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you like to be beautiful.

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Kevin F. Tatcher
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Kevin F. Tatcher
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MessageSujet: you like to be beautiful. you like to be beautiful. EmptyMer 1 Avr - 23:49

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Kevin et Kennedy.

Ma première pensée en me levant ce matin était que je me faisais vieux. Il ne me restait plus que deux ans avant d’atteindre la trentaine, et je savais que ça allait venir plus vite que je ne l’imagine. Et rien que cette pensée me donna envie de rester au lit toute la journée. Pourtant je devrais être content : le mois d’Avril commence, et le beau temps arrive avec. Mais l’idée de mon anniversaire me faisait rester au lit. Pourtant il fallait bien que je me lève, parce qu’à 13h je devais retrouver Kennedy. Je ne savais pas vraiment la raison, mais je m’en fiche bien. Elle sait très bien qu’elle peut me demander de l’aide quand elle veut. J’avais donc prévenu le commissariat que je ne viendrais pas de la journée, prétextant vouloir profiter de ma journée d’anniversaire, que j’allais voir ma famille, et tout le blabla qui va avec. Mais rien du tout. Je ne souhaitais pas fêter mon anniversaire, et c’est aussi pour cette raison que je rejoignis Kennedy avec un sourire. Elle n’en savait rien pour mon anniversaire, et je m’en porterais que bien mieux. (…) J’arrivais avec une demi-heure d’avance au Botanical Garden, là où Kennedy m’avait demandé de la rejoindre. Je me posais sur un banc, en attendant que le temps passe. De la musique dans les oreilles je ne faisais pas du tout attention à ce qui se passait autour de moi. J’étais fixé sur mon smartphone, à discuter avec des collègues. Je passais tous les messages me souhaitant mon anniversaire. Je répondrais ce soir, avec un message collectif. Oui, ça peut paraitre méchant, mais j’avais prévenu tout le monde. Seulement, ils ne font qu’être polis. Et si je n’avais eu aucun message, je me serais plaint aussi. A croire que je suis un éternel râleur. Voyant que l’heure arrivait, je me décidais à envoyer un petit message à la belle blonde. Ce n’est pas que je commençais à m’impatienter, mais un peu quand même. « Bouge tes grosses fesses, les miennes commencent à se frigorifier sur ce banc (<3). » Et le petit cœur ce fut juste pour ne pas qu’elle le prenne trop mal non plus. Après tout, je ne sais jamais comment une blonde peut réagir. (…) Ne la voyant toujours pas arriver, je me levais du banc, et me mis à faire les quatre cents pas. J’aurais mieux fait de rester clouer au lit, prétextant être malade. Les mains dans mes poches, je me mis à siffloter l’air des chansons qui passaient dans mes oreilles. Et alors que je ne m’y attendais plus, je vis la silhouette de la blonde arriver. Enfin. J’eus presque l’envie de lui sauter au cou, juste parce que j’étais heureux de ne plus me retrouver seul, à attendre. Mais elle ne méritait pas ce câlin. Je l’embrassais sur ses deux belles joues roses et fraiches. Puis je lui pinçais le nez. « Faut que t’arrêtes de te faire désirer comme ça… t’es en retard de … » Je regardais ma montre « Sept minutes … tu sais y a des gens qui sont morts comme ça ! »  
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Wren Rosenbach
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Wren Rosenbach
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MessageSujet: Re: you like to be beautiful. you like to be beautiful. EmptyVen 3 Avr - 17:33

