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Questions-réponses [PV Alan M. Bird ]

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MessageSujet: Questions-réponses [PV Alan M. Bird ] Questions-réponses [PV Alan M. Bird ] EmptyDim 8 Avr - 13:59

Questions-réponses [PV Alan M. Bird ] Ts19 & Questions-réponses [PV Alan M. Bird ] Mini_997719icone6
Mini concert dans la salle de musique.






Encore une retrouvaille musicale, je ne pensais pas que je ne pourrais donc pas faire un écart sur ma musique. Restant dans la salle de musique comme à mon habitude, je me demandais bien si mon ami allait donc venir pour faire les répétitions. Rentrant dans la salle par ce si bon matin, je me doutais bien que je ne trouverais personne par cette journée peu agréable. Ouvrant la porte, je la laissais donc ouverte pour avoir le temps qu’elle s’aère un peu. Déposant mon sac sur la chaise et ma veste, je me demandais bien si j’arriverais donc alors à passer cette note qui me rendait nerveuse. A un moment donné dans la partition, je ne pouvais pas passer la note sans me tromper. En pleine forme, je ne voyais pas comment arranger les choses. D’ailleurs, aimant ne pas faire d’erreurs, je désirais donc faire alors une autre partie pour la maîtriser un peu plus. Jouant de mon instrument depuis mon adolescence, je ne pouvais pas vous dire si j’avais un bon niveau ou pas. Je savais juste que j’en jouais pour le plaisir et par pour autre chose.

Humidifiant mon anche, je ne savais pas si je jouerais du saxo ou du piano. Puis sachant que j’en avais fait la vieille, je prenais quand même le temps je jouais alors le morceau. Sachant que le jazz se trouvait donc en trois temps, je ne voyais pas comment arranger le truc à par passer donc par la phase frustration. Fulminant de coincer encore à ce foutu passage, je fermais cette fois-ci la porte pour ne pas infliger aux autres mon petit moment d’énervement. Claquant la porte doucement, je soupirais, je ne comprenais pas pourquoi est-ce que je m’énervais pour un si petit souci de note. Respirant donc alors calmement, je me demandais donc comment est-ce que je ferais pour ne pas penser à tout cela. Sachant que je pourrais aussi travailler méthodiquement dans le but de mieux appréhender cette partie du morceau. Tout en exigeant de moi une meilleure responsabilité, je ne comprenais pas comment est-ce que je pourrais alors avancer un peu plus. Me rapprochant donc alors du pupitre, je passais donc sur l’aspect de prendre mon temps. Alors que je me calmais, je voulais alors apprendre ce foutu passage. Fermant les yeux, je voyais donc dans ma tête mes doigtés. Jouant les notes plus lentement, je remarquais enfin le passage où cela coinçait. Il y avait effectivement une erreur de note qui donnait l’impression de corriger l’erreur. Prenant donc alors mon crayon, et notant donc sur la feuille l’erreur à changer, je voyais donc que la musique du professeur avait encore une chaise bancale.

* Il s’est encore trompé….Il le fait exprès ou quoi ?! *

Fulminant pour de bon, je me doutais que le concert de fin d’année allait alors être encore plus tendu que l’année dernière. Il me faudrait donc une fois de plus lui remonter les bretelles. Comment et pourquoi est-ce qu’il fallait que je lui remonte les bretelles ?! Il est professeur ! Je devais sans doute me tromper, je devais alors ne pas comprendre le pourquoi du comment….Je devais faire une erreur.

