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give me your pleasure • CAL&CAL

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MessageSujet: give me your pleasure • CAL&CAL give me your pleasure • CAL&CAL EmptyVen 4 Mar - 18:48

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On ne peut pas épeler le mot alcool sans prononcer le mot « cool ».


Tout peut nous rapprocher d’une personne. L’alcool en conséquence. Entre les deux Cal, une belle et forte amitié s’est installée entre eux depuis qu’ils ont remarqué qu’ils avaient la même « passion » pour la boisson. A chaque fête organisée, ils se retrouvaient. Jamais aucun des deux n’en manquaient une. Ils ont vite fait connaissance. Cela se voit à leur tête qu’ils sont sur la même longueur d’onde. Ils aiment tous les deux les fêtes, la boisson, le sexe, en gros ils aiment : s’amuser. Et maintenant, s’amuser ensemble est devenu inévitable entre les deux. Il est vrai qu’ils ne sont pas non plus toujours collé l’un à l’autre, ils ont chacun leur vie. Mais ils sont très souvent, et trop, fourrés ensemble. Ils ne font pas non plus de conneries, mais presque. Surtout lorsque les deux se retrouvent bourrés, et pourtant Callen tient très bien l’alcool, ainsi que Calvin. Il faut vraiment qu’ils le veuillent pour qu’ils soient bourrés. Mais en étant avec Calvin, il n’hésite vraiment pas à « s’arracher » la gueule, juste pour pouvoir encore plus s’amuser à fond, et faire vraiment les cons. C’est ça qui est bon lorsqu’on est jeune : profiter à « donf » de la vie, et de ce que l’on à sa portée. Le duo Cal avait très bien comprit cette notion de la vie. Enfin bref, tout cela les rapproche très bien, et surement qu’il n’y a que cela. En fait, on ne peut pas trop en savoir plus, car derrière tout cela, les fêtes, l’alcool, les conneries, et bien ils ne parlent pas trop. Chacun a sa vie, et n’en parle pas à l’autre. Ils n’ont pas encore franchi ce cap de l’amitié : se confier, et parler de tout et de rien. Non, pour le moment entre eux il ne s’agit vraiment que de s’amuser, et ils ne se voient que pour ça. Donc en soirée. Cette relation convient parfaitement à notre jeune homme qui a trouvé un ami parfait avec qui il sait très bien s’amuser, un ami à qui il n’a pas besoin de parler, de parler de son passé, tout ce dont il ne veut pas parler en fait. De toute façon, il considère que Beckett le connait déjà à merveille. Il connait un Mechiovski qui aime boire, s’amuser et faire l’amour aux filles. Il n’y a que cela à savoir sur lui et sa petite personne, le reste importe peu. Depuis leur connaissance, ils ont en quelque sorte mis en place une sorte de rituel : une fois par semaine, à tour de rôle, un des deux invitent l’autre quelque part pour passer une soirée rien qu’entre eux deux, et s’amuser à deux. Le lieu peut vraiment être n’importe lequel. Pour le moment, ils avaient fait de tout. Une soirée dans un magasin, dans un billard, un parc, sur le pont de San Francisco, un hôpital. Et à chaque fois, les bouteilles d’alcool les suivent. Ils ne font pas véritablement de conneries, ils embêtent juste les gens, quant à eux ils s’amusent comme des fous, c’est l’essentiel. Cal ne manquaient pas d’imagination, et d’idées pour leurs soirées à deux. Cela restera de bons souvenirs, de très bons même. C’était au tour de Callen, et il avait eu une idée, une idée qui l’excitait déjà. Pas une excitation dans le sens « sexe », mais plutôt dans le genre « montée d’adrénaline ». Il n’avait voulu rien dire à son ami, mais lui avait demandé juste un truc : se mettre sur son trente et un. Durant toute la journée, une journée de cours comme toutes les autres, il s’imaginait déjà sa soirée avec son ami qu’il considérait comme un meilleur ami. Il eut du mal à se concentrer toute la matinée, de ce fait, il sécha ses heures de cours de l’après midi. Il traina dans la rue, déambulant dans toute la ville, à la recherche du lieu de la soirée. Cela devait être chic, très chic. Plus ce serait chic, plus ça sera bon de faire ce qu’il souhaitait. En plein Richemond Distric, il trouva le restaurant qu’il leur fallait. Il regarda les prix, aucun plat ne se trouvait en dessous d’au moins 51$. Putain c’était trop bon. Il allait se faire plaisir ce soir. Il se décida enfin à rentrer au campus, pour peut-être se préparer. Il était déjà dix huit heures, et il avait donné rencard à l’autre Cal à dix neuf heures trente. Une fois dans sa chambre, il prit le seul costume qu’il avait en sa possession. Ca ferait l’affaire. Il ne se trouvait pas non plus très à l’aise dedans, normal ça appartenait à son salaud de père. Mais ç’avait du lui coûter la peau du cul, alors que lui l’a eu gratos. Il le lui avait piqué. Il se prit une douche, se sécha, et s’habilla comme s’il allait en soirée. En mode normal quoi. Puis au dessus, il mit ce costume. Il craignait d’avoir trop chaud, mais tant pis. Il en comptait pas porter cet ensemble durant toute la soirée, et il n’allait pas se retrouver en caleçon devant son meilleur ami. Comme à son habitude, il était prêt en avance, et n’étant pas du tout patient, il alla retrouver son homme de la soirée chez lui. Il traversa la maison des Omégas, à l’aise. Il connaissait pas mal d’Omégas, et il les appréciait. En fait, il se demandait toujours pourquoi en fin de compte il n’avait pas rejoint les Omégas, plutôt que d’avoir cette image de coureur de jupons. Il préférait qu’on sache de lui que c’était un fêtard. Bon, de toute façon, il était un Delta maintenant, et avait trop la flemme de changer de confrérie. Sans même frapper à la chambre de Calvin, il y entra et se posa sur le lit du jeune homme qui était encore dans sa douche. Pour montrer sa présence, Callen cria à son ami. « CHERIIIIIIIIII, ton homme est là, et n’attend plus que tu ne le viennes le rejoindre dans ton bed. » Notre jeune homme aime mélanger plusieurs langues à la fois lorsqu’il parle. Il fait tout de même gaffe que son interlocuteur comprenne ce qu’il dise. En l’occurrence, là il voulait emmerder son meilleur ami. Non pas que ça emmerde vraiment Calvin lorsque l’autre Cal lui fait des « avances », mais… depuis quelques temps Callen essaie de faire croire à son ami qu’il le veut : qu’il est tombé amoureux de lui. Juste un délire comme un autre. Et ça le fait bien rire de voir les réactions du beau Calvin à chaque fois qu’il lui dit quelque chose. Il le vit sortir de la douche, avec pour simple « vêtement », une serviette autour de son corps, à la taille. Cal sut tout de suite qu’il l’avait fait exprès, très bien il voulait rentrer dans son jeu, et bien il ne sera pas déçu. Il se mit à se mordiller la lèvre inférieur, tout comme si ça lui faisait plus qu’une joie de le voir dans cette tenue, alors qu’au fond ça ne lui procurait rien de spécial. Aucun effet, sensation. Mais il était plutôt bon comédien, et il avait du répondant, et toujours de l’imagination. Il savait toujours quoi dire, et répondre. « Je vois que tu as compris : j’aurais moins de trucs à t’enlever ainsi. Très beau corps ! » Il se leva, et commença à s’avancer vers le jeune homme sortant tout droit de sa douche. Par contre là, il ne savait pas trop quoi faire, et attendait plutôt une réaction quelconque du brun. Il regarda l’heure, ça va, ils avaient encore le temps devant eux. Le temps d’une petite partie en l’air.
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MessageSujet: Re: give me your pleasure • CAL&CAL give me your pleasure • CAL&CAL EmptyVen 4 Mar - 21:16

L'alcool tue lentement. On s'en fou, on est pas pressés.

give me your pleasure • CAL&CAL 5x7qpx give me your pleasure • CAL&CAL 2m7937q


    « Mais il me fait quoi l'autre à vouloir que je m'habille en pingouin pour la soirée ? » Je venais de raccrocher à la suite d'une conversation avec Cal', qui se disait doublement dieu après avoir trouver l'idée de siècle pour notre soirée. Se planquer dans les rayons pour descendre toutes les bouteilles d'un magasin pendant la nuit ( On a eu du cul de pas avoir de problème et d'avoir réussir à s'en tirer au petit matin ), glander dans une salle de billard en rigolant a chaque mot tel que " queue de billard " ou " boule", dormir sur les banc d'un parc en donnant un nom d'une de nos conquêtes a chaque étoiles, faire trois fois l'aller retour du pont de San Francisco a pied ou se cacher dans la buanderie d'un hôpital ça passe encore, mais se mettre sur son 31 c'est pire que tout, pour moi en tout cas. Rien de vaut un jean et une veste, ou éventuellement un jean ET une chemise pour faire bon chic bon genre, mais c'est le strict maximum. Bon dieu, en plus je trouve plus ma carte american platine depuis que j'ai ranger la chambre - Plas y fou un bordel abominable, et je suis pas mal dans mon genre non plus, mais quand on range, on retrouve plus rien, et c'est très, très, très, très chiant - , alors il va devoir tout me payer. Ou alors je payerais en liquide, mais j'aime pas me trimbaler avec des billets dans la poche arrière. Bon dieu, en plus sur les costards y'a pas de poche arrière. Quelle merde je vous jure. Va falloir que je m'y fasse je crois.

