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Une rançon... VITE! [PV CEC]

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MessageSujet: Une rançon... VITE! [PV CEC] Une rançon... VITE! [PV CEC] EmptyLun 30 Jan - 11:59

•• Une rançon s’il vous plait?
♠ Kirsty & Charles.


Le soleil ce levait paresseusement sur la ville de San Francisco, que déjà je vaquais à mes occupations personnelles. L’odeur du café envahissait déjà mon petit, mais au combien confortable, appartement. Je venais de tirer les rideaux, laissant la clarté du jour venir ce glisser doucement sur ma peau de porcelaine et je la laissa s’infiltrer dans mon petit coin de paradis. Mon retour à Berkeley ne fessait pas l’unanimité, mais je ne m’en fessais pas avec cela. Chaque chose retrouvait tranquillement sa place dans ma vie de Duchesse. Benjamin vivait avec mes parents, mon frère avait enfin reprit le gout de vivre et Marjorie vivait tranquillement le parfait amour avec un Duc, dont j’ignorais l’existence. Je tenais ma tasse de café près de ma poitrine, regardant à l’extérieur, le magnifique portrait qui ce dressait devant moi. Un long soupire s’échappa d’entre mes fines lèvres avant de venir frapper contre le liquide chaud que je gardais toujours bien contre moi. Mon habitat était petit, modeste et très bien décoré. Sachant que je ne vivrais pas des lustres dans cet endroit, j’avais opté pour une décoration fine et chic, sans être trop développée. Dans les teintes d’ivoire et de doré, chaque pièce respirait la sérénité et la douceur qui occupait maintenant mon cœur. Je posai la tasse de café sur la petite table de chevet qui ce trouvait à la droite de la grande fenêtre puis je m’étirai un bon coup, question de bien me réveillée. D’un pas lent et léger, je me dirigea vers la salle de bain, retirant tranquillement les vêtements que je portais. Une fois complètement nue, j’alluma la douche et m’y glissa. L’effet de l’eau chaude sur ma peau fragile me rendait euphorique, complètement envoutée. J’adore cette sensation de bien être qui m’envahit dès que je profite du temps que j’ai pleinement. Une fois la douche prise, je m’enroula dans un drap de bain en coton blanc et me dirigea vers ma chambre. Le drap ne contrastait pas trop avec la pâleur de ma peau. À croire que j’étais vierge… Vous savez, cette vieille légende? Plus la peau de la jeune femme est pâle, plus elle est vierge… M’enfin, elle me fait rigoler cette légende…

Le drap glissa doucement le long de mon corps avant d’atteindre le sol. De nouveau complètement nue, j’attrapa mon peignoir de soie et l’enfila avant de m’asseoir confortablement devant mon miroir, prête à me faire une petite beauté. J’étais concentrée à appliquer mon mascara lorsque l’on tocqua à la porte. J’haussa un sourcil, sachant très bien que je n’attendais personne. Je retira mon peignoir et enfila des sous-vêtements avant de mettre un jeans et un chemisier blanc. On refrappa à nouveau, mais avec une intensité qui ne me plaisait guère. Je me dirigea vers la porte tranquillement et l’ouvrit avec précaution. Ce à quoi je fis face me glaça le sang. Trois hommes ce tenaient devant moi, un sourire en coin. Le plus grand des trois était chauve, pas un poil sur le crâne et une longue cicatrice lui parcourait la joue. Sûrement une bagarre qui avait mal tournée. Le deuxième, était de taille moyenne, quand même assez classe. Il avait une tonne de gel dans les cheveux et il semblait être le plus jeune. Le dernier ressemblait à un vieux italien pas très propre, celui qu’on engage qu’en dernier recours. Vivement, je referma la porte, chose qui me fut impossible car l’un d’entre eux la repoussa vivement avec son pied. Un cri de surprise s’échappa d’entre mes lèvres, d’un pas pressé, je me dirigea vers le salon, j’eu juste le temps d’attraper mon téléphone que la pointe d’un revolver se posa sur ma nuque. Le plus grand, enfin j’imagine, m’ordonna de le poser et de m’asseoir dans le fauteuil fasse à moi, ce que je fis sans argumenter. Croyez-le ou non, je tenais à ma vie. L’un enfila des gants noirs et commença à fouiller un peu partout dans mon appartement et l’autre ferma les rideaux. Le grand balafré continuait de pointer son arme sur moi, un sourire aux lèvres, comme si de rien était. La seule chose que je voulais, c’était que l’on m’explique ce que l’on me voulait! Bon… D’accord, je suis Duchesse, en liste pour être héritière du trône d’Angleterre… Et alors? Je n’ai pas le droit de vivre une vie pour le moins normale? Bref, le trapu qu’on-engage-qu’en-dernier-recours, articula quelques choses à ses deux acolytes. Le grand s’approcha de moi et m’assena un violent coup de revolver dans bas du coup, me faisant perdre connaissance.