    Légèrement fatiguée par une nuit éreintante à tous points de vue, la jeune femme ouvre à peine un œil et étalée de tout son long dans son lit, attrape son téléphone. Comme elle s'y attendait, une tonne de messages est en attente dans sa messagerie. Ca l'emmerde profondément et elle n'a qu'une envie, faire valdinguer son téléphone à l'autre bout de la pièce. Sérieusement, un samedi matin, pour une fois, elle ne pourrait pas avoir la paix? Kennedy se démène tous les jours comme une folle pour parvenir à atteindre le meilleur qui soit pour son travail, atteindre l'objectif que sa sœur et elle se sont données. Ces derniers temps, les jeunes femmes n'ont pas arrêté. Entre les rendez-vous professionnels pour décrocher un nouveau contrat cosmétique, ou les shootings photos en tant qu'égérie de telle ou telle marque, la jeune femme est quelque peu exténuée. Elle adore ça, il ne faut pas s'y méprendre. Elle prend son pied que ce soit pour démarcher ses nouveaux contrats ou lorsqu'elle pose devant un objectif. Elle a rencontré des gens formidables d'ailleurs. D'apparence froide et de réputation putassière au possible, Kennedy s'est finalement prise d'amitié pour Eileen Rosenbach, avec qui elle a partagé un shooting photo, qui représentait les femmes à suivre de l'année 2015. Non, vraiment, la jeune femme ne regrette pas un seul instant ces emplois du temps chargés, digne d'un ministre. Résignée, elle attrape son téléphone et fait défiler la liste des conversations. Elle ne s'attarde que sur un message, celui de Kevin qui lui propose un rendez-vous au Jardin Botanique. Se souvenant que c'était l'anniversaire de ce dernier, Kennedy lui répond sans tarder qu'elle le rejoint à quinze heure au jardin botanique. Prenant acte de ce rendez-vous, Kennedy se dit qu'elle peut bien se recoucher encore un peu et prolonger sa nuit si courte à ses yeux. Sauf que sa nuit se prolonge un peu trop. Elle est réveillée à quatorze ans par Talya qui l'appelle de l'autre côté du pays. Lorsqu'elle s'aperçoit de l'heure tardive, Kennedy ne répond pas à sa meilleure amie et décide plutôt de foncer dans la salle de bain se préparer. Quarante cinq minutes. Elle n'a que quarante cinq minutes pour se préparer ce qui représente un temps infiniment faible comparé à ce dont elle a nécessairement besoin. Tant pis. Elle se bouge le cul, s'active aussi vite qu'elle le peut dans la salle de bain. Ce n'est pas que la jeune femme n'aime pas être en retard. Ca, elle s'en fout comme de la première pluie lorsqu'elle ne va pas à un rendez-vous professionnel. Seulement c'est l'anniversaire de Kevin. Et il fait parti des rares personnes en lesquelles Kennedy a vraiment confiance. Des relations, des copines de soirées, édes gens qui se prétendent son ''amie'' elle en a plein. Mais des personnes d'une sincérité envers elle comme Kevin, il n'y en a que peu. Alors Kennedy les chérit d'autant plus et fait de son mieux pour ne pas les décevoir. Aujourd'hui pourtant, elle en est sure, elle va avoir un retard monstre. Fin prête dans son jean Chloé et sa veste Chanel, cheveux relevés en un chignon bun élégamment construit, Kenny regarde avec horaire sa montre et s'aperçoit qu'elle ne pourra pas se rendre à son rendez-vous à pied. C'est bien dommage, elle n'a pas fait son sport de la journée. Tant pis, elle attrape le premier taxi qu'elle trouve et lui donne l'adresse du jardin botanique. C'est dans la voiture qu'elle reçoit un sms de kevin, l'intimant de se dépêcher. Mes fesses sont parfaites et sont en chemin pour te retrouver. Tu n'as qu'à gonfler les tiennes, il parait que le gras ça tient chaud ! qu'elle lui envoie. Point de méchanceté entre ces deux là, simplement une amitié qui les mène à souvent se chamailler et se tirer dans les pattes de la sorte. Finalement elle arrive enfin au jardin botanique et repère immédiatement le policier, qui finit par lui pincer le nez. « Toute femme qui se respecte aime se faire désirer, tu devrais le savoir depuis le temps ! » qu'elle lui dit, le taquinant une nouvelle fois. « Sept minutes de retard? Et tu te plains? Je viens d'exploser mon record. Tu peux demander à ma sœur, elle te dira que sept minutes de retard, c'est comme dix minutes d'avance pour moi . » qu'elle explose de rire. La ponctualité n'est pas sa plus grande qualité, mais elle s'en moque totalement. Si les gens veulent entrer dans la vie de la Ellwood, ils doivent s'adapter à elle et non l'inverse. C'est du moins ce que sa mère lui a toujours répété.

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Kevin F. Tatcher
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Kevin F. Tatcher
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MessageSujet: Re: you like to be beautiful. you like to be beautiful. EmptyVen 17 Avr - 23:31

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Kevin et Kennedy.

Tranquillement assis sur mon banc, je lus le message que Kennedy m’avait envoyé. Je souris. Cette fille me fait toujours rire dans ce qu’elle peut me dire. J’allais lui répondre quand j’effaçais le message. Allez, moi aussi je vais me faire désirer un peu. Je vais arrêter de lui envoyer des textos, et attendre tranquillement qu’elle bouge ses jolies fesses, parfaites selon elle. Je levais ma tête de mon portable, pour regarder si elle arrivait. Mais toujours pas. J’essayais de gonfler mes fesses comme elle me l’avait si gentiment recommandé, mais sans y arriver. Il faudrait que je lui demande comment il faut faire, parce que je ne vois pas du tout comment y arriver. (…) Je fus heureux lorsque je la vis arriver, avec sept minutes de retard. Je les oublierais jamais ces sept minutes, moi. « Je le sais, je le sais. Vous allez moins rire quand on se fera désirer nous aussi, les hommes. » Je n’y croyais pas du tout à mes paroles. Même si on se faisait désirer comme le font les femmes, ça ne ferait jamais le même effet. A croire qu’elles ont ça dans le sang. Puis, c’est plutôt nous, les hommes, qui n’aimons pas attendre. A tous les coups, les femmes, elles, elles se mettraient à faire du shopping en attendant qu’on arrive. « Ah bah super ! Je vais retenir ça. Je vais plus m’embêter à être en avance avec toi alors… » Même si je savais bien qu’elle arriverait tout de même toujours après moi. Elle ferait exprès de prendre son temps juste pour arriver après moi. Ah les femmes. Je posais mon bras autour de ses épaules, et je l’emmenais se balader dans le parc. Je n’en pouvais plus de rester à cet endroit du jardin. J’y suis resté bien trop longtemps pour y rester encore plus, même si c’est en compagnie de la belle Kennedy. « Bon comment tu vas toi ? » Je la regardais, posant mon regard sur le sien. Puis je lui posais un bisou sur la joue. Pour aucune raison particulière, j’en avais juste envie, elle en avait l’habitude. Et elle sait très bien qu’il n’y a aucune ambiguïté avec ces bisous. Ce sont des bisous totalement amicaux, juste de quoi sentir mes lèvres sur sa douce et jolie peau. « A tous les coups tu t’es levée en vitesse toi. Et tu sais comment je le sais ? Parce que t’as encore une marque de l’oreiller sur toi, là… » Je posais mon doigt sur sa tempe. Il n’y avait rien. Mais je la connais, et je sais qu’elle dort le plus longtemps possible dès qu’elle en a l’occasion. Et je la comprends totalement, au vu de son agenda de présidente. Je ne sais pas si j’aurais pu tenir à sa place, et rien que pour ça je l’admire. Malgré tout ce temps occupé, elle arrive à me trouver du temps, et rien que pour ça je l’en remercie. C’est à ça qu’on reconnait les vrais amis.  
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Wren Rosenbach
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MessageSujet: Re: you like to be beautiful. you like to be beautiful. EmptyLun 20 Avr - 22:17