    Après tout, je lui fais confiance, pour le nombre de bonnes soirées qu'on a passer ensemble. De bonnes soirées complètement morts, déchirés à souhait, à se traîner par terre et à vomir dans la douche. Ne plus me rappeler de rien le lendemain, je m'en fou complètement, surtout quand je me réveille a coté d'une créature digne de ce nom. A ce propos, elles sont beaucoup moins belles le matin que le soir généralement, c'est assez dérangeant. Je crois que je suis pas trop réveil - déjeuner, et que je préférais q'elles se cassent après qu'on est finit notre affaire. Mais bon, tout ça on s'en fou, parce qu'après tout ce soir je me met en costard, et comme je vais avoir trop la classe, j'aurais 5 filles dans mon lit : 3 blondes, 2 brunes, et vu que je suis gentil je leur offrirais un pancake le matin avant de les foutres a la porte. Je suis dans une bonne semaine ce mois ci. Enfin bref, tout ce petit train train de matin, ça sera encore après une soirée du tonnerre de Zeus avec Callen. Ce delta qui est mon égaux, mon reflet dans le miroir quand il s'agit d'alcool et de sexe. Je peux pas dire que je le connait au plus profond des choses, car quand on essai de se parler sérieusement, on a deux grammes dans chaques poches, et on dit des trucs du genre « T'façon i am thi best of this woorld, against the no to win the yes et ça veut nothing dire ce que je dit, oh t'a vu nothing dire ça fait nothing hill, on va se taper Julia Robeerts meec, ouaaaaaaaais ! », donc ça m'aide pas plus que ça. Et puis moi il me convient comme ça, alcoolique, fêtard, dragueur et tout le tralala, tant qu'il touche à mon verre d'Absolut on the rocks. Si il me racontait ses déboires amoureux et sexuels, on en finirait pas, et puis après tout je m'en fou parce qu'il a l'air d'aller bien, et le jour où il ira pas bien je lui offrirais une bouteille de gin et ça ira tout de suite mieux. Faites pas chier avec vos sentiments.

    J'ai passé mon après midi à jongler entre mes bouquins de psycho, mes chemises et mes cravates, sortis du fin fond de ma valise, tentant désespérément d'accorder les fringues et de terminer une dissertation de 6 pages sur la psychologie du changement : " Toute expérience, qu'elle soit jugée positive par les uns et négative par les autres est avant tout une expérience spirituelle s'inscrivant sur le long chemin de notre évolution personnelle." Pour l'écrire, j'ai fumer 3 grammes de purple, et ça m'a bien fait avancé sur le long chemin de mon évolution personnelle. Je l'ai finit avec une logique que je croyait ne jamais avoir atteinte, mais en faite si, parce que c'est trop de la balle et si je rate mes exams de fin d'années avec une technique comme ça, bah je suis une grosse bille, mais ça m'étonnerais parce que je suis Dieu donc voilà quoi. Ainsi soit il que j'avais la flemme de me relire, alors je suis aller fumer une clope. Il m'en restait plus que deux, j'ai du descendre au tabac pour racheter 2 paquets, parce qu'en soirée je fume deux fois plus. En revenant dans la chambre, je me suis décider a me la jouer discret, j'ai choisi une chemise noir avec mon costard, mais pas de cravate. Je laisserais le col légèrement ouvert et ça fera trop hot, genre full black, genre Men in Black, enfin voilà, je vais encore être trop canon. J'ai mit tout ça sur la chaise, avec un caleçon noir aussi, histoire que quand la fille m’enlèvera mon pantalon et comprendra que j'accorde tout sur tout donc que j'ai trop la classe. Bref j'arrête mes satires, et je rentre dans la douche.

    Mon gel douche sent trop bon, et je viens de remarquer dans le bac a linge sale une petite culotte que je sais pas à qui elle appartient, et ça me fait rire tout seul pendant que je me lave les cheveux. Je sort à peine de l'eau que j'entend la porte de la chambre s'ouvrir, un gros tas s'étaler sur mon lit et crier avec sa voix de pédale habituel. « CHERIIIIIIIIII, ton homme est là, et n’attend plus que tu ne le viennes le rejoindre dans ton bed. » Je m'observe dans le miroir en souriant comme un débile. « REMET TON CALEÇON AMOUR ! Je veux te l'enlever moi même... » Je fais une pause, cherchant la suite de ma connerie. « ..AVEC LES DENTS ! ». Ouh, so hot. Je passe une serviette autour de mes fesses et sort de la salle d'eau. Jamais il arrêtera de me faire des avances celui là, je vais vraiment finir par croise qu'il veut mes fesses. En même temps, qui ne voudrait pas de mes fesses ? Telle est la question. Je pose les yeux sur Cal', qui avait lui même les yeux sur l'unique vêtement que j'avait autour du corps. « Je vois que tu as compris : j’aurais moins de trucs à t’enlever ainsi. Très beau corps ! » J'hausse un sourcil, sarcastique. « Tu fais ça avec un naturel effrayant. ». Tellement naturel qu'il s'était à présent levé pour marcher vers moi d'un pas félin. Faut vraiment qu'il se détende le bas du ventre lui, si les filles qu'il se fait ne veulent pas par derrière, j'vais pas m'y coller à leur place. Mon premier mouvement est un pas de recul, avec la peur qu'il me saute dessus et qu'il me lèche le visage. Je m'éclaircit la voix. « Cal', ta changer de bord pour me regarder comme si j'étais un rosbeef ? » . Qui eu crut que Callen, Dieu du sexe et des filles avertis, pouvait avoir envie de se taper son meilleur ami. En faite, le costard, c'était son fantasme, et je suis la victime. « C'est le costume que je vais mettre ce soir qui t'excite c'est ça ? » Je lui lance un regard pervers, puis me décale, indifférent, pour aller me faire un café. C'est vrai que je vais être carrement sexe en costard, mais je vais pas revenir là dessus. « En faite t'a réservé une suite à l'hotel et tu veux m'arracher mes vêtements sur des draps en satin...» Ou en soie, je sais pas trop. J'aime pas trop les suite, le majordome vient sonner toute les 5 minutes pour du champagne parfois dégueulasse, et au final les bouteilles finissent vide et on vomit partout sur le tapis de chez Diacasan, c'est dégueulasse et on se fait engueuler. Je coule le liquide noir dans la tasse, boit une gorgée et ajoute, cirsconspect « Si tu veux vraiment mes fesses, demande le clairement, on s'arrangeras après mon poussin. » Je fait un grand sourire innocent, et me retrouve un peu con, parce que si il les veut vraiment, je suis dans la merde, parce que jusqu'a preuve du contraire, deux mecs ça me branche pas tellement. Ou alors faut que je coule 3 douilles et que je vide 4 bouteilles de Gin et ça pourra peut être se faire. Peut être. Faut que je me motive, et je suis pas sur que ça me plaise. Enfin bref, c'est le bordel, et j'espère qu'il va dire non. Et j'espère qu'il a pas réservé de suite non plus,je fais ma prière, oh my motherfucking god.
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MessageSujet: Re: give me your pleasure • CAL&CAL give me your pleasure • CAL&CAL EmptySam 5 Mar - 0:50

