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Tu seras ma Rose et je serai ton Jack...

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MessageSujet: Tu seras ma Rose et je serai ton Jack... Tu seras ma Rose et je serai ton Jack... EmptyVen 16 Mar - 14:55

En sortant d'un cours de peinture, Kilian soupira et se rendit jusqu'à l'extérieur pour sortir une cigarette et se la coller entre les lèvres. Depuis la fusillade, l'ambiance à Berkeley semblait terne, étrange, démoralisée. D'ordinaire, quand les élèves traversent une période difficile, on peut compter sur les profs pour assurer des cours qui, au-delà d'être instructifs, sont au moins divertissants. Ils permettent d'échapper à un quotidien ennuyeux et parfois prenant. C'était d'ailleurs le cas pour le Breton depuis cette fusillade. Ce tragique incident n'avait pourtant rien à voir avec son moral du moment : jugez-le insensible si vous le souhaitez, mais il ne s'était pas senti traumatisé par ce qui s'était produit lors de la Saint-Valentin. Bien évidemment, il n'était pas prêt à remettre le couvert pour la prochaine fête collective qui se tiendrait à l'université, mais il n'en faisait aucun cauchemar, n'avait pas les jetons à chaque coin de couloir, ne regardait pas les fenêtres avec une envie curieuse de voir si elles étaient verrouillées, n'observait aucun élève de travers - ou pas plus que d'habitude, lui, le type insociable par excellence - et ne se sentait pas nauséeux dès qu'un bruit métallique résonnait dans une salle. Kilian était d'un naturel posé, serein et mesuré qui lui permettait d'outrepasser la moindre terreur qui pourrait le saisir. Même au cours de la fusillade, on ne l'avait pas vu paniquer, courir en hurlant avec véhémence ou quoique ce soit de ce genre. Tout ça pour dire qu'il en faudrait plus pour ébranler son mental d'acier.
Ce qui l'avait profondément blessé, c'était ce qui s'était produit au coeur de la fusillade, en compagnie de son père Logan et sa collègue Cheyenne. Deux des tireurs avaient pris le groupe à part, Logan s'était même retrouvé avec le canon d'une arme à feu sur la nuque. C'est à ce moment que ce terroriste avait lancé à voix haute qu'il était au courant que Logan avait mis Cheyenne enceinte... C'était ça qui avait littéralement abattu Kilian. Apprendre que son père avait mis une autre femme enceinte de la bouche d'un terroriste. Savoir qu'un tireur est plus au courant de la vie intime de son père plutôt que lui, son propre fils. Ecoeuré par cette nouvelle, le Sigma se sentait trahi, une fois de plus. Son paternel excellait dans l'art de le décevoir, peut-être encore davantage que dans sa carrière théâtrale. Pourtant, le jeune Breton avait fait des efforts pour tolérer son père, pour accepter ses tentatives d'approches : afin de le "remercier" de ses essais, Kilian avait même entièrement redécoré le triste appartement qu'ils partageaient tous les deux. Pendant ces quelques semaines de cohabitation père/fils, pas un seul instant son père l'avait regardé dans les yeux pour lui dire la vérité. La franchise n'était pas une de ses qualités, pas envers lui en tout cas. Kilian se fichait bien de savoir si c'était pour le protéger ou non. Il n'avait plus sept ans, il n'était plus le gosse qu'il avait abandonné par lâcheté ou désespoir à la mort de sa mère. A vingt ans, on ne veut pas des mensonges pour imaginer que la vie est rose, on veut la vérité.

Les cours devaient donc servir à se changer les idées, à ne se consacrer qu'à l'art pour se vider la tête. Mais au lieu de ça, il se retrouvait confronté à des têtes d'enterrement aussi bien chez les élèves que chez les professeurs qui semblaient parfois regarder leurs étudiants avec plus de méfiance. Comme s'ils soupçonnaient chacun d'entre eux d'être une sorte de terroriste potentiel qui pourrait braquer une arme sur eux sans prévenir au beau milieu d'un cours magistral. Ça donne la pêche, il n'y a pas à dire. Allumant sa cigarette pour en tirer une première taffe, le jeune homme s'adossa à un mur en observant le ciel de son regard bleu azur. Il devait réaliser un nu pour son prochain cours, consigne du prof. Le style était au choix de l'étudiant. Kilian était en train de réfléchir : allait-il faire quelque chose dans le mouvement d'avant-garde ? Quelque chose de plutôt conceptuel, plus complexe à saisir mais non moins intéressant à travailler ? Ou bien autre chose ? Tout dépendait de ce qu'il recherchait, de son inspiration et... s'il trouvait un modèle. Des femmes qui se mettent à nu en sa présence, Kilian en rencontrait pas mal, mais rarement dans le cadre d'un exercice universitaire. C'était plutôt pour du sport de chambre - de chambre ou ailleurs, selon l'humeur et l'inspiration. Mais des femmes qui posent sans le moindre vêtement, c'est déjà plus difficile, les artistes se devaient de creuser leur imagination.
Son portable en main, le beau brun se mordilla la lèvre inférieure en arquant un sourcil. Le nom de Vraona s'affichait dans son répertoire. Allait-il oser ou pas ? Cette jeune femme, il l'avait croisée dans un couloir et il s'était retourné d'une façon très peu discrète sur son passage. Une beauté comme celle-ci, il n'en avait vu que très rarement. La nouvelle présidente des Sigmas avait interpelé son âme d'artiste, son inspiration, son émotion de peintre... elle était rapidement devenue sa muse. Avec son accord pour un problème de droit à l'image mais surtout de respect de l'identité et de la vie privée de la jolie brune, Kilian avait déjà exécuté un bon nombre de toiles mettant Vraona en scène sous pas mal d'angles différents. Pour lui, elle était l'incarnation de la féminité, celle vers qui ses pensées se tournent dès qu'il s'agit de représenter une femme. Cependant, accepterait-elle de se mettre à nu pour l'une de ses oeuvres ? C'était peut-être beaucoup demandé.

Mais qui ne tente rien n'a rien, pas vrai ? Il lui envoya un sms pour savoir si elle était disponible pour qu'il puisse la voir. Le temps de la réponse, le jeune homme termina sa cigarette tranquillement en observant les étudiants passer devant lui. Le parc de Berkeley était véritablement splendide à cette époque, les prémisses du printemps faisaient naître des fleurs dans les arbres, entre rose et blanc, c'était une mine d'or pour n'importe quel peintre souhaitant travailler la couleur au naturel. Son portable vibra et lui offrit la réponse de Vraona : elle était dans sa chambre à la maison de leur confrérie, seule. Parfait. Il se serait mal vu la peindre totalement nue devant sa colocataire, au cas où sa muse accepterait. Car rappelons que pour le moment, Kilian n'avait pas expliqué le but de sa visite... non, un truc pareil, autant en faire la surprise. Son matériel sous le bras et son mégot écrasé, il se mit en route vers la maison de sa confrérie d'un pas rapide.
Face à la porte de la chambre, il hésita un peu avant de frapper. Si elle disait non, il allait passer pour un idiot et il avait horreur de ça. Déjà qu'il n'était guère abordable en règle générale, il n'aimait pas braquer le peu de gens avec qui il s'entendait. De plus, Vraona était une femme d'importance pour lui : jusqu'ici, malgré les femmes qu'il avait connu, aucune n'avait réussi à retenir son attention de la sorte. Et pourtant, ils n'étaient même pas intimes. C'est ce qui poussait Kilian à s'interroger assez souvent sur ce qu'il éprouvait envers la jolie brune. S'il se brouillait avec elle maintenant, il allait le regretter. Bon, quand il faut y aller... Le jeune homme frappa à la porte et attendit que Vraona lui ouvre.

"Salut, tu vas bien ?" lui dit-il lorsqu'elle parut à l'entrée. Kilian lui fit la bise en lui accordant l'un de ses rares sourires puis rentra après avoir été invité. Une chambre plutôt jolie, une chambre d'artistes en somme. Le regard bleu glace du fils Salaun courut dans la pièce jusqu'à ce qu'il dépose finalement son matériel dans un coin et qu'il croise ses bras sur son torse. Un air sérieux et fermé se dessina sur son visage. "Allez, vire tes fringues, je veux te voir toute nue." Son ton était monocorde, comme s'il lui donnait un ordre assez simple, autant que s'il lui avait demandé un café. Ses cours et son don pour l'art du théâtre et de la comédie le rendaient souvent très énigmatique et indéchiffrable pour les autres. Nul ne peut réellement se targuer de savoir ce que Kilian Salaun a en tête. En voyant l'air surpris, choqué et presque outré de la jeune femme par la demande qu'il venait de formuler, un sourire taquin et presque arrogant se dessina enfin sur ses lèvres. "Je m'explique : je dois réaliser un nu féminin pour un tableau et j'ai pensé que ma muse ferait un parfait modèle." Il s'approcha d'elle et pencha la tête sur le côté, un air séducteur et joueur sur le visage. il adorait taquiner les femmes de la sorte. Surtout Vraona, d'ailleurs. "Comment on fait ? Je te laisse te déshabiller ou je t'arrache tes vêtements ? A moins que tu ne veuilles pas, évidemment." précisa-t-il gentiment. Evidemment, il n'allait pas la forcer. Présenter les choses cachait d'ailleurs le malaise qu'avait éprouvé le Breton à lui demander quelque chose d'aussi osé même s'ils se connaissaient bien.
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MessageSujet: Re: Tu seras ma Rose et je serai ton Jack... Tu seras ma Rose et je serai ton Jack... EmptyMer 21 Mar - 14:37

