mon tour dans ses bras. Je le serrais moi aussi fort et humais son parfum, doux parfum qui m'avait énormément manqué. « Mon dieu tu n'imagines pas à quel point tu m'as manqué! Et crois moi, je me serai bien passée de cette réunion. Plus ennuyante que celle-ci tu meurs. Mais comme Aurea est au Brésil pour le moment, je n'avais pas le choix que de m'occuper de cette mission.» Je l'intimais d'entrer dans la maison. Parler assis sur un canapé était bien plus agréable que sur le perron de la maison. « C'est avec plaisir que je t'ai invité tu le sais! Et puis il était temps que tu viennes nous voir ici, ça fait des lustres que je te le propose! Et puis tu connais Léo, et tonton par-ci, et tonton par là. Au bout d'un moment, il fallait que tonton soit là. » Répliquai-je un petit sourire en coin à l'intention de mon fils. Enfin posés dans le canapé, Gaël m'avoua que nous lui avions manqué. Je n'en doutais pas un instant tant lui aussi m'avait manqué. C'était fou comme sa présence avait une influence sur moi et comment dès qu'il était présent, je me sentais plus vivante que jamais. Léo sur les genoux de Gaël, je profitais de la situation pour appeler la gouvernante et lui demandais de nous apporter de quoi faire un bon petit goûter. « Une petite collation avant le repas ça vous convient? » Proposai-je avec un sourire, connaissant pertinemment la réponse d'avance des deux hommes se trouvant devant moi. La Gouvernante revint quelques instants plus tard, un plateau plein de cookies et de verres de lait. Elle s'empressa de prendre Léo avec elle et de l'emmener à la douche. Elle avait compris que j'avais besoin de passer un moment seul en compagnie de mon meilleur ami. « Bon alors maintenant que nous sommes seuls, dis moi tout. Comment tu te sens Gaël? Tu tiens le coup??»
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MessageSujet: Re: « ohana » signifie famille, famille signifie que personne ne doit être abandonné, ni oublié. (gclc&mri) « ohana » signifie famille, famille signifie que personne ne doit être abandonné, ni oublié. (gclc&mri) EmptyLun 18 Fév - 21:09

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