ft. ben barnes
 » Prénom(s) : James Diego. » Nom de famille : Carmichael-Maretti. » Nom d'usage : James Carmichael. » Surnom/pseudonyme : James. » Nationalité : Australiennes. » Origines : Italiennes du côté de son père. » Date de naissance : Dix février 1991, vingt-quatre ans. » Lieu de naissance : Canberra, Australie. » Lieu de résidence actuel : La Nouvelle Orleans. » Occupation actuelle : Stagiaire dans un cabinet d'avocats miteux et atypique mais bourré d'avocats talentueux. Il y effectue toutes les tâches liées à sa position, mais prend un malin plaisir à saboter les cafés, à agir comme un avocat à part entière, à feuilleter des dossiers confidentiels sans même s'en cacher. Un vrai gamin, quoi. » Statut civil : Célibataire. |
god bless america (& its citizens)
ce qu'il faut savoir sur ton personnage
» Véritable emmerdeur fait de chair et d'os, James est une cible à abattre pour quiconque aime la tranquillité. Il a hérité de la prestance de son père, italien pur souche à la figure importante, et de l'insouciance de sa mère, quoique cette dernière eu la bonne grâce de se révéler facile à vivre, qualité à côté de laquelle son fils passa complètement à côté. Il a un frère de deux ans son cadet qu'il a toujours eu tendance à protéger, et c'est certainement l'un des seuls êtres peuplant cette planète qui n'a pas eu à subir son tempérament insupportable.
» Il est né à Canberra, en Australie, et y a passé toute son enfance ainsi que son adolescence. Il a cependant beaucoup voyagé, sa famille étant étrangère aux problèmes d'argents : Angleterre, France, Bulgarie, j'en passe et des meilleurs. Friand d'aventures et de découvertes, il n'a jamais rechigné à découvrir de nouvelles horizons. Il a d'ailleurs fait la rencontre d'une certaine anglaise lors d'un de ses voyages, j'ai nommé Reed Chamberlain.
» Diplômé de droit, James a passé cinq années à l'université de Berkeley avant de quitter San Francisco. C'est à la Nouvelle Orleans qu'il vit depuis cette année, quoiqu'il soit souvent en déplacement aux quatre coins des Etats-Unis
» Victime du syndrome de la bougeotte, le garçon. Il travaille désormais dans un cabinet d'avocats de NOLA, où il a été engagé un peu par hasard, presque sur un malentendu.
» Sa meilleure amie, c'est Louise. Pourtant à Berkeley, c'était à se demander s'ils n'étaient pas un peu plus : possessivité, crises de jalousie, on a connu plus reposant comme amitié. Heureusement que James ne dit jamais non à un tantinet d'action.
» Le grand amour de sa vie, c'est peut-être Nina Fitzmartin. Seulement il ne le sait pas encore, elle non plus, et les chances de les voir un jour ensemble sont mortes et enterrées avant même d'avoir un vu le jour.
» Il n'a rien du gendre idéal
» Il est ambitieux et ne laissera personne se mettre sur le chemin de sa réussite
» Les romantiques l'exaspèrent
» Il n'est au premier abord pas très aimable, voire malpoli
» De ses dix-huit à ses vingt ans, il s'est entièrement consacré à des voyages où il a sillonné le monde, en profitant pour en apprendre plus sur le droit criminel
» Il ne fait aucun effort pour personne
» Au fond, il n'est pas contre l'amour et n'est pas un cynique solitaire, il sait simplement qu'il est quasi impossible pour lui de trouver quelqu'un dont il ne se lassera pas et capable de supporter son tempérament
» Son pseudonyme complet est James Diego Carmichael-Maretti, cependant il se fait essentiellement appeler James Carmichael, afin de se détacher de la réussite de son père
» Il est très difficile de le vexer
» C'est un grand cinéphile
» Il est très doué aux cartes
» Il a déjà manipulé pas mal de gens, pourtant avec ses proches c'est un terrible menteur
» Quand il pense avoir raison, il est presque impossible de le faire changer d'avis
» Il est très tactile
» Il a un faible pour les filles douces et calmes, alors qu'il est tout le contraire
» Dès qu'on lui propose quelque chose de gratuit, il accepte toujours
» Il se lasse très vite de tout
» Il a beaucoup d'humour
» Il est vraiment, vraiment très grognon au réveil
» Dans les endroits publics, il fait exprès de parler fort pour emmerder les autres
» Il adore les surprises
