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I'll be there for you || Pv. Manon

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MessageSujet: I'll be there for you || Pv. Manon I'll be there for you || Pv. Manon EmptyLun 7 Mar - 14:17

I'll be there for you

Manon & Guillaume


« Grouille, je vais être à la bourre. » Ce qui serait quelque chose de bête vu qu'il venait à peine d'entamer un nouveau cursus et qu'il était déjà perdu dans un grand nombre de devoir qui pour la moitié n'avait même pas été rendues. Guillaume n'était pas connu pour être quelqu'un qui s'investit énormément dans son travail, il était plutôt le genre de mec à tout remettre au lendemain et qui au final finissait par rien foutre. Malgré le fait qu'il est quitté son pays d'origine où finalement il avait fini par s'enterrer progressivement, notre jeune homme n'était déjà pas connu pour son assiduité, alors pourquoi ça changerait de l'autre côté du monde. Quant enfin la salle de bain fût libre il attrapa vite fait ses affaires et fonça dedans. « Tu comptes me faire ça tous les matins où ... » Sa voix finie par se perdre quelque part derrière la porte. Manquant de trébucher dans la douche et de se fendre le crane sur le carrelage, Guillaume tourna le mauvais robinet et se prit ce que l'on pourrait qualifier d'une seconde aire glacière. C'est après quelques jurons bien craché qu'il réussit tant bien que mal à rétablir l'eau chaude, à présent il ne fallait même plus espérer un sourire de la journée. C'est avec une seule jambe passer dans son jean, la chemise pas totalement enfilé et une brosse à dent dans la bouche que Guillaume fît son apparition, déclenchant au passage l'hilarité de sa colocataire, c'est dans ce genre de moment qu'on se dit merde. Attrapant une paire de chaussette par terre, il sauta sur son lit pour les enfiler, sans essayer d'oublier qu'il avait la bouche pleine de mousse, un vrai numéro d'humoriste. Et c'est finalement avec près de dix minutes de retard qu'il quitta la chambre dans laquelle il venait d'emménager. Dévalant les escaliers quatre par quatre il manqua de bousculer deux ou trois personnes qui entravaient son chemin et qui le retardait encore un peu plus. « Excusez-moi, pardon, bougez. » L'amabilité dans ce genre de situation n'était également pas son fort. Sautant le dernier palier et manquant de ce péter les deux chevilles, Guillaume alla rattraper son sac qui avait volé dans sa cascade et qui était allé s'écraser contre le mur d'en face.

Les rues de San Francisco en ce beau matin étaient surchargées, le soleil illuminait les façades et le ciel était d'un bleu éclatant, il n'y avait pas un seul nuage à l'horizon pour venir obscurcir cette jolie matinée. Guillaume quant à lui accumulait encore et toujours du retard, mais essayait en vain de dépasser au pas de course un maximum de personnes. Finalement c'est au bout d'une bonne dizaine de minutes qu'il décida d'abandonner, après tout il allait manquer plus de la moitié du cours, il n'y comprendrait donc rien et ferait juste office de présence. Depuis le début de l'année scolaire il avait énormément de mal à se faire à cette nouvelle vie de l'autre côté de l'Atlantique, en France tout était moins grand, plus facile, Berkeley était une immense université et le niveau était très élevé, puis tout le monde le sait, les fêtes et les cours ne font pas bon ménage. Cela avait été l'une des raisons qui l'avait poussé à quitter le pays où il avait grandi, mais on ne peut pas fuir ses vieux démons sans devoir à nouveau les affronter à un moment où un autre. Et c'est avec près de trois quarts d'heure de retard que notre frenchi pénétra sur le campus, un campus dont il ne connaissait même pas la moitié, cela viendrait surement avec le temps, mais pour le moment c'était foutue. L'amphithéâtre dans lequel il devait se rendre se trouvait de l'autre côté du bâtiment qui lui faisait face et le nombre d'étudiant qui circulaient rien que sur l'esplanade devant lui était affolant. Quand il étudiait encore à la Sorbonne, tout le monde le reconnaissait, ils savaient qui il était alors qu'ici c'était juste un étranger dont on ne connaissait rien, quelle dure loi de la vie.

