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Fête très privée [PV=Cappie]

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MessageSujet: Fête très privée [PV=Cappie] Fête très privée [PV=Cappie] EmptyJeu 29 Oct - 17:07

Il y a des soirs comme ça où il n'y a rien à comprendre. La journée a été bizarre, vous n'avez qu'une seule et envie, rentrer chez vous et dormir, mais c'est une journée bizarre, comme si tout semblait vous échapper. Ce soir-là était sans aucun doute la suite d'une journée étrange, je me souviens que la journée avait mal commencée puisque je m'étais levé avec une super gueule de bois, après une nuit où je n'avais pas dû dormir des masses, et surtout, il était à peine six heures du matin, mais impossible de s'endormir à nouveau. Ma matinée est assez vague, je suppose que j'avais simplement dû comater pour me remettre de ma veille qui avait dû excessivement alcoolisée sans aucun doute possible et imaginable. Je me souviens en revanche parfaitement bien de mon après-midi, le genre d'après-midi que personne n'aime, un prof absent, mais bien entendu de telle façon à vous laisser un trou imposant entre deux heures de cours, mais pas suffisamment pour rentrer chez vous, le rêve de tous les étudiants en somme. Je me souviens que j'avais passé la journée avec des lunettes de soleil parce que le soleil avait tendance à être trop violent pour moi, quoi qu'il en soit, j'avais dû tenir une sacrée cuite la veille. L'alcool ayant peu d'effet sur moi, j'imaginais les quantités astronomiques que j'avais du descendre pour me retrouver avec des lunettes d'un noir presque opaque. Les risques du métier en quelque sorte. Mes heures de cours se finirent et une seule et unique envie se faisait sentir, rentrer, rentrer et dormir jusqu'au lendemain. Voulez-vous rire ? Je n'étais pas à mi-chemin que mon portable vibra, et bien sûr, il eut fallu que je consulte ma messagerie pour voir une invitation à une soirée. J'aurais pu dire « non », mais je promis qu'après un peu de sommeil je viendrais sans aucun soucis. J'étais rentré chez moi, je m'étais allongé, réglant le réveil sur vingt-trois heures et je dormis ainsi pendant six bonnes heures, jusqu'à ce que le réveil ne fasse son office, contre mon gré je dois l'avouer. Je passais un costume et direction la fête, il devait être vingt-trois heures trente quand j'arrivais et je n'avais pas fais trois pas qu'une jeune femme venait m'embrasser. Pas un baiser volé, un véritable baiser, fougueux et intimiste. Après un rire, la demoiselle repartit vers ses amis.

Une soirée particulière pour clôturer une journée particulière, je n'étais pas allé vers la demoiselle, je m'étais contenté d'une photo prise avec mon portable histoire de savoir un peu plus sur cette demoiselle. Je ne bus rien de la soirée, l'alcool me dégoutait un rien en cet instant, d'autant plus que la bière n'avait jamais vraiment été mon truc, j'étais plutôt un adepte des spiritueux, de qualité il va de soit. J'étais resté deux, peut-être trois heures, sans pour autant que la demoiselle ne revienne me voler un autre baiser, pas que j'en avais particulièrement envie, simplement que ce n'était pas vraiment de manières convenables d'agir ainsi qu'elle l'avait fais. Je me doutais qu'il n'avait dû s'agir que d'un pari, mais cela n'empêche pas d'inviter à boire un verre n'est-il pas ? Finalement après une soirée tranquille à profiter pour apprendre un peu plus de choses sur les personnes présentes, j'étais tranquillement rentré chez moi, le lendemain allait être une journée des plus intéressantes. Enfin intéressante, disons que j'allais faire ma petite investigation sur la demoiselle qui m'avait embrassé. On pouvait assurément dire « merci » à l'argent dans ce genre de situations, les renseignements ne sont pas difficiles à obtenir quand vous parlez le langage universel de l'argent. Je ne me contentais pas d'une petite investigation dans l'Université, si elle n'avait pas été membre de la fameuse confrérie des Omega j'aurais surement arrêté mon investigation. Cependant vous avouerez qu'une jeune femme membre d'une confrérie comme les Omega est logiquement une jeune femme plutôt riche et théoriquement avec des manières. Aussi je m'étais permis d'en apprendre un peu plus sur le passé de mademoiselle Cappie Kalliopy, riche mais pas si heureux que ça. Je pouvais presque la comprendre en y réfléchissant, grandir avec un parent qui se fiche de vous, j'avais aussi donné. Cependant, il fallait dire que son passé était des plus intéressants, mais apprendre des choses par l'argent et la « surface » est une chose, j'aimais mieux rencontrer les personnes pour me faire un avis.

