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Parce que toi & moi, c'est comme un gâteau sur lequel on aurait mangé la cerise. | Emma

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MessageSujet: Parce que toi & moi, c'est comme un gâteau sur lequel on aurait mangé la cerise. | Emma Parce que toi & moi, c'est comme un gâteau sur lequel on aurait mangé la cerise. | Emma EmptyMar 9 Nov - 19:53

Parce que toi & moi, c'est comme un gâteau sur lequel on aurait mangé la cerise. | Emma Sj3-1cf703c

« L'amour parle, même à lèvres closes. »

Quand la perfection est à Paris, elle va où ? Au Louvre bien sûr, ben oui. Mon père m’aurait surement amené de force avec Augusto pour que nous nous reparlions comme avant, enfin, avant était un grand mot alors autant profiter de l’autorité paternelle qu’il avait encore. Mais tel n’était pas le cas. Je ne devais pas bouger et rester ici, à mon hôtel. Loin de rien et près de tout. Je ne pouvais tout simplement rien faire, et pourquoi dont ? Récemment, le décalage horaire et tout ça avait causé quelques problèmes, quelques étourdissements et aussi quelques nausées qui n’avaient lieu d’être. A chaque fois que je suis malade à présent je pense que ça peut m’être fatale, mais je vis quand même à fond, il n’y a pas de temps à rester raisonnable, le temps passe et je dois profiter de chaque moment sur cette planète. La vie ne vous montre que sa valeur et sa qualité que lorsque vous êtes sur le point de la perdre. J’avais failli la perdre, et même lorsque l’on me disait que je devais faire attention, je n’y faisais pas attention. Mettre des contraintes à ma vie n’est pas de mon genre, alors pourquoi je changerais ? Pour n’être qu’un peu plus raisonnable ? A demi-vivant ? Me priver de tout ce que j’aime au profit de quelques temps de plus ? Il faut bien crever de quelque chose, autant que ce soit d’une maladie cardiaque. Je partirais vite au moins. Bien sûr, si mes parents ou bien ma sœur m’écouterait je me prendrais surement une gifle ou deux, je sais que je ne peux pas leur faire ça, et je sais qu’au fond de moi que je n’ai pas envie de quitter cette putain de planète, que je ne veux pas m’éteindre plus tôt que mes aïeux eux-mêmes. Ils ont bien eu le temps eux, à moins que j’ai reçu cette maladie d’eux. Au fond, je m’en fiche, je suis comme ça et qu’on me fiche la paix s’il y a un problème avec ça. Moi qui d’habitude peut se battre pour des raisons personnels ou juste pour mon bon plaisir de me défouler sur une tête de con, maintenant je dois rester raisonnable, calme, car je peux me reprendre mes propres coups avec une force fulgurante, en plein cœur sans qu’on ne me touche. Trop d’efforts et trop d’adrénaline mène à ça. Je suis donc dans la chambre de mon hôtel et je m’ennuie à mourir, je ne sais que faire alors je vais prendre une douche même si je suis censé rester allonger. Je me laisse sous le jet d’eau brulant et plaque mon poing contre le mur, me soutenant alors que l’eau brulante coule sur moi. Ça ne me fait pas aussi chaud, je n’y suis pas sensible, n’oubliez pas que je suis un homme, un homme dont la perfection se lit de loin. Je finis par me laver et je m’habille, une chemise ainsi qu’un pantalon blanc, assez moulant et mes baskets. Un bonnet sur la tête ainsi qu’un gilet noir pour faire contraste. Je m’en fiche, je suis beau même si je suis habillé à la va vite. Je sors de ma suite et je me dirige vers l’ascenseur, les mains dans les poches tel un homme confiant et sûr de lui, même si sur mon visage on ne peut lire qu’une chose, l’ennui et la lassitude. Attendais-je l’heure de partir de cette Terre ? Je n’en savais fichtrement rien, et je m’en fiche royalement. La réceptionniste me sourit, elle m’a fait des avances hier soir, la mine que j’affiche ne peut lui donner qu’un air déçue sur son visage, l’effet du douche froide. Je sors, il fait frais. Merde, oh et puis ça me fera du bien. Je marche sans m’arrêter, sans voir ou je vais, je sais que je peux aller de partout juste en levant la main et qu’un taxi me guide là ou je veux, mais je ne veux aller nulle part. Je me sens vivant lorsque je marche, et j’aime faire ça, marcher et penser à moi, à croire que je suis devenu un peu plus égoïste depuis ma maladie, du moins depuis que je sais son existence, car au fond, elle a toujours été là. Je me pose sur un banc et je vois un marchand de marrons, je n’y ai jamais gouté et je n’achèterais rien, je n’ai pas faim. Je suis donc sur mon banc et je regarde les gens vivre sans se soucier de moi, au fond, c’est mieux comme ça. L’ignorance sur ma personne apporte un calme que je ne peux refuser. Je lève les yeux au ciel et regarder ces nuages gris qui menacent de pleuvoir. Il faut que je rentre. Mais quelque chose me tilt dans la tête, une chose que j’ai déjà vue mais je ne sais où, je regarde alors ce qu’il y a en face de moi. Un café parisien, j’aime ces couleurs. Une couleur vive me prend aux yeux, une clarté lumineuse, chaude, jaune. Pas un rayon de soleil mais une jolie blonde qui me semble familière. Je ne sais plus ou je l’ai vu. Je pose mon regard sur son visage, ces lèvres pulpeuses, ce teint de pêche, sa peau a l’air douce. Je ne peux détacher mon regard du sien, alors que d’un coup la mémoire me vint au moment ou mes jambes décident de se lever, le tonnerre gronde, et je dois rentrer. Je prends mon téléphone, elle a surement du me reconnaître et je cherche la lettre de son prénom, Emma. Je regarde la photo du temps ou j’avais eu son numéro, il y a de cela un an. Je l’appelle, je ne sais pas si c’est la messagerie ou pas, je parle « Emma, c’est moi, Sandro. Il ne fait pas beau et mon docteur m’a dit que je ne devais pas bouger de l’hôtel, j’ai besoin de toi, j’ai envie de te parler en plus, alors, tu me rejoins ? Je t’y attends. » Je raccroche alors et j’entre dans mon hôtel, je remonte avec l’ascenseur et je me pose dans ma chambre, me déshabillant, j’entends toquer à la porte au moment ou je laisse tomber ma chemise sur le lit.
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Parce que toi & moi, c'est comme un gâteau sur lequel on aurait mangé la cerise. | Emma Empty
MessageSujet: Re: Parce que toi & moi, c'est comme un gâteau sur lequel on aurait mangé la cerise. | Emma Parce que toi & moi, c'est comme un gâteau sur lequel on aurait mangé la cerise. | Emma EmptyMer 10 Nov - 13:45



« La meilleure séduction est de n'en employer aucune. »

