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revenge is not good. once you’re done. believe me. ▬ w/ olivia

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MessageSujet: revenge is not good. once you’re done. believe me. ▬ w/ olivia revenge is not good. once you’re done. believe me. ▬ w/ olivia  EmptyJeu 14 Nov - 1:48

revenge is not good. once you’re done. believe me.
© sweet peach
 


Déambulant dans les rues de San Francisco, Nikolaï ne portait que vaguement son regard sur son chemin, perdu dans les toiles de ses pensées. Sa rencontre fortuite avec Valentina l’avait troublé outre-mesure. Lui qui était un rempart de glace, ne se laissant jamais atteindre, indifférent à tout ce qui n’était pas… lui-même, il ne comprenait pas sa réaction. Certes, il aurait préféré attendre, pour le bien de son plan machiavélique, avant de revoir la jeune Jaslang, mais il ne s’était pas attendu à réagir de la sorte. De la déception, de la colère, évidemment… mais de la déstabilisation ? Qui était-elle, bon sang ? Elle n’était qu’une tête dure qui tenait dur comme fer à lui résister, malgré la relation passionnelle partagée en Croatie, relation un brin destructrice mais ô combien fusionnelle. Il aurait dû s’en amuser, de cette résistance, en faire une motivation pour la poursuivre, la chasser tel un animal traqué. Pourtant, le plaisir était bien moins présent qu’à l’origine de leur relation, qu’au premier moment où il avait posé son regard sur elle. La première chasse. Jouissive, palpitante, elle l’avait tenu en haleine pendant un temps considérable. Lorsqu’elle était repartie pour Stockholm, pour le procès de Lennon, elle l’avait laissé avec un ressentiment amer, une blessure qu’il ne s’avouait pas à lui-même. Il n’était pas amoureux, cela jamais ! Ha, il s’esclaffait à l’unique pensée de cette éventualité impossible. Il méprisait l’amour et ces sentiments douloureux, inutiles et ridicules. Par contre, il devait avouer n’avoir jamais partagé une relation telle que celle-ci avec quiconque. Ses copines du passé, il ne les avait jamais aimées. Il n’avait jamais ressenti l’amour, il s’était contenté de prendre l’une de ses victimes et d’en faire sa « copine » simplement par intérêt personnel et il avait été infidèle à ces jeunes femmes à de nombreuses reprises. Pourtant, lors de ce laps de temps partagé avec Valentina en Croatie, il n’avait partagé un lit avec aucune autre jeune femme. Il ne lui devait rien, ils n’étaient pas un couple. L’avait-elle seulement su qu’il n’avait séduit aucune autre femme pendant leur relation ? Certainement pas. Il ne serait jamais celui qui lui avouerait. De quoi aurait-il l’air ? Irrité, il donna un coup violent dans une poubelle publique qui se renversa. Heureusement, elle était vide. Pas qu’il s’en souciait, l’environnement n’était même pas le cadet de ses soucis, il n’était pas un souci du tout. Par contre, il était conscient que cela aurait été dégoûtant pour les autres. Heureusement pour eux, alors. Merde, il était si en colère contre elle qu’il en venait à se créer des débats intérieurs à propos de poubelles renversées et d’environnement. Depuis quand avait-il besoin de discuté avec lui-même ? Il se contrefoutait de l’environnement, point barre. Une telle colère, qu’il avait peine à la contenir et peine à se retenir de s’élancer vers le logement de Valentina et de lui lancer au visage son ressentiment. Il n’aimait pas ressentir ce genre de sentiments. C’était bien plus qu’une haine de démontrer ses sentiments, il ne voulait pas ressentir du tout. Rien, nada. Il voulait que l’organe au sein de sa cage thoracique et la section de son cerveau sensée diriger les émotions le laissent en paix. Il voulait la paix, était-ce tant demandé ?

