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+ two friends can have sex together, it's just a friendship with benefits

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MessageSujet: + two friends can have sex together, it's just a friendship with benefits + two friends can have sex together, it's just a friendship with benefits  EmptyJeu 21 Fév - 2:48



« Friendship with benefits is the most real relationship between us. »

► Les rayons du soleil chauffait ma peau avec délice. Il ne devait même pas être huit heure du matin, mais le soleil de San Francisco ne pardonne pas. Quatre ans que j'habitais ici et quatre ans que tous les matins de week-end, je me faisais réveillé par ce soleil chaud et réconfortant. Tous les matins, je me réveillais avant normalement les jours de cours afin de faire ma séances d'abdos et de footing le long de l'allée du campus pendant environ une heure. Iotas oblige, je me devais d'avoir un corps parfait et une ligne de conduite efficace si je ne voulais pas avoir de problème avec ma leucémie. J'étais dans un bon jour si j'y pensais sans être parano. Garett était encore endormie. Je l'avais épuisé le pauvre. A peine arrivé d'Angleterre et déjà le grappin dessus. Oui, mon coup de coeur de jeunesse, enfin pas vraiment vu qu'on a le même âge. Quand on était en Angleterre, il avait participé à X Factor et avait gagné avec succès. J'étais encore dans les championnats à l'époque et on avait fait connaissance lors d'un gala. Une accroche facile mais qui en était resté là. C'est à l'hôpital à San Francisco qu'on s'était revus. Check up pour la leucémie pour moi et bilan pour Garett qui a des cellules cancéreuses bénigne. Enfin, un espèce d'amitié vraiment amélioré s'est installé entre nous et depuis, à l'occasion, quand on en a envie, on couche ensemble et on rigole bien sans prise de tête. Anyway, j'avais besoin d'une douche en urgence là. Le bau aux bois dormant était toujours dans son rêve et moi collante de sueur. A la douche moussaillon ! Je me suis levée du lit avec précaution parce que le bélatre à côté avait un sommeil particulier après le sexe. Genre, le moindre mouvement un peu brusque et c'est repartie pour un tour. Et j'étais sur les rotule moi après cette nuit là. Ma chambre chez les iotas n'était pas individuelle mais ma colocataire avait découché donc il n'y a pas eu de problème. Je l'avais déjà prévenue que Garett allait passé. J'étais nue comme un vers quand j'ai traversé la chambre pour aller sous la douche. La fenêtre était fermé heureusement parce que je n'aime pas trop faire mon exhibitionniste, même si c'est assez tentant. En entrant dans la douche, j'ai allumé mon Ipod sur ma playlist préféré, celle qui n'avait que des chansons qui donnait envie de bouger sans s'arrêter. Pound the alarm de nicki minaj à fond dans la salle de bain, l'eau coulait sur mon corps qui dansait au rythme de la basse. Il y aura de l'eau partout mais je m'en fous, je nettoierais plus tard. Pour le moment, mes cheveux étaient gorgés d'eau, mes pieds étaient assez instables sur le carrelage mouillé et l'eau chaude coulait à flot sur mon corps parfait et ma peau parfaite. Je suis pas modeste, je sais, mais qui l'est quand il sait comment il est objectivement. La chanson fini, c'est Raise your glass de P!nk qui a prit le dessus. Bon, on reprend son sérieux et on prend sa douche correctement.
En ré-entrant dans la chambre, habillé et propre comme un sou neuf, je vis que le chanteur de ses dames n'étaient toujours pas réveillé. Non, mais il se fout de la gueule de qui là le chanteur de midinette. Allez, on se bouge. Sourire sadique au visage, je sauta sur le lit et le fit rebondir afin de réveiller monsieur, ce qui ne tarda pas. . Allez, on se lève Garett . J'étais une vraie gamine parfois. J'avais pas eu une enfance malheureuse, au contraire. J'avais eu une mère et un père adorable, compréhensif, pas restrictif pour un sou et qui m'avait donné cette liberté que j'ai toujours aujourd'hui. Mais mon côté gamine reprenait souvent le dessus quand j'étais en compagnie de personne à qui je faisais confiance. Confiance qui avait été gâché par une nuit que j'ai préféré passé sous silence de nombreuses fois. Je n'étais pas une fille salope qui larguait les gars sans préavis. D'ailleurs, je n'avais pas des restrictions sur ça. Hommes ou femmes, j'étais ouverte à tous car j'ai toujours pensé que la race humaine était bisexuelle dans sa totalité sans qu'il ne l'avoue. Certains y arrive, donc moi, même si je ne pense pas pouvoir avoir de relations avec des femmes dans le long terme. D'autres pas. Enfin, là n'est pas la question, pour le moment, c'est l'heure de réveiller Garett qui ouvre les yeux de manière brusque et totalement hilarante. Prise d'un fou rire, je tomba sur mon lit dans un mouvement brusque. Garett, qui n'y comprenait plus rien, me prit par les bras et se mit sur moi. . Alors, on veut jouer le dominateur monsieur Fitzgerald ? . J'aimais bien ce genre de jeu qui font que l'amitié est si belle. Vanne en tous genre, piques et délire qui n'appartiennent qu'à nous, c'est ce qui fait que l'on peut faire confiance à quelqu'un. Garett faisait partie de ce genre de personne avec qui je me sentais bien parce qu'en sécurité. Il était mon confident, mon amant et mon meilleur ami. On pouvait se balader à poil l'un devant l'autre sans pour autant se sauter dessus à tout bout de champs. Parler de nos amours et déceptions, de nos réussites et des nos échecs. Sans dire qu'on était les meilleurs amis du monde, on savait que l'on pouvait compter l'un sur l'autre en toute situation.
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MessageSujet: Re: + two friends can have sex together, it's just a friendship with benefits + two friends can have sex together, it's just a friendship with benefits  EmptySam 23 Fév - 15:26


