Cancun était une ville absolument magnifique, mais il fallait bien revenir un jour tout de même. Avec Aaron on avait passé des vacances magnifiques, mais il fallait se rendre à l’évidence, le retour à la confrérie changerait bien des choses à commencer par mettre fin à une idylle parfaitement passagère. Un amour de vacances comme on peut appeler ça comme ça, quand on est encore des adolescents. Je ne me voyais pas revenir et dire à Lia « Eh au faite, super ton homme d’ailleurs ça t’ennuie si je le garde un peu ? ». Il fallait donc y mettre un terme et voir comment je pourrais annoncer à Lia que j’avais eu une aventure avec le père de son fils. Il y avait de quoi se sentir très mal, et c’était mon cas. C’était d’ailleurs l’une de mes raisons pour partir le temps d’une journée avec Dylan. Vraiment l’une d’entre elle, car j’en avais des tonnes de raisons : Dylan était ma petite protégée, et j’agissais comme sa marraine la fée avec elle. Dès son entrée dans la confrérie, je me sentais vraiment investi d’une mission : tout faire pour qu’elle s’en sorte au sein de l’université. Mais Dylan n’était pas qu’une mission à mes yeux, bien au contraire. J’avais vraiment fini par apprendre à l’apprécier, et on passait énormément de temps ensemble. En bonne présidente de confrérie, je me devais d’essayer de faire en sorte que les étudiants de la confrérie s’intègre le plus possible. Et tant que je l’étais encore, je voulais vraiment réussir cet objectif avant que peut être quelqu’un d’autre soit à ma place. Aujourd’hui, c’était tous à la plage. Il faisait encore beau, c’était encore les vacances, on devait donc en profiter jusqu’au bout, sans savoir quand seront nos prochaines vacances. Une journée entre Sampi était organisée, pas de listing pour savoir qui venait, c’était chacun comme il avait envie. Le principal était de passer une journée tous ensemble, et d’être on ne peut plus souder. Les Sampi était une grande famille, je ne savais pas si c’était les valeurs de la confrérie qui voulait ça, mais le fait était qu’au sein de la confrérie, la bonne ambiance régnait pour le plus grand bonheur, d’Acideen et moi, les présidentes de confrérie, mais également Samuel, le doyen des Sampi, qui voyait que même au niveau scolaire, la confrérie assurait plutôt pas mal également. Tous les trois on était vraiment aux anges, et j’espérais plus que tout que mon aventure de présidente de confrérie ne s’arrêterait pas là. Mais en attendant de se faire du souci pour les élections de présidente de confrérie, avec Dylan, on avait convenu de faire un peu de surf avant d’aller rejoindre le reste la confrérie pour finir la soirée. Quelques jours auparavant, je m’étais ruinée pour m’offrir une combinaison de surf et ma planche. J’étais une créatrice très douée, mais pas à ce point. Et avec le voyage en Cancun, mes économie était réduit à néant, heureusement pour moi, le patron du bar m’avait appelé pour me demander si reprendre le job à la rentrée, une serveuse avait démissionnée pour suivre son copain à l’autre bout des Etats-Unis, et donc une place m’était offerte pour toute l’année. Je ne pouvais pas refusé, surtout avec le prix de l’année à Berkeley. Je m’étais donc retrouvée sur un magasin de la côté spécialisée dans le domaine, et il m’avait conseillé pour rester dans mes prix. Par chance, il me restait le minimum pour pouvoir aller faire du surf. L’homme paraissait assez étonné tout de même de voir une nana aussi féminine que moi de voir faire du surf. Ça me faisait assez rire tout de même. On avait donc discuté pendant de longues minutes des différents sports que j’avais pu pratiquer. J’adorais le sport, et je pensais avoir tout fait ou presque : tennis, athlétisme – et dans tous les domaines –, du footing, du fitness, et j’en passais. Le sport était une seconde passion chez moi. Mais ça avait toujours était dans des simples tenues de sport, ou encore des choses assez légères, juste qui demandait une grande énergie. Là, j’allais me retrouver avec une tenue qui semblait peser une tonne, et une planche assez longue qui en faisait autant. Mais bon, l’impatience d’aller apprendre un nouveau sport me plaisait encore plus, que je passerais bien au dessus de tout ça. Cela faisait depuis le départ à Cancun que je retrouvais enfin le sourire et la joie de vivre. Quel bien fou que ça pouvait faire, c’était incroyable. Et rien que pour ça, j’avais peur