I will take all the time you want to listen you.

S’il y a bien une qualité que je possède, il s’agit bien de l’écoute. Je suis toujours présent lorsqu’il est temps de me parler. Je crois peut-être que je suis la meilleure personne à qui on peut confier un secret. Lorsqu’on me parle, j’ouvre toujours une oreille attentive. Il y a certaine personne, lorsqu’on leur parle, qui commence à faire d’autre chose en même temps pour tenter de passer le temps. C’est une chose que je déteste personnellement. Si tu es réellement présent pour m’écouter, fait-le pour de vrai. Par contre, je ne suis pas la personne qui va se confier. Il est rare que je parle de mes problèmes, car je me dis que cela intéresse personne. Personne ne veut savoir pourquoi j’ai passé une mauvaise journée. On m’a déjà dit, que lorsqu’on te demande si tu vas bien, réponds toujours que oui, pour ne pas emmerder les autres. Il y a des personnes qui te demandent comment tu vas, non parce qu’il veule réellement le savoir, mais pour bien paraitre tout simplement. Ce n’est pas mon genre ça. Je préfère réellement le savoir. C’est pour ça que je suis un bon confident. Et si je suis un SAMPI, c’est bien parce que je ne suis pas là pour juger les autres. Cela donne quoi de juger les autres? Cela n’apporte absolument. Tout ce que cela peut apporter, c’est des pertes d’amitié. Je ne voudrais pas ce que cela arrive. Je jamais réellement été le genre à avoir des ennemis. Cela sert absolument à rien selon moi. Il y en a qui dise que les ennemies mettent du piquant dans une vie, dans la mienne, cela mettrait que de la haine. Je trouve que j’en ai déjà assez comme cela. Il y a des jours où j’aurais besoin de me confier, mais je ne le fais jamais. Peut-être que j’en aurais réellement besoin.

C’est ce genre de relation que j’entretiens avec Dylan. Même si parfois, on dirait qu’elle doute sur la confiance qu’elle peut m’offrir, je tente tout de même de lui faire comprendre que c’est le contraire. Je suis certain qu’au fond, elle sait très bien qu’elle peut me faire confiance. Aujourd’hui, j’avais décidé d’aller lui rendre visite à sa chambre de confrérie pour lui parler un peu. J’avais très envie de la voir, car cela faisait un bon moment que je ne l’avais pas fait. J’étais maintenant devant sa porte et j’y toquai. Peut-être qu’elle allait y être partit, mais je tournai sa poigné juste pour voir, puis la porte s’ouvrit. J’entrai alors pour essayer de la trouvé, puis je la vis au salon. Coucou! Alors? Je t’ai manqué? Dis-je alors en souriant. Je me demandais qu’allait-être sa réaction. Sincèrement, depuis que je suis née, je ne rappelle plus si j’ai déjà prévenu avant d’arriver chez quelqu’un. J’ai toujours aimé arriver à l’improviste. Bon, j’avoue que l’on me la déjà reproché, car il y en avait qui n’avait pas eu le temps de faire leur ménage, mais je ne suis jamais la pour regarder ça. Cela ne servirait à rien de toute façon. Moi, je viens simplement pour voir la personne et rien d’autre.