    Paris 10h00, pour une fois il ne pleuvait pas mais malgré ça miss Roswell dormait encore profondément. La jeune femme avait déménagé dans un nouvel appartement depuis le cambriolage qu'elle avait subi, maintenant elle se trouvait dans un coin du 17ème arrondissement beaucoup plus sécurisé que l'endroit où elle se trouvait auparavant. Toutefois l'Epsilon faisait toujours autant de cauchemars, elle se réveillait presque toutes les nuits en sueur sans réussir à se rendormir, d'où le fait qu'elle ne soit pas encore lever ce jour là, elle manquait cruellement de sommeil. Elle se réveilla environ deux heures plus tard. La blondinette étira ses bras et bailla longuement avant d'enfiler ses chaussons. Ses cheveux étaient en pétard, ses yeux cernés et elle avait d'horribles maux de tête. La jeune Anglaise avait attrapé un rhume depuis quelques jours et ça ne la mettait pas vraiment de bonne humeur, elle oubliait souvent de prendre des paquets de mouchoirs donc elle n'était pas de faire des allers-retours pour en chercher. C'est dans des moments comme ça qu'elle regrettait de ne pas avoir de colocataire, elle avait longtemps songé à en prendre un mais, au final elle se dit qu'elle était mieux toute seule. Après tout elle avait bien le droit à des moments de solitude, lorsqu'elle se trouvait dans la résidence des Epsilons il y avait toujours quelqu'un pour la déranger ou alors l'hôpital psychiatrique qui l'appelait pour lui dire que sa mère avait des conneries. En ayant décidé de participer à l'échange avec la Sorbonne, elle c'était comme libéré d'un quotidien qui commençait à devenir trop lourd pour ses frêles épaules, elle pouvait enfin respirer et faire ce qu'elle voulait sans se soucier des autres. Oui c'était égoïste, elle le savait mais elle s'en foutait, après tout elle avait déjà fait un aller retour à cause du médecin qui l'avait appelé pour lui dire que sa génitrice avait péter les plombs, maintenant elle n'allait plus penser qu'à elle et rien qu'à elle. Si jamais sa sœur ou son frère se plaignait de quoique ce soit, elle les enverrait chier sans hésiter, elle en avait ras le bol de toujours devoir s'occuper de tout. Elle se pris une douche, son petit déjeuner, puis elle s'habilla et sortit à l'extérieur. Une fois qu'elle se trouva dehors, elle se rendu compte que les températures avaient drôlement baisser depuis son arrivée, elle n'était donc pas étonnée de s'être choper un rhume. Enfaite si il y avait bien une chose qu'il lui manquait de San Francisco c'était sa température, au moins il faisait plus chaud là bas qu'en France et elle avait beaucoup moins de risques de tomber malade. Même si il n'y avait pas particulièrement de soleil, la jeune femme sortit une paire de lunettes de soleil signé Ray-Ban et se promena le long de la rue du Cardinet. Emma affectionnait cette endroit plus que les autres, il lui rappelait sa jeunesse lorsqu'elle sortait de la boulangerie avec du pain chaud et qu'elle entendait un viellard joué de la musette.

    Il lui arrivait de se demander dans quel époque c'était figé la capitale Française, il n'était pas rare qu'elle entende le bruit d'instrument âgés de plusieurs siècles et qu'elle ne croise des personnes habillés comme si ils étaient rester dans les années 50. Cette ambiance lui plaisait car elle lui rappelait un peu l'excentricité de certaines habitants de sa ville natale ; Londres. Nombreuses étaient les fois où elle avait songé à retourner vivre là bas mais, allez savoir pourquoi elle n'arrivait pas à quitter les États-Unis depuis l'année où elle s'y était installé. Ce n'était même pas à cause de Berkeley qu'elle restait - après tout elle pouvait intégrer n'importe quelle université prestigieuse d'Angleterre si elle le souhaitait - mais quelque chose d'autre semblait la retenir ici. En y repensant c'était peut-être bien à cause de la présence d'un homme. Oui c'est horriblement banal de rester dans un endroit pour ce genre de choses, elle le savait mais rien que de savoir qu'il fréquentait le même établissement qu'elle la poussait à y rester, sans compter les nombreux amis qu'elle s'y était fait. Raphaëlle & Bradley, ses meilleures amis, Edward O'Malley son professeur préféré, Emma Amethyst Copperfield avec qui elle faisait de nombreuses manigances, Martin de Thomas qui l'accompagnait au piano lorsqu'elle chantait... en bref il y avait plus de raisons de rester que de partir. Vous vous demander certainement qui est le fameux homme, et bien c'était un autre Epsilon qu'elle avait connu lors d'un voyage en Italie, à Venise plus précisément. Un soir où elle se trouvait dans un vieux théâtre, un mystérieux étalon au physique d'Apollon lui lançait des regards, des regards qu'elle n'hésitait pas à lui rendre. Ils s'échangèrent quelques mots puis, Emma fini par écrire son numéro à l'arrière d'une photographie et elle retourna en Angleterre. Depuis elle ne l'avait plus jamais revu ni appeler même si il était également à Berkeley. Pourquoi ? Parce qu'elle voulait tout simplement qu'IL fasse le premier pas, la jeune Anglaise faisait partit de ces femmes qui aimaient se faire désirer et qui résistait à l'envie d'appeler l'homme qu'elle convoitait. Elle finira par apercevoir la silhouette de la personne en question mais, elle n'ira pas le voir car il commençait à pleuvoir, elle préféra se réfugier à l'intérieur d'un petit café Parisien. Peu de temps plus tard, son portable vibra, elle venait de recevoir un message vocal. La donzelle n'avait même pas présager que c'était Sandro qui l'avait appelé... c'était pourtant si prévisible mais, elle en était agréablement surprise, il c'était enfin décider à l'appeler. Victorieuse, elle écouta attentivement le message qu'il lui avait laissé puis elle partit le rejoindre. Il pleuvait encore et elle n'avait pas de parapluie mais elle s'en fichait, elle rentra à l'intérieur de l'hôtel les cheveux trempé et elle demanda à l'acceuil le numéro de la chambre de monsieur Da Volpedo.

    Elle grimpa lentement les escaliers puis elle frappa à sa porte. Quelques secondes après qu'il ne l'ouvre, la jeune femme éternua et s'exclama :
    « J'espère pour toi que tu n'es pas contagieux ou tu risque de passer un sale quart d'heure, déjà que je suis bien enrhumée... » Emma esquissa un sourire et secoua sa longue chevelure blonde encore fraichement mouillée.

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Parce que toi & moi, c'est comme un gâteau sur lequel on aurait mangé la cerise. | Emma Empty
MessageSujet: Re: Parce que toi & moi, c'est comme un gâteau sur lequel on aurait mangé la cerise. | Emma Parce que toi & moi, c'est comme un gâteau sur lequel on aurait mangé la cerise. | Emma EmptyMer 10 Nov - 20:43

Parce que toi & moi, c'est comme un gâteau sur lequel on aurait mangé la cerise. | Emma Sj3-1cf703c

« La séduction suprême n'est pas d'exprimer ses sentiments. C'est de les faire soupçonner. »

