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(nael & baby) • cause you were mine for the summer.

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(nael & baby) • cause you were mine for the summer. Empty
MessageSujet: (nael & baby) • cause you were mine for the summer. (nael & baby) • cause you were mine for the summer. EmptyLun 19 Aoû - 21:40

Elle n’a pas très envie d’y aller, elle soupire lourdement et pourtant, elle s’obstine à parfaire son maquillage histoire de ressembler un petit plus à une poupée italienne. Pourquoi avait-elle accepté encore ? Oh tout simplement parce qu’il lui avait fait les yeux doux en prenant la plus simple excuse du monde : C’est mon anniversaire, tu te dois d’y assister. Elle grogne, pourquoi ne peut-elle jamais décliner une invitation de la sorte ? Il suffit de prononcer le mot ‘anniversaire’ pour que sa légendaire hystérie se mette en marche. Mais pourquoi diable, Marco devait-il fêter ses vingt-trois ans dans une boite de nuit ? J’ai loué le carré VIP, qu’il lui avait assuré. Encore heureux sinon ses louboutins n’auraient même pas daigné frôler le sol de la discothèque. Évidemment, elle lui aurait offert un cadeau. Un énorme et luxueux présent pour faire pardonner sa terrible absence. Elle se contemple devant son immense miroir, très satisfaire par son propre reflet, cette petite robe noire Gucci lui va à ravir. Son regard se détourne vers l’immense horloge affichant minuit et trois minutes, elle se demande où son colocataire, Caleb, est encore passé et puis dans sa folie habituelle elle se prend à penser que c’est peut-être un vampire. Ceci expliquerait pourquoi il rentre très souvent tard dans la nuit mais aussi, le fait qu’il possède une espèce de petite valisette fermée par un cadenas. Et si celle-ci contenait des poches de sangs ? Elle se met à imaginer les scénarios les plus ridicules qui soient alors que la sonnerie de son Iphone la coupe au moment où Caleb pose ses dents pointues contre son cou. Sauvée par le gong. Un message de Marco, encore. Well, elle sait qu’elle est inoubliable et que sa présence est nettement souhaitée mais quand même. Arrête de faire ta diva, n’arrive donc pas trop en retard. En plus j’ai quelqu’un à te présenter. Blablabla, je vais t’en foutre moi des divas. Rien que pour la peine elle partira vers trente-trois et sera encore plus en retard qu’elle ne l’avait prévu à l’origine. Tandis qu’elle (re)lisse ses cheveux pour la centième fois, elle ne se peut s’empêcher de penser à la dernière phrase du message envoyé par ce très cher Marco. Il a quelqu’un à lui présenter ? Comme c’est étonnant. Elle roule des yeux, excédée d’avance par le comportement du birthdayboy en question. Ils avaient fréquenté la même école privée durant deux années en Italie et monsieur s’obstinait toujours à vouloir la caser avec un tel ou un tel. Parfois, elle se demandait même s’il n’était pas la réincarnation de Cupidon. Apparemment, cinq ans plus tard rien n’avait changé, au grand désarroi de la Babi. Elle inspecte une dernière fois son reflet dans le miroir et contre toute attente elle décide de laisser un mot à Caleb lui désignant où elle se trouvait. Ne sait-on jamais qui lui arrive quelque chose, au moins quelqu'un pourrait lui venir en aide ( en admettant qu’il vienne, évidemment). Au lieu d’appeler Eden ou Camélia, Babi – dans sa très grande logique - elle préfère laisser un mot à Caleb. C’est perchée sur ses louboutin de quinze centimètres qu’elle fit une entrée remarquée : la tête haute, le regard hautain sortant la panoplie complète de la reine des glaces descendant de son trône de Crystal. Tous les regards se braquèrent sur elle, comme si ils savaient qui elle était, certains se permettaient même de la saluer, d’autres de lui sourire. Babi, elle, elle préfère rester impassible on lui a toujours appris à ne pas parler aux inconnus ni même à leur sourire. Elle n’avait clairement pas envie d’être là et son désintérêt pour cette fête pouvait se lire dans ses yeux. L’unique raison de sa venue était la célébration de l’anniversaire d’un de ses plus vieux amis. Tiens en parlant du loup. «.Babi !!!! Je suis tellement content que tu sois finalement là …..» Elle ne peut s’empêcher d’esquisser un sourire en le voyant s’approcher d’elle et sans même qu’elle ne s’en rende compte, il la prend dans ses bras en guise de bonjour. Seigneur, c’est