Ces vacances que je redoutais tellement, que je craignais, s’était en réalité, parfaitement bien passée. Je m’étais amusée comme une petite folle, et j’avais pu rattraper le temps perdu avec mes amis, puisqu’il fallait bien l’avouer, je les avais quelque peu délaissée ces derniers mois. Non pas que je n’avais pas eu envie de passer du temps avec eux, mais pour éviter que l’on me propose des soirées où les risques que je touche à la drogue étaient plus que probable, j’avais augmenté mes heures de travail au bar et club, j’avais redoublé d’intensité dans mes travaux scolaires, et au final, il ne m’était resté que peu de temps à accorder à mes amis. Je les voyais donc au compte goutte et ce n’était pas tellement ce que je voulais… Même ma meilleure amie Calla faisait partie de ces gens que je voyais peu. Pourtant, elle était ma meilleure amie, une des personnes qui comptait le plus à mes yeux.
Et il est vrai que mon implication chez les Sampi n’avait pas allégé mon emploi du temps… J’avais aidé les deux co-présidentes de confrérie et les quelques autres personnes qui l’avaient bien voulu, à mettre en place le projet woodstock, un projet de festival reprenant le principe de célèbre festival qui s’était déroulé en 1969 en Angleterre. Avec les Sigma, les Sampi préparaient d’organiser un remake de ce festival, et ça s’annonçait comme quelque chose d’exceptionnel ! Mais c’était aussi quelque chose qui prenait énormément de temps, et qui n’arrangeait rien à l’emploi du temps déjà bien chargé qui m’était attribuée…
Enfin. Au moins, j’avais pu arranger les choses pendant les vacances, puisque j’avais démissionné de mon boulot de strip-teaseuse et était en vacances pour quelques semaines de mon job de barmaid. Même en conservant ce job, je pouvais aisément voir mes amis la journée, et je m’étais assez bien éloignée des tentations pour ne plus avoir envie d’être attiré par la drogue. L’alcool resterait toujours quelque chose d’attirant, puisque travaillant en tant que barmaid, l’alcool était mon quotidien. Mais heureusement pour moi, l’alcool restait un jeu, un amusement et était loin d’être d’une dépendance – encore heureux - .
J’allais mieux, et je le devais en partie aux Sampi. Ils m’avaient énormément soutenu dans ce dur moment qu’avait été ma vie ces derniers temps et je leur serai redevable pendant très longtemps !

Aujourd’hui, j’avais décidé de calmer le jeu, et de me reposer un petit peu dans ma chambre. Eileen et Maïa n’étant pas là, j’étais tranquille pour un petit moment. Il était vrai que ces derniers temps, je n’avais pas arrêté de bouger à droite à gauche, et tout comme pendant les cours, j’étais overbookée. Allez savoir comment je faisais pour tenir le rythme… L’entrainement peut-être ?
Enfin toujours est-il que je profitais de cette journée pour me reposer. La maison des Sampi était assez calme même si la venue des petits nouveaux se faisait assez régulièrement ces derniers temps. Cela faisait pas mal de bien de voir que la confrérie accueillait des petits nouveaux. Cela signifiait que les Sampi étaient une maison attirante et qu’elle allait prendre de l’importance au sein de l’université. Il fallait avouer que depuis sa création, les Sampi n’étaient pas les plus nombreux, ni même assez reconnus. Mais les choses allaient changer. J’en étais sur !

Installée sur un canapé de la maison des sampi, mon iPod posé sur sa station d’accueil faisait son show et balançait toutes les choses qui me faisaient rêver ces derniers temps. Ayant des goûts hétéroclites, j’aimais beaucoup de choses, et je n’étais pas très difficile en matière de musiques. En même temps, je lisais un livre d’un auteur français, assez célèbre aux Etats-Unis, Marc Levy. Il semblerait même qu’il habite à NewYork ! Son livre était tout simplement une petite merveille !! Les livres sortaient toujours avec un peu de retard par rapport à la France pays d’origine, et donc le dernier livre que j’avais pu acheter était « le Voleur d’ombre », livre que j’adorais. A chaque page que je lisais, une émotion incroyable m’envahissait et j’avais une envie folle de pleurer ! Je ne comprenais pas trop pourquoi ce livre me faisait cet effet mais il me submergeait de tout un tas d’émotions, sur lesquelles je ne pouvais mettre un nom.

