» Prénom(s) : Lincoln » Nom de famille : Collins » Nom d'usage : Lincoln Collins » Surnom/pseudonyme : Aucune surnom » Nationalité : Américain » Origines : américain de pire sourche » Date de naissance : le 1er mars 1987 » Lieu de naissance : Salem » Lieu de résidence actuel : Salem » Occupation actuelle : infirmier au medical center north shore » Statut civil : célibataire et c'est mieux ainsi.

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Bienvenue sur THE GREAT ESCAPE ! L'heure de passer à une étape cruciale est arrivée : la rédaction de la fiche !!

» Sa famille se résume aux deux seuls personnes avec qui il a toujours vécu, à savoir ses parents. Issu de ce que l'on peut qualifier d'un milieu aisé, Lincoln n'a jamais eu à quémander bien longtemps pour obtenir ses désirs. Son père était médecin et avait son cabinet privatif, tandis que sa mère était archéologue. Tous les deux, extrêmement pris par leurs métiers respectifs, ils en oubliaient parfois qu'ils avaient un fils a élever. Ce qui fit de lui, un garçon assez solitaire, s'attachant peu à ceux qui l'entouraient. Il n'a jamais eu de frère ni de sœur et ce n'est pas plus mal parce qu'il n'aurait probablement pas supporté le fait de devoir partagé ses parents pour le peu de temps qu'il les voyait. A défaut d'être présents, ils tentaient de l'acheter en le couvrant de cadeaux mais Lincoln n'a jamais été quelqu'un de très matériel donc les présents qu'ils lui faisaient restaient parfois sans retour positif de sa part. A partir de douze ans, âge à laquelle l'adolescence et tous ses travers apparaissent, il a souvent entré en conflit avec son père. Tout d'abord à cause de ses notes en chute libre à l'école. Son père qui ne cessait d'espérer le voir reprendre le cabinet,  angoissait à l'idée que son fils unique ne soit qu'un cancre. Ensuite, il y a eu le comportement qui posa problème. On lui disait blanc, il vous répondait noir. Ce qui lui valut bien des soucis durant sa scolarité. Ses parents se rendirent compte que leur éducation n'avait pas été parfaite, loin de là mais il était trop tard pour y remédier. Aucune solidarité familiale, pas de dimanche passé à trois à se promener ou à jouer à des jeux de société pour se créer une complicité. Ils vivaient ensemble mais leur pseudo relation s'arrêtait là.

» Il considère la rue comme sa maison. En effet, il y a passé des journées entières. Fourré avec des types peu fréquentables qu'il a connu vers l'âge de treize ans jusqu'à l'âge de vingt ans. On sait tous comment ce système fonctionne : on commence tout d'abord à se faire pote avec les petites racailles de l'école qui nous font faire connaissance avec des gibiers plus gros. Lincoln est très vite tombé dans le trafic de drogue, les vols à l'étalage et autres délits plus au moins graves selon les circonstances. Il a fini plusieurs fois au poste de police de la ville mais il s'en est toujours tiré sans de gros dommages. Merci papa de payer la somme qu'il fallait à chaque fois. Merci également à sa jeunesse. Le fait d'être mineur le protégeait partiellement des peines encourues par les majeurs. Ce qui donnait donc la possibilité de recommencer ses conneries. Il fut lui-même consommateur de ces substances illicites en plus d'être le revendeur. Quand on est jeune, on est con et on pense que toute expérience est bonne à prendre. Comparé à certains, il n'était qu'un petit joueur mais il ne faut pas se voiler la face : il était tout de même addict.