Une journée tout ce qu'il y avait de plus banale pour moi jeune étudiante, profitant de cette journée de relâche, pour une fois pas de cour, pas de devoir, absolument rien ! La liberté totale, et quoi de plus plaisant que ça ? La mâtiné était passée bien rapidement. A vrai dire ayant révisé toute la soirée de la vieille et une bonne partie de la nuit , j’avais récupérée. Enfin surtout dormi, et quand j’ouvris un oeil pour la première fois mon réveil affichait déjà 12h30. Je me levai tranquillement, prit une longue douche chaude, et après une petite séance habillage-coiffure-maquillage je pris donc la décision de prendre un bon petit déjeuner pour attaquer cette journée. Ou plutôt cette après midi. Au programme détente, peut être une virée shopping, un tour à la plage ou dans le parc, un passage dans un café ... je décidai finalement d'essayer de concilier tout ça. N’oubliant pas que plus tard j’avais rendez vous avec ma petite bande de copine que j’aimais tant, incluant ma meilleure amie. Je pris mon sac à main, escarpins et sortit de la maison des sigma. Je refermai la porte derrière moi et sortit de l'université. Je passai par le parc histoire de me promener tranquillement, j’aimais les choses simples, un peu rêveuses également, j’aimais parfois me retrouver seule pour penser à tout et à rien, m'évader un peu du monde universitaire des confréries, des cours. Bien que cela ne me déplaisait pas le moins du monde, bien au contraire. J’aimais sentir le soleil brillait sur mon visage, sur mes bras et sur mes longues jambes dénudés par mon mini short, il y avait tout de même un léger vent que je sentais passer dans mes boucles brunes. Puis je marchai plus en direction du centre ville, c'était assez paradoxale mais j’appréciais tout autant cette ambiance, cette agitation qu'il y régnait. Je passai devant quelques vitrines pour faire du lèche vitrines. Cependant lèche vitrine pour moi ne consistait pas qu'à regarder, je me sentais obligée de dépenser de l'argent. Je me planta devant une boutique de chaussures, penchant légèrement la tête, j’admirai toutes. Mon regard se posa sur ses Prada bleu marine absolument fabuleuses. C'était humainement impossible de passer son chemin à présent. Comment une fille normalement constituée pouvait ne pas craquer sur ses adorables escarpins ? je rentrai dans le magasins, un sourire sur le visage, je demandai à les essayer en ma pointure. Parfaite. Elles étaient tout simplement parfaites. Je passai directement à la caisse et ressortit toute fière mon sac contenant la boîte à chaussures où se trouvaient ces petites merveilles à la main. Merde il était déjà l’heure et j’étais déjà en retard, je m’empressai d’aller a la rencontre de ma plus belle, en arrivant elle avait une mine affreuse. Depuis ce fameux jour du 14 février, elle avait une mine affreuse, et j’étais la pour l’aider, la saint valentin avait mis un sacré coup à tout le monde dans l’université, plusieurs élevé avait donc perdu la vie, et beaucoup d’autre avait été blessé, d’ailleurs Calypso avait été menacé. Si j’avais du la perdre, je ne sais pas comment j’aurais pu m’en sortir sans elle, elle était un tout pour moi, elle était celle à qui je me confiais le plus, mon double. Je me sentais mal de ne pas avoir été la se soir là, j’étais resté chez moi déprimant comme jamais car j’étais seule, si seulement pendant une minutes je m’étais douté de ce qui se passer de l’autre coté de la ville pendant que je bullé à ne rien faire chez moi. En tout cas je faisais de mon mieux pour lui venir en aide maintenant. Après deux heures a être resté auprès d’elle dans sa chambre d’étudiante, elle avait à faire, je pris donc le chemin de la sortie pour vaquer à mes occupations. Je rentrai sans faire de détours, et je posais mes affaires et m’affala dans le mini canapé que j’avais mis dans mon appartement spécial président, oui être pdc d’une confrérie avait certain avantage je veux bien l’avouer. Quelques seconde après je reçu un sms, un message d’un jeune homme que je connaissais maintenant plutôt bien, j’avais appris à le connaitre et j’avais souvent été son modèle quand le jeune homme devait dessiner ou peindre. Je m’en sentais flatté, je n’aurais pas la prétention de dire que j’étais sa muse, mais quand bien même pour ce genre de chose c’est toujours à moi qu’il faisait appel. Il me demandait s’il pouvait passer, je répondis donc positivement à sa requête et l’attendis, après une demi heure j’entendis un coup de frappe sur ma porte et je m’empressai de lui ouvrir. « On fait aller et toi ? » il me fit tranquillement la bise, et je lui souris en retour, un sourire doux et sincère. « Rêve toi d’abord, tu crois peut-être que je vais le faire la première. Et puis de toute façon non non et non mais tu te fou de moi ou quoi là ? » Je me demandais bien ce qui pouvait lui arriver au Kilian, en tout cas je n’allais certainement pas me déshabiller devant lui et encore moins demandé de cette façon. Il m’expliqua enfin la situation, amuser de voir dans quel état il m’avait mise, et je levai les yeux au ciel de manière a lui montrer mon mécontentement. « Ah ba tu vois dis comme ça, ça va tout de suite mieux, chieur. En effet il n’y a pas meilleure modèle que moi, mais chérie pour le nue maintenant va falloir payer, sort ton chéquier, j’ai justement vu un sac qui s’accorderai parfaitement a mes chaussures. » Je fis mine d’être sérieuse, m’enfin peut-être que je l’étais ? ou pas va savoir. En tout cas, je lui fis un mince sourire à la suite. « Ben le mieux c’est que tu me les arraches, tu sais bien que j’aime faire l’amour sauvagement. » Un regarde ravageur et je lançais les hostilités séductions spécial Vraona..
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MessageSujet: Re: Tu seras ma Rose et je serai ton Jack... Tu seras ma Rose et je serai ton Jack... EmptyJeu 22 Mar - 19:15

Kilian avait sensiblement froncé les sourcils à la réponse de Vraona... on fait aller ? C'est tout ? Quelques questions commencèrent à germer dans son esprit alors qu'il n'était pas spécialement du genre à trop s'en faire pour qui que ce soit en règle générale. La jeune femme avait peut-être été elle aussi une des victimes de la fusillade, que ce soit sur le plan physique ou psychologique. Étonnamment, il se serait presque inquiété. Bien vite, il chassa ces pensées de son esprit en conservant un visage neutre et indéchiffrable. Du moins aussi sérieux et renfermé qu'il pouvait l'être en règle générale. La suite fut beaucoup plus amusante. Le Breton demeura parfaitement stoïque devant son énervement croissant, s'attendant même à ce qu'elle se mette à lui taper dessus, l'éjecter de sa chambre, pourquoi pas l'insulter au passage. Quand on aime, on ne compte pas. Il avait arqué un sourcil en réponse à son invitation à se mettre lui aussi complètement nu... Ca finissait par lui prendre de moins en moins de temps de se retrouver sans la moindre fringue sur le dos avec une aussi belle femme. Bien qu'il ne soit pas extrêmement pudique, il rechignait quand même à se déshabiller comme ça, sans "ambiance" particulière ou bien s'il n'était pas sur scène dans le cadre d'un rôle spécifique. Finalement, le beau brun s'était permis de rire lorsqu'elle se fut enfin détendue. "Merci..." ajouta-t-il lorsqu'elle le qualifia adroitement de chieur. Il fit même une petite courbette en avant comme un comédien saluant son public. A ses yeux, c'était plus un compliment qu'une insulte. Il adorait réellement bousculer les autres, leur en faire voir de toutes les couleurs, aussi bien s'il s'agissait de ses amis ou de ses ennemis. Au fond, il savait que la présidente de leur confrérie appréciait ce trait de sa personnalité. Ca doit lui changer des mecs qui bavent devant sa plastique de rêve ou de tous ceux qui s'adressent à une femme avec hypocrisie et un humour plus lourdingue que jamais. La voir lever les yeux au plafond n'avait pas de prix, il la tournait en bourrique et rien que pour ça, ça valait très largement le coup d'être venu dans sa chambre. Avec ou sans tableau à la clé.