de reprendre les cours, bien que j’avais hâte d’en apprendre plus en matière se stylisme. Passionnée, on ne pouvait pas rater ce trait de caractère chez moi. De chez ma tante, puisqu’on avait rendu les clés du logement pour l’été à l’université – mais nous avions laissés nos affaires dedans, car on était sur de reprendre ce logement là avec ma sœur – j’avais enfilé mon maillot de bain deux pièces ainsi qu’un petit haut, et un short en jean. Dans ma voiture, il y avait encore le sac avec la combinaison, et la planche de surf qui traversait toute la voiture. Rien qu’à l’idée de remettre cette tenue collante, je n’avais pu m’empêcher d’exprimer à voix haute « Mais qu’est-ce qui t’a pris de vouloir te mettre au surf ? » Oui je me parlais souvent à moi-même, la vieillesse avant l’heure comme on dit. J’étais prête assez tôt, et je pris donc la route en direction de la plage, j’avais un sourire qui me brûlait les lèvres depuis mon réveil. C’était donc ça le bonheur, s’il pouvait rester près de moi pendant longtemps, cela ne me dérangerait absolument pas. Bien au contraire, je pensais avoir eu assez de malheurs pendant de long moi pour redonner de nouveau dans le sujet. J’étais humaine, et j’avais aussi besoin de moment joyeux comme celui là, j’en avais plus que besoins là même. L’impatience était tellement présente, que le route me semblait être une éternité pour arriver à retrouver Dylan, avec ses quelques semaines à Cancun, nous ne étions pas vu, et j’avais l’habitude de passer du temps avec elle, alors là. Et puis après, me retrouver au près des Sampi, au près de gens de ma confrérie… SI le temps pouvait s’accélérer sur la route, et s’arrêter une fois là-bas, ça serait le rêve. J’arrivais enfin devant la plage, les vagues étaient belles – en même temps, la Californie – et le sac dans ma voiture qui m’appelait à être mis. J’enlevais mon short sur le parking, et je commençais à enfiler la tenue. J’adorais les tenues moulantes, mais alors là, c’était le pompon. Heureusement qu’il n’y avait personne d’autre sur le parking, je serais surement morte à cause de la honte. Après un bon dix minutes à galérer avec le bas, le haut allait tout seul. Je restais pied nous, et je laissais mes affaires dans le coffre dans la voiture. Avant de rejoindre les Sampi tout à l’heure, je passerai me changer à la voiture. Je marchais donc en essayant de garder le reste d’estime de moi qui restait, et une confiance en moi, totalement incertaine. Dylan était déjà présente sur la plage, et je voyais déjà un sourire se dessinait sur son visage, et sa réflexion ne m’étonnait pas plus que ça, et en la voyant rire, je ne pouvais que rire avec elle. « Je te préviens de suite, si tu en parles à qui que ce soit, je serais obliger de te tuer, alors fait gaffe à tes fesses ma jolie. » Je me regardais de haut en bas avant de déclarer officiellement. « Je suis ridicule dans cette tenue, on ne peut pas surfer en maillot de bain, c’est plus sexy tout de même. » Apparence, quand tu nous tiens. Je n’étais pas une styliste pour rien non plus, et très franchement, les stylistes devraient se mettre à la création de tenue de surf pour les rendre plus agréable quand même. Je m’asseyais sur le sable, le temps de me remettre quand même, je n’étais pas habituée à porter un équipement aussi lourd, heureusement dans l’eau la planche serait sur l’eau, plus besoin de la porter, et de la force dans les bras j’en avais tout de même. « Ne t’en fait pas, j’ai de la ressource. Je ne vais pas me laisser avoir par une planche de surf. Tu ne connais pas encore la sportive qui règne en moi ma chérie. » Lui souriais-je en me montrant pleine d’assurance. C’était tout nouveau et combative, je n’étais pas du genre à laisser tomber comme ça. Ne vous fiée pas aux surnoms, entre Dylan et moi, on avait des surnoms parfois unique. Et les ma chérie, ma jolie, ou même parfois mon amour, restait on ne peut plus amical, mais c’était assez drôle de voir le regard des gens dans la rue quand je pouvais l’appeler comme ça. Je me redressais, en prenant la planche sous le bras, comme les vrais surfeurs, mais elle glissait rapidement, alors je la maintenais avec l’autre main. « On commence par quoi chère professeur ? » . On se dirigeait toute les deux vers le bord de mer pour prendre mon premier cours, et surement une bonne partie de rigolade avec les chutes mémorables que je risquais de me prendre.