J’étais donc sur un canapé, à lire et écouter la musique, quand tout d’un coup, j’entendis quelqu’un arriver derrière mois. Je n’avais pas trop à me demander qui c’était. Je m’en doutais d’une certaine manière. Peu de gens débarquaient sans prevenir, et chez les Sampi, c’était Aidhan. Ce jeune homme était quelqu’un assez proche dans mon entourage, assez proche pour que je le considère comme confident. Bien sur, les choses furent assez longue pour que je le considère ainsi. J’avais mis un certain temps avant de lui faire confiance et il avait fallu que celui-ci insiste pour que j’accepte de lui accorder ce privilège qu’est ma confiance. Mais quand un jour il entendit une conversation entre Elena et moi, où nous parlions de mon passé… Celui me fit comprendre qu’il serait là pour moi. Je m’y bien sur un certain temps à lui faire confiance, mais au bout du compte, il réussit à me convaincre.

_ « Ahah tu me manques toujours mon amour ! »
Déclarai-je en rigolant !

Cela m’arrivait souvent de l’appeler par de tels petits mots doux et parfois, les gens se demandaient si nous n’étions pas ensemble, vu les noms que l’on se donnait. Mais je n’en avais que faire. Et lui aussi d’ailleurs. C’était totalement affectueux et amicale, sans jamais aucune arrière pensée.

_ « Alors qu’as-tu à m’annoncer ? Je suis sur que tu vas me raconter un truc, c’est obligé j’en suis sur »

Bien qu’au départ je ne sentais pas trop Aidhan, je ne pouvais désormais plus me passer de lui. Il faisait désormais parti, de ces garçons auxquels je tenais tant maintenant. Ils étaient peu nombreux ces garçons qui comptait tellement pour moi, mais en général, lorsqu’ils en faisaient parti, je faisais tout mon possible pour eux.

I will take all the time you want to listen you.

Mes vacances à moi avait tellement passé vite. J’ai l’impression que je n’ai pas pu relaxer autant que je le voulais. J’avais tellement eu de chose à faire que les journées se sont mises à passer trop vite. Je pensais à abandonner le lycée, car je déteste les études que j’ai choisies, mais je voulais obtenir ce diplôme. Je n’ai pas fait tout ce bout de chemin au lycée pour rien. Je regrettais amèrement le choix d’étude que j’ai fait. À cause de l’histoire avec mon père, j’avais décidé d’abandonner tout ce que j’aimais. Peu à peu, je commence à vouloir recommencer la danse. Dans mon cas, ce n’est pas être strip-teaseur, bien que j’y aie déjà pensé. On m’a déjà dit que je ferais une bonne carrière la dedans, mais je n’ai jamais osé. Je serais beaucoup trop timide. J’ai déjà du mal à me dénuder devant mes amies, donc imaginez si je le ferais devant des inconnues en manque de sexe? Je ne sais pas si je serais capable de le faire. Non moi, j’aimerais beaucoup devenir professeur de danse ou bien encore de participé à divers concours de danse, mais c’est plutôt difficile d’y arrivé. Il faut avoir du talent, avoir de la persévérance et il faut être travaillant. On doit tellement mettre de temps et d’effort que tu en oublies que tu avais une vie avant de commencer tout ça. Tu n’as plus le temps de ne voir personne. Il y a des tellement de sacrifice que tu dois accomplir que ça devient inintéressant à la longue. Mon autre rêve, était de devenir un grand chef cuisinier, mais il faudrait que je recommence mes études au grand complet, ce que je ne veux pas faire, car honnêtement, j’ai trop marre du lycée. Je suis perdu en ce moment. J’ai trop de choix à faire, que j’use mes nerfs à fond, ce qui fait que je suis déprimé et que j’ai le goût de rien faire. Je ne sais pas où j’en suis psychologiquement. J’ai toujours le goût d’être seul tout en étant entouré de plein de gens. C’est bizarre en faites ce que je ressens. C’est comme une différence entre l’amour et la haine sans juste milieu. Le méchant en moi est-il en train de ressortir? C’est ce qui me fait un peu peur honnêtement. Je ne souhaite à tout prix que mon côté sombre revienne. Ce qui que je détestais tant en moi. C’était comme un genre d’alter-égo. J’étais vraiment méchant auparavant. Je suis beaucoup plus doux qu’avant et ça j’en suis beaucoup plus fière. Au moins, j’ai réussi à devenir une bonne personne. C’est le plus important je trouve? Enfin bon, je ne suis pas au meilleur niveau moralement, mais je n’en parle à personne. Jamais je ne m’ouvre aux autres pour leur raconter leur problème. Je suis capable d’écouter les autres, mais en parlé aux autres, je n’en suis guerre capable. Car je me dis, qui cela intéresse de toute façon? Personne selon moi!

