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ça faisait longtemps! #Olivia#

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MessageSujet: ça faisait longtemps! #Olivia# ça faisait longtemps! #Olivia# EmptyMar 28 Fév - 21:32

Ciarán sentit qu’on le secouait, qu’on l’appelait c’était une voie d’homme mais il ne la reconnaissait pas. Il émergea et se retrouva face à un homme. Et oui, un mec, Ciarán était bi pour le plus grand malheur de son père. Celui l’ayant mis dehors quand il l’a appris, ne veut plus entendre parler de son fils et ne le considère plus comme tel. Il se redressa, et regarda au tour de lui. Il remarqua bien vite que ce n’était pas son lit, doucement il se remémora la soirée. Il était sorti avec des amis pour se changer les idées, pour essayer d’oublier la fusillade de la Saint Valentin. Lui, il n’avait pas été a la soirée, il n’avait pas petite-amie ou petit-ami et c’est surtout qu’il avait promis à sa mère-récemment séparé de son mec- de se faire un petit repas entre mère et fils. Il n’avait donc pas vécus cette terrible soirée mais il la ressentait dans les autres, il l’avait vécus par leur paroles, alors bon ami il les soutenait. C’est comme ça qu’il s’était retrouvé en boite avec ses amis, quelque verre, quelque dance et encore quelque verre et encore quelque danse avec un homme… Et il avait finis dans son lit… Une fois la soirée remémoré il regarda sa montre : Six heure !! Il n’était pas sympa le mec, il aurait put le laisser dormir un peu plus, mais bon après il avait une bonne excuse : il devait aller bosser ! Ciarán avait un peu tu mal à le croire, mais bon il s’en fichait, ils n’aillaient surement pas se revoir.

Une petite-demie heure plus tard, le voila à arpenter les rue de San Francisco pour rejoindre le campus, une brume matinal rendait l’air plus froid. Un mal de tête plutôt affreux avec tout l’alcool qu’il avait bus. Le jeune homme n’était pas du genre à être saoul dés qu’il sortait mais parfois ça lui arrivait, un peu comme à tout le monde. Il parcourra les rues qui commençaient à se remplir des gens du matin, des collégiens, des lycéens. Il aimait bien cette ambiance, une petite brume matinal mais au sent que soleil veut pointer le bout de son nez, des gens qui va et vienne. Un jour il viendrait faire un croquis, s’imprégner de cette ambiance et peut-être la peintre. Il resta là, un moment assis sur un banc et regarder les gens passer. Un soupire, heureusement il n’avait pas cour avant huit heures, il avait une petite heure et demi pour récupère. Il arriva bien vite sur le campus qui lui aussi s’éveillait doucement, certain étudient était déjà éveillé…

Il se glissa doucement dans la chambre qu’il partageait avec sa meilleure amie. Discrètement, il attrapa des vêtements propres, et ses affaires de cours… Une petite douche, des vêtements propre, un coup de parfum et le Sigma partis à la recherche d’un coin pour se reposer. Il n’avait pas envie de retourner dans son lit, il savait que s’il le faisait, il n’aurait pas le courage de se lever. Le parc n’était pas une bonne idée vue la température qu’il faisait… Il se dirigea vers l’espace détente, une pièce qu’il aimait bien parce qu’elle était souvent vide et c’était l’endroit parfait pour faire une petite sieste avant les cours… Il poussa la porte : personne, merveilleux ! Il se cala dans un vieux sofa, et commença à somnoler doucement. Un soupire, il se laissa aller les yeux fermés, mais les oreilles en alertes mais tout doucement il se laissa tomber dans les bras Morphée. Mais la porte grinçant l’en empêcha, il se redressa et fixa la jeune fille devant lui. Une jolie blonde, qui le fixait, il mit quelque seconde a percuté qu’elle ressemblait à Olivia… La jeune fille à New-York avec qu’il passait toute les soirées mondaine depuis son plus jeune âges. Olivia et lui n’aimait pas se genre de soirée et s’était donc tout naturellement rapprocher… Mais ça devait bien faire deux ans qu’ils ne s’étaient pas vus, la premier raison c’est qu’il avait quitté New-York depuis plus d’un an…



-Olivia ?
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MessageSujet: Re: ça faisait longtemps! #Olivia# ça faisait longtemps! #Olivia# EmptyJeu 1 Mar - 15:49