« Salut, tu vas bien ? » Un signe de la main en direction d'un jeune homme qui fréquentait la même confrérie que lui et Guillaume essaya de poursuivre sa route dans un couloir bondé sans bousculer personne, ce qui n'était pas chose aisé. Il avait déjà abandonné l'idée d'aller à son premier cours de la journée, mais à présent il fallait se rendre au second et la salle dans laquelle il devait se rendre se trouvait encore plus loin que l'amphi. Tout ça c'était bien sûr sans compter après avoir aperçu ce visage, un visage qu'il avait vu des milliers de fois et qui lui était tant familier. Elle venait de lui couper la route et c'était dirigé vers les escaliers. Que faisait-elle ici ? La fille qu'il l'avait fait succomber étudiait également à Berkeley et il ne la croisait que maintenant, alors que cela faisait presque cinq mois qu'il était ici. À quoi cela pouvait t'il rimer, elle était ou la caméra cachée ? Et surtout, que fallait t'il faire ? Aller voir si ce n'était pas une simple hallucination et ce même s'il était sûr que c'était elle ou continuer son petit bout de chemin et faire comme si de rien n'était. « Ho et puis merde. » Il décida d'opter pour la première solution et se dirigea également vers les escaliers, il pouvait également dire adieu à sa deuxième heure de cours matinal. Essayant de la retrouver parmi la foule, ce qui était compliqué au vu de la taille de la jeune fille, Guillaume fini par l'apercevoir à quelques mètres de lui, elle était entourée de ce qui devait surement être ses amis. Comment l'accoster dans ce genre de situation ? Il n'en avait pas la moindre idée. Il décida donc d'y aller au culot et se dirigea vers la belle demoiselle qui montait déjà les escaliers. « Hé Guillaume. » Il fît à peine attention et fit un signe de la main. « Ouais, ouais. » Il ne pensait plus qu'à une chose, à elle et à comment ça allait se passer, bien qu'il la connaisse par cœur, il avait un traque pas possible. Et finalement c'est arrivé au premier étage qu'il se décida. « Manon ! » Et voilà le premier pas était fait, que peu bien nous réserver la suite.
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MessageSujet: Re: I'll be there for you || Pv. Manon I'll be there for you || Pv. Manon EmptyLun 18 Avr - 17:36

Une seule cigarette, rien du tout. Juste une, juste le temps d’inspirer et d’expirer. Le temps d’un trajet à peine et une fois garée, écrasée sur le parking de Berkeley. Oui une seule, rien de bien grave. Une erreur parmi tant d’autres, beaucoup de blabla’ pour rien. Et puis une capacité de se vider l’esprit en un brin de temps. La française lâche le mégot par terre qui tombe devant les dernières Prada tout juste importées, la pointe de son escarpin se penche sur le mégot et hésitante Manon relève la tête vers le bâtiment principal et hausse les épaules. Rien de bien grave après tout il s’agissait juste d’une faute anti-écologiste depuis son installation définitive à Berkeley. Alors le mégot (enfin ce qu’il en reste) se retrouve complètement piétiné et adhère finalement complètement bien à la surface du sol. Pas d’entraînement aujourd’hui et le manque n’est pas spécialement présent, c’est elle ou elle avait l’intime sensation de redécouvrir Berkeley ? Ses pas se font plus discrets, et son allure de marche qui est d’habitude rapide se transforme en une allure lente. Ses yeux noisettes cherchent un réconfort, une personne qu’elle connait vachement bien, quelqu’un qui lui donnerait une blague même au niveau le plus déplorable qui soit. Juste histoire de sourire, elle toussote, la fumée elle ne la supporte toujours pas et l’arrière goût de la cigarette est infect. Contente de n’en être toujours pas accro’ elle s’arrête devant le premier miroir qu’elle aperçoit s’offre une retouche maquillage minute. Se complimente pour la énième fois en calquant à l’identique le modèle d’Hanna Marin dans Pretty Little Liars (qu’elle n’a plus honte finalement de lire et de dévorer littéralement) « je m’appelle Manon Petrov-Versier et je suis fabuleuse. » répété au réveil, à la pause déjeuner, au goûter, au dîner et dés lors qu’elle sentait un petit point négatif jaillir de sa journée. Personne ne lui ferait le malheur de lui pourrir sa journée, qu’il pleuve ou qu’il vante, qu’il fasse 5° ou 26°. Immédiatement après une voix se détache de tout le brouhaha ambiant que les couloirs dégagent, les bâtiments sont nombreux, les départements aussi. Elle se souvient encore du début et de son périple pour trouver le bon secrétariat et ainsi obtenir son emploi du temps permanent. Plum arrive toute joyeuse, respirant la joie de vivre et la femme heureuse amoureuse épanouie. Au final elle a trouvé mieux que Damian et en garde un sourire ravi, des filles de l’équipe du cheerleading se mêlent à elles et tout de suite on décèle sarcasmes, moqueries, plaisanteries, invitations pour les prochaines soirées à venir dans leurs paroles. Cette notion élitiste qu’elle n’a pas trouvé dans la Sorbonne, ces groupes bien rangés entre eux. Elles ne portent pas leurs uniformes constamment mais on les reconnait juste par leur prestance, Plum n’est plus dans l’équipe mais elle a retrouvé ses premiers amours qu’est la confrérie Alpha. Alors au nom du « Petrov-fire » elle reste toujours sa double, sa plus belle à ses yeux. Glissant son pouce dans la poche intérieure de son Paul & Joe, elle essaie d’attraper son téléphone sans succès. Préoccupée par l’absence totale de certaines personnes elle garde un silence radio sur ses relations qu’elles soient passés ou imagées. Apportant son pouce à ses lèvres sans le ronger, regrettant déjà la couleur rouge pomme d’amour qui ne sublimait pas tant que cela ses ongles elle se trouve déjà une occupation pour son premier cours du matin.