« two friends can have sex together, it's just a friendship with benefits »


C’est au bruit de l’eau qui coule et d’une musique bruyante qu’il s’éveilla doucement. Garett prit le temps de laisser son environnement l’entourer. Le soleil chauffait sa peau, l’air était humide et il était parfaitement reposé. Les plaisirs charnels offraient toujours un sommeil réparateur à tous ceux qui avaient la chance de les pratiquer intensément. La veille, il avait eut la chance de se glisser dans le lit d’une magnifique jeune femme. Caroline. Ils s’étaient rencontrés alors qu'il était à l'apogée de sa carrière, en Angleterre, mais ils s'étaient revus dans le couloir menant au cabinet du médecin qu’ils avaient en commun. Elle pour sa leucémie et lui pour sa tumeur au poumon. Depuis ce jour, ils s’étaient revus, ils avaient longuement discutés… et s’était crée une amitié améliorée. Dès qu’ils le souhaitaient, ils s’appelaient, se voyaient, se confiaient, riaient, discutaient… et le tout se terminait dans le lit de la jeune femme ou dans le sien. C’était des moments dont il adorait profité et il fallait dire que la iota n’était pas mauvaise dans ce domaine. Mais elle était différente des autres qui étaient passé dans son lit. Contrairement aux autres, il ne fuyait pas comme un voleur lorsqu’elle était profondément endormie, avant même que l’aube se lève. Il ne s’éclipsait jamais. Il restait toujours à ses côtés et c’est ce qui faisait que c’était différent, puisque habituellement, il était un vrai salaud et il partait sans plus jamais donner de signe de vie à ses conquêtes d’une nuit. Et c’est un peu pour cela qu’une amitié améliorée s’était installée entre eux et il ne regrettait rien. Ce genre d’aventures faisait intégralement parti de son aventure à Berkeley. Il n’aurait certainement pas pu demander mieux. Il avait toujours été un jeune homme qui adorait fêter, s’amuser et profiter de toutes les occasions qui s’offraient à lui. À son arrivée en Amérique, il n’avait pas hésité une seconde à se glisser dans le mode de vie des américains et de passer toutes ses soirées en boîte ou dans un bar et toutes ses nuits dans le lit d’une nouvelle jeune femme. Dragueur invertébré, fêtard infatigable, ce n’était certainement pas son voyage en Amérique qui aurait ralenti ses ardeurs… au contraire. Ce pays lui offraient maintes occasions de se déchaîner et de prouver au américains que les anglais aussi savaient comment fêter jusqu’au bout de la nuit et qu’ils savaient comment attirer les plus belles proies dans leur propre lit. C’était peut-être un peu pour cela que américains et anglais s’entendaient aussi bien, parce qu’ils n’étaient pas si différents que cela, au final.

