En amour, comme à la guerre, tous les coups sont permis | A&C

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✿✿ Le cœur ne se partage pas, jamais.

♦ adam & charles-édouard

Un étrange sentiment s’est pris en moi il y a quelques temps, mais n’ayant pas eu le temps de me pencher dessus du a des étranges dans la vie de chaque Gamma. Des dégâts dans a demeure des Gamma la rendait inhabitable, et les Gammas devaient se trouver un autre endroit pour vivre. Bien entendu, on ne se serait jamais attendu à ce que l’on nous dise d’aller vivre chez nos pires ennemis, mais où j’aurais mérité une place il fut un temps, ou je l’ai surpassé en tant que Delta. C’est assez étrange, et pourtant on a fait avec, avec cette idée de vengeance en tête lors de la première soirée que nous avons tous passés, des sourires narquois, de la mauvaise volonté mais un encadrement nécessaire, espérons que ce soir-là les présidents eurent de l’effet sur leur sous-fifre. Les coups bas, et tout ça ne sont pas à jours, aux yeux de tous, juste derrière leur dos, j’en suis sûr, et je les comprends. Un moyen de se venger de l’administration tout en faisant des dégâts collatéraux, bien sûr les deux ne se laisserons pas faire, j’en suis sûr. C’est cela qui va être joli à voir, à jouer, c’est une bataille dans cette guerre qui dure depuis toujours entre nos confréries, les poupées contre les rebelles, ça va être du jolie. J’ai sans peur ou hésitation trouver une chambre qui m’a plus, déjà habité malheureusement, mais depuis mon retour je fais preuve de savoir-vivre et j’ai donc lancé la discussion avec le jeune homme avec qui je serais colocataire : Adam J. Bennet. Un mec sympa, qui n’avait pas réellement d’œil méchant envers les Gammas, envers les autres confréries, nous étions tous humains après tout et notre singularité était la force qui nous caractérisait. Chacun est différent de l’autre, bien heureusement. Par chance je suis tombé sur un bon petit gars, certes il venait d’arrivé à Berkeley et je l’ai aidé un peu, et j’ai trouvé chez lui une part de moi lorsque j’ai essayé de m’ouvrir, de redonner une chance à la vie de recommencer avec moi, malheureusement pour moi, j’ai mis du temps à le comprendre et à voir les mauvais choix que j’avais fait. Doucement Adam et moi sommes devenus amis et je l’ai aidé à faire les bons choix, à aller de l’avant et ne pas à avoir peur de ses sentiments, de les affronter et de ne pas avoir peur d’avoir mal, ceux qui ne nous tue pas nous rend plus fort, j’espérais être devenu plus fort car celle qui allait venir, jamais je ne l’auras prévu. Vous savez, lorsque vous aidez un mec à draguer une fille, il vous demande des conseils rapidement, son avis pour voir si l’on ne rêve pas, et maintenant qu’il m’a dit son identité, j’ai mal. Je suis jaloux, je suis un pur Gamma de nouveau, même si j’essaie d’avoir un self contrôle quand il est dans les parages. Aider un mec à draguer la fille qui vous plaît et qu’il réussisse à l’embrasser, n’est-ce pas idiot ? Je suis déçu par moi-même, et je m’en veux terriblement. Sans doute est-ce cette douleur qu’as ressenti Samuel lorsque je lui ai pris Riley, une douleur insoutenable, une envie de tout lâcher, il a dû la ressentir encore plus pire que moi. Cette fiche attachante se nomme Belinda, elle est belle, intelligente, et à tout pour rendre une nuit magique. Malheureusement, j’ai voulu aller lentement, alors que lui, sous mes conseils, a réussi à avancer plus rapidement que moi à croire. Je ne peux m’en prendre qu’à moi-même à présent, et savoir rester sain, et surtout calme. Sortant alors de la douche, je me dirigeais vers la chambre, en espérant ne pas le croiser, il n’était cependant pas là à mon plus grand bonheur. Je l’aimais bien, mais il avait Belinda dans la main, que voulez-vous que je fasse d’autres ? Que je l’aide à se marier avec ? Ben oui, c’est une idée ça ! Stop. Je ne rêve pas et vais essayer de ne pas devenir le connard que j’ai toujours été, je veux juste rester tranquille et ne faire de mal à personne, ce qui est bien sur impossible, on le sait tous. Je fermai la porte à demi et m’habilla. Un boxer blanc suivi d’un jean noir, je séchai mes cheveux et me laissa tomber sur le lit, mon lit, et regarda le plafond, penser ne me ferait pas de bien mais j’avais envie de me battre, cependant, il fallait combattre cette envie, la passivité c’est mieux, n’est-ce pas. Non, merci la Corse. Des pas approchèrent, mais la tête dans les nuages, je n’entends rien.