June D. J. Martin
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› prénom, pseudo : Fanny, Fannence, la plus mignonne des mignonnes, Fannou › date d'inscription : 19/06/2011 › nombre de messages : 20204 › avatar : Selena Gomez
Sujet: Re: "Les Sampi à la plage" Selon Dylan et Elena Dim 4 Sep - 16:09
La réaction d’Elena me fit grandement rire ! Selon elle, je ne devais dire à personne que je l’avais vu ainsi, sinon elle serait obligée de me tuer. Elena avait l’air de penser que la combinaison de surf ne m’était personne en valeur, bien au contraire. Pourtant, je pourrai lui prouver aujourd’hui que c’était loin d’être le cas. Combien de fois j’avais pu me faire draguer en sortant de l’eau, ou en me posant tranquillement sur le sable pour me reposer… C’était arrivé plus d’une fois que des mecs m’abordent, Cooper, un des professeurs de l’université de Berkeley en tête de liste.
*FLASHBACK* J’étais en première année à Berkeley, première année de médecine. A l’époque, jeune et naïve, je ne m’intéressais pas tellement aux garçons. Du moins, j’avais vécu une première grosse histoire d’amour en Australie, à laquelle j’avais mis un terme en choisissant de venir à Berkeley. Je n’avais à l’époque eu qu’une seule relation, celle là. Et sur mon île, tout le monde connaissait ma relation avec mon surfeuse. De ce fait, je me faisais peu draguer. Mais en arrivant à Berkeley, les choses changèrent. Les garçons me regardaient d’une façon dont je n’avais pas l’habitude et c’était assez déconcertant. Mais en quelques semaines, je m’étais endurcie, et j’avais appris à rembarrer les garçons en douceur. Ce jour là, j’étais à la plage seule, et je surfais. Je sortais de l’eau tranquillement , ma combinaison retombant sur mes hanches, et ma planche de surf sous le bras. Ma serviette était depuis un moment installée et je posais ma planche à côté, tout en m’écroulant sur le sable. J’étais allongée depuis à peine cinq minutes qu’un homme d’une quarantaine d’année vint se poser à mes côtés sans me demander s’il pouvait. Il commença à me débiner tout un tas de conneries que les mecs sortaient aux filles pour les draguer. Bien que je n’aimais pas ce genre de gars, Cooper me faisait rire, et me plaisait. Il avait bien compris que rien ne se passerait entre lui et moi, mais cela ne l’empêchait pas de continuer à me draguer. Depuis notre rencontre, on se voyait régulièrement pour surfer, et à chaque fois, il cherchait à me draguer à nouveau. C’était devenu un jeu, jeu qui me plaisait et qui prouvait qu’on pouvait rencontrer des mecs sympa, même en combi de surf.
*FIN DU FLASHBACK *
_ « Oh nana, si tu te mets à surfer en maillot de bain, tu vas le regretter ! Penses à ton joli petit cul comme il est aujourd’hui, et penses qu’il deviendra tout moche et tout bruler ! Mais je dis ça… Je dis rien moi ! Et puis tu sais, une fille qui surfe, ça attire encore plus mecs, et je sais de quoi je parle » Lui répondis je avec un sourire complice !