» Il ne participe pas à la guerre qui fait rage à Salem entre les croyants qui se signent dès qu'ils croisent une descendante de l'une des sorcières de la région et ces filles en questions. Salem est avant tout sa ville de cœur, malgré le fait qu'il l'a renié depuis plus de huit ans. Il a quitté le territoire en 2007 avec la ferme intention de ne plus jamais remettre les pieds ici. Toutefois, avec la mort récente de son paternel, il est le seul et unique héritier de tout ce que possédait la famille Collins. Père décédé dans des circonstances bizarres car certains affirment que le puritain Collins faisait l'objet d'un sort lancé par les sorcières pour récupérer ses biens. Ce qui fait bondir Lincoln. Il n'apprécie pas le fait qu'elles servent de bouc émissaire alors il cloue sans façon le bec des détracteurs quand il a le malheur de les entendre en sortant de la maison de ses parents. C'est un détective privé qui l'a retrouvé pour lui demander de revenir signer des papiers administratifs et de revenir s'implanter (ou pas) définitivement à Salem. Pour l'instant, il ne sait pas trop s'il va rester ou s'il est juste de passage. Seul l'avenir le dira.

» Personne ne sait ce qu'il a fait durant ces huit années de silence. On raconte qu'il n'écrivait jamais à ses parents ou à ses anciens camarades avec qui, il aurait pu garder contact. On affirme aussi que lorsqu'il appelait sa famille pour donner quelque nouvelle, il le faisait en empruntant un téléphone ou bien en utilisant une cabine téléphonique de manière à ce que l'on ne remonte pas jusqu'à lui et qu'on ne puisse pas savoir où il se cachait. A ces rumeurs, il se contente d'adresse un sourire caustique. Sans les confirmer ou les infirmer.  Il n'y a que lui qui sache exactement la vie qu'il a mené et les personnes qu'il a rencontré. S'amusant de la peur, parfois irrationnelle de la populace, il se complaît à entretenir ce côté mystérieux de sa vie. Autrefois, il était considéré comme un petit garçon de bonne famille mais les avis ont radicalement changé avec ce qu'il a pu effectué plus vieux. Certains ont fini par croire qu'il était possédé et que les esprits maléfiques qui hantent Salem avait pris possession de son âme pour accomplir tous les actes malveillants dont il était l'auteur. On murmurait qu'il était l'incarnation de Satan et les mères n'osaient pas laisser leurs filles sortir quand il était dans les parages. Toutes ces balivernes le laissent de marbre. Il était juste perturbé et instable. Rien de bien magique là-dedans.

» Il a toujours un paquet de cigarettes à portée de main – Il a été absent durant huit ans et là, il fait son grand retour à Salem – il est devenu infirmier, pas par vocation divine mais parce qu'il voulait se donner bonne conscience et sauver des vies en pensant que cela pourrait réparer toutes celles qu'il a brisé en dealant – il a commencé la fac à seulement 23 ans – il a fait une cure de desintox – il a divers tatouages, plus ou moins voyants selon ce qu'il porte – pas très sportif, il reste plus facilement chez lui – solitaire, il n'a jamais été friand de la foule – c'est la mort de ses parents qui l'a poussé à revenir – il est incollable sur un bon nombre de séries mais il le cacher car pour lui, c'est séries c'est un truc de nana – il est incapable d'imaginer sa vie dans quelques années. Pour lui, c'est le jour au jour et après on verra – il fait très souvent la gueule et n'a que rarement un mot gentil pour les personnes qui l'entourent – il a commis de nombreux délits – l'amour est une perte de temps pour laquelle il n'a aucune considération – il a une faible pour les vieilles voitures françaises et américaines – bon menteur et manipulateur, il a plusieurs facettes à sa personnalité – on le voit souvent des écouteurs dans les oreilles. C'est pour éviter de parler aux autres – il a le coup de boule facile – il n'a pas très bonne réputation dans les rues de Salem – il vient d'une famille puritaine – lui croit que la magie existe mais après, il n'en fait pas tout un foin – il possède un gros berger allemand qu'il a appelé Lucifer – il aimerait bien que les filles sont plus ouvertes au lieu de dire non au premier rendez-vous – on dit de lui qu'il a une gueule de méchant …

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Il s'agit ici de nous montrer ce dont vous êtes capable en rp. Pour ce faire, nous vous demandons de participer à cette mise en situation en écrivant un rp du point de vu de votre personnage. Cette partie doit être rédigée en un minimum de 1000 mots