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✿✿ Le cœur ne se partage pas, jamais.

♦ adam & charles-édouard

Partager les chambres avec des Gamma ? Pour tous ceux de la confrérie d'Adam c'était purement impossible. Ils étaient rivaux depuis tant d'années ! Mais pourquoi ? Doit-on vraiment détester des gens parce que les confréries sont destinées comme telle ? N'apportant pas d'importance aux catégories et aux différences, Adam avait changé depuis quelques mois, essayant d'adopter la mentalité qu'il avait pu avoir dans le passé. A accepter que les différences sont toutes bonnes à prendre, il rencontra alors Charles-Edouard Castello, un jeune Gamma plutôt sympathique, mais il savait pertinemment que les Gamma sont plus mauvais que les Delta. Il fallait toujours se méfier de tout le monde, Adam était loin d'être naïf et ne comptait certainement pas le devenir ! Ah ça non, jamais ! Bref, ils parlèrent nouant un dialogue plutôt facilement, et étrangement. Ils se trouvaient des ponts communs, et se confièrent. Sans même le savoir, ils convoitaient la même femme : Belinda. Ils étaient d'accord sur d'autres points, c'était une jeune femme belle, intelligente De plus elle avait chamboulé Adam, oui. Car sous les grands airs qu'il se donnait elle avait très vite compris qu'au fond il n'en était rien. Belinda avait très vite compris qui il était. Contrairement à la moitié de ses amis qui se disaient proches qui ne cherchaient pas à aller plus loin que l'image d'un arçon qui passer toutes ses nuits avec des filles différentes. Non, ils lui demandaient simplement pourquoi il s'était arrêté depuis quelques mois ? Question bête, la raison de se changement était Belinda. Et c'était grâce à Charles qui lui avaient donner de nombreux conseils, et lors d'une rencontre à un nightclub, Belinda et Adam s'étaient embrassés. Cependant, étant heureux, il voulut alors partager sa joie avec son nouveau colocataire, qui semblait heureux pour lui jusqu'à ce que le Delta fasse part du nom de la belle au Gamma, soudain son visage changea tout comme leur relation amicale sans même qu'il ne lui ai donné de raison valable. Bref, la situation se dégradée, allant même jusqu'à des regards en coin de la part de Charles qui ne lui adressait que très peu la parole. C'était pourtant un chic type au fond, et il avait certainement des raisons valables pour ne plus parler. Adam s'était levé avant lui, pour aller en cours d'art, sa matière principale. Et après deux bonnes heures il n'avait plus de cours pour la matinée, il décida de rejoindre sa chambre, pensant que Charles aurait prit le chemin du campus. Arrivant devant la porte qui était légèrement ouverte, il la poussa et trouva son colocataire allongé sur son lit. Adam rentra fermant la porte et déclara un simple « salut ! » auquel il n'y aurait peut-être pas de réponse. Vers le lit qu'Adam occupé proche de la fenêtre il posa sa dernière toile et s'assit sur son lit jetant sur sa table de chevet son paquets de clopes et sa téléphone. Qu'est-ce-qu'il pouvait lui dire ? Il sentait bien qu'il y avait un malaise, il n'allait pas faire comme s'il n'y avait rien de ça !

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✿✿ Y croire encore quand tout semble perdu, c'est de la pure folie, c'est le vrai amour.