* Quelle pagaille….Il faut que je le voie…*

Oui il y avait un lien bizarre entre nous, je me doutais que je ne devais pas le faire. Mais bon, le connaissant depuis mon adolescence, il m’avait appris l’instrument de musique depuis le début, puis m’apprenant le piano, il avait dû partir à cause de mes parents qui sentaient qu’il y avait un truc étrange. Une relation bien plus profonde qu’élève-professeur…Une relation qui avait eu enfin son souffle lorsque j’avais mis les pieds ici depuis quatre ans. Sauf que les élèves parlent, les professeurs parlent….Une drôle de conversation qui me rendait aussi nerveuse que possible. Habitant donc en ville et non sur le campus, j’avais donc la possibilité de passer du bon temps avec lui sans que les gens me regardent de travers. Se voyant donc lorsque Monsieur le pouvait, il me rendait assez folle…Il y avait eu des hauts et des bas, on avait alors appris à se connaître, je l’avais pris pour un grand frère, mais à la longue il y avait eu alors autre chose, un petit truc qui me disait bien que je pouvais alors avoir autre chose tout comme il le voulait. Cette subtilité avait été alors changée après un bref éloignement ordonné par mes parents. Mais bon, avec les circonstances suivantes, je pouvais donc le voir à nouveau. Après deux heures de saxophone, je le rangeais après l’avoir nettoyé. Buvant un peu d’eau, je regardais ma montre, j’avais encore le temps de le voir. J’observais le piano, il se trouvait là devant moi, il avait alors une sensation que je n’avais pas encore eu. Tenant à jouer le morceau que je devais apprendre, je comprenais donc que je pouvais aussi alors prendre le temps de penser à autre chose. Passant mes doigts sur le clavier du piano, je me rappelais du jour où j’avais rencontré la première fois ce professeur. Il m’accompagnait au piano pendant que je jouais au saxophone. M’asseyant donc au piano, je commençais donc à en jouer alors que je me trouvais dans ma bulle, j’entendais une flûte venant du couloir. La porte se trouvait ouverte alors que je l’avais fermé. Jetant un œil, je voyais donc alors Alan devant moi. Il jouait mais ne disait rien. L’accompagnant, je le saluais de la tête pour ne pas être impolie. Le morceau me plaisait bien, puis alors que je le finissais, je lui laissais le temps de finir le sien. L’observant donc alors amicalement, je me demandais bien qu’est-ce qu’on ferait comme musique aujourd’hui.

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MessageSujet: Re: Questions-réponses [PV Alan M. Bird ] Questions-réponses [PV Alan M. Bird ] EmptyJeu 12 Avr - 20:54

    L'étudiant en littérature rasait les murs, comme tous les jours. Alan avait, depuis bien longtemps maintenant, pris cette habitude de passer inaperçu. Ne souriez pas, le brun était plutôt doué, dans ce domaine ! Avec un visage pâle, bien trop pâle, d'ailleurs, pour qu'il soit originaire de la Californie, le jeune homme se démarquait du lot, pourtant, et ses yeux bleu gris avaient un petit quelque chose d'impressionnants … Comme si ce genre de détails allaient changer quoi que se soit. Mister Bird était timide, solitaire, voilà tout !

    Furtivement, Alan pénétra dans le bâtiment principal, prenant bien soin d'éviter les toilettes au passage. Mon chou, ce n'est pas parce que tu y as croisé Lysander une fois qu'il sera là toutes les fois que tu y passera, tu sais ? Bin … on sait jamais. Timide, solitaire ET paranoïaque. Alan longea le couloir, marchant vite tout en prenant bien soin de ne bousculer personne, de ne frôler personne. Évitant consciemment le moindre contact avec les autres étudiants. Quoi, parler ? Vous n'y pensez pas ! Plutôt mourir, enfin, euh … peut être. Parler n'était pas exactement dans les cordes du jeune homme. L'irlandais n'était pas à l'aise avec les autres et préférait se montrer silencieux, jugeant inutile de se plonger dans des situations qui seraient susceptibles de mal tourner. Oui oui ! Parler, c'est se mettre dans une situation susceptible de mal tourner ! Parfaitement ! Imaginez un instant qu'Alan ne sache plus quoi dire ? Une catastrophe ! Et croyez-moi, ce genre de moment est, avec cet étudiant, bien vite arrivé.