Elena était du genre à faire craquer les gens aussi ! En même temps, sa petite bouille en faisait toujours craquer plus d’un et quand toutes les deux nous étions ensemble, on faisait tourner bien des têtes… Alors aujourd’hui, c’était quasiment sur qu’on allait se faire accoster par des mecs. Deux belles nayades telles que nous sortant de l’eau, cela attirerait forcément des garçons, encore plus si nous étions en tenue de surf… Elena était styliste et j’étais à peu près sur qu’elle devait se demander pourquoi aucun de ses comparses ne faisaient des tenues sexy pour surfer. Libre à elle de lancer une nouvelle mode sur ce thème, je suis sur qu’elle aurait un grand succès.
_ « Ma chérie, pourquoi ne tenterais-tu pas de créer une collection spécial pour le surf ? Je pourrai t’aider ce serait juste génial ! » Proposai-je avec un grand sourire !
C’est vrai que ce serait une idée plus que génial qu’Elena créait une ligne de combinaison de surf ! Et puis, je saurai lui conseiller ce qu’il y a de mieux en matière de combinaison sportive, les meilleurs matériaux et tout ce qui seraient nécessaire à faire les meilleures combinaisons de surf. Je pourrai l’aider sur le côté pratique de la tenue, et Elena s’occuperait du côté esthétique de la chose ! Ca serait un plan du tonnerre !
J’avais rigolé un peu avant lorsque j’avais vu Elena s’écroulait sur le sable, pensant qu’elle ne tiendrait jamais le choc. Mais c’était mal la connaitre, ce qu’elle me fit remarquer ! Je n’avais encore pas vu la Elena sportive qui sommeillait en elle, et j’allais la découvrir sous peu, à n’en pas douter. Elle me demanda ensuite qu’est-ce qui était au programme.
_ « Ahah ! J’ai hâte de rencontrer cette Elena sportive !! Qu’est-ce que l’on va faire ? Et bien, pour commencer, on va s’attaquer au théorique. Tout d’abord, tu vas installer ta planche sur le sable et tu vas t’allonger sur la planche. Tu verras les mouvements de bases à connaître »
Bon très bien, j’avoue que je jouais un petit peu avec Elena ! Certes c’était une technique très utile pour connaître les premiers mouvements mais sur ce point là, ça me donnait l’occasion de voir Elena dans des positions plus que marrantes !
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Sujet: Re: "Les Sampi à la plage" Selon Dylan et Elena Mar 27 Sep - 22:31
J’étais très sport, je crois que j’étais un peu passée à tout. Le genre à rester planter aussi sur une chaise et attendre que le temps passe, très peu pour moi, sauf quand il s’agit de ma première passion : le stylisme. Et encore, généralement dès qu’une idée se dessinait sur le papier, je me levais aussitôt pour voir sur un modèle, si la réalisation était encore possible. Et puis les jours de défilé, courir partout pour finir, tel ou tel finissions, aller rechercher ses mannequins capricieuses et les raisonner un bon coup, et bien d’autres encore. Ça ne paraissait pas, mais dans certains moments, le stylisme était également un sport, une bonne forme physique pouvait donc être demander. Et puis imaginez un peu une styliste qui se laisse physiquement aller. Ce n’était pas possible, je me devais de me vendre déjà moi-même avant de pouvoir vendre quoi que ce soit par la suite. Et j’étais avide d’en apprendre toujours plus dans le domaine du sport, et le surf faisait parti des choses que je ne connaissais pas encore, mais que j’allais très vite apprendre avec ma Dydy. Je savais à quel point le surf était essentiel pour elle, elle se consacrait tellement à sa passion, qu’elle en avait laissé ses études de côté. Enfin, pour moi il n’y avait que le sport qui l’avait conduit jusque là. Mais son relâchement des études nous avait conduits, et nous parler et à devenir d’excellentes amies à l’heure actuelle. Elle était ma Dydy, j’étais sa Nana, il n’y avait juste que ça à dire pour que l’on se comprenne. J’aurais pu avouer ne pas être totalement à laisse