❝ t'as déjà vu un remake de serena et blair, ben c'est thea et adélaïde ! ❞ ▶ adélaïde

Invité

❝ we are like two opposites ! ❞

like a panda and a kangoroo

z. adélaïde weasley-river & thea i. mika gray-scott .♥. « when i walk on by, girls be looking like damn he fly i pay to the beat, walking on the street with in my new lafreak, yeah this is how i roll, animal print, pants out control, it's real fool with the big afro they like bruce lee rock at the club girl look at that body i work out girl look at that body i work out when i walk in the spot, this is what i see everybody stops and they staring at me i got passion in my pants and i ain't afraid to show it i'm sexy and i know it when i'm at the moss, purity just can't fight them up when i'm at the beach, i'm in a speedo trying to tan my cheeks this is how i roll, come on ladies it's time to go we hit it to the bar, baby don't be nervous no shows, no shirt, and i still get serviced » ▬ lmfao ;; i'm sexy and i know it.

San Francisco, 2012, Restaurant universitaire. Thea & Adélaïde

San Francisco, cafétéria, 11h48. Daaaah ! Pourquoi il est fermé aujourd'hui. Mikel's avait fermé pour la deuxième fois consécutive et je me rendais encore une fois à la cafétéria. Je n'aimais pas y aller. La foule, le bruit, les voix qui transperçaient les oreilles avec des cris qui pouvaient rendre sourd un chien. Y aller était un calvaire et je ne voulais pas prendre ma voiture pour être ensuite en retard à mon cours. Armé de ma carte bleue et de mon sac Lonchamps entièrement noir qui me servait de sac de cours, je me dirigeait vers le lieu maudit en priant le seigneur pour ne pas faire la queue comme une étudiante de bas étage. L'entrée était bondé de monde avant même d'être entrée dans la pièce. Décidément, je n'avais pas été entendu par ce bon vieux Dieu. Enfin, vu mon caractère, je pouvais le comprendre. J'étais caractérielle, impulsive et pouvait être une vraie garce quand je le voulais, c'est-à-dire, pratiquement tout le temps. Sympa le mec de prendre en compte le caractère de chacun pour qu'on puisse voir ses voeux exaucés. Mais pour le moment, j'étais toujours au bout de la file de la cafèt' en train d'attendre avec un masque de fureur qui faisait fuir beaucoup de monde autours de moi. Je ne n'en avais cure, cela était compréhensible. La file avançait lentement, trop lentement ! J'en avais marre d'attendre, j'avais faim, il faisait aussi chaud que dans un sauna, et cela faisait à peu près un bon quart d'heure que je faisais cette foutue queue pour aller prendre un repas qui ne vaudrait même pas le quart de ce que l'on me servait chez Mikel's. Argh, j'enrageais. J'étais d'une nature assez impatiente. C'est alors que j'aperçus qui était derrière moi. Adélaïde. Ma chère amie. A nous deux, on était assez infernale, un duo qui faisait des scènes, mais qui s'adorait tout de même. Autant dire que c'était risqué de faire partie de notre entourage. « Adélaïde ! Tu fais la queue avec moi ? » Ton condescendant et attitude hautaine. J'avais envie de l'énerver la petite Adé. Passer ma rage sur quelqu'un. J'avais bien conscience que ce n'était pas de sa faute et qu'elle était mon amie. Mais je n'y tenais plus. La faim me tiraillait, et j'en avais marre de faire cette foutu queue qui n'en finissait plus d'aussi loin que je m'en souvienne. J'étais dans une mauvaise période de la journée. Midi était synonyme de quelques chose. La nourriture. Et il fallait que je compte les calories pour ne pas prendre de poids. D'habitude, je n'y faisais pas attention. A vrai dire, je n'étais pas de nature gourmande mais pouvais ingurgiter des tonnes de nourriture sans prendre de poids apparent. Mais mon agent m'avait demandé d'être un peu plus maigre pour une campagne. Du coup, me voilà à compter les foutus calories pour perdre deux kilos pour la semaine prochaine. « Sa fait combien de temps que tu poireautes ? » La file avançait lentement. Non de dieu, mais qui avait donné ce job à ses femmes incompétente qui nous servaient avec leur filet qui faisait penser à ceux de poissons, et qui en avait l'odeur aussi vraisemblablement.[/b]

Invité

Breaking all the records that thought never could be broke

«.You could be the greatest You can be the best You can be the king kong banging on your chest You could beat the world You could beat the war You could talk to God, go banging on his door You can throw your hands up Standing in the hall of fame And the world's gonna know your name Cause you burn with the brightest flame And the world's gonna know your name And you'll be on the walls of the hall of fame.» the script ft. will.i.am • the middle

Never gonna know if you never even try.
▬And the world's gonna know your name.;;