Cette fille, je l’a trouvais peut-être plus intéressante que d’autre, peut-être qu’elle me plaisait juste et je ne voulais juste qu’une partie de plaisir, mais c’est lors de notre rencontre que tout s’était déterminé entre nous, sans que nous en sachions la fin. Je ne sais ce que nous pouvions être l’un pour l’autre, mais une chose était vraiment indéniable, Emma m’intéresse. La soirée mondaine auquel nous nous sommes trouvés n’avaient qu’un effet sur nous, jeunes personnes qui allaient prendre la suite de ce que nos parents ou aïeux nous laissent. Nous qui vivons d’un nom auquel nous n’apporterions qu’une suite de bien fait, tout en l’améliorant à chaque fois. En bref, je m’ennuyais ce soir-là, et dire que nos regards, nos échanges de caresses aussi imperceptibles soit-elles et innocentes, avaient pour nous des sens plus ou moins plus fort que la normale, ce n’était pas normale que de cette façon, nous avions réussi à attirer l’autre dans notre jeu, mais était-ce véritablement un jeu ? Peu de personnes se risqueraient à dire la vérité, et moi, malheureusement je n’en sais strictement rien. Je ne cherche pas l’amour, je le laisse me tomber dessus, et à part une maladie de cœur, je ne peux interpréter aucun autre signe qui puisse me montrer que je tombe amoureux, ou que je sois entiché d’une personne. Encore moins une blonde, même si je n’ai aucune préférence. Je suis de nouveau dans ma suite, et je me pose des questions, le comment du pourquoi. L’attente, était-ce finalement un jeu ? Cette attente que nous avions mise depuis que nous nous connaissions indirectement. Des regards, quelques caresses anodines, mais rares et voilà de quoi étaient fait notre année sur Berkeley. Je ne pouvais pas dire que je ne la connaissais pas, même si j’avais une soudaine soif d’envie de la connaître, de savoir ces songes, ces envies et tout ce qu’il y a avec. Ces défauts et qualités. A croire que je la désire. Je n’en sais rien et je ne veux rien savoir de ce que j’ai envie ou pas, je veux juste laisser passer le temps, elle toque, j’ouvre. Je ne me rhabille pas alors que je recule déjà, je ne fais pas trop attention à elle alors que je vais dans la salle de bain me changer, pour avoir plus d’intimité, elle n’a pas encore le droit de voir le reste de mon corps, pas encore. Je me dévêtis de mon pantalon et le laissant glisser le long de mes jambes alors que je prenais mes aises, faisant comme si elle n’était pas là, alors que je l’entendais, elle ne pouvait voir le sourire que j’avais sur le visage après sa réponse. La pauvre, elle est malade, moi qui pensais que nous pouvions passer un moment câlin, c’était râpé. Je ne pense pas qu’à ça, je rigole, c’est de l’humour voyons ! J’ai dis que j’avais besoin d’elle. Je passe sans me soucier qu’elle voit mon corps de rêve et fouille dans une commode un pantalon plus moulant, en soie blanche, laissant entrevoir par moment ma peau mais j’avais bien sûr un boxer en-dessous, que l’on voyait ou pas, tout en ne lui adressant pas un seul regard. Je suis de nouveau habillé et je pense que je dois quand même lui adresser un regard, la faire patienter ainsi n’est pas bon, je le sais. Une femme a toujours besoin d’être aimé, regarder, flatté. Et vu que je l’ai fait venir ici, il serait mal vu pour que je lui fasse affront, je ne voulais pas qu’elle reparte de suite parce que je me la jouais un peu trop machiste dès le début. Je me laisse aller sur le lit et la regarde, toujours aussi belle et alors qu’elle lâche un atchoum, je souris, je ris presque mais je me retiens, c’est susceptible ces petites blondes là ! Bon, il faut que j’arrête et que je lance une pic, ou un truc du genre, il faut détendre l’atmosphère, et alors qu’elle semble avoir froid, je me lève dans toute la grandeur de ma modestie et de ma perfection, et aussi de ma grande taille pour aller prendre une couette dans une des armoires et de lui poser autour des épaules. Poser ma main sur sa joue pour prendre sa température, elle est mouillée cette folle. Les gens sont insouciants de nos jours, je lui prends doucement sa main alors qu’elle semble encore choquée par la caresse que je lui ai faites sur la joue, alors que je ne faisais prendre que sa température. Je l’attire sur le lit de sa main et finit par la laisser seule, dessus. Je lui souris, un sourire hypocrite à croire, j’ai l’air mielleux comme ça, soumis, merde. Faut que j’arrête d’être aussi gentil. Je vais dans la salle de bain et prend une serviette et lui lance, j’espère qu’elle la rattrape a la main, de quoi sécher ces longs cheveux dorés que j’apprécie tant. Elle me charme, suis-je entiché d’elle ? Je n’en sais rien, et je ne tiens pas réellement à savoir si je suis attaché à quelqu’un, en vaut-il la peine ? « Sèches-toi, et non, je ne suis pas malade et je ne tiens pas à l’être. Je ne te demande pas si ça va, ça se voit de loin. Mais bon, je ne t’ai pas demandé de venir si c’est pour rester loin de moi. – Une révélation ? Non. Oui. Peut-être. – Je pensais te demander de me faire un massage vu que j’ai mal au dos, mais je pense que ça attendra que tu ailles moins, tu couves un gros rhume, t’es presque brûlante. C’est si amusant un rhume pour que tu marches sous la pluie ? Un parapluie ne serait pas assez pour toi ? » A croire que je m’inquiétais pour elle, et c’était peut-être ça, mais jamais je ne me l’admettrais, et puis, ce n’est pas ça. Je ne pense qu’à la maladie, elle ne me fait pas changer de sujet à croire, sa présence ne me fait penser qu’à des choses dont je ne veux pas penser, ai-je eu raison de l’inviter ? Peut-être, au fond, je sais que oui, mais chut, je ne le sais pas.
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Parce que toi & moi, c'est comme un gâteau sur lequel on aurait mangé la cerise. | Emma Empty
MessageSujet: Re: Parce que toi & moi, c'est comme un gâteau sur lequel on aurait mangé la cerise. | Emma Parce que toi & moi, c'est comme un gâteau sur lequel on aurait mangé la cerise. | Emma EmptyJeu 11 Nov - 11:28



« L'attraction est à la matière inanimée ce que l'amour est à la matière vivante. »
    L’attraction qui se faisait Sandro entre Emma ne s’expliquait pas, elle se voyait juste dans leurs yeux et ils n’avaient même pas besoin de dire le moindre mot pour qu’on s’en aperçoive. La jeune Epislon n’était pas du genre à attendre trop longtemps d’habitude mais, elle avait fait une exception pour lui. Pourquoi ? Elle seule le savait. Il était difficile de déchiffrer une femme aussi complexe qu’elle ne l’était et qui ne laissait pas ses sentiments transparaitre au grand jour. Emma avait toujours fait preuve d’une grande pudeur, elle n’aimait pas que son regard ne la trahisse ou qu’on lui puisse deviner ce qu’elle ressentait pour quelqu’un. En général lorsqu’elle sort avec quelqu’un elle n’est pas très affective, du moins en publique. Notre Anglaise avait horreur de tous ces couples qui exposaient leurs bonheur à tout va, qui se disaient ‘ je t’aime ‘ alors qu’ils n’étaient ensemble que depuis quelques jours, elle trouvait ça tout simplement pathétique. Non les histoires cucu praline c’n’était pas particulièrement son truc. Il n’était pas rare qu’elle ait l’envie de vomir lorsqu’elle croise des couples en apparence ‘ parfait ‘, surtout quand elle était célibataire enfaite. Emma ne c’était pas casé depuis… euh… environ 5 ou 6 mois, peut-être plus enfaite elle ne comptait plus. La blondinette passait son temps à se bourrer la gueule en boîte et à dégueuler une fois qu’elle se trouvait à l’extérieur ou alors elle tombait bêtement dans les pommes, ce qui n’était pas beau à voir dans les deux cas. Le problème c’est qu’elle ne refusait jamais les verres qu’on lui proposait, c’était plus fort qu’elle, elle savait l’alcool nocif à sa santé mais il fallait toujours qu’elle se trouve une excuse pour boire un p’tit coup. Pour commencer elle disait ; ‘ J’en prendrais qu’un ‘ puis après ‘ non deux ‘ et puis après ‘ non allez un petit troisième ‘ et ça ne s’en finissait plus… Oui l’alcool était une addiction pour elle mais, c’est toujours mieux que la drogue non ? Après tout c’est moins dangereux que de snifer de la coke à longueur de journée et de se piquer le bras au risque de se le faire amputer parce qu’il finira par être infecté. A vrai dire depuis qu’elle avait vu la fin du film « Requiem for a dream », elle n’avait pu la moindre envie d’essayer ce genre de trucs, ça l’avait totalement dégouter et dans un sens tant mieux.