♦ adam & charles-édouard

Adam, un concurrent que je ne pensais jamais à avoir. Un être si gentil, si bien, même s’il a fait des erreurs. Je m’en veux beaucoup, et je lui en veux aussi, j’ai été altruiste et ai pensé à son bonheur au lieu de penser au mien, je me suis comme brisé le cœur. Il a beau me ressembler, dans le temps, il ne pourra jamais éprouver l’immensité de ce que j’éprouve pour elle, ça il ne pourra le copier, je ne pourrais lui conseiller, il est ainsi mon rival, sans qu’il ne le sache. Je n’ai pas l’envie de lui dire, et je ne lui dirais pas, mais tiendrais-je ainsi ? Sous cette couverture d’un mec gentil, sympa, je suis un Gamma et je ne dois pas renier ce que je suis au fond de moi, ce démon, je suis un véritable démon, et je ne peux pas réellement cacher mon jeu, je peux cacher ma véritable personne aux autres, mais pas à moi-même. C’est alors qu’il arrive, entre et me salue. C’est un entrée glaciale, et je ne dis rien, mais la bonne conscience que j’ai me pousse à le saluer, c’est dans un murmure que je fais un effort et que je murmure un léger « Salut.. . » CONNARD ! Devrais-je dire, je ne me retenais avec une force venue d’ailleurs, ou avais-je appris à avoir un tel self contrôle de mon conscient et mon inconscient ? En Corse, lorsque j’avais appris à la fermer lorsqu’il me demandait, à souffrir quand il le fallait, à frapper fort aussi. Ces réflexes meurtriers appris avec les plus forts de Corse, tout cela pour mon ascension. Je me lève, je n’en peux plus de rester allongé à regarder le plafond alors qu’il pense surement à elle, je vais dans la salle de bain sans éviter un coup de poing dans le mur, la colère rend mes gestes plus forts, moins contrôlés, je perds de mon contrôle mais il ne faut pas. Je me rince le visage avec de l’eau froide, me regarde dans le miroir et respire un bon coup avant de prendre une serviette et de me sécher. Je dois rester calme, sage et innocent, tout le contraire d’un véritable gamma, je ne suis même pas à la cheville d’un Delta et c’est bien ça le problème : ce n’est pas moi. La force d’un gamma se fait dans sa capacité à analyser la situation, la comprendre et faire en sorte que plus personne ne la comprenne, en clair, foutre son bordel et sa propre idée. Les Gammas sont des anarchistes, des génies et des drogués en tout genre, mais les plus intelligents se trouvent ici et c’est bien cela le problème, alors ne les sous-estimer jamais. Comme je me sous-estime moi-même. Je ne suis pas aussi sage que ça. Mes muscles se contractent, je force sur le lavabo et MERDE « Fais chier putain de merde, matériel de merde. » Le côté droit du lavabo se trouvant à présent dans ma main. Merci la Corse, merci ! Je sortis alors de a salle de bain, une égratignure sur l’avant-bras du à ma moitié de chute et je jetai le morceau dans le couloir vu que la porte fut de nouveau ouverte, j’entendis un cri de surprise puis de colère sans pour autant que quelqu’un ne vienne se plaindre réellement, les Gammas ont retourné ce lieu et instaurer un ordre de terreur. Le règne des Gammas sera, ou que ce soit. Croisant le regard de Adam, j’eu envie de l’étrangler, calme Charles, calme-toi mon petit. Naaaaaaaaaaaaaaan, je ne me calmerais pas, j’en ai tout simplement marre. « Alors, ça va avec Belinda ? Besoin d’un autre petit conseil ? » Dis-je avec un sourire faux, mais qui fut convaincant, je voulais qu’il y croit, et que je ne tienne plus, je voulais l’étriper, mais je me retiens, comment ? Suis-je devenu trop gentil ? Ai-je perdu de ce qui faisait de moi un être redouté ? Ou bien je me cache mon jeu à moi-même et aux autres pour ne pas montrer que je suis dangereux. La question reste en suspens, l’attention est porté sur lui à présent, sa réponse sera la clé de mes actes.

