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Une Sampi + Un Sampi = Deux Sampitiés

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MessageSujet: Une Sampi + Un Sampi = Deux Sampitiés Une Sampi + Un Sampi = Deux Sampitiés EmptyJeu 26 Mai - 0:02

Une Sampi + Un Sampi = Deux Sampitiés Katerina-the-vampire-diaries-tv-show-10714061-100-100Une Sampi + Un Sampi = Deux Sampitiés Hughlaurie%20233

    Samuel venait de finir sa journée de cours. Il était 15h et il allait pouvoir rentrer chez lui avant de revenir sur le campus. En effet le soir même il y avait une fête chez les Sampi. Ces derniers avaient semblés d’accord pour fêter la fin d’année qui approchait à grands pas. Samuel avait donc proposé d’amener la nourriture, pendant que certains étudiants de la confrérie s’occuperaient des boissons et de la musique. Pou les autres, ils avaient proposés de préparer des activités et des jeux pour la soirée. Allant alors à la salle des professeurs, Samuel alla vers son casier. Saluant quelques collègues qui étaient dans la pièce, il posa son sac à ses pieds avant d’ouvrir son casier. Fronçant les sourcils, il remarque qu’il y avait une sorte de boite à l’intérieur. L’attrapant, il se mit à sourire en voyant qu’il s’agissait de pansements. Gardant son sourire, il repensa à ce qui s’était passé trois jours plus tôt. Passant ses doigts sur son tee-shirt au niveau de la morsure encore bien visible, il regarda s’il y avait un mot où quelque chose avec, mais rien. Pourquoi n’était-il finalement pas étonné ? Pourquoi aurait-elle laissé un mot d’ailleurs. Rien que la boite suffisait pour qu’il sache de qui il s’agissait et du pourquoi de cette boite de pansements. Regardant les papiers qu’il avait dans son casier, il en garda certains. Puis, se retournant, il lança le boite de pansement dans les airs avant de le rattraper et d’avancer en souriant. Allant alors à sa voiture, pour aller en ville, il souriait plutôt bêtement.

    Achetant tout ce qu’il fallait, il pû rentrer chez lui. Prenant une douche, il se souvenait qu’il fallait être « habillé » pour la soirée. Le costume était donc de mise. Passant une chemise noire, il ajouta une veste par-dessus. Pas de cravate pour ce soir, ni de nœud papillon. Il n’avait pas envie d’en mettre, tant pis si ça n’était pas assez habillé pour les étudiants. Pantalon en toile noir et chaussures de ville noire, il fut enfin prêt. Se rendant donc sur le campus avec la nourriture, il ajouta son feutre noir sur la tête, avant d’arriver devant la maison de confrérie des Sampi. Frappant à la porte, il attendit et se mit à sourire quand quelques étudiants arrivèrent à la porte. Les saluant, il serra quelques mains avant d’être dirigé vers la cuisine. Aidant alors à préparer la nourriture, il prit son temps, riant avec quelques étudiants. Une fois que certaines choses furent mise à chauffer, il pû rejoindre les autres étudiants. Voyant certains étudiants lui sourire et venir vers lui, il se mit à ouvrir les bras en souriant. Saluant encore et toujours les étudiants, il fut amené dans le coin salon pour qu’on lui présente les dernières recrues. Apparemment certains étudiants étaient arrivés après son licenciement et son retour à Berkeley. Il n’avait pas prit le temps de venir voir les Sampi depuis longtemps et surtout de faire connaissance avec les derniers venus. Toujours avec son feutre sur la tête, il serra quelques mains, avant d’arriver face à une étudiante qu’il commençait à connaître. Souriant, toujours poliment, comme si de rien n’était, il écouta alors un étudiant Sampi lui présenter la jeune femme qui était face à lui.

    « Ulrika Van Eickh, voici Samuel Salaun, notre Doyen. »

    Bonsoir.


    Ce nom ne lui était pas inconnu. Il ne savait plus où il l’avait déjà entendue, mais ça lui disait vraiment quelque chose. Saluant donc la jeune femme comme s’ils ne se connaissaient pas du tout, il passa ensuite voir les autres étudiants. Puis, entendant que la soirée pouvait commencer, Samuel alla se chercher un verre. Pas d’alcool pour lui, mais plutôt un soda. Commençant à boire tranquillement, il sentait un regard sur lui, ce qui le fit sourire, avant de se retourner et de croiser le regard d’Ulrika. Voyant qu’elle avait déjà un verre en main, il n’avait pas besoin d’en prendre. Allant vers elle, il se mit à ses côtés en regardant les jeunes présents.

    Je peux enfin mettre un nom sur votre corps. Oh pardon, votre visage.

    Il fixa la jeune femme et se mit à sourire en coin, avant de boire de son soda.

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MessageSujet: Re: Une Sampi + Un Sampi = Deux Sampitiés Une Sampi + Un Sampi = Deux Sampitiés EmptyJeu 26 Mai - 15:33

Une Sampi + Un Sampi = Deux Sampitiés 003ypw1a Une Sampi + Un Sampi = Deux Sampitiés Katerina-Graham-katerina-graham-20567567-100-100
Who are the noble and the wise right now ?
Between you and me, there is only fire...