Sa prétention savamment dosée et son air de grande source d'inspiration féminine lui tira un nouveau sourire au coin des lèvres : elle avait ce charme et cette indépendance qui lui plaisaient le plus chez les femmes. Peut-être même au-delà du seul physique qu'il jugeait parfois assez superficiel, lui-même n'étant pas nécessairement un sex-symbol en puissance sans pour autant être repoussant, loin s'en faut. Elle savait ce qu'elle valait et en jouait sans en faire trop... ou si elle le faisait, c'était plus souvent par jeu. Une femme insaisissable pour quiconque n'est pas adroit d'esprit. A son tour, la jolie brune commença à s'amuser avec lui, mais ne l'avait-il pas cherchée ? Quand on commence à pousser Vraona, elle ne tarde pas à répliquer. Sa réponse lui fit hausser les sourcils... "Résumons, tu veux bien ? Tu me demandes de payer pour que tu te mettes toute nue ? Il n'y a pas un truc qui te gène ?" hasarda-t-il avec une pointe d'ironie. En effet, s'il y a bien quelque chose qu'il ne supportait pas, c'était de devoir payer pour voir une femme nue ou bien pour coucher... cela revenait à la traiter comme une simple prostituée. Il y a pourtant des jolies demoiselles en ce monde que ce concept ne dérange absolument pas, mais Kilian jugeait que c'était un manque de respect évident, n'en déplaise à tous les hommes qui mettraient des sommes faramineuses pour voir ne serait-ce qu'une poitrine généreuse leur flotter devant le nez. "Kilian Salaun n'a jamais déboursé un centime pour voir une femme en tenue d'Eve et ça ne va pas commencer aujourd'hui, miss... et puis je n'ai pas d'argent sur moi. Dans l'hypothèse où je devrais te payer, ça ne pourrait se faire qu'en nature." ajouta-t-il avec un air profondément séducteur et un regard empreint de sous-entendus tous moins catholiques que les autres. Il avança tout doucement dans sa direction, la frôlant presque comme un fauve jaugeant sa proie avant de fondre dessus avec sauvagerie. La tension qu'il entretenait l'amusait tout particulièrement. Sa bouche s'égara près de l'oreille de la jeune femme. "Et une beauté comme toi n'a pas de prix... tu vaux plus qu'un vulgaire sac." Soudain, il pencha la tête sur le côté avec un air de petit connard prétentieux et supérieur, un sourire arrogant sur les lèvres. "Ca, ma belle, ça s'appelle l'hypocrisie." Il lui fit un petit clin d'oeil avant de s'asseoir sur son lit d'une façon assez naturelle, comme s'il était chez lui. Bien sûr, il plaisantait, mais Kilian avait horreur de faire des compliments sans les accompagner d'une petite vacherie dont il avait le secret.

Comme un séducteur sur le point de partir en chasse, il lorgna le corps de Vraona qu'il avait déjà honoré de plusieurs tableaux qui faisaient mémoire dans sa collection, des représentations de la jeune femme parfois mieux exécutées que le reste de ses oeuvres. Elle était sa source d'inspiration pour ce genre de travail artistique et à bien y regarder, ce n'était pas pour rien. Plus que son corps, il voyait la femme dans son ensemble. Le fils Salaun planta ses yeux bleu azur dans les siens, ses deux armes de séduction massive comme il aimait les appeler. Son regard de glace en avait fait fondre plus d'une et il adorait jouer avec... Par ailleurs, Vraona commençait elle aussi à entrer dans la bataille et autant dire qu'elle serait difficile. Si elle acceptait de se prêter au jeu, la concentration du peintre risquait d'être mise à rude épreuve. "Tu sais, si ça ne tenait qu'à moi, tu serais déjà toute nue contre ce mur à me griffer le dos en me suppliant de t'emmener au septième ciel." Prétentieux ? Qui sait... Jouer sur des tas de registres différents pour induire son interlocutrice en erreur était un jeu des plus captivants. Il se mordillait même la lèvre inférieure avec envie, comme pour lui signifier le désir qu'elle lui inspirait. "Mais voilà, je suis venu d'abord pour le boulot, le plaisir doit malheureusement passer en second. Et puis j'imagine que ton petit ami verrait d'un mauvais oeil que je veuille combler tes envies de sexe sauvage, non ?" Il avait esquissé un petit sourire avant de s'appuyer sur son coude. Ou comment tester la vie amoureuse de Vraona en une question on ne peut plus banale amenée d'une façon, il l'espérait, assez subtile. "Alors, ça te tente d'être mon modèle ou pas ? Si ça te met mal à l'aise, tu peux aussi prendre un drap pour couvrir certaines parties."
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MessageSujet: Re: Tu seras ma Rose et je serai ton Jack... Tu seras ma Rose et je serai ton Jack... EmptyMer 4 Avr - 14:40

Ces temps-çi je n’étais pas ni forcément heureuse, ni forcément malheureuse, j’étais tout simplement normal, j’avais un petit copain, tout simplement superbe, qui prenait soin de moi, toujours là pour moi et il était l’homme le plus gentil que je n’avais jamais rencontré … autant dire qu’il n’y avait aucune dispute entre nous, aucun différent, vraiment rien du tout, ce qui en devenait même parfois ennuyant, comment est-ce que je pouvais penser une chose pareil, je m’ennuyer parce que tous ce passe bien dans mon couple, je suis pas vraiment une fille normal, avec Keyllan je râler parce que notre couple subissait tout le temps des disputes inutiles et voilà que maintenant que tous ce passait bien je râler encore une fois, parce que justement il n’y a aucune dispute. J’étais donc, sur mon canapé en train de regarder tranquillement un épisode de Big Bang Theory, ce que je faisais la plupart du temps que je rentrais de cour, ou quand j’avais une petite pause, enfin c’était soit big bang theory soit how i met your mother, j’avais le choix. Et c’est à ce moment que le petit Sigma avait décidé de pointer le bout de son nez. Comme toujours nous échangions ces banalités affligeante avec une pointe de moquerie ou de sarcasme ce qui mettais tout de suite plus à l’aise les deux protagonistes. Bien entendu le beau brun me remercia de mes douces paroles, ce à quoi je répondu par un sublime sourire en ajoutant d’un ton très doux. « Mais je t’en pris, comme on dis c’est gratuit. » bien entendu, les deux sigma au fil du temps étaient devenue des amis, bien plus que des connaissance de même confrérie. Depuis aussi maintenant quelques temps elle lui servait de modèle et cela lui donner beaucoup de plaisir, de se sentir aimée, et pas seulement parce qu’elle est bien foutu comme les plus con et matcho des hommes le disent, mais qu’elle était belle, belle artistiquement parlant. Tout en parlant, la jolie brune alla vers son mini frigo et lança a son partenaire une canette de soda, une marque d’attention et de politesse totalement banal et inutile. M’enfin je n’allais quand même pas le laisser mourir de soif, je n’avais pas envie qu’il meurt … enfin au début.

J’étais loin très loin d’être la fille superficielle, comme la plupart des étudiantes de Berkeley, j’avais pas mal d’ennemie dans l’université, pas parce que je suis une fille superficielle et que je n’aime personne, non non non, seulement parce que la plupart des filles sont totalement prétentieuse, et ne pense cas une chose détruire mon couple pour se taper mon copain, et pour la plupart elle n’atteignait pas une pourcent de ma beauté naturelle, je pense bien entendu a des blonde bimbo plus connu pour leurs opérations esthétique que pour leurs intelligence ou gentillesse. Je n’avais absolument rien à leurs envier. Enfin revenons, a notre petit Kilian, il était en face de moi et répliqua avec attention à touuuuuutes mes répliques bien sur, avec lui au moins je m’ennuyais pas bien au contraire. « A toi l’honneur, hum, en effet dis comme ça, sa sonne absolument pas comme je le pensais, tu m’en veux pas si on rembobine et qu’on revient en arrière, j’ai une meilleure version qui devrais te plaire. » après avoir éclaircie ma gorge je repris. « Bon je te propose cas partir de maintenant, on me trouve un agent et tu me payera en tant qu’artiste et non en tant que prostitué, mieux là non ? » oui là de mon coté ça passer en effet beaucoup mieux, il avait le don de me mettre dans l’embarras celui là. « Espèce de sale vermine arrogant, et moi je n’ai pas l’habitude de me mettre nue à tout va comme toutes ces pétasses de l’université, sors et demande à la première venue et elle te le ferais gratuitement mon petit. » lui dis-je en le tapotant sur la joue, elle recula un instant et posa son regard aguicheur sur le jeune homme. « Cependant je ne suis pas totalement fermé aux proposition de payement nature. Si tu vois ce que je veux dire. » Ce petit jeu leurs étaient propre, ils aiment beaucoup s’amuser aux et chat et à la souris mais je ne devais pas oublier que j’avais un petit copain et que maintenant je devais attention à tous ces petits jeu dangereux que j’entretenais avec certaine personne, en particulier Kilian que j’aimais beaucoup. C’est assez gênée que j’essayé de cacher mon mal être, je me levais brusquement en répondant calmement. « En effet, tu a tout à fait raison. » après deux minutes je fus toute de suite moins mal à l’aise quand il m’apprit qu’il m’avait fait tourner en bourrique, c’est dingue comme parfois j’avais une sale envie de lui en foutre une en pleine tronche, main qui pourrait s’étaler comme une crêpe sur sa fabuleuse joue à quelques centimètre de moi. « Ba tiens, tu les accumules, tu es sur de vouloir me peindre aujourd’hui parce que vu comme tu es partie tous ce que tu va avoir c’est mon point dans la tronche. » Dit-elle en souriant à pleine dent. Et il enchaine avec des propos totalement inaproprié, mais elle en avait l’habitude et elle était très amusé de ce comportement. Elle aimait beaucoup l’humour et la répartie du jeune homme, nous étions à peu prés pareils, c’est sans doute pour cela qu’on s’entend si bien. « Et bien alors, qu’est-ce que tu attend allons-y déshabillons nous, et faisons l’amour comme des bêtes jusqu’au bout de la nuit. » quel humour, en effet il n’avait pas tord sur ce point, mon petit ami n’allait certainement pas être d’accord ni avec nos blagues douteuse, ni avec le faite que je serve de modèle à un homme qui me verrais nue. « En effet, il ne serait pas très content, bon aller on y va, ne t’en fais pas, j’ai aucun problème avec corp, et je ne suis absolument pas pudique, mais quand bien même je sais que tu es quelqu’un de sérieux, voilà pourquoi j’accepte d’être ton modèle. » Je partie quelques instant dans la salle de bain et je me déshabilla, je mis mon peignoir en soie beige, et je replaça mes cheveux, une fois sortie j’étais face à lui. « Alors où est-ce que je m’installe ? et préviens moi quand … tu sais , je dois enlever mon peignoir.»
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MessageSujet: Re: Tu seras ma Rose et je serai ton Jack... Tu seras ma Rose et je serai ton Jack... EmptyJeu 5 Avr - 18:05