En entrant dans la maison de la jeune femme, je m’étais dirigé au salon, car elle n’était pas venue m’ouvrir. J’étais entrée sans frapper autrement dit. En-là voyant, je lui ai demandé si je lui manquais. Sa réponse me fit bien rire. Honnêtement, j’aime beaucoup lorsqu’elle m’appelle ainsi. Je sais très bien que c’est amicale et sans arrière pensé. Ah toi aussi tu me manque toujours mon amour. Tu ne viens pas m’embrassé? Dis-je alors en rigolant à la jeune femme avant de venir m’installer à ses côtés. Je savais très bien qu’elle ne m’embrasserait pas, car cela pourrait créer un froid entre nous et je ne le voudrais pas. Je tiens trop à elle pour ça. Pour être honnête, je la trouve très jolie. Je l’ai toujours trouvé très jolie au faites. Personnellement, je pourrais la classé dans les plus belles filles que je connaisse. En faites, elle est probablement la plus belle. Du coup, elle me demanda si j’avais quelques choses à lui raconter. Non! Pas spécialement! À part de lui dire que je suis un peu perdu dans ma tête ces temps-ci, je ne savais pas quoi lui parler. Rien de spécial! À part que je suis perdu dans ma tête, que j’en ai marre du lycée. Ces temps-ci, je ne sais pas ce que j’ai. Je suis toujours stressé. En tout cas, cela va probablement passé. Lui répondais-je alors en soupirant par la suite. Il y a tellement de chose auquel j’en ai marre, mais malheureusement, je ne peux les changer. Du coup, je reposai mon regard dans celui de la jeune femme. Surtout qu’en plus, je déteste de plus en plus les études que je fais, mais j’aurais du mal à recommencer à zéro. J’aurais dû devenir ce que je voulais être : Un danseur ou bien un cuisinier. J’ai tout abandonné tout ça depuis… enfin ce n’est pas important! Je n’allais certainement pas lui avouer l’histoire avec mon père. Jamais je ne voudrais lui raconté cela à elle. Surtout qu’elle a eu du mal à me faire confiance ainsi qu’à me sentir, cela deviendrait probablement comme avant si je viendrais à lui avouer tout cela. J’aurais peur qu’elle se mette à avoir peur de moi. Toujours en la regardant dans les yeux, je lui adressai alors un sourire non forcé. Ses si beau yeux arrivaient à me faire sourire. Elle avait un visage parfait! Elle n’a aucun défaut cette fille! Pourrais-je dire que j’ai des sentiments pour elle? Je n’en ai pas la moindre idée. C’est un truc que je devrais savoir, mais je ne le sais carrément pas. Peut-être que je fais exprès pour ne pas le savoir afin de ne pas connaître la vérité qui pourrait chambouler notre amitié. Je ne voudrais pas que cela arrive. Cela doit être pour cela que je ne m’ouvre pas beaucoup en faites. C’est peu important de toute façon, car nous sommes que des amies. Pourquoi cherchez à plus alors que c’est parfait ainsi ? Cela ne servirait à rien probablement. Cela doit être pour ça que certaine personnes disent que l’amour entre garçon et fille n’existe pas.