Un duo de choc. Un duo de tuerie. Un duo de folie. Ensembles, les deux Cal sont vraiment plus que fous. Tout comme s’ils étaient l’alcool défendu l’un de l’autre. A peine se voyant, ils deviennent complètement fous, comme s’ils sont déjà sous l’emprise de l’alcool, et pourtant : sombre comme la blancheur de la Lune. Bien sur, il y a tout de même une différence entre lorsqu’ils ont bu ou pas. Sobre : ils sont compréhensibles. Bourrés : incompréhensibles. L’avoir rencontré fut une des meilleures choses qui put arriver à Callen. Après toutes ces galères de son passé, il n’avait besoin que d’un ami comme celui-ci. Il ne le remerciera surement jamais, mais dans le cœur ça l’est. Tout comme, il ne lui dira jamais, sérieusement, qu’il compte énormément pour lui, qu’il l’aime comme un meilleur ami, un frère. Tout cela est dans le cœur, mais ça ne sortira jamais. Les seules fois qu’il le lui dit, c’est sous le coup d’un délire, ou lorsqu’il est sous l’emprise des boissons, mais jamais bien sérieusement. Peut-être que c’est la même chose pour son très cher ami, il ne le saura jamais, et tant pis. Ils n’ont pas le temps pour de tels moments entre eux. Ils sont encore biens jeunes, et profitent. Leur seul amour et vrai ami à eux deux : ALCOOL et SEXE ! Tout parait beau entre eux, et pourtant. S’il y a bien une chose que Callen ne peut supporter chez son pote, c’est le fait qu’il touche à de la drogue. Il ne supporte pas les gens qui y touchent. Il n’apprécie pas cela chez Calvin, mais il y fait abstraction. Une amitié est en jeu. Peut-être qu’il lui en touchera un jour un mot, sur le fait qu’il ne supporte pas ça. Mais c’est bien une chose qu’il n’ose pas. Derrière ce caractère de fort et dur, il a un bon et sensible cœur. Disons tout simplement et clairement qu’il ne supporterait pas de perdre un ami, surtout Calvin, pour une simple conversation sur la drogue. De toute façon, il n’est pas son frère, ou quelqu’un de sa famille, pour lui faire une réflexion. Et puis, ils touchent tous les deux à l’alcool, alors pourquoi Callen n’aime pas la drogue ? A savoir. Et si au fond Callen ne supportait pas non plus l’alcool, mais qu’il est en quelque sorte obligé d’en boire ?... Il ne dit rien. Pour aller là où il voulait, pour ce soir, valait mieux qu’ils arrivent très bien habillé. Deux jeunes comme eux deux qui débarqueraient dans un restaurant cinq étoiles, cela pourrait faire louche. Ils pouvaient par contre se prêter au jeu : jouer à deux jeunes hommes d’affaires. Qu’est ce que ça pourrait être bon. Mais le meilleur de tout cela ? Profiter de leur argent, manger et boire à leur fin, sans rien payer. Callen en était capable, de toute façon il en était obligé, il n’avait aucune argent sur lui, en sa possession. Mais est ce que Calvin le suivrait ? Il le verrait bien, du moins il l’espérait. De toute façon, s’il ne souhaitait pas le suivre pour cette idée là, il n’aura qu’à tout payer. Parce que bien sur, il ne lui ferait part de ce plan qu’au moment du dessert. Putain, il était trop bon. Il était heureux de pouvoir passer au moins une fois du temps dans un tel lieu, il n’aurait pas d’autres occasions dans sa vie. De plus, il sera en compagnie d’un super cavalier : son fabuleux Calvin. Pendant toute son après-midi, il avait trainé. Flânant dans les rues, les écouteurs dans les oreilles, ils se faisaient plaisir. Etant très solitaire comme garçon, ce moment lui plut. Il ne pouvait pas mieux demander. La journée : garçon solitaire. La nuit : fêtard –très souvent- accompagné de Calvin. Toutes leurs soirées ils les passaient ensembles. Ils allaient toujours ensembles aux fêtes. Mais ils consacraient un jour dans une semaine pour se retrouver rien qu’eux deux. Pour danser durant une soirée, le mieux est le genre de musique « dancefloor », ce genre de musique qui donne envie de danser, normal. C’est ce qui pourrait correspondre au genre de Callen, à son caractère. Non. En journée, il écoutait plutôt des musiques douces. Un peu celles qu’on écoute lorsqu’on bad, qu’on est triste, en manque de quelque chose, après une rupture. Cal n’était dans aucun de ces cas là, et, pourtant il écoutait ce genre de chansons. C’est ce qu’il aimait. Lui-même compositeur, il composait de telles chansons. Celles qui font réfléchir, qui vous font sourire, pleurer. Dans son lecteur audio, il avait de tout comme genre. Mais il écoutait le plus souvent des chansons tristes, françaises ou espagnoles. C’est ce qu’il y avait de mieux. Il n’avait rien d’américains dans ses musiques. Il détestait l’Amérique. Déjà qu’il se forçait pour s’amuser sur de la musique américaine aux fêtes, alors il n’allait pas en écouter étant seul. Lui, ce genre de chansons, ça ne lui fait rien. Pas de pleurs, mais oui ça le rendait un peu nostalgique. Il en profitait toujours pour penser à sa mère, et à son frère/jumeau. C’est ça, Calvin, c’était un peu son jumeau. Le jumeau retrouvé. Il aurait aimé avoir un frère comme ça, du moins que son frère soit comme ça, s’il ne serait pas mort, s’il ne l’aurait pas tué. Quel con faisait-il. Il faisait du mal à tout son entourage. Il ne méritait pas cet ami, il ne méritait rien d’ailleurs. Voilà ce que ça lui faisait ressentir d’écouter de telles mélodies. « REMET TON CALEÇON AMOUR ! Je veux te l'enlever moi même... » C’est dans de tels moments qu’il se disait qu’il ne pouvait pas se dire de telles conneries. Il s’amusait bien avec Calvin, et ce n’était pas pour rien. Dieu voulait peut-être lui donner une seconde chance, lui montrer comment il doit se comporter avec les gens pour être heureux et les conserver auprès de lui. « ..AVEC LES DENTS ! » Il ne put s’empêcher de rire. Mais qu’est ce qu’il pouvait être con celui-là quand il s’y mettait. Encore plus con que lui, imaginez le truc. Ils s’étaient vraiment bien trouver. Il était fier de l’avoir comme meilleur ami. Il aimerait tellement le prendre dans ses bras, et tout lui dire. Non non, ce n’est pas dans son genre. Il se mit à penser à Calvin, à leur amitié. Son regard se posa sur le mur d’en face, le mur à côté de la porte. Un mur sans importance. C’est ce que l’on fait tous, quand on réfléchit. On fixe un point sans intérêt. C’est con, mais humain. « Tu fais ça avec un naturel effrayant. » C’était son séjour en prison qui lui avait apprit à être très bon acteur, convaincant quand il le fallait. Il se le devait pour survivre ; et ça l’avait aidé car il était là maintenant. Il voulait absolument la réaction de son ami lorsqu’il pensera vraiment qu’il est devenu gay, et qu’il n’en veut qu’à de la baise avec lui. Il serait capable de tout, pour lui faire penser un tel truc. Même à en embrasser d’autres mecs s’il le fallait. Il n’avait rien contre les homosexuels, au contraire, il était anti-homophobes, et adorait tous ceux qui ne disaient pas non au même sexe qu’eux. Il trouve cela d’ailleurs très courageux. Puis, tout le monde sait que les homos sont les plus sympas de la terre, après les deux Cal bien sur. Callen voulait être doublement plus cool, alors pourquoi ne pas virer vraiment de bords ? Tout simplement parce que notre orientation sexuel on ne la choisit pas. On né comme on l’est. En guise de réponse, il fit un simple clin d’œil à son amoureux, le seul dans son cœur. « Cal', ta changer de bord pour me regarder comme si j'étais un rosbeef ? » Il s’était rapproché de lui, encore son jeu d’acteur. Pour convaincre une personne, il faut vraiment penser à tout. Pas seulement aux paroles, mais aussi à ce que l’on fait. Le simple fait de s’avancer vers lui, de cette façon là, peut le rendre fou, et faire en sorte qu’il ne sache vraiment plus quoi penser de son meilleur ami, soit disant hétéro. Bien sur que Callen était hétéro, mais il est surtout blagueur envers ceux qu’il adore. « Sincèrement, je ne crois pas que tu te rendes compte à quel point tu es à croquer. Tout chez toi donne envie, ton corps, ton visage, ta personnalité. Tout. Et si j’étais gay, je te sauterais dessus… » Il marqua une petite pause, petite tactique pour mettre encore plus le doute. Il s’y connaissait. « Si, j’étais un gay ayant fait son coming-out ! » En rajoutant ça maintenant, comme ça, c’est comme s’il expliquait pourquoi il ne lui sautait pas dessus. Son histoire pouvait donc très bien tenir debout, et ça pouvait faire peur à Calvin. Et si son meilleur ami en voulait vraiment qu’à son cul ? Lorsque toute cette taquinerie sera découverte, ce sera surement au tour de Callen de faire attention à ses fesses, mais pas dans le même sens. L’Oméga voudra surement prendre une vengeance, ce qui est tout à fait normal après tout ce que lui fait vivre le Delta. GOSH, il était trop bon –et dans tous les sens du termes-. « C'est le costume que je vais mettre ce soir qui t'excite c'est ça ? » Vraiment n’importe quoi lui. Il disait encore plus de connerie que Callen, il avait trouvé pire que lui, et il fallait le trouver celui là. Putain, il sortait d’où ? Mais qu’est ce qu’il pouvait le kiffer aussi. « C’est ce qu’il y a sous le costume qui m’excite, ne fait pas le mec pas au courant. Et merde quoi, habilles-toi sinon on ne sortira jamais de ta putain de chambre qui pue le sexe. » Calvin lui avait lancé un de ses regards pervers qu’il devait faire aux jolies filles, mais ça ne marchait pas avec Callen. Au moins ça lui prouvait qu’il n’était pas ce qu’il essayait de faire croire, et qu’il n’était pas totalement attiré par son meilleur ami. A force de ce jeu, il avait peur de vraiment être attiré par celui-ci. Et si tout ce jeu les conduisait au pieu ensemble. Pas imaginable pour l’instant. « En faite t'a réservé une suite à l'hotel et tu veux m'arracher mes vêtements sur des draps en satin...» Très bonne idée à retenir pour la prochaine fois. Calvin faisait comme s’il s’agissait du fantasme de son double Cal, mais en fait, il ne s’agissait autre que du sien. Callen en était sur. Il souriait donc. Il pouvait vraiment avoir de ces idées lui, et de ces fantasmes. Il ne dirait pas non plus pour les réaliser avec lui. Non non, Callen, ta gueule, t’es pas attiré. Il se sentait devenir ce rôle de meilleur ami attiré par son ami. Ah non impossible. Il devait vraiment sortir de cette chambre, sinon il deviendrait fou. « Ce n’est pas pour ce soir chou, mais bonne idée, je la retiens dans un coin de ma tête. A ma prochaine soirée, je te fais ça, promis ! Mais pour ce soir, j’espère que tu as faim. » Bon, ils avaient du temps, mais tout de même. Il avait envie de sortir notre russe. Il commençait à s’impatienter. C’était toujours lui qui attendait Calvin. Dans toute leurs histoire, c’était lui l’homme, et Calvin la femme, celui qui prends des heures pour se préparer. Enfin, il se décida à mettre ce costume, ensemble qui lui allait à merveille. Ils allaient pouvoir en faire des malheurs ce soir, les filles ne sauront plus où donner de la tête. Ils n’allaient pas rentrer seuls ce soir. « Si tu veux vraiment mes fesses, demande le clairement, on s'arrangeras après mon poussin. » Comment devait-il réagir face à ça ? Mais surtout que devait-il dire ? Il n’eut pas besoin de beaucoup réfléchir, tout lui vint en tête. Il savait sur quoi continuer. Son ami était prêt, enfin, il n’était pas trop tôt. Il le prit par la main, et le fit sortir de cette chambre. Et une fois sur le seuil de la porte, qui était fermée. Il lui prit les deux mains, comme s’il allait lui déclarer quelque chose, sa flamme peut-être. « Calvin… Ce ne sont pas tes fesses que je veux… j’ai l’impression d’être un con avec toi, tu ne comprends vraiment rien à ce que je veux avec toi, ni ce que je ressens vraiment… enfin non laisse tomber. C’est mieux que tu ne saches rien, ça gâcherait tout. Viens, sinon le resto ne va plus nous attendre. » Il tenta de rougir, et ne sut pas si cela avait réussi, mais il essaya de faire le mec timide. Pas sur du tout de lui, de ce qu’il devait dire, faire ou pas. Le mec qui avait peur de se faire refouler par le mec qu’il aimait. Ses mains toujours dans celles de Calvin, en le remarquant, il les retira d’un seul coup. Ce n’était pas un problème d’état, et pourtant il faisait tout comme ci. Ils se mirent en route, traversèrent le campus, dans un silence. Il continuait son jeu, et espérait que son ami trouve le truc à dire pour briser la glace. Qu’il puisse redevenir le vrai Callen, et non pas l’amoureux coincé. Putain qu’est ce que c’était con d’être amoureux. C’était con mais surtout pathétique.
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MessageSujet: Re: give me your pleasure • CAL&CAL give me your pleasure • CAL&CAL EmptySam 5 Mar - 2:36