    Evidemment qu'elle va arriver en retard. Après tout, seuls ses rendez vous professionnels sont ceux auxquels la jeune femme est en avance. Dans le privé, c'est une toute autre question. « Arrêtes, tu sais aussi bien que moi que les hommes sont incapables de résister aux femmes. Ils accourent en courant dès qu'on les appelle. » qu'elle rigole face à sa réplique. Si les femmes se font autant désirer, ce n'est absolument pas sans raison, bien au contraire. C'est avant tout car elles peuvent se le permettre, et c'est bien là tout l'avantage. Pourquoi donc ne pas en profiter? Ce serait idiot. Et Kennedy sait parfaitement user de cet avantage. Elle sait comment charmer les hommes, comment se faire désirer pour qu'ils en redemandent, qu'ils soient en constante quête de reconnaissance. Parce qu'après tout, même si les femmes sont bien souvent désespérément amoureuse et capable des plus grosses folies, une fois qu'elles ont un homme dans leur poche, elles sont capables d'en faire n'importe quoi. « Who run the world girl, who run the world girl ! » que Kennedy se met à chanter, histoire de se moquer un peu de Kevin. Elle lui explique alors qu'être sept minutes en retard, ce n'est absolument rien pour elle. Et sa sœur en serait totalement d'accord. « En même temps, quelle idée de venir en avance à un rendez-vous avec moi? Kevin je te jure, tu me tues. » qu'elle lui dit, écrouler de rire devant le sérieux du jeune homme. Sa façon de réagir totalement innocente est adorable et tellement … naïve. Il ne serait pas policier, que Kennedy se demanderait vraiment si le jeune homme a déjà été confronté à la dure réalité de la vie. Ce dernier pose un baiser sur sa joue tout en lui demandant comment elle va. C'est une bonne question après tout. Comment va-t-elle? Elle va bien. Elle pète la forme. « Ca va très bien! Le business se porte très bien et j'ai plein de contrats potentiels, autant te dire que je suis ravie. Et toi comment tu vas ? pas de crimes trop désagréables à gérer? » Elle ne s'attarde pas sur son anniversaire, préférant attendre quelques minutes avant de lui souhaiter. C'est plus marrant lorsque vous faites languir les gens qui n'attendent qu'une chose, qu'on leur souhaite ce jour spécial. Bien sur, Kevin n'appartient pas à cette catégorie. Il n'est pas du genre à idolâtrer son anniversaire. Mais ce n'est pas bien grave, l'attention lui plaira malgré tout, elle n'en doute pas. Voilà qu'il lui sort qu'elle a une trace d'oreiller sur la joue. Immédiatement, la jeune femme sort son miroir et jette un œil sur cette fameuse trace, qu'elle ne trouve absolument pas. « Arrête de dire des conneries, l'espace d'un instant j'ai flippé. J'ai encore été pris en photo sur le chemin, si j'avais eu une telle trace, je n'imagine pas ce que j'aurai pu trouver sur le net ! » qu'elle désespère en pensant à tous ces potentiels commentaires qu'elle aurait pu trouver. Bien sur qu'elle a une fan base très solide, des gens qui la suivent, qui l'admirent, qui l'adulent et à qui elle le rend bien d'ailleurs. Mais en retour, elle sait qu'elle peut se retrouver face à des haineux, des gens atroces capables de lui en mettre plein la tronche pour une seule photo, une seule petite photo. Généralement, ce sont les choses qui l'agacent mais dont elle ne mentionne pas un mot, parce qu'au fond, ça lui passe au dessus de la tête. Fouillant dans son sac, la jeune femme en ressort un petit boitier qu'elle tend à Kevin. « Un petit cadeau d'anniversaire parce que oui bon, Bon anniversaire mon vieux ! » qu'elle crie, sans se soucier un seul instant de ce que peuvent dire ou penser les gens autour. Dans cet écrin est contenu un petit bracelet en argent, simple et efficace, un gucci des plus adorables. Kennedy l'a choisi il y a quelques jours en sachant qu'elle allait voir son ami peu de temps après son anniversaire. Perfect timing pour eux.
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Kevin F. Tatcher
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MessageSujet: Re: you like to be beautiful. you like to be beautiful. EmptyMar 21 Avr - 12:22