Une soirée entre Sampi, quelle drôle d’idée…En tout cas, Ulrika n’était qu’à moitié ravie de s’y pointer, et pour cause, elle faisait une overdose de soirées mondaines en ce moment. C’était toujours la croix à la bannière pour trouver une tenue adéquate, des chaussures classes et un sac à main qui saurait relever le tout. Trois heures durant, l’ardente brunette essaya une dizaine de robes de cocktail, avant d’en trouver une lui allant à ravir : Celle-ci était d’un blanc pur, dos nu, légèrement fendue sur le côté et offrant un décolleté tout à fait ravissant. Elle opta pour une paire de chaussures à hauts talons en daim, et oublia l’idée du sac à main : Il n’y avait aucune raison qu’elle prenne tout son bardas habituel, au risque de s’encombrer inutilement. De toute évidence, elle ne comptait pas s’éterniser exagérément lors de la soirée. Il ne fallait pas oublier que la jolie violoniste n’était à Berkeley que pour quitter quelques temps le monde surfait du show business, et non pour lier d’éventuelles relations, surtout dans une confrérie…Le concept même lui sortait par les yeux. Si elle se rendait à cette soirée, c’était uniquement pour faire bonne figure ; et du reste, au moment même où un autre étudiant, plus jeune qu’elle, la présenta à quelqu’un qu’elle connaissait déjà, elle manqua déjà de s’étrangler avec une gorgée de champagne qu’elle venait à peine d’ingurgiter. Cet homme n’était autre que le professeur de Philosophie avec lequel elle avait pris du bon temps dans une cabine de douche, après lui avoir mené la vie dure dans sa propre salle de classe. Le sourire d’Ulrika devint aussitôt narquois, et ses yeux se mirent à briller comme si le volcan s’était aussitôt réveillé. Il allait sans dire que l’importun ayant osé prononcer son nom de famille devant Samuel allait passer un sale quart d’heure dès lors qu’elle aurait trouvé comment se venger avec son brio habituel. Mais en attendant, sa réponse fut aussi cinglante que le couperet de la guillotine sur la nuque de cette pauvre Marie Antoinette :

ULRIKA – « Encore un mot et je te jure que tu te retrouves la tête dans la cuvette avant d’avoir eu le temps de prononcer le mot pitié…Suis-je assez claire ? Et il va sans dire que je suis aussi sérieuse qu’une crise cardiaque. »


Ce qu’il fallait comprendre, c’est que pour son matricule, il valait mieux qu’il décampe rapidement. Ce que l’étudiant fit aussitôt, du reste, comme si le regard d’Ulrika poussait tout un chacun à la prendre immédiatement au mot. Maintenant qu’elle était seule en face de Samuel, sa réplique ne pu que la faire sourire plus narquoisement encore : Oublié, le sourire sincère et presque aimable lorsqu’il partageait ce moment intime. Il n’était pas question qu’elle se laisse embobiner d’une quelconque manière…Ici, il suffisait juste de faire bonne figure pendant cinq minutes afin de trouver plus rapidement un chemin vers la sortie. Désormais, son désir numéro un était de quitter au plus vite cette fichue soirée, avant de se brûler encore une aile au passage. Cruel dilemme, n’est-ce pas ?

ULRIKA – « Comment vont tes pansements…Je veux dire, ta marque de quenottes ? »


S’il fallait jouer à la langue de bois toute la soirée, elle ne serait sûrement pas en reste. A vrai dire, elle ne savait pas exactement sur quel pied danser : Il avait pris son soutien gorge en otage, que comptait-il prendre d’autre désormais ? Après tout, bien qu’il connaisse désormais son nom de famille, cela ne voulait sûrement rien dire. A moins qu’il ne soit un grand fan de musique classique devant l’éternel, il n’avait sûrement jamais entendu parler d’elle, et c’était tant mieux. Ulrika avait bien d’autres chats à fouetter qu’un nouveau pot de colle supplémentaire. Elle continua donc à siroter sa flûte de champagne comme si de rien n’était, tout en demeurant persuadée qu’il avait sûrement trouvé la boîte de pansements qu’elle avait réussi à glisser dans son casier. Le meilleur, c’est qu’elle s’était débrouillée pour ne surtout pas être vue et qu’elle n’avait eu aucun mal à ouvrir le cadenas de Samuel…Comme quoi, même pour ce genre de choses, elle avait oublié d’être idiote.

ULRIKA – « En tout cas, il est désormais de notoriété publique qu’aucune serrure ne me résiste. »

Ni celle de la cabine de douche, ni celle de son casier. Mais tout ceci était sous entendu, alors qu’elle arquait un sourcil de défi. Samuel allait-il réagir, ou se contenter de sourire pour les apparences ? Ulrika n’était pas ici pour lui mener une guerre féroce, du reste. Ce soir, elle n’était définitivement pas d’humeur.

ULRIKA – « En tout cas, j’ai enfin mis un corps sur notre doyen, aussi. T’es pas tant un vieux chnoque que ça pour le rôle, en vérité. Tu m’excuseras de ne pas te vouvoyer, étant donné que je te connais déjà bibliquement. »


A aucun moment elle ne l’avait vouvoyé. Inutile…Elle ne connaissait déjà.
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MessageSujet: Re: Une Sampi + Un Sampi = Deux Sampitiés Une Sampi + Un Sampi = Deux Sampitiés EmptyJeu 26 Mai - 20:09

Une Sampi + Un Sampi = Deux Sampitiés Katerina-the-vampire-diaries-tv-show-10714061-100-100Une Sampi + Un Sampi = Deux Sampitiés Hughlaurie%20233

    Découvrir que l’étudiante qui l’avait traité de violeur, qui l’avait humilié et qui avait finalement couché avec lui, était une Sampi le faisait sourire. Se présentant donc, il finit par prendre un verre de soda. Il avait sentit le regard de la jeune femme sur lui et du coup, il alla vers elle. Commençant à lui parler, il fit exprès de se tromper dans ses propos et se mit à sourire de plus belle. Buvant de son soda, il se mit à sourire aux propos de l’étudiante.