Le Fitzgerald entendit alors la musique s’éteindre et l’eau cessa de couler. La porte s’ouvrit alors qu’il avait toujours les yeux fermés, plongé dans ses pensées. Il devait sérieusement avoir l’air de dormir, puisque la voix de la Da Collina retentit dans la chambre dans le but de le réveiller. Il savait qu’elle pouvait être une vraie gamine parfois et c’est ce qu’il adorait chez elle. Qu’elle ne se prenne pas au sérieux, qu’elle ne prenne pas tout au sérieux. Cela ajoutait de la légèreté dans leur relation, puisque lui aussi pouvait être gamin. Ils s’entendaient comme larrons en foire et cela depuis le premier jour. Puis, soudainement, Garett ouvrit brusquement les yeux et son regard tomba dans celui de son amie. Ce qui se passa par la suite, il n’est toujours pas certain de l’avoir comprit. Elle tomba brusquement sur le lit, prise d’un fou rire qui semblait incontrôlable. Mû par une pulsion soudaine, il la renversa sous lui, se plaçant entre ses jambes et au-dessus d’elle. Pendant la nuit, il avait revêtit son boxer, heureusement, parce qu’ils seraient déjà repartis pour un autre tour. Le jeune anglais posa ses mains sur les bras de la jeune femme, la plaquant sur le lit. Cette dernière ne put s’empêcher de lancer une vanne à son intention. Il lui lança un sourire espiègle et il descendit laisser une trace de baisers brûlants dans son cou et il remonta vers son oreille. « Je suis toujours le dominateur, miss Da Collina. Vous devez bien le savoir, depuis le temps. » Il se redressa légèrement pour lui lancer un clin d’œil amusé. C’était aussi quelque chose qu’il adorait entre eux. Ce genre d’amitié extraordinaire où ils peuvent lancer des vannes en tout genre, des délires et des piques. Ce genre de petites choses que deux personnes partagent et qui n’appartiennent qu’à eux. Et dieu sait qu’il en partageait de ce genre de choses avec Caroline. Le Fitzgerald sortit de ses pensées et plongea son regard dans le sien. Il délaissa ses bras et posa l’un de ses avant-bras tout près d’elle et son autre main libre glissa sur sa hanche dans une caresse discrète. « Alors, qu’as-tu prévu pour aujourd’hui ? J’espère que je fais partit de tes plans. » Garett lui lança un autre clin d’œil, plus séducteur cette fois. Il avait bien l’intention de passer la journée ici, dans son lit, à s’adonner à toutes sortes d’activités réservées aux grands…
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MessageSujet: Re: + two friends can have sex together, it's just a friendship with benefits + two friends can have sex together, it's just a friendship with benefits  EmptyDim 24 Fév - 3:31



« Friendship with benefits is the most real relationship between us. »

► Le rire, la bonne humeur, les délires et les conneries étaient des choses dont je ne pouvais pas me passer. J'avais besoin de ça pour supporter le poids que j'avais sur mes épaules à chaque analyse ou visite à l'hôpital pour la leucémie. C'était ce qui me faisait tenir et me faisait avoir ce sourire permanent aux lèvres. Quand j'ai commencé à devenir indépendante et à recevoir chaque semaine mes analyses, à chaque fois, la veille, j'avais des nausées et des insomnies. Je versais des larmes, et gardais les yeux ouverts toute la nuit. Résultat, j'avais une tête de morte vivante au réveil et une bonne dose de maquillage était nécessaire pour que je retrouve forme humaine. C'était la seule manière de faire du fond de teint atteindre mon visage, sinon, il n'y avait pas plus fraîche que moi. J'aimais ma relation avec Garett, parce qu'il me soutenait quand on avait nos rendez vous et vice versa. Même si sa tumeur était bénigne, on ne pouvait jamais savoir quand est-ce qu'elle pouvait empirer ou autre. Moi, je savais que j'aurais ma leucémie surement toute ma vie, mais je faisais en sorte qu'elle ne s'aggrave pas. C'était cette raison qui me détruisait la veille de chaque remise d'examen. La peur d'être encore plus dépendante de ce foutu cancer du sang qui entravait ma vie. Je savais que j'avais de la chance tout de même. Je n'étais pas dans un stade très avancé de la maladie. Pas de faiblesses permanentes, des douleurs osseuses qui n'étaient pas trop handicapantes, etc. Mais même si c'était un état pré cancéreux, à n'importe quel moment, il pouvait devenir un cancer bel et bien installé. C'était ce stade que je redoutais de toute mes forces. C'est pour cela que je ne supportais pas l'attente des analyses et tout ce protocoles. Et c'était pour cela que j'avais besoin de cette joie de vivre que j'avais au contact de certaines personnes. C'était le cas avec Garett. Elle était fraîche, amicale, et sensuelle à la fois. Il n'était pas mon ami que pour coucher. Il l'était aussi parce qu'on avait cette complicité qui nous unissait et nous faisait être des êtres exceptionnels ensemble.
Pour le moment, j'étais en position de faiblesse mais je ne disais pas non. Il était sur moi, déposant des baisers sur mon cou. Coquin le Garett, j'en redemandais. Il jouait au dominateur, et franchement, je préférais les mecs dominateurs à ceux qui ont la queux entre les jambes, dans tous les sens du terme. . Tu veux jouer à ça ? . Je voulais le repousser, mais le bougre était fort. Avec ma force de danseuse, j'étais juste bonne à faire du vent. Il m'a fait son clin d'oeil du "je rigole". Mais quand sa main s'est baladé sur ma hanche, j'ai su que ce qui suivrait aller faire du sport. Moi qui venait de prendre ma douche, nom de dieu. Il avait une idée derrière la tête et autre chose. Heureusement qu'il avait remis son boxer dans la soirée, parce qu'il n'aurait pas tenu longtemps si il avait été nu comme un vers. Mais en même temps, ma petite robe blanche pouvait éveiller les hormones qui sommeillaient, il n'y a pas si longtemps. . Je ne sais pas, je n'avais pas de plan de prévus. Tu pensais à quelque chose en particulier? . Mes yeux étaient fixés aux siens. Je savais à quoi m'attendre et je ne faisais rien pour l'arrêter, au contraire. Mes jambes étaient allongés sur le lit, et ses coudes étaient de chaque côtés de ma tête. Autant dire que si je levais une seule jambe, il perdrait le contrôle. J'aurais adoré jouer encore avec lui, mais je voulais parler plutôt. J'avais besoin d'extérioriser, de dire ce que j'avais sur le coeur. Du coup, j'ai tourné la tête, et j'ai regardé le soleil qui perçait mes volets. J'avais toujours trouvé cela très beau et poétique, ce moment où le soleil perce les demeures et les inonde de sa clarté. Il devait avoir compris le message, car mes bras furent libre un instant plus tard. . Tu sais pourquoi j'aime courir le matin ? C'est parce que le soleil me réchauffe comme si c'était ma mère qui me faisait un câlin quand j'étais enfant. . Parler de ma mère était difficile. Si j'en parlais là, c'était qu'elle me manquait. Malgré toute sa trahison et ma haine envers ce qu'elle avait fait, je l'aimais quand même. Elle était encore et toujours ma mère. Aucune nouvelle en quatre ans, aucun signe de vie. J'avais des nouvelles par mon père, et encore, quand je laissais mon dégoût de côté. . Ce soir, on remet le couvert, mais avant ça, j'ai besoin de parler. . Je tourna ma tête vers lui. Il regardait le plafond, pensant à je ne sais quoi. Ses yeux étaient ouverts. Si je n'étais pas si amie avec lui, je serais sortie avec. Mais ma méfiance envers les hommes dans les relations n'étaient toujours pas partie. J'avais peur de souffrir, de me faire mal, d'avoir cette douleur au coeur que tant de livre raconte. La maladie de l'amour. Le seul amour que je connais est celui de l'amitié, et il faut bataillé pour l'avoir. Tous mes amis, je les ais depuis longtemps. Garett était un des plus récent. Et encore, sachant qu'on s'était rencontré bien des années avant. . Si t'étais pas mon ami, tu serais mon mec ! . C'était bien mon genre de lancer une phrase comme ça, alors que la situation n'y prêtait pas.
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MessageSujet: Re: + two friends can have sex together, it's just a friendship with benefits + two friends can have sex together, it's just a friendship with benefits  EmptyMar 26 Fév - 17:49