Aussi j'avais inventé une fausse fête dont une seule et unique personne avait eu une invitation, la demoiselle en question. Le rendez-vous était à mon appartement et le carton d'invitation était des plus clairs, obligation formelle de ne parler à personne comme cette fête était particulièrement privée. Vêtement de soirée de mise même si le rendez-vous était à quinze heures et enfin port d'un loup indispensable. Ca pouvait paraître ridicule car je savais qui serait derrière le fameux loup en questions, mais elle ne savait pas. Et puis en plus de ça, c'était une fête que je pensais organiser un jour ou l'autre, alors autant voir ce que cela pourrait donner. Bien entendu, j'avais prévu quand même un minimum, deux flutes et du champagne pour un début cela paraissait bien. J'avais passé un pantalon noir, une chemise en coton d'un blanc tirant légèrement sur le gris, une cravate noire, enfin un cardigan noir sans oublier le loup qui était des plus simples, se contentant de passer autour de mes yeux. L'entrée de l'appartement donnait directement sur le salon et se faisait par un ascenseur dont il fallait avoir le code pour l'utiliser et bien entendu j'avais prévenu le gardien de la venue de la demoiselle pour qu'il lui donne le code. Attendant que la demoiselle ne vienne, j'étais face à la fenêtre, dos à l'ascenseur, observant la ville non sans un petit sourire sur le visage...
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MessageSujet: Re: Fête très privée [PV=Cappie] Fête très privée [PV=Cappie] EmptyJeu 29 Oct - 20:32

    « Putin j’y crois pas ! Personne peut éteindre ce réveil !? » la tête enfouit sous ses coussins moelleux, étendu de tout son long sur son lit de sa chambre universitaire, cappie soupira de rage et envoya voler le radio-réveil d’un geste de la main qui cessa ce bruit insupportable au moment même où il s’écrasa contre le mur. Bon débarras. Bien que l’heure de la matinée soit avancée, pas un seul des rayons du soleil matinal ne filtraient au travers des volets de la chambre qui étaient encore clos. Cappie se mit à gémir de douleur, ressentant un mal de crâne atroce, après avoir renoncé à ouvrir les yeux, ce qui était bien trop désagréable. La veille au soir elle s’était rendu dans une de ces boites réservés aux gens fortunés dont le commun des mortels ne pouvaient pas accéder –et dont elle avait oublié le nom d’ailleurs- A prendre des paris complétement stupide et au passage embrasser le parfait inconnue, pour finalement se prendre une cuite m.o.n.u.m.e.n.t.a.l.e. Vous devinez la suite. Mais maintenant, un marteau piqueur semblait ne plus finir de s’acharner sur ses tempes et c’est dans un effort quasi-surhumain que notre belle blonde réussit à se lever. Après avoir avalé cinq cachets d’aspirine, il n’y avait plus qu’un seul moyen, combattre le mal par le mal : prendre une douche gelée. L’impact de l’eau froide sur le corps de jeune femme eut pour effet immédiat de la revigorer et de la remettre d’attaque en quelques minutes seulement, ses gueules de bois avaient beau être violentes elle ne duraient jamais longtemps. Fort heureusement d’ailleurs.