    En te voyant, mon torse a eu peur, mais il s’en remettra.

    Fixant l’étudiante, il devait avouer qu’il appréciait de la voir dans la confrérie dont il était le Doyen.

    Mais merci pour les pansements.

    Buvant à nouveau de son soda, il écouta la jeune femme parler. Fronçant les sourcils, il la fixa et au regard qu’elle arbora, il se mit à hausser les sourcils.

    Notoriété publique ? Ca fait mal de savoir que je suis comme tout le monde, alors qu’il y a trois jours tu t’es offerte à moi.

    C’était sans aucun doute une mauvaise idée de formuler les choses ainsi, mais il n’allait pas se laisser faire. Ici, il était déjà plus sur son terrain et il comptait bien en profiter pleinement. Il savait aussi qu’elle pourrait l’humilier à nouveau, mais il ne se laisserait pas faire cette fois.

    Tant de compliment vont me faire rougir, non vraiment, arrêtes.

    Finissant son soda cul sec, il soupira doucement.

    Je me fiche pas mal de savoir si tu vas me tutoyer ou pas.

    Oh que oui. Les autres étudiants le tutoyaient, d’autres le vouvoyaient, alors il se fichait pas mal de tout ça.

    Tant que je n’entend pas de « mon canard », « mon canarie en sucre », même si c’est pour t’amuser, tout va très bien.


    Il avait cette mauvaise impression qu’elle serait capable de l’appeler ainsi, ne serais-ce que pour l’ennuyer au plus haut point. Allant se chercher un nouveau soda, sans rien dire de plus, il vit qu’on lui faisait signe de venir en cuisine. Laissant alors son verre, il alla aider et prit les premiers plats. Entendant la musique commencer, il se mit à sourire de plus belle. Seulement, alors qu’il allait rejoindre à nouveau Ulrika, il la vit qui allait sortir de la maison de confrérie. Seulement, elle ne semblait pas sortir, pour juste prendre l’air, mais bien pour partir. Allant la rejoindre, il l’attrapa par la main et la fit revenir vers lui.

    Partir maintenant est une très mauvaise idée.

    La faisant passer à côté de lui, il ferma la porte et l’amena avec lui vers la nourriture.

    Je me trompe où tu t’es déjà dit que tu allais t’ennuyer à mourir ?

    Attrapant un verre pour elle, il le lui donna.

    Tu devrais vraiment te lâcher et te laisser aller ce soir, ça en vaudra vraiment la peine.

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MessageSujet: Re: Une Sampi + Un Sampi = Deux Sampitiés Une Sampi + Un Sampi = Deux Sampitiés EmptyVen 27 Mai - 18:56

Une Sampi + Un Sampi = Deux Sampitiés 003ypw1a Une Sampi + Un Sampi = Deux Sampitiés Katerina-Graham-katerina-graham-20567567-100-100
Who are the noble and the wise right now ?
Between you and me, there is only fire...

Une chose était sûre, Samuel n’allait pas se faire une amie s’il continuait à ne pas lui laisser un seul choix de mouvement. Après tout, si elle souhaitait tant s’éclipser en douce, pourquoi diable la retenait-il ? Ce n’était pas comme si la trêve était absolue entre eux, ni l’armistice réellement signé. Il y avait toujours un risque, même infime, que tout parte en cacahuète. En tout cas, avec Ulrika, le pire devait toujours être craint. Personne n’était jamais à l’abri de l’un de ses nombreux accès de colère, et si ce soir elle s’était faite la promesse de se maîtriser, elle n’était plus aussi certaine de pouvoir tenir parole. Pourtant, elle se laissa docilement guider jusqu’au buffet amplement garni, et accepta même un verre de la part de Samuel, tout en cherchant une réplique suffisamment cinglante pour qu’il ait dans l’idée de lui ficher la paix. Au départ, telle était son idée…Et puis, tandis qu’elle se remémorait ce qu’elle avait ressentit tout au long de leur « moment intime » dans cette fameuse cabine de douche, elle se ravisa aussitôt : Elle prit tout d’abord une gorgée du cocktail dont elle s’était saisie un peu au hasard, avant qu’un sourire aussi narquois qu’amusé ne vienne peupler ses lèvres discrètement maquillées. Samuel ne le savait pas encore, mais il avait probablement fait l’erreur de la soirée…La pousser à rester, c’était rompre le cadenas de la cage contenant le tigre. C’était risque de perdre à tout moment et sa virilité, et sa fierté d’homme. Ulrika lui avait pris sa confiance, la lui avait redonnée, et pouvait à tout instant choisir de frapper à nouveau là où cela faisait le plus mal. Mais loin d’elle l’idée de se laisser aller à des pulsions cruelles…Puisqu’il lui conseillait de se laisser aller pour mieux voir ce que cela donnait, Ulrika allait s’exécuter à la lettre.