    Alan rasait les murs, donc, se contentant de serrer de sa main gauche son sac qui battait mollement sur sa hanche gauche à chacun de ses pas. En plus de ses quelques ouvrages de cours, de la demi douzaine de romans américains, anglais et français, son sac protégeait l'un des objets au quel l'étudiant tenait tout particulièrement : sa flûte traversière. Un objet rare et précieux, qui lui avait couté cher. Alan, en passionné de musique qu'il était, en possédait plusieurs : l'ancienne flûte Irlandaise de son père, la première flûte que ses parents lui avaient offerts, celle sur la quelle il s'était entrainé pendant des années … et la dernière. Un instrument à la fois beau et fragile, qu'il manipulait avec une précaution extrême et qu'il n'avait jamais confié à personne. En même temps, vu le nombre de connaissances d'Alan, cela s'expliquait aisément …

    Il traversa rapidement le bâtiment principal avant de sortir au grand air, frissonnant sous l'air léger du mois de février. Rapidement, Alan releva le col de son blouson se donnant au passage un air charismatique, séduisant et mystérieux … ah non, pardon ... et parcouru rapidement les quelques mètres qui le séparait d'une autre entrée. Alan s'engouffra rapidement dans le long couloir qu'il connaissait désormais bien. C'était là, au bout du couloir, que se trouvait la salle de musique et normalement, Konomi devrait s'y trouver. C'était le jour et l'heure où les deux amis avaient l'habitude de se retrouver. Désormais en terrain connu, Alan osa enfin sortir la flûte de son sac et se mit aussitôt à jouer un air Irlandais. Avez-vous déjà vu … Un brun aux yeux bleu sautiller dans les couloirs de Berkeley en jouant de la flûte traversière ? Maintenant, oui. Bon, Alan ne sautillait pas tout à fait, mais il raffolait de la gigue Irlandaise et, si il n'y avait pas le risque considérable de se faire remarquer, il aurait volontiers exécuté quelques pas de danse.

    Les notes s'échappaient de sa flûte avec naturel et bon goût. Le jeune homme était doué et il le savait. Pas orgueilleux pour deux sous, Alan ne s'en ventait jamais, préférant se dire qu'il avait encore fort à faire pour progresser de façon correcte. Sans compter qu'il aimerait tellement apprendre à jouer d'autres instruments … Mais … un instant ! Était-ce du piano ? Son regard se mit à pétiller et Alan accéléra le pas, sa flûte toujours à ses lèvres. La minute suivante, il se tenait la porte et posait un regard brillant sur le piano. Il salua Konomi d'un signe de tête, appréciant les notes légères qu'elle tirait du piano. Rapidement, Alan rentra dans la pièce, se tenant bien droit afin de finir son … ça, un morceau ? Plutôt une petite improvisation. Bref, histoire de finir de jouer correctement. Ce n'est qu'à la fin qu'il ouvrit la bouche.

    - Bonjour Konomi.

    HJ : Je suis désolééééée pour le temps de réponse, j'ai eu une semaine plus chargée que prévue ._.
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MessageSujet: Re: Questions-réponses [PV Alan M. Bird ] Questions-réponses [PV Alan M. Bird ] EmptySam 14 Avr - 14:18

Jouant du piano, je voyais donc Alan devant moi, il m’avait salué, puis alors que je lui posais une question, je me demandais bien si j’aurais donc une réponse. - « Tu vas bien ? Quoi de neuf ? » Tout en jouant du piano, je sentais donc que je pouvais alors lui répondre tout simplement parce que je ne tenais pas à le laisser comme ça. Après tout pour une fois, j’avais un ami, un camarade que j’appréciais beaucoup. Je pressais donc la note suivante tout en l’observant, alors que je réfléchissais à une suite, je me demandais bien comment est-ce que je ferais donc pour lui parler alors que lui-même n’est pas très bavard. Ne connaissant pas la réaction des gens, mais connaissant celle d’Alan, je préférais donc lui laisser le temps de me dire ce qu’il avait sur le cœur sans le presser. Fermant donc les yeux, je pensais donc à cette petite suite de notre que Noah m’avait donc alors appris la première fois que je l’avais vu. Alors que je me rappelais ce merveilleux souvenir, je le voyais en flash back.