Le répondant de Vraona était vraiment hallucinant, Kilian arriverait presque à s'en étonner. A croire que la présidente de Sigmas était aussi douée que lui pour rebondir sur chaque réplique avec une ironie et une envie d'avoir le dernier mot toujours plus dévorante. Ce tempérament lui plaisait, au moins il ne risquait pas de s'ennuyer dès qu'il passait lui faire un petit coucou ou qu'il s'en servait comme modèle. La dernière fois qu'il l'avait représentée, d'ailleurs, cela s'était terminé à coup de pinceaux et de pots de peinture comme deux gosses qui essaient de trouver un vainqueur en se bagarrant avec le sourire aux lèvres. D'une certaine façon, ils avaient l'esprit pour se disputer adroitement et ils pouvaient retomber très vite en enfance pour continuer leurs chamailleries. "Depuis quand t'as besoin d'un agent pour te mettre toute nue, toi ?" lança-t-il avec un air faussement surpris. Un vrai connard. Avec elle, il faut croire qu'il lui suffisait de la regarder pour que l'inspiration arrive et qu'il lui en mette plein la tête avec un ton toujours plus cassant, ironique et pourtant amusé. Jamais il ne cherchait à la blesser et Vraona le savait bien… il était juste chiant et pour ça, il devenait presque attachant. Il resta stoïque suite à cette petite tape sur la joue, se contentant de lever les yeux au plafond avec une exaspération tout particulière. "C'est vrai, je pourrais me dégoter une pouf n'importe où ailleurs… mais j'ai dis que je voulais peindre une femme, pas une dinde." Le Sigma lui servit à son tour son sourire le plus charmeur et craquant… entre deux vacheries, un beau compliment. Si ça, ce n'est pas juste pour la faire tourner en bourrique… Une vraie tête à claques. Son regard le laissa peut-être de marbre à l'extérieur, mais intérieurement, il en était un peu troublé. N'oublions pas qu'à ses yeux, Vraona était le symbole même de la féminité. Cependant, à ce stade, peut-on parler uniquement d'une inspiration artistique ou d'un désir beaucoup plus prononcé que l'étudiant lui-même n'arriverait pas encore à comprendre ? Son sourire se fit un peu plus léger tandis que son sourcil gauche se haussa pour traduire son amusement. "Si le paiement en nature peut te rendre heureuse… et arrêtes de me regarder comme ça, c'est presque une incitation au viol, je pourrais porter plainte." Un air profondément ironique avait pris empire sur ses traits, preuve qu'il n'était tout de même pas dupe au point de céder aussi facilement que n'importe quel benêt qui croiserait la ravissante présidente de confrérie. Satisfait de son petit effet et de l'emportement de la jeune femme, le beau brun haussa les épaules avec un scepticisme peu commun. "Comme si une sauterelle comme toi pouvait me mettre K.O… T'es mignonne comme tout." ajouta-t-il sur le ton d'un père qui parlerait à une petite fille qui veut se la jouer. La brunette pouvait être aussi warrior que possible, elle n'arriverait certainement pas à mettre un boxeur assidu comme l'était Kilian au tapis… en revanche, elle avait déjà un peu plus de chances de réussite en voulant le déstabiliser autrement qu'avec la force physique.
Il se retint d'éclater de rire lorsqu'elle accepta faussement sa proposition de finir au lit comme deux bêtes sauvages n'écoutant que leurs instincts. "Si on s'y met pour de bon, j'espère que ta colocataire n'aura pas peur de retrouver sa chambre sans dessus-dessous… enfin, s'il reste quelque chose de la chambre après la bataille." Il avait brièvement haussé les sourcils, un peu comme un guerrier qui mettrait son adversaire en garde. Sans vouloir s'en vanter, Kilian était tout de même un amant qui savait jouer sur de nombreux tableaux malgré son jeune âge. Tendresse, passion, délicatesse… ou au contraire, un peu plus brutal, sauvage et animal. Il s'adaptait toujours au bon vouloir de sa conquête selon ce qu'elle préférait ou bien selon la situation, si lui-même était d'humeur câline - chose rarissime, quand même - ou combattive. Malheureusement pour eux - surtout pour lui - la belle avait déjà le cœur bien occupé par un chanceux… et le Breton s'étonna presque de sentir une pointe de déception naître en lui. Il avait pourtant pas mal de conquêtes ou de sex-friends à son actif, pourquoi s'émouvoir de ne pas pouvoir satisfaire une femme déjà comblée ? Il cacha cet émoi derrière son habituel masque de comédien, se rendant totalement impénétrable comme il l'était d'ordinaire. Un fin sourire ironique se dessina à nouveau sur son visage, ses yeux bleu pétillaient presque d'amusement. "En tout cas, si jamais Monsieur t'ennuie… ou qu'il ne sait pas t'arracher tes vêtements, dis-le moi et je lui filerai quelques tuyaux." Quelle prétention, c'était quand même assez hallucinant. 3615 je me la pète, bonjour ! Bref, il hocha la tête et la remercia gentiment de se prêter au jeu en déposant un baiser sur sa joue… avant de froncer les sourcils en se reprenant, presque mécontent de sa propre attitude. "Ne te formalises pas, j'ai horreur des démonstrations d'affection. On va faire comme si rien ne s'était passé." Pour peu qu'elle se mette à le trouver affectueux ou, pire, câlin, il n'y avait pas des kilomètres. Il préférait de loin passer pour un petit con ou une sale vermine comme elle lui avait dit tout à l'heure. D'une, c'est mois gênant, et de deux, c'est bien plus rigolo. En tout cas, Vraona avait bien raison d'être à l'aise avec son corps car il n'y avait absolument rien à jeter. Ce n'était que l'avis du peintre, c'est vrai, mais tout de même. Ce qui lui plaisait chez elle, c'est qu'elle soit consciente de son charme et de sa beauté mais qu'elle ne cherche pas à en faire trop ou, au contraire, pas assez. Elle savait se rendre belle, désirable et féminine. Une femme, une vraie. Pas la première pouf de trottoir qui vit pour la vulgarité ou la vierge effarouchée qui ne jure que par des cols roulés. "Oui, je suis quelqu'un de sérieux, j'aime qu'on s'en souvienne. Alors comme c'est moi le patron, file te mettre toute nue le temps que j'installe le matériel." Kilian avait pris une voix autoritaire pour taquiner le caractère indépendant de son modèle préféré, se fendant d'un petit clin d'œil avant de commencer à étaler ses instruments en prenant soin de ne pas trop mettre de bazar autour de lui. Il se voyait mal tâcher les vêtements d'une des deux Sigmas avec de la peinture… surtout s'il devait leur annoncer que pour retirer les tâches, il allait devoir sacrifier la couleur de leurs fringues… de quoi finir crucifié par les deux filles. Une fois sa toile bien placée face au lit, il tourna la tête en voyant Vraona sortit en peignoir. Le jeune homme se leva puis lui désigna le lit. "Tu peux te coucher sur le lit, face à moi. Attends, je vais mettre quelques coussins pour que ce soit plus confortable." Le fils Salaun plaça quelques coussins pour que Vraona puisse se coucher tranquillement. Il l'invita à s'allonger d'un mouvement de la main puis resta debout pour lui montrer comment se positionner. "Voilà, tu peux mettre tes bras un peu plus en l'air avec ta main… voilà, juste comme ça, c'est parfait." Il attendit qu'elle ait bien enregistré la position pour ensuite passer aux choses sérieuses. "Maintenant, tu peux retirer ton peignoir et reprendre la position. Par contre, tu pourras cacher cette zone…?" lui dit-il en désignant son entrejambe. Le Breton haussa les épaules. "Personnellement, ça ne me dérange pas… mais si je peins une femme "trop" nue, ça devient de la pornographie, pas de l'art. A moins que tu veuilles qu'on te trouve un pseudo sympa pour ta future carrière dans le milieu, si ça te branche !" Nouvelle taquinerie pour détendre un peu l'atmosphère.
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MessageSujet: Re: Tu seras ma Rose et je serai ton Jack... Tu seras ma Rose et je serai ton Jack... EmptyMar 17 Avr - 12:35