» Il n'est pas généreux et est plutôt du genre à profiter plutôt qu'à rendre service, pourtant il aide systématiquement les personnes âgées
» Il est téméraire et impulsif
» Quand il s'ennuie, il dort
» A douze ans, il a gagné une compétition d'échecs de très haut niveau, et il s'en vante encore aujourd'hui même s'il se sait ringard
» Il a très vite la flemme de tout
» Son grand plaisir, c'est d'animer des colonies de vacances. Il n'aime pas forcément les enfants et ne prévoit pas d'en avoir pour l'instant, mais au moins ils le font toujours rire
» Rarement, il passe des soirées dans des endroits extrêmement luxueux et dépense plus en une soirée qu'il ne dépense habituellement en un mois
» Il adore les chiens
» Il est extrêmement fainéant
» Sociable, il aime être entouré
» Il relève tous les défis stupides qu'on a le malheur de lui proposer
» Très décontracté, le mettre mal à l'aise est mission impossible
» Par contre, lui y arrive très bien avec les autres
» Quand il passe une soirée avec Zadig, il y a obligatoirement des dommages collatéraux
» Il aime être élégant, et prend soin de lui
» Il ne passe pas son temps à draguer, et s'il lui arrive d'avoir des histoires d'un soir, il n'est pas un coureur de jupons à proprement parlé
» Par contre, lorsque quelqu'un lui plaît, il le fait rapidement savoir
» Malgré son tempérament relax, lorsqu'il a décidé d'arrêter de plaisanter, il peut être extrêmement glacial et sérieux. Dans ces moments-là, il ressemble terriblement à son père
» Tous les soirs avant de dormir, il fait un jogging, même lorsqu'il est ivre
» Parfois, il peut être adorable, mais beaucoup pensent que c'est un mythe
» Il sait que plus tard, il sera un bourreau de travail passionné de son métier, quitte à se ruiner la santé
» Il voyage régulièrement
» Il est entreprenant, autant dans sa vie professionnelle que personnelle.
public knowledge
mise en situation rp
Il est élégant ce soir, James. Affublé d'un costard cravate bleu marine, il a pris grand soin de ne laisser aucun détail au hasard, qu'il s'agisse de sa chevelure légèrement décoiffée ou du nuage de parfum qui le suit à la trace, imposant mais jamais envahissant. C'est le James des grands soirs qui s'apprête à quitter la demeure qu'il partage avec la plus insupportable des coloctaires, plus qu'heureux de faire remarquer à cette dernière qu'elle n'a - pour l'instant - rien de prévu pour sa soirée.
« Pas trop de folies ce soir Helsye ; tu m'as pas l'air partie pour de toute façon. » prend-t-il un malin plaisir à faire remarquer, un rictus satisfait au lèvres. Il reçoit en guise de réponse une grimace et un geste obscène de la main, avant d'esquiver habilement le coussin sur lequel la tête de la brune reposait quelques instants plus tôt. Il glisse son portable, son portefeuille et ses clés dans la poche intérieure de sa veste avant de s'éclipser, évitant une nouvelle attaque de sa colocataire déchaînée. Elle aurait été moins chiante qu'il ne l'aurait pas autant appréciée. C'était de ces taquineries constantes qu'était fait son quotidien, et s'il avait largement les moyens de se payer un appartement sans avoir besoin de partager le loyer, il lui avait pourtant préféré cette alternative. Le seul point négatif résidait dans son manque de liberté quand à la compagnie qu'il souhaitait de temps à autre ramener chez lui. Dans le cas où Helsye était elle aussi en vadrouille, il avait tout le loisir de profiter d'un appartement vide. Or, lorsque l'envie lui prenait de saboter sa soirée (par ennui ou véritable passion, allez savoir) elle était réellement douée. Heureusement n'a-t-il pas l'intention de ramener quelqu'un ce soir, puisque c'est Nina qu'il est sur le point de rejoindre. Nina qu'il avait tout bonnement fallu forcer, ni plus ni moins, pour qu'elle accepte d'aller boire un verre - car c'était ça le deal : un verre et c'est tout - avec lui au DNA Lounge. Ce qu'il ne fallait pas faire pour qu'elle se mêle aux autres, celle-là. Heureusement avait-il en fin de compte réussi à la convaincre, quand bien même il n'excluait pas la possibilité qu'elle lui pose un lapin. Afin de s'assurer que ce ne serait pas le cas, il s'empare de son portable et compose le numéro de la blonde. Elle décroche après trois sonneries.