    Une serviette moelleuse et d’un blanc immaculé nouée autour de sa poitrine, cap' ouvrit son armoire d’un geste lasse comme si elle n’avait plus rien à se mettre et soupira d’exaspération. Cappie décida finalement d'attrapée un petit short magenta avec le top qui allait avec pour ensuite enfilé des grandes chaussettes de footballeur. Il n'y avait personne dans la chambre donc elle mit de la musique grâce à l’ordinateur dernier cri qui était posé sur son bureau. Un sourire aux lèvres, elle mit alors ’wash my world’ de laurent Wolf, une chanson que cappie aimait bien. Se mettant à chanter, elle ne put s’empêcher de se taper un trip en se mettant à danser tout en sautant sur le lit, à moitié morte de rire. La chanson ayant été mise en repeat, son délire dura plus de quelques minutes mais fut interrompue quand au bout de quelques instants, elle réalisa qu'on avait taper à la porte. La musique ayant été mise à fond, elle n’avait pas tout de suite entendu les tapements. Il fallut que la personne s’y prenne à deux fois. Après quoi, sans prendre le temps de baisser le son, elle se dirigea vers la porte. Elle se demandé bien qui sa pouvait bien être donc elle jeta un coup d'œil à l’encadrement de la porte quand elle aperçut un jeune homme inconnue tenant une sorte de carte dans la main droite, elle ouvrit :

    « Salut. voici une invitation. » s'exclame le jeune homme sans aucune autre information. Curieuse comme on connait cappie, sans prendre le temps de refermé la porte de la chambre, elle déchira très rapidement la lettre qui contenait la carte d'invitation d'une certaine fête apparemment privée. Toujours en pleine lecture de l'invitation, elle se dirigea vers le lit le tout en fermant la porte avec son pied. D'après cette carte, la fête se déroulé à l'adresse suivante 5éme avenue; nob hill avec aucunement le droit de le dire à qui ce soit et port de tenue de soirée et d'un masque obligatoire pour pouvoir accédé à cette fête plus que prometteuse. Eh, elle qui avait prévu de passé sa journée devant la télé avec un bon pack de bière, et avait déjà sortir ce plan de son esprit débridé puisqu'elle se tenait devant son armoire sourire aux lèvres se demandant ce qu'elle pourrait bien mettre pour cette soirée plus que spéciale, c'était bien l'une des rares fois qu'on pouvait apercevoir la jeune femme dans un tel étal pour une tenue de soirée. Après quelque minute de plus, elle sortit le grand jeu : une robe rouge satinée au col carré argenté à paillette et des talons aigüe argentés composaient sa tenue. Pour finalement l'accordée avec quelque accessoires tels qu'un collier en forme de papillon et plusieurs bracelets autours du même bras. Ensuite, elle utilisa son fer à gaufrer pour onduler ses jolis cheveux blonds, brillants. Pour le make-up, elle prit des nuances beige irisées pour le teint, ensuite, elle mit de l'ombres à paupières, un trait d’eye-liner noir et pour finir elle appliqua une touche de brillant à lèvres pour un effet pulpeux ultra glamour. Elle enfila un masque rouge assez simple, voilà, cappie était enfin prête c'était bien la première fois qu'elle avait prit autant de temps pour se préparé. La jolie blonde attrapa son sac, son blackberry, ses clés et sortir de chez elle à 14h50 alors que la fête devait débuté à 15h. Cappie attendue quelque secondes l'ascenseur qui persisté à venir pour ne pas être plus retard qu'elle n'était, cap' descendit le plus vite possible qu'on puisse avec des talons aigüe les escaliers du bâtiment universitaire. Une fois dehors, elle monta dans sa magnifique voiture noir et démarra sans perdre un instant à l'adresse indiqué. Cappie se gara sur le parking, et partir en direction du hall du bâtiment. A peine rentré, un homme âgée de 50 ans surement s'approcha de cap' pour lui tendre un bout de papier en indiquant qu'il s'agissait du code de l'ascenseur, elle appuya alors sur les chiffres écrit sur le bout de papier, l'ascenseur s'ouvrit, cappie monta pour quelque minute plus tard, apercevoir un appartement démesurément grand.
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MessageSujet: Re: Fête très privée [PV=Cappie] Fête très privée [PV=Cappie] EmptyJeu 29 Oct - 22:57