en arrivant sur cette plage, rien qu’avec la tenue, je sentais déjà la honte arrivait sur moi, sans crier gare. Je n’avais besoin de rien dire, car cela se lisait dans ma gestuelle mal assurée. Ma Dydy portait super bien la tenue, comme si elle était faite pour elle. Et puis il était vrai qu’à la réflexion de Dylan, que je ne pouvais pas être en maillot de bain. Je touchais mes fesses par la même occasion en rigolant. Et rien qu’en imaginant les hommes complètement gaga rien qu’à l’idée de voir deux jeunes femmes qui surfent, je m’amusais à me taper des poses, alors que je n’avais rien de la grâce d’un mannequin pour faire ça. « Bon d’accord, je vais protéger mes fesses, elles peuvent encore servir tout de même, ça serait dommage de les abimer maintenant » rigolais-je. « Je savais que j’aurais du m’y mettre avant au surf… » complétais-je en imaginant les hommes qui pouvaient nous courir juste après nous. Ma Dydy et moi étions lions d’être des femmes désagréable à regarder, bien au contraire. On ne craquait pas pour tous les hommes, et heureusement d’ailleurs, mais dieu sait que si on le faisait, nous aurions un sacré palmarès à notre actif. Depuis Cancun, j’avais tendance à prendre la vie avec plus de relativité, de me laisser aller tout de même. L’année dernière, je m’étais assez consacré sur mes problèmes avec ma sœur, et des histoires de cœur ridicules. Cancun m’avait redonné un nouveau départ, celui de m’amuser et de profiter de la vie. Après tout, on n’a qu’une vie, autant la vivre à fond sans se soucier du lendemain. Mes études aussi, je comptais les reprendre comme il fallait, et ne pas me laisser couler comme j’avais pu le faire, au risque de planter mon année. La douce, gentille et surtout naïve Elena semblait loin derrière moi, mais je restais sur mes gardes à faire attention que le naturel ne revienne pas très vite au galop. D’ailleurs en parlant d’étude, Dylan me donnait une excellente idée : créer une ligne spécialement pour le surf. L’idée pouvait être intéressante. « Je n’ai aucune idée de comment travailler cette matière ma chérie. Enfin tu me diras tout s’apprend… Et puis ça pourrait faire une bonne collection pour l’examen final. Ma Dydy, tu sais que tu es un ange ? Tu viens de me proposer ton aide, je crois que tu n’as même pas idée de ce que tu viens de faire. » rigolais-je de nouveau en lui faisant un petit clin d’œil qui aurait pu dire « tu vas galérer ma grande » mais de façon amicale. J’adorais l’idée, mais elle me demanderait surement beaucoup de temps, plus que je ne pouvais l’imaginer encore, mais pour une idée de génie, ça en était une. Je plancherais surement dessus à l’occasion. Fin de rêverie, passons enfin aux choses sérieuses, quoi que sérieuse, avec Dydy ça allait prendre des allures de choses assez drôle. Qui ne tarda pas d’ailleurs, quand elle me demandait de m’allonger sur la plage, à même la plage. « D’accord… » dis-je sans rien de plus. La planche de surf était sur le sol dans le bon sens, je me mettais dessus, on aurait dit une grenouille échouée sur une planche de surf. Je levais les yeux, je pouvais deviner le rire de Dydy qu’elle essayait de contenir. « Si tu rigole tu as intérêt à courir très vite, ou je t’enterre dans le sable. » J’avais dit ça avec un tel sérieux alors que c’était juste une bonne blague, que je ne pu m’empêcher de rire juste après. Je m’allongeais de tout mon long sur la planche, les bras de chaque côté qui pouvait brasser le sable, tout comme les jambes. Je n’avais aucune idée s’ils devaient être sur la planche, ou sur les côtés. « Ça va comme ça ? » Je comprenais maintenant pourquoi les hommes aimaient tant voir des nanas surfer, rien que la position à même le sable, faisait très sexuel tout de même, presque un appel au viol. Dommage qu’il n’y ait pas d’hommes dans le coin, j’aurais pu voir ce que ça donnait au près de la gente masculine.
