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| Tu ne t'arrêteras donc jamais courir surtout après les jupons? [VALENTINO] | |
| Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: Tu ne t'arrêteras donc jamais courir surtout après les jupons? [VALENTINO] Jeu 23 Aoû - 16:23 | |
| - Comme plusieurs fois par semaine je me rendais au San Francisco Hospital y étant bénévole, je me sentais utile comme ça et cela m’empêchais de penser à mes petits soucis de mal du pays ou encore de mon père seul à des milliers de kilomètres au Texas, et puis ce milieu me tenait à cœur car j’avais pris soin de ma défunte mère atteinte d’une pneumonie, ayant refusé vers la fin tous soins en centre médical, préférant mourir là ou elle avait toujours aimé vivre.
Ces temps, ci périodes de vacances, les urgences furent pris d’assaut, des chutes en genre, des insolations, des coups, des entorses, des fractures, que tout le personnel avait été demandé pour s’occuper d’un car de jeunes adolescents faisait partie d’un carambolage, une matinée des plus soutenu que même la pause déjeuner avait été reporté un peu tard afin de s’occuper des cas les plus sérieux. Entre les admissions, les premiers soins, les examens à effectuer et une mise en place de première nécessité nous pouvions pour certains et ce à tour de rôle par petits groupes prendre enfin le temps de nous restaurer ou encore de faire un petit somme, ayant une garde de 48heures, une fois par mois, et il fallut que cela tombe justement CE weekend , le mien, certes je n’étais pas seule mais entre la future reprise des cours, mon emménagement récent et autres telles que mes sorites prévues entre amis, si je le pouvais-je rentrerais chez moi afin de faire une sieste de 12 heures, mais ce fut impossible et je le savais. Me remontant alors quelques peu le moral face à tous ses blessés l’ayant échappés belle, je me dirigeais vers la salle de repos afin d’y trouver un peu de calme prenant un simple sandwiche au passage à la cafétéria de l’établissement réservée aux personnels !
Ouvrant la porte je ne vis personne, et tant mieux, que je pris place sur l’une des chaises avant de boire à grande gorgée de l’eau bien fraiche à même la bouteille ! Je me dénouais quelques peu les cheveux, cela avait toujours eu le don de me sentir mieux, aller savoir pourquoi que je fermant un instant les yeux et me passant une main sur le visage je m’étais allée doucement à me détendre, posant mes jambes sur l’une des chaises se situant à mes côtés, sachant pertinemment que si je m’allongeais je m’endormirais plus vite qu’il ne fallait le dire ! Soudain je sentis un filet d’air frais, pensant que c’était peut-être le fait d’être un moment inactive, ou encore la clim qui s’était mise bref, que je m’aperçus que je n’étais plus seule désormais et que Valentino se tenait là…
Valentino, coureur de jupons, l’exemple même, s’il pouvait s’envoyer toues les infirmières de l’hôpital il le ferait avec joie, mais je n’étais pas dupe et je ne me laisserais pas allée à me rabaisser à coucher avec lui. Tout le monde connaissait sa réputation de tombeur et cela me faisait grandement sourire de le voir parfois ramer à vouloir me piéger mais j’avais beau être une jeune femme aimant la vie et la croquer à pleine dent, que je ne céderais pas pour autant, et puis ce petit jeu entre lui et moi était drôlement amusant pour ma part en tout cas…Excepté que là, fatiguée, épuisée, je ne souhaitais qu’une seule chose, me détendre et me dénouer tant j’étais compressée…
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| Sujet: Re: Tu ne t'arrêteras donc jamais courir surtout après les jupons? [VALENTINO] Ven 24 Aoû - 21:22 | |
| « Tu ne t'arrêteras donc jamais courir surtout après les jupons? »
Contrairement à beaucoup d'entre nous, je commençais seulement maintenant. Le bonheur. Quoique, un peu chiant de commencer une garde un samedi surtout que le samedi soir, c'était la fiesta entre potes et j'allais malheureusement rater cela. Mais bon, positivement, qu'il avait toujours des belles minettes pour me remonter le moral. De plus, le dimanche, il n’y avait jamais un chat. Depuis quand, nous faisons des radios, des consultations un dimanche, le jour du petit dieu.... Jamais... Ouais, il avait plusieurs dieux chez moi - le petit et le grand. Et le grand, c'était qui? C'était moi. Tout simplement. Non, mais sérieusement, c'était le bonheur de travailler un dimanche, j'avais toute la journée pour draguer n'importe qui, mais pas n'importe quoi. Je n'étais pas aussi fou. J'avais un énorme ego, et je pense bien que c'était cela qui attirait le plus chez les femmes. Je n'étais gêné pour un sou, et j'adorais emmerder les filles en leur posant des questions un peu gênantes. Bref, je me trouvais dans les vestiaires afin de pouvoir me changer. J'étais juste à côté du cassier de la belle Maëlle - celle qui raffolait de moi - . Bon, elle n'osait pas vraiment me le dire, mais j'avais un don pour savoir qu'une femme m'aimait. Le seul problème, c'était qu'elle était timide et c'est tout. Elle préférait faire genre, qu'elle me haïssait, mais au fond, elle est folle de moi. Je connaissais les femmes par cœur, et leurs petits manèges... Aujourd'hui, je l'aurais - elle va fondre littéralement sous mes pieds - Je sortais des vestiaires, et je me rendais directement dans le local des infirmières afin de les saluer comme il se doit. Mes stages, j'allais les réussir parfaitement surtout, que c'était les gonzesses qui me notait en fin d'année. C'était bien