Ses pas le menèrent au Lexington Club. Lieu de prédilection pour séduire des jeunes femmes en quête de l’homme de leur vie, de se glisser dans leur lit… et de les quitter sans un au revoir, à la lueur de l’aube, sans jamais offrir un quelconque signe de vie. Peut-être était-ce ce qui lui fallait. Une jeune femme désespérée qui lui offrirait une place dans son lit. Il observa son regard dans le reflet d’une vitre. Vêtu d’un t-shirt blanc sous un blazer noir aux pans encore plus sombres et luisants, d’un jeans sombre et serré, il glissa une main experte dans ses cheveux bruns. Séduisant à souhait, comme à son habitude. Se glissant parmi les gens qui attendaient patiemment en ligne, il échangea un signe de tête avec le videur qui le laissa entrer sans attendre. Il le connaissait personnellement, ainsi que tous les videurs et barmans de la place. Un habitué, dîtes-vous ? C’était bien pire que cela. Se frayant un chemin parmi la foule déjà présente à l’intérieur, il s’approcha du bar le plus rapidement qu’il le pu. Il commanda au jeune homme présent un whisky, échangeant les nouvelles récentes. Se retournant, vers le reste de la boîte, il eut l’impression que la tension dans ses épaules se relâchait enfin, en partie au moins. Il se sentait chez lui ici, parmi la musique meurtrière pour les tympans, l’odeur de sueur, d’alcool, l’ambiance démentielle. Son regard glissa alors sur les jeunes femmes seules ou accompagnées, toutes celles qui tombaient sous son regard. Un duo accompagna son regard et ce qu’il vit l’acheva de sa journée merdique. Sous ses yeux, à quelques mètres seulement, se tenait Olivia... très près d’un autre jeune homme. Frêle des épaules, mais un regard et un sourire charmeur. Un regard qui lorgnait beaucoup trop vers une certaine partie de son anatomie prépondérante, son décolleté en somme. Les agissements du jeune homme en question n’étaient point la raison de sa colère. Possessif, il détestait voir Livia séduire et se faire séduire par d’autres que lui. Il était conscient qu’elle le faisait bien plus souvent qu’il se l’imaginait, mais il préférait ne pas en être témoin. Il avala d’une traite le contenu de son verre et le reposa avec violence sur le bar, mais personne ne le remarqua, de par le volume de la musique et les cris et les rires. Son regard tomba alors à quelques pas du duo qui le répugnait. Un groupe de trois jeunes femmes très séduisantes à l’attirail bien plus élevé que celui d’Olivia, clairement dû à des chirurgies esthétiques, mais il ne s’en souciait guère. Son seul but était de faire réagir celle présentement occupée à faire les beaux yeux à un moins que rien qui n’atteignait même pas le talon de Livia. Il joua alors des épaules jusqu’au groupe des trois jeunes femmes, sans jamais lancer un regard au duo, ce n’était pas encore le bon moment pour vérifier qu’elle l’avait repéré. Son arrivée ne déplut point aux jeunes victimes, au contraire. Il lança un sourire enjôleur à la plus blonde des trois, celle qui ressemblait le plus au cliché des jeunes femmes d’Hollywood refaite de partout. Quelques mot seulement et il eut droit de glisser son bras autour de sa taille et elle de poser une main sur son torse tout en se mouvant sur le rythme de la musique. Ses amies se lancèrent un regard sous-entendu et s’éloignèrent en quête de jeunes hommes tout aussi séduisant que Nikolaï. Bonne chance pour cette mission, mesdemoiselles ! Il jeta alors un regard en biais à Olivia, guettant sa réaction.
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MessageSujet: Re: revenge is not good. once you’re done. believe me. ▬ w/ olivia revenge is not good. once you’re done. believe me. ▬ w/ olivia  EmptyJeu 14 Nov - 10:59


It is not enough to conquer; one must learn to seduce
LEXINGTON CLUB + Berkeley, California

Encore un week end à passer en Amérique, je commençais petit à petit à prendre mes repères, mes habitudes et mes marques. Je me plaisais bien ici et pour rien au monde je ne retournerais à Sydney, même si les parents Fitzgerald me manquent un peu. C'est la vie, je voulais ouvrir mon propre restaurant et pour ça, je n'avais pas d'autres choix, il fallait que j'aille dans une prestigieuse université. L'idée de rejoindre Garrett, mon frère, fut la première à venir incruster mon esprit. J'ignorais pour combien de temps j'étais à Berkeley, combien de temps j'allais étudier pour pouvoir mener à bien mon projet. Je ne pense pas qu'il y ait de temps prédéfini, le temps de réunir les fonds et les connaissances nécessaires, sans doute. Ouais bah question fonds, il fallait que je mette bon coup de collier car pour l'instant, même si mon adorable frangin me payait mes études, il fallait quand même que je me débrouille par mes propres moyens. Trouver un petit boulot n'est pas quelque chose de négligeable surtout que pour l'instant, j'ai réussi à prendre le rythme scolaire de la fac et je dois bien avouer qu'il me reste un sacré temps libre. Un temps libre que j'occupe à merveille. Mon adhésion chez les bêtas fut très rapide et cela m'a permis de me faciliter la vie sur le campus. En récente colocation avec  Caroline, j'ai vraiment fait de belles rencontres en Californie. J'aimais par dessus tout ce pays, ce nouveau chez moi. Postée devant mon miroir, je finissais de me préparer tranquillement, soignant les moindres détails pour être la plus belle. J'aimais plaire, c'était indéniable. Après un combat acharné dans ma garde de robe, j'avais finalement opté pour une petite robe noire, au décolleté alléchant. Les cheveux au vent, je laissais ma crinière tomber sur mes épaules avec un effet coiffé décoiffé. Le rendu était plutôt pas mal. Je voulais rester dans le sobre hein, je détestais la vulgarité, j'optais donc pour un maquillage