Inviter une inconnue qui m'avait embrassé simplement pour un pari n'aurait pas été de mon fait si la jeune femme n'avait pas été riche. Pourquoi ? Pas parce que je snobais ceux que certains appellent les « petites gens » mais je devais avouer que c'était bien parce qu'elle était riche qu'elle était invitée. Il y avait des choses que j'avais du mal à comprendre, précisément comme ce genre de soirées à laquelle elle m'avait embrassé. Elle et moi appartenions à un monde de démesure il allait sans dire, cependant il y avait encore un univers entre vivre dans un monde de démesure et vivre dans la démesure. Le sujet ne serait pourtant pas là ce soir, ce n'était pas une histoire de façon de vivre, c'était plutôt une histoire de rencontrer la demoiselle, de comprendre pourquoi elle détruisait sa vie à boire ainsi qu'elle le faisait. Je portais bien un jugement, chose me ressemblant très peu en réalité, mais qui s'avérait étrangement comme indispensable dans la configuration actuelle des choses. Chacun se détruisait à sa façon en réalité, la demoiselle le faisait en vivant dans l'excès lors de soirée, mais moi alors, qui étais-je donc pour oser la juger ? Moi qui n'avait même pas remarqué qu'après mon regard sur la pendule, qui indiquait trois heures moins dix, m'étais servi un verre de whisky que je buvais tranquillement comme s'il ne s'agissait là que d'eau. Je n'étais pas ivre, c'était mon premier verre en réalité, mais le fait était que j'avais trouvé un certain refuge dans cet état légèrement alcoolisé sans pour autant d'excès. L'alcool avait peu d'effet sur moi, je pourrais presque le déplorer si je ne l'appréciais pas.

Quoi qu'il en soit, alors que je vidais mon verre pour le remettre à sa place dans le bar, je jetais un oeil sur le salon, observant ce que j'avais préparé. Le canapé était parfaitement propre, toujours dans son coloris noir, la toile rendant parfaitement bien. La table basse toute en verre présentait un sceau à glace dans laquelle baignait une bouteille du meilleur Crystal français. Des petits toasts froid et des fraises étaient également présentes. J'attendais mon hôte et je devinais au bruit de l'ascenseur que la demoiselle en question était entrain d'arriver. Je m'approchais de la bibliothèque juste derrière le canapé mais c'était le petit meuble en bois qui avait toute mon attention, je l'ouvris pour être une musique de fond, rien de particulièrement entrainant, juste une douce musique classique, du Mozart dans ses plus grandes heures. C'était à peine audible, juste un léger fond sonore, et le fameux bruit, cette petite sonnerie qui indique l'ouverture de l'ascenseur se fit entendre. La demoiselle progressa de quelques pas dans l'appartement, et je profitais d'aller vers elle pour observer mon hôte, qui semblait me rendre la pareille. Une robe rouge absolument somptueux qui la mettait en valeur de très fort belle façon. J'étais admiratif devant cette somptueuse demoiselle, elle atteignait un niveau de classe absolument somptueux et je devais me dire parfaitement ravi de voir qu'elle était venue. Je lui présentais ma main, déposant sur cette main que la demoiselle m'accorda un baiser dans la plus pure tradition du baise-main français (les lèvres ne touchant donc pas la peau). Alors qu'elle semblait vouloir parler, mon doigt se glissa sur mes lèvres, lui indiquant de ne pas parler tandis que je venais dans la grandeur du salon. Un clic sur une télécommande et une musique tango se fit entendre.

