••Ivre. Voila en quoi résumer mon état actuelle. C’est dans ce début d’après-midi, accompagnée d’une bonne amie, Nastassia, qu`’on profitait de ce temps libre pour enivrer nos sens avec notre accompagnatrice du jour, la téquila. Bizarre dans cette période de journée mais pourtant indispensable pour nous. Et laquelle de nous deux avait eux cette brillante idée ? Je sens déjà les flèche se pointé vers moi, mais pour cette et uniquement cette fois, ce n’était pas moi la fautive de ce plan, qui je trouve tout a fait génial. Ces jours-ci, mes journée était monotone et toujours se même train-train habituelle chiant. Moi qui est pourtant si familière a cette routine, je voulais faire une chose me faisant monter mon taux d’adrénaline qui sommeil en moi depuis fort longtemps. Et pourtant j’étais une expérimentatrice en gymnastique qui n’a rien d’une chose facile à faire. Mais je n’avais pas se sentiment de satisfaction en moi. Aussi étrange que cela puisse paraitre, je n’avais pas eu cette idée , un idée loufoque mais tout de même extra, de monter mon taux d’alcoolémie d’aussi bonne heure. Connaissant bien le peux de contrôle que j’avais avec ma bouche quand ma consciences est sous le bien effet de la téquila, disons que certaine chose personnelle et surtout secrète, sort sans gène, affichant publiquement tous se qui me tracassait ou encore tous se qui devait depuis à se jour , confidentiel. Et c’est de se méli-mélo qu’une idée surgit en moi. Je ne garantie rien des conséquences et encore moins dans quelle position nous nous retrouverons, mais bon, autant continuer dans cet état d’esprit que me rétracté et regretter plus tard. D’une mine sérieuse, je me retournais vers mon amie. « Nas’ il faut que je te dise quelque chose. » Les joues rosies par l’effet de l’alcool, et un sourire scotché aux lèvres elle se tourne vers moi avant d’afficher la même expression un peu défaillante. « J’ai un truc terrible à te dire mais je ne peux pas le faire ici tu comprends, il faut absolument que dieu aussi le sache, c'est pourqoi on doit se rendre maintenant a l'église. » débitais-je maladroitement mais j’en suis sûre qu’elle n’avait pas perdu une miette. « Bon aller on bouge. » je fouillais dans mon sac à main pour sortir le total de notre consommation avant de tirer Nastassia par la main avec un peu de résistance. « Bouge tes fesses Nas’. On doit y être le plus vite possible. »Dis-je s’un ton presser. Croyais-je vraiment que j’allais arriver avec une fille aussi bourrer que Nas’ à marcher correctement, ayant moi-même abuser sur la téquila en rajoutant ma légendaire maladresse. Nul besoin de prédiction que tous deux allons trébucher d’un moment à l’autre. Et c’est seulement en me retrouvant allonger au sol, Nastassia riant de tout ses tripes sur moi, que je pris conscience de ce qui c’était passer. D’un élan de compassion, deux clients nous releva avec gentillesse et s’assurèrent si tout allais bien. C’est en voyant nos têtes qu’ils comprirent que la situation nous amusait plus qu’on était d’avoir eu quelque compte blessure. Après une bonne partie de plaisanterie, je repris un faux-semblant d’air grave et fit taire d’un mouvement Nas’ . « Aller copilote, quand il faut y aller, il faut y aller ! » dis-je avec bravoure l’entrainant, cette fois-ci sans anicroche, a l’extérieur du bar.