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Kevin et Kennedy.

Ah les préjugés sur les hommes... Bien que j’aurais bien aimé que ce soit seulement des préjugés, or ce n’est pas le cas. La blonde avait raison. Nous, les hommes, on pense très souvent non pas par notre cerveau mais parce qu’il y a plus bas. Ce qui fait de nous des faibles face aux femmes. Je l’avoue, et je l’assume. Dès que je suis face à une jolie fille, je peux perdre tous mes moyens, et faire tout ce qu’elle me dit, juste dans l’espoir qu’il puisse y avoir quelque chose entre nous par la suite. C’est con, parce qu’on sait qu’on se fait avoir après, mais on tente toujours le truc. Les femmes l’ont très bien compris, et elles en profitent ces garces. Heureusement que c’était ma Kennedy qui me disait cela, sinon je l’aurais plus mal pris. Mais là, ça me faisait plutôt sourire. C’était vrai, mais je n’allais pas lui donner raison pour autant. Ça lui ferait trop plaisir. Mais je l’arrêterais tout de suite lorsqu’elle se mit à chanter la chason de Beyoncé. Bon, faut pas pousser le bouchon non plus. Je lui mis ma main sur sa bouche. « Chut, il fait beau ! » J’aimais bien Beyoncé, jusqu’à ce qu’elle fasse cette chanson. On en a pris un coup, nous les hommes. Je ne la porte plus dans mon cœur cette chanteuse, ni cette chanson d’ailleurs. Je regardais mon amie qui me demanda quelle idée j’avais eu de venir en avance. Bonne question… « J’ai toujours dans l’espoir que tu sois à l’heure. » Je lui souris, tout en rajoutant. « Puis ça serait un comble si c’était moi qui te tuerais. » Au vu de mon métier. Mais à côté, je ne serais jamais capable de la tuer. Je l’apprécie trop, pour m’accorder son absence dans ma vie. Les amis dans son genre, il faut les garder, et non les faire disparaitre à vie. (…) On se mit à marcher, et en même temps nous nous donnions de nos nouvelles. On ne le fait jamais par messages. Elle n’a pas le temps pour ça, et puis ça serait trop long à tout raconter par de simples petits textos. De même pour moi. Elle peut avoir un agenda très chargé, mais moi de même. Il peut m’arriver de ne voir personne pendant des jours, tellement je suis plongé dans une affaire. Disons que j’essaie de bien faire les choses, et de ne pas passer à côté d’une évidence. Il faut être concentré, et je ne peux pas l’être si je vois des amis à côté. En général, je ne vois même pas ces jours passés, tellement je suis à fond dans mon travail. « Oh quelle star ! Je suis heureux d’entendre ces bonnes nouvelles. » Quant à moi. Bon, ce n’est pas aussi palpitant que la blondinette, mais j’aime ce que je fais, alors oui tout va bien. « Tu ne peux pas imaginer tout ce que je peux voir comme crimes. Surtout que je m’occupe des affaires non élucidées, et c’est très souvent les pires. Mais je ne veux pas en dire plus pour ruiner ton innocence dans ce beau monde. » Continue à vivre ta petite ville de Blonde à New York. Vaut mieux. Moi-même j’ai eu du mal lors de mon premier crime, pourtant à l’école on nous avait bien préparés à tout. Mais lorsqu’on voit que ça arrive en vrai, on s’en prend pleins dans la gueule. Limite on se demande si on veut vraiment faire ça. Oui, j’ai des amis de l’académie qui n’ont même pas fait une journée avant de démissionner et faire autre chose de leur vie. C’est dur. Mais je continue en me disant que je fais justice de ma façon. Je ne suis pas juge, avocat, ou dans le droit, mais je fais le travail avant qu’ils interviennent. Si nous n’étions pas là, ils n’existeraient pas tout ce beau monde. On les aide, on fait le boulot en amont pour qu’ils rendent justice bien comme il le faut. Et ça, ça me motive tous les matins. A chaque fois qu’on me donne une nouvelle affaire, aussi horrible que les autres. Malgré tout cela, j’ai gardé de l’humour, et j’ai espoir qu’un jour notre monde devienne plus beau. Que les gens arrêtent de commettre d’horribles crimes dans ce genre. Bref, je ne voulais pas gâcher notre petite après-midi en lui racontant ce que je pouvais voir. Je préférais la taquiner, et lui faire croire qu’elle avait une grosse trace de son oreiller. Je regardais autour de nous. « Oh merde, je vais être pris en photo aussi alors. » Alors je cachais mon visage sous mon tee-shirt, n’ayant rien d’autre sur moi avec quoi me cacher. Ça ne serait pas la première fois que je me retrouverais sur une photo de Kennedy. Mais c’est toujours en arrière-plan. On ne s’imagine jamais qu’on se connait. Mais cette après-midi, ça pourrait être le cas. Surtout s’ils la prennent en train de me donner un cadeau. Bien entendu, elle le cria, pour que tout le monde aux alentours l’entendent. Elle veut ramener les paparazzis ou quoi ? Si on me voit avec elle, avec ce cadeau, je vais encore plus me faire charrier par mes collègues. J’ouvris tout de même son cadeau, et j’en vis un beau bijou. Simple, discret. Un Gucci. Mais ça coute une fortune ce truc. Normalement ce sont les mecs qui offrent des folies aux filles. Je refermais l’écrin, pour prendre Kennedy dans mes bras, tout en lui murmurant dans son oreille. « T’aurais pas dû… Mais merci, c’est adorable. Tu es adorable. » J’ouvrir de nouveau la petite boite, sortit le bracelet et le donna à Kennedy pour qu’elle me le mette au poignet.  
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Wren Rosenbach
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MessageSujet: Re: you like to be beautiful. you like to be beautiful. EmptyMer 22 Avr - 23:04