    La jeune Epsilon appuya son bras contre mur en attendant que son confrère ne se change. Elle était étonnée que monsieur ne soit pas un ‘ exhibitionniste ‘, lui qui se trouvait parfait à tout point de vue que ça soit physique ou moral, elle aurait pensé qu’il aurait exhibé sa plastique parfaite et lui dirait de l’admirer autant qu’elle le voudrait. Apparemment il n’était pas aussi prévisible qu’il n’en avait l’air. Après l’avoir fait poireauter, il s’approcha d’elle et déposa sa main sur sa joue, pris sa main et fini par l’attirer sur son lit. La blondinette attrapa la serviette qu’il balança et elle se sécha les cheveux vite fait. Une fois qu’il avait fini de parler, elle s’offusqua ;
    « Hé mais je n’suis pas en sucre ! Ne me traite pas comme une enfant. Dans ce cas si tu n’es pas malade, pourquoi est-ce que tu m’as dis que ton docteur ne voulait pas que tu bouge ? » Elle marqua une courte pause puis reprit ; « Et puis je ne suis pas malade, je suis juste enrhumée, c’pas pareil. Non j’aime pas m’encombrer d’un parapluie monsieur. » Emma retira ses chaussures, croisa ses jambes sur son lit puis elle dit : « Je ne suis pas proche de la mort non plus alors tais toi et puis allonge toi, tu vas l’avoir ton massage. » Sans lui demander son avis, elle se leva légèrement afin de pouvoir lui tirer le bras et l’attirer sur le lit. Une fois qu’il se retrouva assis à coté d’elle, elle le poussa de manière à ce qu’il s’allonge sur le ventre. Puisqu’il avait fait tomber la chemise sur son lit, il était déjà torse nu ce qui lui facilitait la tâche. Elle se mit à califourchon sur lui et précisa ; : « Je n’aime pas les personnes qui gigotent de trop alors ne bouge pas. »; La blondinette déposa ses mains froides sur le dos musclé de l’Italien. Pendant qu’elle lui massait la colonne vertébrale, elle lui demanda ; « Tu as plutôt mal en haut, en bas ou au milieu ? » Emma n’était pas devin, elle n’allait pas deviner à quel endroit il aurait mal mais, elle avait le précisément qu’il lui dirait qu’il a mal tout le long du dos afin de profiter de son massage le plus longtemps possible. Cependant la jeune Anglaise n’était pas aveugle, si elle voyait qu’il abusait de sa gentillesse elle arrêterait son massage sans prévenir, après tout elle n’était pas son esclave. Elle n’allait pas non plus se plier en quatre pour lui plaire, de toute façon elle savait déjà qu’elle ne le laissait pas de marbre puisqu’il l’avait invité à le rejoindre à son hôtel. Emma n’avait pas vraiment l’habitude d’être au service des autres, elle avait toujours vécue dans le luxe ; entouré de domestiques qui répondaient au moindre de ses désires et sans rechigner. Malgré ça elle n’avait pas vraiment pris de mauvaises habitudes puisqu’elle n’avait même pas engagé une femme de ménage pour sa chambre à Berkeley. La jeune Epsilon voulait certainement se prouver à elle-même qu’elle était autonome et qu’elle n’avait pas besoin d’avoir des gens à son service. Le temps où elle était traitée comme une princesse était rien derrière elle-même si elle restait tout de même une personne assez capricieuse qui n’aimait pas qu’on lui dise non. Elle avait en quelque sorte grandit même si son grand frère contredirait certainement ceci. Quant à sa sœur elle dirait très certainement qu’elle n’a pas plus muri que ça et qu’elle n’aime pas recevoir des leçons de morales alors qu’elle en avait bien besoin. Ce qui était sûr c’est que personne le pouvait donner des ordres à Emma, elle est et elle restera indomptable, gare aux fesses de ceux qui essayeront de lui donner des ordres…
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Parce que toi & moi, c'est comme un gâteau sur lequel on aurait mangé la cerise. | Emma Empty
MessageSujet: Re: Parce que toi & moi, c'est comme un gâteau sur lequel on aurait mangé la cerise. | Emma Parce que toi & moi, c'est comme un gâteau sur lequel on aurait mangé la cerise. | Emma EmptyDim 14 Nov - 14:06

Parce que toi & moi, c'est comme un gâteau sur lequel on aurait mangé la cerise. | Emma Sj3-1cf703c

« Ce n'est pas à cause de l'attraction terrestre que des gens tombent... amoureux ! »