« two friends can have sex together, it's just a friendship with benefits »


La relation qu’il partageait avec Caroline était tout simplement unique. Garett avait eut l’occasion, tout au long de son adolescence, du début de sa carrière et de son séjour ici, d’accumuler les conquêtes et même quelques sexfriends. Des relations uniquement basées sur les plaisirs charnels. Mais avec la jeune femme, il avait développé un autre genre de relation. Certes, ils étaient très proches physiquement, mais aussi intimement. Ils se confiaient mutuellement et s’appréciaient sincèrement. Ce n’était pas qu’une histoire de couchette et c’était ce qu’il appréciait le plus de cette relation. Lui qui détestait et qui craignait tant d’offrir sa confiance et son engagement dans des relations importantes, elles faisaient parties des quelques personnes qui avaient réussies à se joindre dans son cercle de personnes précieuses à ses yeux. Il n’y avait aucun sentiment entre eux et c’était aussi quelque chose que le jeune homme appréciait. Allergique et haineux envers l’amour, il détestait ce sentiment et tous les autres qui venaient avec ce dernier. Il avait souffert en silence avec Rory et à présent, il ne voulait plus que cela se reproduise. Il n’accepterait pas une nouvelle relation de ce genre de ci-tôt. En fait, avec Rory, ils n’avaient même jamais débuté de vraie relation. Uniquement fausse, basée sur le désir de leurs managers respectifs de les voir ensemble pour le marketing et le public. Malheureusement pour Garett, il était tombé amoureux de Rory et il avait préféré se taire pour ne pas nuire à sa carrière ou risquer de briser la relation qu’ils avaient bâtie. C’est ainsi qu’elle s’était envolée vers l’Amérique et ils ne s’étaient plus jamais donné de signe de vie. Et récemment, lors de son arrivée en Amérique… il l’avait retrouvée. Par pur hasard, elle s’était retrouvée à être sa correspondante et pendant tout ce temps, lui ne l’avait jamais su. Lorsque son regard s’était posé sur elle, il avait été bouleversé. Les choses avaient-elles réellement changées depuis toutes ces années ou ses sentiments étaient-ils toujours intacts ? Il n’aurait su le dire actuellement. Cela le torturait depuis un bon moment déjà et c’est exactement pour cela qu’il s’était tout de suite attelé à accumuler de nouvelles conquêtes d’une nuit, dans le but d’oublier, de fuir. Lâche ? Ou simplement fatigué de souffrir inutilement ? Après tout, Rory ne l’aimait pas et elle ne l’avait jamais aimé. Il devait tourner la page, non ? Arriverait-il à le faire un jour ?

