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COLLEEN • « vivre à l'envers, vivre la douleur. »

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COLLEEN •  « vivre à l'envers, vivre la douleur. » Empty
MessageSujet: COLLEEN • « vivre à l'envers, vivre la douleur. » COLLEEN •  « vivre à l'envers, vivre la douleur. » EmptyVen 20 Jan - 1:27

« hurt me no more baby. »


« Écoutez, merde! Pour une seule fois dans votre vie merdique, écoutez-moi. Trois ans, hein. Ouais, trois ans déjà qu’on ne se parle presque plus. Alors laissez-moi seulement mettre quelques petites choses au clair. » dis-je, alors que je regardais ma mère, mon père et mon frère. Tous les trois étaient là, le sourire aux lèvres, croyant probablement que je baissais les armes et que j’allais admettre que j’avais besoin de leur aide financièrement ou d’une autre façon. Non, cela n’arriverait jamais, je vous l’assure. Ma fierté, ma priorité. Bref, regardant mon frère plus que mes parents, espérant qu’il serait bien l’un des seuls à comprendre cette situation, le voyant prendre la parole, comme s’il était le Dieu de la place. « Quoi? Essaies pas, j’sais déjà que tu fais du porno pour garder tes petites fesses bien au chaud dans ton appart’ de minable. » dit-il alors qu’en un seul instant, mes joues devinrent d’un rouge Satan. « P’tit con, va. » dis-je alors, tentant de rester calme et de me rappeler ce que je faisais véritablement ici. « Oh ça va. Garde tes humeurs menstruelles pour toi. Parle right now parce que j’ai pas que ça à faire écouter les mémoires de ta vie. » dit-il, tentant de me provoquer encore une fois, malgré un échec dominant. Tes humeurs menstruelles ? Ah, les prépubères. Regardant ma mère enfin dans les yeux, chose que je n’avais pas faite depuis mon arrivée matinale, je pris la parole, tentant de paraitre la plus sincère possible. « Comprenez, tout ce que j’ai à dire .. c’est pas facile. Et je vous fais confiance. J’ai besoin de votre confiance, en fait. Je veux juste que .. vous sachiez la vérité, au cas où s’il m’arriverait malheur. » dis-je, tentant de ne pas faire apparaître la moindre larme. « Ma chérie .. tu nous fait peur. Qu’est-ce qui ne va pas? » dit-elle, alors que j’arrivais à voir sur son visage, un semblant d’intérêt. Non, elle voulait juste savoir ma vie pour aller la raconter en potin au postier, au pharmacien ou encore, à son amant. Je pris la parole, mais cette fois, je savais que tout allait changer.. soit pour le mieux, soit pour le pire. Ainsi donc, soit je restais mariée avec mes parents, soit le divorce était ce soir. « Je suis dans la merde. Par-dessus la tête. J’ai fait une connerie. La pire que j’ai commis depuis qu’jsuis née. J’ai aucune idée comment m’en sortir. Et en plus de ça, j’suis amoureuse d’une femme. Et j’suis danseuse. Vous voyez, c’est la merveille. UNE PURE MERVEILLE, COMME JAMAIS. » dis-je, prête à sangloter comme jamais.

Ma mère, la bouche à terre, mon père yeux rivés sur la télévision et mon frère .. ce petit con de première classe, le sourire jusqu’aux oreilles. Il avait gagné ; il n’était pas un étudiant de bonne catégorie ( il était nul comme un pied en fait ) n’avait pas les petites amies à fréquenter et surtout, dormait tous les jours jusqu’à quatorze heures. Et pourtant, il venait quand même de gagner aux yeux de ses parents. « Tu dégages. Et tu ne reviens jamais. Allez avant que je te mette le pied au cul. » dit ma mère, comme si j’étais une étrangère mélangée avec un monstre. J’étais la même pourtant. Oui, mes parents étaient croyants, adoraient le oh, grand Jésus. Mais pourtant, le fait que je sois tombée amoureuse d’une femme, le fait que je danse ( même pas nue ) et le fait que j’ais des problèmes, auraient peut-être pu leur faire comprendre que ce que j’étais valait la peine d’être secourue. Et pourtant non. « Mais maman .. calme-toi. J’ai pas .. tué personne. » dis-je, sachant que c’était le contraire parfait. Enfin, je ne l’avais pas tué, j’avais simplement participé à un plan pour rendre son âme à Satan. Et alors, regardant ma mère se lever, comme si j’étais une femme des plus démoniaque, elle m’attrapa sauvagement par le bras, me traînant férocement jusqu’à la porte, me tirant de toutes ses forces mon manteau. « Shanelle, tu ferais vraiment mieux de partir. Je m’occupe de ça. Ça va .. aller. » dit-il, alors que mon frère faisait pour une fois véritablement preuve de maturité. Et pourtant, je voyais dans son regard de la pitié et de la peur ; bref, il allait endurer toutes les colères, tous les problèmes de mes parents, alors que ceux-ci savaient enfin la vérité. Et tout ce que j’avais eu comme réponse ou du moins paroles de mon père ; qu’est-ce qui se passe? Ouah, pour dire qu’il m’avait écouté, hein. Et je décidai de partir, contre mon gré, cœur déchiré, prête à tout casser jusqu’à la dernière miette.