Ne buvez pas au volant, buvez à la bouteille.

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    « T'es troooop mon beeeeeeeeesst pote meeec ! » « Graaaaaaave je suis un poooote à la cooompooooote ! ». C'est vrai qu'il y a mieux dans le genre : Je veux te dire clairement que t'es mon meilleur ami, j'ai besoin de toi comme la lune a besoin du soleil pour exister, comme les étoiles ont besoins de la nuit pour briller. Sans toi je ne suis rien, et jamais, non jamais je ne pourrais t'oublier et..et..Ouais enfin bref on s'en fou, parce que moi, si j'ai bien un gros problème, c'est que je suis pas comme ça. Je suis un putain d'enfoiré de merde qui faire le gentil. Quand je disais que Callen était mon reflet dans la miroir, j'étais sur le bon chemin, même sur la bonne route, la bonne nationale, la bonne autoroute, le bon chemin cycliste, le bon trottoir, enfin bref tout ce que tu veux : Le même, mais en inversé. Callen a un abord froid et dur, mais un coeur sensible et gentil. Moi j'ai l'air super gentil, mais en faite je suis un con qui ne pense qu'a fumer sa clope et faire des rédactions de psycho inintéressantes aux yeux du reste du monde. Si je le pouvais, je sauterais par la fenêtre, mais je m'aime trop pour oser me tuer. J'ai de sérieux problèmes d'égocentrisme, mais après tout on s'en fou, et si les gens veulent que je les apprécie, je les apprécie, et si il m'aime pas, je les emmerde. Si j'ai un côté sensible, il est hyper bien caché, genre au fin fond du fin fond du coeur, ou même de l’estomac j'en sait rien, parce que ça se trouve ma seule sensibilité c'est le kiwi que j'ai mangé y'a 2h, et qui s'apprête à se faire un voyage dans mes intestins - trucs de ouf - et donc il va finir dans les toilettes. Ouais les gens, c'est comme les kiwi. Je les mange, et je les éjecte après. Cocasse hein ? Non je suis pas à ce point là, quoi que certains, je les vomirait bien. Je pense que j'ai un côté sensible, car il parait que j'ai pleuré quand mon chat est mort. Non j'ai jamais eu de chat en faite, et quand je pleurait c'était parce que je me vautrait la gueule par terre genre Rambo, je m’éraflait le genou jusqu'à l'os, je me pétait une dent sur les graviers. Et là je peux vous dire que ça me donnait sacrement envie de chialer, non pas parce que j'avais mal, mais parce qu'une dent cassé ça fait un moins joli sourire, et pour choper des filles - à 5 ans c'était déjà important - bah c'est vachement moins pratique. Quoi que, ça donne un côté aventurier que les femmes aiment bien. La semaine prochaine j'essayerais de m'étaler dans les escaliers de l'univ' pour voir si l'effet bras casser marche toujours. Mais je pari rien, parce que j'en suis franchement pas sur. Imaginer ça marche trop bien, et la semaine d'après, tout les mecs font exprès de se jeter dans les escaliers. Genre comme les pingouins quand ils glissent sur la banquise. Démentiel. J'ai pas envie de me prendre la tête, je suis un gamin et je m'assume parfaitement.

    Je suis super amère quand je me décrit, mais c'est pour faire mon malin. Parce que Cal', je l'aime bien, même si il veut me fourrer le derrière. Je me ferait fourré le derrière quand j'aurais pris du poppers, de la kétamine et tout le tralala, quand je serait dans le coma en train de baver partout. Il pourra me faire n'importe quoi parce que de toute façon je serait tellement inerte que je sentirais rien. Non je plaisante, j'ai jamais pris autant de substance illicite jusqu'à être dans un état pitoyable. Je fume, je peux sniffer, manger quelque chose éventuellement, mais j'ai un avantage sur les autres drogués dépravés autour de moi : Je ne me pique pas. En faite, j'aime pas les piqûres, les infirmières j'ai envie de leur faire la tête au rectangle quand elles approchent avec leurs seringues dégueulasse qu'a traversé plein de peau de vieux. Ignoble. Et dans la pièce y'a souvent une petite musique d'ambiance pour te faire patienter, genre La la la la la la la la la ♫. Cette musique là elle me fait plus péter un stress qu'autre chose, on dirait une berceuse chanté par des guenons, où un truc dans le style. C'est pour ça qu'a chaque fois je prend mon téléphone, et j'écoute ma musique, pépère, relax. J'aime pas trop écouter les musiques de soirées, parce que je me fait chier comme un rat mort en les écoutant, et j'aime pas, j'ai envie de me lever, danser, mais si je fais ça en plein milieu du couloir de l'hôpital, comprenez..ça fait bizarre, et ils me conduiront dans une chambre blanche avec une camisole, et j'aime pas les camisole ça fait sadomasochiste et jusqu'à preuve du contraire je ne suis pas sadomasochiste NI GAY D'AILLEURS ! A qui veut bien l'entendre...Enfin bref, je met un petit Bob Marley dans mes oreilles, et je me relax, tranquille pépère, jusqu'à ce que l'autre arrive avec sa seringue dégueulasse. Non franchement, j'aime pas les hôpitaux.

    On rigole, on rigole, mais on voit pas l'fond du bol. J'en sais pas plus de cette soirée en mode classieux, et ça me fait flipper, parce que le Callen, il pourrait me faire faire n'importe quoi tellement que je le suivrait au bout de monde. Et oui, démasqué, je fais mon malin, mon killer, mon insensible, mon coeur du pierre, mais j'ai du mal avec les gens. Il viennent, reviennent. Je pense que ça vient du fait que mes parents n'ont jamais été vraiment là, donc j'ai jamais compté sur personne. J'suis un individu, et je me démerde seul en toutes circonstences, parce qu'après tout on est jamais mieux servit que par soit même. J'suis indépendant et j'ai pas besoin des gens pour avancer. Mais au fond, je sais pas ce que je ferais sans lui, je me ferais chier 24h/24 je pense, je glanderais devant ma télé en mode Simpson, en imitant Mr Burns ( Je vous ai jamais fait monsieur Burns ? J'imite trop bien monsieur Burns ! ). Donc ce mec, j'ai besoin de lui, de nos soirées, de nos bouteilles, et de ses clopes éventuellement si j'en est plus, mais c'est rare. Parce qu'en plus d'être drogué et alcoolique, je suis fume comme un pompier, non encore pire qu'un pompier, et ce que j'aime par dessus tout, c'est fumer le cigare en faisant style que je suis un bonhomme, avec ma gueule de juvénile. Oui parce que j'ai une gueule de juvénile, une gueule d'un gamin de 16 ans, une belle gueule certes, mais une petit tête d'innocent. Enfin non, j'ai une tête de pervers psycho maniaque mais c'est pas le problème. Ici on parle de Callen et moi, de Cal et Cal, de Cal² si ça peut t'enchanter, et tous nos délires de merdes à longueur de journée, mais de soirée surtout, parce que les soirées avec nous deux c'est trop funky, trop de la balle, trop bon, trop excitant excité. Et c'est ça qu'est bon, c'est tous ces petits plaisirs de la vie à la con qui me font bander. Pardonnez l'expression, mais j'avais envie de la sortir. J'aime la vie et elle me le rend bien. J'aime bien les oiseaux qui chantent le matin, j'aime bien les gens qui se prennent des baies vitrées, et tout et tout. Y'a aucun rapport, mais ça me fait vraiment rire ce genre de truc nuls qui arrivent au moins une fois par mois si ce n'est pas plus. Ouais parce que les gens qui se prennent les baie vitré pendant les soirées c'est super régulier, et donc moi je me met toujours sur le canapé et je mate la fênetre parce que je sait jamais lequel va se la prendre.

