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parce que pour vivre, il faut se jeter dans le vide. (camélia & jayan)

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MessageSujet: parce que pour vivre, il faut se jeter dans le vide. (camélia & jayan) parce que pour vivre, il faut se jeter dans le vide. (camélia & jayan) EmptyMer 10 Déc - 11:32


Quelqu’un a agrippé mes coudes avec ses mains, et a rétabli mon équilibre. Ses mains ont apporté une sensation de fraîcheur à ma peau brûlante, et cette présence derrière moi était comme une chose solide, un mur où m’appuyer et qui ne céderait pas. J’ai tourné la tête. Et c'était elle. .camélia & jayan
( ♫ )

New-York et la nouvelle vie de Jayan. Une nouvelle page qu'il écrivait depuis plusieurs mois, depuis son départ annoncé de l'université de Berkeley. Et finalement, tout se passait comme il le souhaitait. La place qu'il avait décrochée, était la place rêvée pour lancer sa carrière, pour apprendre les bases du métier et les développer. Jayan était passionné par son emploi du temps. Il n'y avait aucun doute là-dessus. Il était tombé amoureux de cette ville et surtout, il savait pertinemment où il allait. Tout était plus clair, tout était plus concret depuis qu'il avait fait ce choix. Un sentiment qui lui procurait énormément de bonheur. A côté bien sûr, des visites de Reagan, des sorties avec Adriel, des cartes postales envoyées par Lily et de ses derniers coups de fil échangés avec Camélia. Le jeune homme avait finalement obtenu son avant goût de la vie parfaite. Il était aux anges et personne ne pouvait avoir la force de le faire tomber de ce nuage. Debout tôt et couché tard, le jeune homme enchainait les heures au bureau. Il préparait les prochaines élections aux côtés des plus grands. Il observait et il les respectait. Dans ce bureau de politiciens, le jeune homme avait trouvé un mentor. Jamais, il n'avait songé à cette possibilité et pourtant, c'était arrivé. Comme si Jayan était destiné à être à cette place, à être sur cette voie. Un destin qu'il voulait chérir jusqu'au bout. Pour ne rien regretter, il se donnait donc tous les moyens pour avancer et pour également se faire remarquer. Et s'il lui arrivait de trébucher, il se relevait. Jayan remettait en place son costume hors de prix et il souriait. Il était comme ça depuis son arrivée à New-York. Il était fort. Rien ne pouvait l’abattre. Du moins, c'était avant de croiser le chemin de cette belle brune. Celle qui avait marqué son être jusque dans sa chair, Camélia. Cela faisait également quelques mois, qu'elle vivait dans cette ville. Enfin, cela il le savait uniquement parce qu'ils échangeaient des messages à longueur de temps, pour des détails, pour s'assurer que tout allait bien ou encore pour se dire bonne nuit. Ils n'avaient en fin de compte, jamais cessé de s'attacher. Peu importe la distance qu'il pouvait y avoir entre eux. Cette jeune femme avait toujours eu cette place particulière. Il avait toujours été charmé par elle. Dans le plus grand des secrets, il l'avait toujours aimé. Alors, en la croisant par hasard, Jayan ne savait pas de quelle manière réagir. Il devait être presque vingt-deux heures. Elle devait sans doute rentrer. Secouant la tête, le jeune homme réalisait qu'ils n'avaient jamais forcé le destin. Vivant dans la même ville depuis plusieurs mois, ils n'avaient jamais pris ce risque. Et pourtant, à cet instant précis, il se sentait bien idiot. Son sourire. Son regard. Ses cheveux. Son parfum. Elle était sa perfection. Pendant cette fraction de seconde, il réalisait qu'elle était la femme de sa vie. Celle avec qui, il pourrait vieillir. Ne lui demandé pas comment, ni pourquoi, il ne le savait pas. C'était comme ça, c'était elle. La jeune femme réveillait tous ses sens. Elle lui faisait perdre le nord. Elle le rendait vulnérable, sans même en avoir conscience. C'était le coup de foudre de sa vie. Jayan le savait mais, ils n'avaient jamais trouvé le temps de se poser, pour concrètement en discuter. Ils ne l'avaient jamais fait parce qu'il ne faut pas essayer de contrôler cette émotion, cet amour aussi particulier soit-il. Jayan aimait les choses naturelles. Il aimait laisser le temps gérer pour lui et