the great escape
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Une poupée qui dit non,non,non....(pv Abby Vodianova)

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MessageSujet: Une poupée qui dit non,non,non....(pv Abby Vodianova) Une poupée qui dit non,non,non....(pv Abby Vodianova) EmptySam 31 Juil - 18:20

Alors que je me levais ce matin, je me rendais compte qu'au final je devais aller chercher ma sœur. Bien que je ne veuille pas aller la chercher, je devais pour notre papa chéri ! Pour lui, et rien que pour lui, à dire que je n'avais plus ma place de préférée...Alors que faire ou dire qui ne puisse le vexer ! Tout se que je voulais s'était de me tirer d'ici de cette famille de barge ! M'en aller loin rien que pour avoir un petit paradis bien gagné et avec de l'argent propre ! Ma famille de mafieux aurait changée si ma mère était encore en vie ? Est-ce que mon abruti de père aurait eu les même action ? Remarque tout le monde à droit à du bonheur. Et dire que je devais aller la chercher pour son plus grand bien. Abby avait eu le don de me dire que je ne devais plus lui en vouloir. Avec son accident, je n'allais pas la laisser comme cela à la main de papa...Me levant, puis passant sous la douche, il fallait bien que je m'habille, ma soeur me manquait ua final. Depuis que j'étais partie, elle m'avait suivit. Bien que je ne veuille pas venir ici. Je visais Oxford ou Harvard. Mais bon, le destin étant le destin, on ne peut pas toujours changer. Prenant le temps d'aller dans la cuisine, je voyais qu'il y avait tout le monde. Le majordome me disait.

- « Mademoiselle, il faut que vous déjeuniez. Venez-vous asseoir s'il vous plait. »

Le majordome avait été pour moi comme un grand-père, un deuxième qui prenait le temps M'asseyant alors sur le tabouret desing de la maison. Je voyais alors l'un des gardes qui venaient me voir.

- « Mademoiselle, il faut que nous y allions, dépêchez-vous nous allons râter votre sœur. »

Le regardant, je lui répondais alors en pleine figure.

- « Igor, nous avons trois heures d'avance. Vous attendrez que je prenne mon petit déjeuné. »

Il se doutait bien que je n'allais pas me laisser faire ! Il n'était pas question qu'il croit qu'il aurait tous les droits. Puis finissant rapidement mon p'tit déj. Je me levais puis allant prendre mes affaires que j'avais descendu dans la cuisine. Je lui disais.

- « Vous voyez bien Igor que je n'en avais pas pour longtemps. Allons-y. »

Alors que je me partais, l'autre garde du corps, Alexeï venait me voir pour savoir si on partait. Lui répondant par l'affirmative, techniquement, ma sœur arrivait dans pas longtemps alors, je devais avant tout arriver avant elle. Le gros avion, je ne saurais pas dire qu'est-ce que s'était passa alors dans les airs. On était, enfin, la maison sous une ligne aérienne. Prenant la voiture blindée aux vitres tintées prenait la direction de l'aéroport. Le chemin pour y aller était bien court, peu de voiture ou presque. Les gardes se trouvaient être quatre maintenant.
Маkc, nous avait rejoint, il conduisait la voiture. En face de moi au côté passager se trouvait alors Galter. Bien sure étant des armoires à glaces, on se doutait qu'ils ne devaient pas être n'importe qui. Mais avant tout, se faire discret n'était pas dans leurs cordes. Sortant de la voiture, je descendais, remettant ma jupe assortie à mes bottes. Je prenais mon sac sur l'épaule. Il était bien clair que je verrais ma sœur bientôt. Avançant dans le hall, je regardais sur le panneau des avions. Elle arrivait alors dans une petite demie-heure. Puis attendant patiemment, je la voyais qui venait en compagnie d'une hautesse de l'air. M'avançant vers ma sœur et la prenant dans mes bras, je lui disais.


- « Добрый день. Как дела? » ( Bonjour, comment vas-tu ?)

Puis me dégageant, je prenais le temps de dire à l'hôtesse de l'air.

- « Merci madame de vous être occupée de ma sœur. Veuillez s'il vous plait aider Igor ici présent à aller chercher la valise. »

Me tournant vers ma sœur, je lui demandais alors.

- « Вы компенсировали поездку? » (Tu as fais bon voyage ?)

Puis n'ayant toujours pas de réponse, je la prenais par le bras, et commençant à marcher, elle suivait toujours en silence. Ne disant rien, puis voyant Igor qui revenait avec sa valise, je lui disais de nouveau.

- « Игорь имеет ваш чемодан, мы собираемся возвращаться теперь. » (Igor a ta valise, on va rentrer maintenant.)

Prenant la direction de la voiture, je sentais qu'elle se mit à s'arrêter en plein milieu. La lâchant, je voyais bien qu'Igor était agacé. Ma sœur aurait-elle décidé de nous cassez les pieds ?! Il y avait alors des annonces qui indiquaient les nouveaux vols. Puis je posais la question cette
fois-ci en anglais.


- « Qu'est-ce qu'il y a ? »

Je commençais à en avoir déjà marre ! Rien que de le voir finalement me mettais en rogne. A dire qu'elle sentait que je lui en voulais encore ! Oui, elle m'a prit le seul peu d'affection que j'avais de papa. Passant à la trappe la
plupart du temps. Depuis que j'étais partis, à par m'envoyer des sbires, je n'avais pas eu une seule nouvelle ! Je devais être un fantôme pour lui, ne plus exister au final. Je ne devais plus compter pour lui....Soupirant alors cette fois-ci pour avoir une fois de plus perdu mon temps avec elle. Je commençais à retourner à la voiture lorsqu'elle me parla.


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MessageSujet: Re: Une poupée qui dit non,non,non....(pv Abby Vodianova) Une poupée qui dit non,non,non....(pv Abby Vodianova) EmptyDim 1 Aoû - 0:42

Vodianova's Twins Fight ;
C'est une poupée qui fait non, non, non...

Une poupée qui dit non,non,non....(pv Abby Vodianova) Alex-alex-kelly-4130566-100-100 Une poupée qui dit non,non,non....(pv Abby Vodianova) Holivia12