Il fait froid et il fait sombre, j’ai un nœud dans les muscles de ma nuque. On aurait dit que j’ai dormit sur du béton. Ma tête est lourde et la sensation que je ressens est désagréable. J’ouvris les yeux et prit quelques minutes avant de m’habituer à la faible lumière qui baignait la place dans laquelle je me trouvais. À en juger l’odeur qui se dégageait de la pièce, l’endroit était mal isolé et sûrement inhabité. Je fronçai le nez un peu puis toussota, j’avais la bouche sèche. Une porte s’ouvrit, laissant la lumière entrée de nouveau. Le grand balafré s’approcha de moi, m’attrapa par le bras puis me mit sur pied, me forçant à avancer.

« Hé, pas la peine de me mal mener espèce de grosse brute! »

Il éclata de rire puis le poussa hors de la pièce, une fois hors de cet endroit médiocre, on me força à m’asseoir sur une chaise et on me ligota les mains. Je laissa un long soupire s’échapper puis je croisa mes jambes. Non, je n’étais pas stressée, je savais ce qui arriverait. Cependant, ce que je n’avais pas prévu arriva. L’homme classe s’approcha de moi et me donna une grosse claque du revers de la main. Tellement forte que la chaise tomba à la reverse, me faisant tombée du même coup. Je gémis doucement, de douleur bien entendu. Il s’approcha de nouveau et redresse la chaise à nouveau avant de refaire son geste. Ce qui l’empêcha de me relever, ce fut la porte d’entrée qui venait de s’ouvrir. J’avais les yeux clos et je ne voulais pas voir qui venait d’entrer, j’avais peur tout à coup… Peur qu’ils continuent pour avoir un montant d’argent… J’avais peur qu’ils travaillent pour lui et qu’il me fasse payer… Cependant, ce ne fut pas sa voix que j’entendis, mais bien une voix familière…



1071mots.


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MessageSujet: Re: Une rançon... VITE! [PV CEC] Une rançon... VITE! [PV CEC] EmptyVen 3 Fév - 4:40





Kirsten && Charles-Edouard

Dans ma vie, rien ne se passe comme je le veux. En même temps, quant au fond de soi l’on sait que l’on est attiré par autre chose, sans le dire à l’autre. Aujourd’hui, je suis dans une impasse, moi qui penser vouloir construire quelque chose de vraie avec Shiloh, je me retrouve à l’avoir trompé pour Noël et a l’éviter comme la peste, le seul moment décent que je pense eu avoir avec elle a était notre premier baiser, en clair, j’ai agi comme un vrai connard, est-ce réellement l’image que je veux que l’on ait de moi ? Rien n’est plus difficile que changer l’image des autres vis-à-vis de soi-même. La vie d’étudiant semble facile à côté de cette double vie que je mène. J’ai l’impression d’être dans un remake du Dr. Jekyll et Mr.Hyde, ça en devient assez dérangeant, et pourtant je n’ai pas le choix. Faire coexister deux côté de ma personnalité, deux facettes pleines de vices et de défaut, emplie de qualités et de beautés. Le bon, et le mauvais. La lumière et l’obscurité. Le bien, et le mal. L’étudiant qui vit sa vie en se souciant des autres ou bien le chef mafioso qui essaye de s’accommoder de son pouvoir et d’enfin assumer son goût prononcé pour celui-ci. Il y a un choix à faire, et je ne le ferais pas pour l’instant, tant que la situation ne l’exige pas expressément. Entre l’amour, la vie et les choix que je dois faire, je ne sais plus trop où donner de la tête, mais je fais de mon mieux pour m’en sortir à peu près dans tout ce que j’entreprends, peu importe la fille et peu importe la personnalité que j’adopte, qu’ils ont reconnus et apprécier. J’apprécie moi-même les deux aspects de cette personnalité qui se font bien distinctes chez moi, distinctes car je les caches du grand public et ne les montre qu’à de rares personnes, je ne veux vraiment pas jouer avec le feu. Mais des fois, on n’a pas vraiment le choix, comme ce qu’il s’est passé durant Noël, je ne sais pas si c’est de l’amour, mais au retour tout a changé, la sorte de promesse que l’on s’est faite n’a pas été tenu, et à un moment ou un autre je ne tiendrais pas. Le peu de sentiments que j’avais pour Shiloh sont encore présents, mais vont bientôt disparaître, je ne vais pas rester plus longtemps avec elle, cela ne sert à rien de toute façon. L’amour n’existe pas, du moins, pas avec elle, et je crois qu’elle l’a compris, depuis mon retour je ne suis plus le même, de toute façon, depuis cet été, je n’ai plus jamais été le même. La mort change les gens, alors mon père semble avoir tout prévu pour que je ne sois plus jamais tranquille, et que je prenne la relève de sa création, je n’ai plus le choix à présent, une partie de moi le désire tellement que j’en tremble. Je n’ai plus de vie réelle, j’en ai deux.

