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« There's no other place like home » | Edward

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MessageSujet: « There's no other place like home » | Edward « There's no other place like home » | Edward EmptyVen 26 Déc - 19:48

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« Le Québec, c'est la place que j'ai choisis »

    FLASH BACK, trois jours plus tôt
    Le soleil se levait lentement mais sûrement dans les rues de San Fransisco. Étendu dans son lit, dans une position que les médecins décriraient de position non convenable pour dormir, Maxwell dormait d'un sommeil léger. Cela faisait à peine deux heures qu'il s'était endormi. À peine deux heures et quinze minutes qu'il était rentré chez lui. La soirée avait été dure. Il avait passé la soirée à célébré Noël en compagnie de certains copains. À manger un souper traditionel ; de la tourtière, de la dinde, de la farce, des patates etc. , à jouer aux cartes, à discuter, à boire etc. Sans oublié ce qui malheureusement -pour plusieurs - est l'unique définition de cette fête ; les cadeaux. N'ayant pas envie de trop se prendre la tête pour ça, ils avaient décidés de faire une simple échange de cadeaux. Aucune règle à part une ne s'imposait : les cadeaux échangés devaient être... cochons. Le jeune homme avait eu bien du plaisir à tenté de trouver le cadeaux pour la personne choisit et s'est réjouit à voir la réaction de son amie pour qui il avait acheté le cadeaux. Puis, il s'était esclaffé après avoir déballé son propre cadeaux. Bref, une belle soirée qui s'était terminé aux petites heures du matin ; sept heures. À présent, iil était donc neuf heures.
    La sonnerie du téléphone portable de Maxwell se fit entendre. Le jeune homme lâcha un petit grognement qui pouvait très bien exprimer sa fatigue de s'être couché quelques heures plus tôt à peine et sa colère de se faire réveiller de la sorte ; par la sonnerie de son téléphone portable. La musique de son cellulaire est très bien, ne vous en faites pas. Move Shake Drop de DJ Laz est une chanson on ne peut plus entreinante. Qui osait-il l'appeler et le réveiller ? Habituellement, le jeune homme dort avec son cellulaire à ses côtés, placé de manière stratégique sur sa table de chevet, de manière à pouvoir facilement le prendre lorsqu'il sonne ou pour bien voir qui l'appele. Or, cette fois, il n'y avait rien sur cette table de chevet, mis à part une montre , d'une plutôt grosse valeur que ce soit sentimentale ou monétaire, ainsi que le réveil-matin de Maxwell qui affichait 9:03. Après avoir grogné, il ouvrit un oeil, puis son second. Il vit l'heure, grogna de nouveau, s'étira, mit un pied au sol, puis l'autre et se leva. Il se rassit rapidement, sa tête tournait et il avait la bouche pâteuse. La gueule de bois, peut-être ? Après avoir prit quelques secondes pour reprendre ses esprits, il se leva et chercha son téléphone portable. Bien sur, il avait cessé de sonner quelques secondes auparavant, mais il était curieux de voir qui venait de l'appeler. Il le trouva finalement dans la poche arrière de son jean de la veille. Ses parents venaient tout juste de lui téléphoner. Un sourire ne se dessina pas sur les lèvres de Maxwell, bien au contraire. Parce qu'il n'avait pas spécialement envie de leur parler et surtout qu'habituellement, lorsques ses parents doivent lui parler, ils appelaient sur son téléphone de son appartement et ne téléphonent sur son cellulaire que si c'est très important. Il prit son téléphone et téléphona chez lui, pour voir ce qui se passait.
    Fin du Flash Back
    À présent, Maxwell se trouvait à l'aréopart Elliot-Trudeau, à Montréal. Il venait de faire le voyage San Fransisco - Québec avec son frère, Edward pour obéir à ce que ses parents lui avaient dit, quelques jours plus tôt.
    Code:
     Maxwell ? Je ne t'ai pas réveillé, j'espère. Peu importe, c'est ta mère, nous pensions que tu étais pour venir au Québec durant les vacances des fêtes... Tu nous manque mon petit Maxou. Et puis, ton frère, Jesse, a eu un accident. Rien de bien grave, il est à l'hôpital mais devrait en sortir d'ici deux jours, maximum. Je crois qu'il aimerait bien te voir. Et tes frères aussi, fais en sorte qu'ils viennent avec toi. À plus tard fiston. Bisoux.
    Voilà ce que ses parents lui avaient dit, lorsqu'ils l'avaient appelés. Aussitôt, le visage de Maxwell était devenu vide, blême, bien que ses parents aient dit que son frère n'avait pas de gros problème, il était inquiêt pour lui. Il contacta son frère jumeau, Edward, pour lui expliquer. Puis son frère Nathaniel. Ce dernier ne pouvait pas aller au Québec, à cause d'un empêchement. Maxwell était donc contraint de se rendre chez lui avec son jumeau,seulement. Un voyage plutôt prometteur si on se fit à la relation qu'ils entretiennent.
    Ils venaient de décendre de l'avion, il était aux environs de 22 H. Le voyage s'étaient bien déroulé, quelques prises de têtes mais rien pour gâcher ce voyage. Bref, après avoir récupéré leurs valises, ils sortirent de l'aréopart. Le sol était couvert de blanc, quelques flocons tombaient du ciel, l'air frai de l'hiver était présent dans les airs. Que c'était bon, l'hiver Québécois. Sans se préoccupé de son frère, Maxwell sortit la langue pour attraper quelques flocons. Finalement, après avoir prit un taxi pour aller porter les valises à l'appartement de leurs parents et après avoir constatés qu'ils n'étaient pas présent. Les deux frères avaient choisit d'aller marcher dans les rues de Montréal. Ils étaient sur la Saint-Catherine lorsqu'ils passèrent devant le 2 81. Maxwell regarda son frère et dit ;
    « Arrêtes de te cacher, je sais que tu as envie de rentrer là . Vas-y, je ne t'empêches pas. J'vais rien qu'aller me promener ailleur, moi, et on n'a qu'à se rejoindre à la maison » Puis, il s'esclaffa.
    Le jeune homme n'était jamais rentré dans cet endroit. Cet endroit possédant une bien belle réputation auprès des femmes. En fait, cet endroit est un bar de danseurs, beaucoup de fille, à leur fête de 18 ans s'y rendent pour célébrer ce jour bien spécial.
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