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Mama always said life was like a box of chocolates. You never know what you're gonna get. PV

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MessageSujet: Mama always said life was like a box of chocolates. You never know what you're gonna get. PV Mama always said life was like a box of chocolates. You never know what you're gonna get. PV EmptyJeu 11 Aoû - 19:43

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    « Alec, Alec ! J’ai besoin de tes conseils pour trouver un cadeau à Manon ! Je soupirais. Depuis que je lui avais donné quelques leçons de séduction lors du summer break à Cancun, mon frère, Elys, ne cessait de me poser un tas de question, dont le sujet était extrêmement redondant : Manon. Il ne savait apparemment pas comment combler sa copine et il m’harcelait de question pour qu’il paraisse être le petit ami parfait. Mais qu’est ce j’y connaissais moi à ses histoires de couple ? Premièrement, je n’avais pas encore rencontré sa copine puisqu’elle était partie en vacances tout l’été. Deuxièmement, les couples et moi, ça ne faisait pas bon ménage. J’avais eu une relation plus ou moins sérieuse seulement une fois, et dieu sait que ça remontait à plusieurs années. Non ce n’était définitivement pas mon truc, j’étais plus du genre à aller m’amuser à droite à gauche qu’autre chose. Alors lorsqu’il me demandait comment se comporter avec sa copine, je n’avais rien à lui dire, qui plus est, il commençait réellement à me gaver avec sa Manon. Je ne l’avais pas encore rencontré qu’elle m’énervait déjà. Peut-être était-elle sympa, mais elle avait réussi à retourner le cerveau de mon frère et à en faire une personne encore plus pseudo-romantique qu’auparavant, toutes ces mièvreries dont il faisait preuve commençait sérieusement à me taper sur les nerfs. « Tu me saoules avec ça Elys. Je t’ai déjà dit que je m’en foutais. Tu veux lui faire plaisir ? Achètes lui un gode, elle se fera plaisir et ça comblera ton manque d’expérience certain. » Je n’étais pas tendre, mais ce n’était pas dans ma nature. Quand quelqu’un ou quelque chose me faisait chier, je le disais haut et fort. Ça plaisait ou ça ne plaisait pas, à vrai dire je m’en contrefoutais, de cette manière je ne rentrais pas systématiquement dans le moule, je me démarquais et on savait donc qui j’étais. C’était sûrement une des seules choses qui m’importaient au final, que l’on sache qui je suis, que l’on parle de moi, en bien ou en mal. Je regardais ma montre, il était seulement 15h. J’avais un rendez-vous dans deux heures à l’université, mais à l’heure actuelle, tout ce dont j’avais envie, c’était de sortir de cette villa, de laisser mon frère à ces occupations niaises. J’en avais marre, il me pompait toute ma motivation. Je voulais m’entrainer un peu sur un nouveau morceau à la guitare, mais je ne pouvais décidemment pas rester au calme lorsqu’il était dans les parages. Je l’avais décoincé à Cancun, mais peut-être un peu trop… Désormais, lorsqu’il était avec moi, c’était un moulin à paroles, il parlait sans cesse, ne pouvant s’empêcher de me poser des questions toutes les cinq minutes. Alors oui, il avait l’air un peu plus heureux, mais putain qu’est ce qu’il était chiant ! Je sortais donc sur le pallier, sortait mon portable pour regarder mes messages. Rien de très intéressant, deux nouveaux messages de filles qui voulaient me voir ce soir. J’allais devoir trouver une excuse, encore. Ou tout simplement leur dire la vérité. Que je ne voulais pas les revoir parce que c’était des mauvais coups. Je composai rapidement un message collectif.

    Citation :
    Pas dispo ce soir, rappelle moi quand t’auras plus d’expérience.