ULRIKA – « Tu sais que la plupart sont passés experts en langue de bois façon chêne massif véritable ? De vrais pros, n’est-ce pas mon petit sucre d’orge vanillé ? »

Ce n’était qu’une divine perche qu’il lui avait tendue précédemment. Si l’on ne souhaitait pas qu’autrui nous donne des surnoms ridicules, il ne fallait pas en donner l’idée le premier ! Mais Samuel avait peut-être envie de s’amuser de manière plus approfondie, puisqu’il était semble-t-il sur son terrain favori. Ce n’était pas nécessairement le cas d’Ulrika, arrivée récemment à Berkeley, et peu coutumière des excès en tous genres : Que ce soit la drogue, l’alcool, le sexe…Non pas qu’elle soit exagérément prude de nature, mais elle consommait de tout avec sa modération habituelle. Samuel n’était sûrement pas semblable à sa personne, mais qu’importe : Qui a dit qu’il y avait un concours entre eux ? Ils s’étaient déjà testés, bibliquement même, il y avait trois jours. Peut-être feraient-ils mieux de continuer dans leur joute verbale favorite afin de mieux se connaître ?

ULRIKA – « C’est marrant, je ne t’imagine ni soulard, ni gros fumeur de pétards…C’est quoi alors, ton vice ? Les petites jeunettes ? »


Les Sampi devaient avoir pris Dionysos pour emblème, mascotte, ou toute autre représentation de leur confrérie. Il était le dieu de tous les excès, dans la mythologie grecque, ou si l’on prenait plutôt la mythologie romaine, on pouvait tout aussi bien prendre Bacchus pour exemple. Même dieu, nom différent, mais même symbole de tous les excès possibles et imaginables. Et en le questionnant sur son goût pour les jeunettes, pour une fois, Ulrika n’y voyait pas d’attaque. Ce n’était qu’une constatation, vis-à-vis de leur différence d’âge. Cela dit, elle se plaisait à penser qu’elle soit unique parmi de nombreuses autres conquêtes d’un âge plus mûr. L’espoir fait vivre…

ULRIKA – « Une question demeure, cela dit : Tu souhaites élever un culte du pansement avec ma personne pour ne pas m’avoir laissée partir ? Voyons, nous savons toi et moi que je suis dangereuse. Je t’ai humilié devant ta propre classe, et pour te venger, tu as pris mon soutien gorge en otage…Cela dit, on pourrait peut-être essayer de trouver un terrain d’entente, puisque tu me prives d’une soirée dépourvue de tous ces petits jeunes inintéressants. »

Et pour lui prouver sa bonne foi, Ulrika prit sur elle pour se saisir de la main de Samuel afin de le conduire jusqu’à une petite salle qu’elle avait remarquée en entrant. Elle ne les fit pas rentrer et n’ouvrit que la porte, mais celle-ci dévoilait un sublime narguilé de collection, appartenant visiblement à la confrérie. Dans tous les cas, la petite salle était vide, et ils pouvaient tout aussi bien s’éclipser pour quelques minutes afin de se détendre avant de retourner aux festivités plus collectives.

ULRIKA – « Un armistice autour d’un calumet de la paix avant de repartir à la bataille ? C’est ça où ton torse risque de subir à nouveau l’assaut de mes quenottes acérées. »

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MessageSujet: Re: Une Sampi + Un Sampi = Deux Sampitiés Une Sampi + Un Sampi = Deux Sampitiés EmptyVen 27 Mai - 19:53

Une Sampi + Un Sampi = Deux Sampitiés Katerina-the-vampire-diaries-tv-show-10714061-100-100Une Sampi + Un Sampi = Deux Sampitiés Hughlaurie%20233

    Pourquoi partir tout de suite ? Après tout, les Sampi étaient là pour la soirée entière, voire même la nuit. La nourriture venait juste d’arriver, alors autant en profiter. Il l’expliqua d’ailleurs à la jeune femme. Non pas que Samuel allait s’ennuyer si la jeune femme partait, mais cette fois-ci, il se sentait sur son terrain et il avait envie de voir comment elle allait s’en sortir. Ecoutant la jeune femme parler, il fronça les sourcils et sourit en coin.

    Tout à fait ma praline.

    Bah quoi ? Une praline, c’est d’abord un bonbon constitué par une amande enveloppée de sucre cuit, lequel peut être teinté et parfumé de diverses manières. Ca n’était pas Ulrika ça ? Evidemment que si ! Une amande, dur, mais tellement agréable à croquer. Enveloppée de sucre cuit, son caractère était semble-t-il ainsi. Avec à la fois la jeune femme dure qui aime avoir le dessus et qui finalement se laisse aller. Parfumé de diverses manières. La colère, la douceur, la passion. Buvant un nouveau soda, il écouta la jeune femme parler et il mangea un bout de pizza qui était dans le plat, avant de la regarder.

    Tu peux oublier le saoulard je n’en suis pas un. Fumeur de pétards, c’était quand j’étais en faculté de médecine, mais depuis quelques semaines j’ai retrouvé le goût pour ça. Mais mon vice reste, je dirais …

    A vrai dire, il ne savait pas quel était son véritable vice. Evidemment, il y avait eu l’alcool à un moment de sa vie, mais ça n’était plus le cas aujourd’hui.

    Je dirais les bonbons et le chocolat.

    Souriant en coin, il savait qu’elle comprendrait l’allusion.