Assis sur mon lit, me regardant dans le miroir, il est tard, 3h00 du matin. Je tremble, toutes mes pensées me font trembler d’excitation, d’envie, de tellement de choses que je ne sais comment toutes les réaliser, toutes les ressentir. Il faut savoir faire avec, alors je m’allonge cinq minutes, et au final je m’endors. A mon réveil j’ai chaud, le soleil s’est faufiler sur moi et me tient chaud, j’ai le bouche sèche, j’ai soif. Me débarrassant de mes fringues une fois arrivé dans la salle de bain, que j’entrepose dans le bac pour les fringues utilisés, boit un peu d’eau au lavabo de la salle de bain et le rejette pour réhydrater ma bouche, par la suite je me regarde dans le miroir avant d’aller sous le jet d’eau que je fais jaillir, brulant, puis moins chaud jusqu’à avoir une température convenable. Je soupire et me laisse doucement me réveiller, tranquillement, j’espère qu’il n’est pas trop tard, car je sais qu’aujourd’hui le côté le plus monstrueux de ma personne est réveillé lui, depuis plus longtemps que moi, il ne dort jamais, toujours en quête de pouvoir, et j’avoue ne pas en être indifférent. Je me lave et me sèche rapidement, enfilant un costard, suivi d’une veste noir et longue, regardant mon portable, il est 16h00, il est tard. Quelques appels manqués, aucun message, je finis par rappeler un des gardes présents avec la prisonnière faite. « Alors, vous avez cette.. duchesse anglaise c’est ça ? Potentiel future héritière ? Okay, j’arrive de suite. » Pas de désolé, rien du tout, aucune politesse, rien, juste être froid, impitoyable, un chef d’une organisation criminelle ne peut avoir le luxe d’être poli aussi, du moins cela dépend avec qui, et surtout les victimes. Un coup, de quoi avoir des sous. Berkeley est un richissime lieu dans lequel on peut enlever des futurs héritiers et en retirer l’argent chez leurs parents, n’est-ce pas magnifique ? La couverture d’étudiant est parfaite, personne ne regardera en dessous, en tout cas, tant que je ne me fais pas réellement remarquer. Une fois en bas, j’hèle un taxi et indique ma correspondance, sans être clair, on ne sait jamais. Une fois arrivé dans ce quartier peu enclin aux visites, mais qui a la chance d’être un terrain privée acheter par mes soins mais utiliser rarement. Une ferme, à quelques lieux de Berkeley et de San Francisco, loin de tout, sans être vraiment si loin. J’arrive rapidement sur les lieux, et me dirige rapidement vers l’entrepôt, gants noirs mis, j’inspire un bon coup et finit par entrer dans la pièce où se trouve la prisonnière, dans e grand entrepôt emménagée non loin de la propriété, caché par les végétations qui fait penser à une grange ou une serre. Mes hommes sont heureux de me voir, un sourire satisfait apparaît sur leurs visages, et je m’approche d’eux, mon regard se pose sur la belle brune posée sur la chaise. Je vois des traces rouges sur sa joue, je regarde le grand gaillard et m’approche de lui « Qui t’a donné l’ordre de frapper nos prisonniers ? QUI ?! » Dis-je en haussant le ton, et d’attraper le visage du garde entre mes doigts, le serrant et l’obligeant à me regarder, malgré sa taille supérieure à la mienne, dans les yeux. Il ne répondit pas et se prit une gifle de ma part avant que je n’aille vers la demoiselle. Doucement je pose mes mains sur son menton pour relever son visage qui s’est baissé, ces yeux qui se sont fermés, ne serait-ce pas… ?! « Qu’on nous laisse ! – Sous le regard surpris de mes gardes, je pris de nouveau la parole – Il faut que je vous montre comment on ouvre la porte ? DEHORS ! » Dis-je alors en fermant derrière eux la porte et m’y enfermant avec Elle. Je m’approche de la chaise, ne la détachant pas et m’assit sur le bureau, elle n’a toujours pas ouvert les yeux, et je ne sais que faire, mais je n’ai pas le choix, le dernier souvenir que j’ai de cette fille, celle que mes hommes ont kidnappés et lors d’un déménagement, lorsque je lui avais proposé de vivre avec moi et que dans ma chambre de Gamma que j’allais quitté nous avons fait l’amour, comme deux amoureux qui ne voulaient se l’avouer. Doucement je pris de nouveau parole et prononça suffisamment fort pour qu’elle seule l’entende, au cas où « Ça fait longtemps Mademoiselle la Duchesse. C’est donc pour ça que tu n’es pas venu habiter avec moi cet été là ? Mademoiselle a d’autres responsabilités ? » Un peu discerner de la rancune dans ma voix, mais le hasard a voulu que ce soit-elle, je ne le savais pas, et aujourd’hui je l’apprends à mes dépends, comme elle apprend mon secret, mon secret obscur. Je ne sais pas encore ce que je vais faire, mais pour l’instant, l’heure est à la découverte, ou à la redécouverte.