    Je comprenais l’addiction que certaines filles me vouaient. Au début, c’était sympa, mais plus le temps passait, plus cela devenait usant. J’étais pourtant clair avec elles dès lé début. On prenait du bon temps et c’était fini. Alors quand c’était les filles avec qui le bon temps n’avait pas bien porté son nom qui rappelaient, ça avait le don de me gaver , et d’une force… De toute façon, j’avais un carnet d’adresses assez important pour avoir une fille différente chaque soir, alors en renvoyer chier quelques unes ne me posait aucun problème. J’avais à peu près deux heures devant moi, que pouvais-je bien faire… Nous avions la première réunion de notre pseudo groupe de musique à 17h. J’avais accepté d’en faire partie uniquement pour pouvoir séduire Nevana et la mettre dans mon lit. Du moins c’était ce qu’elle voulait me faire croire, je savais très bien que tout cela était un prétexte, mais je tentais quand même ma chance. Sait-on jamais, peut-être qu’elle se prêterait au jeu plus qu’elle n’y pensait après tout. Quoiqu’il en soit, j’aimais chanter et faire de la guitare, alors cette idée de groupe ou glee club ou que sais-je encore n’était peut-être pas si mauvaise que ça finalement. Et puis, au fond, je n’avais pas signé de contrat ni rien, si cela ne me plaisait pas, je pouvais partir comme bon me semblait, et ça, c’était un élément non négligeable. Je devais trouver rapidement une occupation avant de rejoindre la salle de musique de Berkeley dans laquelle Nevana nous avait tous donné rendez-vous. D’ailleurs, à part elle, je ne savais pas qui il y allait avoir dans ce groupe, j’espérais juste qu’il n’y aurait pas trop de losers, ni d’homosexuels d’ailleurs. C’était plus fort que moi, je n’arrivais pas à apprécier ces gens là… Je montai rapidement dans ma Ferrari et parti vitesse grand V en direction de l’université. Avec une voiture comme ça, autant en profiter et se faire plaisir en faisant des petites pointes, sinon, ça n’avait aucun intérêt. Avoir une belle voiture juste pour la frime, ce n’était pas du tout mon genre. A vrai dire, je n’avais pas besoin de ça pour mettre les filles dans mon lit.

    Une fois arrivé à l’université, je me dirigeai vers la salle de musique. J’avais un peu plus d’une heure et demie devant moi, j’allais devoir trouver quelque chose à faire pour tuer le temps. Bien entendu, j’étais le premier arrivé. Ça aurait été trop beau pour que quelqu’un d’autre se trouve dans la salle. Un peu de conversation m’aurait occupé pourtant. Je me posais sur un des nombreux fauteuils de la salle pour contempler tout le matériel qui se trouvait ici présent. Berkeley avait quand même pas mal de moyens pour pouvoir s’acheter tout ça. Ce n’était pas plus mal, jouer dans un endroit où il n’y avait aucun matériel ne m’intéressait pas, je tenais trop à mon petit confort et mon petit luxe pour tout envoyer valser et jouer dans un local crasseux avec des instruments datant de l’homme de Neandertal. Je sortis de son étui la guitare que j’avais emmené. J’avais envie de jouer, de chanter, le tout au calme, j’étais donc à l’endroit parfait. Seulement je n’avais pas la moindre idée, mon inspiration était à néant, c’était plutôt gênant pour quelqu’un qui avait l’habitude de composer ses propres chansons. Fatalement je choisis le classique des classiques, Wonderwall d’Oasis. Barré sur la guitare, pincement de cordes, je commençais à jouer tout en chantant. Je ne me retenais pas, tant pis si des passants entendaient, cela me ferait des fans en plus. « Today is gonna be the day that they're gonna throw it back to you… » J’avais à peine fini les premières paroles que je vis quelqu’un dans l’entrebâillement de la porte. Une jolie brune me regardait, un regard pas vraiment accueillant. Sa tête me disait quelque chose, je l’avais déjà sûrement vu quelque part, mais je n’arrivais pas à me rappeler où. Non ce n’était pas une des deux filles que j’avais renvoyé chier une heure auparavant, et je ne pensais pas avoir couché avec elle tout court. Oh et puis après tout, qu’est ce que cela pouvait bien faire, on pouvait bien apprendre de nouveau à se connaître, si tant est qu’on se connaissait déjà avant. Tout à coup, après avoir enfin réfléchi – oui il ne fallait pas m’en demander de trop – je me disais enfin qu’elle pouvait être une membre de ce groupe. « Toi aussi tu viens pour le groupe, Glee Club ou je ne sais trop quoi ? Pas de bonjour ni de présentation, à quoi bon s’embarrasser avec toutes ces formules de politesse, ce n’était qu’une perte de temps…
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MessageSujet: Re: Mama always said life was like a box of chocolates. You never know what you're gonna get. PV Mama always said life was like a box of chocolates. You never know what you're gonna get. PV EmptyMar 30 Aoû - 0:56