dommage que le professeur de chimie était un mec, j'aurais aimé avoir des notes faciles surtout qu'en cette manière, j'étais nul. Les atomes, les neutrons, les protons, ce genre de truc, ce n'était pas fait pour moi. J'allais certainement avoir une deuxième session à cet examen de merde. Après avoir salué chaleureusement mes "copines" que je me rentais à la salle de repos. Je pense que je l'avais bien mérité cette pause. Ce n'est pas pour cinq minutes, le temps de boire ma tasse de café que cela allait tuer un patient. Qu'il attente un peu, cela ne fera pas tort. J'ouvrais la porte et par ma plus grande stupéfaction, j'apercevais, la femme qui fantasmait sur mon corps. Un large sourire vint s'écraser sur mon visage, et j'ajoutais Avec elle, je ne savais pas trop sur quel pied danser donc, je préférais aller progressivement. Pourquoi précipiter les choses, j'avais mon temps, et je ne voulais pas tout gâcher. Je me servis une tasse de café avant de m'installer en face d'elle. Je la regardais pendant un long moment avec un air très sérieux. Je goûtais ma tasse de café avant d'ajouter: - « Tu vas me dire quand la couleur de ton string? »
Ajoutais-je très sérieusement avec un sourire qui en disant long. J'espérais qu'elle n'allait pas me renverser mon café sur moi et d'ailleurs, je priais le petit Dieu. credit: ruby |
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| Sujet: Re: Tu ne t'arrêteras donc jamais courir surtout après les jupons? [VALENTINO] Mer 29 Aoû - 17:09 | |
| - Je devais reprendre un peu de force et surtout me sentir au mieux de ma forme surtout que les cours n’allais plus tarder d’ici quelques temps à reprendre, je devrais m’organiser, entre cours, bénévolat, et soirées entre amis ou pas…Oui les amis et le relationnel avait une grande place dans mon existence, ce fut peut-être l’une des raison qui m’avait poussé à m’inscrire ici pour venir en aide de la façon que je pus à tous ses malades tant sur le point moral que physique. Et puis j’avais perdu ma mère, laquelle j’avais passé des heures durant à m’occuper d’elle, et ce jusqu’à sa mort à mes 12ans ou nous avions quitté le Texas pour l’Australie... ; pendant un temps ayant rencontré mo Grandet seul Amour…Déception telle que deûis ce jour je n’avais plus ouvert mon cœur à qui que ce soit escepté mes cuisses ! Ne pas se caser ne signifie pas devenir bonne sœur et j’aimais les petites sauteries pour me sentir bien et ayant des envies et de désirs comme tout le monde ! Enfin j’étais tout de même sélective
N’allant pas coucher avec le premier venu ou encore avec des personnes avec qui je travaillais comme ce Valentino, qui tient, entra dans la salle de repos avec un « Bonjour» reconnaissant sa voix, ne manquait plus que lui ; levant la tête et le voyant sans un mot, une tasse de café à la main je sentais qu’il allait encore tenter par l’une de ses remarques de m’atteindre ; soupirant doucement avant de tente ru léger sourire crispée histoire de ne pas me montrer hostile je l’observais fronçant doucement les sourcils sachant sa nature même. Sauter sur tout ce qui bougeait ! Et comme chacun sait, plus c’est inaccessible et plus on en veut ! S’installant donc face à moi je vis ses lèvres s’outre ouvrir non pas cette fois ci pur avaler une gorgée de ce nectar noir et fumant mais bien pour amorcer sa technique d’approche très « sophistiquée » !
« Tu vas me dire quand la couleur de ton string? » Me siégeant correctement et me levant afin de chercher une pierre de sucre, voire même deux pour mon café, je reviens ensuite vers lui afin de lui murmurer quelques mots à l’oreille arrivant derrière lui… -Désolée pour toi, mais sache que je n’en porte jamais et ! Ne vas pas croire que c’est pour tes beaux yeux.Alors que je repris ma place sur le siège, mouvant de ma petite cuillère ma boisson, reprenant de plus belle tout sourire. Au final il allait être une source de distraction durant cette longue garde. -Et puis il y a du choix dans cet hôpital, à moins que tu ne te sois déjà tapé tous les étages, enfin ne soyons pas non plus crédules, hein ? Tu n’es pas non plus du gout de toutes, j’en suis la preuve ! Levant la tasse à mes lèvres un sourire en coin je venais de l’attaquer comme quoi il n’obtenait pas toujours ce qu’il désirait, cii en l’occurrence, moi, ou mon corps. Et puis j’avais une autre arme en poche à voir comment il réagirait s’il poursuivait sur cette lancée. Mais une chose m’intriguais je devais le lui demander, que posant mon mug, et me penchant légèrement vers lui, les mains autour de mon récipient chaud je repris le regardant dans les yeux, avec un air sceptique et interrogateur. -J’aimerais savoir une chose…Dis-je en riant doucement et fuyant un instant son regard afin de reprendre mon sérieux. -Qu’est ce qui fait que la plupart des infirmières ici te tombent dans les bras ou plutôt dans ton lit ? Certainement pas ton sens de l’humour c’est certain à moins que... attends ! Elles doivent aimer ton sarcasme ou encore n’as-tu jamais imaginé que ce soient ELLES qui se fichent de toi, genre le pari de toutes te mettre dans leur lit et pas l’inverse ?
Je voulais simplement lui faire comprendre qu’il ne pourra pas toujours contrôler les autres ou encore les situations que cela me fit sourire davantage reprenant une gorgée chaude de café.
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| Sujet: Re: Tu ne t'arrêteras donc jamais courir surtout après les jupons? [VALENTINO] Mer 31 Oct - 19:37 | |
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