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Chaud devant !

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MessageSujet: Chaud devant ! Chaud devant ! EmptyMar 8 Déc - 6:59

    Le camion de déménagement était déjà visible devant le le luxueux bâtiment du 19ème siècle qui supplantait tous les autres édifices par son côté raffiné, mais le propriétaire des objets qui s'accumulaient petit à petit devant l'entrée hautement surveillé, au grand désarroi du portier, n'était toujours pas là. Non, je n'étais pas encore arrivé et je m'en voulais quand même un peu, car pour un dimanche j'avais accompli l'exploit de me réveiller aux aurores. Malheureusement, ce n'était pas le réveil en lui même qui m'avait posé problème mais ce qui lui avait suivit. En effet, pour être certains de ne pas m'endormir à nouveau j'avais enfilé mon jogging et j'étais parti courir dans le quartier où se trouvait mon hôtel particulier, autant dire un lieu bourgeois. Courir m'avait toujours aidé à oublier, comme pour beaucoup, mais ces derniers temps c'était devenu une activité capitale pour ne pas que mes nerfs l'emportent car il y avait de quoi m'énerver. J'étais parti en Europe pendant l'été pour vivre la vie occidentale tant apprécié de beaucoup d'américains, j'avais énormément voyagé pour faire le point sur ma vie et je dois avouer que dans un certain sens cela avait marché à merveilles. Néanmoins, rien n'est parfait et alors que j'étais en Italie j'avais eu l' «agréable » surprise d'apprendre que le contrat qui me liait avec mon appartement à San Francisco avait été rompu. Dans un premier temps, cela m'avait amusé parce que voilà que moi Edward Atwoodth, héritier d'une famille au compte bien garni, me retrouvais sans domicile, mais l'amusement qui m'avait pris s'était vite transformé en colère et en peur lorsque je n'avais trouvé aucune nouvelle maison deux semaines avant la rentrée. Avec cette bribe d'histoire vous comprendrez donc pourquoi courir jusqu'à l'épuisement représentait une sortie de secours pour ma personne. Pourtant, ce n'était pas cela qui m'avais mis en retard mais le fait que je me sois assis au beau milieu d'un parc, agréablement surpris de la chaleur qu'il faisait pour la saison, à admirer l'automne dans toute sa splendeur. Posé devant des centaines de vieux chênes j'avais souris à tant de naturel, et surtout aux rayons de soleils qui annonçaient une journée chaude. Puis, encore une fois je m'étais mis à ressasser mon aventure européenne. A l'annonce de la rupture de mon bail, je n'avais jamais été si heureux d'avoir des amis, comme quoi la popularité avec souvent du très bon. Si je n'avais pas eu dans mes connaissances la très populaire et riche Heavynne Leiyn Hildebrand je serai encore devant la fontaine de Trevi à lancer désespérément des pièces attendant en retour un miracle. Elle m'avait aimablement proposé d'être son colocataire et je m'étais empressé de lui donner une réponse positive, non seulement parce qu'elle habitait un des plus eaux appartements qu'il m'ait été donné de voir, mais aussi car c'était un privilège d'habiter avec la sublime brune. Inutile de vous dire que quand mon esprit avait décidé de revenir à la réalité, en laissant pour le soir les songeries de ma vie, j'étais déjà irrémédiablement en retard . J'étais rapidement retourné dans ma suite et avais pris une douche à toute vitesse. Avec la chaleur qu'il faisait, même par ce jour d'automne, je décida de faire simple au niveau de l'habillement, un jean délavé et une chemisette sans manche blanche dévoilant un corps plus qu 'entretenu. Qui a dit qu'il n'y avait que les Iotas qui pratiquaient une activité physique ?