Septembre deux mille sept ; Six mois qu'ils sont ensemble. Pour l'occasion, il a mis son côté macho au placard pour tenter de faire ressortir le peu de romantisme qui l'habite. Ce ne sera pas exceptionnel mais pour elle, il est prêt à bien des sacrifices. Il va la chercher chez ses parents mais n'entre pas dans leur maison. Leur relation n'étant pas réellement approuvée par le paternel de sa petite amie, il reste en retrait, se contente de lui envoyer un message pour la prévenir qu'il est arrivé. Lorsque la blonde apparaît, il l'accueille d'un sourire enjôleur tout en lui ouvrant la portière de sa vieille voiture. A peine installée, Ness l'assaille de questions  sur leur destination finale : ce qu'ils vont faire, où est-ce qu'il l'emmène, etc. Le jeune homme en devenir qu'il est, ne peut que s'amuser de son impatience tout en lui répondant qu'il s'agit d'une surprise. Il a réservé une table dans le meilleur restaurant de tout Salem. Cet extra va lui coûter les yeux de la tête mais avec ses petits trafics, il a de quoi dépenser sans trop compter. De plus, il souhaite lui faire plaisir. Rien n'est trop beau pour elle. La soirée se déroule à merveille. Les yeux de Ness pétillent et c'est le plus beau cadeau qu'elle pouvait lui faire. Son rire éclate comme des bulles de champagne et Lincoln pourrait passer des heures à l'écouter sans se lasser. Il a beau être, ce que l'on appelle, peu fréquentable, il est en train de tomber irrémédiablement amoureux.Les heures passent et il est temps de rentrer. Sinon, le père de la blonde lui bottera les fesses de manière à ce qu'il ne puisse plus s'asseoir pendant des jours entiers. N'oublions pas que Ness n'a que dix-sept ans et lui vingt. Par conséquent, il sort avec une mineure, ce qui pourrait lui donner pas mal de problèmes. Il sort un petit sachet de la boîte à gants de la voiture et le tend à la jeune fille qui l'ouvre en tremblotant. Une gourmette en argent. Avec leurs initiales et la date de leur rencontre gravées sur le métal précieux. Tout un symbole pour lui qui n'a jamais offert, ne serait-ce qu'une boîte de chocolat ou un bouquet de fleurs à l'une de ses nombreuses conquêtes passées. Doucement, Lincoln l'embrasse avec ferveur, puis attache le bijou à son poignet. Ils sont encore trop jeunes pour penser à construire des projets futurs mais, c'est déjà là, un grand pas vers la consolidation de leur couple. Le trajet du retour se fait silencieusement. Ils sont comme enveloppés dans une bulle protectrice. Ness joue avec sa gourmette, ce qui fait légèrement rire Lincoln qui tourne son visage le temps d'une inspiration vers elle pour le lui faire savoir. Ce laps de temps sera leur perte. En détournant les yeux de la route, le châtain ne verra pas le chauffard brûler le stop. Il n'aura pas le temps de freiner ou de dévier la trajectoire de la voiture. Il sera juste aveuglé par une paire de phares qui se dirigent droit vers Ness. Un bruit assourdissant que vous brûle les tympans. Peut-être le cri de la blonde, peut-être pas. De la taule froissée et cette impression de flottement qui vous désoriente. Puis plus rien. Le trou noir, accompagné d'un vide horrifiant. Quand il ouvre les yeux, il est incapable de dire si des minutes, des heures ou des jours entiers se sont déroulés depuis l'accident. Tout ce qu'il voit est qu'il se retrouve cloîtré dans une chambre d'hôpital, blanchâtre et impersonnelle qui lui donne envie de fuir à toute vitesse. Ses parents sont à son chevet. Sa mère a les yeux rougis, à force de retenir les larmes qu'elle espère retenir et son père a le visage fermé. Celui des mauvais jours. Celui qui signifie qu'il en veut terriblement à son fils. « Ness … » Murmure Lincoln, la gorge sèche. Sa voix est encore plus