léger mais élégant. Une paire de talons, une veste et une écharpe plus tard, me voilà partie de la demeure des Bêtas. Tout ceci était nouveau pour moi, j'aimais l'ambiance qu'il régnait dans cette confrérie, cela me convenait parfaitement. Tout était parfait, en fait, j'étais heureuse ici, je me rendais compte que je l'étais beaucoup plus qu'en Australie, mon pays natale. Tout allait bien dans le meilleur des mondes, un peu comme les bisounours. Bon, j'exagère peut-être un peu là mais bon, pour l'instant tout tourne comme je le voulais. Il y a toujours des petits détails qui viennent gâcher le tableau, comme Jack ou encore Mackenzie mais cela reste assez secondaire. Faisant claquer mes talons dans le pénombre de la nuit, je m'avançais jusqu'à la devanture de l'université. Un taxi attendait bien sagement, je le pris sans même réfléchir. Eh non, je n'ai pas de voiture mais franchement, avec tous ces moyens de transport, je n'en voyais pas vraiment l'intérêt. Et puis, pour les week-end, il y avait toujours un taxi qui traînait dans les coins pour amener les étudiants un peu partout en ville, pas con les Américains. Le trajet jusqu'au Lexignton fut relativement rapide, à force je commençais à connaître le chemin. Une fois sur place, je rejoins une ou deux amies avec qui j'allais passer la soirée, une bonne petite soirée en perspective d'ailleurs. En fait, elles aussi commençaient à me connaître, je les laissais souvent pour me fondre dans la foule et vaquer à mes petites activités fétiches. Façon de parler bien sûr, j'aimais juste m'amuser, rien de plus. Nous entrions rapidement dans la boîte de nuit et déjà la musique se fit entendre. Elle était forte et rythmée, tout ce que j'aime. L'ambiance battait déjà son plein, ambiance folle. Comme j'étais venue pour elles, je pris un verre ou deux en leur compagnie avant de me lever et d'aller danser. Depuis le début, je ne voyais que ça, aller danser. Je me mis rapidement dans l'ambiance, pénétrant cette foule opaque et en transe. Quelques déhanchés endiablés et un jeune homme se rapprocha aussitôt de moi. Eh, on n'attrape pas les mouches avec du vinaigre hein. Le bel inconnu était plutôt mignon et surtout, il ne sentait pas la transpiration. Rhaa, s'il y a bien une chose que je ne supporte pas, c'est bien les ploucs qui sentent la transpiration à des kilomètres à la ronde. Ça ou les vieux pervers, c'est du pareil au même. Je commençais à m'amuser, à profiter de ce petit rapprochement pour séduire, pour faire ma belle. Bordel que j'aimais ça. Il posait ses yeux sur moi, il me dévorait du regard, c'était plaisant. Mes mains baladeuses, plus la musique allait et plus je me rapprochais de lui. C'est le sourire aux lèvres que je me retournais pour me coller à lui. Mon dos contre son torse, il passa sa main sensuellement sur mon ventre. J'eu un petit sourire en le voyant faire. Disons simplement que je me traînais deux ou trois verres d'alcool derrière moi. Par contre, j'étais encore bien consciente de ce que je faisais. Jamais, ô grand je ne dépassais mes limites et me mettait minable jusqu'à ne plus savoir quoi ce que je fais. J'ai de l'honneur moi et j'ai besoin d'être maître de mes faits et gestes mais surtout, de contrôler la situation. J'y peux rien, j'ai toujours été ainsi. Absorbée pas ma danse sensuelle, je me risquais quand même à regarder autour de moi, un regard m'interpella bien vite. Un grand brun juste en face de moi, le visage creusé, le regard pervers, cela ne pouvait qu'être Nikolaï. Mon sourire s'accentua en le voyant, juste en face de moi, à quelques mètres seulement. A quoi jouait-il ? Pourquoi se mettait-il juste en face de moi ? Il ne pouvait aller danser avec sa pouffe un peu plus loin ? Le jeune homme soutenait mon regard, il est hors de question que je lâche. Il voulait jouer à ça ? Pas de soucis, il allait perdre. Levant délicatement le bras, je passais ma main dans les cheveux de mon partenaire de danse. Ce dernier baissa la tête et vint m'embrasser sensuellement dans le cou. Un frisson me parcouru tout le corps mais je savais pertinemment qu'il ne venait pas des baisers mais bel et bien du regard de Nikolaï. Je ne lâchais pas son regard, je ne devais pas perdre, j'aimais la compétition et par dessus tout : gagner. C'était clairement de la provocation mais cela me plaisait. Il y avait une attirance charnelle inévitable entre lui et moi. Comme un besoin de l'autre, je savais qu'il n'y avait pas que du sexe entre lui et moi. Rien que de penser aux folles nuits que nous avions déjà eu, je frissonnais. C'était à celui qui craquera le premier. Le voir avec une autre ne me faisait absolument rien mais qu'il me provoque et qu'il ne s'occupe pas de moi, me rendait folle de rage. Il n'y avait pas de sentiments entre lui et moi, du moins pour ma part. Je prenais juste du bon temps avec un dépravé de l'amour, un comme moi en fait. Mon regard toujours plongé dans celui du Lindgren, je ne pouvais pas m'empêcher de sourire. J'haussais un sourcil, pure provocation. La fille me tournait le dos mais rien qu'à la voir, je pouvais aisément deviner le devant. Je ne savais pas que la vulgarité attirait Nikolaï. Ne supportant pas cette situation en suspens, il fallait que j'agisse. Sans même me retourner, je pris la main de mon partenaire de danse et avança jusqu'au nouveau couple juste en face de moi. Bonne soirée avec ta poupée gonflable, dis-je au creux de l'oreille de Nikolaï avant de continuer mon chemin et de m'avancer un peu plus dans la foule, suivie de prés par le bel inconnu. Ici il ne pouvait plus nous voir. J’espérais qu'il me suive, qu'il agisse, qu'il s'occupe de moi. Après tout, il était aussi joueur que moi, tout ceci n'était qu'un jeu auquel je prenais un malin plaisir à jouer.
