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Some people never go crazy, what truly sad life they must have?

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Stana N. S. Dickens
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Stana N. S. Dickens
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MessageSujet: Some people never go crazy, what truly sad life they must have? Some people never go crazy, what truly sad life they must have? EmptyVen 21 Nov - 23:30

I know what it is like be afraid of your own mind.
ft. Esteban K. Costa-Nguyen & Elzbieta Strauty ♡
Ce soir, je passais ma soirée avec Esteban. Cela faisait du temps qu’on ne s’était pas accordé une soirée rien que tous les deux. Il est vrai que nous étions tous les deux occupés chacun de notre côté. Lui avec sa Sara là. Et moi avec mon cher Mael. On s’est un peu délaissé, sans pour autant s’oublier. Après tout, je n’oublierais jamais mon infirmier attitré. Les hommes sont rares dans ce métier, alors quand on en voit un on est heureuse. Surtout si celui est mignon, et qu’il vous prend en charge. J’avais cette chance : d’être prise en charge par un charmant infirmier. Je pensais alors que notre relation en resterait professionnel. Après tout, il n’est pas recommandé aux infirmiers de se lier d’amitié aux patients. Pourtant, cela ne semble pas vraiment le déranger avec moi. Mais moi non plus. Comment dire non à un aussi joli jeune homme. Pour cette soirée, nous avons fait jouer la chance. Nous avions tous les deux une idée en tête pour le lieu où allé. Et c’est moi qui ai gagné. Je lui ai demandé de bien s’habiller, pour brouiller un peu les pistes. Alors que là où nous allons, il n’y a pas besoin d’être bien habillé. C’est juste que j’aie eu envie de le voir bien habillé. J’en profite un peu ? Surement. Mais pourquoi pas après tout. Si j’en ai l’occasion. Puis après tout, il n’était pas le seul à bien s’habiller. J’ai sorti pour l’occasion une belle petite robe. Bien que je ne porte presque que de ça : des robes. Mais celle-ci, je l’aime bien. Elle est un peu fleurie, dans les tons de rouge. Ça change un peu des couleurs que peuvent mettre les gens en ce moment. Que des couleurs monotones, à cause de l’automne. C’est déprimant. Moi j’égaie un peu tout ça, avec mes petites robes estivales.

J’avais donné rendez-vous à Este, en plein dans l’allée des grecs. C’était plus simple ainsi. Puis après tout, c’était là qu’on allait passer la soirée. Dans le sous-sol des gammas. Merci Ebony qui m’a fait visiter une fois. C’est plutôt sympa pour passer une soirée dans la dérive. Je le vis arriver, habillé d’une chemise blanche plus une veste noire. Tout en beauté. Je souris à sa venue. Je lui tapais la bise, pour enfin lui mettre un foulard sur les yeux. « Laisse-toi guider par mes douces mains. » Puis je lui pris sa main pour la mettre dans la mienne, et le guider. Après quelques minutes de marche, on arrivait à destination. Je lui retirais donc le foulard des yeux. Je ne savais pas trop s’il était déjà venu ici, mais je ne pensais pas. Après tout, pourquoi un Alpha viendrait ici ? Si j’avais été encore chez les alphas je ne pense pas que j’aurais pu mettre un pied dans ce lieu. Je n’aurais même pas connu Ebony je pense. Je retirais le manteau que j’avais sur moi, pour dévoiler ma belle tenue. Je le déposais dans un coin, et je m’assis par la suite. Je regardais Este, et je commençais directe à le taquiner. « Sara sait que t’es là avec moi ? » Ah le sujet qui fâche.