    Mais ce qui s’est passé, n’était pas un vice, mais du plaisir pur.


    Attrapant un autre morceau de pizza, il le mangea, avant de boire de son soda à nouveau. Ecoutant ce que l’étudiante lui disait, il se mit à sourire de plus belle. Il savait qu’elle était dangereuse, mais elle ne savait pas à quel point il pouvait l’être aussi.

    Ne pense pas tout savoir sur moi Ulrika, tu ne sais rien et tu pourrais être surprise.

    C’était la première fois qu’il utilisait son prénom et il devait avouer que c’était un prénom qu’il n’avait encore jamais entendu avant aujourd’hui, mais il était original. Puis, Sam sentit la main de la jeune femme dans le sienne et il fronça les sourcils. Le nom dangereuse arriva alors dans l’esprit de l’homme ? Il était même en train de clignoter en gras et rouge. La suivant, mais en restant sur ses gardes, il se retrouva devant une porte que la jeune femme venait d’ouvrir, mais sans les faire entrer dans la pièce qui se trouvait derrière. La fixant dans les yeux quand elle reprit la parole, il écouta avec attention.

    Tes quenottes acérées ? Je ne dis pas non.

    Haussant un sourcil, il sourit en coin avant d’entrer dans la pièce et de faire venir la jeune femme avec lui, en fermant la porte derrière eux.

    Pourquoi vouloir venir ici, alors que ta confrérie est là-bas ?

    Il se demandait vraiment pourquoi elle voulait être là avec lui. Evidemment, il avait comprit qu’elle voulait fumer avec lui, mais il avait l’impression qu’il y avait autre chose.

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MessageSujet: Re: Une Sampi + Un Sampi = Deux Sampitiés Une Sampi + Un Sampi = Deux Sampitiés EmptyVen 27 Mai - 22:39

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Ulrika ne pu s’empêcher de laisser échapper un rire sincère et franc à l’entente du vice de Samuel. Ce n’était pas un défaut, mais plutôt un détail normal chez n’importe quel individu ! Cela dit, jamais l’ardente brunette n’avait prétendu connaître l’homme sur le bout des doigts. Au contraire, même une vie n’y suffirait pas pour qu’elle y parvienne. De toute évidence, il était encore bien trop tôt pour qu’elle ose dire qu’elle était toute disposée à la lui accorder : A l’heure actuelle, ils avaient comme guerroyé ensemble, l’un contre l’autre, avant de tomber dans une farandole de plaisirs qu’ils avaient désirée aussi bien l’un que l’autre. Mais il n’était rien dans leur relation qui ait la teinte d’une promesse. Ils ne se devaient strictement rien, du moins aux yeux d’Ulrika. Ce n’était pas comme s’ils s’étaient mutuellement juré fidélité, ou respect…Au contraire, bien qu’ils semblent chercher à s’apprivoiser d’une certaine manière, il demeurait une sorte de méfiance on ne peut plus logique. Ils n’étaient pas du tout de la même génération, ni même du même « rang social » : Ulrika restait une violoniste surdouée de renommée mondiale, bien que Samuel n’en n’ait visiblement aucune idée, quant à lui, il demeurait un professeur respecté par ses élèves, contraint de vendre son corps au plus offrant afin de payer ses factures. Il y avait une telle césure entre les deux qu’ils ne pouvaient qu’être séparés…Ou, au contraire, finir par rester dans la même pièce pour un temps restant à déterminer. Dans tous les cas, Ulrika n’était nullement surprise qu’il se questionne sur son attitude : Au lieu de festoyer avec ses camarades Sampi, elle accordait une attention plutôt particulière à Samuel…N’importe qui la connaissait un tant soit peu aurait aussi vu l’anguille sous la roche !

ULRIKA – « Qui te dis que ces gosses de maternelle m’intéressent ? Regarde-les, c’est à peine s’ils savent compter jusqu’à dix ! Puisque tu me retiens de force ici, il faut bien que j’éveille moi-même mon intérêt, après tout, on n’est jamais mieux servi que par soi-même ! »


Aide-toi le ciel t’aidera…Ulrika méditait cette maxime depuis sa plus tendre enfance, et elle ne lui avait rarement mieux servi qu’en cet instant. Cela dit, ce soir, elle tournait le dos à ses racines allemandes…En temps normal, elle aurait agit comme à la fête de la bière à Munich, en buvant plus que de raison, quitte à passer un temps considérable au dessus de la cuvette des toilettes. Mais non, elle tenait à ce « petit rendez-vous » dans cette salle isolée, afin d’être éloignée du brouhaha et de pouvoir conclure au plus vite cette fameuse soirée. Ce qu’il faut savoir avec cette volcanique jeune femme, c’est que tout est calculé par avance et par principe…Quatre vingt dix pour cent du temps.

ULRIKA – « Sais-tu qu’à mes yeux nous sommes avant tout une rencontre dans une pièce ? Pour l’instant, aucune importance n’est donnée. Il ne tient qu’à moi de choisir de te reléguer au rang de simple trace dans une pièce, ou de t’accorder un tant soit peu d’importance. Je ne fais pas dans le sentiment, ça doit être mon sang allemand qui parle. »

Samuel ne l’avait jamais vue extraordinairement énervée, ni en train de jurer, sans quoi, il aurait immédiatement su quelles étaient ses origines. En soit, cela n’avait pas une grande importance, à moins qu’il ne cherche à l’appréhender et à connaître ses vices à elle. Il s’était confié là-dessus, mais elle ne tenait pas spécialement à en faire de même, du moins pour l’instant. Connaître l’autre sans se confier était devenu sa spécialité, avec le temps.