Devoir supporter une surprotection avait toujours profondément agacé Abbygail. Elle était aveugle, d’accord, mais cécité ne rimait pas forcément avec « avoir deux mains gauches ». Elle savait lacer ses chaussures toute seule, n’en déplaise à certains, qui la pensaient bonne pour avoir un garde du corps H24 collé à ses basques. Abby n’avait que du mépris pour ce genre de réaction, aux antipodes de ce qu’elle désirait vraiment. Tous réagissaient exactement comme son père ou même sa sœur, qui éprouvait un immense remord maintenant qu’Abby n’avait plus la faculté de voir ce monde aux couleurs désormais bien ternes. Sauf que la réaction de Tasha l’énervait prodigieusement…Elle prenait sa jumelle en pitié sous le fallacieux prétexte que désormais, elle était aveugle ?! Cela ne voulait pas dire qu’Abby avait plus besoin d’elle qu’avant, ni qu’elle l’aimait plus. Au contraire, Abby rêvait de voir Tasha s’énerver, lui crier des vérités en pleine figure, qu’elle lui dise ce qu’elle avait vraiment sur le cœur. Il est vrai qu’après un voyage dans les pattes, Abby n’était pas d’excellente humeur. Pourtant, elle avait gardé un silence complet durant tout son voyage. Elle n’avait pas dérangé l’hôtesse pour un rien, et avait été aussi sage qu’une image, d’un certain point de vue. Mais à peine avait-elle mis un pied hors de l’avion que déjà une envie indicible de s’en prendre à la terre entière lui collait à la peau. Abby eut beaucoup de mal à ne pas pester contre chaque voyageur l’ayant bousculée depuis sa sortie. A croire que personne n’avait décidément de respect pour les aveugles…Entre ceux qui n’y faisaient vraiment pas attention et ceux qui en faisaient des tonnes, Abby était servie ! Elle soupira longuement rien qu’à l’idée de retrouver sa sœur, et qui plus est d’habiter avec elle. Son père savait pourtant qu’elles ne s’entendaient pas et n’étaient décidément pas faites pour vivre sous le même toit ! Et pourtant, il avait contraint Abby à accepter d’habiter la même maison que Tasha, le temps que durerait leurs études respectives. Certes, la jeune russe n’était pas enchantée à cette idée, et qui plus est n’avait-elle aucune envie de faire le moindre effort ; et pourtant…Elle ne repoussa pas sa jumelle lorsqu’elle celle-ci s’élança pour la prendre dans ses bras, dès qu’elle la vit. Abby aurait pu la saluer d’un mot, dire quelque chose pour combler la conversation…Mais rien. Fidèle à son habituel tempérament de tête de pioche, elle attendit de sentir la nervosité s’emparer de sa jumelle pour se stopper en pleine allée centrale, désormais moins bondée. Igor était visiblement devant elle, avec sa valise, et pourtant Abby s’en fichait…Que ce soit maintenant ou dans une heure, la maison serait toujours à les attendre, non ?

« Arrête ça tout de suite, Tasha. »

Une voix trop calme, d’une froideur proprement abominable, Abby n’avait dicté que ces quelques mots dans un russe parfait. Elle ne supportait plus la gentillesse forcée de sa jumelle, qui n’était sûrement qu’un masque de plus visant à lui reprendre ses faveurs auprès de leur père. Abby en avait assez d’être laissée pour compte, et de n’être rien de plus qu’un prétexte aux yeux de sa détestable sœur. Fondamentalement, elles étaient toutes deux détestables à leur manière, aucune plus que l’autre. A croire que même dans cela, elles étaient destinées à être absolument similaires.

« T’en as pas marre de feindre ta putain de gentillesse ?! Mais dis ouvertement que tu me détestes, au moins on aura avancé ! Tu crois que je vois pas ton manège ? Tu crèves du fait que tu n’es plus la préférée de Papa, ose dire le contraire ! Résultat, tu joues à la fausse gentille depuis que je suis aveugle ! Tu crois que j’en ai quelque chose à foutre, de ta gentillesse ?! »

Abby sous entendait que tout ce qui n’est pas sincère ne vaut rien, fondamentalement. Tasha ne pourrait pas la contredire, elle qui détestait par-dessus tout le mensonge. Elle cherchait sûrement à s’acheter une bonne conscience, mais autant dire qu’elle avait choisi la mauvaise méthode. Tant qu’elle ne ferait pas preuve d’un minimum de sincérité, Abby n’allait pas bouger d’un pouce. Elle voulait voir le vrai visage de sa sœur, connaître son ressentiment et sa pensée sur la situation. Même si Abby devait entendre ouvertement que sa jumelle la haïssait cordialement, elle était prête à le supporter ; elle préfèrerait toujours la vérité au mensonge, c’était évident.

« Vas-y, crache ta valda putain ! Que les choses soient claires, je veux pas de ta pitié. Ton manque de sincérité est vraiment pathétique. Si on est destinées à vivre sous le même toit, je te suggère d’ors et déjà d’apprendre à faire tomber ce détestable masque de cachotterie ! Toi qui prône l’absence de mensonge, bah tu devrais commencer par appliquer tes propres leçons à toi-même ! »

Abby soupira avant de respirer profondément. Durant tout son voyage déjà, elle avait sentit la pitié dans la voix de l’hôtesse. Il était hors de question qu’elle supporte davantage de pitié…Surtout venant de sa propre sœur, venue soit disant spécialement pour elle ; Abby n’était pas idiote, elle savait que Tasha y avait été contrainte par leur père.
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MessageSujet: Re: Une poupée qui dit non,non,non....(pv Abby Vodianova) Une poupée qui dit non,non,non....(pv Abby Vodianova) EmptyDim 1 Aoû - 14:27

M'arrêtant, elle voulait que je lui dise tout, alors elle sera servit. ! Mais avant de tout lui balancer, je me doutais que de toute façon que je le dise ou pas, elle s'en ficherait et bien soit. Elle veut jouer et bien jouons....Mais ce n'est pas moi qui perdrait...Me tournant vers elle et lui disant dans l'oreille....

- « Si cela ne tenait qu'à moi, tu ne mettrais pas un seul de tes pieds chez moi. Je dirais même que je me fiche totalement que tu dormes dehors. Et tu peux même garder ton petit papa chéri....A vrai dire si je suis partie il y a trois ans c'est que j'avais mes bonnes raison. Alors que tu ne sois pas contente, je m'en fiche totalement. Je tiens juste à te signaler qu'une fois mes études finit, je me barre loin très loin et tu auras notre vénérable père mafieux rien que pour toi. Que les choses soient bien clairs, c'était un accident et que tu me reproches la mort de notre mère pour m'avoir mise au monde. Et bien je ne regrettes pas de jouer au chat et à la souris avec toi. Cela est bien plus amusant de te voir gigoter dans le bocal que papa t'a mis sur la tête. Maintenant qu'il t'arrive quelque chose j'en ai rien à foutre. Lâches moi espèce de sangsue malpropre. Soit aveugle et arrête de te plaindre. A plus tard, je sors faire des courses vu que tu est insupportable, je ne te veux pas dans les pattes. Igor et les autres te ramèneront à la maison, chez moi, celui que j'ai eu avec un argent sale que je ne veux plus à avoir dans mes mains. D'ailleurs, je te le laisser grande sœur.... »

Me retirant, je voyais bien qu'Igor en avait déjà marre, puis partant pour prendre un taxi. J'avais dans l'idée de partir dans un pays où personne ne pourra venir me chercher. N'importe lequel qu'il soit, puis me ravisant de prendre le taxi. Je prenais plutôt la direction des guichets. Il y avait alors un pays que je n'avais pas revu depuis un moment. Regardant les vols pour Moscou, je prenais note. Puis avec de toute façon, les chances de trouver mon bon vieil ami qui venait de temps en temps. J'avais gardé son passeport. Je devais le remercier pour mes années ici bien calme jusqu'à ce qu'il me la mette dans les pattes ! Regardant plus loin, les vols pour Paris et Dublin, je me disais que je pouvais aussi en profiter. En économisant et en travaillant, je pourrais partir facilement. Depuis pas mal d'années je gardais les choses de côté, j'avais quelques toiles de grands maîtres que je pouvais vendre au musée pour des millions de dollars si je voulais. D'ailleurs certains m'avait déjà contacté. En y réfléchissant, j'avais de la chance de pouvoir avant tout partir si je souhaitais. Bien sure Igor vint me voir, lui faisant mine de ne rien dire, je lui disais tout simplement.