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Notre relation était devenue en quelque sorte, fusionnelle. Bien sur, il avait fallu un sacré bout de temps pour que nous en arrivions là. Mais au final, cette attente, et cette quête perpétuelle de connaissance de l’autre avait fini par être bénéfique. Je tenais énormément à lui et je savais que c’était réciproque pour Aidhan. Il m’avait toujours montré à quel point il était présent, et qu’il ne me lacherait pas de ci-tôt. C’était d’ailleurs pour ça que j’avais réussi à lui faire confiance, son attachement à me prouver qu’il ne partirait pas, comme mes parents adoptifs avaient pu le faire.
Aidhan m’expliqua qu’en ce moment, il se sentait perdu, que le lycée lui prenait la tête… En effet, si ce dernier se croyait au lycée, il pouvait tout à fait dire qu’il se sentait perdu, je ne pourrai pas être plus d’accord avec lui, ce qui me fit sourire. Il déclara qu’il était toujours stressé, ce qui m’étonnait. Ce n’était pas le genre d’Aidhan d’être stresser. Enfin, je ne l’avais vu dans de telles conditions, c’était peut être aussi pour ça !

_ « En effet tu dois être perdu, parce que pour te croire au lycée, tu dois avoir vraiment la tête à l’envers !
Mais explique moi donc pourquoi tu es stressé ? Ca a commencé quand ? Quelque chose a déclenché cela ? Une rencontre, un cours, une phrase ou… »

Mon côté psychologue ressortait fortement lorsque les gens venaient se confier à moi. Il était vrai qu’avant, lorsque j’étais en médecine, ce côté ressortait énormément, et c’est ce qui m’avait fait comprendre que la médecine n’était pas pour moi –mes notes aussi m’avaient bien aidé à saisir la chose – et que la psychologie était un domaine qui me correspondrait beaucoup plus. Bon je devais le reconnaître, Elena et Calla m’avaient bien aidé à faire ce choix. C’était elles deux qui m’avaient le plus aiguillé dans ma ré-orientation, et je les en remerciai énormément ! Grâce à elles, j’avais pu découvrir ce pour quoi j’étais réellement douée, et ce pour quoi je voulais travailler.
Mes notes s’en étaient d’ailleurs fortement ressenties. D’une moyenne faible en médecine, je passais à une moyenne bonne, voir très bonne en psychologie, même si mes déboires familiaux avaient encore eu quelques impacts sur ma vie à ce moment là.

Aidhan avait l’air de vivre la même situation que moi j’avais pu vivre auparavant. Il semblait perdu niveau scolaire, et ne pas apprécier le cursus qu’il s’était choisi ! Rien ne l’empêchait de repartir de zero ! Les cours n’avaient pas encore repris, et il était tout à fait possible de changer de cursus en début d’année, pour preuve je l’avais fait et ça ne m’avait été que bénéfique !
Mais là encore, c’était à lui de réfléchir, de se poser els bonnes questions. Après tout, on parlait de son avenir, son futur… Quoi de plus important ?

_ « tu sais mon petit chou, il est encore temps pour toi de te réorienter. Rien ne t’empêche de changer de cursus et de repartir à zero ! Je l’ai bien fait moi ! Et ne trouves-tu pas que je suis une fille tout ce qu’il y a d’équilibré ? »

Bon certes, si on occultait le côté strip-teaseuse de ma vie, alors là oui, on pouvait tout à fait penser que j’étais une fille équilibrée, même si, avouons le, je ne l’étais pas réellement. J’avais beaucoup de soucis intérieurs non résolus, et le fait de voir moi-même psy pouvait en faire fuir certains. Mais qu’importe ! Le principal était que moi je me sente bien dans ma peau, et que je ne ressente plus ce vide qui m’avait tant habité ces derniers mois. C'était aussi le fait de voir même un psychologue, qui m'avait conforté dans l'idée que ce métier me correspondrait tout à fait, et que c'était là ma vocation!