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MessageSujet: Re: revenge is not good. once you’re done. believe me. ▬ w/ olivia revenge is not good. once you’re done. believe me. ▬ w/ olivia  EmptyJeu 14 Nov - 20:14

revenge is not good. once you’re done. believe me.
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La séduction. Un art maitrisé par peu d’hommes et de femmes. Approcher l’autre, le traquer, l’attirer dans ses filets tel un animal, pour finalement atteindre le but universel : unir son corps à un autre. Nikolaï n’avait jamais connu rien d’autre que ces relatons physiques sans importance majeure, mais ô combien satisfaisantes. Oh il avait bien été en couple quelques fois, sans jamais n’être tombé amoureux une seule fois. Les femmes qui avaient réussies à le garder plus d’une nuit, à s’afficher à son bras, étaient ressorties anéanties d’une relation avec le Russo-Suédois. La plupart d’entre elles n’ont plus confiance en l’amour ou en le genre masculin. Il avait été un monstre avec bon nombre de ces femmes. Jamais de violence physique, c’était contre l’un de ses principes les plus précieux. Par contre, il ne s’était pas gêné pour être violent avec les mots. Il en avait insulté la majorité de ces femmes, ne se gênant pas à la fin, lors de l’ultime question : « m’as-tu seulement aimé, Nik ? » de répondre un simple et froid « Non. » et d’affirmer que ça n’avait été que du sexe et du dérangement pour lui. Un enfoiré de première et fier de l’être. Il avait aussi été infidèle avec celles qui s’étaient affichées en couple avec lui. Il méprisait l’amour et celles qui étaient tombées amoureuses de lui en avaient subi les conséquences. Ces sentiments ridicules qui troublaient la pensée réfléchie et déstabilisaient l’irritaient au plus haut point. À un tel point qu’il avait nourri une haine sombre à l’encontre de ces sentiments. Voilà pourquoi il était un éternel passionné des relations d’un soir. Quelques plaisirs, puis il disparaissait à l’aube sans jamais donner signe de vie à sa victime. Ce n’était que routine pour lui… mais le jeu qui se profilait à l’horizon de la soirée s’annonçait intéressant.