ULRIKA – « Peut-être que tu préfères être considéré comme le vieux chnoque des Sampi ? Dans ce cas, à ta guise, le gros de la fête est là bas, si tu souhaites t’ennuyer à mourir…Cela ne me dérange pas de me perdre toute seule ; de toute manière, il est évident que je ne resterais pas jusqu’au bout de la nuit. »

Tout en entrant dans la pièce, sans même inviter réellement Samuel à entrer, Ulrika jouait à la fois la carte de la provocation en allumant le narguilé après s’être assise à terre juste devant, et celle du mystère, en énonçant qu’elle devait partir tôt sans en donner la raison. Celle-ci n’était évidente que pour elle : Le lendemain, elle avait un important rendez-vous avec son agent pour l’enregistrement de son prochain album, et le soir, elle donnait un concert privé dans une petite salle, dont les fonds seraient reversés à une association caritative. En somme, se coucher tard était exclus…Mais rien ne l’empêchait de s’amuser encore un peu, tant qu’elle restait relativement maîtresse d’elle-même.
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MessageSujet: Re: Une Sampi + Un Sampi = Deux Sampitiés Une Sampi + Un Sampi = Deux Sampitiés EmptyVen 27 Mai - 23:14

Une Sampi + Un Sampi = Deux Sampitiés Katerina-the-vampire-diaries-tv-show-10714061-100-100Une Sampi + Un Sampi = Deux Sampitiés Hughlaurie%20233

    Rester sur ses gardes était la meilleure chose qu’il avait à faire quand il était avec la jeune femme. Il ne voulait pas finir émasculer. Il savait qu’elle pouvait l’avoir en quelques secondes et c’est pour ça qu’il restait très attentif à ses propos et ses actions. Il fut encore plus sur ses gardes quand elle l’amena avec elle près d’une pièce vide. Lui demandant alors pourquoi elle était là avec lui au lieu de se trouver avec les autres étudiants de sa confrérie, il arqua un sourcil aux propos de l’étudiante.

    Donc m’humilier, me sauter dessus et m’éloigner de la foule éveille ton intérêt ?

    Haussant les épaules, il devait avouer qu’il n’avait pas vu les choses ainsi, mais après tout si c’était ce qu’elle voulait, il acceptait la partie pour se faire sauter dessus. Puis, fronçant les sourcils, il écouta attentivement la jeune femme parler. Elle semblait vouloir dire des choses importantes et il préférait écouter au cas ou un détail qui lui ferait perdre la vie passerait entre deux mots. Puis, il se mit à rire.

    Whoua ! Je sais que l’on ne sait rien promit et que l’on est personne l’un pour l’autre, mais j’avoue que de savoir que je n’ai pas d’importance, ça fait … étrange. Je fais le même effet à tout le monde tu crois ?

    Il haussa un sourcil. Etait-il aussi transparent que ça pour tout le monde ? Il savait que pour la jeune femme, ça devait sans aucun doute être le cas, mais pour les autres ? L’entendre dit comme elle venait de le faire, ça lui faisait vraiment bizarre. Mais les derniers propos qu’elle tient, furent sans doute ceux de trop pour Samuel. Autant il avait aimé son piquant jusque là, autant il ne trouvait plus ça amusant maintenant. La fixant dans les yeux quelques secondes alors qu’elle était dans la pièce avec lui, il se retourna et sortit sans dire un mot. Il referma la porte derrière lui et fronça les sourcils. Les filles dans le genre d’Ulrika n’était pas pour lui déplaire, niveau caractère, mais là s’en était trop pour lui et il préférait partir avant de s’énerver. Elle pensait tout savoir, mais elle ne savait finalement pas grand-chose sur lui et ce qu’il voulait. Allant alors rejoindre les autres étudiants qui n’étaient pas loin, il sourit et vit un des étudiants ouvrir les bras en le voyant.

    « Action ou vérité ? Oh non, cap ou pas cap ? »

    Pourquoi pas le tout réunit ?

    « Va pour le tout. »


    Samuel lança alors les premières vérités, puis les actions. Puis, au bout d’un moment, il vit une étudiante le fixer en souriant en coin. Haussant un sourcil, il l’écouta alors parler.

    "Enlevez votre veste et votre chemise et restez torse nu pendant toute la soirée."

    Souriant, Samuel enleva chapeau, veste et chemise, qu’il alla accrocher à un porte manteau pas loin.

    "Whoua ! Qu’est-ce que c’est que tout ça ?"

    Fixant les étudiants, il se souvint des marques qu’il avait dans le dos et encore plus de la morsure.

    Un vampire.

    « T’es dans ce délire là toi ? »

    Une vampirette si tu préfères.


    Entendant alors une porte s’ouvrir, il regarda Ulrika qui sortait de la pièce où ils étaient plusieurs minutes avant. Elle avait dû penser qu’il allait revenir, ce qu’il n’avait pas fait. Torse nu, il sourit à la jeune femme. Elle allait sans doute être effaré de le voir ainsi, mais il s’en fichait pas mal. Oui, il avait encore les marques depuis trois jours et ça n’était pas partit, mais il se fichait pas mal qu’on les voit.