    « Sincèrement, je ne crois pas que tu te rendes compte à quel point tu es à croquer. Tout chez toi donne envie, ton corps, ton visage, ta personnalité. Tout. Et si j’étais gay, je te sauterais dessus… » Je ne pu retenir un petit « Oh my god ! » digne de ce nom, avec une voix aïgu a la Mickael Jackson, parce que MJ ça pète trop sa race. « Si, j’étais un gay ayant fait son coming-out ! ». Ouais bah ton coming out tu le feras pas dans mes fesses mec ! Je te fais un trou dans ton matelas pour que tu puisse y mettre ton asticot si ça te fait plaisir, mais mes fesses, c'est mes fesses, genre propriété privé, forbidden, artung, don't touch, private, colis fragile, tout ce que tu veux, mais pas nids à dépucelage homosexuel. Franchement, j'ai une réputation a tenir moi ! Si le dieu du sexe commence a couché avec un autre gars, elle vont en penser quoi les filles ? Et si il est pas content et qu'il insiste vraiment, moi je le prendrais par derrière et là et seulement LA on va bien rigoler. « C’est ce qu’il y a sous le costume qui m’excite, ne fait pas le mec pas au courant. Et merde quoi, habilles-toi sinon on ne sortira jamais de ta putain de chambre qui pue le sexe. » J'hausse un sourcil en souriant. Ouais ouais, je suis égocentrique mais voyez, on arrête pas de me répéter que je suis au top du top, au bout d'un moment je finit par le croire. C'est de votre faute en faite, moi j'ai jamais rien demander. « Je te remercie chéri, mais mon sexe se porte très bien ! » Non mon sexe ne pue pas. Tu veux sentir ? Bref, l'idée des draps en satin était a retenir, faudrait que je loue une suite un de ces jours, mais sans le champagne, avec une fille, et comme ça on se grimpera dessus comme des sauvages tarlidada, ça va être trop bien. Mais déja faudrait que je retrouve ma carte. Puis que je trouve la fille aussi accessoirement, donc on s'en fou de tout ça et là j'enfile mes fringues, et je me regarde dans le miroir et oh putain j'ai trop la classe comme d'habitude. Si j'ai faim ? « J'ai trouvé, tu va t'enduire de nutella, et je vais devoir te lécher. Cool. » J'haussais les épaules, comme si l'idée était parfaitement bénine. Après tout, c'était peut être pas une mauvaise idée...Manger du nutella hein ! Pas lécher mon meilleur ami ! Wo ! Tu me prend pour qui lecteur ? Tu crois je te vois pas ?! Tss. Les jeunes de nos jours. Et maintenant j'ai envie de nutella c'est malin avec mes conneries, donc je salive en mettant mes cheveux en place, et là Callen me tire par la manche histoire que je sorte de ma chambre " Qui pue le sexe " -> C'est pas vrai, j'ai couché avec plein de fille dedans, mais ça pue pas bordel de merde..En plus j'ouvre la fenêtre tout les matins...« Calvin… Ce ne sont pas tes fesses que je veux… j’ai l’impression d’être un con avec toi, tu ne comprends vraiment rien à ce que je veux avec toi, ni ce que je ressens vraiment… enfin non laisse tomber. C’est mieux que tu ne saches rien, ça gâcherait tout. Viens, sinon le resto ne va plus nous attendre. » Putain mais il me fait quoi l'autre. On dirait Rambo qui se transforme en Bambi d'un seul coup, ou genre princesse Raiponce au pays des Kangourou. Mais il a fumé ou quoi ? ( Hey les gens ! Je sais pas si vous avez vu mais il vient de me dire qu'on allait au resto, c'est cool, il vient de foiré sa surprise en pleine déclaration foireuse, ça fait double action ratée, + 200 point bonus ! ) . Bref, je sais pas ce qu'il a fumé mais ça devait être de la bonne, parce que là il a l'air bien défoncé, légèrement rougis, et d'ailleurs je trouve ça dégueulasse parce qu'il aurait put attendre et m'en garder. « Si tu le dis... » C'est moi qui vient de dire ça ? Bien Calvin, t'es de plus en plus con, c'est en progrès, j'admire. Ton meilleur pote te dit des trucs bizarres, voir sentimentale, et toi tu sort une phrase de merde, bateau, sans aucun intérêt. Si c'est pour dire des conneries pareils vaut mieux que tu fermes ta gueule. Donc voilà, là j'ai encore dit de la merde, je m'engueule tout seul et tout et tout, mais va fallait s'habituer hein ! Donc, j'ai fait marche arrière, et j'ai analyser ses paroles grâces à mes cours de psycho ( Faut bien qu'ils me servent à quelque chose ) et j'en suis venu a une conclusion simple, mais flippante : Mon meilleur ami veut me sauter et m'invite au resto pour me faire du pied sous la table. Vas y Calvin, fuit ! Saute dans un buisson ! Chevauche un raton laveur à travers pleine ! Et bah non je reste là, à marcher comme un abruti sur le trottoir a côté de Cal'. « T'es vraiment con desfois » Je lève un oeil sournois sur lui, un sourire en coin. Je joue cette carte là, parce qu'en tant que futur psychologue, je sais tout mieux que tout le monde ici. Soit je le fais chanter comme ça, soit il part en larme genre " AAH MAIS T'ES CON JE T'AIME ". Ouais fin normal, tout le monde m'aime, et donc je lui brise son rêve de mariage homosexuel et tout le tralala, mais en même temps je lui est pas fait d'espoir mais un peu quand même parce que là je viens de lui pincer les fesses pour rigoler, et ça me fait rire, et je rigole tout seul avec mon rire d'abruti fini. Enfin bref, on arrive devant le restaurant, et je vois que c'est un endroit plutôt chicose. Je bombe le torse et détaille l'intérieur à travers la porte vitrée. « Hé bah, t'a mis le taquet, va falloir sortir le chèque. » En plus je suppose qu'il prenne pas les tickets restaurants.

    On rentre, un mec en pingouin qu'a l'air d'un crétin finit nous installe a une table dans un coin de la salle, presque personne autour, mais ça ne va pas tarder à arriver, et je le remercie poliment parce qu'il fait son boulot, et ça doit pas être facile tout les jours de pointés son petit doigt sur un steack en inventant un truc de genre. " Steack de volaille naturelle au épices sur son lit de pousse de bambou au gingembre venu de mongolie sub-glaciale, accompagné de son lait de chameau castré nourris à l'herbe irlandaise ". En gros, c'est une escalope de poulet avec de la crême fraiche, avec une espèce de sauce au lait caillé. Mais dit comme ça, ça fait moins POSH, donc ça fait moins bien. Je détaille les 36 000 couverts de chaques côtés de l'assiette. Quand t'en a salit un t'en prend un autre c'est ça ? Quelle bande de peigne cul. Un couvert pour le poisson, un autre pour la viande, l'autre pour les vermicelles de la soupe..Bordel si tu commandes une paëlla, tu mange le riz, les crevette, les petits pois, les poivrons, le poulet et le chorizo en mode séparé ? Chacun dans son régiment ? Quelle merde je te jure. Je lève des yeux inquisiteur sur Callen. « T'étais pas sérieux tout à l'heure ?...A propos de..Enfin, avec ton baratin là, tu me faisait marcher avoue le ?..Parce que..Enfin..J'ai rien contre toi personnellement..Te vexe pas hein. Surtout pas. Mais si tu me sautes dessus, je risque de mal le prendre..Après je dit ça pour toi mais. Enfin voilà quoi, on s'comprends. » Et je me force à sourire, parce que si lui il veut pas tout gacher en m'avouant tout, moi je pouvais tout foutre en l'air en lui plombant ses désirs. Au pire, je pouvais appeler n'importe quel nana de mon répertoire pour le satisfaire si il était vraiment en manque, et je suis sur que je peut dégoté un mec qui se fera un plaisir de passer la soirée avec lui. Mais ce mec, ce sera pas moi. Enfin j'espère. Je m'éclaircit la gorge, et fixe mon assiette dans le blanc de la porcelaine, comme si elle allait me dire quelque chose, mais apparemment, elle est muette et refuse de me parler. Pas de conversation avec l'assiette ce soir, donc. Quel dommage, ça me fait vraiment de la peine..Non je déconne, j'arrête mes sarcasmes et mes délires schizophrènes a partir de maintenant.