J'entrainais la demoiselle avec moi sur l'air entrainant de la musique, j'étais un bon danseur, j'avais appris cela avec tout le reste des « nécessaires de la société », une liste réalisée par mon père et qui devait m'apprendre à être parfait en société. S'il savait combien j'avais bien appris ma leçon, en business, aucune amitié ne doit tenir, aucun sentimentalisme. Et je lui avais « emprunté » trente-deux millions de dollar pour un investissement boursier qui me ramena le quadruple de la somme de base. Bien sûr je lui avais rendu l'argent. Et il m'avait appris le nécessaire de la société, être un parfait hôte dans la société mondaine et je le réalisais actuellement avec cette demoiselle. Tout était prêt comme mon père l'aurait fais, sauf pour la danse, mon père était piètre danseur, d'où sa nécessité que je ne sache parfaitement danser. Et la demoiselle se révélait une cavalière particulièrement agréable à mener. Ses talons claquaient et le bruit résonnait dans l'appartement, nous dansions yeux dans les yeux, au plus profond des yeux, c'était un moment hors du temps qui ne nécessitait strictement aucune parole, aucun mot car tout l'aurait brisé. Et la musique se termina. Je me penchais doucement vers ses lèvres pour les frôler avant de lui adresser un petit clin d'oeil et de me reculer, sans lâcher sa main, pour l'entrainer vers le canapé où nous prîmes place l'un à côté de l'autre. J'ouvris le Crystal et servit une flute à la demoiselle ainsi qu'une flute pour moi. Finalement je pris la parole:


- Je propose de porter un toast désormais que tous les invités sont présents. Et je propose d'orienter ce toast à l'honneur des convenances retrouvées...
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MessageSujet: Re: Fête très privée [PV=Cappie] Fête très privée [PV=Cappie] EmptySam 31 Oct - 22:03

    Cappie se tenait, là, debout, à quelque pas plus loin de l'ascenseur par laquelle elle avait son entrée quelque minute plus tôt. Vous devez surement tout, vous posez cette même et même question qu'est « pourquoi cappie n'a pas bougé depuis son arrivée alors qu'un immense appartement s'offrait à elle ? » Cappie n'avait pas continué pour la simple et bonne raison que cette atmosphère de luxure et de confort lui rappelait drôlement son ancienne vie, le temps ou elle n'avait qu'a claqué des doigts pour avoir ce qu'elle souhaité, ce temps était bel et bien révolue au plus grand malheur de la jolie blonde. Puisque maintenant si elle voulait quoi que ce soit; elle devait se démerdé contrairement à la personne qui vivait dans ce magnifique endroit qui faisait au moins trois fois la pauvre petite chambre universitaire dans laquelle elle vie à présent et dont elle jalouse secrètement.

    Début du flash back

    — CAPPIE; Arrêtes, putain !
    — SA MÈRE; Que j'arrête quoi ? Je t'ai prévenue plusieurs fois ! Tu n'es plus ma fille ! Vas t'en ! Je t'ai fais tes valises, j'en ai marre de payé pour ta merde !
    — CAPPIE; Non ! T'a pas le droit de me foutre à la rue !
    — SA MÈRE; J'ai tout les droits, désormais tu seras obligé de te démerdé pour payé ta merde et que je n'entende plus parler de toi !
    — CAPPIE; Quoi ? T'es pas sérieuse ?