Et puis, le Fitzgerald revint à la réalité. Ici, dans cette chambre, au-dessus de Caroline. Il lui tenait les bras pour l’empêcher de bouger. Elle lui demanda si c’était à cela qu’il voulait jouer et il lui offrit un sourire enjôleur et amusé. Elle tenta de se déplacer pour le repousser, mais ce fut vain. Il était bien plus fort qu’elle et elle en était parfaitement consciente. Il avait bien envie de s’offrir un nouveau « round » de sport avec la Da Collina et il lui fit comprendre à coup de baisés et de caresses. Lorsqu’elle s’aventura sur le sujet des plans de la journée, il haussa les sourcils de façon suggestive. Avait-il quelque chose de prévu ? C’était bien évident. « À toi de deviner… » Il repartit alors à l’exploration de son corps délicieux. Elle l’avait toujours attiré dès le premier jour où ils s’étaient rencontrés. Séduisante, aguichante, il ne pouvait s’empêcher d’être constamment en contact physique avec elle. Une drogue. Une drogue plus saine que celles qu’il prenait avant l’annonce de sa tumeur et plus saine que celles qu’il prenait à l’occasion en pilule maintenant. Mauvaise idée les pilules, mais un drogué reste toujours un drogué, peu importe qu’il ne puisse plus consommer certaines drogues, il trouvait toujours le moyen de s’en procurer d’autres. À priori, sa tumeur ne l’effrayait pas plus que cela. Bien au contraire, mais la drogue était plus forte que sa peur. Caroline détourna soudainement son regard de lui et elle observa la fenêtre qui se trouvait à leur droite. Lorsqu’elle divagua sur le sujet du jogging matinal, il comprit le message. Il s’écarta doucement d’elle, se glissant sur le dos à ses côtés, la libérant de son poids. Elle n’avait pas envie de repartir pour un nouveau tour. Peut-être plus tard, mais à ce moment, quelque chose la tracassait. Le regard du jeune anglais se perdit sur le plafond, attendant qu’elle continue. Elle lui confirma qu’elle ne refusait pas une éventuelle partie de jambe en l’air, mais pour le moment, elle avait besoin d’autre chose. Parler. Il tourna brièvement la tête vers elle, légèrement surprit. Qu’est-ce qui pouvait bien la tracasser autant ? Lui laissant le temps d’aller à son rythme, ne voulant pas la brusquer, Garett retourna à sa contemplation du plafond. À nouveau, elle s’éloigna du sujet de ses problèmes et lui annonçant qu’il serait son mec s’ils n’étaient pas déjà amis. Surpris et amusé à la fois, il lui jeta un bref coup d’œil amusé. Mais en même temps, il se demanda s’il n’y avait pas un côté sérieux à sa remarque. Il glissa donc doucement sur le sujet. « Tu sais bien que je ne suis pas facile à vivre, je ne crois pas que tu aimerais être ma copine. » Il se retourna complètement sur le côté, le coude enfoncé dans l’oreiller, la tête posée sur sa main. Le jeune homme glissa une main sur le ventre de la jeune femme. Sans aucune arrière pensée, simplement pour la rassurer et lui donner confiance. « Racontes-moi ce qui te tracasse. » Il se rapprocha d’elle de façon presque imperceptible. Définitivement, quelque chose trottait dans son esprit. Avait-elle de nouveaux résultats médicaux ? Des problèmes en amour ? Il ne pouvait deviner à l’heure actuelle, mais il comptait bien découvrir ce qui la torturait ainsi.
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MessageSujet: Re: + two friends can have sex together, it's just a friendship with benefits + two friends can have sex together, it's just a friendship with benefits  EmptyVen 1 Mar - 3:43


It's your birthday so I know you want to ride out even if we only go to my house sip more weezy as we sit upon my couch feels good but I know you want to cry out.... you say you want passion I think you found it get ready for action don't be astounded we switching positions you feel surrounded just tell me where you want your gift girl...