Olivia se tenait à quelques pas de lui, très près d’un jeune homme qui dégageait une odeur de transpiration jusqu’à Nikolaï. Il vérifia discrètement sa propre odeur et fut satisfait de ne renifler que son shampoing et son after-shave. Heureusement qu’il avait pris le temps de prendre une douche avant de se diriger ici. Il reporta alors son attention sur la jeune femme et sa proie. Trop près. Possessif jusqu’au fond de l’âme, il était aussi lui-même volage et respectait que les quelques femmes qui avaient droit à une place dans son lit voient d’autres hommes… mais pas devant lui. Il était du genre malin et rancunier. Il ne piquerait aucune crise de colère à Olivia, ni de jalousie, après tout il n’avait aucun sentiment pour elle et elle ne méritait pas une crise ridicule digne des couples idiots axés sur la fidélité. Par contre, il se ferait un malin plaisir de se venger. Il faut combattre le feu par le peu, dit un certain adage. C’est exactement ce qu’il comptait faire. Pour cibles, il avait repéré un trio de jeunes femmes toutes plus blondes les unes que les autres. De loin, il aurait pu les confondre à des poupées gonflables. Il n’avait pas de préférence chez les femmes, mais certaines exagérations côté chirurgie ne manquait jamais de le refroidir, mais il savait que cela enragerait Olivia. Qu’il ose la préférer à une de ces pimbêches refaite de la tête aux pieds, cela ne manquerait pas de la faire tiquer. Il se débarrassa rapidement de deux des pimbêches pour ne garder que celle qui ressemblait étrangement à une poupée Barbie. Alors qu’elle s’écrasait littéralement contre lui, se mouvant sensuellement contre son torse, il jeta un regard en biais à celle qu’il convoitait. Elle ne se gênait pas pour danser tout aussi sensuellement avec son compagnon, le laissant l’embrasser dans le cou… à l’endroit précis où il le faisait lui-même. Serrant les dents, il se concentra sur celle qui se tenait entre ses bras. Alors qu’il entreprenait quelques caresses expertes, il se sentit frôler par derrière et reconnu parfaitement la voix de la Fitzgerald. Un sourire moqueur étira ses fines lèvres. Jetant un regard par-dessus son épaule, il observa discrètement sa proie s’éloigner de lui vers l’autre côté du Lexington, près des toilettes. Elle n’allait quand même pas…  ? Heureusement pour lui et sa santé mentale, elle stoppa sa course. Il adorait jouer avec elle, tout simplement parce qu’elle était une merveilleuse joueuse. Il continua de danser quelques instants avec sa victime qui n’obtiendrait pas ce à quoi elle s’attendait. Son idée était définitive. Il voulait Olivia ce soir. Pourtant, cette blondasse se retourna dans son étreinte pour se fondre contre lui et l’embrasser à pleine bouche. Peu surpris, il se laissa faire quelques instants avant de répondre à son attaque hystérique. Lorsqu’il eut besoin d’une bouffée d’air, il s’écarta légèrement d’elle. Une idée vint alors allumer son esprit embrumé par l’ambiance filandreuse. Se retournant, il se mit sur la pointe des pieds pour repérer l’Australienne. Heureusement, elle se trouvait dos à lui au moment où il l’a repéra. Revenant pieds au sol, il glissa quelques mots à l’oreille de la jeune femme, qui s’empressa d’accepter son idée. Il leva les yeux au ciel, s’en était presque trop facile. Il espérait seulement que cela ferait réagir Livia, quoiqu’il ne puisse en douter. Il jubilait intérieurement de voir sa réaction et sa vengeance. Ce jeu l’allumait, l’excitait. Il entraîna à sa suite la poupée gonflable, ainsi que l’a qualifia Olivia. Lorsqu’ils se retrouvèrent à nouveau à quelque pas de sa réelle proie, il se dissimula devant quelques orgies en préparation (des couples pré pubères qui se dévoraient les amygdales. Lorsqu’il remarqua qu’elle s’apprêtait à jeter un regard derrière elle pour vérifier s’il l’a suivait, il se glissa derrière la jeune blondasse qui l’accompagnait et la plaqua sur brusquement sur le mur, à quelques centimètres d’Olivia et son gamin. Il embrassa à pleine bouche sa victime et il eut la réponse escompté. Elle glissa une main dans ses cheveux et l’autre sur son fessier, une dévergondée, évidemment. Sans même jeter un regard à son amie, il approfondit son étreinte, attendant le moment fatidique pour la relâcher et surveiller la réaction de la bêta. Cette soirée s'annonçait terriblement prometteuse. Olivia et lui se connaissaient depuis un moment déjà. Ils adoraient jouer l'un avec l'autre et cela se terminait toujours la même manière: par une dispute mémorable... et une nuit tout aussi mémorable. Elle l'était l'une des meilleures aguicheuses qu'il connaissait et l'une des rares personnes qu'il appréciait sincèrement, sans mensonge, sans hypocrisie. Ce n'était pas que pour le sexe, mais aussi pour la relation tout à fait unique qu'ils partageaient l'un avec l'autre. Il se sépara enfin de celle qu'il écrasait contre le mur, et alors que celle-ci déposait une traînée de baiser de sa mâchoire à son cou, sans aucune vergogne, il jeta un regard sombre à Olivia. Certes, il était allumé et son regard exprimait beaucoup de son désir, mais ce n'était point un désir dirigé vers la blondasse dans ses bras, mais bien vers celle qui se tenait dans l'étreinte molle du garçonnet qu'elle avait ramassé. Sachant qu'elle ne pourrait pas l'entendre, il mima quelques mots, articulant grandement avec ses lèvres : « J’ai envie de toi. » Aucune retenue, aucune gêne. Il n'y en avait jamais eu entre eux. Oh il n'avait pas prévu de terminer le jeu dès maintenant, il voulait simplement avoir le plaisir de la voir réagir.