Début du flash back :

Une après-midi lors de mes quatorze ans dans un centre pour délinquants riches en Suisse, me trouvant dans cette salle vide, je patientais donc devant le piano en compagnie de mon saxophone. Je m’ennuyais depuis au moins une heure attendant alors qu’il vienne. Je me trouvais donc debout devant la fenêtre et alors que je jouais seule, j’entendais la porte se fermer. C’était la première fois que je voyais Noah, il était là devant moi ne disant rien mais tenant fermement un classeur contenant des partitions. Je pouvais les voir puisqu’elle dépassait du contenant. Je me rappellerais toujours son visage et ses yeux m’observant tout en disant pas un seul mot. Arrêtant de jouer, je me demandais bien comment est-ce qu’il serait possible pour moi de jouer sans explications. En fait, il penser que je ne comprenais pas l’anglais, mais bon, il s’était trompé. Il s’en était rendu compte une fois qu’il m’entendait poser une question au professeur de littérature. Le lendemain, il avait enfin osé me dire un mot « Bonjour. » uniquement celui-là. On avait comme une tension, un aspect que l’on n’avait pas encore pris en compte. La fraternité avait laissé place à un amour interdit, une facette de nous qui nous rendait vulnérables. On se trouvait donc dans une position peu confortable mais bon, pour une fois, il fallait donc apprendre à vivre au lieu de toujours tout s’enlever. Actuellement, je voyais Noah tous les jours ou presque, mon prof de musique ne laissait donc rien paraître pour que les autres puissent à nouveau nous faire du mal. On se voyait donc alors en couple loin de la faculté tout simplement parce qu’il ne fallait pas que l’on mêle étude et vie privée. Sauf que quelque fois, on ne pouvait pas ou enfin, on n’avait pas la possibilité de se voir. On laissait juste des notes se baladaient sur les feuilles pour se laisser un petit mot. Une tradition que l’on gardait donc alors en mémoire.

Fin du flash back :

Sortant donc de mon souvenir, je me levais alors que je prenais la partition que je n’arrivais pas à jouer, je regardais donc alors la note que j’avais corrigé. Il s’agissait d’un do que j’avais changé pour un la. Regardant donc la mesure, je me levais et prenant donc note du lieu de rendez-vous, j’envoyais une réponse par sms en note tout en sachant que seul lui pouvait le comprendre. Un code qui nous permettait donc de se voir sans être vu. Reprenant donc ma bouteille d’eau, je buvais pendant qu’Alan continuais donc à faire sa musique. Retournant au piano, je regardais une nouvelle fois la mesure pour ne pas oublier la partition. Il y avait des complications dans les doigtiers, je ne savais pas comment est-ce que je pourrais alors réussir à passer le cap des notes. Me laissant un peu plus aller, je regardais Alan qui ne disait rien. Passant à un rythme plus lent, je laissais la mélancolie me prendre dans ses bras. La mélodie facile et douce me rappelait tellement mon état d’âme que je ne faisais plus trop attention à ce que dirait Alan. A vrai dire dans ma bulle, je me trouvais dans un espace qui me rendait tellement bien que je ne voyais pas trop que j’allais m’impliquer un peu plus face à tout cela. L’une des petites choses de la vie qui permettait donc de prendre la vie à pleine dent. Contente de ce petit instant en compagnie d’Alan, je désirais juste que cette habitude perdure le plus longtemps possible. Je rentrais donc dans une phase amicale qui me donnait l’impression que mon interlocuteur ne dirait peu ou pas grand-chose. La timidité des gens variait selon les personnes, on ne pouvait pas trop anticiper bien qu’à force de connaître les interlocuteurs, on pouvait reconnaître le fil de leurs humeurs.

Rouvrant les yeux, je voyais donc Alan jouant de la flûte. Le laissant jouer seul, j’écoutais son humeur partir avec les notes. Il était plus ou moins joyeux, souriant mais ne disant rien non plus, je patientais le temps qu’il ouvre la bouche pour dire quelque chose. J’avais appris à patienter et surtout à attendre qu’il veuille s’exprimer. Je préférais donc alors le regarder pour savoir comment est-ce qu’il en jouait. Comprenant comment est-ce qu’il bougeait donc ses doigts pour aller faire les notes. Je faisais un peu de rapprochement avec les doigtés du saxophone. Bien que l’octave ne soit pas la même, je comprenais à peut-près les notes qu’il jouait. Ecoutant cette douce mélodie, je disais donc alors à mon interlocuteur.

- « C’est cool que tu sois venu. As-tu passé une bonne journée ? Au fait, tu voudrais faire quoi comme musique aujourd’hui ? »





HJ : pas de soucis, la vie IRL avant tout :plop:
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