    Ces deux là adorent se taquiner dès qu'ils ont en l'occasion, mais c'est justement là ce qui fait la force de leur amitié, et qui leur permet d'être si proche. « C'est beau l'espoir. Il parait que ça fait vivre ! » qu'elle rigole en le taquinant. C'est vrai que leur amitié est assez atypique, hors du commun. Après tout, il est rare qu'un policier devient ami avec une égérie connue dans le monde entier pour son sens aigu de la mode. Ils auraient pu se détester sachant que Kevin l'a arrêté à plusieurs reprises et couvert à chaque fois. Mais au lieu de la détester, au lieu de l'enfoncer dès qu'il en aurait eu l'occasion, il a choisi de la soutenir, de l'aider dès qu'elle en a besoin. En échange, Kennedy est la première à l'aider dès qu'il en a besoin, que ce soit d'un pépin avec un gros bonhomme ou simplement avec un soutien émotionnel à tout épreuve. Ces deux là sont vraiment de très bons amis, envers et contre tout. « Evidemment quelle star ! Tout le monde m'aime avec ma gueule d'ange. » qu'elle rigole tout en secouant ses cheveux, vers l'arrière, comme si elle était dans une pub pour Loréal ou même Maybelline. Toujours dans l'excès et l'apparence la Kennedy. Elle ne sait pas faire dans la simplicité, dans les choses faciles. Ca n'appartient pas à son vocabulaire et n'est pas dans ses pratiques quotidiennes. Mais après tout, que serait Kennedy sans son grain de folie et son excentricité? Ah ce ne serait définitivement plus la Ellwood et ce serait une bien jolie perte. « J'imagine que ça doit être des cas très compliqués et ça doit être dur émotionnellement. Tu fais quoi pour tenir? Je veux dire t'as un rituel peut-être pour te changer les idées? Et ne t'inquiètes pas pour mon innocence. Elle a déjà été brisé il y a belles lurettes quand j'ai perdu Andrew alors tu sais …» qu'elle se contente de dire en haussant les épaules. Kennedy sait bien à quel point ça doit être compliqué pour Kevin de supporter toute cette situation, de supporter tous ces crimes, d'affronter l'horreur de la vie, l'horreur et la connerie des gens. C'est le genre de chose qui doit être compliqué à affronter, à survivre, et Kennedy n'a pas idée de l'ampleur de ce que ça peut être. « Bah bien sur que tu pourrais être pris en photo. Fais gaffe y'en a souvent derrière les arbres. Tu vas voir, ce soir je t'envoie un lien je suis persuadée qu'on aura des photos de nous sur internet, histoire de changer ! » Ce n'est pas comme s'ils n'avaient pas été régulièrement pris en photo ensemble dès qu'ils se baladent ensemble dans la rue. Mais après tout, c'est le prix à payer quand vous devenez célèbre. C'est chiant, c'est agaçant et insupportable, mais malheureusement si vous voulez rester au top, si vous voulez rester à la pointe de la mode et être reconnue comme un modèle, vous devez accepter tout ça. Pour Kennedy, ce n'est pas très grave. Elle a l'habitude depuis tant d'années, et ça ne la perturbe plus du tout. Non, ce qui est vraiment dérangeant, c'est les dommages collatéraux. Comme Kevin par exemple. Il n'a rien demandé à personne et pourtant, il se retrouve pris en photo à contre cœur. Il en va de même pour tous ses amis, ceux qui ne sont pas dans le show business et qui pourtant se retrouve afficher dans la presse people comme si de rien était. Finalement, la jeune femme sort de son sac à main un écrin qu'elle tend à Kevin, sachant pertinemment que ça le touchera. Il n'a pas l'air d'être friand de son anniversaire, c'est indéniable, alors que Kennedy adore ça. Finalement, Kennedy essaie de lui transmettre sa passion pour les anniversaires au travers de ce cadeau qu'elle lui fait. Evidemment qu'elle lui a fait un cadeau, il ne pouvait en être autrement, et visiblement, le jeune homme a l'air heureux. « Bien sur que j'aurai du. Evidemment que je devais t'en offrir un. Tu aurais fait la même chose pour moi. Et puis, c'est un plaisir pour moi de te faire plaisir et ce n'est pas tous les jours qu'on fête son anniversaire. » La jeune femme le prend dans ses bras, et c'est à ce moment là que des flashs et des crépitement se font entendre. Evidemment qu'ils arrivent à ce moment là, evidemment qu'ils débarquent au moment où Kennedy prend son ami dans ses bras. Ca l'emmerde profondément parce qu'évidemment, ça va jaser. Alors la jeune femme décide d'en jouer et regardant l'objectif, elle pose un baiser sur la joue du jeune homme tout en prenant son visage entre ses mains. Elle agite ensuite sa main vers eux en guise d'aller dégager le spectacle est fini. « Bon et bien comme convenu, tu auras ce soir un exemplaire de ta photo. Tu vas te faire charier au travail demain, bon courage ! » elle rigole en disant ça même si elle a conscience que c'est la vérité. Elle finit par attacher le bracelet sur le poignet du jeune policier. « Et bien c'est ce qu'on appelle un cadeau qui te sied à merveille. » Qu'est-ce que Kennedy ne ferait pas pour ses amis …
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Kevin F. Tatcher
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MessageSujet: Re: you like to be beautiful. you like to be beautiful. EmptyVen 1 Mai - 18:12