- « Ramène ma soeur chez moi et tâche qu'elle boude dans son coin si elle veut. Cela n'a pas d'importance pour moi. T'inquiète pas, je ferais attention, si j'ai besoin d'aide, je t'appèlerais.... »

Le voyant me regarder alors bizarrement, je me doutais qu'il ne voulait pas que je le laisse seul avec ma stupide de sœur. Mais bon, il n'avait pas le choix, il fallait que je prenne l'air. Son regard était pour moi celui d'un grand frère, mais il n'avait pas le choix. De toute façon, je le voulais et il me laisser en fait pratiquement lorsque je voulais un peu d'air. Il me disait alors tristement, sachant que les autres nous observaient. Disons qu'avec ma sœur, ils avaient bien trop de mal...

- « Bon d'accord, si tu veux, mais sache qu'on ne va pas ternir longtemps avec cette peste....»

Soupirant alors pour le voir comme cela, je me doutais avant tout qu'il y aurait alors une erreur. Puis regardant se qui me restait de ma sœur, je haussais les sourcils puis croisant les bras. Je lui disais tout bas.

- « De toute façon, on en pas pour bien longtemps....T'inquiètes pas...Je ne reviendrais pas tard, promie. »

Puis me dégageant, je prenais alors le chemin du taxi, je partais lorsque mon honorable soeur eu la bonté de m'agresser une nouvelle fois.

- « Et tu vas où comme cela ?! Reviens tête d'enclume ! »

Me tournant vers elle, je lui répondais au tac au tac.

- « Je pars pour ne pas voir un tas de haine salir mon chez moi par son agressivité. Alors je vais prendre l'air. »

Partant pour rentrer dans le taxi, elle m'interpelait encore.


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MessageSujet: Re: Une poupée qui dit non,non,non....(pv Abby Vodianova) Une poupée qui dit non,non,non....(pv Abby Vodianova) EmptyDim 1 Aoû - 17:52

Vodianova's Twins Fight ;
C'est une poupée qui fait non, non, non...

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Il fallait avouer qu’Abbygail s’attendait à beaucoup de choses de la part de sa sœur, mais pas un tel torrent d’amabilités. Etait-elle devenue folle ? Sans doute. Cette méchanceté soudainement gratuite ne lui avait jamais correspondu jusqu’ici, mais il faut croire que les gens finissent toujours par se révéler tels qu’ils sont. Abby était toujours passée pour la méchante de service, et Tasha pour la gentille par excellence, mais il semblait que pour cette fois, les rôles étaient inversés. Abby, qui avait toujours la langue bien pendue d’habitude, demeura totalement interdite face à cette véritable vendetta. Elle laissa sa jumelle s’exprimer jusqu’au bout, ne perdant pas une miette de ce qu’elle disait…Ah c’était comme ça qu’elle le prenait, très bien. Il n’en fallait pas plus à Abby pour qu’elle n’en fasse qu’à sa tête. Puisque visiblement elle polluait l’air que Tasha respirait, l’envie de se débrouiller seule une bonne fois pour toute était plus que tentante. Certes, elle n’était qu’une aveugle complètement sans repères au beau milieu d’un aéroport gigantesque, mais ce n’était au fond qu’un challenge de plus. Il n’était pas question qu’elle se laisse marcher sur les pieds sous le fallacieux prétexte que sa sœur avait des sautes d’humeur incompréhensibles…Oser lui dire qu’elle se plaignait, c’était tout de même le pompon, et ce qui lui avait sûrement fait le plus mal. Tasha ne pouvait pas comprendre, elle n’avait pas la moindre idée de ce qu’elle traversait en ce moment même, après avoir enduré tout ce qu’elle avait du endurer. Comme si sa jumelle avait vécu jusqu’ici dans un château doré, avec une somme incalculable d’esclaves sous ses ordres, et que désormais que quelqu’un s’opposait à elle, elle piquait sa crise…Il n’en fallait pas plus à Abby pour qu’elle trouve sa jumelle complètement ridicule. Ah Tasha avait toujours eu de grandes phrases dignes d’une princesse capricieuse, elle l’avait toujours pensé, et lui avait même toujours envoyé dans les gencives. Mais elle ne supportait pas d’une part de l’entendre critiquer ce père qu’elle avait dit tant aimer, ni même se faire traiter comme la dernière des capricieuses alors que fondamentalement, Abby avait toujours été celle qui restait le plus en retrait justement. Ce fut donc un réflexe purement humain que de la rattraper, non sans l’aide du fameux Igor, afin de la retenir avant qu’elle ne s’en aille on ne sait où pour un monde soit disant meilleur. Il ne fallait surtout pas qu’elle croit qu’elle allait s’en tirer à si bon compte, après tout ce qu’elle lui avait balancé dans les dents ! Abby s’élança pour retenir Tasha par le bras, lui assénant une gifle sans grande force pour lui faire ravaler ses paroles. La jeune russe en avait les larmes aux yeux, comme si cela lui arrachait le cœur de frapper sa sœur…Mais n’était-ce pas le seul moyen qu’elle avait trouvé pour se faire entendre ? C’était triste à dire, mais si. Peu importe que tout le monde les regarde et que le conducteur de taxi soit parti à force d’attendre après Tasha…Abby ne la laisserait pas partir avant qu’elle n’ait entendu tout ce qu’elle avait sur le cœur.

« Tu veux garder la maison parce que tu estimes que je la pollue ? Je te la laisse, cadeau. De toute manière, tout ce que je représente t’as toujours dégoûtée. Tu n’as jamais supporté le simple fait que je respire, comme si ça t’étais insupportable…Mais c’est parfait, mon accident aura au moins eu du bon ! Tu te révèles telle que tu es : Sale, laide, mauvaise comme une sangsue. Qui est la plus plaignante des deux, dis moi ? Celle qui pleurniche à tout bout de champ ou celle qui te pousse à être toi-même ? Je ne me suis jamais plainte Tasha, ne mélange pas tout. Toi, tu n’as jamais cessé de te plaindre pour le moindre grain de riz de travers. Moi, je ne t’ai jamais rien demandé, voilà la différence…Je ne te demande pas de supporter ce que je supporte, alors ne me fais pas passer encore une fois pour la méchante, parce que ça ne passera pas cette fois ! Assume le fait que tu n’es qu’une pleurnicheuse jalouse et incapable de dire clairement à Papa que tu es scandalisée ! Tu cries au scandale avec des mots tellement peu clairs que c’était comme si tu ne disais rien, je te signale ! Aie plus de courage et tu verras ton monde changer…Arrête de cracher ta valda sur moi alors que je ne suis pas responsable de ce qui t’arrives. Je te rends pas responsable du fait que je suis aveugle je te signale ! Arrête de raconter des conneries ! »

Oui, Abby était hors d’elle, et oui, elle tenait toujours on ne peut plus fermement le poignet de Tasha dans sa main. Elle voulait être sûre que sa jumelle ne perdrait pas une miette de tout ce qu’elle avait à lui dire. Après, si elle voulait la haïr jusqu’à la fin de ses jours, et bien tant pis pour elle ! Mais au moins, elle aurait essayé de lui ouvrir les yeux.