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MessageSujet: Re: revenge is not good. once you’re done. believe me. ▬ w/ olivia revenge is not good. once you’re done. believe me. ▬ w/ olivia  EmptyJeu 14 Nov - 22:37


It is not enough to conquer; one must learn to seduce
LEXINGTON CLUB + Berkeley, California

J'étais plutôt fière de moi et de mon petit tour, moi qui pensais passer une petite soirée tranquille, à me prélasser dans les bras d'illustres inconnus. En venant ici, j'étais loin de m'imaginer pouvoir tomber nez à nez avec un loustic tel que Nikolaï. Cela ne me déplaisait pas, bien au contraire, cela annonçait une bonne  soirée en perspective avec de l'action, de l'envie, du désir mais surtout, du jeu. Depuis toujours, j'ai ce besoin de compétition qui m'anime, j'aime être en conflit avec quelqu'un juste pour le plaisir de gagner et de ridiculiser l'autre. Autant vous dire, je suis une très mauvaise perdante, doublée d'une mauvaise gagnante. Rien pour plaire en gros. Et pourtant, certaines âmes perdues comme Lindgren, se risquaient encore à jouer avec moi. Inutile de vous dire qu'il est dangereux de jouer avec le feu, les risques de brûlures sont fréquentes. En fait, je crois que ce petit jeu installé entre lui et moi, est le fondement même de notre relation. Il est vrai que le petit Nikolaï serait extrêmement ennuyeux sans cette petite folie qui nous est propre. Son regard pervers posé sur moi me faisait démarrer au quart de tour, il me déshabillait en un regard et cela avait le don de me faire craquer. Je savais pertinemment que de mon côté, je ne le laissais pas indifférent. Un jeu de séduction qui n'avait aucune règle, aucune limite. Ce soir, j'étais bien décidé à lui faire tourner la tête, lui montrer à quel point je peux être séductrice et provocatrice. A chaque fois, lui résister s’avérait de plus en plus dur mais en même temps, c'était un défi supplémentaire pour moi. En fait, j'ai toujours été attiré par les bad boys, les mauvais garçons et son allure de dépravait lui donnait un certain charme non négligeable. Changer de place n'avait qu'un seul but final, qu'il se rende compte que je ne lui appartiens pas, qu'il prenne conscience de la femme fatale que je peux être. Aha, tu t'égares ma pauvre Livia. Bref, je me trouvais maligne avec l'inconnu non loin de moi, je décidais de m'arrêter prés des toilettes des filles. C'était un endroit stratégique, je pouvais ainsi couper court à ce rapprochement futile et en même temps rester dans la course. La musique allait particulièrement fort à cet endroit et je du plisser les yeux pour essayer de comprendre ce que l'autre imbécile me disait. Oui, bah disons que les quelques verres d'avant n'arrangeaient rien à la situation. Pour mener à bien ma petite magouille, il fallait qu'on y croit, que mon envie pour ce jeune homme semble réel. Comme à mon habitude, je m'approchai de lui et repris la petite danse que nous avions stoppés quelques secondes auparavant. Bordel, j'avais cette irrépressible envie de me retourner, voir si oui ou non Nikolaï nous avait suivi ou si, au final, il avait lâchement abandonné l'affaire. Oh ce serait une belle victoire pour moi. Après quelques minutes de danse endiablé, je me risquais quand même à me retourner pour voir où il en était. Et puis, je vis la bimbo s'approcher de lui et l'embrasser à pleine bouche, ça en était presque écœurant vu d'ici. Limite il y avait de la bave qui lui sortait de la bouche. Alors comme ça, monsieur était d'humeur joueur. Faisant comme tout à l'heure, je me retournais pour me coller contre mon partenaire de danse - celui là ne demandait pas mieux, tu m'étonnes - j'avais ainsi le champ de vision libre. J'avais ce sourire sur mes lèvres, si le lambda croyait me blesser avec ce baiser vulgaire, il se trompait royalement. Puis, contre toutes attentes, Nikolaï leva sa tête et me regarda droit dans les yeux. Je ne pu m'empêcher de lever un sourcil, c'était devenu un réflexe, une arme de séduction. Il murmura ces quelques mots, en prenant soin d'articuler pour que je puisse comprendre de loin. J’ai envie de toi. Sans blague ! Comme c'était lâche de sa part de le dire de loin, de ne pas braver le danger pour me le dire en face. Cela m'amusait énormément, j'allais prendre un malin plaisir à lui répondre. Voyant qu'il ne détachait pas son regard du mien, c'était à mon tour d'agir. Le fougueux danseur qui se tenait juste derrière moi laissa ses mains baladeuses sur moi, on aurait dit qu'il savait exactement ce qu'il fallait faire. Il passa délicatement ses mains sur mes cuisses, remontant légèrement jusqu'à mon ventre pour finir sur les bras. La musique était sensuelle et cette sangsue ne semblait pas vouloir me lâcher. Je continuais de regarder Nikolaï, je lui fis un magnifique sourire avant de passer lentement ma langue sur mes lèvres. Pure provocation. Je sais, articulais-je avant de mordiller ma lèvre inférieure. Ce jeu pouvait durer longtemps jusqu'à l'un de nous craque et rejoigne l'autre. Pas ce soir, je