    Ulrika, action, vérité ou cap ou pas ?


    Après tout, c’était à son tour de poser la question à qui il voulait et vu qu’elle était là, il comptait bien en profiter.

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MessageSujet: Re: Une Sampi + Un Sampi = Deux Sampitiés Une Sampi + Un Sampi = Deux Sampitiés EmptyDim 29 Mai - 23:16

Une Sampi + Un Sampi = Deux Sampitiés 003ypw1a Une Sampi + Un Sampi = Deux Sampitiés Katerina-Graham-katerina-graham-20567567-100-100
Who are the noble and the wise right now ?
Between you and me, there is only fire...

Qu’il ne la rejoigne pas aurait très bien pu faire fulminer Ulrika de colère. Mais elle avait décidé de prendre plutôt cela avec Philosophie : Puisqu’il n’éprouvait visiblement pas le désir d’accéder à sa requête, alors pourquoi resterait-elle à s’ennuyer dans une soirée qui l’enquiquinait plus qu’autre chose ? Il n’était pas dans les habitudes de la demoiselle de s’embêter pour si peu, ou même de faire des choses n’ayant aucun sens pour elle. En l’occurrence, s’ennuyer dans une soirée à laquelle elle n’avait eu aucune envie de venir au départ n’était qu’une perte de temps cruelle et inutile. Elle sortit donc de la pièce sans plus attendre, la tête droite, le regard fier, ne s’attendant nullement à retrouver Samuel assit au beau milieu d’une troupe d’étudiants, et torse nu par-dessus le marché. Elle ne pu s’empêcher d’arquer un sourcil de surprise, tandis qu’il exhibait fièrement le pansement ornant le haut de son torse, et ce avec un sourire qu’elle lui aurait volontiers fait ravaler. En somme, il était aussi séduisant qu’agaçant à ses yeux, et c’était bien là le cœur même du problème. Ulrika demeura droite comme un i, silencieuse et immobile pendant de longues secondes avant de laisser une large expression de surprise peupler ses traits : Venait-il de lui proposer de jouer à « action ou vérité » ou « cap ou pas cap » ou avait-elle une berlue soudaine ? Décidément, cette confrérie ne devrait pas s’appeler communément « Sampi » mais bien « asile de fous dingues ». Ulrika refusait d’être assimilée à cette bande de cinglés n’ayant pas davantage d’âge mental qu’un enfant de cinq ans…Et encore, elle trouvait cela insultant pour les bambins ayant davantage de présence d’esprit qu’eux. Elle tourna donc les talons en haussant les épaules, après avoir éclaté de rire de façon on ne peut plus narquoise, avant de s’arrêter en bon chemin : Ce n’était pas non plus son genre d’épargner son auditoire de LA parole cinglante ayant pour unique but de leur gâcher la soirée. Oui, il lui arrivait parfois d’avoir des réactions aussi étranges qu’égoïstes.

ULRIKA – « Vous avez sniffé de la colle ou quoi ? Je n’ai pas cinq ans d’âge mental, alors ce genre de gaminerie, je ne m’amuse pas à le faire en public…Surtout avec des idiots de votre type. »

Haussant à nouveau les épaules, elle ne pu s’empêcher de tourner son visage et de sourire de manière on ne peut plus hautaine, avant de s’éloigner légèrement. Cependant, elle fut arrêtée en bon chemin non pas par Samuel, mais par un autre étudiant ayant eu le regard précédemment posé sur son décolleté, et scrutant désormais son fessier musclé. Celui-là semblait la connaître nettement mieux qu’elle n’aurait pu le croire, puisqu’il lui balança d’une part qu’elle était bien trop sérieuse pour faire partie de cette confrérie, et d’autre part qu’elle avait sûrement d’autres personnes plus riches à côtoyer, surtout pendant la soirée de gala du lendemain. Il n’en fallait, en somme, pas davantage pour qu’elle se retourne, se saisisse d’un verre de vin dont l’odeur était déjà indisposant à distance, pour mieux en balancer le contenu à la figure de l’importun ayant osé lui manquer de respect. Après tout, il était de notoriété publique qu’elle n’était ni très aimable, ni très portée sur l’humour. Ajoutez à cela le fait qu’elle soit tout particulièrement susceptible et c’était le cocktail Molotov.

ULRIKA – « Samuel, j’ai peine à croire que tu fasses subir un lavage express à ton cerveau alors que nous savons tous les deux que tu es plus intelligent que ça. Je te suggère de ne pas trop côtoyer ses « flèches » sinon, tu pourrais fortement devenir comme eux. Soit, comment dire ? Avec deux neurones se battant en duel dans le chou fleur. »

Cruelle, voilà ce qu’elle était. Mais le pire, c’est qu’elle adorait ça, et qu’elle aurait donné cher pour jouer à ce jeu uniquement en présence de Samuel. Il fallait dire, à sa décharge, qu’elle avait énormément de mal à supporter la présence des autres étudiants, surtout du même âge qu’elle. Ulrika vivait à l’année dans un monde tellement peuplé d’adultes qu’elle en était rapidement devenu un. L’enfance, l’adolescence étaient des stades qu’elle n’avait que peu eus, finalement. Les séquelles en étaient évidentes, cela dit, elle doutait fortement que Samuel soit au courant du pourquoi du comment. Il n’avait pas réagit à l’entente de son nom de famille…Tant pis. Désormais, plutôt que de se rendre diablement ridicule une fois encore, Ulrika s’empressa de s’incliner métaphoriquement.