★LIVE LAUGH LOVE

    Ce matin, pour la première fois depuis la fusillade qui remontait à un peu plus de deux semaines, j’avais décidé de me lever tôt et de sortir. J’en avais assez de restée cloitré et j’avais besoin de prendre un peu l’air. Depuis le drame je n’avais pas assistée à beaucoup de cours, j’essayais de suivre grâce aux emails des profs qui envoyaient les devoirs et les choses importantes à savoir, mais je n’avais vraiment pas la tête à travailler et ce pour la toute première fois de ma vie. J’avais toujours été brillante de ce fait personne ne me reprochait mon coup de mou de ces derniers jours vu les circonstances. Mais après deux intenses semaines d’ermitage, j’étais décidé à essayer de tourner la page. Mon réveil c’était donc enclenché à six heures et demie, j’avais aussitôt fouillé dans ma penderie pour trouver un cycliste, un sweat-shirt et une paire de basket. J’allais faire un petit footing histoire de me libérer l’esprit et m’aider à affronter cette journée à venir. A cette heure-ci le campus était désert, pas un chat à l’horizon et le soleil n’était pas tout à fait levé lui non plus. Je pris une bouteille d’eau dans le frigo et quitta la maison Sampi sans un bruit. Je ne voulais pas croiser qui que ce soit, pour je ne sais quelle raison j’étais devenue quelque peu associable ces derniers jours et je ne semblais vraiment pas prête à pouvoir tenir une véritable conversation. Aussitôt dehors, je me suis mise à courir à petite foulé, la fraicheur du matin, le calme et le vent soufflant sur mon visage, tant de choses qui me firent me sentir bien. A mesure que j’avançais, ma respiration s’accélérait et pourtant j’avais l’impression de ne pas avoir aussi bien respiré depuis des jours. Je continuais de monter le rythme. Après vingt minutes de course je me trouvais déjà à une allure beaucoup trop rapide pour que je tienne encore bien longtemps et pourtant je ne pouvais pas m’arrêter. Mes jambes commençaient à me tirer, mon cœur battait si vite que j’avais l’impression qu’il allait exploser, ma tête tournait et j’avais comme l’impression d’étouffer. Quarante minutes de course et je continuais de supporter l’insupportable. Toute ma tête était en train de se vider, et je ne pouvais pas me stopper avant qu’elle ne soit complètement vide et que mes idées soient claires. J’avais refait demi-tour si bien qu’au bout de cinquante minutes je me trouvais à nouveau proche de la maison. Dans un dernier effort, je montais encore un peu le rythme et piquais un sprinte pour atteindre la maison Sampi. A bout de souffle, j’ouvris ma bouteille d’eau et au lieu de boire je me la vidais sur le visage. J’avais chaud et j’étais incapable de reprendre ma respiration mais je me sentais plutôt bien malgré le vertige qui me prenait. Je me sentais vivante. Je montais les marches qui mènent au porche de la maison et plutôt que de rentrer, je m’asseyais sur un banc. Je vis deux étudiants appartenant à ma confrérie sortir, tous les deux me fixèrent mais ne s’attardèrent pas plus que cela sur moi. Je pris quelques minutes pour me calmer et enfin, je décidais de retourner dans ma chambre. Je pris une douche, enfilais une robe légère car étonnement il ne faisait pas si froid que cela, je pris quand même la peine de mettre une paire de collants histoire de pas passer pour une dingue et un gros gilet en maille. Ensuite j’attrapais mon sac où je mettais de quoi écrire et quelques bibelots supplémentaires, mon portable, un élastique pour mes cheveux, un miroir et un tube de baume à lèvre. J’enfilais une paire de talons histoire de me grandir un peu et quitta à nouveau ma chambre. La tête baisée toujours afin que personne ne vienne me voir pour m’adresser la parole, je décidais de partir sans même manger un morceau. Pourtant je mourrais de faim, mais mon estomac était trop noué pour que je puisse ingurgiter quoi que ce soit. Un flux d’étudiants était maintenant en marche vers les bâtiments où les cours ne tarderaient pas à commencer. J’appréhendais vraiment de me retrouver au milieu de la foule, depuis la Saint Valentin et la fusillade, je ne pouvais pas cessée de penser au fait que les endroits trop occupés, trop bruyants, étaient dangereux. Je me dépêchais donc de rejoindre le bâtiment principal, arrivée devant ma classe je ne sais pas ce qu’il s’est passé mais je me suis retrouvée incapable d’entrer. J’ai vu un amphi rempli de personne et j’ai fait demi-tour. Je n’étais pas prête. J’aurais voulu y arriver mais je sentais que si je mettais un pied dans cette classe je risquais de complètement péter un câble. Je décidais donc de me diriger vers un endroit où je serais au calme. L’espace détente était l’endroit parfait, en règle général c’est un lieu qui est vide quatre vingt dix pourcent du temps. Je pris bien garde de passer par un chemin spécifique de façon à ne pas avoir à passer devant la cafétéria là où le drame avait débuté, ni dans un autre endroit proche. Je ne voulais rien voir de cette partie de l’université, des banderoles de la police s’y trouvaient encore de toute manière alors je n’avais rien à y faire. Je poussais donc la porte de l’espace détente et croyant le temps d’une seconde que j’étais seule je laisser échapper un long soupir comme si je me trouvais soulagée. Je vis alors un jeune homme allongé, donnant l’air de dormir. En m’entendant il s’était relevé et me regardait. Lorsque je l’entendis prononcer mon prénom, j’eu un mouvement de recul. Je fronçais les sourcils pour bien me concentrer sur son visage. Je n’avais parlé à personne depuis ce qui me semblait être des semaines. Je ne pouvais apparemment pas y échapper désormais, pourtant je n’avais aucune envie de parler. Vraiment pas. Le visage fermé et le regard un peu étourdi, je reconnue le jeune homme. « Salut Ciarán »
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MessageSujet: Re: ça faisait longtemps! #Olivia# ça faisait longtemps! #Olivia# EmptyJeu 29 Mar - 15:00