n'allais pas me laisser faire. Nous faire des papouilles de loin n'était pas dans mes habitudes, j'avais besoin d'action. Ces filles-là, je les connaissais. Bien loin d'avoir inventé l'eau chaude, faire fuir la poupée gonflable allait être un jeu d'enfant. Un sourire mesquin s'afficha alors sur mon visage. Faire fuir une bimbo était relativement facile, je n'avais qu'à lui dire que l'un de ses seins siliconé tombait, que le gentleman qui se tenait devant elle avait une hépatite ou autre. Mais cela était trop facile, beaucoup trop facile. Il fallait que je trouve un truc et vite. Difficile de réfléchir avec la musique aussi fort. De toute façon, je n'ai jamais été douée pour réfléchir et pour agir après, en règle général, je fais l'inverse. Après tout, la spontanéité a toujours été ma plus belle qualité, allons-y. Tu m'excuses une minute ? dis-je à mon partenaire de danse avant de me diriger vers Nikolaï et sa poupée gonflable. J’espérais trouver une idée géniale en chemin mais cela ne semblait pas vouloir venir. Le lambda afficha un large sourire en me voyant arriver, sans doute s'attendait-il à ce que je vire la pouffiasse et que je lui tombe dans les bras, aha. L'espoir fait vivre mon coco. Et puis, comme une intervention divine, un mec se pointa avec deux verres à la main. J'étais sous ma bonne étoile ce soir. Il arriva dans notre direction et lorsque l'on se croisa, je pris un malin plaisir à le bousculer pour qu'il renverse le contenu du verre sur t-shirt de la bimbo. Enfin le t-shirt, c'était vite dis, disons plutôt le bout de tissu qui lui sert de haut. Je regardais Nikolaï avec un énorme sourire et lui fit un air ironique qui voulait dire « oooops, quelle maladroite je fais » Non pas peu fière de ma connerie, je regardais la fille partir vers les toilettes des filles, laissant le beau brun tout seul comme un con.  Dommage, elle avait l'air bien cette fille, dis-je avant d'hausser les sourcils. Comme une gamine, je me mordis la lèvre et fit demi tour, m'enfonçant dans la foule, seule cette fois-ci, le laissant seul avec son envie. Ah, douce vengeance.
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MessageSujet: Re: revenge is not good. once you’re done. believe me. ▬ w/ olivia revenge is not good. once you’re done. believe me. ▬ w/ olivia  EmptyJeu 14 Nov - 23:42

revenge is not good. once you’re done. believe me.
© sweet peach
 


La soirée s’annonçait diablement intéressante. Le jeu débutait à peine et il était terriblement amusé par tout ce qui se produisait, de plus que légèrement frustré. Elle pouvait bien lui reprocher d’avoir choisi une poupée gonflable, Olivia avait, quant à elle, choisi un enfant. Il n’avait rien de masculin, il n’était ni sensuel ni séducteur. Il se dandinait dans tous les sens en espérant allumer l’Australienne qui se prélassait dans ses bras dans le seul but de l’allumer lui, Nikolaï. Lorsqu’elle s’était éloignée de lui, se dirigeant vers les salles de bain, il avait eu l’occasion de la retenir, mais trop conscient de ce qui se profilait, il était resté indifférent. Puis, lui était venue cette idée d’apparaître à quelques pas de son amie, sa langue plongée dans la bouche de sa blondasse peu vêtue. Chaque fois que son regard se posait sur la Fitzgerald, la tension s’accentuait en lui. Mais il ne serait pas le premier à craquer, cela était hors de question, ni même une éventualité qui pouvait frôler ses pensées. Certes, il avait envie d’elle, comme il ne s’était point gêné pour lui exprimer quelques instants auparavant, et sa réponse n’avait point manqué d’accentuer son désir, mais ce n’était pas signe qu’il était près de flancher. Il lui en fallait bien plus qu’un garçonnet qui se trémousse contre Olivia pour l’émoustiller. La suite des choses, par contre, ne manqua pas de l’amuser au plus haut point. Quittant son partenaire, elle s’approcha de Nikolaï et sa compagne d’un soir dans une attitude qui annonçait clairement le mauvais coup qui se tramait. Curieux, il prôna l’indifférence, haussant brièvement un sourcil à son arrivée, tout de même curieux de ce qu’elle s’apprêtait à faire. Il remarqua bien trop tard, ou juste à temps tout dépendant du point de vue, le jeune homme qui passait près deux les mains pleines de verres pleins. Comprenant ce qui allait suivre, il eut le temps de s’écarter juste assez pour que le contenu se renverse sur le haut de la jeune pimbêche qui l’embrassait à en perdre haleine quelques instants plus tôt. Le regard triomphant de l’Australienne ne manqua pas de faire lever les yeux au ciel du Russo-Suédois. Lorsqu’il posa son regard à nouveau sur la nouvelle victime de sa cruelle tentation… elle avait disparue en direction des salles de bain. Les quelques mots que lui adressa alors la jeune femme détourna son attention de la porte de la salle de bain pour revenir sur elle. « Autant que ton gamin. » Il n’en revenait toujours pas qu’elle ait choisi cet énergumène qui semblait âgé de dix-sept ans tout au plus. Puis, il l’observa s’éloigner, seule, vers la foule.