« C'est moi, je voulais m'assurer que tu venais toujours. On a rendez-vous dans vingt minutes, tu se souviens ? T'es en route ? Génial. » Il raccroche rapidement et grimpe dans le taxi qu'il a appelé quelques heures plus tôt. Pas question de prendre sa voiture tout en sachant qu'il y a une forte probabilité pour qu'il rentre à son domicile ivre mort - ou qu'il ne rentre pas du tout. La voiture a démarré depuis moins d'une dizaine de minutes qu'il compose de nouveau le numéro de Nina.
« Plus que dix minutes. T'as pas fait demi-tour j'espère ? Non parce que je suis pas loin de chez toi là, donc si t'as décidé de rentrer je viendrais te chercher s'il le faut. » elle ronchonne longuement, et finit par arriver au point que tout le monde finit éventuellement par atteindre après une conversation trop longue avec James : l'insulter.
« Ravi de voir que tu as de l'énergie à revendre, ça va être une sacrée soirée ! On se voit dans... huit minutes maintenant. Sois pas en retard. » Si elle n'avait pas eu l'intention de faire demi-tour jusqu'à maintenant, il ne faisait aucun doute que l'idée lui traversait à présent l'esprit. Pour autant doit-elle avoir le bon sens de se décider à le supporter le temps d'un verre, plutôt que de ne pas céder à sa demande et d'en payer toutes les lourdes et agaçantes conséquences par la suite. Il finit toujours par l'avoir à l'usure, Nina. Et ça ne lui déplaît pas plus que ça de devoir user de son imagination, de stratagèmes et autres pièges pour passer du temps en sa compagnie. Evidemment ne se serait-il pas donné la peine de déployer tant d'efforts s'il n'était pas certain que, quelque part, la jeune femme appréciait sa compagnie. Demoiselle inaccessible qu'il était si difficile d'approcher, il n'y avait à sa connaissance qu'une petite poignée de gens avec qui elle daignait passer son temps. Et encore, même lorsqu'elle était assise à la même table qu'un ou une de ses "amis", elle ne levait généralement pas les yeux de son carnet de croquis. Il avait fini par s'y faire, James. Il l'empêchait parfois de dessiner en lui prenant son crayon, ou simplement en la déconcentrant avec tant d'ardeur qu'il était impossible pour elle d'esquisser le moindre trait. Puis d'autres fois, il se contentait de la regarder faire silencieusement, le regard attentif, ce qui semblait l'agacer encore plus que lorsqu'il tentait de l'en empêcher. En somme, Nina Fitzmartin était un véritable livre ouvert. Ecrit en coréen.
« Ah, Nina ! Tu es venue finalement ? » s'exclame-t-il alors qu'il entre dans le bar et se dirige vers une chevelure blonde au comptoir. Lui est bien évidemment arrivé en retard d'un quart d'heure, ce qui doit rentre la jeune femme folle de joie tant elle est à l'aise en société. A mesure qu'il se rapproche, il paraît de plus en plus embarrassé tandis qu'il la dévisage de haut en bas.
« Je sais que c'est pas la soirée du siècle mais t'aurais tout de même pu faire un effort vestimentaire... » dit-t-il en prenant un air faussement mal à l'aise. Il s'installe finalement sur la chaise à ses côtés, prenant soin de la rapprocher d'elle avant de s'y installer. Face à son regard accusateur, il prend un air innocent et hausse les épaules.
« Pas besoin de t'énerver, c'était ça ou un compliment, et tu réagis bien trop mal aux derniers pour que j'ose t'en faire un. » siffle-t-il avec toute l'honnêteté du monde. Bien évidemment, les yeux levés au ciel et autres soupirs de Nina ne l'avaient jamais empêché de faire quoi que ce soit, auquel cas il n'aurait tout simplement rien pu dire ou faire en sa compagnie. Mais quand même, elle accueillait généralement les compliments d'une façon si stoïque qu'on aurait cru l'avoir offensée.