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MessageSujet: Re: Some people never go crazy, what truly sad life they must have? Some people never go crazy, what truly sad life they must have? EmptySam 22 Nov - 15:49

Dans chaque relation, il vient un point où la plus grande peur est de perdre l'autre au profit d'un autre. Que ce soit de l'amour, de l'amitié, une passion dévorante ou une haine incendiaire, il vient toujours ce moment où on se demande si l'on est aussi important pour l'autre qu'il est pour nous. Chaque jour de sa vie, Esteban était pourtant convaincu d'une chose, il tiendrait toujours plus aux autres qu'eux ne tiendrait à lui. C'était ainsi. Il tenait énormément à sa famille quoi qu'il en dise, pour lui, ils étaient tout ce qui lui restait de vrai. Ses amis étaient son autre famille, mais il savait que rien, rien, ne pourrait remplacer son frère et sa soeur. Il essayait pourtant, encore et encore, mais il ne pouvait pas. Il n'arrivait pas. Surtout avec Elijah, son jumeau. Alors, quand Elzi lui a proposé qu'ils se voient dans un endroit secret, il n'a pas hésité. Elle était une personne en or et depuis qu'il voyait de plus en plus Sara et l'histoire avec Ellie qu'il protégeait énormément, il n'avait plus vraiment eu le temps pour elle, et il en était désolé. Elzbieta était une ancienne patiente en cardiologie et Esteban avait été son infirmier attitré pendant un long moment. Ils avaient noués de fort lien et ça aurait pu déraper de manière simple. Mais Esteban était partit en Australie durant les vacances d'été et n'avait pas suivis la relation, préférant se consacrer à une famille brisée. Alors, il était là, dans l'allée des grecs, habillé avec son costume Hugo Boss et ses chaussures Jimmy Choo. Il avait beau ne pas vouloir un héritage, il aimait tout de même être très bien habillé quand il le fallait. Tous les jours il se traînait dans des vêtements de sous marques, qui n'avait qu'un usage, caché sa nudité. Mais lorsque l'occasion se présentait, il ne lésignait pas sur le nombre de zéro. Alors, il était là, fidèle au poste, en compagnie de son amie, présidente des sigmas. Entre eux, le jeu de séduction n'avait jamais vraiment fini. Il fallait dire aussi qu'avec ses cheveux blonds et sa peau de porcelaine, elle frappait avec une douceur incomparable. Et Esteban, ses yeux bleux verts et son sourire charmant, n'était pas en reste dans ce jeu. Laissant la jeune femme lui bander les yeux avec douceur, il se laissait guider, il la laissait mener la danse, le conduire dans un endroit sans doute inconnu. Il ne connaissait pas les moindres recoins de l'université et encore moins du campus vu qu'il passait le plus clair de son temps dans sa chambre ou à la bibliothèque pour étudier. Ils marchèrent quelques minutes, montèrent des marches abruptes, descendirent d'autres. Il sentit le froid de l'automne faire place à une douce chaleur ambiante, comme si ils étaient entré dans une maison ou un sous sol très bien chauffé. Esteban était curieux, en bon scientifique qu'il était, il voulait savoir où il était et il ne manqua pas de le faire savoir. Elzi, où est-ce que tu m'emmènes dis moi ? Il n'était pas inquiet. Il savait qu'elle ne lui ferait pas de mal ou ne l'emmènerait pas dans une espèce de rave où il ne se souviendrait de rien le lendemain. Mais il voulait savoir. En quelques minutes, ils arrivèrent à destination. Le sous sol de Gammas. Comment il le savait en étant un bel et fier alpha ? Demander à la doyenne de la confrérie. Ebony l'avait traîné une ou deux fois ici quand elle en avait marre de le voir plongé H24 dans ses bouquins de médecine. Elzi enleva son manteau et Esteban, sa veste, le laissant en chemise blanche et cravate noire fine. Tu es très jolie. Il s'installa sur un des fauteuils la voyant se mettre à l'aise elle aussi. Il s'attendait à autre chose, c'était certain. Mais rien que d'être avec elle lui faisait plaisir. Elzi par contre, voulait directement attaquer avec les festivités et lui demanda une question qui lui brûlait certainement les lèvres depuis leur retrouvailles. Rien. On s'est juste embrassé une ou deux fois et revu à l'occasion. Il était agacé qu'elle lui pose cette question sachant qu'elle même flirtait avec le bras droit des omegas. Un omega. Elle aurait pu choisir mieux selon Esteban. Et toi avec le fêtard de service, Maël, c'est ça ? En général gentil et avenant, quand on l'agaçait, le mexicain devenait rapidement froid et distant. Dépêche toi de réchauffer l'atmosphère Elzi, sinon, ton ami va être si froid qu'il sera difficile de le réchauffer.
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Stana N. S. Dickens
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MessageSujet: Re: Some people never go crazy, what truly sad life they must have? Some people never go crazy, what truly sad life they must have? EmptyVen 28 Nov - 21:08