« En plus, tu mens très mal. Tu dis vouloir me ‘refiler’ Papa, mais il te manque affreusement, arrête tes conneries ! Au lieu de jouer un rôle comme tu le fais Tasha, assume le fait d’être révoltée, assume le fait qu’il te manque, même si c’est un mafieux ! Au risque de te surprendre, c’est le seul parent qu’il nous reste, et toi tu fais la fine bouche en prétextant vouloir te casser à la fin de tes études ?! Mais quelle fille es-tu bordel ! T’as pas plus de valeur qu’une caillasse dans une chaussure, ma parole ! »

Foutue pour foutue, Abby n’avait aucune intention de mâcher ses mots. Elle était bien décidée à se faire entendre, et de faire fi du fait qu’elle était la plus faible des deux à cause de son handicap. Elle ne lâcha donc pas Tasha d’une semelle, son regard tentant de rester rivés sur le sien, même si le sien était plus vague du fait qu’elle était aveugle ; l’intensité était présente quoi qu’il en soit.

« Je ne t’ai jamais reproché la mort de Maman, ni même d’être née, Tasha. C’est toi qui a joué la carte de la compétition, alors remets-toi en question au lieu de toujours rejeter la faute sur les autres ! Tu veux me détester jusqu’à la fin de tes jours ?! Très bien. Tu n’auras plus jamais de nouvelles de toi…Je te l’ai déjà dit, c’est pas parce que je suis aveugle que j’ai besoin de toi. J’ai jamais supporté les gens faux, et toi, tu n’as jamais été capable de te montrer sous ton vrai jour…Alors tu sais quoi, Tasha Vodianova ? Va au diable ! »

Abbygail ne la lâcha qu’à la fin de cette phrase, réclamant sa valise à Igor d’une voix sèche et d’un ton qui ne supportait aucune réplique. Elle prit la poignée de sa valise d’une main, gardant sa canne d’aveugle fermement serrée dans son autre main. Et dès lors, elle commença à marcher, doucement mais sûrement. La fierté d’Abby l’emportait toujours…Quitte à se débrouiller seule, autant que ce soit la tête haute.
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MessageSujet: Re: Une poupée qui dit non,non,non....(pv Abby Vodianova) Une poupée qui dit non,non,non....(pv Abby Vodianova) EmptyDim 1 Aoû - 20:04

Alors que je voyais qu'elle partait, j'allais la rattraper, puis lui disant en riant.

- « C'est que tu tapes dure tête de mule. Allez vient, j'allais chercher ta surprise mais bon, si je ne peut plus te faire de surprise, cela ne va plus. Allez vient elle doit être dans la voiture. »

[i]La prenant par la main, puis lui prenant la valise, je la faisais tourner en direction de la voiture. Disant à Igor de loin.


- « Vas y lâche la surprise. »

Un chien, un joyeux chien, un bien heureux chien, un labrador couleur dorée qui venait me voir. Puis déposant la valise sur le sol qu'Igor prenait pour mettre dans la coffre. Je prit la main de ma sœur pour qu'elle caresse le chien.

- « Elle s'appelle Coca, c'est une femelle. Ils ont mis deux ans à la dresser. C'est pour cela que je suis partie plutôt. Je voulais aller la chercher pour toi. Mais c'était une surprise, alors je voulais te l'amener à la maison.....Bon maintenant, il ne faut plus que tu te cognes dans tous les meubles. Et puis elle te tiendra compagnie à la fac pour circuler. J'ai fait la demande pour que tu puisses la prendre avec toi. Tu as vu comme elle est douce. Elle est calme, on a regardé plusieurs chiens mais bon, celle-ci allait mieux pour toi. »

Lui donnant la laisse à Abby, je commençais à la ramener à la voiture. L'aidant à monter dans la voiture, je vis Coca venir vers elle lui réclamant des caresses. Montant ensuite avec le reste de la petite troupe. Igor venait s'asseoir à côté de moi. Il était bien compréhensif, enfin, bon, il fallait faire avec....Mon père l'aurait sans doute mit à la porte mais bon....Puis la voiture démarrant par la suite. Je disais alors à Abby.

- « Tu as vraiment tout comprit de travers. Mais bon, la maison est faite, je n'ai pas encore eu le temps de tout préparer. Il me fallait aller chez le fleuriste mais bon, on peut y aller au retour. Puis il y avait une surprise de prévue pour le déjeuné mais tu ne me laisses pas le temps de m'expliquer. Passons, on dépose les valises à la maison et on part déjeuné. »

Papa ne me manquait pas du tout ! Rien que de ne pas le voir cela me faisait du bien. Après tout, être libre était bien plus important pour moi quitte à lui faire un coup bas ! Il y avait une chose qui m'énervait, elle croyait que j'aimais notre père et bien elle se mettait le doigt dans l'œil....Heureusement qu'il n'était pas là d'ailleurs....Igor changeait, remarque il avait été engagé alors que je n'étais qu'adolescente, il avait à peut près notre age. Je ne savais pas trop se qu'il avait mais bon, je ne disais rien espérant qu'il me lâche la grappe ! Oui aimer quelqu'un, certes, cela est bien, mais encore faut-il aimer quelqu'un parce qu'on le veut ! Et non parce qu'on vous oblige....
Lorsqu'Abby était fiancé à son ami décédé. Papa avait alors eu l'idée de me caser ! Cela met rester en travers de la gorge.....Et cela est bien resté....Un deal, faire ses études et après on voit....Mais bon, il va bien falloir que je trouve une solution à ce problème un jour ou l'autre. Des commentaires déplacés de la part des gens qui me disaient que je devais alors me laisser faire....Puis un homme reste un homme même si on dit non, cela reste non....Alors que dire de plus si on est obligé de discuter de ce genre de choses. Je n'aime pas mon père, je le haï.... Bien qu'il soit le géniteur, pour moi il n'est rien...Les souvenirs venaient alors en moi lorsque la chienne venait me lécher mes doigts. Sortant alors de mes pensées, je la caressais. Elle était bien gentille et chouette. Elle devrait bien s'entendre avec Koko, mon petit chien qui se trouvait alors dans le salon en train de dormir. Puis ne disant rien, la voiture commençait à prendre la direction de la maison.


- « On est presque arrivé mademoiselle Tasha. La route est dégagée. »

Puis ayant une autre idée, je disais alors tout d'un coup.