Ciarán n’avait pas reconnus toute suite la jeune fille mais c’était bien Olivia.Il la regarda un instant avant de l’appeler, son visage était marqué. Elle semblait fatiguer, stresser, triste, il se doutait bien que c’était à cause de fusillade, tout le monde était sur nerf en ce moment, tout le monde dormait plus ou moins bien… elle recula, surprise lorsqu’il l’appela, le brun fronça les sourcils… La réponse arrivée avec le visage fermé, le regard un peu perdus… Il était inquiet, il ne l’avait jamais vu comme ça. De toutes les soirées qu’ils avait passées ensemble, il ne l’avait jamais vus aussi perdus, aussi triste, il savait, se doutait pourquoi elle était comme ça et encore une fois il sentit mal, très mal à l’aise. Il n’était pas a la fête du soir de Saint Valentin, il n’avait pas assisté au massacre non lui avait diné avec sa mère, riant a mile lieux de s’imaginer ce qui vivait ses amie à l’autre bout de la ville. Il se sentait mal pour ça, mais aussi parce qu’il était quelqu’un qui avait la capacité de se mettre a la place des autres…

Il lui fit un petit sourire, et s’approcha d’elle il voyait bien qu’elle n’avait pas spécialement envie de parler pour le moment. Alors il l’a prit dans ses bras, la serra doucement contre lui… un geste juste amical, il n’ya vait aucune arrière pensé, il voulait juste la réconforter... Même s’il ne l’avait pas vu depuis quelque année, elle était toujours pour lui une amie très précieuse et le voir ainsi le rendait très triste, et un geste faut parfois mieux qu’une parole. Il ne dit rien, il la garda juste dans ses bras pendant un petit moment, la berçant doucement… il le relâcha et le regarda avec un léger sourire.


-Ca va aller ?

Oui, Ciarán avait toujours un sourire réconfortant même quand tout aillait mal, il préférait prendre sur lui et afficher un sourire pour rassurer les autres

-ça fait longtemps qu’on s’est pas vus…

Il retourna s’assoir et tapota la place à cote de lui pour inviter Olivia à s’assoir à coté de lui. Il ne lui demanda pas si elle aillait bien, il ne fit pas cette indélicatesse… Toujours aves le même sourire, il décida de continuer a parler mais en évitant toute autre allusion a la fusillade

-Toi aussi tu a fuis New-York, et les soirées plutôt stupide..