son anniversaire Babi, laisse le faire. «.Joyeux anniversaire.» qu’elle lui lance assez fort pour qu’il l’entende à travers la musique. C’est ça qu’elle détestait particulièrement dans ce genre d’endroit : aucune discussion n’était envisageable à moins que vous veniez accompagner d’un microphone. C’est ça, la prochaine fois peut-être. «.Grazie amore. Au fait, j’adore cette robe.» Elle se détache comme elle le peut de son étreinte et comme à son habitude il la reluque de bas en haut. Son regard parle pour lui et elle comprend aussitôt l’effet qu’elle a sur lui. S’il ne se nommait pas Marco et si elle ne le connaissait pas depuis toutes ces années, elle l’aurait probablement déjà giflé. «.Evidemment que tu l’adores.» Son regard remplit de malice se pose aussitôt sur son ami qui ne peut s’empêcher d’étouffer un rire. Evidemment qu’il l’adore cette robe, plus court ça ne devait sûrement pas exister. «.Allez viens, il faut que je te présente quelqu’un !.» Pour une fois, elle aurait aimé être moins polie et surtout, moins bien éduquée afin de pouvoir lui claquer un bon : tu me soules, fiche moi la paix. Mais à la place, il l’embarque avec lui vers le fameux carré VIP sans qu’elle n’ait le temps de dire quoi que ce soit ! Ses yeux scrutaient la salle, désireuse de reconnaitre au moins l’un des visages des invités mais rien. Le néant. «.Voilà, nous y sommes. Babi je te présente …. » Elle se retourne pour faire face à la personne en question avec nonchalance ainsi qu’un désintérêt qui lui est propre. Ses bonnes manières l’obligeaient à le saluer mais rien de plus, elle ne comptait pas passer la soirée avec un inconnu. Ironie du sort, elle ne connait personne ici. Du moins, ça c’est ce qu’elle croyait. «.Nael.» elle coupe Marco dans sa lancée qui n’arrive pas à comprendre ce qui se passe. Elle non plus d’ailleurs. Elle reste stupéfaite durant quelques secondes avant de se prendre la plus grosse claque de sa vie. Nael. Elle se trouvait en présence de Nael. Juste en face de lui et elle reste là, comme une conne parce qu’elle est en train de réaliser qu’il est encore vivant. Non pas qu’elle le croyait mort, loin de là, elle l’a juste ….. oublié. Oublié du jour au lendemain. Comme s’il n’était qu’une vulgaire personne alors qu’il avait représenté bien plus pour elle. Son plus bel amour de vacances, c’était lui. Et c’est le seul d’ailleurs. Son masque de connasse hautaine tombe petit à petit et laisse place à la babi qui culpabilise de l’avoir laissé comme ça, du jour au lendemain sans nouvelle. Tout ça c’est, encore, de la faute de ce maudit Liam. Elle avait promis de lui écrire toutes les semaines et elle n’a même pas tenu sa parole, saleté de Liam, elle se détestait encore plus de l’avoir aimé. La culpabilité la ronge et elle n’a qu’une seule envie : se cacher dans un trou. «.Que le monde est petit.» Elle tente une première approche ne sachant pas trop comment s’y prendre. Elle ne pensait pas le revoir un jour, et encore moins ici à Berkeley. Et maintenant qu’elle l’examine de plus près, il est encore plus beau que dans ses souvenirs. D’un coup elle se met à imaginer leur relation si elle n’avait jamais rencontré Liam. Seraient-ils toujours ensemble ? Quelle belle petite utopiste cette Babi. «.Je …. Tu… Il faut.. » Bonjour je m’appelle Babi et je bégaye parce que je ne me suis jamais retrouvée dans une situation pareille. Elle ne sait pas ce qu’elle doit lui dire, ni si elle doit dire quelque, en fait. Si ça se peut, il se fiche complètement de ses explications mais elle meurt d’envie de se justifier. Elle lui doit bien ça, après tout. Généralement, elle est ravie d’endosser le rôle de la connasse mais pas avec lui. Elle inspire profondément, essayant de se donner du courage comme elle le peut mais un serveur arrive à leur hauteur. Sauvée par le gong. Elle prend une coupe de champagne qu’elle ne tarde pas à s’enfiler d’une traite et pour continuer sur sa lancée, elle en reprend une deuxième. «.Je crois que je vais en avoir besoin.»  qu’elle se dit à elle-même. C’est ça, bois donc et rends toi encore plus ridicule Babi. Elle observe longuement Nael, lui aussi un verre de champagne à la main et elle décide d’attendre sa réaction avant de se lancer dans ses explications détaillées. Alors Babi, elle fait ce qu’elle sait faire de mieux : elle veut trinquer «.A nos retrouvailles !?.» Ou peut-être pas non.