- « Vu l'heure, on peut aller manger, ma surprise tient toujours. »

La voiture tournait alors pour prendre la direction de la deuxième surprise. Je ne voulais pas lui répondre, je ne trouvais pas l'utilité de lui dire se qui m'agaçait chez papa vu l'épreuve qu'elle a vécu. Pas la peine d'en rajouter ! La voiture s'arrêta alors par la suite devant un petit restaurant. Igor ouvrit la porte. Le lieu appartenait à un de mes amis Paolo, il était gentil, j'allais le voir de temps en temps. Aidant à descendre Abby, la chienne nous suivait. Puis rentrant dans le restaurant vide. Je me dirigeais vers Paolo. Et c'est alors qu'il y eut un immense....

- « SURPRISE !!!!! »

Puis il y eu alors des « ah tu nous as manqué », « comment vas-tu? », tous les amis d'Abby se trouvait être là dans la pièce. Je voyais bien qu'Abby était surprise, mais bon, si on lui dit tout, et bien cela n'est plus drôle...Je vis alors le type du FBI dans le coin, dans le fond de la pièce. Igor le fit partir alors doucement puis lui faisant bien comprendre qu'il y avait un problème tout en le mettant un coup de pied aux fesses ! Je laissais ma sœur réagir à cette surprise....
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MessageSujet: Re: Une poupée qui dit non,non,non....(pv Abby Vodianova) Une poupée qui dit non,non,non....(pv Abby Vodianova) EmptyLun 2 Aoû - 23:58

Vodianova's Twins Fight ;
C'est une poupée qui fait non, non, non...

Une poupée qui dit non,non,non....(pv Abby Vodianova) Alex-alex-kelly-4130566-100-100 Une poupée qui dit non,non,non....(pv Abby Vodianova) Holivia12

Tout d’un coup, Abbygail s’était sentie stupide…Oui, stupide, c’était bien le mot adéquat. Non seulement elle avait déblatérer des paroles blessantes sans en avoir le goût, mais en plus il semblait que Tasha soit parfaitement bien loin de leur père. Cette nouvelle la surprenait, elle qui avait toujours pensé qu’elle la jalousait du fait qu’Abby soit de nouveau dans les papyrus de leur père. Visiblement, elles s’étaient largement trompées sur leurs comptes respectifs. Tasha pensait que sa jumelle se plaignait à tout bout de champ, cherchant ainsi à attirer la pitié de tout un chacun ; quant à Abby, elle pensait que sa jumelle n’était qu’une idiote écervelée jalouse d’elle à cause du comportement de leur père…Fatalement, c’était à se demander si elles se connaissaient vraiment l’une l’autre. Elles étaient à la fois totalement semblables et totalement opposées. Divin paradoxe si l’on ne connait d’elles que leurs qualités, pourtant nombreuses. A cette idée, Abby se mit à rire doucement, tout en caressant doucement la tête de Coca, qui serait visiblement son nouvel acolyte. Cette chienne avait l’air très affectueuse, et semblait l’apprécier, puisqu’elle la collait déjà alors que Tasha venait à peine de lui mettre la laisse entre les mains. Ce cadeau tombait à point nommé, étant donné qu’elle avait un mal fou à se repérer dans l’université…Il n’y avait pas à dire, Tasha l’avait vraiment jouée fine sur ce coup là, et si elle n’en avait encore rien dit, Abby lui lança un large regard reconnaissant. Elle garda le silence pour l’instant, étant donné que sa jumelle l’emmenait déjà ailleurs…Ah, cette fameuse maison ! Fatalement, Abby ne savait pas du tout à quoi elle pouvait bien ressembler, mais elle comptait sur sa jumelle pour qu’elle lui fasse un compte rendu détaillé pour qu’elle puisse en imaginer le plan dans sa tête. C’était aussi pour cela qu’elle se laissait trimballer comme un vulgaire objet…Abby n’aimait pas la sensation de ne pas pouvoir se débrouiller toute seule, et c’était pourtant ce qu’elle ressentait. Tasha ne pensait sûrement pas à mal, mais en l’empêchant de se diriger par ses propres moyens, elle l’empêchait d’apprendre à se débrouiller. Il serait toujours temps de lui faire comprendre plus tard…Abby ne tenait pas à être dure avec elle une seconde fois, pas après avoir mis les pieds dans le plat comme elle l’avait si bien fait précédemment. Elle se laissa guider, sursautant avec violence tandis qu’elle était accueillie par un immense SURPRIIIIISE commun à tous les invités que Tasha avait pris le soin de prévenir de l’arrivée de sa jumelle. A la fois émue et gênée, Abby eut un faible sourire avant de se tourner vers sa jumelle, qu’elle savait responsable de tout ce tintouin.

« Toujours l’humeur aussi festive, hein, Shasha ? »

Cela faisait un siècle qu’Abby ne l’avait plus surnommée ainsi…Depuis l’enfance, en vérité. Ce surnom était un peu ridicule, mais Abby l’avait toujours trouvé affectueux ; et du reste, après s’être pliée en quatre pour lui faire plaisir, Tasha méritait bien cette première marque d’affection de sa part. Abby n’était pas une émotive dans l’âme, il lui en fallait bien plus pour qu’elle verse une petite larme, mais l’émotion était tout de même là. Surtout que d’entendre plusieurs « tu nous as manqué » lui faisait plaisir…Elle qui paraissait toujours transparente d’habitude, cela la changeait. Mais elle quitta pour quelques minutes la foule en délire présente dans l’immense salon de la maison pour retrouver sa jumelle un peu à l’écart, comme si elle se cachait de quelque chose…Ou de quelqu’un. Au premier abord, autant dire que ce côté tendu n’interpella pas Abbygail. Tasha avait toujours été plus ou moins tendue…Ce n’était donc pas spécifiquement inhabituel.

« Merci pour…Tout ce que tu as fais. Je reconnais que j’ai été dure avec toi tout à l’heure. Tu sais très bien comment je suis quand j’estime qu’on m’attaque, je rends la pareille au centuple. On me blesse, je blesse en retour…Papa dit que je tiens ça de Maman ; difficile de vérifier, donc. Mais je crois que dans le fond, on est pas si différente l’une de l’autre, tu ne crois pas petite sœur ? »

Abby était même certaine de l’inverse. Après tout, elles étaient jumelles, et comme tous les jumeaux, même dans les pires disputes, elles demeuraient inséparables. Même à la fin de leurs études, Abby était certaine que Tasha ne s’éloignerait jamais vraiment d’elle…Tout comme elle n’avait pas l’intention de le faire de son côté. Et d’ailleurs, comme pour lui prouver qu’elle ne lui tenait pas non plus rigueur de ce qu’elle avait entendu, elle caressa doucement sa joue, remettant une mèche de cheveux derrière l’oreille de Tasha. Ce geste, à la fois tendre et bienveillant, elle l’avait toujours fait, depuis qu’elles étaient petites. Comme si Abby avait toujours assumé son rôle d’aînée, même lorsqu’elles se disputaient comme deux chiffonnières.