► Je n'étais jamais tombée amoureuse. J'avais eu des aventures, des relations suivies, des coucheries d'un soir qui finissent en relation, mais je ne ressentais qu'une affection amicale à l'égard de toutes ses personnes qui ont partagé un pan de ma vie. L'amour, je ne le connaissais que dans un sens, celui de l'amitié. Celui envers mes parents et ma famille n'était pas de l'amour, mais plus un renvoie de ce qu'il me donne. C'est pour ça que je n'arrive pas à détester complètement ma mère, parce qu'elle m'aime encore malgré qu'elle soit déçue de mon comportement à son égard. Je rend ce que je pense que les autres ressentent à mon égard. Je ne donne pas ce que les gens ne me donnent pas en premier. C'est égoïste et individualiste, mais si on ne me donne rien, je ne donne pas. Je ne fais pas d'efforts pour qui n'en fait pas pour moi en premier. Alors avec Gareth, c'était la même chose. Il m'avait porté de l'intérêt, moi aussi et ça avait engagé quelque chose qui était toujours là. La confiance, c'est lui qui me l'avait donné en premier et la mienne avait pris un petit moment avant d'arriver mais finalement, elle était bel et bien là. Il faisait partie du cercle très fermé de gens en qui je faisais confiance. Bien sur, il y avait toujours des moments où ma méfiance naturelle reprenait le dessus, mais souvent, on se confiait quand on en avait envie. En clair, il était mon meilleur ami, celui sur qui je pouvais compter et me reposer sans crainte de jugement ou autre. J'avais besoin de ça car l'amour nous trahit, nous rend faible et idiot. C'est un sentiment que je n'aimerais jamais ressentir car trop encombrant, violent, incontrôlable et inattendue. Les coups d'un soir, les aventures d'une nuit et tous ces trucs là, ça me connaissait. L'amitié, les relations amicales et tous, ça aussi. Mais l'amour restait la grande inconnue dans ma vie, ce truc qui ne m'attirait pas parce que j'en avais peur, j'en était même effrayé. Des coups de coeurs, des attirances, c'était le plus loin pour moi. Mais aimer au point de tout faire, de tout pardonner, d'être niaise au possible et cucul la praline tel un escargot écrasé sur la route, non merci. Si ça me tombais dessus, je ne savais pas comment je réagirais. Sans doute, que je ne le verrais pas venir, ou au contraire, je le repousserais en bloc et foutrait le camps dans un pays lointain et isolé. J'avais une sainte horreur des choses que je ne connais pas. L'inattendue et inconnue me rendaient malade.
Mais pour le moment, j'en étais loin. J'étais dans le lit avec Gareth. Habillée et fraîche. Je regardais le soleil par la fenêtre, les rayons caressaient ma peau tendrement. . Ah, c'est sur que tu n'es pas facile à vivre. Mais je ne le suis pas non plus, alors on aurait pu bien s'entendre . Je lui fis mon sourire colgate de petite fille mignonne. Celui où j'avais l'air d'une enfant, comme je voulais l'être aujourd'hui. La main de Gareth a glissé sur mon ventre pendant qu'il se mettait sur le côté, le coude enfoncé dans le matelas, et la tête sur sa main. Si quelqu'un entrait dans la chambre, il dirait qu'on était un couple alors que pas du tout. C'est un peu pour ça que j'avais dit ça plus tôt. Je n'en voulais pas de ce couple, mais avec nous deux, ça aurait été explosif. Deux sales caractères et pourtant une grande complicité. Je lui ai alors tout dit. . Tu sais que je suis leucémique. Et bien, ces temps ci, je suis un peu plus fatigué que d'habitude et j'ai l'impression que la leucémie devient plus importante et ça me fait peur. . Ma leucémie ! Le sujet qui est toujours dans ma tête, me torturant les neurones de manière incontrôlable et sans arrêt. Je ne pouvais pas passer une journée sans y penser et ça me tuait à petit feu. Je savais qu'il fallait que je sois moins focalisé dessus, mais étant étudiante en médecine et à un an de ma spécialisation définitive, j'y étais encore confronté. Alors elle tournait sans arrêt dans ma tête.. Elle me tue . J'avais aussi l'image de ma mère me prenant dans ses bras après une prise de sang pour ma leucémie quand j'étais enfant.. En plus, ça va faire quatre ans que je n'ai aucune nouvelle de ma mère jour pour jour. Alors, j'ai cette nostalgie de nos vacances en Italie, nos délires mère/fille et tous ces petits moments passé ensemble avant qu'elle ne trompe mon père. . Ma mère était un sujet assez sensible aussi. Je peinais à en parler parce que j'avais envie de pleurer quand je le faisais. D'ailleurs, une larme solitaire m'a échappé. Je l'ai essuyé d'un coup rageur.
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MessageSujet: Re: + two friends can have sex together, it's just a friendship with benefits + two friends can have sex together, it's just a friendship with benefits  EmptySam 2 Mar - 21:43



« two friends can have sex together, it's juste a friendship with benefits »