Voilà, ça c’était le début de ma journée. Pitoyable, hein? Ouais, j’ai des envies de meurtres depuis. Verres par-dessus verres, mon but est d’essayer d’oublier toute cette connerie qui ne vaut rien. Complètement saoule, j’ai beau essayer de déposer ce petit verre de vodka, mais écoutes, tout ce qu’il dit ; « Bois-moi. Allez, fait pas ta peureuse. Steeeeeuplaît. » Et bien, sûr, je le bois. Certes, j’essayais de me résoudre, de comprendre que ma vie valait beaucoup plus que cette blague, que cette famille réticente et incompréhensive. Mais cette douleur persistante, qui tentait de me faire comprendre que je ne valais véritablement rien, m’empêchait d’avancer. J’étais une merde parmi tant d’autres. Voilà tout, hein. Assise à ce bar, je n’allais pas bien loin, je dépensais simplement presque le total d’une paie d’une semaine. Pas grand-chose hein. Ouais, sauf que tout cet argent ressemblait à une partie prioritaire du montant de mon loyer. Bref, alors que je tentais d’amadouer le barmaid avec mes yeux à le chat potté, je compris que je n’obtiendrais probablement rien de plus en restant ici. Je me devais de partir, même si j’étais complètement saoule, sans le moindre repère, ou sans la moindre idée sur qui compter.

Me retrouvant à l’extérieur, outre le fait que je chialais comme un bébé de deux ans, je me mis à chanter une chanson que je criais souvent à tue-tête lorsque j’étais dans ma douche. Bien que je n’ais aucun talent au chant. Et que je chante comme une casserole avec l’alcool dans le sang qui me dominait parfaitement. « I don’t do boys, I just do girls. I just do girls with style annnnnnnd class. Don’t do boys. Just do girls with a kissable ass ‘cause I will not do boys. » chantai-je, sur un ton du contraire de mélodieux et appréciable aux oreilles. J’étais nulle et j’adorais. Oui, je ressemblais à un clown de parade parfaitement saoul qui n’avait pas été capable de suivre la troupe. Il faisait nuit, vers les dix-heures du soir. Et en fait, je venais tout juste de chanter une chanson de lesbienne. Alors que les hommes, j’adorais aussi. Pouahh, le préférable pour moi était de rentrer chez moi et de dormir, ou au moins de prendre une douche froide pour simplement réveiller les quelques derniers sens qui me restaient en vie. Marchant toujours aussi jovialement dans la rue, je ne prêtais aucunement attention à toutes ces voitures qui avançait telle une éclaire. J’étais fragile, parfaitement détruite et j’avançais comme une pauvre mémé aveugle. Enfin, marcher. Je dansais plutôt en continuant de chanter cette chanson dans ma tête. Je ressemblais à un enfant. Sans parent. Qui vient de découvrir l’alcool. Et qui, avec son Ipod à fond dans les oreilles, se trouve génial d’offrir un spectacle à toutes ces voitures. Bref, avoir su que toute cette histoire me rendrait autant fragile pendant une journée entière, j’aurais préféré ne jamais avoir cette discussion pénible avec mes parents. Près de mon lieu de travail, où je dansais presque tous les soirs, j’eus une idée. Une idée parfaite qui, me ferait surement un grand bien, comme jamais. Allez avouer à ce patron de merde que j’avais ce qu’il était véritablement. Certes, j’aimais ce travail, mais je le détestais en même temps. J’étais stripteaseuse, mais je faisais beaucoup plus de choses que de danser. J’avais des obligations que je n’étais même pas supposée avoir, et je détestais mon patron, qui m’avait précédemment obligé à aider la perte de la vie d’un homme. Chose que je n’ai toujours pas réussi à passer par-dessus. Sachant que jamais, je n’y arriverai probablement.