Lorsque l’on meurt ou que l’on souffre d’une horrible perte nous traversons tous cinq étapes de la peine. On passe par le déni car la perte n’est pas envisageable, on ne peut imaginer que c’est réel. On s’énerve contre tout le monde, contre les survivants, contre nous-mêmes. Puis on trouve un arrangement, on supplie, on implore, on offre tout ce qu’on a, on offre nos propres âmes en échange d’un jour de plus. Quand les négociations échouent la colère est difficile à contenir, on tombe dans la dépression, le désespoir, jusqu’à ce qu’on accepte finalement que l’on a tout tenté. On abandonne. On abandonne et on accepte. Le chagrin peut être une chose que l’on a en commun mais il est différent pour tout le monde. Il n’y a pas que la mort dont on fait le deuil, de la vie, d’une perte, d’un changement. Et on se demande pourquoi ça bloque autant parfois, pourquoi ça fait tant de mal mais la chose dont on doit se souvenir c’est que ça peut changer. C’est comme ça qu’on reste en vie, quand ça fait si mal, qu’on ne peut plus respirer, c’est comme ça qu’on survit. En se rappelant, qu’un jour, qu’en quelque sorte, vous ne le ressentirez plus de la même manière, ça ne fera plus aussi mal. Le chagrin vient à chacun en son temps, de sa propre manière. Alors le mieux que l’on puisse faire, le mieux que chacun puisse faire est de recourir à l’honnêteté. Le truc vraiment merdique, la pire partie du chagrin est que vous ne pouvez le contrôler. Le mieux que l’on puisse faire est d’essayer de laisser nos sentiments quand ils viennent. Et les laisser partir quand on peut. La pire chose c’est qu’à la minute où vous pensez l’avoir surmonté, ça recommence. Et toujours, à chaque fois, vous ne pouvez plus respirer. Le chagrin comporte cinq étapes. Elles nous semblent à tous différentes, mais il y en a toujours cinq : le déni, la colère, les négociations, la dépression, l’acceptation. Voila ce que j’ai lu une fois, je ne sais pas tellement où j’en suis moi, parce que j’avais maintenant perdu ma mère depuis 5 ans et je ressentais toujours ce tel manque horrible qui me percer le cœur à chaque fois que j’y pensais. Le pire dans tous cela, c’est que mon drame n’était pas un drame commun, ce n’était un mort d’une maladie grave, ou alors d’un accident, non non il s’agissait bel et bien d’un meurtre, meurtre dont le suspect et un propre membre de ma famille à sa voir mon père, mon propre père avait tué ma mère, pour ne pas qu’elle parte avec moi. Pourquoi est-ce que je suis toujours étonné quand j’en parle, après tous mon père fais partie de la mafia, même encore en prison il trouve le moyen de bien gérer son groupe, je ne compte plus le nombre de fois où je me fais suivre dans la rue, ces sortes de « garde du corps » mon dieu s’il savait, oh oui s’il savait il me ferait surement tuer, pourquoi ? pourquoi l’avais-je dénoncer, je ne le regretter pas, je l’avais dénoncer anonymement personne ne le savait et je le dirais a personne, pour que jamais au grand jamais cela ce sache et que je me fasse balancé, oh oui il croit que ça fille est parfaite et que je l’aime, difficile de faire semblant, j’essayais de le voir le moins de fois possible, la dernière fois que je l’ai vu remonter un trois mois maintenant, il m’écrivait, je lui répondais, mais écrire est beaucoup plus facile que de le voir, il me dégoutait je ne supporte pas sa présence et je pense que se sera toujours ainsi, avoir tuer celle qui m’étais le plus chère est la plus grosse erreur qu’il ai commis. Enfin un peu chaque jour je remonte la pente, et parfois se sont que des petites attention ou bien alors des présences sans même rien faire qui font que on se sent mieux, et c’est exactement ce que je ressentais avec Kilian. « Depuis que je suis tant sollicité pour me faire peindre » je pris ma respiration et repris « oh tu porterais plainte contre moi, vraiment tu pense que je vais te croire ? Arrête ton char tu ne pourrais pas me résister une seconde et même si je saute comme une sauterelle je suis la plus belle sauterelle que tu n’ai jamais vu. » et maintenant voilà qu’il me propose presque une partie de jambe en l’air si j’avais été seule, je n’aurais certainement pas dis non à Kilian bien au contraire, il est séduisant, marrant, très intelligent, mais pars dessus le marché il est très talentueux, mais voilà je suis en couple et je ne suis pas le genre de femme à tromper mon partenaire. « Tu es bien sur de toi, et si jamais tu n’es pas si bon que tu le dis, je serais vraiment très déçu alors ne t’avance pas trop. » Lui dis-je en rigolant. Alors monsieur n’ai pas vraiment fan des démonstrations affectueuses en public ? ça tombe bien moi non plus mais comme mon passe temps favoris est de le faire chier je m’approcha de lui en le prenant fort dans mes bras je l’enlaçais très tendrement, bien entendu ce n’était cas moitié sérieux. « Tu sais quoi ça ce n’étais qu’un échauffement la prochaine fois que je te crois dehors t’y loupera pas, je te choppe en public moi j’en ai rien à faire tu me fais pas peur. » CHALLENGE ACCEPTED. Et en plus il me continue de me chercher j’ai la vague impression qu’il veut que je lui casse les dents. « C’est une blague, c’est toi le patron. » Sans trop de violence, je le giflai, oui je suis une violente parfois. Bien entendu je pris soin de ne pas lui faire mal. « Alors maintenant c’est qui le patron ? C’est bon t’es redescendu sur terre ?» après donc quelques minutes je partie vite dans la salle de bain pour me déshabiller, en revenant la gène était vraiment présente et des deux cotés. Il se chargea de me placer comme il le voulait, et moi j’obéissais comme une employé. Histoire de détendre un peu l’atmosphère je me permis une petite phrase histoire d’alléger la tension. « T’es sur parce que c’est la partie la plus belle en moi. » J’eu un petit rire. «Ouh une carrière dans le porno intéressant, ça te dira pas d’être la co-stars avec moi ? Kikilian le roi du vagin et Vraona la reine du sexe. » Ouai pas mal. Maintenant installé et dans une position des plus sensuel, j'attendais que l'artiste termine son oeuvre. Aprés seulement 10 minutes je commençais déja. «Je peux voir, c'est bon ? »
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MessageSujet: Re: Tu seras ma Rose et je serai ton Jack... Tu seras ma Rose et je serai ton Jack... EmptySam 21 Avr - 14:09

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C'est quand même assez étrange de se dire parfois qu'on pense connaître des gens sur le bout des doigts alors qu'on ne connait rien de leur passé. Qu'est-ce qui pouvait faire dire à Kilian que Vraona n'était pas une dealeuse de drogue ayant déjà fait de la prison pour on ne sait quelle raison, par exemple ? Que savait-il d'elle, de son passé ou même de son présent ? Peu de choses, vraiment très peu de choses pour ne pas dire rien du tout. La preuve, il avait dû ruser pour savoir si elle était célibataire. Il ne savait même pas pourquoi elle ne l'avait accueilli qu'avec un "on fait aller" pour entrer dans sa chambre… Il y a des sujets et des conversations que les gens préfèrent éviter la majeure partie du temps. Certains y parviennent de peur de ne vraiment pas pouvoir être capable de répondre à d'éventuelles interrogations ensuite. D'autres n'y parviennent pas tant leur curiosité maladive les poussent aux commérages en tous genres. Pour le Breton, sa place se trouvait dans un juste milieu. Il n'avait rien d'une commère et malgré son air bourru et peu soucieux des autres, il gardait une place privilégiée à l'écoute pour les rares amis qu'il considérait vraiment comme tels et non pas à de banales connaissances. Il s'agissait plutôt de sa nature protectrice qui s'exerçait entre autres dans le domaine de la discussion… il n'était pas le plus bavard, mais il ne parlait jamais pour ne rien dire. Quant à se confier sur sa propre existence, il y rechignait pour ne pas avoir à remuer le couteau dans sa propre plaie ou bien amener autrui à une éventuelle comparaison de leurs problèmes, comparaison qui a souvent tôt fait de se muer en compétition pour savoir si untel et plus à plaindre qu'untel. Au fond, il aurait aimé que Vraona veuille bien lui parler de ce qui pouvait éventuellement la chagriner un tant soit peu. Kilian l'avait suffisamment représentée sur de nombreux tableaux pour savoir qu'elle n'était pas aussi souriante qu'elle ne l'avait été… cependant, il tint sa langue. Connaître l'histoire de quelqu'un peut paraître essentiel, mais c'est faux. Le Sigma se contentait de savoir quoi dire pour la faire sourire, quoi faire pour la taquiner, quelle conversation alimenter pour lui changer les idées… n'est-ce pas ça que l'on appelle au moins un ami ? Une personne assez délicate pour sentir que vous n'êtes pas dans votre assiette, mais qui sait aussi quoi faire pour y remédier ne serait-ce que l'espace d'un instant ? Kilian n'était pas sociable ou très abordable, c'est vrai… mais pour les rares personnes envers qui il éprouvait un minimum d'affection - ce qui représentait déjà beaucoup - il était quelqu'un sur qui l'on pouvait compter.