    Sa mère jeta les valises sur cappie et la jeta elle, dehors. Comme un vulgaire objet dont on se débarrasse, comme une poupée que l'on jette aux ordures. Cappie était une poupée cassée, brisée, abandonnée à la décharge publique par une gosse de riche qui va s'en racheter une plus belle. Sa mère été devenue complètement folle, elle ne supporté plus de contribue à la mort de sa fille, c'était bien la seule solution qu'elle avait trouvée. Sa cher mère n'avait plus aucune estime pour sa fille qui avait décidé de la renié, de ne plus la voir, de la chasse de sa maison, de sa vie. Cappie commence alors une nouvelle vie sans travail, faisant la fête presque tout les soirs, se shootant à tout ce qu'elle trouve, avalant des litres d'alcool pour oublier le désastre qu'est sa vie. Mais heureusement pour elle, il y a quelqu'un dans sa vie qui ne la laissera jamais tomber, toujours la pour elle, qui sait lui redonner envie de sourire, de rire, de vivre. Avec qui elle entretien une relation assez compliqué, ils se considèrent comme les meilleurs amis du monde toujours collé l'un à l'autre, toujours en train de se chamaillent, se mètrent dans leurs pires états. C'est sur et certain le jeune homme ne l'avouera surement jamais, mais au fond, cappie est pour lui, la seule et unique personne qui compte vraiment à ses yeux. Après quelque mois de débauche, sa grand-mère entendue la nouvelle et fit un compromis avec sa petite fille, la jolie blonde récupère son héritage à une seule condition avoir son diplôme de journalisme à berkeley. Donc, cap' travail de temps en temps - c'est surtout quand elle à en envie ou pas; dans une boîte de nuit situé en ville. Elle n'est pas spécialement fière du métier qu'elle pratique, c’est d’ailleurs pour cela qu’elle ne dit rien a personnes mais comme vous l'aurez comprit elle n'a pas vraiment le choix.

    Fin du flash back

    La petite blonde était toujours plongée dans ces souvenirs, quand tout un coup elle en fut tiré par un charmant blond qui était vêtue d'un magnifique costume noir qui mettait son beau corps musclé en valeur et sans oublier d'un masque noir qui caché la majorité de son visage ce qui n'enchantai pas vraiment mademoiselle kalliopy, bien qu'elle persiste à le nier, elle ne peut s'empêcher de s'arrêter en premier lieu à la tête de la personne est ce masque l'empêchait de juger le jeune homme comme elle le fait si bien. Si la personne lui fait bonne impression, elle ira la voir sans problème alors si c'est le contraire, elle peut très vite devenir désagréable. Mais bon, ne nous voulons pas la fasse = qui ne juge pas à la première impression ? Personne. Il y a juste des personnes plus ouverte d'esprit qui sont capable de remettre leur jugement en question et bien, ce n'est pas le cas de cap’ sauf qu'elle, ce n'est pas parce qu'elle n'a pas l'ouverture d'esprit qu'il faut mais surtout pas qu'elle est trop têtue, trop bornée pour avouer qu'elle a eu tord. Alors, la plupart du temps, quand elle réalise qu'elle s'est royalement plantée, elle fait tout pour énerver la personne et que cette dernière lui fasse une crasse ce qui inverse la situation et fait qu'elle avait raison. Vous l'aurez peut-être compris, elle a un sur-égo qu'elle ne veut pas abimer mais cap' arrêta très vite de pense à cette histoire de masque quelque chose d'autre l'a préoccupé un petit plus que de savoir qui se cache derrière ce masque noir. Eh bien oui, elle qui avait faillie se casser la gueule dans les escaliers pour ne pas arriver en retard à cette fête se demanda bien vite si son blackberry n'avait pas déconné et qu'elle avait démarqué bien trop tôt.

    Le jeune homme attrapa finalement la main de cappie pour lui faire ce que ces chers français appelle le baise-main. Cap' connaissait bien cette tradition française, puisque lors de ces 17 ans, mademoiselle avait passé ces vacances d'étés sur la cote de la France, et plusieurs charmants français lui avait fait le coup du baise-main malheureusement pour eux, cappie à très vite remarqué leur manège seulement le premier à lui avoir fait le coup avait réussir à l'avoir dans son lit. Tout suite après la jeune femme profita de la situation pour pouvoir lui demande ce qui était arrivée aux autres invités mais celui-ci ne lui laissa pas l'occasion. Étant quelqu'un de très bavard, elle fit son possible pour ne pas ouvrir sa petite bouche, un vrai moulin à paroles cette cappie. Si il le faut, elle fait la conversation pour deux. Pour une fois, elle prit son mal en patience, pour accordé une danse tango au jeune blond qui manié très bien ce genre de danse puisque la blondinette n'avait eu qu'a se laisse mené. Une fois, la musique terminé, cappie crut que le jeune inconnue conter l'embrasser mais bien évidement celui-ci ce contenta de frôle ces petites lèvres et de finir en beauté avec un petit clin d'œil en coin.