A croire que je me montrais un peu trop chiant, oui, je pouvais l’être, je suis parfait, ne l’oubliez pas. Aussi parfait dans mes défauts que dans mes qualités. Croyez-vous que la perfection n’a point de défauts ? Elle ne serait pas aussi parfaite sans, voyons. Cela serait lassant de me voir toujours réussir, lassant pour moi et pour les autres, surtout pour les autres. Je ne pouvais penser qu’être aussi parfait pour être un tort, et je l’ai appris à mes dépends. Qu’être parfait attirer obligatoirement la jalousie des autres, leur mépris et leur insociabilité. C’est surement ça qui m’a montré la vraie signification du mot amitié, ma maladie m’a appris la signification du mot famille & vie. La famille a une importance capitale, a part pour mon jumeau, on était censé être la moitié l’un de l’autre, nous étions identiques, à croire que non. Les autres avaient eu raison de nous, on s’est oubliés et nous ne sommes juste que des pâles copies l’un de l’autre, mais je suis parfait. Je ne devais plus penser à ces choses-là, Emma était là, et je ne lui avais pas fait le plaisir de lui montrer ma plastique, c’était plutôt la sienne qui m’intéressait, et elle le savait tout autant que moi. Le regard que je lui lançais n’avait pas de sens pour les autres, mais elle savait le déchiffrer. Le désir, l’attraction. Une folie que nous avions découverte il y a quelques années et qui ne s’étaient pas encore fanés entre nous, au contraire, elle s’embellissait de plus en plus. On ne pouvait pas dire que c’était une amitié, mais on ne pouvait pas dire que ce soit de l’amour non plus. Je ne l’aime pas. Enfin, ce n’est pas ce que je veux dire, je l’aime bien, mais je ne sais pas encore si je pourrais m’attacher à elle plus que je ne le suis déjà. Il ne fallait pas que je sois imbu de moi-même et que je sois par-dessus aveugle. Je m’étais attaché à elle-même si tout deux ne le montrent pas l’un à l’autre. Alors qu’elle se séchait les cheveux, je ne bougeais pas de mon lit, attendant qu’elle me réponde et je savais déjà que ça allait me plaire. J’étais confiant, un peu trop sûr de moi, je pouvais l’avouer, et surtout, un brin manipulateur. Je jouais de notre attirance pour l’avoir dans mon lit, et c’était déjà fait. Mon charme faisait des ravages et le sien aussi, mais j’utilisais le mien pour avoir ce que je veux. Était-ce mal ? Pour la première fois, j’avais l’impression que ce que je faisais soit mal. Que je pouvais faire du mal en manipulant le cerveau des gens, pour qu’ils soient comme je le veux, n’aurais-je pas mieux en les laissant faire ? En les laissant libre de toute pensée sans que je ne veuille espionner leur pensée, me mettre dans leur peau pour que tout ne soit que devinette et que je n’ai plus de surprise. Je me laissais de ma personnalité à croire, juste à croire. Ça ne se pouvait pas. Elle était spéciale cette fille, elle n’était pas comme les autres, et je l’avais compris dés que je l’avais vu. Lui dire ? Elle en serait trop contente, un compliment ? Non plus, Faire plaisir aux gens qui ne me font pas plaisir n’est pas de mon genre. Alors que je me sens tombé sur le lit, sur le ventre et elle venir sur mon dos, à califourchon sur moi, cette position en soit est existante, mais de l’autre côté serait encore mieux, mais bon, il ne faut pas que je lui en demande trop, mince, c’est déjà fait. Oui, je le vois sur son visage, elle en a déjà marre de moi, du moins je pense. Depuis que je sais que cette maladie je suis plus égoïste et plus méchant, sans le vouloir de plus, que je ne l’ai été dans ma vie depuis 20 ans maintenant. J’évitais ces questions concernant ma santé, je n’aurais pas du en parler, et je fermais les yeux en sentant ces mains froides sur mon dos, je frissonnais légèrement à ce contact, pas parce qu’elle avait les mains douces, juste au changement de température, je suis sur qu’elle l’a fait exprès. Je n’ai pas le temps de fermer les yeux et de profiter du massage que je sens que le poids que j’avais sur les fesses ne s’en aille. Elle se laisse aller sur le lit, me regardant et je tournais lentement la tête pour la regarder, ne bougeant pas d’un pouce. Cherchant le problème, je le savais le problème mais autant dire que je ne savais pas comment réagir. J’ai peut-être abusé de ma personne, la voulant seulement pour moi et donc la dénigrant ? Lui avais-je manqué de respect ? Ou encore avais-je bafoué son statut de femme en la rabaissant ? Je ne sais pas et vu la tête qu’elle fait, elle semble me bouder. Merde alors. Allez Sandro, bouge ton cul et va a côté d’elle. Malgré les encouragements moraux intérieur je ne bouge pas. Je dois être un vrai monstre. Je reste allongé sur le lit et je la regarde, doucement ma main va vers la sienne et je la caresse doucement, à quoi je joue ? Je n’en sais rien, je caresse de mon pouce le dos de sa main alors que je ne quitte pas son regard. Je suis si cruel, merde, il faut que j’arrête. Doucement j’attrape son poignet et je l’attire à moi, mon corps et mon esprit semble tout deux être des êtres à parts de moi-même et chacun agissant à sa guise. Je l’attire donc vers moi et je la regarde, la forçant un peu à s’allonger, je la regarde dans les yeux alors qu’une folle envie de l’embrasser me vient. Mais je la laisse, je ne veux pas jouer avec elle. J’ai cette sensation au fond de moi qui me déchire semble t-il les entrailles m’interdisant de jouer avec elle, de ne rien lui faire, de voir ce qui pouvait se passer entre nous, de ne plus chercher à être dans sa tête. Je dois dire quelque chose là non ? Raah, depuis quand j’hésite ? Manque de confiance ? Non.. ce n’est pas ça, mais ce n’est rien alors ? Elle me fascine cette fille à me rendre si instable, je ne comprends rien ce qui se passe mais j’ouvre doucement la bouche et des mots sans que je sais ce que je vais dire vienne « Ne boudes pas. Je ne sais pas trop pourquoi tu as arrêté mais c’est obliger de ma faute je pense.. donc je vais supposer ça et donc me diras-tu ce que j’ai fait pour que je sache me faire pardonner comme il le soit ? » Oula, me faire pardonner ? Depuis quand je m’excusais ? Depuis quand j’étais si fleur bleue ? Merde, que m’arrive t-il ?! Cette blonde elle est chiante même si elle est belle et qu’elle m’attire indéniablement. Encore une fois je me perds dans son regard, il m’apaise. Je la hais juste pour ça.
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Parce que toi & moi, c'est comme un gâteau sur lequel on aurait mangé la cerise. | Emma Empty
MessageSujet: Re: Parce que toi & moi, c'est comme un gâteau sur lequel on aurait mangé la cerise. | Emma Parce que toi & moi, c'est comme un gâteau sur lequel on aurait mangé la cerise. | Emma EmptyDim 14 Nov - 16:16



« La femme est une lyre qui ne livre ses secrets qu'à celui qui sait en jouer. »

    Des compliments ? Emma n'en avait guère besoin, elle le savait déjà qu'elle était unique en son genre, on le lui avait déjà dit pleins de fois, et puis comme le dit si bien un auteur ' Les compliments, c'est bien beau, c'est bien agréable, mais on ne sait jamais si c'est sincère, tandis que les insultes, ça vient du cœur ', elle avait toujours vu les choses de cette façon enfaite. Non la jeune Anglaise n'était pas une éternelle pessimiste, elle avait juste sa manière à elle de voir les choses, autrement dit elle ne voyait pas forcément comme tout le monde, d'où le fait qu'elle ne ressemble à personne. La blondinette avait sa façon de penser qui n'avait rien de banal, peut-être était-elle dû à son éducation, après tout elle avait vécu le début de son enfance avec une mère complètement folle, obsédée par son poids et qui a fini dans un hôpital psychiatrique. On pourrait croire que la famille Roswell était une famille de fous, et bien elle en était une dans un sens, entre le père qui se foutait de tout, un frère qui se prenait pour Socrate, une tante qui se prenait pour la reine Elizabeth II, une maman qui détestait ses gosses et qui avait failli les étrangler à plusieurs reprises, on ne pouvait pas dire que ce genre de famille était courante. Sans compter qu'Emma était née avec une cuillère d'argent à la bouche et qu'elle menait la vie dure à tout ses domestiques. Sa tante avait beau l'avoir éduquer du mieux qu'elle le pouvait, elle restait toujours la même dans le fond, cette fille qui n'en faisait qu'à sa tête, qui ne supportait pas qu'on lui refuse quelque chose et qui devait toujours obtenir ce qu'elle voulait. Que voulez vous, personne la changera elle et son caractère bien trempé, après tout c'est bien ce qui lui donnait son charme non ? Si elle aurait été une gentille petite fille sage, ça n'aurait pas été bien drôle il faut bien l'avouer. La jeune Epsilon était décidé à faire joujou avec lui, d'où l'arrêt soudain de son massage et le fait qu'elle se soit retirer. Elle faisait mine de bouder alors qu'elle n'avait pas vraiment de raison pour bouder, quoique... enfaite il n'aurait pas dû faire de caprice dès le début et elle aurait encore moins dû céder, d'où le fait qu'elle avait tout arrêter. Non ce n'était pas bien, elle n'aurait pas dû, maintenant il devait croire qu'elle lui serait soumise pour le reste de la journée, il fallait que cela change et au plus vite. La blondinette lui tourna le dos et croisa les bras telle une petite fille à laquelle on avait refuser quelque chose. Elle savait qu'en restant ainsi il finirait forcément par réagir, comment par contre elle n'en avait aucune idée. Il n'avait pas vraiment intérêt de faire d'erreur ou sinon elle allait très mal le prendre.