Voir un sourire naître sur les lèvres de la jolie brune était une récompense suffisante pour l'effort de gentillesse dont il faisait preuve en sa compagnie. Il leva les yeux au plafond avec un air exaspéré : non, il ne porterait pas plainte contre elle… se venger soi-même, c'est tellement plus amusant que de laisser la justice faire son travail. Quoiqu'il en soit, l'artiste composa son visage d'un sourire plus qu'énigmatique sur ses prétendues capacités d'amant que Vraona remettait en doute s'il s'avisait de donner des conseils à son actuel petit ami. Sans se vanter d'être LA bête de sexe par excellence ni même le meilleur coup qui soit, l'étudiant se connaissait assez pour savoir qu'aucune femme - ou même qu'aucun homme - ne s'était jamais plaint de ses performances au lit. La seule fois où il s'était fait engueuler, c'était pour n'avoir pas été capable de remettre le couvert une seconde fois avec une fille demandeuse avec laquelle il s'était déjà bien dépensé juste avant… si ça, c'est une critique négative, alors Kilian était disposé à l'accepter sans que cela porte atteinte à son ego. Mais ça, c'est quelque chose qu'il préféra ne pas développer en compagnie de son modèle féminin favori. Au lieu de parler de ces choses-là hormis pour en plaisanter comme ils le faisaient assez souvent l'un avec l'autre, le fils Salaun préférait largement laisser la liberté à ses conquêtes de se prononcer sur ses capacités.

En revanche, ce qui lui fit perdre une part de son masque d'arrogance purement fictive, c'est l'énorme câlin qu'elle lui adressa en le prenant dans ses bras comme s'il s'était soudainement changé en peluche vivante. Tout crispé et mal à l'aise lors de ce genre d'effusions, il grogna, grommela et soupira un peu comme un chien à deux doigts de mordre parce qu'il ne veut pas qu'on le caresse. L'aplomb avec lequel elle plaça une épée de Damoclès au-dessus de sa tête sous la forme d'une embrassade similaire en public lui fit ouvrir la bouche en grand… mais aucune protestation ne parvint à franchir ses lèvres. Son visage se fit plus sombre et presque aussi agressif que celui d'un gamin sur le point de faire vivre l'enfer à ses parents, chose à laquelle il était habitué avec son paternel. "Si tu me prends pour un Bisounours en public, je te garantis que je vais te donner des raisons d'avoir peur de moi." Le ton était menaçant, c'est vrai, mais Kilian l'était-il vraiment ? Oui, il pouvait l'être… mais pas avec Vraona. Se donner l'air méchant et peu fréquentable, c'est plus un réflexe qu'une réalité, avec la présidente des Sigmas. La gifle qu'elle lui asséna lui fit tourner la tête automatiquement sur le côté et même s'il n'avait pas mal, il se frotta la joue avec un air surpris. Mais c'est qu'elle se rebelle, la petiote ! Avant qu'elle parte, le beau brun planta son regard bleu azur dans le sien et l'observa d'une façon plus mauvaise et intimidante que jamais, comme s'il avait très mal pris cette claque qu'elle venait de lui mettre. "Fais attention, beauté…" Puis soudain, il déguisa ses lèvres d'un fin sourire amusé et presque un peu pervers. "Si tu continues à me gifler, ça risquerait de nous exciter tous les deux. Et puis je rends tous les coups qu'on me donne…. A la prochaine baffe, tu as le droit à ta fessée." Voilà, c'est dit. Aussi irrécupérables l'un comme l'autre, c'est presque flippant.

Vint enfin le moment tant redouté… ou espéré ? Honnêtement, Kilian n'aurait pas su se décider entre l'un de ces deux termes. Vraona lui apparut en tenue d'Eve, révélant ainsi un corps qu'il s'imaginait déjà divin. Comme le reste de ses formes ou même de sa personnalité, tout était parfaitement mesuré, savamment dosé. Chacun de ses atouts était souligné tant et si bien qu'il était une fois encore l'expression parfaite de la féminité aux yeux de l'artiste. Rien que dans cette vision magnifique, il y avait de quoi faire de l'ombre à toutes les représentations d'Aphrodite de la statuaire grecque réunies. Un seul mot lui venait à la bouche lorsqu'il posa ses grands yeux bleu clair sur elle : "belle". Tout simplement, sans fioriture ni adjectif supplémentaire. La beauté à l'état pur. Le Breton n'en était pourtant pas à la première femme qu'il pouvait regarder aussi attentivement sans autre vêtement qu'une note de parfum sucré… mais avec elle, tout semblait différent et nouveau.
Il fut tellement charmé par ce spectacle indéfinissable qu'il en oublia même de relever la petite phrase ironique qu'elle lui dit… le fils de Logan se surprit même à refermer sa bouche qu'il n'avait pas senti s'ouvrir. Vraona n'était pas habituée à ce genre de pratique et puisque la situation était également très spéciale pour elle, Kilian se devait de se reprendre pour ensuite la mettre le plus à l'aise possible. Installé derrière son chevalet, il prépara son arsenal de fusains de diverses natures, qu'ils soient larges, précis, tendres ou durs. Avant de poser son outil sur la toile, il secoua la tête avec un petit sourire en coin. "Et comment tu veux que je fasse carrière avec un nom aussi ridicule que Kikilian ? Par contre, dans l'écriture d'un ou plusieurs scénarios, je peux t'aider. Va savoir pourquoi, mais le rôle de la chieuse en chaleur qui se fait corriger par le mâle qu'elle allume, je pense qu'il tirait à merveille vu ton caractère naturellement pénible couplé à cette plastique de rêve." N'y voyez pas là l'ombre d'une insulte… c'était l'un de ces fameux compliments bizarres qu'ils se lançaient l'un à l'autre tout en faisait preuve d'une imagination débordante pour se pousser à bout. "Si je n'arrive pas à faire carrière dans l'art avec les tableaux qui te représentent, je te jure solennellement d'être ton agent et ton plus grand fan dans ta future carrière de star du X." Et une petite dernière pour la route.

Une poignée de minutes passèrent et lorsqu'un léger silence s'installa, Kilian constata que rien n'allait dans ce qu'il représentait. Ses gestes qui étaient normalement précis, rapides et maîtrisés n'avaient rien de très concluant à lui offrir. Dès qu'il levait les yeux vers Vraona, il s'empressait de les reposer sur la toile sans avoir ainsi pris le temps de regarder son modèle. Ses doigts tremblaient, une chaleur rendait l'atmosphère de plus en plus étouffante au point que son front ne tarda pas trop à luire alors que ses joues gagnaient une légère teinte rougeoyante. Kilian déglutit, soupira puis essaya de se concentrer davantage… il se fit donc violence pour regarder plus en détail le corps de la présidente de la confrérie. Ses yeux d'azur voyagèrent de ce bras si fin et gracieux jusqu'à la naissance de ses épaules où ses longs cheveux bruns tombaient négligemment en cascade, invitant ainsi son regard à suivre la courbe de sa poitrine puis le long chemin de sa silhouette délicate avant qu'il ne se pose sur sa cambrure jusqu'à finir par la longue descente de ses jambes… hypnotisé par cette vision enchanteresse qui le menait loin, très loin de cette tâche donnée par son prof de peinture, il fut rappelé à l'ordre par la question de son impatiente interlocutrice. "Hein…? Euh que… quoi ?" Bravo, Kilian. T'as vingt piges et tu ne sais toujours pas parler. Dès demain, c'est Papa qui va t'emmener chez l'orthophoniste. Il secoua la tête et regarda sa toile. Vous connaissez le dessin inconscient ? Celui que vous pouvez être amené à faire sans même vous en rendre compte ? Eh bien c'est exactement ce que le jeune homme venait de faire. Un gribouillage sans queue ni tête - pas de mauvais jeu de mots - qui représentait vaguement un corps mais dont l'accentuation des formes ne laissait pas douter des pensées particulières que l'artiste devait avoir eu à ce moment précis. Il essuya son front moite du revers de sa main en y laissant une trainée noire à cause du fusain déposé dans sa main transpirante puis se racla la gorge. "Oui, oui, c'est bientôt fini… enfin, non, pas tout à fait. Tu as bougé un peu, donc je pense que je vais recommencer." L'excuse de naze, franchement ! Même lui, il n'y croyait pas, et pourtant il était acteur de formation.

Le Breton retira la première toile puis en prit une seconde après avoir soigneusement caché le dessin suspect et raté de la première. Après un soupir, il regarda la fenêtre. "Ca t'embête si j'ouvre juste un peu ? Il fait chaud, ici. Non… sans commentaire." l'avertit-il en levant une main pour l'interrompre en plein élan, sachant d'avance qu'elle avait une réplique cinglante et sûrement osée sous le bras pour lui répondre. Il entrouvrit légèrement la fenêtre, pas trop pour éviter que Vraona ne prenne froid, puis il tâcha de se remettre au travail. Mais bien vite, ce même émoi recommença à le saisir dès qu'il se concentrait sur les formes de la jeune femme… Merde, mais c'est pas possible ! Il n'en était pas à sa première nana complètement nue ! Elle avait même un drap pour recouvrir sa partie intime, d'ailleurs ! Enervé mais sans le laisser paraître pour le moment, Kilian jugea bon d'essayer d'engager la conversation avec elle. "Et sinon, ça fait longtemps que tu es avec ton copain ? Ca va bien, entre vous ?" Bing. Lapsus. Pourquoi tu lui parles de son mec pile poil maintenant, Salaun ? Y a pas à dire, on dirait presque un puceau tellement t'es mauvais.
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MessageSujet: Re: Tu seras ma Rose et je serai ton Jack... Tu seras ma Rose et je serai ton Jack... EmptyVen 25 Mai - 20:20