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MessageSujet: Re: Une rançon... VITE! [PV CEC] Une rançon... VITE! [PV CEC] EmptyJeu 9 Fév - 15:32

•• Une rançon s’il vous plait?
♠ Kirsty & Charles.


Ma joue me brûlait affreusement. J’allais me venger s’il avait abimé mon visage de porcelaine. Il y avait une forte odeur de purin, de porcherie dans l’endroit où nous étions. L’humidité de la place la rendait froide et désagréable. Je frissonnais. Mon chemisier n’était pas vraiment approprié pour la température de l’entrepôt. L’homme me regardait, le sourire aux lèvres. Il a redressé la chaise. Alors qu’il s’apprêtait à me redonner une gifle, il arrêta son mouvement, au moment où la porte s’ouvrit, faisant place à ce qui semblait être son chef. Mes yeux étaient clos, de peur qu’ils remarquent le sentiment d’effroi qui y planait. Le chef avait remarque la trace sur ma joue. Il retourna la gifle à son associé. Le bruit qu’elle avait occasionné m’avait fait sursauter et gémir de surprise. Des pas ce firent entendre. On s’approchait de moi. Mes yeux restèrent clos, ne voulant pas voir la personne qui s’approchait. À en juger par sa voix, il n’était pas très âgé. Sa main, gantée vue la texture, s’était posée sur mon menton, relevant tranquillement ma tête. D’une voix claire, mais inquiète, il ordonna que l’on nous laisse seul. Les hommes s’exécutèrent sur le champ, comme s’ils avaient peur de lui. La porte ce referma brusquement et ce fut ses paroles qui me marquèrent.
« Ça fait longtemps Mademoiselle la Duchesse. C’est donc pour ça que tu n’es pas venu habiter avec moi cet été là ? Mademoiselle a d’autres responsabilités ? »
Tranquillement, j’ouvris mes yeux et tomba face à face avec l’homme qui aurait du être mon colocataire.