En se retournant vers tous les gens présents au Lexington, un jeune homme attira son attention. Grassouillet, il triturait son verre avec une insistance qui ne pouvait être que du malaise… ou de la timidité. Haussant un sourcil, il poursuivit son observation. Il tenta de saluer une jeune femme non loin de lui et lorsqu’il leva le bras, Nikolaï put clairement apercevoir un joli rond de sueur sous son aisselle. Lorsque la jeune femme qu’il visait se détourna, une grimace dégoûtée sur le visage, le Lindgren s’empressa de reporter son attention sur le jeune homme. Clairement déçu, il pencha la tête vers son verre, le fixant telle une lumière dans le noir. Désespéré… et clairement puceau. Coup de chance, ce dernier se déplaça alors et au moment où il allait passer devant Nik, ce dernier l’arrêta dans son ascension et l’attira près de lui. Désignant Olivia, qui était toujours dans son champ de vision, clairement en quête d’une nouvelle proie pour faire sortir de ses gonds le Russo-Suédois, il s’adressa au jeune puceau : « Tu l’as vois, c’est bon ? Je suis venu ici avec elle, parce qu’elle cherche désespérément un jeune homme prêt à coucher avec elle. » Il connaissait ce genre de puceaux. Ceux désespérés qui dès lors où on lui donnait quelques secondes d’attention, il ne lâchait plus l’affaire. Un sourire illumina alors le visage de ce dernier, s’assurant de la véracité des paroles de Nikolaï. Heureux de son stratagème, il hocha brièvement la tête, lui indiquant d’un signe d’aller la retrouver. Il ne lui lâcherait plus les baskets de toute la soirée. Oh certes, peut-être s’éloignerait-il lors de la première claque, mais il reviendrait à la charge en tant que fier puceau désespéré cherchant jeune femme désespérée et séduisante. Lorsque ce dernier s’éloigna en direction de la Fitzgerald, Nikolaï ne put qu’admirer le spectacle. Il s’appuya alors dos au mur, les bras croisés sur son torse. Alors que le puceau se frayait un chemin en bousculant tout le monde sur son passage, il aperçut du coin de l’œil la poupée gonflable qui s’avançait à nouveau vers lui. Il l’avait presque oubliée. Il ne lui jeta aucun regard, même lorsqu’elle s’adressa à lui. Il n’avait plus aucun intérêt pour elle, à présent qu’Olivia l’avait humiliée. Le round un était à présent terminé, tout comme son moment avec cette pimbêche. Dans une tentative désespérée, elle glissa sa main sur son torse, approchant son visage du sien, mais il l’a repoussa, secouant la tête. Vexée, elle s’éloigna d’un pas qui lui rappelait étrangement une autruche. Mais en l’observant, son regard tomba sur son postérieur et il eut un pincement de déception. Elle aurait certainement pu être une conquête intéressante, au final. Détournant son attention de cette jeune femme à présent sans importance, il surveilla l’ascension et l’approche du jeune puceau en direction d’Olivia. Il jubilait intérieurement de voir ce qui allait se produire. Dans ce nouveau round, il n’avait point besoin de femme à ses côtés. Seul son sourire moqueur serait suffisant pour la faire sortir de ses gonds. Ce sourire moqueur si séduisant qu’il possédait. Le puceau se rapprochait de plus en plus de sa cible, l’ascension avait été ralentie au moment où il avait renversé le verre d’une jeune femme et contrit, il l’avait aidée à ramasser les dégâts. Nikolaï avait alors levé les yeux au ciel, mais à présent, toute son attention était portée sur Olivia. Elle ne pourrait pas se débarrasser aisément de celui-ci comme tous les hommes inintéressants qui l’approchaient. Il était dans une catégorie à part : les puceaux désespérés. C’était un coup bas, mais comment se retenir de jouer un tel tour à la bêta ? Tout cela faisait partit du jeu et c’était terriblement amusant. Par contre, il se doutait que la vengeance de Livia serait terrible, mais il n’attendait que ça. C’étaient les plaisirs du jeu, là où résidaient tous les divertissements. Puis, enfin, le puceau tapa maladroitement sur l’épaule de la Fitzgerald et Nikolaï su que ce qui allait suivre serait intéressant.
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MessageSujet: Re: revenge is not good. once you’re done. believe me. ▬ w/ olivia revenge is not good. once you’re done. believe me. ▬ w/ olivia  EmptyDim 12 Jan - 22:56

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