    Une fois bien installé sur le canapé en cuir noir qui fessait tout le charme du immense salon qui regorgeait d’objets d’art dont cap’ s’amusait à trouver une signification alors que toute autre personne aurait pu douter qu’il en ait une. Mademoiselle kalliopy ne pouvait plus résisté au silence qui régnait dans la pièce donc sans prendre de temps cappie s'empressa d'ouvrir la bouche mais décidément le jeune blond n'était pas d'humeur à la laissé parle car il laissa échapper quelque mots qui formèrent une phrase qui mit la blondinette verre à la main dans tout ces états et prit enfin la parole avec grande satisfaction.

    « Attend, tout les invités sont présent. Ba, il va me falloir des explication; parque là je suis pas. Soit tu plaisante ou il me faut des lunettes de vue, car j'ai beau regardé autours de moi, je ne vois que toi et moi ! »
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MessageSujet: Re: Fête très privée [PV=Cappie] Fête très privée [PV=Cappie] EmptySam 31 Oct - 22:45

Si en cet instant mon père me voyait, il me tuerait sans aucun doute, danser avec une demoiselle sans avoir eu la politesse de me présenter, et manquer de l'embrasser en laissant simplement mes lèvres courir sur les siennes, ça serait bien plus qu'il en faudrait à mon père. Je devais l'avouer, même si j'avais fuis loin de chez lui, l'homme avait encore une grande et très présente influence sur ma vie, il était indéniablement une pièce essentielle de mon existence. Ses convenances, ce code qu'il m'avait appris, tout cela était parfaitement ancrés et bien présents en moi en tous les instants. On n'est jamais que la somme de ses expériences passées, et je savais d'expérience que le courroux de mon père était chose à éviter. Pourtant il n'était pas là, mais c'était finalement comme s'il était présent, un sentiment très étrange, celui d'être pris au piège de cette propre soirée que j'avais inventé. S'il était une personne à qui je n'avais aucune envie de penser en cet instant, c'était bien mon père et pourtant toutes mes pensées semblaient vouloir se braquer sur lui, c'était un sentiment très étrange que je ressentais. Je ne faisais que danser avec une demoiselle, cela n'avait en soi rien d'inconfortable, ni de problématique, sauf si vous étiez mon père auquel cas clairement, vous n'apprécieriez de voir votre enfant danser avec une demoiselle à laquelle il ne s'est pas présenté. C'était une partie du code de convenance de mon père, s'identifier au près de la demoiselle, c'était de la politesse, et pourtant la politesse n'était pas forcément de se présenter. C'était une habitude de se présenter, la vraie politesse était de savoir quand le faire, car il faut dire que certains moments ne méritent pas que l'on parle. Comme cette danse que j'échangeais avec la demoiselle ne méritait aucune parole qui brise l'instant. Elle et moi en semblions conscient.

Les talons de la demoiselle sur le sol sont rythmés par la musique, un tango qui est loin d'être des plus difficiles à danser, mais le bruit de ses talons me renvoient à ceux d'une certaine princesse que je connaissais. Ma petite soeur Amélya, un sacré petit bout de femme, un an de moins que moi, mais un caractère des plus surprenants. Tantôt la miss était la petite princesse que la haute société se plaisait à rencontrer, une main glissant dans ses cheveux et quelques compliments, tantôt elle devenait une rockeuse qui n'avait pas peur de grands choses. Je savais qu'en choisissant de partir de moi, j'avais dû faire du petit bois avec son coeur, malheureusement je savais parfaitement que je serais incapable de repartir si j'allais la voir. Comme je sais que j'aurais été incapable de partir si j'avais vu la demoiselle avant mon départ. Me contenter d'une lettre avait été mon objectif, juste lui laisser comme souvenir ce que je lui avais dis dans cette lettre, l'amour que je lui portais. Pourtant j'échangeais avec elle des mails et des SMS qu'elle cachait avec brio à mes parents, la vérité était que je pensais pouvoir partir en faisant comme dans mes choix, aucune décision prise avec intervention d'un sentiment. Seulement l'amour fausse tout, et l'amour que je porte à ma petite soeur m'empêche de détruire définitivement tous les ponts avec elle, c'est idiot l'amour en y réfléchissant, je prends le risque que mon père ou ma mère ne me retrouve pour une autre personne de ma famille, pour la seule que je suis capable d'aimer. Tout risqué pour ma soeur était pourtant comme une obligation, comme quelque chose d'impératif, de la même façon qu'il faut respirer, il semble qu'il me faille de temps en temps avoir des nouvelles de ma soeur. Une pensée idiote me traversa l'esprit, j'aurais aimé que cette demoiselle avec qui je danse soit ma soeur.