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Kevin et Kennedy.

Kennedy et moi c’est un peu une amitié improbable. On s’est connu par hasard. C’était d’abord pour le boulot, et de fil en aiguilles, une amitié s’est créée. Une vraie. Très vite mon boulot est devenu envers elle est devenu comme un instinct. Je ne souhaitais plus qu’elle paie quoique ce soit pour que je la protège. Non, parce que je le faisais par envie. Je souhaitais être là pour elle, et qu’il ne lui arrive rien. Et s’il n’y avait pas eu ce boulot, on ne se serait surement jamais connu. Comment aurait-on pu avoir cette chance ? Un policier et une femme dans son genre ? Rien ne nous rejoint. Elle n’est pas du tout le genre de femmes que je fréquente normalement. Alors, oui, j’ai tendance à croire que si on s’est rencontré ce n’est pas pour rien. Cette amitié n’est pas rien. Je dois bien l’entretenir. Pas seulement Kennedy, mais cette amitié. Je n’en trouverais pas comme ça à tous les coins de rue. « Je sais bien. C’est pourquoi je mets une cuillère d’espoir dans mon café tous les matins. Et regarde-moi, je suis beau et je fais pas du tout mon âge. Je vais vivre vieux, et tu vas devoir me supporter encore longtemps. » Je vais sur mes 30 ans, et il est vrai que je ne les fais pas. En regardant mon beau visage, ou encore mon corps, on ne se dit pas en premier lieu que je suis dans la trentaine. Et j’en suis bien heureux. Qui plus est, ça le fait mieux pour Kennedy. Elle n’a que 24 ans cette petite. Ah, elle me tuerait si elle lisait dans mes pensées. Elle est loin d’être petite. Non, c’est une grande femme qui joue dans la cour des grands. Je souris lorsqu’elle dit que tout le monde ne pouvait que l’aimer, au vu de sa gueule d’ange. Je n’ai pas besoin de lui envoyer des fleurs, elle le fait toute seule. Mais elle a le visage et la vie pour le faire. Elle a tout pour plaire cette femme, alors bien sûr qu’elle peut se la péter un peu. Du moment qu’elle ne le fasse pas trop non plus. Alors, là, je la remettrais vite fait sur le droit chemin. Je ne souhaite pas qu’elle prenne la grosse tête, et j’imagine qu’elle ne le souhaite pas non plus. « Ce que je fais ? Je pense à toi, et ça va tout de suite mieux. » Lui dis-je sur le ton de l’humour. « Non sérieusement, j’hésite pas à en parler à mes collègues. La communication c’est ce qu’il y a de mieux. Et si c’est trop dur d’en parler aux collègues, je vais voir le psychologue qui est là pour nous. » Au début, nous sommes tous sur la réserve quant à parler de ce que l’on ressent vis-à-vis de nos enquêtes. Seulement, c’est ce qu’il y a de mieux pour tenir. Ça ne sert strictement à rien de garder tout pour nous, parce qu’à la fin ça va finir par nous ronger de l’intérieur, et alors là, il n’y aura plus de retour en arrière. « Andrew ? Andrew comment? » Juste voir si je connais cet Andrew, même si j’imagine bien qu’il y en a plusieurs dans cette grande ville qu’est New York. Je ne savais pas vraiment ce qu’elle voulait dire par ce qu’elle avait dit, et j’hésitais à poser des questions. Ce qu’elle avait dit pouvait dire tant de choses, et au fond, est-ce que je souhaitais vraiment en savoir plus ? (…) Et alors que je ne m’y attendais pas du tout, elle m’offrit un cadeau, pour mon anniversaire. Arf, j’aurais mieux fait de rester dans mon lit. Surtout si c’est pour après me faire prendre en photo. Merci Kennedy. « Oh que oui je vais me faire charrier, et tu sais pourquoi ? » Lui demandais-je en la regardant dans les yeux. « Parce que je n’ai eu le droit qu’à un bisou sur la joue, et pas à un vrai bisou. » Non pas que je souhaite avoir ce genre de contact avec Kennedy, je ne veux pas gâcher une telle amitié. Seulement mes collègues, eux, ne le voient pas comme ça. Mais au fond, qu’est-ce que j’en m’en fous. « En plus, ils m’ont pris par le mauvais profil. Tu crois qu’on pourrait leur demander de refaire les photos ? » Je me mis à rire. Et bien oui, je peux être comme elle. A faire attention à comment on me prend en photo, à l’image que je renvoie. Il n’y a pas que les femmes qui peuvent faire attention. Nous aussi les hommes on aime bien être beau, et paraitre beau sur les photos. « C’est vrai qu’il est sublime. Tu as très bon gout. » Que je lui répondis en souriant.  
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Wren Rosenbach
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Wren Rosenbach
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MessageSujet: Re: you like to be beautiful. you like to be beautiful. EmptyMar 5 Mai - 20:28