« Pourquoi est-ce que tu as fais tout ça pour moi, Tasha ? Je veux dire, la chienne, cette petite réception…J’ai été odieuse avec toi, je le suis encore et il y a fort à parier que ça ne va pas changer du jour au lendemain. Mais toi, tu as toujours été adorable, avec moi. Pourquoi faire tant d’efforts ? »

C’était un peu ce qui dépassait Abby…Comme si Tasha ne lui tenait jamais rigueur de ses sautes d’humeur ; et pour se faire pardonner, il fallait qu’elle comprenne pourquoi sa jumelle était aussi gentille à son égard.

« Mon accident a provoqué bien des choses…Je ressens un vide immense, tu ne peux pas savoir. Je sais, on ne dirait pas, parce que j’en parle jamais et que je refuse de craquer, mais…James me manque. Outre le fait que je suis complètement paumée à la fac, j’arrive à danser, c’est déjà ça. Mais je n’arrive pas encore à « voir » en touchant. Je m’entraîne, je vais y arriver. Tu me connais, je suis une putain de tête de mule quand je m’y mets. Une vraie Vodianova en puissance. »

Mais en sentant que Tasha restait crispée, je fis mine de regarder vers le même côté qu’elle, feignant de ne plus être aveugle, rien qu’une seconde…Comme ce serait pratique de n’être aveugle que temporairement !

« Qu’est-ce qui se passe, Tasha ? Il y a des gens louches dans le coin ? »
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MessageSujet: Re: Une poupée qui dit non,non,non....(pv Abby Vodianova) Une poupée qui dit non,non,non....(pv Abby Vodianova) EmptyMar 3 Aoû - 18:02

Shasha, il y avait longtemps que je n'avais pas entendu ce surnom. Et dire que je l'avais presque oublié celui-là. Oui le type du FBI dehors Paolo commençait alors à s'inquiéter prenant Abby par la main et me disant de le suivre dans l'oreille dans son bureau. Je disais alors à Abby.

- « On va dans le bureau de Paolo pour discuter on ne s'entend pas ici. »

Puis amenant alors ma soeur dans le salon, je vis Igor et son acolyte restait dans la salle tout en se fondant dans la foule. Paolo énervait et bien stressé, il me disait alors tout haut.

- « Bon, le FBI ici, tu abuses un peu ?! Comment ils ont su que tu faisais une surprise à Abby ici ?! »

Le regardant, je me disais bien que je pouvais avant tout lui dire, puis le toisant du regard. Je répliquais.

- « Comment tu veux que je le sache ! J'en ai aucune idée ! On a virait tout le personnel à par la femme de ménage et le majordome ! Et puis tu me gonfles, je te ferais remarqués que s'il vienne ici, c'est aussi peut être pour toi...Tu sais bien qu'entre mafieux on se sert les coudes mais là tu abuses un peu....Que veux-tu que je te dises, prévient ton père, et dis lui si ce n'est pas déjà fait. Bon laisse nous maintenant, je dois parler à ma sœur. »

Me tournant vers ma sœur, je lui disais.

- « Pour répondre à tes questions, oui j'aime bien faire la fête mais avec modération. Puis tu m'as manqué aussi....Rien que de ne plus t'entendre cela me manquait....Maintenant que tu est là et bien tout va bien ! Pour toutes ces petites surprises, je me disais que cela nous permettrait de partir sur de bonnes bases. On ne peut pas se faire la guerre sans arrêt. Et puis faire des efforts est indispensables si on veut vivre sous le même toit. Au fait, pour la maison, je t'ai fais faire un plan en brai. Au cas ou je ne suis pas là, tu pourras toujours circuler dans la maison. De toute façon, Karp, tu te rappelle mon chien, sharpei et bien il pourra t'aider. Ah et une autre surprise t'attend à la maison, je l'ai fais installé ce matin. Normalement cela devrait te plaire. Pour la fac, je me disais bien que cela pourrait t'aider pour te déplacer. Bon à par les petites surprises, il y a une chose importante dont j'aimerais te parler. Normalement, papa n'est pas au courant parce que je ne veux pas l'inquiéter. Et puis d'abord, je peux encore coincer le truc, mais bon, Igor et les autres sont vraiment stressés.

Me ressaisissant alors, je prenais l'air le plus sérieux que j'avais pour moi.

- « Un seul mot : FBI. Ils ont arrêtés le type que papa avait mit pour nous aider en cas de problèmes ici. Enfin, bon, au lieu d'appeler son avocat, il m'a appelait. Me prévenant alors en code comme d'habitude. Sauf que cette fois-ci, ils l'ont décrypté....La pagaille, oui cela l'est vraiment, cela fais un bon mois, que je suis sur les nerfs, et il n'y a pas moyen d'avoir un peu de temps libre pour moi. Igor a peur que je tombe sur le FBI n'importe où. Du coup, tu risques d'avoir deux armoires à glaces avec toi....Le calvaire en somme.... »

Alors que je réfléchissais à donner un exemple à Abby, il fallait que je lui parle de Thom. Mais comment lui dire...La prenant dans mes bras, elle m'avait parler de son fiancé décédé. Son parfum était celui que je préférais, elle avait mis celui que j'aimais le plus lorsqu'elle le porter. Lui disant dans l'oreille.

- « Allez vient là, ma grande sœur. On s'en sortira va. Courage, je suis sure que tu pourras avoir tout se que tu veux. Est-ce qu'une journée shopping te dis. On va où tu veux. »

Me reculant alors, je souriais à Abby, bien qu'elle ne peut pas le voir, je me doutais qu'elle pouvait sentir mes émotions. Lui disant alors juste pour rire.

- « Oh, pour rire, j'ai rencontré un type, Il s'appelle Thomas, je lui ais déjà mis au parfum. Hihih...T'inquiètes pas de mafieux juste un peu de peur...Hihi...En plus Igor m'a fait une scène ! Tu aurais du voir ça, à mon avis tu aurais bien ris !  »

Voyant une personne rentrait pour savoir de quoi on parlait. J'attendais alors la réponse d'Abby. Ma sœur me surprenait par le fait qu'elle ait l'envie de s'en sortir, alors autant lui donner toutes les occasions de pouvoir y arriver.
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MessageSujet: Re: Une poupée qui dit non,non,non....(pv Abby Vodianova) Une poupée qui dit non,non,non....(pv Abby Vodianova) EmptyVen 6 Aoû - 20:04

Vodianova's Twins Fight ;
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La suite de la scène se passa très vite, à vrai dire. Abbygail n’eut pas le temps de faire ouf que déjà elle se retrouvait en compagnie de Tasha dans le bureau de Paolo. C’était étrange de penser qu’elles étaient ‘poursuivies’ par le FBI alors qu’elles étaient totalement extérieures aux affaires de leur père ; pire, ni Abby ni Tasha ne souhaitaient y prendre part. Ce que leur père faisait en tant que parrain de la mafia russe le concernait uniquement lui, et si elles avaient décidé de fermer les yeux jusqu’ici, sans doute arrêteraient-elles de le faire si cela leur rapportait des ennuis. Abby commençait déjà à perdre patience, rien qu’à l’idée que ces foutus flics viennent gâcher la petite fête organisée par sa jumelle. Pour une fois qu’elles passaient un bon moment sans se chamailler comme des chiffonnières, il fallait qu’ils viennent tout gâcher ! Tasha la serra doucement contre elle, comme si elle sentait aisément la crispation de sa jumelle…Comme quoi, même si elles étaient restées fâchées un certain temps, Tasha trouvait toujours le moyen de la comprendre et de sentir dès que ça n’allait pas. Abby pouvait lui reprocher beaucoup de choses, notamment d’être trop gentille et trop patience avec les autres, mais pas d’être résolument observatrice, surtout avec elle. D’ailleurs, elle eut la finesse de parler d’autre chose très rapidement, embrayant sur une nouvelle qui n’était pas des moindres : Tiens donc, était-il possible qu’elles aient rencontré le même Thomas, garçon dragueur et trop sûr de lui ? Certes, elles habitaient une grande ville où les Thomas ne devaient pas manquer, mais Abby voulait croire aux coïncidences, pour une fois.