Chantonnant encore, j’avais le sourire aux lèvres, le bouton dangereux d’allumer. J’étais rouge de colère et j’avais froid. Comme jamais. Et pourtant, lorsque ça n’allait pas, j’étais toujours ainsi ; je faisais semblant que tout allait bien, mais ouff, bien au contraire, je vivais un enfer comme je ne l’avais jamais vécu. De l’autre côté de la rue, ce bar où je travaillais, je le regardais presque en le dévorant du regard. J’avais déjà foutu une partie de ma vie en l’air, alors pourquoi ne pas m’achever complètement alors que j’en ai les couilles? La circulation commençant à être dense à cause de la lumière verte qui venait tout juste de s’allumer, je me précipitai juste au coin du trottoir, prête à traverser, alors qu’une voiture approchait à vive allure.

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MessageSujet: Re: COLLEEN • « vivre à l'envers, vivre la douleur. » COLLEEN •  « vivre à l'envers, vivre la douleur. » EmptyDim 22 Jan - 0:20

Colleen c’était levée de bon matin. Elle avait prit une douche, c’était lisser les cheveux, délicatement maquillée, parfumée. La jeune femme enfila un jeans troué au genou gauche, un débardeur avec une petite veste en cuire légère et une paire de converses blanches basses. Elle quitta son appartement, monta dans sa voiture et prit la direction de l’université. Elle aimait aller en cours, et la branche qu’elle avait choisit d’étudier a la place de la littérature lui plaisait beaucoup. Colleen suivait ses cours minutieusement, notant tout, retenant tout ce qu’elle pouvait et avait à chaque fois de bonnes notes. Non, elle n’était pas surdouée, ni grosse tête, elle se disait simplement que en bossant maintenant, elle arrivera plus facilement a se faire un nom dans le monde de la mode. C’était dans son intérêt et peu de gens la comprenait. A la pause du midi, elle se rendit à la cafétéria, ou elle prit une salade, le plat principal et un yaourt. Elle ne mangeait pas beaucoup, mais ce qu’elle mangeait lui suffisait. Elle n’avais pas cours cette après-midi, alors, elle alla s’installer dehors, sur la pelouse et se mit a étudier, sous le soleil.

Vers 16h, son photographe l’appela. Il avait besoin d’elle et comme elle avait besoin d’argent pour payer son loyer, elle lui dit qu’elle arrivait. La jeune femme avait rencontré un photographe professionnel qui lui avait proposé du boulot dans le domaine de la mode, ce qui lui allais vu ses études. Sa arrondissait ses fins de mois, et elle commençait a se faire un nom. La séance se passa bien. Un peu long, mais sa allais, Colleen en avait connue des plus durs. Son « patron » l’invita a manger le soir avec lui. Ils allèrent dans un petit restaurant italien, en plein centre ville. Colleen adorait manger Italien et lui, il le savait. Les rapports qu’ils avaient n’étaient que purement professionnels. Avec son passé, Colleen avait su faire confiance a cet homme qu’elle avait rencontré, plus vieux, plus expérimenté, mais aussi, il avait su prendre soin d’elle. La jeune femme a du mal à faire confiance, surtout en les hommes, après son viole à ses 16 ans. Sa a détruit sa vie et ses parents honteux l’avaient donc envoyé ici. Depuis la blondinette se méfiait de tout le monde et ne sortait plus.

A la sortie du resto, son patron voulu la raccompagner. Mais elle refusa, avec un joli sourire. Elle reprit sa voiture et commença à prendre la route pour rentrer chez elle. Il y avait particulièrement du monde ce soir et les rues animés. Elle mit la musique dans sa voiture et tapa le rythme sur son volant. Lorsque le feu ou elle attendait passa au vert, elle accéléra. Au loin, elle vit une personne, prête a traversé. Colleen se dit qu’elle avait bien le temps de passer, et que si la personne était assez intelligente, elle ne passera pas vu que le petit bonhomme rouge, bah … il était rouge. Mais plus Colleen avançait, plus la personne avançait elle aussi. La jeune femme mit ses warning, pilla et regarda la jeune femme devant elle. Non mais … Elle n’avait pas l’air bien, avec son mp3 sur ses oreilles. Colleen klaxonna. Mais celle-ci ne se poussa pas pour autant. Colleen sortie de sa voiture, et s’approcha de la jeune femme, qui ma foi, sentait l’alcool a pleins nez.

Colleen : Non, mais vous êtes folle ! Vous auriez put vous faire écraser. Et … Mais vous êtes complètement saoule.

Colleen la regarda et ne lui laissa pas le temps de dire un mot. Elle savait que si les flics passaient, elle finirait sa nuit en cellule de dégrisement. Et sa ne valais peut être pas la peine pour cette jeune femme. Alors Colleen la poussa de force dans sa voiture, et roula un peu plus loin, et fini par se garer.