« The sun goes down, the stars comes out, and all that counts is here and now, my universe will never be the same, I'm glad you came, you've cast a spell on me, spell on me, you hit me like the sky fell on my, fell on me, and I've decided you look well on me, well on me, so let's go somewhere no one else can see, you and me. Ϟ »

My universe will never be the same, I’m glad you came, I’m glad you came ♪. Chanson que j’écoutais en boucle depuis mon réveil pour entamer cette journée particulièrement dure. Il n’étai pas tard, seulement onze heures, mais la peur me gagnait déjà. Aujourd’hui le directeur de Berkeley m’avait convoqué pour un entretien, n’évoquant aucun sujet de discussion, me laissant totalement en suspens, avec du trac, et sans raison. A ma connaissance et mémoire sans faille, je n’avais fais aucun écart au règlement, restée dans mon coin sans chercher un seul problème, sans m’éloigner du droit chemin dans cette université depuis mon arrivée, je ne comprenais donc pas la raison de cet entretien. Ce qui ne plaisait guère. Faisant les cents pas dans Berkeley, je passais par tous les recoins possibles – ce qui me permit de trouver quelques endroits assez agréable au passage – et inimaginables pour tuer le temps. Plus vite arriverait les douze coup de midi, mieux je me porterais.. ou tout simplement l’inverse. Observant les alentours, sigma dans l’âme, je finis par me poser dans mes quartiers, entourés des siens, la pression serait peut-être moins dure à porter. Jouer de la musique, rire, parler avec eux ne pourrait que m’aider, et me détendre avant de voir ce cher directeur. Midi arrivé et je me rendis au bureau de celui-ci. Je n’y avais jamais mit les pieds, première fois à tout, mais mon instinct de m’aurait jamais amené dans cette pièce consciemment. Regardant autour de moi avant de frapper, voir quelqu’un rentrer dans ce bureau pouvait être vu comme mauvais présage, signe, et je n’avais pas envie d’être vu comme ce genre de personne. Rester une fille inconnu de tous m’allait parfaitement, je n’avais pas besoin de me mettre en avant pour que l’on m’adire, pas comme ces Epsilons, tous autant que les autres à se pavaner devant leur foule d’admirateur ou je ne sais quoi. Une exception restait à mes yeux Stiyzanna. Toquant, j’entrais doucement mais sûrement. Mademoiselle Adams-Reeder. Asseyez-vous je vous en prie. Je n’avais imaginé ce bureau décoré comme ceci. Ce directeur était définitivement quelqu’un que je ne comprendrais pas, rien qu’à son bureau. Acquiesçant d’un sourire assez forcé, je pris place en face de celui-ci. Voyant mon dossier ouvert sous mes yeux, ceci était-il annonceur de mauvais présage ? Un flot de questions dans ma tête commença sans pouvoir l’arrêter. Imaginons que je doive quitter Berkeley pour quelconque raison, pas d’assez bons résultats ? De discipline ? Autre ? Mon visage devait renvoyer un air frustré, mais je ne pouvais m’en empêcher. Les secondes passaient et celles-ci me paraissaient des heures. Plus vite je pourrais sortir de cet endroit, mieux je me porterais. Le directeur avait du comprendre car ses questions virent quelques instants après. Je vais être direct Mademoiselle. En observant votre dossier, je dois avouer ne pas comprendre votre choix de venir à Berkeley. Vous habitiez en Australie sans soucis, mais il n’est pas stipuler ce que vous avez fait de votre année précédent votre entrée dans notre université. Pouvez-vous m’expliquer ? Pour être direct, je n’aurais pas rêver mieux, mais je me serais bien passée de cette question. Mes raisons étaient personnelles, je n’avais pas à raconter ma vie à droite à gauche, personne ne savait le pourquoi du comment, et ce n’était pas aujourd’hui que je voulais que ça commence. Même pour Monsieur le Directeur. Baissant la tête je ne savais que répondre. Inventez quelque chose, mentez, et un jour la vérité ressortira. Ce jour là, vous regretterez d’être sur Terre. Chercher une simple excuse ne marcherait pas, monsieur le directeur n’était pas dupe, au contraire. A vrai dire.. Que dire, que faire. Je n’arrivais à répondre à ces deux questions, je ne savais que faire. Perdue dans mes pensées, je me fis reprendre de plus belle par celui-ci par un raclement de gorge. Levant lentement ma tête, je ne pouvais