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✿✿ Le cœur ne se partage pas, jamais.

♦ adam & charles-édouard

Il ne fallait pas être intelligent pour comprendre et voir qu'il y avait quelque chose qui clochait. Charles étai un garçon sympathique, souriant qui n'hésitait pas à lui donner des conseils pour qu'Adam réussisse à faire face à ses sentiments envers une jeune femme dont le nom lui était encore inconnu. Oui, Adam lui avait dit qu'il ne voulait pas souffler le nom de la belle avant d'être plus sûr des sentiments de celle-ci. Et c'est après leur soirée en boite de nuit, et leur échange de quelques baisers futiles qu'il se décida enfin de faire part du prénom de Belinda à Charles. Son visage changea d'expression et se figea. Depuis ils ne communiquaient plus, et leur discussions avaient cessé. Charles était un garçon qui lui ressemblait au fond, cependant Adam changeait petit à petit, et redevenait cet agneau inoffensif qu'il avait put être avant la drogue et le reste. Puis l'histoire avec son ex-petite amie qui l'avait endurcit et qui l'avait fait devenir ce qu'il était aujourd'hui : un garçon qui ne confit que trop rarement sa confiance et qui est toujours remplit de méfiance envers tous. Mais cela, c'était avant. Avant qu'il ne rencontre Belinda et qu'elle ne le chamboule : à lui confier tout ce qu'elle avait pu rassemblait sur lui pendant leurs brèves entrevues dans les couloirs, par les gestes qu'il avait pu faire. La soirée qu'ils avaient passé pris une fin étrange sous le signe du doute et des questions. Quels étaient ses sentiments étranges qui s'emparaient de lui ? Enfin, rentrant dans la pièce Adam sentit très vite que sa présence n'était pas la bien venue, mais après tout si Charles ne voulait pas le voir il n'avait pas se lever, faire son sac et partir. Mais cela serait dommage, Adam se moquait bien qu'il soit Gamma, Omega, Delta ou d'une autre confrérie. Oui, il n'apportait que très peu d'importance à celles-ci, il jugeait et appréciait les gens pour ce qu'ils étaient vraiment. Il déclara un simple salut qui n'eut aucune réponse, il alla s'asseoir sur son lit, jetant ce qui se trouvait dans ses poches sur sa table de chevet et posa sa toile contre le mur. L'ambiance devenant pesante Charles alla dans la salle de bain. Un bruit, puis des insultes surgirent de la pièce. Adam ne voulut pas être indiscret, mais le vit revenir jetant un morceau blanc dans le couloir. Il fronça ses sourcils, qu'est-ce-qu'il pouvait bien se passer dans sa tête ? Non pas qu'il pensait qu'il était fou ! Mais qu'est-ce-qu'il avait pu lui faire pour qu'il soit autant à cran ? « Alors, ça va avec Belinda ? Besoin d’un autre petit conseil ? » pas dupe, il remarqua ce faux sourire, mielleux. Adam décida de se lançait « Bon écoutes Charles, dis moi clairement ce que j'ai pu faire pour que tu deviennes aussi faux ?! Je pensais qu'on était amis, après tout, c'est peut-être bien vrai ce qu'on dit sur les Gamma ! Mais je ne pensais pas ça de toi ! »

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✿✿ Mes joujous ne sont pas les tiens, voleur.