Lorsque l’on voit une fille comme Vraona dans la rue on peut se dire qu’elle est la pire des manipulatrices, celle qui trompe tout le monde, qui nargue tout le monde mais pas du tout, elle est même presque tout le contraire de cela. Presque oui car quand il faut qu’elle soit ce genre de fille elle sait l’être mais autrement elle ne l’est pas et surtout pas avec les gens qui ne le méritent pas. En effet, la miss Duma est une jeune femme qui a peut être tout pour elle mais qui n’en profite pas, de plus elle arrive facilement à se mettre les gens dans la poche mais sauf cas exceptionnels, qui doivent bien sûr être une bonne cause autrement ce n’est même pas la peine. D’un autre côté lorsqu’on voit Vraona, si l’on oublie son prénom qui fait penser à tous les petits bébés ou enfant en bas âge qui veulent quelque chose et que leur parents leur disent non alors ils se mettent à pleurer pendant de longues minutes, est une fille que l’on ne croirait pas comme elle est mais plutôt dans le sens inverse de Vraona. Effectivement, la jeune femme avec sa tête d’ange parait ne pas faire de mal à une mouche mais au final elle est bien loin de cela puisqu’elle est très manipulatrice et se sert des gens plus souvent qu’elle ne les apprécie réellement, enfin peut être pas à ce point-là mais cela ne doit pas en être vraiment loin. Avoir été élevé dans une atmosphère sombre et déprimée ne aide surement pas une jeune adolescente en crise à aimer le monde autour d’elle. Et encore pire avec son lourd passé, cela l’avais complétement fermé, tel une moule respirant en de l’eau. De toute façon toute ça vie était une catastrophe, après avoir perdu sa mère, il y a ça peut de temps, sa meilleure amie avait elle aussi mit les voiles, et encore plus proche, sa sœur était elle aussi partie je ne sais ou pour vivre sa vrai vie d’adulte sans même prendre le temps de terminer correctement ces études. Vraona se retrouver donc qu’avec 3 personnes très proches d’elle pour surmonter tous ça, Cameron son meilleur ami, Cadence sa meilleure amie, et Zacharia son ami vraiment très proche. Mais maintenant elle se rendit compte qu’une autre personne compter beaucoup à ses yeux … et ce jeune homme s’appelait, Kilian, un très beau sigma, qu’elle avait eu beaucoup de mal à cerner, mais qui avec le temps, avait appris à le connaître. Surtout depuis que celui çi lui avait demander de devenir son modèle pour plusieurs de ses magnifiques peinture, Vraona aimait beaucoup son art. Elle avait posée pour lui déjà une bonne dizaine de fois, et à chaque fois il avait su la surprendre, elle ne sait pas comment elle pouvait l’expliquer mais cet homme avait un effet sur elle, et maintenant qu’elle n’était plus avec Jader, ces sentiments devenait de plus en plus intense et il était hors de question qu’elle le lui montre. Elle devait absolument ce contrôlait, chose qui se trouver très dur à gérer. Surtout quand elle devait se trouver dans des positions plutôt gênant pour ces peintures. Mais en même temps, elle appréciait beaucoup, de nature pas vraiment timide, elle n’avait aucun mal a se dévoiler face à lui, enfaite il été la seule personne pour qui elle accepter de se dévoiler autant, que se soit physiquement, que mentalement, vraiment elle le sentait cette homme avait un effet qu’elle ne pouvait pas contrôler et elle le sentait déjà venir, cette situation allait très vite mal terminée. Et cela devait s’arrêter au plus vite, avant qu’un des deux ne soit blessée, et pas l’un des deux, elle se sentait particulièrement visée pour le coup. Elle qui passe pour une méchante devant tout les étudiants, était enfaite une fille au cœur d’or, et ça l’embêtait réellement que les gens le sache, il allait surement en profiter et pour elle cela n’était pas du tout envisageable, voilà pourquoi elle était souvent mauvaise avec toutes ces personnes qui l’entour. Mais elle le sentait ces derniers temps, elle devenait de plus en plus abordable … what a surprise.

Depuis son arrivé, elle avait été comme toujours égale à elle même, à la fois adorable et détestable, sa plus grande passion, lui offrir ce câlin était une chose dont elle été persuadé, il allait la détester. Lui aussi avait une sacré carapace, au premier abord ce gars là avait l’air d’un type absolument pas abordable non plus, mais au fond il était un petit nounours qu’on adorerai caresser. Et ça, Vraona l’avait très bien compris, voilà pourquoi elle en profiter à fond. « Allons te fatigue, tu sais bien que j’ai peur de personne, mais revient dans 30 kilos, et je précise, 30 kilos de muscles, pas de graisse. De ce côté là t’es rôder. » Bien entendu elle plaisantait, le jeune homme avait une silhouette complétement parfaite, et elle ne pouvait s’empêcher, de l’observer pour le plaisir des yeux. Quand le jeune sigma figer son regard dans le sien, on pouvait très parfaitement sentir, cette atmosphère, voir même tension, non pas sexuelle, mais d’un lien spécial qui unissaient les deux jeunes. « Allons, ne m’embarque pas dans tes délires Sadomaso, moi j’en suis pas. T’es tout seule la dedans, je t’assure. Mais tant mieux, je sais exactement quel cadeau je pourrais t’offrir à ton anniversaire. » Allons, Vraona n’est pas comme ça, beaucoup trop classe est distingué pour ces délires bizarre, mais cela l’a faisait bien rire. Quand le fameux moment arriva enfin, Vraona était bizarrement soulagée, oui bien qu’elle n’avait aucun problème avec son corps, la jeune femme n’aimait pas non plus être exposé comme ça tel un objet. Pour se sentir mieux la jeune femme décida de se faire un petit film dans son imagination, dans sa tête celui qui se trouver en tenu d’Eve, ou bien d’Adam, était bel et bien le jeune sigma, et bizarrement elle se sentait beaucoup mieux maintenant. Pour conclue, ils avaient une discutions qui faisait beaucoup rire la jeune femme, ce qui la fit sentir beaucoup plus à l’aise maintenant. « Tu n’a jamais remarqué que, les stars du porno les plus connu, sont ceux qui ont les nom les plus ridicule en soit ? Alors excuse moi, mais je trouve que tu pourrais très bien t’en sortir avec ces noms là. Hum je vois plutôt le scénario, Toi qui fais le ménage en petit tenu, et moi qui suis ton employé et qui te donne des ordres. Tu me traites de caractère naturellement pénible, non mais je rêve espèce d’emmerdeur infini. » La jeune femme rigola un peu avant de se reconcentrer, et lui fit une promesse qui lui vint droit au cœur. « Et je suis terriblement touché, je peux t’assurer que je vais faire un carton. Je serais une star terrible, et tu auras l’exclusivité de mes nouvelles scènes. »

Les minutes passèrent et la jeune sigma commencer grandement à s’impatienter, voilà très précisément 45 minutes que Kilian était sur son dessin, ce qui veux donc dire que Vraona était immobile depuis prés de 45 minutes, ce qui était très difficile pour une fille comme elle, de ne pas bouger. Elle commençait à s’agiter, et elle lui posa la question fatidique tel une enfant demandant à ces parents ‘quand est-ce qu’on arrive’, mais elle s’était plutôt ‘t’a bientôt fini ?’. Et il bafouilla quelques chose tel un enfant de 2 ans. « bouaboua ba ba .. Articule crétin je comprend rien. » Dit-elle en plaisantant. « Quoi, j’ai pas bougé pendant 45 minutes, tu te fiche de moi, je commence à avoir des fourmis dans les jambes les bras et tout ce qui peut articuler, alors non tu ne recommence pas je suis sur que c’est parfait. » D’une mine assez boudeuse, elle reprit sa position, et décida de ne plus le déconcentrer. Le jeune homme transpirer à goutte, et la jeune femme se demander vraiment ce qui pouvait lui arriver. « Oui si tu veux, mais je te rappelle que je suis nue comme un vers, et qu’il y a du vent dehors. » Quand il engagea la conversation, sur son petit copain, la jeune femme se débrida un peu. « C’est fini depuis deux semaines, enfin de compte même si je tenais beaucoup à Jader, il n’était qu’une passade. Mais maintenant je suis de nouveau sur le marcher. Pour le plaisir, de tous les chiens en chaleur dehors. Et toi une copine ? » Glissa-t-elle en changeant subtilement de sujet.
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MessageSujet: Re: Tu seras ma Rose et je serai ton Jack... Tu seras ma Rose et je serai ton Jack... EmptySam 26 Mai - 9:34