Il ne savait pas si, Olivia savait pourquoi il l’avait subitement disparus de New-York, son père avait dut surement trouver une quelconque raison pour expliquer son absence…

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MessageSujet: Re: ça faisait longtemps! #Olivia# ça faisait longtemps! #Olivia# EmptyMar 3 Avr - 19:40


★LIVE LAUGH LOVE

    Ciarán ne méritait certainement pas de devoir supporter ma mauvaise humeur et peut-être même ma colère, mais honnêtement s’il y a bien une chose que je ne voulais pas faire à cet instant précis, c’était parler. Alors lorsqu’il me demanda si ça allait aller, je ne répondis que par un simple haussement d’épaule. D’ordinaire je suis le genre de fille tout ce qu’il y a de plus gentille et surtout polie, mais en ce moment je n’ai pas le cœur à faire d’effort, ni à faire semblant d’en faire. Je ne vais pas bien et je ne veux pas le cacher, je n’en ai pas la force. Alors disons que pour les jours à venir les bonnes manières et les grands sourires peuvent aller se faire voir, je leur offre des vacances. Plus ça va et plus je me rends compte qu’être la fille parfaite qui débarque de NYC avec une ambition énorme et tout l’or du monde dans les poches mais prétend malgré tout être accessible et simple, ce n’est pas moi. Ou en tout cas ce n’est plus moi. Je ne veux plus être parfaite parce qu’au final qu’est-ce que tout ça nous apporte? On a beau rien demander à personne et même se montrer gentil et serviable, ça n’empêchera pas le monde de rester laid et hypocrite. Tout ça me dégoûte trop pour que je continue à faire semblant. Dommage que mes retrouvailles avec Ciarán se fassent dans ces circonstances, lui a toujours été sympa avec moi. Quelque part je m’en veux de m’afficher comme cela devant lui, d’ailleurs s’il est lui aussi étudiant à Berkeley, peut-être qu’il connaissait des victimes ou qu’en tous cas lui aussi se sent mal vis-à-vis de ce qui s’est passé. C’est vrai, parce qu’après tout je ne suis pas la seule à vivre tout cela très mal. Les amis et la famille des blessés et des morts, eux doivent bien se sentir encore plus mal que moi. Au fond je suis bien égoïste… Alors que Ciarán continue de me parler, je pose mon sac au sol et vais m’asseoir sur l’une des banquettes. Je ne devais pas être jolie à voir, même si ma tenue était plutôt « mignonne » je ne m’étais pas vraiment maquillée et je savais très bien que mes yeux étaient enflés à force d’avoir trop pleuré et de n’avoir pas assez dormi. D’ailleurs, je ne pu retenir un bâillement avant de me tourner à nouveau vers mon interlocuteur. «Oui, ça fait longtemps…». En regardant une petite étagère de l’autre côté de la pièce, je remarque un livre qui m’attire l’attention. Je me relève alors pour tenter de le voir de plus près. Le titre est en chinois ou en japonais, à vrai dire je ne saurai faire la différence. Je ne sais pas pourquoi mais cela me surprend un peu de trouver ce genre de bouquin étranger dans cette pièce. Une fois de plus je me suis égarée, alors je me retourne et vois Ciarán se rassoir sur sa banquette, là même où il était assis avant que moi-même je n’entre dans la pièce et vienne perturber son moment de solitude. Il m’invita alors à le rejoindre sur le canapé en tapotant l’espace libre à côté de lui. Je me surpris à froncer les sourcils. Je ne sais pas trop pourquoi mais je ne pouvais pas me résoudre à aller me mettre à côté de lui. Je ne pouvais pas supporter l’idée de me retrouver si proche de quelqu’un, voir rentrer en contact physique avec lui. Depuis la fusillade je ne supportais pas d’être touchée, même par accident lors des bousculades de couloir… Alors je ne fis rien et resta debout comme si je n’avais pas remarqué son invitation. Soudain, il m’interrogea sur son départ de New York et employa un mot qui m’interpella. «Je n’ai pas fuis New York. Je suis venue ici pour mes études, parce que c’est ici que je pouvais obtenir le meilleur enseignement possible. Berkeley est plus réputé que Columbia et NYU alors le choix est vite fait. C’est tout. Je n’avais rien à fuir, je ne vois pas pourquoi j’aurai fuis…». Ma réponse me sembla plus agressive que je ne l’aurai voulu. Presque instantanément je m’en suis voulu de lui avoir répondu ainsi. « Je… enfin… c’est vrai que les soirées dont tu parles ne me manque pas.». J’essayais tant bien que mal de rattraper le coup, après tout Ciarán ne m’avait rien fait et je n’avais pas le droit de le traiter de la sorte. Dans un ultime effort qui me demandait presque une force surhumaine, je lui fis un faible sourire. C’était le mieux que je puisse faire à cet instant précis.[/b]
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MessageSujet: Re: ça faisait longtemps! #Olivia# ça faisait longtemps! #Olivia# EmptyMer 16 Mai - 17:33

:out:
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