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C’est certain que j’aurais pu l’emmener dans un autre endroit. Seulement je voulais l’emmener dans un lieu plutôt secret. Un endroit où je serais sûr qu’on soit que tous les deux. Je ne voulais pas voir Sara débarquer. Ou encore Maël. Je ne connaissais pas personnellement Sara, mais je ne l’aimais déjà pas. Tout comme les autres filles qui peuvent s’approcher de trop près d’Esteban. Pourtant nous ne sommes pas ensembles, et j’en suis encore moins amoureuse. C’est comme ça tout de même. Je n’aime pas l’idée de le savoir avec d’autres filles. Une autre alpha qui plus est. L’ancienne Elzbieta aurait pu tomber littéralement amoureuse de lui, mais pour maintenant, je le trouve trop sage. L’emmener ici c’était aussi une façon de le tester. « T’en fais pas, je ne t’emmène pas dans ma cave… » Juste dans celle des Gammas. Je ne sais pas vraiment ce qui est le pire. Et lorsque je vis son regard en lui enlevant le foulard, je souris. L’endroit ne lui semblait pas totalement inconnu. Il est déjà venu ici. Ah bon ? Il me surprend bien pour le coup. Et je le serais encore plus si je savais que c’était la même personne qui l’avait emmené ici que pour moi. A croire qu’Ebony aime cet endroit. La coquine. Ça me fait penser que ça fait longtemps que je ne l’ai pas vue. Il faudrait que je la revoie, pour un dernier petit coup. Avant que ça aille vraiment plus loin avec Maël. « T’es déjà venu ici toi ? Qu’est-ce qu’un Alpha peut bien faire là ? Tu m’expliques ? » Ma curiosité est toujours la plus forte. Je ne peux pas m’empêcher de lui poser la question. Je veux savoir. Car moi en tant qu’Alpha je n’aurais jamais osé mettre un pied dans un tel endroit, c’est trop glauque. Je retirais alors mon manteau, et le bel homme me dit que j’étais jolie. Ce qui eut le don de me faire rougir. Je baissais la tête, passant une main dans mes cheveux, et lui répondre « Merci. » Bon au moins, j’ai réussi à me faire belle. C’est l’essentiel, mais c’était surtout le but. Une fois que les rougeurs furent parties hors de mon visage, je le relevais pour le regarder, et lui envoyer un petit « Toi aussi… t’es beau ! » Et c’est surement à cause de cette gêne que je lui posais directement des questions sur cette fille-là : Sara. Qu’il a embrassé. What ? Et quoi ? Deux fois en plus. Je poussais un gros râle. « Ouais c’est une *bip* quoi ! » Et c’est moi qui dis cela, alors que j’ai embrassé Maël, une fois bourrée. Je ne m’en rappelle même plus. Mais la jalousie me fait parler, et dire des choses pas très gentilles. Elle avait eu droit aux lèvres du jeune homme, et moi pas. Mais où va le monde ! Je posais mon regard sur ses belles lèvres, avec grande envie. Mais passer après une autre : non merci. « Eh bah quoi ? Tu veux savoir le prénom du mec qui va te casser la tronche s’il me savait ici ? » Je dis cela alors que je ne sais même pas si Maël ferait quoique ce soit. Après tout, nous sommes encore loin d’être ensembles tous les deux. Mais j’avais envie d’emmerder Esteban, et lui montrer qu’un homme était là pour moi, que j’étais protégée. Par un Oméga qui plus est. « Moi j’ai pas besoin d’avoir peur. Tu veux qu’elle me fasse quoi ta chérie ? » Je restais un peu éloignée de lui, continuant à le chercher. Je savais que si je continuais ainsi la soirée ne se passerait pas comme je le voudrais. Mais je voulais qu’il comprenne que je n’aime pas l’idée de le savoir avec d’autres filles. Qu’il devienne gay tiens ! Là, je n’aurais aucun problème avec ça.