Pas de sonnerie ici, un peu comme dans toutes les universités. On jette des regards furtifs sur les montres, on estime le temps qu’il nous reste à discuter ; entre les retards des professeurs, le cours précédent qui doit sortir et libérer la salle, les deux minutes d’avance qu’on a sur l’horloge murale et personne ne s’active vraiment. La française se sent plutôt bien avec ses amies, et leur discussion est cent fois plus intéressante que le cours magistral qu’elle s’apprête à aller écouter et tenter de suivre. Son accent français attire encore l’œil, et lui vaut quelques questionnements alors elle éprouve une certaine lassitude en réitérant la même histoire et cela depuis un an déjà. Léger agacement quand les filles se mettent à chercher à encore bousiller quelque chose des Stanfordiens, elle a l’impression d’être au lycée avec les notions de propriétés et de terrains. Laissant un regard sous-entendu à Plum, elles lèvent leurs mains en l’air et les agitent comme deux petites marionnettes. Quelques bisous furtifs, et dernier coup d’œil sur sa montre et essayer de voir si elle pourrait passer prendre un smoothie ou non. Le mélange sucré/salé qui lui faisait du pied depuis quelques semaines déjà et aujourd’hui occasion idéale pour le tester. Après avoir fumé, elle compenserait en consommant toute la journée restante des fruits et légumes frais. Complètement concentrée sur l’histoire que sa jumelle lui racontait, elles commencent à prendre l’escalier qui les mènent au premier étage du bâtiment menant à la bibliothèque et à la première cafétéria. Laissant tout le loisir à sa double que de raconter entièrement et sans interrompre son récit, elle lâche quelques mots dans sa langue natale et pile au dénouement entend un prénom se détacher d’autres voix.
L’accent est familier, l’intonation aussi, en côtoyant uniquement des américains son oreille se fait plus fine en entendant des accents qui lui rappelle l’autre continent un américain qui prononce un prénom français c‘est mignon à entendre alors elle esquive un sourire mais se reprend tout de suite après. Arquant un sourcil, elle marque une pause attend quelques secondes mais n’entend pas à nouveau cette voix. Se pensant comme la nouvelle Jeanne d’Arc elle repart de vive allure, priant pour que la jolie Plum ne lui fasse aucune remarque. Prête à entamer la montée de la seconde série d’escaliers, l’énoncé de son prénom lui traversa l’échine dans un frisson particulier. Là ; un français qui prononçait un prénom à la française c’était repérable de chez repérable. Elle pose une main sur le bras de sa double essayant de garder l’équilibre et se retourne (surtout par curiosité et pas par pure politesse). Et là on se croirait dans la fin d’un film qu’on souhaite faire apprécier au public, tout le décor devient flou, le temps ralentit et on a plus du tout la même perception des sons et des autres sens. Regard surpris lancé à Plum qui lui lance son traditionnel regard « ma mission est complète à plus tard » et celle qui dévale les escaliers à toute allure, si bien qu’elle en arrive à se faufiler en à peine une minute.

Choix cornélien ; faire la bise, serrer la main, l’enlacer, signe de la main et sourire Colgate ou attitude distante et blasée ? Tic, tac, tic, tac… « Guillaume… Enfin je veux dire ; salut Guillaume. » Finalement rien de bien émotionnellement touchant.
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MessageSujet: Re: I'll be there for you || Pv. Manon I'll be there for you || Pv. Manon EmptyVen 27 Mai - 17:07