Assise à sa place habituelle dans sa classe de littérature, Adélaïde s’accouda nonchalamment sur son pupitre écoute d’une oreille le cours, absorbé par la fissure qui se longeait sur le mur face a elle. Depuis près de 30 minute elle fixait se point d’un regard absent, vide, plonger aux tréfonds de ses pensés, sans se soucier de ce qui l’entourais. Elle jouait, inconsciente de son geste, dans ses boucles brunes qui se formaient par l’humidité qui flottait dans l’air. Elle s’était vite lassé se matin-là à se battre avec sa crinière qui ne cédait à aucun coup de brosse qu’elle donnait. Pendant des années elle s’était livré a une bataille qui s’avère être un échec monumentale puisque sa chevelure n’obéissait point. Autant ne plus perdre son temps, elle s’était vouée a une éternelle queue de cheval, laissant a son bon vouloir de ses boucles se formées. Elle fut brusquement sortie de ses pensés par le simple prononçassions de son nom d’un tond grave. Elle dirigea son regard vers la source et déglutit devant la mine furieuse de son professeur offusqué par son manque d’inattention. Elle baissa ses magnifiques prunelles sur ses notes et l’étudia comme si elle y trouvait une chose captivante. Ses joues pris une teinte rosé par la brulante impression d’avoir les regards braqués sur elle, une des choses qui l’horripilait de plus au point. Ce n’était pas l’une de ses pires craintes, mais elle n’aimait pas la sensation d’être au centre de toute attention au contraire de la plupart. Elle est celle qui se terre au loin, a l’abri des regards, perdu dans le tourbillon de son imagination sans être dérangée. Elle lui donna l’impression de suivre, avant de commencé à écrire quand son dos lui fit face. N’ayant aucune idée que donnera le résulta. Elle écrivait tout se qui passait dans un coin de son cerveau, laissant son écriture fine formé des mots, des phrase, un sens à ce texte. Cette pulsion qui c’était formé dans ses doigt et sa tête s’étendait sur cette feuille. Une petite crampe se formait sur le long de sa main, mais ne l’arrêta pas dans sa production et continuait à ne pas suivre, chose assez ou même très rare de sa part par son addiction a la littérature, mais il y a de ses jours que la passion passait en deuxième position. Et quand elle mit un point final a son paragraphe, la clocha retentait déjà dans la classe, et d’un même mouvement, les étudiants se levèrent, tels de automates avant de se rendre la sorti et de disparaitre dans le couloir. Dans son cas à elle, Adélaïde prenait son temps de rangé ses effets sans précipitation et nul besoin de s’activé pour se rendre a la cantine de l’université qui laissait a désirer sur sa qualité alimentaire. Elle agrippa la sous le regard que lui couvrait son professeur qui de plus, l’averti qu’il l’aura à l’ œil la prochaine fois. Elle fit un sourire faussement désoler avant de sortir. Elle souffla sur sa mèche rebelle qui lui barrait l’œil droit, se sentant en hors d’état de nuire. Elle s’arrêta en court de route à son casier pour y déposer ses livre de cours et d’un pas lent, pris la direction de la cafétéria. Comme si cela allais changer, la cantine était à craquer et une file interminable longeait le mur à sa droite. Pour ne pas perdre sa place, elle fit la file en regardant cette dernière d’un œil dégouté par la longue attente que cela prendrai. Pour faire changement elle empoigna son téléphone et pris un jeu débile au hasard pour se distraire un peu. « Adélaïde ! Tu fais la queue avec moi ? » , elle fut vite interrompu par une voix grincheuse qui lui était trop familière à son gout. Elle grinça des dents avant d’apparaître un sourire digne des hypocrites de son genre et fis un semblant de sympathise avec elle. Du haut de ses souliers a talon aiguille se trouvait l’une des personnes qu’Adélaïde avait développé un sentiment d’aversion. Blonde, qui l’aurait eu cru, riche, il fallait le deviner non ? , Thea était tout le contraire de la jolie brune qui n’avait loin d’avoir ce qu’elle avait niveaux matériels mais ne s’en plaignait point. De son 1m68, elle paraissait si petite au coté de la sublime blonde aux longue jambes interminable qu’était Thea, mais le physique l’importait tellement peu qu’elle ne faisait pas attention à son accoutrement pour se rendre en cours, loin d’être une carte de mode, et pourtant adorable dans son naturisme. Ensemble, elle formait le couple amical typique de cette série qu’assemblaient plusieurs jeunots, ‘’ Les Élite de NY ‘’ pour s’exprimer tel que la série, une perte de temps, mais qui attirait toujours son coté curieux. Bref, chaque occasion, chaque moment, elles s’envoyaient des piques pour agacé l’une de l’autre ou simplement se donner en spectacle, l’exception que faisait Adélaïde pour avoir l’attention. « Sa fait combien de temps que tu poireautes ? », son sourire faiblissait par son manque d’investissement à la conversation mais ne disparaissait pas. « Pas assez pour que tu n’ais pas encore remarqué ma présence. » répondit-elle sur un tond neutre, en tâchant comme elle le pouvait de se contenir au maximum. Puis elle remarqua une chose qui clochait chez Thea. Habituellement, elle ne perdait pas son temps dans se genre d’endroit, toujours assise à l’un de ses restaurant loin de bas étage que la cantine. Elle sait bien que l’argent ne manquait pas chez elle, mais puisqu’elle avait commencé les obscénités, autant l’encourager. « Alors ton père a fait faillite pour que tu retrouve ici ? Pauvre de toi, ça doit être honteux » énonça t-elle sur un ton légèrement triste alors qu'elle jouait avec ses mèches de cheveux en les enroulant autour de ses doigts.

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