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MessageSujet: Re: Some people never go crazy, what truly sad life they must have? Some people never go crazy, what truly sad life they must have? EmptyLun 1 Déc - 22:33

La jalousie est un vilain défaut. Il vous ronge de l'intérieur, vous dévore, vous donne envie de tout briser autours de vous afin que chaque personne présente ressente cette émotion dévorante. Esteban ne la ressentait que rarement cette émotion, il mettait un point d'honneur à être une personne intègre, le plus humble possible. Il était bien sur un homme avec des désirs et des envies, des péchés et des mauvaises actions, il n'était pas parfait sous toute couture mais il aspirait à l'être. Son coeur de bienveillant lui donnait envie d'être une personne dont il serait fière plus tard, une personne qui saurait montrer l'exemple et que ses enfants auraient de suivre, de prendre son chemin. Pas comme son père, menteur et manipulateur. Il voulait aspirer à plus que cela. Suivant son amie dans cet endroit secret pas si secret que ça, il se demanda comment le reste de la soirée allait se passer. Les deux jeunes gens éprouvaient beaucoup de choses l'un pour l'autre, toujours à se protéger, à veiller l'un sur l'autre, à faire en sorte qu'il soit heureux sans s'impliquer dans une vraie relation avec l'autre. Une bêtise sans nom au vu de ce qu'ils font pour énerver l'autre, mais c'est eux, c'est comme ça qu'ils sont. Entrant dans le sous sol des rebelles, il se complaît à se dire qu'il est très différent de ses pairs. Il n'hésite pas à sortir, faire la fête, fréquenter bon nombres de gamma, sans pour autant en sacrifier ses études et ses ambitions. Le sous sol des gamma, un repère pour drogués qui faisait office de lieu de rendez vous pour le coup. L'idée de Elzbieta était marrante, toute à son image. Dis toi que je connais Ebony alors la cave de sa confrérie n'est pas un lieu inconnu pour moi. Sa relation avec Ebony, sans doute encore plus tordue que toute celle qu'il avait avec les femmes. Pas amis, pas amant, pas ennemis, et pourtant, ils avaient cette drôle de connexion qui faisait qu'on pourrait croire tout et son contraire en les voyant l'un à côté de l'autre. Les compliments et la joie de se retrouver enfin seuls tous les deux étaient là. Esteban était content d'être enfin au calme, posé, avec son amie. S'asseyant dans un des fauteuils, il se prit de plaisir dans sa contemplation de la jeune femme. Elzbieta était de cette beauté qui vous subjuguait, un regard frais et hypnotisant, un peu scandinave, polonaise pour être exacte. Simplement, si la soirée avait plutôt bien commencé, elle s'annonçait pour le moins mouvementé. Si il y a une chose à remarqué chez ses deux là, c'est la possessivité dont ils faisaient preuve l'un envers l'autre. Esteban ne supportait pas vraiment la maigre relation qu'elle entretenait depuis quelques temps avec Maël et elle ne supportait pas le rapprochement brutal entre lui et Sara. Autrement dit, chacun voulait garder l'autre pour soi et ne pas le partager. Les propos de Elzi lui fit un électrochoc, il ne supportait pas qu'on parle mal des personnes qu'il fréquentait. Et Sara, et bien, c'était Sara. Elle était spéciale à ses yeux. Change de ton s'il te plait, elle n'est pas du tout comme ça. Il décida de contre attaqué, sentant bien que la conversation allait tourner au vinaigre si ils ne crevaient pas l'abcès dès à présent. Et puis franchement, elle aurait pu choisir mieux en matière de mecs. Passer du beau métisse mexicain et infirmier à l'omega qui n'avait qu'une bouteille à la main, il y avait un pas tout de même, et assez conséquent. Je sais comment il s'appelle et il ne fera rien du tout. Il passe la plupart de son temps à décuver. Quand Esteban tombe dans son mauvais côté, il est difficile de le reconnaître, de se dire que le jeune homme galant et avenant qu'il est habituellement puisse avoir de tels propos. Parfois, l'entourage détint sur les personnes, là, il avait l'impression de voir son frère. Cinglant quand il avait quelque chose à dire. Il était loin l'Esteban du début d'année qui se laissait marché sur les pieds encore et encore. La réunion de malheur lui avait bien appris ça, il ne sert à rien de s'écraser quand on a de quoi se défendre. Et tu veux qu'il me fasse quoi le tien ? M'assommer avec une bouteille, me rendre fou de jalousie ? Devine quoi, ça n'arrivera pas. Voilà, c'était dit. Comment être jaloux lorsqu'il n'y avait rien. Ils n'étaient pas ensemble, il n'y avait rien entre eux, pas même un baiser ni même l'histoire d'une nuit. Non, rien de rien. Alors pourquoi débattre sur une relation qui n'était basé que sur un vent monumental. De toute façon, le point n'est pas là. On est quoi Elz ? Des amis, des amants, des petits copains et petites copines ? On a quoi ? Rien. Je ne veux rien, j'aime ma liberté alors pourquoi je ressens tout ça, pourquoi l'idée que est pu l'embrasser me révulse à se point. Les dés étaient lancés. La mise était leur amitié.
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MessageSujet: Re: Some people never go crazy, what truly sad life they must have? Some people never go crazy, what truly sad life they must have? EmptyVen 12 Déc - 21:13