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Nael Silvano Sala
there's no place like berkeley
Nael Silvano Sala
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MessageSujet: Re: (nael & baby) • cause you were mine for the summer. (nael & baby) • cause you were mine for the summer. EmptyLun 2 Sep - 12:36

“ there's a girl he'll never forget and a summer where it all began. ”
« Et sinon les amours toi, comment ça se passe ? » C'est Marco, qui vient de lui poser la question, et Nael ne peut s'empêcher de rire, en lui rétorquant. « T'es sérieux mec ? C'est quoi cette demande clichée du lycéen loveur qui cherche à tâter le terrain ? » Mais son amusement s'éteint bien vite, lorsque Nael constate que son ami ne plaisante pas. Bon Dieu, mais c'est qu'il est sérieux, le bougre ! qu'il réalise, songeur. Faut dire que ça fait bien longtemps qu'on lui a pas posé cette question; la dernière fois, c'était en terminale, une fille nommée... nommée par un joli prénom féminin. Elle l'avait questionné innocemment, mais le jeune homme n'avait pas été dupe. Tout le monde le sait, "alors les amours ?", c'est la phrase innocente que l'on prononce pour ne pas demander directement "est-ce que la voix est libre pour moi ?". Autrement dit, la jeune femme avait voulu savoir si elle avait une chance avec Nael; étant donné qu'elle n'était ni très maligne, ni très mignonne, il avait dû lui faire comprendre en douceur que no way, rien ne se passerait entre eux. Mais bref, tout ça pour dire que si les anciens ados désormais plus âgés se soucient toujours de savoir si la voix est libre ou pas, ils s'évertuent néanmoins à trouver d'autres moyens d'obtenir une réponse que l'utilisation d'une phrase complètement clichée et bien trop entendue. Mais non, pour Marco, employer cette réplique semble totalement normal. Mon Dieu, pourvu qu'il ne soit pas gay et qu'il ne tente pas des avances, pense Nael, alarmé. Le jeune italien ne lui a jamais donné l'impression d'être homosexuel, - ses nombreuses conquêtes y étaient pour quelque chose – mais les apparences sont parfois trompeuses, on le lui a souvent rabâché. Marco doit d'ailleurs voir qu'il a distillé le doute dans l'esprit de son ami puisqu'il répond vivement. « Nooon, mais tu m'as compris quoi … Tu t'es rangé ou tu continues d'être un sempiternel célibataire ? » Bon ça va, Nael peut se rassurer. Non, Marco n'a pas de vues sur lui, il engage juste la conversation sur un sujet anodin, ce que tous les potes font. M'enfin quand même... Le jeune homme sent bien que derrière la tête brune de son ami, trotte une certaine idée dont il ne va pas tarder à lui faire part. « Des conquêtes par ci, par là, tu me connais. » qu'il élude, évasif. Il n'a pas spécialement envie de s'étendre sur le sujet ; ce qui l'intéresse, c'est de savoir où diable Marco veut-il en venir. « D'accord... Bon, tu sais, si je te pose la question, y a une raison. » Non, sérieux ? On s'en doutait pas du tout, tiens. Le jeune homme esquisse un sourire entendu, et l'invite à poursuivre, d'un geste de la main. « J'ai une amie qui va venir, avec un peu de retard... Le truc, c'est qu'elle est célibataire. Et franchement, je ne peux m'empêcher de trouver que vous seriez drôlement canons ensemble ! Bref, il faut ab-so-lu-ment que je te la présente. » Il finit sa tirade d'un ton réjoui en pointant du doigt Nael, l'expression qui affirme clairement « c'est-mon-anniversaire-donc-ce-n'est-pas-négociable- ». Le jeune homme pousse un soupir, un sourire fataliste sur le visage. Ah, on ne le changera pas, son Marco. Toujours à jouer les braves samaritains, surtout quand il est question d'amour. Depuis qu'il le connaît, Nael a l'impression que le jeune italien désire caser chacun de ses amis avec toutes les personnes qu'il croise. C'est à se demander s'il est pas pire qu'une gonzesse tiens, à chercher toujours les happy ends et les jolies histoires romancées. « Et bien écoute, je ne demande qu'à voir. » réplique-t-il tranquillement, tout en se resservant une coupe de champagne. Il ne pense pas qu'il va rencontrer l'amour de sa vie, mais peut-être la fille en question sera-t-elle bien foutue. Dans ce cas présent, il pourrait y avoir moyen qu'ils finissent ensemble le temps d'une nuit ou deux. « Elle va te plaire, elle est sublime. Bellisima, je te promet ! Oh attends, je crois qu'elle arrive. » Et sur ces mots, il se lève précipitamment, laissant Nael seul dans le carré VIP en compagnie d'une autre personne dont il connait vaguement l'identité, sans lui avoir jamais adressé la parole toutefois. Il lui offre un