    « Une cuillère? Tu peux y mettre une louche mon vieux, sinon crois bien que ça ne fonctionnera pas comme tu le veux ! Et merde, tu vas m'emmerder encore longtemps alors? Such a shame ! » qu'elle rigole en le taquinant. Il la fait rire avec son humour à deux balles. Parfois les gens cherchent des blagues élaborées, un peu trop et se plantent en beauté. Kevin lui, est à mourir de rire dès qu'il ouvre la bouche, et c'est ce qui plait à Kennedy, le fait qu'il ne se prenne pas la tête, qu'il soit simple et terre à terre. Et il en rajoute une couche lorsqu'ils abordent un sujet difficile et sensible, celui de son travail. En fait, voilà son véritable exutoire. Son humour. Sans ça, il n'aurait jamais pu tenir toutes ces années et ne pourrait vraisemblablement pas tenir jusqu'à sa retraite. Il est impressionnant, vraiment. Et pourtant, la jeune femme n'est pas facilement impressionnable. « Ah, il paraît que je suis l'exutoire de beaucoup d'hommes. » qu'elle rigole face à sa réflexion. Ce n'est pas un mensonge loin de là. Beaucoup d'hommes rêvent de la jeune femme, la faute à ses nombreuses photos en tant qu'égérie. « Oui j'imagine que c'est la seule solution. Mais heureusement, tu as l'air d'avoir de bons collègues. Enfin j'imagine, parce que si tu n'avais pas de bons collègues, tu ne parviendrais pas à leur parler. » qu'elle se contente de répondre en haussant les épaules. Et voilà qu'elle a abordé sans le vouloir le sujet Andrew. Bordel pourquoi elle a parlé de lui? Elle déteste le mentionner parce que cela amène à trop de questions à son goût et surtout à une certaine gêne. « Andrew Walton. Tu… tu le connais? » Bon dieu qu'elle espère qu'il ne le connait pas. S'il ne le connait pas, Kevin s'arrêtera de poser des questions et amen. Parce que la jeune femme n'a vraiment pas envie de parler de lui, pas dans ces conditions. D'autant qu'aujourd'hui, si elle désirait d'être à ses côtés pour son anniversaire, c'était aussi pour ne pas avoir à penser à Andrew, pour ne pas avoir à se remémorer leur conversation houleuse en plein cinquième avenue. Mais après tout, New York est une ville si immense, que la probabilité est infime. « Si ce n'est que ça, on peut toujours s'arranger. » Et sur ces mots, la jeune femme l'embrasse à pleine bouche devant les photographes, sans se prendre la tête. pourquoi le ferait-elle? Elle sait que ça va faire le buzz, et que les amis de Kevin vont lui en vouloir clairement. « T'inquiètes pas. Je pense qu'avec ces photos là, ton profil devrait être parfait. Je veux une vidéo de la tête de tes amis quand ils verront les photos d'accord? » qu'elle rigole en imaginant la tête de ses amis. Elle voit déjà le scandale de sa mère venir. C'est certain, sa momager de mère va très certainement lui en mettre plein la tête d'avoir agit ainsi, d'avoir été si spontanée et si folle. Ca va encore la faire râler et au fond, c'est un peu ce que cherche Kennedy. Elle en a marre de sa mère, du fait qu'elle régisse autant sa vie. Alors si elle veut être spontanée et hystérique, elle le fera, grand bien lui fasse. « Evidemment que j'ai bon goût pardi. Je te rappelle que je suis dans la mode mon vieux. » qu'elle rigole. Elle se lève et prend Kevin par le bras, commençant à marcher quelques pas. Les photographes les suivent un peu et elle les salue brièvement d'un sourire angélique et d'un signe de la main. Son téléphone finit par vibrer et elle regarde. Une alerte twitter. Quelqu'un a déjà été posté où se trouvait la jeune femme avec son supposé nouveau petit ami. « Et bien j'espère Kevin que tu es prêt pour la célébrité, on parle déjà de toi sur internet. » Elle lui tend le téléphone pour lui montrer les commentaires en même temps qu'elle continue à avancer de quelques pas. Kennedy, elle s'en fout, elle a déjà l'habitude de ce genre de choses, et ça ne l'a jamais perturbé. Mais pour Kevin, elle ne sait pas ce qu'il en est, bien loin de là. Va-t-il l'accepter ou va-t-il être agacé?
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Kevin F. Tatcher
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MessageSujet: Re: you like to be beautiful. you like to be beautiful. EmptyMer 13 Mai - 0:50

