Acideen savait y faire avec moi. Elle savais que m'allumer, c'était la meilleure façon de me faire céder à la tentation. Tentation qui n'avait pas lieu d'être à vrai die; à l'instant où nous nous étions reconnus, il n'y avait d'autres issues possibles que le sexe entre nous, ce soir. Nous n'imaginions pas que ca se passe devant sa porte, la demoiselle ayant oublié ses clés mais nous savions que nos corps se mélangeraient ce soir. Quel que soit l'endroit. Que ce soit les baisers et la mise à califourchon dans le taxi, ou bien la flatterie qu'offrait sa main, en guise de rapide préliminaire, à mon intimité devant la porte; Acideen savait très bien que m'allumer ne ferait qu'améliorer nos futurs ébats. Elle me connaît plutot pas mal la p'tite, elle n'a pas oublié notre nuit à Oxford. Ce n'était ni le froid, ni même la pluie qui aurait pu empêcher qu'on couche ensemble ce soir. Encore moins la perte des clés d'Acideen. Non, ce soir, on allait faire du sexe ensemble. Après des baisers passionés, et mon intmité gonflant sous les caresses d'Acideen; il était maintenant le bon moment d'arrêter les préliminaires et de passer aux choses sérieuses. Soulevant la robe, ainsi que le sous vêtements séparant nos intimités, et baissant mon caleçon, qui entravait mon sexe, je pus pénétrer d'un coup l'intimité de la présidente sampi. Ayant soulevé la jambe d'Acideen, je me trouvais vraiment collé à elle, mon torse musclé contre sa belle poitrine, ma main gauche gâtant celle ci, mes mouvements de va et vient se montraient intenses. Tout comme les gémissements de plaisir d'Acideen, qui ne se gênait pas pour hurler, quasiment, le plaisir que notre partie de jambes en l'air lui offrait. De toute façon, qui ca gênerait d'entendre une jolie jeune femme se faire baiser par un fougueux jeune homme. Ben, plein de monde, mais qu'ils aillent se faire. L'excitation se montrant de plus en plus forte, je lachais la jambe de la belle pour fougueusement rechercher ses lèvres, tout en passant mes mains sur son corps. Furieusement, mes mains recherchaient la douceur de ses seins ou de ses fesses parfaites. Je voulais profiter de chaque centimètre des courbes parfaites de la sampi. J'accélérais toujours mes mouvements de va et vient, leur vitesse étant proportionelle à la force des cris aigus de plaisir d'Acideen. Je sentais comme elle le plaisir monté en moi, et c'est dans une soupir de soulagement que je lachais le fruit de notre amour physique. Lachement doucement Acideen, tandis qu'elle lachait mon cou; je sentis à cet instant qu'elle m'avait vraiment beaucoup enfoncé ses ongles. Tant pis, elle se ferait pardonner, j'en étais sur. Posant un baiser sur mes lèvres, elle remonta sa robe, tandis qu'elle oubliait de remettre sa culotte. Elle tremblait comme une feuille, c'était vrai qu'il faisait carrément froid. Moi à moitié défroqué et elle l'entrejambe à l'air, on allait attraper un rhume a nos intimités respectives. Ca me gênerait pas de le faire dans une chambre d'hôpital, mais c'était quand même mieux de le faire dans sa chambre tout de même. Me regardant avec un sourire aguicheur, elle me demanda moi, beau, grand et fort Keyllan, je cite, de casser la vitre de chez elle. Et non, il n'existe pas deux filles comme Acideen. Une fille qui demande de casser la vitre de son salon parce qu'elle a envie de le faire sans son lit, ca existe pas mis à part elle. Je ferais n'importe quoi pur toi.. Je m'éxécutais. La laissant passer devant, je pus admirer le joli postérieur d'Acideen sans culotte, et, dans un petit rire, y posa même ma main. Rentré enfin dans la maison, elle contempla l'ampleur des dêgats de cette vitre cassée, avant de me prendre la main. La salle de bain. Peut être qu'Acideen avait comme fantasme de le faire dans la douche. Elle me demanderait de coucher avec elle dans la boue, que je le ferais. Elle mit en doute le fait que je prenne une douche avec elle. Je n'étais pas chochotte, mais je préférais l'eau de la douche que l'eau de pluie. Retirant à nouveau mon caleçno, je pus rejoindre en tenue d'Adam, dans la douche, Acideen déja en tenue d'Eve. Elle savait évidemment que je viendrais la rejoindre dans la douche. J'avais encore envie de sentir ses lèvres contre les miennes, ces mains expertes contre mon torse. J'avais envie de nous sentir mélangés ce soir. Sentir que l'amour physique pouvait donner une telle sensation de bonheur. entre temps, la pluie s'était transformé en orage et chaque éclair faisait sursauter la belle. N'ait pas peur babe. Je suis là avec toi. Il y a pas de quoi avoir peur... elle se retourna, me regarda dans les yeux et m'embrassa, aussi fougueusement qu'auparavant. Nos langues se cherchant, dansant ensemble. Une danse furieuse. Je lachais les lèvres d'Acideen, puis descendit jusqu'à ses seins. Embrassant son sein droit en sentant durcir le bout de celui ci, mes doigts passait lentement sur le gauche. Cela faisait frissonner Acideen. J'oubliais même l'eau qui tombait sur nous, tandis que mes baisers descendait toujours plus bas, jusqu'à arriver à hauteur de l'entrejambe d'Acideen. Passant ma main sur celle ci, effleurant du bout des doigts l'intimité d'Acideen. Rapprochant ma bouche de cet partie sensible de son corps, j'embrassais cet endroit avant de me relever. Mordillant la lèvre inférieure d'Acideen, j'attrapais et soulevait la belle par les fesses, mes mains se trouvant sur chacune d'elles. Tout embrassant la belle dans le cou, je passais mon barreau de chair près de son intimité, jouant avec la patience de la belle, qui ne demandait qu'à me sentir en elle pour voir nos ébats recommencer encore. Et encore. Sentant la brune trépigner d'impatience, je me décidais à de nouveau pénétrer la chaude intimité de la libertine sampi. Attrapé à mon cou, la belle ne posait sur rien mis à part mes mains toujours posés sur ses fesses. Je commencais de très lents mouvements de va et vient, la belle les accompagnant leur donnant plus de profondeur, plus d'impact. Cet ébat dans la douche ne serait surement pas le dernier de la soirée, ni de la nuit. Cette nuit s'annoncait être de folie et je comptais bien être à la hauteur de ma réputation.