    Quelques minutes plus tard, il réagissait enfin. Emma était à la limite de lui faire les yeux du chat potté afin qu’il se morde les doigts, chose qui semblait réussite puisqu’il approcha sa main vers la sienne afin de lui en caresser le dos. Il l’a fixait droit dans les yeux et il avait l’air de sans vouloir et de ne pas comprendre pourquoi elle boudait. La jeune femme aimait la situation, il regrettait déjà avant même de savoir pourquoi… à croire qu’elle avait vraiment du pouvoir sur lui, ce qui ne lui déplaisait pas bien au contraire. C’est alors qu’il lui demanda comment se faire pardonner. La belle Anglaise eut un sourire narquois, elle le fixa dans le blanc des yeux et lui dit ;
    « Je ne sais pas… tu as été un vilain garçon avec moi … » Emma plissa des yeux et reprit : « Il en faudra beaucoup pour que je puisse te pardonner … » La jeune femme se tut et se releva. Une idée trottait dans sa tête depuis déjà cinq bonnes minutes. Elle s’éloigna de Sandro et ne fit plus rien. Emma baissa les yeux et attrapa un polochon sans que son interlocuteur ne s’en aperçoive.Telle une enfant de 7 ans, elle se retourna à vitesse grand V et balança dans la figure de l’Italien ce qu’elle avait d’attrapé. Joueuse, elle le fit tomber et maintenu le polochon sur sa tête comme si elle cherchait à l’étouffer en restant sur lui. Elle resta environ 2 minutes dans la même position puis elle retira l’oreiller. Emma regarda Sandro en souriant de façon niaise, elle fini par se rapprocher dangereusement de son visage puis elle s’arrêta de manière soudaine. Alors que l'on pourrait croire que la jeune femme allait l'embrasser, elle ne bougea plus d'un poil comme si elle était figer telle une statue. La tentation de s'emparer de ses lèvres était grande mais, elle se retenait car ça lui ferrait bien trop plaisir. La jeune femme passa une de ses mains derrière la nuque du jeune homme et elle effleura la bouche de celui-ci. Elle le rendait instable et elle le savait, elle avait envie de jouer la provocation afin de le mettre à bout. Emma n'allait pas craquer non, pas maintenant, il fallait qu'elle lui fasse un minimum de résistance ou sinon elle aurait perdue la partie...
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MessageSujet: Re: Parce que toi & moi, c'est comme un gâteau sur lequel on aurait mangé la cerise. | Emma Parce que toi & moi, c'est comme un gâteau sur lequel on aurait mangé la cerise. | Emma EmptyDim 14 Nov - 20:00

Parce que toi & moi, c'est comme un gâteau sur lequel on aurait mangé la cerise. | Emma Sj3-1cf703c

« Le cœur peut s'émouvoir souvent à la rencontre d'un autre être, car chacun exerce sur chacun des attractions et des répulsions. »

L’amour, la haine. Des extrêmes dans les sentiments humains. C’est un composant que l’on rencontre de plus en plus, mais qu’il est dur à remarquer soi-même. Souvent ce sont les autres qui le remarquent pour nous, et nous aveugles. Ne voyons rien. Je suis sans doute aveugle de ne rien voir, même si je sais que nous étions attirés l’un par l’autre, sans doute y avait-il plus ? Mais je ne voulais pas hâter les choses, je voulais voir comment tout cela allait se passer, entre nous, comme d’habitude ? Ou bien les choses deviendront-elles vraiment folles ? Je ne pouvais prédire les choses, ces faits et gestes vu que je n’y faisais plus attention, ou son regard se posait ou encore la mimique de son visage, sa gestuelle. Tout cela pouvait aider à deviner les gens, à savoir être dans leur peau et à les devancer dans leurs choix, ne jamais avoir une case de retard et toujours avoir un plan. Merde, c’était si chiant que ça de se mettre dans la tête des gens ? A croire. Mais elle, elle je la haïssais car mon corps et mon esprit, ensemble, ne voulait pas que je puisse savoir ce qu’elle avait en tête, fallait-il que je fasse le destin faire ce qu’il doit faire ? Que je le laisse contrôler ma vie comme il le fait déjà ? En posant son doigt sur mon cœur et le rendre fragile à toute chose ? Je n’aimais pas être l’objet de tant de bon vouloir du pouvoir divin. A présent je vivais ma vie selon mes dires et mes pensées et aucunement celles des autres. Même si je n’arrivais pas à calmer l’ardeur de mon niveau de vie que je n’arrêterais surement pas. Mais en arrivant ici je ne pensais pas être aussi, calme. Oui, tout calme. Je dois me reposer. C’est une chose que je n’accepte pas, mais c’est mon corps qui en a besoin, et je ne puis bouger sans lui, je dois donc à contrecœur, faire ce qu’il demande. Il ne faut pas que je joue avec les nerfs des gens, je sais qu’on tient à moi, mis à part mon superbe frère. Et surtout mes ‘ami(e)s’. Ici, je n’avais que faire d’eux, je m’en fichais complètement. J’allais mal et je ne voulais pas que cette affaire s’ébruite, je ne veux pas que l’on croit que je suis quelqu’un de faible ! Je suis Italien ne le suit pas, et la fierté fait parti de nous, les Italiens. Le machisme aussi certes et je ne peux que comprendre les femmes qui n’aiment pas cela, il suffisait de remarquer mon pitoyable frère. Revenons sur Terre. Du moins sur ce lit. Elle me boudait donc et qu’est-ce qu’elle était jolie quand elle boudait, les femmes et leurs beautés, ça sera toujours mon seul point faible, elles savent comment berner mon cœur. A croire que c’est pour cela que mon cœur s’est fait avoir, à cause d’elle. En tout cas Emma savait comment me rendre complètement gaga d’elle. Gaga n’est pas le mot, mais je ne sais que dire, je n’ai pas l’habitude d’être dans un état aussi pitoyable que maintenant avec une femme, surtout pas avec elle. D’habitude je mène la danse, mais à croire que je la laisse s’amuser, voulait-elle tester mes limites ? Voulait-elle vraiment que je ne dise pas non ? Je voyais bien ce qui se préparait mais ce fut quand même fou. Le polochon se trouvait sur ma tête mais je pouvais quand même respirer, un sourire se trouvait sur mon visage alors que je ne trouvais pas ça vraiment marrant, mais bon. Lorsqu’elle l’enleva c’est pour avoir mademoiselle sur moi, mes mains vinrent sur sa taille, une un peu plus haut dans son dos, montant vers sa nuque, à elle. Je ne disais mot, n’étais-je pas un vilain garçon qu’elle avait dit la jolie blonde ? Il fallait donc que je mette le paquet pour me faire pardonner. Ces lèvres effleuraient dangereusement les miennes, son regard était le mien, un désir flambant avec ardeur, mais je ne voulais pas lui donner ce que je voulais tout autant qu’elle. Elle était joueuse, et bien moi aussi. Mais n’oubliez pas que c’est mon point faible. Alors doucement, je posais mes lèvres sur les siennes, fit rencontrer sa langue de la mienne de façon fougueuse tout en la tournant pour me retrouver au-dessus d’elle. Mon regard dans le sien je mis brusquement fin à ce baiser dont nous prenions tout deux goûts, un peu trop vite. Je recule, me soulève d’elle, car maintenant c’était moi qui était au-dessus d’elle. Grrr. L’embrasser encore une fois et tentant, mais j’ai rompu ce baiser, en espérant qu’elle en redemande, même si moi aussi j’en voulais encore. Tout était bien trop facile. Je me levais avec un sourire sur le visage, j’étais content de moi, mais j’avais assouvi quelque peu l’envie que j’avais au fond, de toucher ces lèvres avec les miennes, de l’embrasser. Comme si j’avais soulagé un désir profond et caché, un désir que je n’osais révéler. Je n’en savais rien mais je n’avais encore rien dit, j’avais un semblant de sourire victorieux sur le visage et je savais que son instinct de joueuse voudrait faire partir ce sourire de mon visage, ou bien me sauter dessus pour m’embrasser. J’étais tout aussi déchiré entre des choix, lui sautait dessus ou attendre ? J’allais attendre, tout en allant dans la salle de bain, j’avais soudain chaud. M’aspergeant le visage et le torse d’eau, autant jouer avec le feu.. avec de l’eau ? Ouais (a) ! Je sortis et laissa donc l’eau s’écouler sur mon torse, j’étais à croquer, et c’était le mot, j’espère qu’elle ne mord pas. Je la regardais alors que je laissais mon torse ardent et mouillé à la vue de la belle blonde, m’accoudant à l’embrasure de la porte de la salle de bain et disant d’une voix plutôt décontracté mais sérieuse « Tes lèvres. Ne me tentes pas tant que ça Emma.. tu sais très bien que je ne pourrais résister face à toi. Que cherches-tu au fond ? Te venger ? Je pense que je suis pardonné là, non ? » Oui, je devais être pardonné. A croire que je redonnais du mordant à cette tentation, il fallait que je sois pardonné, sans éviter la tentation ? Elle était MA tentation, merde.
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Parce que toi & moi, c'est comme un gâteau sur lequel on aurait mangé la cerise. | Emma Empty
MessageSujet: Re: Parce que toi & moi, c'est comme un gâteau sur lequel on aurait mangé la cerise. | Emma Parce que toi & moi, c'est comme un gâteau sur lequel on aurait mangé la cerise. | Emma EmptyLun 15 Nov - 20:51