sourire, mais celle-ci ne le lui renvoyant pas, il hausse les épaules et se détourne. Il est sociable Nael, mais il ne va pas se forcer à parler aux gens qui ne font aucun effort pour tenter d'aller vers lui. Tant pis, il attendra le retour de son ami et de sa mystérieuse invitée avec les gâteaux apéritifs, la musique et l'alcool. C'est déjà une bonne compagnie, après tout. Au pire, il a matière à s'occuper ; il peut imaginer de quoi aura l'air cette jeune femme qui, d'après son ami, semble tout à fait délicieuse. Parce qu'il a quand même piqué au vif sa curiosité, le Marco. C'est son truc, de se la jouer mystérieux et théâtral. Et puis bon, il lui fait confiance. Son ami a peut-être la furieuse manie de vouloir caser ses potes, mais on ne peut dire que ses propositions soient indécentes. Ainsi, Nael s'était toujours vu présenté de superbes créatures, de vrais canons en puissance. Hé, on fait les choses biens, ou on les fait mal, disait souvent Marco, en guise de justification. « Babi, je te présente... » Les paroles du jeune italien le tirent de ses pensées. Ou plutôt, c'est l'entente d'un seul mot qui lui fait lever la tête, puis se lever tout court : Babi. Parce qu'il en a connu une de Babi, oh oui, même qu'il en a passé du bon temps avec elle, du moins, avant qu'elle l'oublie. Y en a pas beaucoup dans le monde des Babi, mais en même temps non, ça peut pas être elle... Tant de pensées qui se bousculent dans la tête de Nael, pour au final se briser contre un mur, un mur où est tagué en grand : bah si c'est elle, Babi Pelizza Da Volpedo, devant toi, devant tes yeux. Et on la sent, cette atmosphère chargée d'effarement; Babi semble aussi stupéfaite que lui, et Marco se retrouve sidéré de constater que la jeune italienne connaît déjà l'identité de ce cher angelot qu'il s'apprêtait à lui présenter. Nael aussi, il est étonné qu'elle connaisse son nom. Parce qu'elle n'avait semblé se rappeler ni son nom ni son adresse après leur été passé ensemble. Ils s'étaient quitté en se promettant de s'écrire, et finalement, y en avait qu'un sur les deux qu'avait tenu parole. Et c'était pas la fille. Que le monde est petit, finit-elle par dire. Ah oui, il est bien d'accord, Nael. Toujours très farceur, ce destin. « Effectivement. » La réponse est glaciale. Il préfère annoncer la couleur ; ce n'est pas parce que les années ont passé qu'il a oublié, Nael. Qu'il a oublié comment elle a lâchement rompu la promesse de garder contact avec lui, alors qu'ils venaient pourtant, de passer un été divin. Elle bégaye, et le jeune homme esquisse un mince sourire. Babi Pelizza Da Volpedo qui perd son aisance orale à cause de lui, c'est plutôt comique. « Ah ouais, je comprends mieux pourquoi tu m'as pas écris, c'est comme aujourd'hui, t'avais du mal à trouver tes mots, hein ? » Un brin d'ironie dans le ton, Nael fixe des yeux la jeune italienne. Bah oui, il a raison Marco. Bien sur qu'elle est belle Babi tiens, même que le bordelais l'avait détecté cette beauté, quelques années plus tôt. Et ils avaient formé un couple divin, autant clairement l'avouer. Ils avaient passé un été magique à deux, un amour de vacance passionné, le genre qu'on sait voué à finir aussi vite qu'il a commencé, mais dont on est sûr de se souvenir toute sa vie... Du moins, c'est ce que Nael avait pensé. Qu'aucuns des deux n'oublieraient.  Alors quand elle tend son verre pour trinquer, le jeune homme ne peut qu'être consterné. « T'es sérieuse là, Babi ? » qu'il s'écrit, en se rapprochant d'elle à pas lents. « On rigole un bon coup, et on trinque comme ça, sans se préoccuper de ce qu'il s'est passé, ou de ce qu'il ne s'est pas passé plutôt, durant ces dernières années ? On fait comme si de rien n'était ? » Il enchaîne les questions, et on sent qu'il est un peu amer, Nael. Cacher ce qu'il ressent, il n'a jamais su faire, et encore aujourd'hui, c'est une chose qui reste flagrante. « Remarque ouais, t'as raison. On trinque. J'ai pas envie d'entendre des excuses foireuses ou quoi, alors on va en rester-là. A nos retrouvailles, Babi ! » Il conclut d'un air faussement surjoué, et vient faire tinter le cristal du verre de Babi, un peu trop fort pour que le son soit agréable à l'oreille. Et bon anniversaire Marco, tu disais vouloir des rebondissements et des surprises pour ta soirée, t'es plutôt servi là, non ?
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MessageSujet: Re: (nael & baby) • cause you were mine for the summer. (nael & baby) • cause you were mine for the summer. EmptySam 30 Nov - 10:39

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