peut-être qui sait.. Il était là ce temps. C'était ce moment. « Salut.. Comment vas-tu ? »  osait-il donc prononcer, brisant ce silence dans lequel ils s'étaient plongés. « Non non oublie ça, je suis idiot. Je te l'ai déjà demandé ce matin, je me souviens. » répliquait-il en sortant son portable de sa veste. En effet, Jayan n'avait pas besoin de lui poser cette question. Ils avaient déjà échangé plusieurs messages, tout au long de cette journée. Ils avaient parlé de tout et de rien. Ils avaient évoqués quelques souvenirs. Seulement, le jeune homme réalisait qu'ils en avaient oublié une flopée. Vous me direz qu'il était compliqué de revenir sur le passé, à travers quelques mots. Il était compliqué de revenir sur le premier regard échangé à Berkeley. Le premier rapprochement après la fusillade et le baiser poser avec délicatesse sur le front de Camélia. En passant évidemment par leurs querelles et leurs réconciliations. Sans oublier leurs départs et leurs grands retours. Le baiser dans l’ascenseur et sans aucun doute sa plus grande déclaration. Les jalousies et les peurs. Les sentiments et les rancœurs. Ce soir, Jayan se sentait poussé des ailes. Face à cette jeune femme, il réalisait l'importance du présent et de ces moments qu'on ne devait pas laisser filer. Aussitôt pensé, aussitôt proposé.. « Est-ce que tu fais quelque chose, parce que j'allais justement manger. Alors, si je pouvais t'inviter.. Enfin, ça me ferait énormément plaisir. » finissait-il par avouer. Après tout, ils avaient encore la nuit pour en profiter. Au fond de lui, il avait toujours attendu cet instant. Depuis son arrivée dans la grande ville, il avait essayé de l'imaginer. Il en avait rêvé de nombreuses nuits, de ces retrouvailles et de cette proximité. D'ailleurs, si ça n'avait été que lui, Jayan serait déjà en train de l'embrasser. Il ne l'inviterait pas à diner, il se satisferait de la kidnapper. Il essayerait déjà de rattraper tout ce temps qu'ils avaient gaspillé, entre leurs chassés croisés sentimentaux. Il lui avouerait simplement et uniquement que pour lui rien n'a changé et qu'elle reste la première. Camélia était la première femme qu'il aimait de cette manière, sans pouvoir trouver les moindres mots. Il ne pouvait pas l'expliquer, le délimiter.. Non, non, cet amour n'avait aucune frontière pour lui et c'était de là que naissait toute la magie entre eux. C'était parce qu'il ne forçait pas le destin. Ils savaient au fond d'eux qu'ils étaient destiné à se retrouver et ça leur convenait parfaitement. Savoir que quoi qu'il arrive, ils seraient ensemble. Ils finiraient pas partager la même vie. Le jeune homme s'en approchait donc, revenant à lui, revenant directement à New York. Il lui tendait la main, en guise de seconde question. Camélia n'avait qu'à la saisir et ils pourraient partir, profiter de cette soirée qu'ils avaient tant attendue. Celle qui marquerait l'intersection de leurs propres chemins..« Et tu es magnifique. Vraiment. » Quelques compliments. Il fallait s'y attendre. Jayan n'avait rien perdu de ses bonnes manières. Il avait peut-être changé de ville, changé de vie, il restait un parfait gentlemen. Il demeurait ce gendre idéal aux premiers regards et plus secrètement, il préservait l'amant passionné qu'il pouvait être. Plongé dans ses prunelles, il ne pouvait plus enlever ce sourire de ses lèvres dessinées avec perfection. Il souriait en connaissance de cause. Il souriait parce qu'elle était là et parce que cette fois-ci, il n'y avait qu'eux. Personne pour venir redistribuer les cartes, pour les éloigner ou les confronter. Non, ils n'étaient que deux. Deux à pouvoir choisir une suite, une direction. Ils étaient réunis et aucun élément ne pouvait à nouveau les repousser. Ils étaient les maitres de leur destin, les capitaines de leurs âmes.
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MessageSujet: Re: parce que pour vivre, il faut se jeter dans le vide. (camélia & jayan) parce que pour vivre, il faut se jeter dans le vide. (camélia & jayan) EmptyVen 20 Mar - 23:59

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parce que pour vivre, il faut se jeter dans le vide. (camélia & jayan)

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