« Thomas…Brun, yeux bleus, sûr de lui et insupportable ? Si le tableau te dit quelque chose, je le connais aussi. Je l’ai rembarré, c’est un fouteur de merde et il pense tellement être capable de mettre toutes les nanas qu’il croise dans son lit qu’il mériterait un bon poing dans la gueule. Dommage que je puisse pas viser, sans quoi, il serait devenu l’un des meilleurs clients de son dentiste ! »

Abbygail se mit à rire narquoisement, n’ayant cure du fait de choquer ; Tasha la connaissait assez bien pour savoir que sous la plaisanterie, il y avait une part de vérité…Mais trop légère pour devoir s’en inquiéter. D’ailleurs, la paix à laquelle elles venaient tout juste de goûter fut de courte durée, car Paolo parvint en trombe dans le bureau pour les prévenir que le FBI avait forcé la porte et interrogeait maintenant tous les invités. Il était évident que c’était après elles qu’ils en avaient, et Abby se crispa d’autant plus…Ne pouvant rien voir, elle allait être le pire boulet que la terre ait jamais portée. Néanmoins, le jeune homme leur indiqua une sortie de secours, qui donnait derrière la maison, tout en s’assurant qu’Abby tienne la laisse de son nouveau labrador. Il avait saisit sa canne d’aveugle pour elle, et conduisit tout ce beau petit monde, y compris le chien de Tasha, jusqu’à la magnifique Berline de couleur noire, achetée par Papa Vodianova à l’attention de ses deux filles jumelles. Il était évident qu’Abby ne la conduirait sûrement jamais…Mais rien que l’idée d’être véhiculée dans un pareil véhicule lui plaisait. Enfin, d’ordinaire, cette idée lui plaisait, mais pour échapper au FBI et ses interrogatoires virulents, il y avait mieux. Paolo invita la jolie blonde à s’installer à l’avant, l’aidant même à attacher sa ceinture de sécurité, avant de donner les instructions à Tasha : Rouler aussi vite que le code de la route le permettait, et se rendre à l’aéroport pour quitter temporairement le pays, le temps qu’il puisse régler le problème avec le FBI. Abby n’aimait pas l’idée de fuir la ville juste pour les beaux yeux des flics…Après tout, elle était ici chez elle, ses études ne pouvaient pas encore être reportées et de toute manière, où allaient-elles bien pouvoir aller ?

« Attends Paolo, tu chies dans la colle là ! Tu veux qu’on se planque où, au juste ? C’est bien joli, mais on va pas rester dans l’avion jusqu’au moment où tu seras prêt à nous faire revenir ! On va aller où ?! Réponds-moi bordel de dieu ! »

Abby était particulièrement stressée par cette situation improbable. Mais qu’avait-elle fait pour mériter ça ? Tasha ne paraissait pas vraiment ravie à l’idée de quitter la ville elle non plus. La jolie blonde n’avait plus envie de rire sur le fait que sa jumelle avait elle aussi rencontré cet imbécile de Thomas, elle avait plutôt envie de se révolter contre l’idée de Paolo, qui était en train de lui exposer par a+b qu’il était plus intelligent qu’elles ne se trouvent pas dans les petits papyrus du FBI si elles souhaitaient pouvoir continuer leurs études.

« C’est la première fois que j’ai honte des activités de mon propre père…Putain, je pensais pas que je dirais ça un jour, mais la Mafia, ça craint. Oh, me fais pas ces yeux de merlan fris Paolo ! Tu n’aimes pas plus quand le FBI met le nez dans ta vie ! Alors viens pas te plaindre, là, c’est nous qui devons partir, pas toi. »

Heureusement que Paolo connaissait la délicatesse si peu véridique d’Abby ! Sans quoi, il n’aurait pas fait le clin d’œil qu’il lui fit pour lui redonner courage, avant de rire pour qu’elle se rende compte qu’il l’avait pris avec humour. Quant à la jolie blonde, elle ne pu s’empêcher de soupirer quand elle entendit Tasha démarrer. Elle attendit qu’elle s’éloigne un peu de la maison pour se mettre à parler, d’une voix plus lassée que fâchée :

« Bon, sans déconner, on se barre où Tasha ?! On a nulle part où aller, et en Russie c’est même pas la peine. J’ai pas vraiment envie que Papa nous place sous la protection d’une armée de gorilles encore une fois… »
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MessageSujet: Re: Une poupée qui dit non,non,non....(pv Abby Vodianova) Une poupée qui dit non,non,non....(pv Abby Vodianova) EmptySam 7 Aoû - 19:48

Abby dans la voiture, j'appuyais alors sur le bouton pour ouvrir le garage. Les mains sur le volant, je passais la clé dans la serrure. Tournant pour avoir le moteur, je prenais le temps de me calmer. Sortant la voiture calmement du garage, je me demandais bien si j'allais pouvoir partir tranquillement. La berline noire mercedes-benz blindée pointait alors le bout de son nez dans la rue, tournant la tête, je sentais bien, que j'allais devoir m'en aller. Appuyant sur l'accélérateur, commençant à rouler alors tranquillement, je me disais bien que je pouvais alors être plus calme. Arrivant alors au premier carrefour, je m'arrêtais au feu rouge. La plaque d'immatriculation changeait récemment, je pouvais alors être plus sereine....Mais bon, pour une fois, je n'étais pas dans une bonne position. Alors que je le feu passait au vert, une voiture de police me signalait de m'arrêter. Puis comme je me disais que je pouvais alors m'amuser un peu. Disant alors à Abby.

- « Accroches toi, on a les flics aux fesses. »

Passant alors la vitesse supérieure, je regardais que le plein de la voiture soit fait. Heureusement, il l'était, je pouvais alors aller dans une destination plus lointaine. Me dirigeant alors tout droit tout en zigzaguant entre les voitures, puis voyant arriver une autre voiture dans le carrefour suivant, je tournais alors dans une petite ruelle sombre et assez large pour faire passer la voiture. Il ne fallait quand même pas que je l'abime ! Finissant alors dans le carrefour plus loin, je prenais alors la grande rue à pleine vitesse. Quitte à passer alors que le feu était rouge pour ma voix. La voiture de police qui avait alors fait le tour du pâté de maison, se retrouva alors rejointe par un break noir style van typique que le FBI utilise. Sentant que la portière s'ouvrait, je disais alors à Abby.