    [ Bon je te préviens c'est le dernier post long, après j'ai trop la flemme give me your pleasure • CAL&CAL 277800 ]
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MessageSujet: Re: give me your pleasure • CAL&CAL give me your pleasure • CAL&CAL EmptySam 5 Mar - 13:50

Si Callen pouvait avoir un pouvoir quelconque, il aimerait pouvoir lire dans les pensées des autres, surtout dans celles de son meilleur ami. Combien de fois le regardait-il, pour essayer de déchiffrer tout ce qu’il pouvait se tramer dans sa tête. Il était convaincu que dans la tête de Calvin, c’était encore plus la merde que ce qu’il osait sortir de sa bouche. Il devait se dire en plus de connerie dans sa tête, mais tout cela restait en lui. Callen ne pourrait pas dire qu’est ce qui lui fait dire cela, mais il le sent. Il sait que l’autre Cal n’est qu’un fou de la tête. Il n’a pas besoin de se faire interner, mais ça ne lui ferait pas de mal de vivre parmi des personnes normales. Parce que son meilleur ne traine qu’avec des fous, des gens comme lui quoi. Ca lui monte à la tête et il commence à vraiment devenir con. Con mais tellement drôle. A chaque fois qu’il se retrouve en sa compagnie, il ne peut qu’être certain de rire. C’est devenu une nature chez l’Omega : de faire rire. C’est d’un naturel de sortir des conneries. Il est comme ces personnes intelligentes, qui n’ont pas besoin de trop réfléchir pour te sortir tout un tas de trucs supra intellectuel. Calvin était comme eux, mais en ce qui concerne la stupidité. Mais c’était tellement bon. « Oh my god ! » Et après cela, on pense tous que Michael Jackson est mort. Non non, il s’est juste transformé en un autre. Il avait le roi de la pop en face de lui. Shit. Les conneries de son best lui monte à la tête. A croire que c’est contagieux, je vous jure. Il n’hésita pas à rajouter autre chose. Il est toujours mieux d’en rajouter une petite couche plutôt que de ne pas en faire assez. Donc voilà : Callen le pauvre homosexuel amoureux de son meilleur ami, et n’ayant pas encore fait son coming-out. Ce pauvre Callen qui ne sait pas comment s’y prendre avec son ami. Par derrière, par derrière, petit garçon. Tu dois le prendre par derrière, parce que par devant ; it’s not possible. C’est bien dur et chiant de devoir tenir un rôle qui ne ressemble pas du tout à vous. Il commençait à en avoir marre de faire mine qu’il voulait Calvin, mais rien que le fait de voir et entendre les réactions de cet hétéro lui donnait envie de continuer. Entre eux, les mots sortaient comme ça de leur bouche, tout comme les vieilles expressions à deux balles cinquante. Cal venait de dire à son ami que sza chambre puait le sexe … uhm. D’où ça lui sortait ça ? « Je te remercie chéri, mais mon sexe se porte très bien ! » Et voilà qu’ils se mettaient à parler de sexe, tout naturellement. Les petits mots d’amour, les surnoms, c’est normal. Même lorsque Callen ne fait pas genre d’être amoureux, ils s’en font. C’est tout mignon. Chéri, mon amour, mon homme, chaton, poussin, my love, honey, dude. Ils passent vraiment par tout. Amor aussi. Du moins, Callen l’appelle aussi par de petits noms en langues étrangères. C’est son petit kiff. En fait, c’est surtout parce qu’il faisait déjà ça avec son jumeau, à l’époque. Bon, de ce temps-là, il ne savait encore que parler russe, donc ça restait dans sa langue maternelle, mais maintenant, il avait le plaisir de pouvoir assembler plusieurs langues ensembles, même si ça faisait très con, et pas du tout beau. Tant pis. Il montrait tout de même que c’est un BG à savoir parler trop pleins de langues. Et bien oui, il est très doué en langues, toutes langues qu’ils soient… surtout en la sienne de langue. Les filles kiffent toujours ! Et il savait que Calvin aimerait aussi et en demanderait plus, mais ce n’était pas pour tout de suite. Il devait encore attendre, et merde. Il déteste attendre. « Ah ouais ? Tu veux que je vérifie et que je fasse le médecin ? Parce que je n’en suis pas si sure. A force d’être autant prétentieux, j’ai l’impression qu’il gonfle et ce n'est pas bon pour ta santé mon beau. » Encore un petit sous-entendu pour lui faire croire qu’il n’avait qu’une envie : voire le petit joujou de son ami ! Bien sur, c’est son rêve le plus inavouable. Il en rêve tous les soirs. C’est en pensant à ça qu’il se fait plaisir tout seul. Attendez non, on revient en arrière. C’est en pensant à ça qu’il arrive à aller au septième ciel quand une fille n’est pas satisfaisante au pieu. Putain, il déteste ces filles qui ont une gueule trop bien faite, mais qui ne savent rien faire au lit. C’est super agaçant ! Lui, il a de la gueule, mais qui plus est : c’est un « god » au lit ! « J'ai trouvé, tu va t'enduire de nutella, et je vais devoir te lécher. Cool. » Alors comme ça son ami aime le Nutella. Une différence entre eux. Calvin hait le Nutella. Il trouve ça dégoutant, collant, marron comme la merde. Trop sucré. Puis, il déteste le fait que tout le monde aime ce « Nutella ». Partout dans le monde on connait cette merde marron. Enfin… la merde c’est généralement marron. God, Callen pense à de la merde, charmant. Mais après tout, s’il devait s’étaler de ça, juste pour faire plaisir à Cal², et bien il le ferait. Il ferait tout pour les beaux yeux de Calvin, mais surtout pour profiter de son corps. Il essaya de s’imaginer la scène : trop fun quoi. Puis tout de suite après, sans le vouloir, il s’imagina comment pouvait être son ami avec les filles. Eurk. Ce n’est pas un truc à s’imaginer, il ne veut rien savoir ni imaginer. Qu’est ce qui lui prend, bon sang. C’est contre nature de penser à une telle chose. Bien que l’Oméga doit être un dieu au lit, tout comme lui. Ils se ressemblent vraiment sauf sur quelques points pas très importants. « Je n’aime pas le Nutella, mais pour toi je ferais tout ! Mais encore une fois, c’est bien cherché… pour une autre fois beauté ! Promis. On en a de ces trucs à faire ensembles. » Calvin avait finit de se préparer, du moins c’est ce que Callen souhaitait, qu’il ait fini. Alors même s’il faisait les derniers préparatifs, genre il s’occupait de ses cheveux, il le tira. Il lui devait une petite confidence. Même en jouant, ce n’est pas du tout son genre de faire des « déclarations ». Il en a faite plus jeune, qu’à une seule fille. Il savait comment s’y prendre, mais depuis : plus rien. Nada. Nothing. Bref, il tenta un petit truc, mais c’était trop dur, alors il laissa tomber. Il laissa tomber comme s’il ne souhaitait pas que son meilleur ami soit au courant. Il se rattrapait bien, très bien. IL EST TROP BON, et ouais : on a la classe, ou on ne la pas. C’est tout simple. Cal², et bien ils l’ont la classe. Et non, il n’avait pas fumé, il ne s’était pas non plus shooté. Il ne fume pas, il ne touche pas à la drogue. Et s’il y touche, il se bute. Ou alors, il faut vraiment qu’il ait trop bu pour qu’il y touche. Parce que jamais de la vie il voudrait avoir affaire avec ces substances illicites. Son père y touchait, donc il n’y touche pas, point barre. Par contre, il n’aurait pas dit non pour une bonne bouteille là. Il en avait besoin. « Si tu le dis... » Et puis, il l’avait fait exprès de lui dire où il se rendait. Dire qu’ils allaient au resto n’était pas un crime. Il ne savait rien du reste. Le diner au restaurant n’était rien comparé à ce qu’il lui réservait. La surprise n’était pas ça. Il le regarda, avec un sourire en coin. Ca le démangeait de lui dire, mais il ne devait pas. Sinon il n’y aurait plus cette poussée d’adrénaline lorsqu’ils le feront : sortir comme des voleurs de ce lieu chic. Il n’aimait pas ces endroits, mais si c’est dans de tels scénarios, il ne pouvait dire non. Cette soirée allait être trop coolicool. Ils traversèrent le campus en mode BCBG ; bon chic bon genre. Ils avaient trop la classe, et les filles les regardaient déjà. Not now, after girls ! Ou pas. Ils allaient en trouver autre part. Pourquoi ne pas se faire des filles ayant trop la classe, et trop pas du même milieu social qu’eux. Ils sont partis de ce point là, alors au moins finir la soirée ainsi. Ils en sont capables, et ont la beauté requise pour se les faire ces meufs là. Callen pourrait même leur demander de l’argent. Non, ce n’est pas une pute, c’est un putain. Il a juste besoin de fric, alors autant en profiter dès qu’il le peut. Puis, il est tellement bon et exceptionnel que le toucher, et baiser avec lui, et bah ça doit se payer. Il devrait faire son propre business. Lui, il ne paie pas les filles, mais on le paie. C’est ça la classe. Il ne se fait pas les trottoirs, les filles viennent à lui. Et merde quoi, il se doit de trouver un petit job, il a besoin de fric. Et sinon quand est ce que son père meurt ? Il gagnera tout à ce moment-là. La liberté, il n’aura plus besoin de se cacher, mais surtout il gagnera tout son héritage. Qu’il crève ce salaud, il ne manquera à personne. « T'es vraiment con des fois. » Il esquiva un sourire qui voulut se déposer sur son visage. Oui, il était con, et il assumait total. Mais surtout, il est fier de ce qu’il est, et avec qui il traine. Parce que la personne avec qui il est le plus souvent fourré, et bien il est encore plus con que lui. Encore plus con qu’Homer Simpson, et faut le faire. Surtout que Calvin, bah lui il n’a pas un crayon dans sa tête, mais un cerveau. Un cerveau qu’il n’utilise jamais. « Et toi tu l’es H24 ! » Il se croyait vraiment le plus intelligent ? Il croyait l’avoir en disant cela ? Et bien non. Callen était tout autant intelligent que lui sur ce point là, et n’allait pas se laisser faire aussi facilement. Et maintenant il avait quoi dans son cul ? Il allait lui sortir quoi encore pour savoir s’il jouait vraiment ou non ? Il lui donna une petite tape sur l’épaule, en toute amitié. Par la suite, il le poussa un peu, pour le faire tomber du trottoir. Juste pour déconner, comme de vrais gamins de treize ans, alors que tous les deux ont la vingtaine. Ensemble, ils font vraiment les quatre cent coups, mais surtout ils reviennent en enfance, comme si rien ne pouvait leur tomber dessus. Bah non guys, vous êtes majeurs et vous courez trop de risques, mais c’est ça qu’c’est bon. Ils arrivèrent devant le restaurant. « Hé bah, t'a mis le taquet, va falloir sortir le chèque. » Il se mit à rire, si seulement il savait. Non, il n’allait pas sortir le chèque, mais ce sont eux qui allaient sortir en furie. « Bah en fait, la gérante du resto est une meuf, et elle est genre hyper bandante, j’ai pensé qu’on pourrait… enfin tu vois, juste pour ne pas payer. » Une façon comme une autre, pour essayer de lui faire comprendre qu’ils n’allaient rien payer. Mais Calvin le prendrait surement encore pour une connerie qu’il venait de dire. Mais surement pas au sérieux. C’est bien cela qui est chiant avec de tels mecs, on ne sait jamais quand est ce qu’ils sont sérieux ou non. Ils entrèrent, on les installa au fond de la salle, et merde. Il avait pourtant demandé une table près de la sortie, c’était plus facile pour s’enfuir par la suite. Pas grave, ils se débrouilleront bien, ils sont so strong, donc ils vont y arriver. « T'étais pas sérieux tout à l'heure ?...A propos de...Enfin, avec ton baratin là, tu me faisais marcher avoue le ?...Parce que...Enfin...J'ai rien contre toi personnellement...Te vexe pas hein. Surtout pas. Mais si tu me sautes dessus, je risque de mal le prendre...Après je dis ça pour toi mais. Enfin voilà quoi, on s'comprend. » Il faillit se mettre à rire. Il avait réussi à mettre vraiment le doute à son meilleur ami. Il pouvait vraiment se féliciter. Sauf, qu’il n’est pas aussi méchant avec son meilleur ami, alors il se décida à lui dire la vérité. C’est bon, il avait assez joué avec lui, et ses sentiments. Puis, il ne souhaitait pas recevoir les foudres de cet Oméga qu’il kiff au plus profond de son cœur. Cette soirée resterait inoubliable et mémorable dans leurs deux esprits. Autant ne pas tout gâcher juste pour un délire à la con. « Rassures-toi mec, je déconnais. Franchement, j’suis trop fière de moi. T’aurais vu tes têtes, et tout, c’était trop bon. Au moins, je saurais que si je deviens gay, faudra pas que je tombe sous ton charme… bon et sinon tu prends quoi à bouffer ? » Il jeta enfin un regard sur ce menu. Il rigolait à chaque nom de plats, c’était encore plus con qu’eux. Il regarda son meilleur ami, et attendit qu’il choisisse un plat. Lui-même ne savait pas ce qu’il prendrait. Il ne comprenait rien à leurs noms de plats, et ça ne donnait pas envie de manger. En fait, ça faisait plutôt peur. Il regarda autour d’eux, que des bourges. Non, décidemment ce n’était vraiment pas fait pour lui ces lieux.