Cette fille était tout simplement en train de le rendre dingue... et Kilian ne savait pas s'il haïssait cette situation plus qu'il ne l'appréciait. Ou l'inverse. Sans être un insatiable coureur de jupons qui remue de la queue dès qu'une fille lui passe devant le nez, il avait tout de même un côté extrêmement charmeur - et charmant - qui lui avait valu un certain nombre de conquêtes féminines et, aussi surprenant que cela puisse l'être pour certains, masculines. On évitera de tomber dans les confondants clichés qui ont tendance à véhiculer, mais les étrangers sont parfois très réceptifs à la séduction made in France. A ce maniement du verbe, ajoutez un physique plutôt agréable sans pour autant atteindre les stéréotypes des beaux gosses absolus, ainsi que deux yeux d'un bleu azur perçant qu'il aimait appeler ses "armes de séduction massive" et vous aurez un cocktail pour le moins efficace lorsqu'il s'agit de partir à la chasse aux aventures. Jusqu'ici, rares avaient été les fois où Kilian s'était engagé avec quelqu'un car il n'avait jamais trouvé une personnalité avec laquelle son sale caractère pouvait s'entendre autrement que dans un lit. Notre gaillard est compliqué, par-dessus le marché... très compliqué. Peut-être trop, même s'il ne considérait pas sa façon d'être comme un handicap. Grognon, peu sociable au premier abord, assez impulsif, agressif quand on le pousse à bout, limite violent si on insiste, solitaire, sarcastique... et profondément chieur. Mais à côté de ça, il pouvait aussi se montrer serviable, poli, attentionné et protecteur. Vous l'aurez compris, Kilian Salaun est un lunatique par excellence, pour ne pas dire bipolaire. Néanmoins, malgré cette carapace sentimentale qu'il s'était forgée pour ne pas tomber dans les pièges d'un attachement affectif ridicule et douloureux, malgré son expérience et malgré sa méfiance, il commençait à sentir que Vraona ne le laissait pas aussi indifférent qu'il n'aurait pu l'imaginer. Il n'y avait qu'à regarder ce dessin qu'il avait sous les yeux pour le comprendre : certaines formes étaient bien plus accentuées que d'autres... et là, vous vous dites qu'il lui a fait des courbes et une poitrine beaucoup mieux « dessinées » que le reste, c'est ça ? Détrompez-vous : ce sont ses yeux, son visage, ses cheveux et sa silhouette générale qu'il avait dessiné avec le plus d'adresse et de fragilité à la fois. Et c'est bien là ce qui le troublait. Ce qu'il regardait en premier chez les femmes qui l'intéressaient d'une façon basique et primaire, ce sont les seins, les fesses, les jambes et le visage. Eh oui, il l'assume... beaucoup d'hommes feraient bien d'en faire autant. En revanche, lorsqu'il s'intéressait d'abord à des détails aussi précis que ceux qu'il avait représenté chez Vraona sur cette toile en cet après-midi, cela signifiait tout autre chose. Cela voulait dire que ce n'était pas son corps qui l'intéressait en premier. Et là, ça devient beaucoup plus dangereux.

Qu'on ne s'y trompe pas, il n'aurait pas été dérangé par l'idée de sortir avec elle... c'est simplement qu'il n'y était pas préparé. Kilian croyait en l'amour, en cet amour unique qui vous fait vibrer. Par contre, il ne croyait pas au coup de foudre. Et pourtant, il avait la désagréable sensation que ses positions sur le sujet étaient affaiblies par ce qui était en train de se produire. Lorsqu'il voulait redessiner la présidente des Sigmas, sa main tremblait presque et, paradoxalement, il savait exactement quoi dessiner. Il connaissait son visage par coeur, les reflets de son regard par coeur, les ondulations de ses longs cheveux bruns par coeur. Jamais de sa vie le fils Salaun n'avait regardé quelqu'un avec autant d'attention, et plus le temps passait, plus il se disait que ce n'était pas qu'un regard d'artiste qu'il posait sur elle. Cette perspective l'effrayait car il avait une sainte horreur de perdre ses moyens ou le contrôle d'une situation. Se montrer sentimental lui donnait la nausée, la simple perspective d'être aussi liquide que tous ces types qui se mettent à fondre devant une femme le rendait malade. Non, Kilian Salaun n'est pas de cet acabit. Il n'a pas peur de ses sentiments... il a juste peur qu'on s'en serve à son insu s'il se laisse trop aller. Comme sa famille l'avait déjà fait par le passé.
Les paroles de Vraona parvinrent tout de même à lui tirer l'ombre d'un léger sourire alors qu'il passait une fois de plus son poignet sur son front pour en retirer une fine pellicule de sueur. "Oublie les cadeaux sado-masos... te fréquenter, ça suffit largement à témoigner de mon goût pour le plaisir dans la douleur." lâcha-t-il sur un ton foncièrement ironique. Taquiner Vraona et ne pas avoir peur d'aller au devant des ennuis pour la provoquer, c'était un jeu on ne peut plus plaisant lorsqu'on sait que la réponse en face ne tardera pas à se faire sentir. Cette fille était un peu instable, indépendante, déterminée. Beaucoup d'étudiants sont intimidés par une personnalité aussi forte et changeante... mais pas Kilian. Il voyait au-delà de ça, il avait su capter cette fragilité au travers des nombreux tableaux qu'il avait peint en la prenant comme modèle. Un peu comme lui, tout en agissant différemment, Vraona cachait une femme qui a besoin d'être entourée de quelques rares amis qui savent mieux que personne comment la soutenir et qui parviennent à la comprendre. Elle n'est pas du genre à avoir besoin d'une quantité faramineuses de relations insipides : quand on a les meilleurs, inutile d'aller chercher plus loin. Peut-être était-ce parce qu'il parvenait à la décoder qu'il sentait poindre en lui des sentiments nouveaux ? "Même pas en rêve que je serai ta soubrette, femme." lança-t-il avec une voix virile en levant les yeux du dessin qu'il avait finalement repris. "En tout cas, je constate que tu n'as pas de fourmis dans la langue : malgré 45 minutes de position statique, tu arrives encore à débiter des âneries sans te fatiguer. J'avoue être impressionné." Il ne s'arrêtera de la chambrer et user de sarcasmes incessants que lorsqu'elle arrêtera à son tour... donc, techniquement, ils ont encore toute une vie humaine devant eux avant que la mort ne vienne mettre un terme définitif à ce jeu-là.

En l'ayant entendue affirmer qu'elle était célibataire, Kilian ne put retenir un léger sourire... sourire qu'il gomma cinq secondes plus tard afin de ne surtout rien trahir. Voilà encore de quoi semer le doute dans son esprit : si Vraona était une amie ou une fille comme les autres, pourquoi se sentait-il réjoui à l'idée qu'elle soit célibataire en même temps que lui ? On a souvent tendance à dénigrer les signes et, par nature, Kilian n'était pas quelqu'un qu'on pourrait qualifier de superstitieux... néanmoins, certaines coïncidences méritent parfois qu'on y prête une oreille attentive. C'est donc sans réfléchir lui non plus qu'il répondit à ce sujet. "Ca nous fait un point commun, alors. Même si, de mon côté, j'étais plutôt du genre à avoir quelques aventures ici et là, des trucs sans conséquences. J'suis tellement bon au pieu que ça me semblait égoïste de ne pas en faire profiter les autres." ajouta-t-il avec une fausse prétention tout en levant la tête de sa toile afin d'accorder un sourire tout à fait sarcastique à Vraona. Elle vantait son corps de rêve - et au fond, elle avait bien raison - alors pourquoi ne pas se la péter à deux ? Soyons extraordinaires ensemble plutôt qu'ordinaires séparément, comme dirait l'autre. L'emploi du passé pour décrire son attitude avait d'ailleurs été inconscient, il ne s'était rendu compte de cela qu'après avoir parlé. Comme s'il était prêt à passer à autre chose. Le Breton fronça légèrement les sourcils. "Attends, ne bouges pas, je vais juste changer un détail..." Il contourna sa toile puis s'approcha de Vraona : il s'accroupit et se mit à sa hauteur pour écarter doucement quelques mèches de cheveux, puis pour en remettre d'autres afin d'accentuer ce petit côté sauvage qui lui allait si bien. "En tout cas, ce mec perd beaucoup... parce que s'il te voyait comme je te vois, il se rendrait compte à quel point tu..." Alors qu'il continuait à changer un peu la position des mèches brunes de son modèle, le regard bleu azur de Kilian plongea avec intensité dans le sien. Quelques secondes s'écoulèrent, peut-être deux ou vingt, il n'en savait rien. Tout ce qu'il sut, c'est qu'il devait le faire. Il approcha son visage de ce lui de Vraona, fit glisser sa main de ses cheveux jusqu'à sa nuque et déposa ses lèvres sur les siennes.
Un baiser à en faire pâlir d'envie Brad et Angelina en personne. Tout Hollywood pouvait aller se rhabiller car dans ce baiser, il n'y avait absolument rien d'artificiel. Seulement de la passion en pagaille. Soudain, Kilian prit conscience de ce qu'il était en train de faire et se recula vivement. "Et merde... pardon, excuses-moi, je... c'est pas correct, désolé." Voilà qu'il s'excusait, maintenant ! Un truc qui ne lui arrivait pour ainsi dire que tous les 36 du mois de février lors des années bissextiles. Le Breton se recula et passa une main dans ses cheveux en poussant un soupir alors qu'il marchait vers la fenêtre ou vers sa toile. "C'est venu d'un coup, ça ne m'arrive jamais, d'habitude... j'arrive pas à me concentrer, j'ai la tête ailleurs..." La colère commençait tout doucement à le gagner. Surtout envers lui-même, de n'avoir su maîtriser ce vif accès de désir sorti d'on ne sait où. Maintenant, le plus dur restait de voir quelle serait la réaction de Vraona. "Si tu veux que... que je sorte, que je te laisse toute seule, dis-le moi. J'ai été trop loin." Trop loin ou pas assez ? Merde, Kilian, arrêtes de te poser des questions pareilles ! Il se tourna pour la regarder avec une légère forme de gêne.
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