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Moi qui pensais faire découvrir un lieu à Esteban, et bien c’était raté. Mais au moins, c’était une raison pour se faire un autre rendez-vous. Si celui-ci ne tourne pas totalement au vinaigre. Je fis un maigre sourire lorsque je l’entendis parler d’Ebony. Il faut croire que la Gamma n’a pas peur de montrer le refuge de sa confrérie aux autres. Nous étions déjà deux à qui elle avait montré, et il y en avait peut-être d’autres. Du coup, je fus un peu frustrée. Triste. Je pensais avoir été une sorte de privilégiée pour qu’elle m’ait amenée ici. Mais rien du tout. Elle m’avait emmené juste ici pour un petit coup. Pour qu’on passe un moment comme celui de l’ascenseur, ou d’autres lieux encore bien plus insolites. Je ne répondis rien à Esteban, je ne voulais pas lui dire qu’Ebony me l’avait fait découvrir aussi. Autant laisser la vérité à moi-même. A moins que l’Alpha soit déjà au courant. Après tout c’est une tête, et les têtes savent tout. Ils font les intellos, mais ils ont aussi des oreilles, et ils fouinent sans vraiment le faire. Je peux le dire en connaissance de causes. Les gens parlent à côté des Alphas, pensant que ceux-ci sont trop concentrés sur leur travail, et qu’ils n’entendent pas. Mais si. Puis les Alphas ont eu aussi cette envie de savoir des potins. Comme toute autre confrérie. Alors au fond pourquoi j’ai été si étonnée de savoir qu’Esteban connaissait cet endroit ? Ça ne me surprenait pas autant que ça enfin de compte. Tout ce qui comptait, c’était de passer une bonne soirée avec mon ami. Mais c’était mal partie. A cause de moi, et de ma jalousie. Esteban me connait, et il sait comment je suis. Mais à cet instant-là, j'avais surement exagéré. D’insulter l’autre fille comme ça. J’haussais les épaules. Non, je ne m’en voulais pas. « C’est ce que tu crois. » Répondis-je doucement, et calmement. Je ne voulais pas envenimer la situation en argumentant sur la personne de Sara. Il avait ses opinions sur elle, et moi les miennes. Point, on en reste là. Ou c’est ce que je pensais, avant d’attaquer de nouveau, en parlant respectivement de nos « amours » du moment. Eh, touches pas à Maël toi. Je commençais à comprendre sa réaction vis-à-vis de Sara. Mais la fierté fait que je ne dirais rien, et que je camperais sur mes positions du début. « Je ne sais pas ce qui est le mieux : décuver, ou passer tout son temps à étudier comme un gros lourd. » Et là ce n’était que la jalousie, la colère, qui parlait. Car évidement je connaissais la réponse, et elle n’allait pas en faveur de Maël. En bonne ancienne Alpha que je suis. Et je continuais à défendre Maël. « Ça ferait déjà plus mal de frapper avec une bouteille qu’un pauvre bouquin. » Nous étions les deux, face à face. Chacun dans un fauteuil. Seulement je ne le regardais pas. Je ne le pouvais plus. Je l’avais trop cherché, et je ne savais plus comment m’en sortir, sans avouer que j’avais eu tort, et m’excuser au passage. « C’est sûr, nous sommes rien. C’est pourquoi nous sommes ici, seulement tous les deux, ce soir, ici. » Et en bonne femme que je suis, je me levais, sur le point de mettre mon manteau sur les épaules pour sortir. Mais avant cela, je dis « Tu sais quoi, j’aurais peut-être dû passer la soirée avec Maël, et toi avec Sara… » Et dire que la soirée aurait du bien se passer. J’avais tout gâcher, à cause de la jalousie. Mal placée qui plus est. Je suis d’un nulle.