Je savais pourtant que ce n'était pas le cas et je savais que la demoiselle avec qui je dansais avait déjà partagé un baiser avec moi. Un baiser dont je me souvenais d'ailleurs parfaitement, très loin d'être désagréable, plutôt tout le contraire en réalité. Cette fête très privée, puisqu'elle ne comptait qu'un convive, en plus de moi, avait pour but de faire la rencontre de cette fameuse jeune femme, simplement pour le plaisir de faire une rencontre. Je ne cherchais rien d'exceptionnel, je prendrais ce que la demoiselle voudra partager avec moi, mais je n'avais pour toute attente que de découvrir la demoiselle qui m'avait embrassé, simplement par jeu. Je fonctionnais comme ça, par un principe, peut-être crétin et idiot, de jeu, tout semblait se résumer à cela avec moi, comme si tout n'était jamais simplement qu'un jeu. Pourtant j'étais au fait de la valeur de la vie et des douleurs que l'on peut éprouver avec un père violent, ce n'était pas une vérité régulière, mais je m'en souvenais et mon dos marquait encore des brulures faites avec une ceinture. Quoi qu'il en soit, revenons à l'instant présent, la demoiselle avait dans la main un verre de champagne comme moi-même j'en avais un, et je portais un toast en l'honneur des convenances retrouvées. J'entendais la voix de mon père dans ma tête qui hurlait que c'était faux et que les convenances n'étaient pas retrouvées puisque je ne savais toujours pas qui m'avait embrassé. Je ne m'en inquiétais pas, le mystère, n'était-ce pas bien plus « rock'n'roll » de ne pas savoir ? Le mystère était quelque chose que je trouvais agréable, visiblement à l'inverse de mon invité qui semblait s'inquiéter de ne voir d'autres convives alors que j'avais dis que tous les convives étaient présents. Je lui souris:


- L'invitation n'était pas sans dire que c'était là une fête très privée mademoiselle. Je peux comprendre votre surprise car dans l'instant il pourrait sembler que je vous ai choisis au hasard dans l'Université, pourtant ce n'est pas le cas, tout au contraire. Pourquoi les masques ? Parce que j'ai toujours aimé le mystère, ne pas savoir qui est la personne en face et d'où on la connait est quelque chose que je trouve des plus agréables. Sur notre histoire commune, si je puis dire, il n'y a rien à dire, nous nous sommes peut-être aperçus une fois ou deux, nous étions à des mêmes fêtes, en dire plus gâcherait la surprise où le mystère. Deux choix s'offrent à vous mademoiselle, soit vous prenez la décision de faire de cette rencontre une surprise en ôtant mon masque et surement me reconnaitrez-vous. Soit vous choisissez la voix du mystère auquel cas vous garderez le mémorable souvenir d'une rencontre avec un inconnu. Cependant il y a une troisième possibilité, je vous l'ai dis nous ne nous connaissons pas à proprement parler, vous pouvez donc enlever mon masque, mais nous ferons attention de garder du mystère autour de nos identités respectives. Evidemment si vous préférez la vérité, toute la vérité, rien que la vérité, cela vous appartient...
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