le regarder en face, trop peur, trop iréel à mes yeux, ou tout simplement trop bête, pourquoi n’arrivais-je pas à lui faire part de mon passé, à personne d’ailleurs. C’était un mystère, que je ne serais résoudre. Il y a solution à tout. Observez-moi, je peux le démentir. Je ne sais pas par où commencer pour vous expliquer Monsieur.. Prenant une grande inspiration, parler de mon passé à quelqu’un de Berkeley, qui habitait San Fransisco même était une première pour moi. Je ne l’avais imaginé se passer de telle sorte, mais quand on ne nous laisse pas le choix, on ne peut reculer si ? Je suis.. Ma bouche ouverte depuis seulement quelques secondes que quelqu’un toqua à la porte. Sauvée ou non, quelques minutes de plus, repousser l’échéance, ne me ferez aucun mal. Une jeune femme entra, son air me disait quelque chose. Sûrement une personne de l’établissement mais beaucoup trop vieille pour faire des études, j’en étais sûre. S’approchant du directeur, j’observais la scène d’un œil avisé. Je ne comprenais réellement ce que la jeune femme disait mais son visage était fermé, comme si la Terre allait disparaître dans quelques temps. Un rire, que je ne pouvais extérioriser, me vint. C’était définitivement ma journée. La jeune femme se retirant tout à coup, je regardais le directeur sans expression, celui-ci me disant de sortir de son bureau et qu’il me reconvoquerait plus tard. Ne me faisant plus prier, je sortis à grands pas de ce lieu qui ne me plaisait guère. La tempête était passée, je n’avais plus de soucis à me faire jusqu’à un nouveau rappel, malheureusement. Regardant ma montre, le temps était passé plus vite que prévu et des cours m’attendait, ni une ni deux me voilà partie pour une après-midi de cours assez.. mauvaise. Sonnerie sonnerie que je t’aime, le temps de se détendre venu, l’appel du piano fut, je pris une démarche rapide pour arriver la salle de musique de l’établissement. Espérons que personne ne s’y trouve, peut-être un sigma, qui sait, mais quelqu’un au piano.. Ralentissant à mon arrivée, la sonnerie avait retentie une nouvelle fois, il n’y avait quasiment plus personne dans les couloirs, mais une voix retentissait, ainsi qu’un son de guitare. Bien sûr je reconnu instantanément la mélodie, mais qui était ce jeune homme qui jouait et chantait, telle était la question. M’approchant à pas de loups pour voir, je fis vite surprise. Oh, le mec qui m’avait expulsé de cet endroit même il n’y a pas si longtemps que ça, était là, devant moi à chanter Wonderwall d’Oasis. Miracle ou non, je n’avais qu’une envie, de l’expulser à mon tour de cette pièce, bien qu’impossible à mes yeux. Au niveau de mon caractère, et surtout au niveau du sien. Seulement quelques secondes m’avaient prouvé que cette personne ressemblait à un Epsilon avec son caractère. Que faisait-il ici ? N’avait-il pas autre chose à faire, comme montrer à quel point monsieur est le plus beau et le meilleur coup ? Ne pouvait-il pas partir là, maintenant, tout de suite, sans dire un seul mot ? Non évidemment, non. Ce genre de mecs, je devais me les coltiner. Même s’il chantait et jouait apparemment bien de la guitare, seul le souvenir de son geste me restait en mémoire. Appuyé sur le mur, mon visage devait bien reflété mes pensées. Part, toi, très loin de ma vue toi. Si seulement je pouvais prononcer ces paroles à voix haute. Bien trop gentille, même à son égard, je ne pus. Faible ? Non juste respectueuse envers autrui. Tiens cette fois-ci tu ne me demandes pas de dégager de la pièce ? Étonnant venant de ta part. L’expression gravée sur mon visage avait changé, plus sèche, et des moins accueillantes. Ses paroles m’apportaient de mauvaise nouvelle. Le Glee club, Nevana, pourquoi t’avais-je écouté et accepté d’en faire partie ? Comment pouvais-je imaginer que ce genre de personne en fasse partie ? Malheur malheur, j’espérais sincèrement que personne d’autre ne lui ressemblerait. Oh grand dieu que non. Oui effectivement je viens pour le Glee club. Toi aussi apparemment.. Dommage. Appuyant sur le dernier mot de ma phrase, le jeune homme – dont je ne connais le nom – devait sûrement comprendre que la discussion entre nous deux ne serait pas des plus joyeuse. Show must go on !
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