ULRIKA – « Toutes mes excuses ! Ce narguilé, il est costaud faut dire…Bon, allez, qui commence nom de dieu ?! »


Ce n’était pas de gaité de cœur que l’ardente brunette venait de s’asseoir, juste à côté de Samuel. Elle ne faisait que regarder sa montre toutes les deux secondes, tout en cherchant une raison valable pour s’éclipser au plus vite. Tant que les autres ne mettaient pas cinquante ans à se décider pour poser une question…Ulrika serait sauvée. Ce qui ne l’empêcha pas de commander une pinte de bière brune, qu’elle s’enfila aussitôt cul sec, pour digérer la pilule.
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MessageSujet: Re: Une Sampi + Un Sampi = Deux Sampitiés Une Sampi + Un Sampi = Deux Sampitiés EmptyLun 30 Mai - 11:32

Une Sampi + Un Sampi = Deux Sampitiés Katerina-the-vampire-diaries-tv-show-10714061-100-100Une Sampi + Un Sampi = Deux Sampitiés Hughlaurie%20233

    Retomber au temps de la fac n’était pas pour déplaire à Samuel. C’est pour cela qu’après ce que lui avait dit Ulrika, il avait rejoint les autres étudiants. Jouant alors avec eux, il en arriva à se retrouver torse nu. Ca n’était pas pour lui déplaire non plus, surtout au regard que lui avait lancé l’étudiante qui lui avait donné ce défi. Alors, quand il entendit une porte s’ouvrir et qu’il vit Ulrika, il ne pû s’empêcher de lui demander ce qu’elle voulait. Après tout, autant l’intégrer dans le jeu, peut-être qu’elle se lâcherait enfin. La voyant alors hausser les épaules et partir, il haussa les sourcils. Madame se sentait au-dessus de tout ça ? Bon, tant pis pour elle. Sam lui était là pour s’amuser et il comptait bien le faire. Fixant ensuite l’étudiante quand elle parla, il haussa les épaules. Seulement, il remarqua qu’elle se faisait arrêter par un étudiant. Au regard qu’il avait sur la jeune femme, Samuel ouvrit de grands yeux. Faisant des signes à l’étudiant, il voulait juste le prévenir que la regarder ainsi, mais surtout de lui parler, peut importe ce qu’il disait, ça allait mal finir pour lui. Mais l’étudiant semblait n’en faire qu’à sa tête et Sam se mit à rire quand le Sampi se prit le vin en plein visage. Continuant de rire, il essaya tout de même de se contenir quand la jeune femme s’adressa à elle directement.

    « T’as un ticket mon gars ! »

    Quoi ?

    « Elle te trouve intelligent, t’as un ticket moi je dis ! »


    Se mettant à rire, Samuel ne pensait pas du tout qu’il avait une chance avec l’étudiante. De toute façon, il ne comptait pas du tout tenter quoi que ce soit. Il avait déjà couché avec elle, si elle voulait remettre ça, pas de problème, mais il n’y aurait définitivement rien de plus entre eux. Samuel ne s’était pas fait avoir une fois pour retomber dans le panneau ensuite. Regardant les étudiants qui étaient autour de lui, il se rendait compte qu’essayer d’avoir une nouvelle jeunesse n’était pas ce qu’il avait fait de mieux dans sa vie, mais c’était ce dont il avait besoin. Il n’avait jamais eu d’enfance. Avec un père adoptif violent et la découverte que votre père est un ami de la famille et que quelques années plus tard, il meurt dans vos bras, ça n’était pas une vie pour un gamin. C’était en faculté de médecine qu’il avait pû s’amuser et il avait envie de retrouver ça. D’oublier l’espace d’une soirée qu’il était un adulte avec des responsabilités. Il voulait oublier ça et ce soir, il comptait bien le faire, avec ou sans Ulrika. Mais il se mit à sourire quand la jeune femme les rejoint finalement. Souriant en coin, il se rapprocha d’elle, pour lui parler à l’oreille.

    On pourra se poser des questions plus personnelles en privées si tu veux, vu que tu n’y tiens pas en public.

    Gardant son sourire, il se remit droit et surtout il laissa une distance entre eux, pour que ça soit tout à fait normal.

    Pour info, je n’ai que deux neurones qui se battent en duel. En tout cas ce soir.

    Hochant la tête positivement, il se disait qu’il en tenait déjà une couche. Il ne buvait pas, il n’avait fait que manger, mais il devait avouer qu’être dans l’ambiance était particulièrement bon. Se levant pour aller chercher Noah, il lui demanda s’il avait encore de l’herbe qu’il lui avait fournit la dernière fois. En prenant, il le remercia et il revint avec les étudiants.

    Ulrika c’est à toi de choisir ce que tu veux. Je t’ai posé la question, à toi de choisir et ensuite je me ferai une joie de trouver quelque chose à ta hauteur.

    Il s’amusait avec elle, il aimait ça. Il aimait qu’elle se la joue hautaine, comme ça il pouvait lui dire qu’elle « pétait plus haut que son cul ». Puis, il commença à se roulé un joint, tout en attendant d’avoir une réponse de l’étudiante. Allumant le joint, il en prit une bouffée et se mit à sourire. Fixant l’étudiante, il se mit à sourire en coin, attendant sa réponse et lui proposait même une taffe du joint.

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