    Au moment de garer ma Porsch Carrera décapotable dans le parking privé de on nouveau chez moi la première chose qui le frappa fut l'absence des déménageurs. Ils avaient laissés tous ses cartons devant l'imposante entrée de l'édifice et étaient partis. J'avais peut être une heure de retard mais ils auraient pu au moins prévenir qu'ils quittaient les lieux. Malheureusement pour eux, je devrai me plaindre à leurs supérieurs, après avoir monté seul les immenses cartons qui trônaient toujours sur la chaussée... bien évidemment. Prenant mon courage à demande je me lançais dans cette lourde tâche, au sens figuré, qui allait sans nul doute me prendre toute la matinée. Le portier m'ouvrit la porte, me saluant d'un air hypocrite que je connaissais bien vu que je l'employais très souvent en ce moment, il fut d'ailleurs ravins que quelqu'un se bouge enfin pour déplacer toutes ses affaires qui nuisaient à sa bonne réputation de gardian. Et bien, il allait être servi avec moi, j'étais loin d'être toujours un modèle de sécurité pour l'immeuble, encore moins que je rentrais totalement saoul des fêtes. Mais bon, il aurait le temps d'apprendre à me connaître en me voyant déballé mes affaires chez les Hildebrand. Leur appartement au dernier étage était gigantesque, toujours aussi classe et huppé que dans mon souvenir et je fus ravis de voir que ma chambre était indiquée sur un bout de papier, écrit très certainement par Heavynne, que je décolla de la porte en bois. Heureusement que je l'avais trouvé car j'aurais pu me perdre dans cette demeure grandiose, et c'est sur un petite sourire que je me mis au travail. Très rapidement, à force de monter et descendre des paquets la chaleur monta, je sentis une goutte de sueur qui coula sur mon front humide, cette dernière provoqua immédiatement une réaction chez moi, j'enlevais ma chemisette blanche sans manche que je déposa sur une des chaises de la longue table de la salle à manger. Il n'y avait personne et c'était pourquoi je prenais mes aises, j'étais d'ailleurs ravis d'être le seul à la « maison » je pouvais ainsi plus facilement déplacer mes objets dans un vacarme qui allait sûrement provoquer des plaintes du côté des voisins. Ah, mais j'oubliais il n'y avait pas de voisins les Hildebrand occupait tout le dernier étage.
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MessageSujet: Re: Chaud devant ! Chaud devant ! EmptyMer 16 Déc - 21:11

▬ « Chaud devant »
C'est toujours le dernier étage qui donne le vertige ...

Je n'ai jamais été quelqu'un de particulièrement généreux à vrai dire ... Je n'aspire absolument pas à dépenser l'argent de mon père - même s'il en a beaucoup, beaucoup trop - dans une association du genre "sauvons les baleines" ... D'une part parce que je n'aime pas les animaux mais alors vraiment pas mais également et surtout parce que cet argent m'est bien utile ! Alors oui si selon vous profiter de sa fortune c'est gaspiller de l'argent alors dans ce cas : je gaspille l'argent de mon père ! Cependant, il y a une chose qu'il est important de signaler quand on parle de moi en disant que je ne suis pas généreuse c'est que, certes je n'aspire pas à sauver les baleines ou les babouins en voie de disparition de cette planète mais je préfère être généreuse avec les gens qui m'entourent. Non je n'irai pas non plus donner des milliers de dollars au secours populaire - sauf chaque année pour noël - mais voyez-vous, quand un ami est dans la merde jusqu'aux dents, qu'il ne sait pas où loger, qu'il a une rupture difficile, qu'il ne sait pas quoi faire de son samedi soir ou tout simplement qu'il a besoin de moi et bien je suis là, je suis toujours là quand mes amis ont besoin de moi !
Voyez-vous, je préfère me consacrer au bonheur des personnes qui me sont chères plutôt que d'essayer de rendre heureux tout un village en Malaisie qui, une fois que je serais repartie dépensera mon argent pour des bagatelles ... Donc oui, c'est peut-être injuste car mes amis sont, pour la plupart relativement riches et ne manquent pas souvent de quelque chose mais si eux sont heureux, ça fait une poignée de sourire en plus sur cette terre et ce n'est pas en donnant à une association des sous que j'ai la certitude de voir des sourires gratifiants tous les jours car oui, pour moi la plus belle récompense quand on donne quelque chose, c'est le bonheur qu'expriment les personnes qui l'ont reçu et voyez-vous, chez moi on appel ça le bonheur ! J'aime qu'on en fasse autant pour moi alors je me démène pour les autres.

Certains diront aussi et peut-être à juste titre que je suis une hyper-active, que ne rien faire, contemplé le désespoir de notre condition humaine ce n'est pas mon truc et c'est vrai, m'ennuyer, dormir trop ... Oui, ne rien faire, perdre mon temps c'est quelque chose que je déteste, que m'insupporte, c'est certainement la chose que je trouve la plus détestable dans ce monde. Non mais c'est vrai quoi, certains se pourrissent la vie parce qu'ils ont trop peu d'argent, parce qu'ils sont trop moches, parce qu'ils n'ont pas la capacité intellectuelle de poursuivre leurs rêves et moi, moi je peux faire ce que j'ai envie, partir à Tokyo dans dix minutes si ça me chante, en fait, je pouvais tout faire si le coeur m'en disait, les fashion-week, les compétitions sportives, les premières de films ... J'avais cette chance et ne pas en profiter serait pire que d'en abuser car ça ne rendrait pas aux autres ces privilèges alors autant s'en servir.