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MessageSujet: Re: Some people never go crazy, what truly sad life they must have? Some people never go crazy, what truly sad life they must have? EmptyLun 29 Déc - 12:52

De nature calme et réfléchis, le jeune mexicaine ne s'énervait que très peu. Il considérait la violence comme futile, inutile, dénuée d'intérêt à part le fait de se défouler de la mauvaise manière. Il préférait se poser, laisser aller sa colère, la contrôler, la transformer en quelque chose de productif, d'imaginatif. Se battre, taper quelque chose, laisser sa colère s'exprimer, ce n'était pas pour lui. Il n'aimait pas se sentir partir, sentir que ses actions n'étaient contrôlé que par une émotion et non pas son esprit. Mais dans cette cave, ce sous sol remplis d'onde négatives et de souvenirs qui ne lui appartenaient pas, il se sentait oppressé, complètement dépassé. Elzbieta le rendait fou, fou de tout, fou d'elle, et fou de rage. Elle le contrôlait par cette émotion étrange et si colérique, inspirant le besoin vital de taper quelque chose afin de ne pas devenir fou. La jalousie qu'il avait envers Maël et tous les hommes qui avaient touché Elz était incompréhensible. Pas d'amour, pas d'amitié réelle, juste un lien de jalousie étrange et prenant qui occupait ses pensées, constamment. Ellie occupait ses pensées, Sara avait un peu de ses journées. Il était partagé entre plusieurs personnes. Son frère, ses amis, ses femmes qui gravitaient autours de lui et que lui même admirait de loin ou de près. Estebant voyait tout cela comme une chose affreuse que de ne pas se poser mais sa vie actuelle était dans un contexte étrange, particulier. Il voyait tout d'un nouvel oeil, complètement sous le joug d'une envie de posséder encore et encore. Excuse moi d'être studieux, d'avoir envie de construire une vie plus que respectable et d'honorer la mémoire d'une personne qui m'est cher. Esteban n'y croyait pas ses oreilles. Il savait que la sigma était une ancienne alpha, mais aussi une ancienne beta. Elle avait été par les extrêmes, passant de la studieuse jeune femme à la fille facile selon les critères de cette confrérie. Si ton bouquin fait près de milles pages, ne t'inquiète pas que ça va faire mal. Et il n'est pas à usage unique au moins. La colère commençait à monter, l'envie de se poser et de se calmer par rapport à toute cette foutue histoire aussi. Ils étaient dorénavant tous les deux debout, quittant le confort peu recommandable des fauteuils des gammas. Désolé Elz. Mais tu sais que je n'y peux rien. Je contrôle pas ce que je ressens. Je serais un robot sinon. Je ne suis pas amoureux de toi et toi non plus. Avoue le. Il la voyait prendre son mateau, le poser sur son corps fin, prête à partir et ne pas se retourner. Esteban était époustouflé. Cette soirée qui devait être sous le signe des retrouvailles sonnait le gong de la fin. Mais Esteban n'était pas de l'avis de la jeune femme. Prenant son courage à deux mains, il se mit en face d'elle, l'empêchant de passer le pas de la porte menant aux escaliers derrière lui. Elle essaya de passer, une fois, deux fois. Il essaya encore et encore. Et la prit dans ses bras, la serrant contre lui. Il aurait voulu l'embrasser, la couvrir de baiser mais leur relation n'était pas là. Leur jalousie cachait quelque chose d'autre, un sentiment de possession envers l'autre qui couvait un attachement beaucoup trop grand pour sortir en plein jour.