[je t'ai rien demandé chéri pour les post long, tu fais ce que tu veux OSO du moment que tu me fais toujours autant rire, ça me va :mimi: ]
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MessageSujet: Re: give me your pleasure • CAL&CAL give me your pleasure • CAL&CAL EmptyDim 6 Mar - 22:34

Qui boit s'enivre, qui s’enivre dort, qui dort ne pèche pas, qui ne pèche pas va au paradis. Buvons !

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    Ouais je sais je suis trop drole. Rien qu'a ma gueule je crois que je fais rire, avec mes deux fentes à la place des yeux quand j'ai trop fumé, et mon sourire de niais quand j'ai trop bu. Je crois que j'aurais du faire clown au lieu de me lancer dans la psychologie d'ailleurs je sais même pas a quoi ça me sert la psycho, ça mène a rien sauf a psychologue, et écouter les malheurs des gens toute la journée c'est pas trop top délire. Enfin bref tu vois le genre ça me fait chier, mais j'ai envie de continuer quand même, parce que la psychologie c'est cool, puis ça fait psychopathe, et je suis trop démoniaque. Non je déconne, je suis pas taré à ce point là. On est juste plusieurs dans ma tête, mais c'est moi qui commande. J'ai adopter un style de vie à la Homer Simpson, du moment que j'ai de la bière et..et de la bière, et bah ma vie me convient parfaitement. Tout du moins pour l'instant. Si je pouvais avoir une femme aussi, mais éviter les gosses ( peut être plus tard, mais là maintenant tout de suite on va éviter hein, parce que ça prend de la place quand même cette connerie. Enfin bref, on s'en fou de ma vie de famille, je sais même pas pourquoi j'en parle, je sais même pas si je serait un bon père. Mais si je serait un bon père étant donné que je suis exceptionnel et ça c'est pas nouveau. Je crois que vous allez finir par vous tirez une balle a force de lire ce que je pense. « Bordel, ce Calvin est tellement sur de lui qu'il en devient pitoyable ! » C'est un peu ça ouais, mais du moment que ça vous fait sourire, tout cela me fait plaisir. Seul votre bonheur m'importe...Non je déconne. Et je vous assurez que ce qui me fait gonfler ce que j'ai dans le caleçon, ce n'est rien plus que l'effet que pour me faire une fille agréable a regarder, et à toucher, quoi que..Dieu a créé l'alcool pour que les femmes moches baisent quand même. Donc desfois et bah le matin SURPRISE ! Et généralement - non tout le temps en faite - , je donne un faux numéro. J'en conclut ici que je n'ai pas besoin de me faire examiner par Callen, et en plus il est pas médecin donc même entre la vie et la mort je préférais qu'il ne me touche pas. Avec l'agilité que je lui connais, et me tuerais avant l'heure. Enfin bref, j'arrête mes railleries. 2ème point à soulever : Putain comment ce mec fais pour ne pas aimer le Nutella ? Le Nutella, c'est le corps de Dieu, c'est du chocolat et de la noisette, ça se met partout, ça se marie avec n'importe quoi, même du saucisson ( je vous l'assure définitivement ). Enfin bref, le Nutella c'est le pied, moi j'adore. Mais ça limite on s'en fou, changement de sujet. Je lui ferais fumer du Nutella incessamment sous peu, histoire de dire. Ça peut être marrant, ça nous rappellera les cigarettes en chocolat qu'on mangeait quand on était petit. Voilà ça c'est fait, donc après, c'est vrai que je suis con H24 mais ça c'est pas nouveau hein, pas besoin de développer plus .