♦ adam & charles-édouard

Tout est plus ou moins simple entre mecs, quand il y a un problème, il ne faut pas chercher loin, question de fierté ou bien une fille. Et dans le cas d’Adam et moi, c’est une fille, mais lui ne connaît pas la raison exacte, tu es aveugle mon petit. Mais ainsi soit-il. Il m’a pris Belinda, il m’a devancé et avec mon aide en plus, j’ai été idiot et je ne le serais plus avec cet idiot de Delta. A quoi bon croire que les gens ne sont pas ce qu’ils sont, la vie, il faut la vivre et moi je veux la vivre avec Belinda, la seule fille avec qui je me suis senti bien, qui a pu m’arracher au monde juste en m’accordant son attention. Mais l’idiot que j’ai comme colocataire dans cette demeure a voulu s’accaparer la fille tout seul, et j’aurais surement fait pareil, je ne peux lui en vouloir pour ça, mais la frustration que j’ai à mon égard, celle-ci je ne peux pas la nier, et c’est elle qui me rend si.. nerveux, jaloux. Une facette de ma personnalité que je pensais avoir restreinte mais qui aujourd’hui reprend ses libertés d’antan et m’en fait voir de toutes les couleurs, surtout au jeune Delta. Ma colère cependant ne veut pas se dissiper, au contraire elle s’accroit lorsque je me fais mal dans la salle de bain, et que j’en casse le lavabo, merci la musculation en Corse. Oui j’ai de nouveaux muscles surement mieux que les anciens, et qui me servent à casser des lavabos, super ! Je prends le morceau et le jette dans l’entrebâillement de la porte avant de fermer celle-ci et de lancer une pic à ce Delta qu’est Adam. La réaction fut sans équivoque, il marcha pleinement dedans, e regard que je lui lance par la suite n’est plus aussi doux, il est noir. Ma colère, ma haine se réveille. Il insinue que les Gammas sont mauvais, les connait-il réellement ? Il est jeune, il n’a que des mots en bouche, des illusions dans les yeux, il ne connaît pas réellement la couleur du mot souffrance, et celle du mérite. Il ne mérite pas Belinda, elle a besoin d’un vrai homme, pas d’un enfant pas sûr de lui. Je me lève, et le regarde toujours, je ne quitte pas son regard et m’approche enfin de lui, les yeux rouges de colère, les mains tremblantes, un dément qui se contenait contre sa propre rage pour ne pas faire de mal « Oui, je suis bien un Gamma et tu peux le voir par toi-même, nous sommes tous des démons ! Tu es réellement idiot ou quoi ? Il te suffit de réfléchir à nos discussions pour comprendre que personne n’est à l’image de sa confrérie, que l’on se donne juste un style de vie pour paraître dans le coup, pour ne pas être out, pas hors-sujet. Les gens préfèrent être catalogués plutôt que de vivre selon leur vision de la vie. Les Gammas je les ai choisis, et non pas eux. – Je finis ce discours innocent sur les confréries, insinuant fortement que le jeune homme est influençable, sans personnalité – Tu veux réellement savoir ce qu’il y a ?! – Je m’approche de lui et ne bouge pas, puis vais me poser dos à un mur, loin de lui et reprend – Tu m’as volé Belinda. Voilà ce qu’il y a, je t’ai aidé à la draguer alors qu’elle me plaît bien plus que tu ne pourras le comprendre. Et maintenant, je te hais. » Autant que je me hais de t’avoir aidé dans cette tâche sans le savoir. Mon regard n’est pas gentil, il ne s’adoucit pas, il est tout simplement cruel envers lui, et j’ai envie de le frapper au plus profond de moi, mais je n’irais pas jusque-là, la discussion ne fait que commencer et je veux entendre ce qu’il a à dire, même si je sais que ça ne va pas me plaire, je ne me laisse pas le choix. Les bras croisés sur mon torse, mon souffle est rauque, j’ai légèrement mal à la gorge et je viens de capter que je n’ai pas parlé mais crier sur la fin. Une histoire de fille comme je l’ai dit. Mais je ne veux pas être comme ça, je ne veux pas être si faible. Je ne peux pas rester comme ça, entiché à une fille qui en veut à présent un autre, un autre que j’ai aidé. L’impatience se lit sur mon visage, je reste contre ce pan de mur, je le regarde toujours de ce même regard, il n’a pas le choix et doit comprendre par là qu’il doit bien choisir ces mots, j’ai hâte de voir s’il a la détermination pour me tenir tête pour Belinda, si réellement elle lui est chère, j’en veux la preuve réel. Au fond, je n’habite pas ici depuis longtemps, mais je pense que je vais retourner vivre chez moi et lieu de toujours vivre dans les bâtiments de confréries, qui sait ce qui va arriver aujourd’hui, entre lui & moi.

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