« La meilleure façon de résister à la tentation, c'est d'y céder. »

    Entre l'amour & la haine il n'y a qu'un pas. Oui mais, Emma était encore loin du deuxième sentiment, elle ne l'éprouvait en aucun cas pour Sandro du moins... du moins elle le haïssait de tout son corps, ce vil démon qui essayait de la faire craquer par n'importe quel moyen. Cependant il serait étonner si il savait combien de temps elle pouvait tenir. Même en étant le plus beau des hommes, il ne pourrait pas l'avoir à ses pieds aussi facilement, il en fallait plus que ça... La pousser au péché n'était pas non plus la chose la plus difficile à faire. La jeune Anglaise avait beau avoir été élevé dans le christianisme par sa tante, elle ne pouvait s'empêcher de dépasser les limites qu'elle lui avait donner. Oui Emma était une vilaine fille, elle faisait toujours le contraire de ce qu'on lui disait de faire. Si jamais Sandro lui disait d'arrêter de la provoquer elle ne le ferrait pas, si on lui disait d'obéir elle ne le ferrait pas, si on lui disait de changer elle ne le ferrait pas non plus. Il n'est jamais bon de lui demander de faire quelque chose, vous ne pouvez jamais vous attendre à ce qu'elle va faire, elle est tellement imprévisible cette blondinette. Elle avait toujours aimé jouer avec le feu et elle aimait particulièrement chercher monsieur Da Volpedo qui se trouvait toujours en dessous d'elle pour le moment. Le savant macho, elle était certaine qu'il n'allait pas rester bien longtemps dans cette position là. Emma menait la danse et elle adorait ça surtout qu'il ne faisait pas grand chose pour reprendre le contrôle. Il avait finalement craqué, il s'empara de ses lèvres et la jeune femme se laissa faire. Elle participa au baiser sans broncher, c'est qu'il embrassait bien le bougre mais, elle aurait penser qu'il lui aurait fait un peu plus de résistance que cela. Évidemment il ne lui avait pas donner le plaisir de le faire durer plus longtemps, il s'arrêta de manière brutale la laissant ainsi sur sa faim, ce qui confirmait que Sandro était un vilain garçon. Apparemment lui aussi était-joueur mais, Emma n'avait pas l'habitude de perdre. Il s'en ailla en direction de la salle de bain la laissant seule sur le lit. La belle Epsilon ne prit même pas la peine de le rejoindre car elle savait que celui-ci reviendrait bien assez vite. Non il n'allait pas en rester là, elle commençait à le connaître maintenant. Et elle avait raison puisque monsieur revenu de la salle de bain. Il était mouillé de la tête au bien, l'eau qui dégoulinait sur son torse le rendait terriblement sexy. Si elle ne savait pas se contrôler, elle aurait très certainement sauter sur lui comme une sauvage. Ça lui ferait trop plaisir, autant faire comme si elle restait de marbre.

    Sandro ne l'avait pas embrasser de nouveau et bien tant pis pour lui, ce n'était pas elle qui allait l'embrasser. L'envie allait très certainement lui revenir, assez pour qu'elle ne craque mais pour l'instant elle restait sage. La tête à l'envers, elle le fixait sans rien dire. Que ce qu'elle recherchait ? Comme si elle allait le lui dire. Il fallait qu'il le devine lui même, bien qu'il n'ait pas de grandes chances qu'il n'y arrive. Aucun homme n'était parvenu à la décrypter jusqu'à ce jour alors pourquoi lui y arriverait ? Il n'était pas forcément plus doué que les autres. La jeune femme ferma doucement les yeux et dit à voix basse :
    « Hmm... pourquoi te donnerais-je la réponse ? Réfléchis un peu et tu trouveras peut-être la réponse... ou non... Est ce que tu es pardonner ? Laisse moi réfléchir... Je dirais que... non... Tu crois vraiment qu'un simple baiser te ferra pardonner ? Que nenni ! Tu rêve mon grand, c'est beaucoup trop facile... il m'en faut plus, beaucoup plus. » Elle laissa le silence s'installer et elle rouvrit ses yeux. La jeune Anglaise se leva du lit et s'approcha de lui d'une manière assez lente. Elle se mit à tourner autour de lui puis lorsqu'elle s'arrêta, elle se colla presque à son corps. Emma croisa ses bras autour de son cou et elle le regarda droit dans les yeux. L'eau dégoulinait encore mais elle s'en fichait, ce n'était pas ça qui allait la refroidir. La jeune femme avait décider de faire tourner le bellâtre en bourrique, histoire de s'amuser un peu. Elle avait décidé de lui poser des questions pièges. Si il réussissait à répondre correctement à ses questions, il serait très certainement pardonner, sinon dieu sait ce qu'elle fera.... « Dis moi... suis-je la seule femme qui t'intéresse ? ... Et puis... Que ce que tu serais prêt de faire pour me séduire ? » Si jamais il lui mentait, elle allait très certainement le sentir. Il lui suffirait seulement de regarder dans ses yeux si il semblait sincère, après tout les yeux était bien le rejet de l'âme non ? Sans compter que c'était une chose incontrôlable, il ne pouvait pas jouer la comédie aisément avec elle. La manipulation était un art qu'elle maîtrisait et qu'elle savait reconnaitre, il n'avait pas vraiment intérêt d'essayer de la berner, elle était loin d'être née de la dernière pluie.
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MessageSujet: Re: Parce que toi & moi, c'est comme un gâteau sur lequel on aurait mangé la cerise. | Emma Parce que toi & moi, c'est comme un gâteau sur lequel on aurait mangé la cerise. | Emma EmptyMer 17 Nov - 19:26