L’amour, c’était un truc pour les faibles. Pour les nuls. Garett n’avait pas toujours pensé ainsi, malheureusement. Il n’avait jamais été un grand romantique, le genre d’homme qui tombe amoureux de tout ce qui bouge, non. Mais avec Rory, ça n’avait pas été bien compliqué ni bien long avant qu’il ne tombe amoureux d’elle. Ils n’avaient jamais eu de réelle relation amoureuse ensemble. Seulement une fausse, créée par leurs managers respectifs. Et pourtant, lui avait développé des sentiments amoureux pour la jeune femme. Mais pas elle. Alors il l’avait laissé partir pour l’Amérique sans jamais lui souffler un mot de ce qu’il ressentait pour elle. Il avait souffert en silence et il n’avait jamais eu de signe de vie de sa part par la suite. Depuis cette époque-là et celle qui avait suivie, il avait développé une haine considérable envers l’amour et tous ces sentiments destructeurs et inutiles. Aimer c’est bien beau, mais il faut bien l’être en retour. À quoi bon aimer quelqu’un de tout son être si cette personne ne vous jette même pas un regard ? Et bien voilà pourquoi à présent, il se refusait à l’amour. Et avec son arrivée en Amérique et ses retrouvailles avec Rory, il ne pouvait s’empêcher de se dire que la frontière entre la haine et l’amour était bien mince. Bien trop mince…

C’est un peu pour cela que lorsque Caroline s’avança sur le fait qu’il pourrait bien être son copain s’ils n’étaient pas amis… il fut bien surpris. Il eut le réflexe de se braquer, mais il se rappela alors avec qui il se trouvait et qu’il n’avait pas besoin de paniquer ainsi. Alors, sans même qu’elle n’ait pu le remarquer, il se détendit et se contenta de répondre par un fait véritable : il était un enfer avec qui vivre. Il était imprévisible et il avait parfois des sautes d’humeurs incroyables. Il ramenait une nouvelle fille dans son lit toutes les nuits et il était très bruyant lorsqu’il revenait d’une soirée. Saoul, défoncé, il ne manquait pas d’accrocher tout sur son passage, de crier, de se parler à lui-même. Enfin, quand il revenait seul. Lorsqu’il était accompagné, il était déjà occupé à autre chose avant même d’entrer dans sa chambre. Vivre avec lui serait un enfer pour cela, mais pour bien d’autres choses. Il n’était pas prêt pour l’amour et lorsqu’il avait peur, il avait cette manie destructrice de tout saboter. Il se braquait, il devait imprévisible. Il n’était pas fait pour être en amour, il n’avait aucune attache. Il n’était pas certain de pouvoir être fidèle, vu ses habitudes de salaud à coucher avec n’importe qui tous les soirs. Enfin, presque n’importe qui. Il pouvait se permettre d’être légèrement sélectif, et il le savait. Caroline avoua alors ne pas être facile à vivre non plus et il le savait. Enfin, il avait surtout dit cela parce qu’il ne savait pas quoi répondre à une telle remarque. Alors il ne répondit pas, laissant un silence confortable les envelopper. Jusqu’à ce qu’il se tourne vers elle, conscient que quelque chose la tracassait. Il voulait en savoir plus. Il ne voulait pas qu’elle garde cela pour elle, qu’elle se renferme. Et comme à son habitude en sa présence, elle s’ouvrit, lui avouant le fond de sa pensée. Sa leucémie. Voilà ce qu’elle craignait, ce qui la taraudait. Elle la sentait grandir et prendre le dessus sur elle. Sa main sur son ventre remonta à son visage, tournant celui de la jeune femme vers le sien. « Je suis là. Je serais toujours là pour te soutenir, tu le sais bien. Es-tu allé voir ton médecin pour avoir de nouveaux tests pour confirmer ce que tu penses ? » Et la leucémie fut mise de côté pour embarquer sur un autre sujet encore plus délicat : la matriarche de la Da Collina. Le Fitzgerald savait pertinemment que sa mère était un sujet sensible et douloureux. Quatre ans qu’elle n’avait pas de nouvelles de sa part. Une perte qui pesait lourd sur ses frêles épaules. Il lui caressa doucement la joue, s’adressant à elle de sa voix douce. « Je sais que c’est dur pour toi. Mais peut-être que c’est mieux ainsi, à quelque part. Je te l’ai dit à maintes reprises, mais je te le redis encore : il n’y a rien qui n’arrive pour rien. Il y a certainement une raison au fait qu’elle soit si loin de toi depuis tant d’années. » Cette dernière remarque de sa part lui fit penser à Rory. Il n’y a rien qui n’arrive pour rien. Aujourd’hui encore, il n’avait toujours pas comprit le pourquoi il avait fallu qu’il tombe amoureux d’elle et qu’elle parte si loin de lui, sans un regard en arrière. Chassant ses pensées, Garett chassa les quelques larmes qui s’échappèrent des yeux de la jeune femme et glissèrent sur ses joues.
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MessageSujet: Re: + two friends can have sex together, it's just a friendship with benefits + two friends can have sex together, it's just a friendship with benefits  EmptySam 9 Mar - 23:54


It's your birthday so I know you want to ride out even if we only go to my house sip more weezy as we sit upon my couch feels good but I know you want to cry out.... you say you want passion I think you found it get ready for action don't be astounded we switching positions you feel surrounded just tell me where you want your gift girl...