roque que d'habitude. Il est terriblement fatigué et ses paupières papillonnent. Il lutte pour ne pas s'endormir mais avec tous les produits qu'il a dans le corps pour la douleur, il ne peut pas résister bien longtemps. Avant de repartir dans les bras de Morphée, il a juste le temps d'apercevoir ses parents échanger un regard désolé. C'est perplexe et apeuré à l'idée de l'avoir perdu qu'il plonge de nouveau dans un sommeil qui se veut réparateur. Quand il se réveille, avec un peu de plus de force dans le corps et les idées plus en place dans son cerveau, c'est le faciès du père de Ness qui l'accueille. Ce qui ne présage rien de bon. Ils se détestent littéralement. Toutefois, Lincoln soutient ce regard si glacial pour articuler le prénom de celle qu'il désire si ardemment à ses côtés. « Ness. » Son prénom est le seul mot qu'il a prononcé, les rares fois où il s'est éveillé. Un sourire malsain étire les traits du père Glaswell. Lincoln sent qu'un malheur est en train de se tramer et qu'il va en être la victime. « Tu ne reverras plus jamais ma fille. » sur le coup, il refuse de le croire. Il se dit qu'il lui ment pour mieux le détruire. Ness l'aime vraiment et jamais elle refuserait de le revoir. Ce n'est pas elle. Elle n'est pas comme ça. C'est son père qui le punit à cause de l'accident et qu'il se venge comme il peut. Le jeune homme se redresse contre son oreiller et inspecte cet homme abjecte sans formuler la moindre parole. « Elle a enfin compris que tu n'étais qu'un déchet de la société. Toi et tes fréquentations n'êtes que des bons à rien. Je te remercie pour l'accident. Cet acte lui a ouvert les yeux sur ton inconscience. Nous voilà débarrassés de toi pour de bon. » Son sang ne fait qu'un tour et son côté sombre refait surface. Lincoln arrache comme un fou la perfusion qu'il a sur le dessus de la main et l'aiguille qu'on lui a planté dans le creux de son coude. Ça lui fait un mal de chien mais cela lui permet de sauter sur le père de ness et de le coller au mur de sa chambre. Sans cérémonie, il lui administre un coup de poing qui lui éclate la lèvre. « Menteur ! » Vocifère le jeune homme dévasté par le chagrin et qui refuse de croire l'impensable. Du revers de la main, son interlocuteur essuie le sang qui coule sur son menton et fouille dans sa poche pour lui mettre le seul et unique objet qui parviendra à le convaincre que tout est terminé : la gourmette. Abasourdi, limite anéanti, Lincoln attrape le bijou entre ses doigts et libère par la même occasion le père de la blonde. « Elle me l'a donné dès son réveil. Tu ne représentes plus rien à ses yeux. » Sur ces derniers mots qui abolissent les quelques espoirs restants, il quitte la pièce, laissant derrière lui, une jeune homme brisé qui ne cesse de regarder le bijou. Des larmes de rage lui brouille la vie. Il aimerait croire que tout ceci n'est qu'une machination montée de toutes pièces mais Ness n'aurait jamais enlevé de son plein gré, le bracelet. Il doit se résoudre. Dans un brusque élan de colère incontrôlée, il se met à balancer à terre tout ce qu'il peut. Que ce soit les machines, le matelas du lit, les chaises … Tout y passe. Ses parents lui ont amené un sac avec quelques affaires. Il l'attrape et s'échappe de l'hôpital sans demander son reste. Lorsque ses parents arriveront, ils trouveront la chambre dévastée avec seulement deux mots écrits sur un bout de papier « Je pars. » Salem, c'est terminé.

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» Prénom : Stéph' » Pseudo : Velvet Underground » Âge : majeure » Scénario ou personnage inventé : personnage inventé » Des multicomptes ? Parker & Catahleen » Impression sur le forum : bonne, quelle question » Crédits : julia & tumblr » Le mot de la fin : fin