Parce que toi & moi, c'est comme un gâteau sur lequel on aurait mangé la cerise. | Emma Sj3-1cf703c

« Chaque fleur attire sa mouche. »

Que le monde est joli, que les femmes sont rusées. Je ne sais que faire avec cette blonde que j’ai devant moi, elle me plait tellement mais à la fois, lui résister est un délice que j’ose m’offrir, car elle sait au fond d’elle que s’en sera encore que plus marrant si l’un de nous craquaient, au fond, on le veut tout deux. Mais cette tentation tend de plus en plus à être plus difficile à résister, elle veut que je cède, mais je ne céderais pas. Ces avances ne sont pas faîtes en discrétion, alors qu’elle est de dos sur mon lit, elle m’offre une vue sur sa poitrine voluptueuse que j’ai envie de goûter de mes lèvres et ma langue, je veux lui dévorer le corps. J’ai chaud, elle me donne chaud. Mon pouls s’accélère, j’ai envie d’elle. Elle a surement envie de moi et le reste de notre baiser se voit sur nos visages même si l’on essaye de le cacher, c’est loupé. On s’en fiche au fond, l’effet désiré est bien là, et alors qu’elle se lève avec lenteur et se rapprochant de moi, me tournant autour comme si j’étais sa proie, car je l’étais, pas pour longtemps bien sûr. Alors qu’elle dit que je ne suis pas pardonné, je souris, comment se fait-il qu’elle en veuille toujours plus ? Au fond, si j’avais été dans la même situation, en aurais-je voulu si peu ? Non, pas du tout. Je suis gourmand, autant qu’elle, et l’envie d’elle qui me prend au tripes et au cœur, elle est forte cette envie, et je n’ai qu’une envie, l’assouvir. Elle se rapproche de moi, je sais ce qu’elle veut, et finalement, les réelles questions se dessinent dans le tableau que l’on pourrait former, si seulement nous étions chez moi en Italie, on nous aurait peint ainsi. Encore aurait-il fallu que l’on n’ait la ténacité pour rester figé si près l’un de l’autre. Alors que je réfléchissais, je sais que je ne pourrais dire que la vérité, aucun artifice ne pouvait sortir de ma bouche, aucune pensée malsaine ne pouvait être pensé pour Elle. Merde, et crotte. Pourquoi suis-je autant attaché à elle ? Ce n’est qu’une blonde, qu’une riche blonde, qui a surement une vie qui ne doit pas m’intéresser, et pourquoi, pourquoi m’intéresse elle tant ? Serait-ce son physique qui m’intéresse plus qu’autre chose ? L’oublierais-je comme tant d’autres après m’être amusé avec elle ? Je ne sais pas ce qui va se passer, je ne sais rien du tout, alors comment faire ? Comment savoir ? A croire que je tiens vraiment à savoir comment tout cela va se terminer, n’y aurait-il pas un peu de suspens ? Justement, il y en avait trop. Mon regard dans le sien, mon comportement sûr et confiant n’était plus là, je ne l’étais pas moins, mais je l’exprimais juste moins. Je voulais juste savoir pourquoi j’agissais différemment avec elle, pourquoi Elle ? Qu’avait-elle de plus ? Rien sans doute, une blonde écervelée comme les autres ? Je me giflerais de penser ça si je le pouvais, je ne comprenais pas cette réaction que je ne connaissais pas la source. Je ne voulais pas répondre, car je ne savais pas ce que ma bouche réservait comme mots, les mots étaient là cependant. Ils voulaient sortir et s’exprimer avec une telle facilité avec Elle, le feeling passe bien. Trop bien justement, et je n’aime pas. Je n’aime pas savoir ce qu’il m’arrive, je ne veux pas m’aventurer vers des sentiers dont je ne reconnais pas les marques que j’y ai apposé. Emma m’est inconnue, je ne la connais pas tellement, et tout ce que je veux, c’est l’avoir contre moi, son corps nue, contre le mien dans des ébats torrides et seulement sexuelle. Pourquoi chercher à avoir plus ? Pourquoi le voulais-je ? Mon comportement n’était pas réellement le mien et il me changeait, c’est une surprise peu agréable mais qui l’est quand même. Je ne pouvais rien contre cette tentation de lui dire les mots qui voulaient sortir de ma bouche, merde, il faut que je lui dise, même si je ne sais pas ce que je vais dire ! Je la regarde alors qu’elle est près de moi et doucement ma main remonta sur sa taille l’autre, dans sa main et la descendant le long de nous, gardant ma main dans la sienne, ce contact était doux « Il faudrait que tu apprennes à ne pas être gourmande, tu ne trouves pas ? Tu pourrais faire un excès et y rester, un jour quelqu’un pourrais te dévorer tellement tu seras naze. – Je parlais de l’acte bien sûr. La vérité sortit de ma bouche sans que je ne puisse la changer, merde – Non, tu n’es pas la seule femme qui m’intéresse, il y en a eu des centaines voir des milliers avant toi.. mise à part que.. tu as l’air différente des autres, je ne peux expliquer pourquoi. Je ne sais si c’est du désir ou autre chose, mais j’ai chaud, et je ne tiens pas face à toi. De plus je te dis la vérité.. et.. . – Je prends sa main un peu plus dans la mienne et la pose sur mon torse, sur mon bas ventre, un sourire brûlant sur les lèvres puis la faisant glisser en remontant vers mon côté gauche, droit pour elle. Qu’elle sente mon cœur battre. Doucement je recule d’elle du peu d’espace que j’ai tout en reprenant sa main dans la mienne et j’avançais. Je fis en sorte qu’elle tournoie sur elle-même lorsque je levais sa main en l’air et la reprendre de face lorsqu’elle vint vers moi, près du lit de nouveau. Mes lèvres se posèrent alors sur les siennes et je l’embrassais. Ma langue vint caresser la sienne dans un échange des plus ardents sans pour autant que cela soit fougueux ou encore fait à la va vite, je prenais simplement mon temps pour savoureux ce baiser. Les yeux fermés, je les ouvris doucement et la regardant alors, puis doucement, telle une princesse, je la fis se pencher en arrière tandis que nos lèvres ne se quittaient pas. Jusqu'à ce qu’elle touche le lit, et que je l’y laisse là, allongée. En position soumise alors que j’avais le choix de lui sauter dessus ou encore de la regarder de ce regard doux et si brûlant et pénétrant à la fois. « Je ne sais pas ce que je ferais pour te séduire.. Rien je pense. Si je voudrais te séduire, je pense que je n’en aurais même pas conscience.. non ? » Et c’était le cas, merde.
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Parce que toi & moi, c'est comme un gâteau sur lequel on aurait mangé la cerise. | Emma

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