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Elle était là, c'était elle, comment c'était t'il possible ? Une surprise, une véritable surprise, une surprise magnifique. Elle n'avait pas changé, elle était toujours aussi belle, des traits fins qu'il connaissait par cœur et qu'il avait tant aimé, qu'il aimait toujours à vrai dire. Son cœur battait la chamade et il ne savait pas réellement quoi faire dans ce genre de situation, rien ne l'avait destiné à tomber nez à nez avec la jeune fille qu'il avait tant aimé un an auparavant. Quand il l'avait vu disparaitre de sa vie son monde avait été bouleversé et à présent il devait la regarder à nouveau dans les yeux, des yeux qu'il avait vus pétillé, des yeux qu'il avait braqués et admirer. « Je ne pensais pas te revoir de si tôt. » Avait-été les seuls qu'il avait pu lâcher, la douleur qu'il avait ressentit quand l'avion avait décollé sous son nez n'avait pas encore totalement disparu et il la sentait là au fond hors de contrôle. Le couloir était à présent totalement vide, les autres élèves étaient rentrés en classe et le silence était roi. Guillaume ne pouvait la quitter du regard, il ne souhaitait pas la voir disparaitre à nouveau, il ne souhaitait plus la quitter même s'il savait très bien que la relation qu'ils avaient eu ne serait plus la même, qu'elle avait disparue comme Manon. « Je ... Désolé, ce n'était pas intentionnel ... je ... Tu m'as terriblement manqué. » Et elle devait s'en douter. Quand elle avait quitté la France, elle l'avait également quitté, quitté la vie qu'elle menait à Paris en sa compagnie, ils n'étaient encore que colocataires à l'époque, mais cela avait été dur, extrêmement dur. Tombant peu à peu dans l'excès des soirées et de l'alcool, il se fichait de tout, les filles y compris, il n'en aimait qu'une et elle s'était volatilisé, éclipser, envoler, sans le pouvoir de la rattraper. La décision de quitter cette capitale qui était devenue sont pire ennemi avait été dur, mais c'était ça où foncer tête baisser en enfer. La Californie était donc devenue sa terre d'adoption, là où un nouveau départ l'attendait, abandonnant ses vieux démons sur le tarmac de l'aéroport. Mais à présent il retrouvait la jolie brune qui avait fait chavirer son cœur et qui ne l'avait jamais su. La revoir était un peu comme une bouffé d'air fraie, même si sans le savoir elle l'avait fait souffrir, ce dont il ne pouvait l'en blâmer, c'était bon de pouvoir à nouveau contempler son sourire, un sourire qu'il aurait volontiers embrassé. « Comme quoi on était destiné à se rencontrer de nouveau. » La destiné, quelque chose en laquelle il ne croyait pas, mais si on lui avait dit quelques jours plus tôt qu'il rencontrait de nouveau la jolie Manon, il aurait juste pouffé de rire. Il était vrai qu'il avait encore du mal à réaliser que la fille qui se trouvait en face de lui était la jeune française débarqué un an avant lui, ici, à Berkeley. Maintenant qu'il y repensait, il est vrai qu'à l'époque elle lui avait parlé d'un programme d'échange, mais elle ne lui avait pas dit avec quelle autre université. À présent tout était clair, ils avaient bénéficié de la même chose à une année d'intervalle.

« Bon et sinon toi ça va ? Depuis le temps. » Il est vrai que depuis son départ, il ne s'était jamais échangé d'email, de lettre ou encore de texto, cela avait été assez brutal, mais la vie en avait voulu ainsi et on ne pouvait rien y faire. Bien sûr il lui en voulait peut-être un peu et c'était surement réciproque, mais comment agir quand on ne sait pas ce que pense l'autre ? Entre eux cela avait toujours été ainsi, Guillaume n'avait jamais eu la certitude que Manon ressentait peut-être quelque chose pour lui alors quand dans son cas il savait pertinemment que qu'il ressentait. À présent c'était encore différent, énormément de choses avait changé depuis leurs vies en France, ils se retrouvaient sur un autre continent, dans une autre ville, dans une nouvelle université, on leur avait peut-être une nouvelle chance, mais avant tout, il fallait surement mettre les choses au point une bonne fois pour toute. Malheureusement il était très nul pour ça. « On dirait qu'on est bon pour passer une heure en tête-à-tête dans ce couloir. » Un semblant de sourire commençait à se dessiner sur son visage, ce qui était un bon signe. Il se doutait qu’elle devait lui en vouloir autant qu'il lui en avait voulu d'avoir prit ce vol et de reconstruire une nouvelle vie ailleurs, sans lui. Ce qu'il fallait faire, il n'en avait aucune idée, mais il savait néanmoins ce qu'il ne fallait pas faire. Ce dont il était sur c'est qu'il était bon pour louper la première heure de cours de la journée, voir même la matinée où la journée qui sait, tout ce qu'il voulait c'était de ne plus la quitter, il l'avait perdu de vu depuis suffisamment longtemps comme ça. Attrapant sa main qu'il n'avait plu toucher depuis ce qui lui semblait des décennies, il l'entraîna jusqu'au mur où il se laissa tomber, tout comme sa main. Ils avaient besoin de discuter et c'était surement le début d'une longue discutions, discutions qui porterais surement sûr tout et rien, mais c'était inévitable, donc autant faire ça ici et maintenant et laisser ensuite ça derrière pour aller de l'avant. « Je pense qu'on devrait discuter non ? » Ne voyant pas grand-chose au vu de sa position et du soleil qui tapait contre les vitres, il lui fit juste signe de s'asseoir à côté de lui. « Ca te tente. »
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