June D. J. Martin
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› prénom, pseudo : Fanny, Fannence, la plus mignonne des mignonnes, Fannou › date d'inscription : 19/06/2011 › nombre de messages : 20204 › avatar : Selena Gomez
Sujet: Re: "Les Sampi à la plage" Selon Dylan et Elena Jeu 13 Oct - 0:13
Elena me faisait littéralement rire ! Toujours entrain de faire des petits commentaires tordants, c’était à chaque fois un plaisir de me balader avec elle. Mais là, en plus de faire ses petits commentaires habituels, ma nana d’amour se mettait dans des postures qui portaient elles aussi à rire. En même temps, qui ne rigolerait pas devant une telle situation ? Voir quelqu’un allongé sur une plage de surf et faire des gestes tous les plus idiots les uns que les autres hors de l’eau, prêtait à rire plutôt qu’à autre chose. Mais ce qui était clair, c’était qu’Elena avait une sacrée forme physique. En temps normal, mes « élèves » ne tenaient pas deux minutes sur la planche dans cette position mais cela faisait presque dix minutes qu’Elena s’attelait à pratiquer les gestes que je lui enseignais. Au moins, elle mettait du cœur à l’ouvrage, et cela faisait plaisir à voir ! Elle ne prenait pas ça à la légère, et cela montrait qu’elle respectait ce pour quoi j’étais si passionnée, le surf !
_ « Et bien mieux vaut tard que jamais ma Nana ! Au moins tu t’y es mie et c’est tout ce qui compte ! Et tu as raison, mieux vaut protéger tes petites fesses ! Sinon comment vas-tu attirer les garçons avec ton beau petit cul de Sampi ?! »
Parler des fesses de l’autre ne nous dérangeait pas le moins du monde. Ce n’était pas quelque chose qui nous gênait, au contraire, on en parlait presque librement, n’étant pas le moins du monde gêné. En même temps, c’était peut-être une caractéristique des Sampi, de parler de tout librement ! Ou alors c’était quelque chose lié à notre génération, une génération no complexe…
Apparemment, mon idée de création de ligne de tenues de surf semblait plaire à Elena, ou plutôt semblait l’enthousiasmer. Elle avait selon ses dires, une collection originale à préparer pour son examen final, validant son diplôme de styliste. Autant dire que ce n’était pas une idée en l’air, et à prendre à la légère. C’était surement le genre d’idée originale à laquelle ses enseignements ne penseraient absolument pas. Ce serait des plus surprenants, des plus inhabituels et serait pour le coup très valorisant. Finalement, d’une idée si bête, si anodine pourrait naître un projet exceptionnel ! En plus de permettre à Elena d’obtenir son diplôme, elle s’offrirait une belle somme d’argent en commercialisant cette ligne de combinaison de surf ! En fait, ce serait bénéfique même pour moi, car j’obtiendrai par la même occasion de belles tenues de surf, super sexy et adéquate pour surfer ! Réaliser un tel projet avec Elena serait tellement gratifiant … Et puis si je pouvais être celle qui l’aidait à obtenir son diplôme, j’en serai plus que fière !
_ « Et bien comme ça le projet est lancé ma chérie ! On va les éblouir tes profs avec la gamme de combi super sexy ! Ils ne vont pas en croire leur yeux !! Enfin, tu as encore un peu de temps devant toi j’imagine ! »
Elena était toujours entrain de faire ses fameux mouvements sur la planche de surf, et j’avais du mal à me retenir de rire tellement elle en était tordante de rire ! Evidemment, elle avait remarqué ma tête et me menaça de courir très vite si je ne voulais pas me retrouver enterrer dans le sable ! Ca avait le don de me donner encore plus envie de rire mais je ne le fis pas, histoire de ne pas vexer ma grande sœur. La jeune femme me demanda si sa position convenait, et au vue des regards des jeunes hommes qui se trouvaient un peu plus loin sur la plage, il n’y avait aucun doute sur le sujet !
_ « Tu n’as qu’à relever la tête et tu verras par toi-même si la position convient ! »
Au moins, ma phrase avait le mérite d’être claire ! Après tout, j’allais pouvoir lui montrer le pouvoir de séduction des surfeuses, avec la tenue de surf ! Et puis, il fallait dire que je jouais un peu avec Elena… C’était tellement hilarant de la voir comme ça !
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Sujet: Re: "Les Sampi à la plage" Selon Dylan et Elena Mar 1 Nov - 15:31
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Sujet: Re: "Les Sampi à la plage" Selon Dylan et Elena
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