- « Bon les pneus peuvent tenir ils sont spéciaux pour durer plus longtemps même s'ils sont troués. Maintenant, on a le FBI aux fesses. Ils vont se disputer avec les flics, on peut avoir un peu de répits. »

Passant alors la vitesse du dessus, je voyais alors le chemin le plus adéquate pour aller à l'aéroport. Me disant que j'avais peut être une idée pour la destination signe de la liberté. Et bien, je me tournais vers Abby pour lui dire.

- « Bon la Suisse, cela te convient ? Il n'y a pas d'extradition pour les États-Unis. Hihih. Ne me demande pas comment, je le sais, je le sais c'est tout....Avant toute chose, ton passeport étant bon, il y a des sous dans la boîte à gants et dans mon portefeuille. On peut partir en, vacance. Hihih. Bon ils sont toujours là ces idiots. Arh ! Ils sont chiants..... »

Passant alors la vitesse du dessous tout en faisant crisser les pneus au moment où je tournais le virage. Je redressais alors pour avoir le temps de prendre le virage suivit d'une route droite. Sentant alors que les chiens commençaient à aboyer un peu, je disais alors.

- « Karp, Coca, ça suffit ! Arrêter d'abboyer ! »

Les chiens se sont alors retrouvés sur le sol le long des sièges à l'arrière. Me rappelant alors d'une chose qui m'avait paru suspect. Je lançais à Abby tout en voyant que le van nous tirait dessus ! Les bruits sourds pour le moment leurs disait : « et non c'est blindé ! » Les bruits allaient alors se joindre avec un bruit sourd que je détestais par dessus tout ! Un hélicoptère qui me fit braquer alors la voiture sur un angle large me dirigeant vers la gauche. J'évitais alors une voiture de police qui allait à vers nous. Allant alors vers la gauche du au fait que je changeais de direction. Puis me redressant, j'avais alors sentis le parfum de ma sœur jumelle. Partant alors sur la route qui était aussi large qu'immense, je prenais le temps de souffler un peu. L'engin volant me rattrapa alors puis tirant sur la voiture par l'arrière. Le carburant partait à une vitesse raisonnable mais bien dangereusement. Un camion d'essence passait alors dans le carrefour suivant. Ayant un pneu qui crevait sous l'effet de la balle tiré par je ne sais qui. Je grimaçais tout en disant.

- « Arf, le pneu gauche arrière est crevé. Bon direction l'aéroport, enfin, je vais essayer. Il me semble qu'un avion privé, celui de Paolo fera l'affaire. Au fait, tu sais le type que papa nous avait dit ici. Si on avait un problème et bien on devait aller le voir. Maintenant, on ne peut plus, je pense qu'il est de mèche avec le FBI. Je l'ai appris le jour où j'ai vu le même Thomas que toi. »

Passant alors très rapidement à l'arrière du camion citerne. Une explosion se suivit par la suite. Les flics idiots comme des poires avaient tiré sur le véhicule. Sentant alors un souffle me prendre par la ventilation de la berline. L'adrénaline avait eu alors le don de me donner un bon coup de fouet ! Le téléphone sonnait. Décrochant avec le bouton situé sous celui des essuis glace. Paolo me disait.

- « Tasha, il y a mon avion à l'aéroport dans le parking, enfin tu le sais ! Bon évitons les soucis un peu plus. Va dans le pays que je t'ai dis je vous rejoindrais plus tard. Je préviens votre père, enfin c'est déjà fait. Je sais que tu ne voulais pas que je le fasse mais là il y a urgence. Je garde tes armoires à glace avec moi le temps que je trouve une solution pour te les renvoyer. Sympa la poursuite, je la voie à la télé. Passe par le carrefour suivant et le parking souterrain. Sinon essaye par le pont. Bon à plus tard les filles. »

Lui répondant avant de raccrocher.

- « Oki Paolo, à plus tard. »

Me crispant tout en essayant de passer dans une rue plus petite que l'hélico. Je le voyais passer alors dans la rue tout en faisant exploser les vitres des immeubles. Allant plus vite, je prenais la direction du pont avant le carrefour, puis alors que j'arrivais sur les quais. Je passais entre les gros contenaires. Je ralentissais alors pour passer, la mafia mexicaine avait ce territoire, rentrant dans le hangar qui leur était réservé. Je disais à Abby.

- « Reste ici, laisse moi faire. Je suis allée voir la mafia mexicaine, Je vais voir avec eux pour changer de voiture. Reste ici surtout. Il ne te connaisse pas, alors s'il te plait reste là. »

Passant alors ma tête de la voiture, je me prenais un fusil automatique face à ma tête. Puis souriant, tout en fermant la porte. Je me tournais vers leur chef; Macario, je le connaissais. Lui ayant rendu un petit service, papa ne lui aurait pas donner ,puis alors que je me tournais vers lui, je lui demandais.

- « Coucou, Macario, comment vas-tu ? J'ai un petit service à te demander. Il me semble que tu m'en dois un, non ? »

Sachant bien, que je risquais gros, je vis que le garage dans le hangar était bien plein de peinture. Des nouvelles plaques fabriquaient sur mesure se trouvaient être pour moi une bonne idée. Le soleil bien chaud, serait avant tout bien agréable pour faire sécher la peinture. Je vis Macario demander à se que l'on baisse les armes. Puis me répondant.

- « Mon petit Tashou, oui je te dois un service. Je vais bien, quelle couleur tu veux ? Blanche fera l'affaire je pense, voici une plaque neuve. Tu conduis toujours aussi bien, à quand le circuit ? »

L'observant alors, je reculais pour aller vers ma voiture. Je vis deux de ses gars poussaient ma voiture sur la place pour aller la peindre. Regardant alors Macario bizarrement, il devait se douter qu'il y avait quelqu'un dans la voiture. Surprise, et un peu sur les nerfs, je lui dis.

- « Oui ma sœur est là, mais elle restera dans la voiture. Oui une couleur blanche, avec un motif comme des gars savent bien le faire. Après je te rendrais l'appareil bien que cela soit déjà fait.... »

La voiture peinte rapidement, puis chauffée par les machines, j'entendais Karp qui aboyait. Il voulait venir voir Macario. Puis une fois les pneus changeaient, je prenais la direction de la voiture. La plaque changeait, j'appris alors que les flics étaient dans le port par l'intermédiaire de la voiture. Me tournant vers Macario, je lui disais.

- « Merci mon ami. Ils sont là, tu ferais mieux de partir aussi. A plus, la voiture doit être sèche. »

Montant dans la voiture, je partais par l'unique et seule sortie, tout un tas de voitures sortaient alors en même temps que moi. Un flot de voitures pour semer celle du FBI et les flics. Une fois sur la rue avec plusieurs d'entre elles. Je reprenais alors la direction de l'aéroport.....
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