► Je n'aimais pas mentir. Je trouvais ça dégradant pour moi et mes amis, mais dans certaines conditions, il le fallait. J'y étais obligé. Le mensonge était lâche, faible, et était une preuve de non confiance totale. Mais parfois, c'était parce qu'on avait trop confiance qu'on mentait. On ne voulait pas blesser, heurté, vexé. Du coup, on mentait par peur de tous cela et cela nous apportait beaucoup plus de problème que ce que l'on pensait. J'en avais fait l'expérience de nombreuses fois, mais décidément, j'étais buté et je préférais souvent mille fois le mensonge à la vérité par rapport à mes proches. Ce qui était le total contraire face à des étrangers. Je disais tous ce qui me passait pas la tête. Compliments, méchancetés, critique du goût vestimentaires, je passais tous à la loupe, et c'étais justement pour cela que le plupart des gens m'aimaient bien. Parce que lorsque quelque chose était horrible ou magnifique chez l'autre, je n'hésitais pas à le dire à voix haute, sans chichis. Une liberté de parler qui m'apportait bien des problèmes aussi. En fin de compte, qu'on dise ou pas la vérité, on n'aura toujours des embrouilles parce que la vérité fait mal mais le mensonge encore plus. Le mensonge a seulement l'avantage de faire mal plus tard, avec un temps où l'on est innocent que confère l'ignorance. C'est pourquoi, quand j'avais une mauvaise nouvelle, je mentais d'abord. Et ensuite je disais la vérité. Bien des jours après. Il fallait que je mente aujourd'hui. Gareth avait déjà bien à faire avec sa propre maladie pour gérer la mienne aussi. On avait des cancers différents, mais le mien était plus dur et difficile à battre. Je ne voulais pas l'accabler de cette inquiétude constante et intraitable qu'infligeait la leucémie. Tous les jours, je me réveillais avec la crainte d'être plus faible que la vieille, d'avoir envie de mourir, de ne pas pouvoir me lever car trop faible. Alors j'ai menti encore. . Non, je ne suis pas encore allé le voir, mais je suis plus faible ces temps-ci . En réalité, j'avais trop peur de la vérité et de savoir jusqu'où était arrivé la maladie. J'avais eu un rendez-vous la semaine dernière et mes résultats étaient arrivés hier. L'enveloppe était bien gentiment cacheté dans le tiroir de ma commode à côté de mon lit. Mes yeux se sont posés sur la-dite commode et j'ai encore pleuré. J'en avais marre que mes émotions jouent au yoy toute la sainte journée. On aurait même pu croire que j'étais enceinte tellement ce n'était pas normal. Mais non, c'était juste moi, mes humeurs lunatiques et mon yo-yo émotionnel. En clair, une vraie bombe à retardement. Je n'étais pas constante dans mon comportement, trop instable pour être dans une situation stable, et assez pour attirer l'attention. Deux poids, deux mesures, je créais la curiosité chez pas mal de gens. Y compris ma mère. . Tu as déjà vu ma mère. C'est une femme adorable, pleine de joie et de la fougue propre aux italiens. Pourtant avec moi, elle est dure et intraitable car elle veut le meilleur. Je ne l'en blâme pas, mais quand j'étais petite, j'avais plus de moments dur qu'heureux avec elle, même si je n'ai jamais douté de son amour pour moi. C'était triste à dire. Quand j'étais petite, j'avais un peu peur d'elle. Pourtant, je n'avais pas de quoi. J'étais chouchouté, adorable, populaire depuis ma plus tendre enfance, et belle. En fait, j'avais tout pour moi, même aujourd'hui. Je réussissais à l'école, je gagnais le maximum de compétition et j'arrivais même à faire des pubs grâce à la notoriété que j’acquérais. Pourtant, je n'étais jamais assez bien, jamais assez jolie, assez intelligente, mes notes n'étaient jamais assez bonnes, et je ne fréquentais pas les personnes les plus influentes. Alors, quand elle a trompé mon père, je lui ait recraché cela à la figure. Toutes ses erreurs, toutes les remarques qu'elle me faisait. Ce n'est pas étonnant que j'ai été plus proche de mon père que d'elle. Il était largement plus démonstratif dans son amour de tous les jours. . Je vais la rappeler ce soir. Mais assez parler de moi, à toi l'honneur ! .

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MessageSujet: Re: + two friends can have sex together, it's just a friendship with benefits + two friends can have sex together, it's just a friendship with benefits  EmptySam 30 Mar - 22:54

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