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Kevin et Kennedy.

musique Il faut l’avouer : je suis un homme qui joue énormément de l’humour. Même lors de conversation sérieuses, pour les rendre un peu moins sérieuses. Mais à côté de cela, si on a vraiment besoin d’un Kevin sérieux, je sais l’être. Je peux l’être tellement, que la première fois, les gens n’y croient tout simplement pas. Comment un blagueur de mon genre peut devenir aussi sérieux que cela ? C’est des années d’expérience. J’étais toujours usé de mon humour. Quant au sérieux, je l’ai amélioré depuis que je travaille. Il faut dire que devant des criminels, vaut mieux être sérieux pour se faire respecter. Elle me demanda alors comment je faisais pour tenir face à mon travail difficile. Ce qui la fit dire qu’elle était l’exutoire de beaucoup d’hommes. Je la regarde, et je comprenais totalement. Si je ne la connaissais pas, elle aurait pu être une sorte de fantasme. Il faut dire qu’on voit de temps en temps des photos d’elle dans la rue, et énormément sur internet. J’aurais pu rêver d’elle, et espérer me trouver une femme comme elle. Mais maintenant que je la connais, je sais que je ne pourrais jamais être avec une femme comme elle. Ni à cause de son physique, ou de sa personnalité. Mais à cause de notoriété. Je serais trop jaloux. Elle me convient parfaitement en amie. « Ah non… je pensais à un autre Andrew que je connais, mais il faut dire qu’il y a beaucoup d’Andrew dans New York. » Combien y avait-il de chances pour qu’on parle du même Andrew ? Très peu. C’est un prénom tellement courant. Et alors que je ne m’y attendais pas, elle m’embrassa. Durant ce baiser, j’entendis de nombreux clics d’appareil photo. Une fois que nos bouches furent séparés, la première chose que je dis fus « C’est bon, je peux mourir maintenant. » Comme si un petit baiser de la belle blonde suffisait à ma vie. Ma vie était refaite. Mes collègues allaient me jalouser à mourir, et les autres garçons aussi. J’allais surement mourir oui, de jalousie. « Je te ferais cette vidéo. Je mettrais même la photo à l’entrée du commissariat pour que tout le monde la voit ! » Je me fais tellement charrier, que je souhaitais un peu les rendre jaloux. Parce que oui, s’ils me charrient autant c’est parce qu’ils sont jaloux que je sois son ami. Combien de fois m’ont-ils demandé de la leur présenter. Dans mon cul oui. C’est ma Kennedy, je ne la donne pas aussi facilement. Notre balade continua après qu’elle m’ait donné mon cadeau. Et à peine quelques minutes passèrent qu’apparemment on parlait déjà de moi sur le net. Bon, demain, on sera sur les premières pages des magazines people. Je pris le portable de la jeune fille pour apercevoir le tout. « Je ne savais pas que ça allait aussi vite … je suis surpris ! Et dire que tu vis tout ça tous les jours… » Pour le coup je me rendis compte que ça ne devait pas être aussi facile que ça. Autant lorsqu’on veut qu’on nous voit pour faire de la publicité, c’est parfait. Mais lorsqu’on veut partager des moments privés, comme celui-ci, mais que c’est de suite mit de notoriété public, ça ne doit pas être aussi facile que ça. « On m’oubliera vite fait, je ne me fais pas ça. J’espère juste que tu n’avais pas un homme en vue… sinon ça risque de gâcher toutes tes chances. » Parce que oui, va expliquer à un homme que c’était juste pour rendre jaloux les collègues de l’homme embrassé. Au pire, j’irais le voir moi-même pour le lui dire. Mais pour cela, il faudrait qu’elle ait quelqu’un en vue. Pour le coup, j’étais une vraie fille, et je voulais entendre la réponse. 
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