« Mais je vais faire une exception ce soir, parce que tu es particulièrement jolie. » Passé comme une lettre à la poste. Il affiche un mince sourire avant de s'approcher vivement de la jeune femme et de déposer un baiser furtif sur le sommet de son crâne. Tout n'est qu'agilité et bon timing avec Nina, qui n'entreprend tout bonnement aucun contact physique à son égard tandis que lui les lui impose le plus souvent. Avant qu'elle n'ait pu entreprendre le moindre geste pour l'éviter ou le repousser, James a retrouvé sa place et s'adresse à présent au barman. « On va vous prendre deux cocktails maison. » Son interlocuteur jette un regard au verre déjà présent face à Nina, que James s'empresse de dénigrer d'un geste de la main.
« Je n'ai aucune idée de ce qu'elle boit, mais ça ressemble bien trop à un soda à mon goût. » réplique-t-il en fronçant les sourcils, visiblement insatisfait du choix de boisson pas assez alcoolisé de la jeune femme. Le barman acquiesce et s'empresse de préparer leurs cocktails tandis que l'australien reporte son attention sur Nina.
« Tu as remarqué ? Je me suis fait tout beau ce soir. » Pour toi, pour la gente féminine du bar ? Qui sait.
Ca lui paraît loin, tout ça. Nina lui paraît loin, Berkeley lui paraît loin. Les remarques taquines, un peu enfantines parfois tant il cherchait à agacer par dessus tout. Bien qu'un an seulement se soit écoulé depuis la fin de ses études, James semble avec pris dix ans. Dix ans de maturité, de compréhension digne de ceux qui se préparent à rencontrer un avenir brillant.
« Deux déca, un double expresso, un café crème, un capuccino sans sucre, un café court avec deux sucres... Putain, vous pourriez pas tous prendre le même café, merde ? » ronchonne-t-il au beau milieu de la réunion supposée "sérieuse". Non, à vrai dire James n'a pas changé d'un poil. Toujours aussi indifférent aux règles de la société de laquelle il fait pourtant partie, l'australien reste fier à sa réputation d'emmerdeur. Pourtant il y a bien quelque chose de différent chez lui, et c'est certainement la seule. Ses talents en droit criminel. Bien qu'il soit un bordélique électron libre dans la vie de tous les jours, il faut savoir qu'il possède des capacités de synthèse et d'analyse particulièrement aiguisés, ce qui fait de lui un apprenti avocat redoutable. Il s'intéresse à toutes les affaires morbides qui viennent se perdre dans ses oreilles attentives, et s'il n'a pas sa dose, il se contente d'aller les trouver lui-même. C'est un peu par hasard que le jeune homme s'est retrouvé engagé dans ce cabinet en grande partie composé de bosseurs modérés, et presque aussi flemmards que lui pour la plupart. Le directeur du petit cabinet - 6 membres, tout au plus, en comptant James - était un homme d'une bonne soixantaine d'années, encore énergique pour son âge quoi qu'il préférât "économiser son énergie". La force tranquille, M. Dawkins. Malcolm, pour les intimes.
« Nous ne sommes pas intimes, m'appelez pas Malcolm. » lui avait-il dit le jour de leur entretien, ce à quoi avait répondu James, avec un haussement d'épaules indifférent :
« Pigé, Malcolm. » Et il l'avait engagé. Quoique M. Dawkins passait la majeure partie de son temps à engueuler James qui enchaînait connerie sur connerie - que pour des détails et jamais pour le travail sérieux, cependant - le courant passait entre les deux hommes. Cela fait près de sept mois maintenant qu'il y travaille, et s'il y sert toujours le café, il fait partie intégrante du fonctionnement du cabinet. Pas si loin que ça de l'avenir brillant, finalement. Enfin, rien ne le préservait d'un événement rocambolesque qui change la donne, et le connaissant, rien n'était moins probable. Affaire à suivre. Ou pas, d'ailleurs.
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ce qu'il faut savoir sur toi
 | » Prénom : marina.
» Pseudo : ems.
» Âge : vingt-et-un ans.
» Scénario ou personnage inventé : inventé 
» Des multicomptes ? : kira fitzmartin et camryn mansfield 
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» Crédits : tumblr.
» Le mot de la fin : encore merci pour le dc 
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