••« Adééé chérie, les cours me gonflent, je suis fatiguée de réviser et d'écouter les cours. On sèche, et on s'prend une petite cuite, ça te va ? » Comment ne pas être d’accord avec elle? J’adore aller en cour mais ces jours-ci, je ne trouvais plus l’envie n’y la passion d’y aller. Je crois avoir puisé le reste d’énergie en stock. Moi qui croyais vivre une année similaire de ma première, mais il ne fallait pas se faire de fausse idée. Je n’ai plus se même enthousiasme que j’avais autrefois. J’adorais toujours et encore mon domaine d’étude, et mes plans futur n’avait toujours pas changer, mais comme on dit, il arrive des changements dans la vie qui nous rends différents au jour le jour. Tout bonnement j’avais acquiescé à son idée. Ci j’étais la Adélaïde d’avant, j’aurais décliné gentiment mais surement son offre. La phase ‘’ gentille et obéissante petit étudiante qui ne fait pas l’école buissonnière ‘’ est largement passé. Non seulement aussi, j’étais accompagnée d’une fille que je connaissais moyennement. Je ne disais pas que Nastassia était une exécrable personne, loin de là, mais personnellement je préfère être avec une personne en qui j’ai confiance. Soyons réaliste, je m’étais retrouver dans d’autre situation humiliante avec Alanis qui de une, est dans une confrérie dont la relation est assez médiocre avec la mienne, et pourtant je ressortais de nos délires sans blessure mais avec une dignité un peu éraflé. Donc en y repensant, je n’avais aucune raison de ne pas faire confiance à Nastassia. Et quand je me relâchais, je le faisais sans déconner. Bonjour jolie gueule de bois que je me prendrais au matin. Et celle-là je crois qu’elle sera dure à encaisser. Mais nous n’étions pas encore rendus à cette partie de l’histoire. On y est plutôt rendu à la phase où je me ridiculise et où j’avoue sans honte mes arrières pensés. « Oh mon Dieu... Tu vas m'avouer que tu es un garçon en réalité, c'est ça ? » Au lieu de me taire et d’ignorer sa question, l’effet de l’alcool me faisait faire tout le contraire. « Nooon, en faite tu crois que je serais canon en mec ? Je me demande toujours sa fait quoi d’avoir un pénis » dis-je bêtement comme si rien n’était. « Nooon mais sérieux, ça ne peut pas attendre ? On peut y aller plus tard, j'ai pas fini mon verre là... » Je tirais sur son bras mécontent qu’elle retarde mes plans. Ah oui j’oubliais. J’ai tendance a joué au gamine quand je n’avais pas se que je voulais. Con ? Oui oui je sais, mais tel suis-je quand mon taux d’alcoolémie est à son haut niveau. « Aller on ne traine pas on y va ! » Elle se demandait surement qu’es qui pressais autant pour que cela tourne en une visité improvisé à l’église. Elle allait le savoir assez. Sous la surveillance du grand tout puissance là-haut, on était rendu à Saint-Mary sans accident ni blessure. La chance était avec nous aujourd’hui. Une mine défaite pris place sur mon visage, arrêtant mon élan et par la même occasion celui de Nastassia. Accroché a mon bras, elle ne comprenais pas le vite changement de mon état. La dernière fois que je m’étais retrouvé dans cette église était pour une toute autre raison. Et celle-là n’avait rien de gai. Je rentrais tout de même dans l’édifice et retrouvais la même euphorie qui m’avait conduit ici, oubliant pour une fois cet événement qui aurait ruiné ma journée. La cérémonie qui avait lieu fut interrompu par notre entrer. Malchance pour les futurs mariés, mais deux turbulentes allaient ruiner leur merveilleux mariage. « Ooooh Adé, regarde, tu vas pouvoir te confesser devant l'bon Dieu et ses disciples youhouuuuu ! » , j’applaudis joyeusement et on s’avança , rigolant comme deux pauvre idiots. Surpris, le prête ne bougea pas d’une miette quand Nas’ le prit pas les épaules.« Ecouuuuutez-moi touuus ! Ce mariage va devoir attendre quelques minutes parce que... Mon amie a quelque chose qui lui ronge le cœur, et elle doit le dire maintenant. Vous comprenez mon Père n'est-ce pas ? Donc, je vous prie messieurs dames, de bien vouloir écouter ce qu'Adélaïde a à dire ! » Cria mon amie assez fort pour retenir l’attention de tous. D’une mine sérieuse, je me retournais vers mon publique prête a divulgué mon secret. « Mes chers amis, je suis dans l’obligeance de vous avouer que j’ai pêché. » dis-je d’un ton solennel. « Et oui ! J’ai osée trahir dieu en faisant l’amour avant le mariage. Mais pas une seule fois ! Oh non plusieurs fois même. Le pire, c’est que j’en aie tiré du plaisir. ». C’est officiel, je venais de m’humilier devant tous de monde mécontent qu’une sotte de ma nature ait osée anéantir une journée aussi importante pour les mariées. Et vous savez quoi ? Je m’en fichais éperdument.