Colleen : Vous savez que vous avez de la chance que j’aie eu le temps de freiner ? Vous allez bien ?

Question un peu idiote, vu les circonstances, mais c’était tout Colleen. Toujours à aider les gens, même de parfait inconnu saoul qui traverse la route en chantant.
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MessageSujet: Re: COLLEEN • « vivre à l'envers, vivre la douleur. » COLLEEN •  « vivre à l'envers, vivre la douleur. » EmptyLun 23 Jan - 21:59

J’étais terriblement saoule. Je ne regrettais aucunement mes actes de folie, de danger. Bref, en fait, c’était tout ce que je voulais. Me mettre en danger, en finir avec tous ces problèmes merdiques qui me tombaient sans arrêt sur la tête. Même si je savais très bien que ce n’était pas une des meilleures solutions à envisager dans mon cas présent. J’étais folle et indigne de toutes responsabilités lorsque j’étais sous cet effet et peu importe qui m’approchait, pouvait très bien m’avoir. Je n’avais aucune défense et aucune envie de le faire après tout. J’étais à donner à qui bon me voulait. Aussi simple que cela, ouep. Alors que je chantais toujours aussi fort, à tue-tête, je mis mon pied au bord de la rue, manquant me faire frapper à une vitesse sans bon sang. Et de cette voiture, je vis sortir une jeune blonde, surement le même âge que moi, presqu’en état de choc de ce qu’elle aurait pu faire quelques secondes avant. Je riais. Ouais, c’est tout ce que j’avais trouvé à faire alors que je n’avais pas la moindre force pour l’empêcher de me traîner jusque dans sa voiture qui démarra aussitôt, m’empêchant de dire quoi que ce soit ; et puis quoi, j’avais même pas la tête là, je savais à peine ce qu’il se passait. Donc, no problems. Et puis, pas très longtemps à près, voilà que nous étions arrêtées. « Oh, mais t’en fais pas. Tu pouvais me frapper, c’était à ta guise. Je n’aurais pas été fâââââchée. J’te dis. » dis-je avec cette haleine complètement saoule et ma voix rauque, comme si je jouais parfaitement à la pauvre petite fille qui fallait prendre en pitié et qui voulait se suicider le plus rapidement possible. C’était pas exactement ça, mais ça en était pas si loin en même temps. Je n’étais pas d’humeur à raconter ma vie et surtout, pas à une femme qui avait eu la crainte de me frapper. Fallait foncer beauté!

Alors que j’avais de la difficulté à bouger et à agir comme une personne parfaitement sobre, je repris de plus belle, avec toute ma sincérité possible. Pff, c’était pas beau à voir. « Et .. pour .. ton .. information ; JE NE SUIS PAS SAOULE. » dis-je, alors que mon côté sincère n’avait pas été mon allié cette fois-ci. Je parlais en articulant, comme si j’avais face à moi une femme sans cervelle ou un minimum, un handicapé mental de haut niveau. « J’ai bu un verre .. ah et puis peut-être deux. Et le troisième c’est le barmaid qui me l’a offert. Ah et à la fin, t’es pas ma mère. » répliquai-je, comme si je parlais à une copine qui tenait à moi ou bien en fait, vraiment à ma mère. Je faisais pitié et pas qu’un peu. Elle avait deviné en moins d’une seconde, chose qu’il m’en faudrait beaucoup plus semblait-il pour lui convaincre du contraire, que j’étais en parfait état. J’étais une piètre menteuse. Chose que je venais en fait de découvrir ce soir. Alors que je ne savais même pas la raison du pourquoi j’étais dans sa voiture et encore mieux, pourquoi j’y restais comme si j’y étais obligée ou ordonnée, je tombais de fatigue comme jamais, mais j’avais envie de faire la fête et non de me faire faire la morale comme la blondinette me faisait. En fait, je me tapais des monologues sans raison, je racontais un peu n’importe quoi, mais ça c’était un détail. « Bon, si ça ne te gêne pas trop, je vais sortir de ta voiture et aller m’amuser. Allez ; on est jeune et la soirée fait juste commencé. T’as qu’à te joindre si tu veux? » dis-je alors que mes yeux se remplirent d’un petit regard à la chat potté. Et puis, attendant sa réponse, j’agrippai la porte de la voiture, prête à m’évader saoule comme une folle dans la nuit.
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MessageSujet: Re: COLLEEN • « vivre à l'envers, vivre la douleur. » COLLEEN •  « vivre à l'envers, vivre la douleur. » EmptyVen 24 Fév - 9:27

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MessageSujet: Re: COLLEEN • « vivre à l'envers, vivre la douleur. » COLLEEN •  « vivre à l'envers, vivre la douleur. » Empty

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