    Ah tien, il vient de parler. « Bah en fait, la gérante du resto est une meuf, et elle est genre hyper bandante, j’ai pensé qu’on pourrait… enfin tu vois, juste pour ne pas payer. » Non mais je rêve ? Il déconne là ? Je rigole en le regardant étonné. Enfin bref, si elle est vraiment bien faite, je veux bien me dévouer pour payer tous les clients du restaurant. Et bah oui je suis comme ça moi, généreux au plus haut point ! Je suis persuadé qu'il me fait marcher, en faite je pourrait pas me taper une vieille. On payera en petite monnaie, je suis plus a ça près avec lui. Du moment qu'on en garde un bon paquet pour se payer des croissants à 5h du matin, en passant par derrière la boulangerie parce qu'elle est pas encore ouverte. C'est ça qu'est bon, arrivé bourré et sentir les viennoiseries et tout et tout. Ou se faire un Starbuck c'est bien aussi. Un KFC ça me ferait plaisir, mais vomir aussi. J'adore manger. Enfaite je crois que je dis ça, parce que là j'ai trop faim, mais si demain tu me met de la bouffe sous le nez je vomit direct. Bref. « Rassures-toi mec, je déconnais. Franchement, j’suis trop fière de moi. T’aurais vu tes têtes, et tout, c’était trop bon. Au moins, je saurais que si je deviens gay, faudra pas que je tombe sous ton charme… bon et sinon tu prends quoi à bouffer ? » Je préfère ça. C'était le petit délire de Callen de me faire marcher une demi heure. Chacun son petit bonheur hein ! Je prend le menu et jette un oeil dessus. Je lève le regard sur Cal' , et me demande si il n'a pas eu le droit à une carte en chinois tellement il est en mode déchiffrage. J'hausse les épaules et continue à la lire. Moi ça me parle, j'ai jamais eu de mal avec ça, je suis un enfoiré de fils de bourge et je vais pas m'en plaindre. Enfin bref, tout a l'air trop bon ( Ouaaais je suis un ventre sur pâte je sais ! ) et j'arrive pas a me décider. Je demanderais bien au gay ce qu'il prend, mais ce dernier n'a pas l'air convaincu. Je finit par opter pour la noisette de cerf, façon venaison, parce que je sais que c'est trop bon. Je sais tout de toute façon. « Alors, ta libido se porte-t-elle bien ? » On va essayez de creuser un peu la vie de monsieur hein, sinon on en restera toujours au même point. Et puis des coups d'un soir, c'est pas ce qu'il manque ici, on va pas se mentir. J'essayera de partir sur le plan plus sentimental plus tard dans la soirée, quand j'aurais 3 grammes, ça marchera beaucoup mieux pour parler, autant pour lui que pour moi. Personnellement je me la coule douce, ma libido tient une bonne moyenne, en ce moment je ne ramène pas de déchet dans mon lit, enfin bref, j'ai tout bon partout. Toujours pas d'amour dans l'air. Enfin, oui mais non c'est compliqué, puis j'ai pas envie de me prendre la tête donc non. Comme ça tout est beaucoup plus simple. Un serveur arrive près de la table et demande si l'on veut un apéritif. « Une absolut on the rocks ... sans exclure le citron, merci. » Je laisse Callen décider avec quoi il veut commencer, et tout ça me rappelle que j'ai pas regarder la carte des vins. J'y jette un oeil et soupire, admettant un vin australien à la table, sans m'attendre à être surpris. Mais ça me rappellera les petits dîners chez moi, où on finissait calé dans des canapés en cuirs avec de la piquette, mais ça nous allait quand même. J'aime bien mon petit luxe, et là je suis totalement dans mon élément. Y'a juste les couverts qui me bloque, parce que j'ai jamais eu cette science de la fourchette.
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MessageSujet: Re: give me your pleasure • CAL&CAL give me your pleasure • CAL&CAL EmptyMar 15 Mar - 19:01

Malgré son rejet envers tout ce qui vient d’Amérique, son dessin animé reste « Shrek ». Qui ne connait pas Shrek, l’ogre vert. Même les vieux de cette génération doivent connaitre. Ce qu’il aime dans cet ogre ? Sa ressemblance avec lui, non pas physiquement, car ils sont loin de se ressembler physiquement. L’un est laid comme … un ogre, alors que l’autre : Callen est un Dieu vivant. Non, ce qui le rapproche de cet être vert, est leur caractère à eux deux. Un monstre à l’extérieur, mais un ange à l’intérieur. Callen peut être aussi touchant, adorable, attachant que peut l’être Shrek. Il a trouvé l’amour, donc notre Cal le trouvera aussi. On se rapporte tous à quelqu’un, et bien notre Mechiovski se rapproche de Shrek. Cela peut paraitre étrange, très bizarre même, mais c’est ainsi. La vie est mal faite des fois. En gros, ce qu’il faut comprendre : savoir « dompter » Callen pour avoir affaire avec le gentil Callen. Bien sur ce n’est pas si facile que ça de l’adopter. Il ne se laisse pas faire, et est très perspicace dans ce domaine. S’il veut montrer une tout autre image que ce qu’il est vraiment, c’est bien pour une raison particulière. Mais donc, Calvin serait l’âne ? D’un côté ça lui irait bien. Il fait tout autant rire avec ses conneries. C’est aussi un très bon ami. Seulement, Caldelta ne dira jamais à Calomega qu’il le compare à l’âne de Shrek. A savoir comment il réagirait… Il n’empêche que ça pourrait être tout aussi marrant que le fait de se faire prendre pour un gay complètement fou amoureux de son meilleur ami. Il peut en avoir de ces délires ces Callen. C’est vrai que sobre, ils n’ont pas totalement les mêmes délires, mais défoncés ça en devient complètement différent. Ils ne font alors qu’un. Les deux pourraient suivre l’autre à l’autre bout de la galaxie. C’est en quelque sorte ce qui les lie, cette belle amitié complètement foireuse. Tout à commencé sur des conneries, l’alcool, et conneries. Cela finira mal. Durant toutes les soirées à eux deux, ils prennent des risques, même si pour le moment le poste de police ne les a pas encore accueilli. Pour Callen ce n’est rien, il en a déjà fait de la prison. Son meilleur ami n’en sait rien, et tant mieux. Mais que dirait-il s’il apprenait un jour qu’il est le meilleur ami d’un meurtrier ? Pas cool, pas du tout ! Tout en eux les complète, ils sont pareils, et pourtant à de nombreux moments ils sont trop différents. Trop différents pour être d’aussi bons amis. Voilà à quoi leur sert de ne rien dire sur eux, du moins de ne pas trop parler de leurs familles respectives, de leur passé. Cela risquerait de tout casser. Il n’en savait rien sur les origines de Calvin. Il ne savait pas qu’il était né avec une cuillère en or dans la bouche. Et s’il le savait il irait lui dire tout de suite qu’il aille se faire voir. Il n’aime pas tous ces bourges. Calvin n’est pas comme tous les autres apparemment, car c’est le best du delta. Il essayait tant bien que mal de déchiffrer la carte, il n’y comprenait rien. De plus, étant très difficile côté nourriture il avait peur de prendre quelque chose qui susciterait un dégout de sa part. La viande, le poisson, tout ça à bannir de son assiette. Très bien, il allait prendre leur plat le plus cher n’ayant pas ça. Mais comment comprendre tout ça ? Il fixa Beckett, essayant de lui demander de l’aide d’un simple regard, mais apparemment il préférait le laisser se démerder tout seul : connard. « Alors, ta libido se porte-t-elle bien ? » Haha, la conversation, la vraie, normale et intéressante conversation débutait. De ce côté-là, on peut largement dire qu’ils sont au même niveau. Même s’ils ne sont pas du tout en compétition. Bien sur ils se parlent de leurs conquêtes, des fins de soirées, de tout ce genre de petits trucs, mais rien ne fait qu’ils sont en compétition. Si l’un des deux a passé une mauvaise soirée alors que l’autre tout au contraire, et bien il sera là pour lui remonter le moral. En aucun cas ils se rabaisseraient. Qu’est ce que c’est beau dis-donc tout ça. « Aussi bien que la tienne, j’imagine ! » Toujours un petit temps avant de pouvoir bien parler de sa libido, des filles, des soirées. Au début, non pas que ça le gêne, mais il se sent toujours un peu mal à l’aise de parler à propos de telles choses, même avec son meilleur ami. Un petit côté timide et coincé ? Surement. Disons que Calvin sait le mettre à l’aise. Et c’est à cause de cela qu’il venait de lui répondre aussi directement, sans rien dire de plus. Une réponse très vague, et pas très intéressante. Au moins, ils sont d’accord sur un point : ne pas se prendre la tête avec les femmes, une relation quelconque amoureuse. Pour le moment, leur seul but à eux deux : s’amuser et profiter de leur jeunesse. Et c’est totalement compréhensible, surtout avec deux hommes comme eux. Un serveur vint leur demander ce qu’ils désirer pour apéritif. Calvin commanda avant lui, et n’ayant pas la tête à réfléchir pour savoir ce qu’il désirait, il ne dit qu’un simple « La même chose pour moi, merci. » Tout ici le stressait, l’ambiance, les gens, les serveurs, et même le menu. Il ne savait pas comment être, comment s’adresser avec le serveur dans la même tenue qu’eux. Ils sont beaux en costard. Il rigola, jamais ils ne seraient venus dans un tel endroit. Quelle idée avait-il pu bien avoir. Il a vraiment les idées très tordues. Ils continuèrent de parler, tandis ce qu’on vint les servir leur apéritif. Bon à lui de poser une petite question, il devait se tenir au courant de la vie de son meilleur ami tout de même. « Hey p’tit con, tu m’as encore rien dit sur ta soirée d’hier. » C’est vrai qu’entre eux, les insultes ça fusent, mais c’est dans un seul sens : amical. Le jour où ils s’insulteront pour de vrai, en pleine dispute par exemple, et bien ça se verra, mais surtout on le comprendra tous. Drôle de relation qu’ils entretiennent tous les deux, mais c’est tellement bon. On devrait faire un film sur eux, je vous assure. Ils gagneraient ainsi une fortune tous les deux, et Callen ne dirait pas non pour un peu d’argent.
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Jake Fitzgerald
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MessageSujet: Re: give me your pleasure • CAL&CAL give me your pleasure • CAL&CAL EmptyJeu 12 Mai - 21:15

sujet classé - corbeille
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