FLASHBACK

C’était le début de l’été, je me réveillais dans une chambre qui n’était pas la mienne. J’étais dans sa chambre. On avait fait le déménagement la veille, mais lui et moi, on n’y avait pas vraiment participé. Au contraire, on avait prit place dans le lit pour ce laisser aller avec un petit massage J’étais seule dans la chambre, déduisant qu’il devait être dans la douche. Tranquillement, j’étaierais tous les muscles de mon corps. Je n’avais pas vécu ce genre de nuit depuis des lunes. Il avait été doux et romantique. J’attrapai mon portable et découvrit avec horreur des photos de moi dans la cour du jardin familiale, ainsi qu’un article s’y rapportant. Charles n’était pas au courant de mon statut de duchesse et je tenais à ce que ça reste secret. Du moins, pour le moment. Je désirais vivre une vie le plus normale possible. Loin de tout les problèmes. Est-ce que mon anonymat serait valable envers lui, sachant qu’il finirait sûrement par le découvrir? J’avais surtout acceptée d’aller vivre avec lui pour la seule bonne raison qu’il ne connaissait pas mon statut, je n’avais donc pas peur de vivre avec lui. Il ignorait mon statut et je ne pensais que je lui dirais. Qui sait ce qu’il ferait… Il en profiterait peut-être… Je détesterais ça…

FIN DU FLASHBACK
Il était de nouveau face à moi. C’était lui qui avait organisé mon enlèvement et on dirait qu’il ne le savait pas… Je découvrais son terrible secret comme il découvrait enfin le mien… Peut-être que ce n’était pas la bonne manière d’annonce à un homme avec qui ont avait vécu une des meilleurs nuits de sa vie que l’on est une duchesse et que pour le moment, on est son otage. Peu à peu, le silence prenait place entre nous deux. Mes yeux bleus scrutaient son visage, à la recherche d’une moindre réaction. Un long soupire s’échappa d’entre mes lèvres. Ma joue brûlait moins, mais elle avait prit une joli teinte rouge. Je lui souris faiblement puis pris la parole :

« Je ne croyais pas te revoir de ci-tôt… Enfin, je veux dire que je ne voulais pas nécessairement que tu connaisses qui j’étais vraiment à ce moment-là… Il faut croire que je découvre ton statut en même temps… »

Mon regard était toujours poser sur lui. Il était encore plus beau qu’avant et il me fessait réagir d’une drôle de façon… J’avais un frisson qui me parcourait la peau, tant par le froid de la pièce, mais aussi par la situation. Elle était à glacée le sang!

« Et tu as l’intention de faire quoi? Me frapper encore et encore, me prendre en photo et l’envoyer à mes parents afin de demander un montant d’argent quelconque? Tu ne crois pas que tu es assez riche? »

Si mon kidnappeur avait été un autre, jamais je ne lui aurais parler ainsi, mais le fait de savoir que je connaissais l’homme qui ce tenait devant moi, m’effrayait un peu moins… Je me mordilla la lèvre puis soupira doucement avant de le regarder dans les yeux, cherchant un petit signe qui le ferait craquer…


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MessageSujet: Re: Une rançon... VITE! [PV CEC] Une rançon... VITE! [PV CEC] EmptyMar 14 Fév - 23:36





