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 |  Sujet: you and me could write a bad romance | Shakespeare Valentyn Jeu 14 Avr - 0:17 | |
| Shakespeare & Elena ♥
  Comment pouvez-t-on croire que tous les membres d’une famille se ressemble tous ? Ceux qui avaient ce type de théorie j’étais prête à leur prouver le contraire. Comment ? J’avais juste à faire la simple description de ma sœur, enfin ce que ma famille nous avait prédit comme étant ma sœur aînée, Flavia. Plus jeune, c’était le plus beau cadeau que la Terre ait pu me faire, à l’heure d’aujourd’hui, on s’est pris à une guerre sans merci. Et si Flavia se retrouvait seule dans sa guerre. Ce n’était pas réciproque. Il y a quelques temps, j’ai pu faire la connaissance de son cher et tendre ex-mari, la bonne blague, ma sœur avait été mariée. Et bon dieu qu’elle avait de bon gout pour choisir ces prétendants, mais lui, qu’est-ce qu’il avait bien pu trouver à une femme comme elle ? Je retiendrai ce type de question pour la suite. Notre rencontre fut assez conflictuel dira-t-on. Il avait mis ma sœur et moi dans le même panier. Quel affront ! Je pense que la secrétaire se souvient encore de notre engueulade dans le bureau. Lorsqu’il avait entendu mon nom, Shakespeare avait eu un petit rire, et en lui demandant s’il y avait un souci, il avait Sali plus bas que terre le nom des De Suza. Si ma sœur portait ce nom, il ne lui attribuait pourtant pas le caractère de la famille. Et quand il avait sali mon nom, il avait par la même occasion salit ma famille, et ça je ne le laisserai pas passer. Après que nos esprits se soient quelque peu calmés, nous avions pu échanger tranquillement, dans un Starbucks en ville. C’est peut être là où il sait rendu compte que je ne ressemblais pas vraiment à ma sœur, enfin du moins plus maintenant. Shake’ nous aurait connus enfant, il aurait peut être ramené Flavia dans le droit chemin, car elle ne ressemble plus à la fille que j’ai connu.
Je ne sais pas pourquoi j’avais tenu à garder contact avec lui, je pense que c’est le besoin d’en faire baver à ma sœur qui m’avait obligé à ça. On s’était revu à quelques occasions, aujourd’hui c’était lui qui m’avait appelé pour le rejoindre à la confrérie des Iota, dans sa chambre. Super endroit pour un lieu de rencontre dit donc. Je devais le rejoindre en fin d’après midi, donc du temps devant moi pour me préparer.
Pas cours aujourd’hui, je pris ma matinée pour aller déposer à droite et à gauche quelques lettres de motivation et des curriculum vitae pour essayer de trouver un travail. Mon compte en banque commençait à tirer vers le bas, et moi je n’avais pas maman ou papa derrière pour subvenir à mes besoins. J’étais une styliste douée, vraiment douée, mais mes créations ne se vendent plus aussi bien maintenant, je ne sais pas pourquoi d’ailleurs. Une amie me conseillait d’ouvrir un site internet avec les vêtements que je pouvais, une idée sortie tout droit des séries télé qu’elle regardait à ses heures perdues. Il faudrait lui expliquer que la vie n’est pas vraiment comme dans les séries. Evidemment ce fut un échec total, je repartis sans même un seul entretien d’embauche. Mais qu’est-ce qui bloquée comme chez moi ? Je ne fais pas partie des filles les plus désagréable, on m’a toujours classé dans les filles ayant un physique agréable, je pensais avoir un certain avenir dans la vente tout de même. Enfin bon, ce n’est que partie remise. Je rentrais à la maison entre deux pour prendre une douche, j’étais seule à l’appartement et tant mieux. Au moins je n’avais pas à batailler pour avoir un bout de salle de bain. Quelques minutes, un jean, un top moulant, et un Mars plus tard, je repris la route en direction de la confrérie des Iota, je n’avais jamais mis les pieds la bas, il fallait dire que je n’avais pas beaucoup d’amis chez les Iota, bien qu’avant l’université, j’avais pu être dans une équipe de cheerleaders, mais justement, c’est peut être à cause de cette vie passée que je ne cherche pas à me lier à cette confrérie. Cette rencontre avec ce Iota était du pur hasard. Je passais le chemin des Grecs en saluant quelques Sampis qui se baladaient par-ci par-là, l’avantage d’être présidente de confrérie, et puis j’aimais ma confrérie, même si certains je ne les connaissais que de vu, je les connaissais tout de même, une base en tant que présidente.
Devant l’antre des Iota, je croissais quelques cheerleaders en tenue en train de parler entre elles, surement des derniers potins ou des dernières rumeurs du campus, c’est souvent le principal sujet chez les nanas qui ne pensent qu’à agiter des pompoms en souriant. Sur le panneau, je cherchais la chambre de Shakespeare, chambre numéro une au première étage. C’était partie. Pas difficile à trouver, je frappa à la porte et attendit patiemment que le Iota daigne m’ouvrir sa porte pendant que des membres de l’équipe de football américains me dévisager. Non, je n’étais pas une potiche qui allait se faire sauter à peine être entrer dans la chambre, pas besoin de me regarder comme ça.
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| | Sujet: Re: you and me could write a bad romance | Shakespeare Valentyn Lun 27 Juin - 23:42 | |
| Topic abandonné • Corbeille |
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