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MessageSujet: Re: Some people never go crazy, what truly sad life they must have? Some people never go crazy, what truly sad life they must have? EmptyMar 6 Jan - 0:09

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musique J’avais changé, certes, mais Esteban me faisait encore plus devenir une autre personne. Il me rendait jalouse et possessive. Sans même ressentir de l’amour. Juste une petite attirance, car il faut l’avouer que le jeune homme est très charmant dans son genre. Très différent de Maël, ça c’est sûr, mais c’est surement cette différence qui m’attire vers lui. Pourtant, il faudrait que j’arrive à faire avec, car il ne se passera jamais rien avec l’Alpha. Au contraire de Maël, avec qui ça avance plutôt pas mal. « On peut très bien être studieux, tout en faisant la fête de temps en temps. » Et c’est moi qui dit ça… oh le comble. S’il a envie de m’envoyer chier sur le coup, je comprendrais tout à fait. J’aurais fait exactement la même chose en étant l’ancienne Alpha. La fête ne peut pas se combiner avec les études. Enfin si… mais pas si on veut vraiment réussir, et faire partie des meilleurs. Et seuls les Alphas ont compris cette règle. Je l’avais compris, et je la comprends. Seulement, maintenant que j’ai à peu près déjà bien réussi dans la vie, je ne vois plus trop l’intérêt de rester H24 sur mes livres de cours. Un jour il me comprendra. Mais pour cela, il faudrait déjà qu’on comprenne notre propre relation. Nos sentiments. Je fus sur le point de partir. Pour deux raisons : car il m’avait énervé, mais aussi parce que j’avais honte de mon attitude. Je ne pouvais pas rester en sa présence. Je ne pouvais plus le regarder dans les yeux. Il avait raison. Aucun de nous n’est amoureux, et pourtant on se comporte comme deux amants amoureux. Il faut absolument que j’apprenne à contrôler ces foutus sentiments envers Esteban. Après avoir tenté maintes et maintes fois de sortir de ce sous-sol, je me retrouvais dans les bras d’Este. Des bras dans lesquels je me sentais extrêmement bien. Contrairement à ce que l’on pourrait penser venant d’un Alpha : je m’y sentais bien, et protégée. Je levais ma tête pour le regarder. « Excuse-moi… Je ne sais pas ce qui me prend… C’est juste que… » Comment lui expliquer quelque chose que moi-même je n’arrive pas à mettre des mots dessus. Je me laissais aller dans les bras de mon ami, ne voulant pas me retirer. Et tant pis pour ce que pourrait dire Maël. Ce n’est qu’un câlin, purement amical.





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MessageSujet: Re: Some people never go crazy, what truly sad life they must have? Some people never go crazy, what truly sad life they must have? EmptyVen 20 Mar - 23:29

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