J'étais allée à Joliette, une petite ville Canadienne qui abritait le seul marché de noel en dehors du territoir Européen. J'en avais entendu parlé il ya deux ans de cela mais malheureusement l'année dernière le temps m'avait cruellement manqué et on va dire qu'on m'avait interdit de quitter le sol Français et les villes méditerranéennes ne sont pas réputées pour abrités, l'hivers venu des mètres de neige.
Mon avion était dans 2heures, j'étais partie dans la nuit de San-Francisco, avait dormi dans l'avion & avait attérie deux heures plus tard près de Joliette, un café et j'étais partie. J'avais sillonnée toute la ville à la recherche de cadeaux originaux, de petits plaisirs que l'on a pas en Californie .. J'avais trouvé mon bonheur, des trucs parfois très ... décallés mais je savais que c'était justement ça qui plairait aux destinataires de ces cadeaux * sans citer de nom *.
Je marchais à toute allure dans les rues de Montréal où je devais prendre mon avion, il neigeait. Les bras chargées de paquets multicolores en papier, je sillonnait les rues en suivant à la lettre les indications du GPS de mon BlackBerry, le vent me fouettait le visage tout en s'infiltrant sous ma robe & le froid me faisait rosir les joues. Heureusement pour moi, je n'étais pas venue complètement dévêtue, en effet, mon manteau en fourrure tenait particulièrement chaud. Mes collants pas assez chauds ne me tenaient pas spécialement chauds mais j'étais heureuse d'être là, de courir sous la neige * ou presque * car oui, en Californie ce n'est pas si souvent qu'il neige ^^ Je me rappelait cependant de l'hiver de mes 16 ans, New-York était enseveli sous la neige * ou du moins, autant que celle ville peut l'être * il faisait froid, très froid et je me pavanait avec Primavera dans les grandes avenues, nos manteaux en fourrure sur le dos, notre chapka sur la tête, nos gants en cuir qui montaient jusqu'aux coudes et nos cuissardes en daim ... On rigolait, on était jeunes et on ne faisait rien que prendre des photos ... Sous nos gros manteaux nous avons les deux dernières robes que venait de dessiner ma mère... Nos photos furent celles qui les promurent, j'étais heureuse, c'était véritablement la première fois que je mettais le pieds dans le monde de la mode, c'était malgré moi & c'était merveilleux !

J'ai attérit dans la nuit à Los Angeles, j'ai téléphoné à mon paternel qui m'envoya son chauffeur qui me conduisit directement de l'aéroport à l'appartement. En me réveillant, j'ai fait un bisou sur la joue mal rasée de mon père, je lui ai tendu mon cadeau en lui disant de ne l'ouvrir que le 25 * je n'allais pas passer la journée avec lui il avait un repas d'affaire *, je me suis rhabillée en vêtements "de saison" et j'ai repris l'avion pour San Francisco.
Arrivée, mon chauffeur m'attendait, il s'empressa de prendre mes paquets et moi je m'éffondrait sur la banquette arrière de la voiture. On ne dirait pas, mais j'étais léssivée. J'ai téléphoné à ma mère pour savoir si je passais noël avec elle & elle me répondit que mon frère m'avait devancé & l'emmenait à Paris pour le week-end de noël, déçue je feignit d'avoir prévu quelque chose avec Primavera. Maman en profita pour me rappeler que je devais aller voir cet acteur, ce Thomas Johansten de toute urgence. J'ai raccroché et je me suis vraiment retenue de pleurer : je passais mon noël toute seule et je faisais le tour du monde pour trouver des cadeaux à mes proches ... Quelle ironie !

* DING *
Selon l'ascensseur, j'étais bien arrivée mais j'avoue ne pas avoir reconnue mon appartement quand je suis arrivée, des cartons, pleins de cartons ... Des cartons partout. Mais qu'est-ce uqe c'était que ce bordel bon sang de bonsoir ... J'ai regardée Molly * ma femme à tout faire * assez perplexe et elle m'a expliquée que "Mister Atwood" démménageait aujourd'hui. Et merde, j'avais oubliée !!! Je n'ai pas pris la peine de corriger sa pronnonciation encore marquée par l'accent slave, je me suis simplement dirigée vers la chambre que je lui avais indiquée. J'avoue, je n'avais pas osée lui donner celle d'Eddi tout simplement parce qu'il y avait encore des objets personnels et bien que nous étions en froid depuis maintenant quelques bons mois, je refussait de "traiter sa mémoire" de la sorte ...
Quand j'ai poussée la porte, j'ai vu un Edward en jean - uniquement - en équilibre sur une chaise, essayant de fixer un tableau au mur, je souris en poussant un peu plus la porte et c'est le bruit de mes talons sur le sol qui l'avertirent de ma présence, il se retourna & alors que je l'observait il regarda son torse ... Il prennait ses aises et ça m'allait car cet appartement était désormais le sien donc autant qu'il s'y sente chez lui. Cependant, j'ai noté que durant une demie seconde il fut génée que je le vois disons .. si peu vêtu ...
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Swan Cartwright-Hansen
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MessageSujet: Re: Chaud devant ! Chaud devant ! EmptyDim 7 Mar - 16:23

>> corbeile RP
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