Kirsten && Charles-Edouard

Au fond de moi, je sais déjà ce qu’il va se passer, du moins, pour un premier enlèvement qui risquer d’être fort en émotions, voilà que la situation change du drame au remake mélodramatique, et je vous assure qu’avec Kirsten et moi vous aurez de l’action, et même de l’érotisme pour les voyeurs. Bien sûr, il me faut tout d’abord éclaircir le mystère de nos passés et la remettre calme, acquérir sa confiance et garder son secret comme elle gardera le mien à présent. Voilà une drôle de situation que nous avons-là. Mon regard se pose sur elle, elle est ma prisonnière et je pourrais laisser parler le fou sadique en moi, comme profiter d’elle contre son gré, mais je sais au fond de moi, que si jamais il devait y avoir relation sexuel entre nous deux, ça ne serait qu’un oui. Mais l’heure n’est pas au sexe, mais bien évidemment à un règlement de compte léger entre deux ami(e)s, amants et qui aurait pu devenir tellement plus, mais la vie est ainsi. Et l’un comme l’autre, nous avons choisi nos vies, nos choix et les avons assumés, et le destin, ou bien le hasard de nos deux vies nous as bien réunis, une nouvelle fois, dans une situation moins idyllique que la dernière fois que nous nous sommes vus, et aimer. Je ne sais pas si cela avait été de l’amour, mais nous avons fait l’amour l’un avec l’autre comme si nous voulions donner à l’autre un plaisir qu’il n’aurait jamais avec une autre personne et qu’il ne voudrait qu’avec l’un ou l’autre, juste les deux, un couple on aurait pu dire, mais à présent, cette époque est lointaine. Elle a des responsabilités et moi aussi. Je dois être le méchant et elle est la gentille, l’histoire est écrite de tel sorte que nous ne pouvions nous aimer, mais notre passé est bien ancré et il fait à présent vivre un présent différent. Ma main toujours sur son menton, je me noie dans ce regard que j’ai tant aimé, et la nostalgie et les frissons de notre dernière nuit ensemble viennent émoustiller l’être que je suis, face à elle, tout change, mais le présent comme il est ne change pas ma vie. Trop de temps à passer, trop d’eau a passé sous les ponts, aujourd’hui, nous ne devons plus vivre dans le passé, juste en tirer les explications, les leçons et vivre à nouveau dans le présent. Alors que doucement cette brune arrogante qui est ma prisonnière ce permet de ‘menacer’ je sais bien que ce n’est pas sérieux, et elle attend surement que je la délivre, et c’est surement ce que je vais faire, mais mon côté sadique la laisse attacher, et doucement mes doigts glissent sur sa joue, caressant sa joue rouge de douleur, je punirais cet imbécile, je lui avais bien dit de ne pas être si horrible avec les femmes. Il n’en fait qu’à sa tête, idiot de Corse. Je me rapproche d’elle et je m’assis sur ces genoux, elle contre moi, au plus près depuis tant de temps, mais aujourd’hui nous sommes réunis par le plus grands des hasards, tant mieux pour nous, et tant pis pour eux. Je n’avais que faire d’un enlèvement, tant que ce n’était pas dans mes proches, ils le savaient tous, et aujourd’hui, il venait d’enfreindre cette règle, sans le savoir et sans que je ne le sache moi-même. L’un contre l’autre donc, je pris son visage entre mes mains et me mit pile en face d’elle « Cela doit faire presque 7 mois, si je compte bien, voir un peu plus. 7 mois sans prévenir, tu disparais du jour au lendemain, et moi je dois faire avec. Mais bon, il ne faut pas que j’embête la future reine, c’est cela ? En tout cas.. sache que.. . » Je ne continue pas, et je l’embrasse alors avec une infini douceur, ne pouvant combattre cette terrible envie qui bat en moi, je ne dis rien et lorsque je finis ce baiser de notre passé, je reprends « .. tu m’as manqué foutu duchesse. » Je lui souris, et je ne peux me contenir alors que doucement je lui libère une de ces mains, mais elle continue à parler, et je suis surpris de ce qu’elle laisse sous-entendre, je ne sais pas si elle rigole, et je m’arrête en plein élan pour libérer sa deuxième main mais je n’en fis plus rien, mon regard se posa sur le sien, une nouvelle fois et d’un regard malicieux et empli de désir je repris parole « Oh, non, vu que je te connais je t’aurais laissé partir libre, mais pendant que j’y suis, je pourrais profiter de ma position de grand méchant loup pour dévorer la gentille petite fille du royaume, en souvenir du bon vieux temps.. . – Puis avec sérieux – Tu sais très bien que je ne te ferais jamais du mal, alors ne crois pas que je vais commencer maintenant même si je suis un grand criminel. Tu as mon secret, j’ai le tien, on sera des tombes je l’espère. Et en parlant de tombes, et si tu me disais pourquoi tu n’as pas voulu daigner me prévenir de ton départ ? » Oui, cela remonte à il y a longtemps, mais nous étions sur le point de vivre ensemble, pas comme un couple mais presque, nous couchons ensemble et il n’y avait peut-être pas de sentiments, ou peut-être que si, et c’est là la beauté de la chose, et aujourd’hui, la nostalgie prend le dessus, et les questions aussi, pour lui les poser maintenant.


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MessageSujet: Re: Une rançon... VITE! [PV CEC] Une rançon... VITE! [PV CEC] EmptyMer 14 Mar - 11:44

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