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Un p'tit tour à ski ? (pv Abby )

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MessageSujet: Un p'tit tour à ski ? (pv Abby ) Un p'tit tour à ski ? (pv Abby ) EmptyJeu 24 Fév - 17:23

Alors voilà que je devais avant tout m’occuper de la famille Vodianova. Je me demandais bien pourquoi est-ce qu’il a fallu que je ne comprenne pas trop pourquoi je devais m’occuper de cette famille de dingue ! Cette famille de fous qui avait le don de me pourrir la vie…J’avais dans la charge de m’occuper de ces gens, je devais avant tout prendre le temps de voir comment est-ce j’allais procéder pour satisfaire ma curiosité ? Le matin même, je prenais donc la direction de ce fameux chalet perdu dans la montagne, il y avait de la neige, il faisait froid, mais les roues de ma voiture glissaient sur le sol, encore fallait-il que je ne sois pas de bonne humeur. …..Sans doute que je devais faire un effort, mais après réflexion, je ne le ferais pas. Pour le moment, j’avançais dans la rue pleine de neige, bien entendu, je me doutais que je devrais avant tout trouver une façon pour dire à cette famille de fou que : c’est moi qui commande ! Je ne sais pas trop pourquoi mais bon, je me rapprochais alors de la maison.

Ce chalet en bois, grande, beau, immense, chaleureux, et bien entendu, je ne voyais pas trop comment faire les choses dans l’ordre. La pente pleine de neige était en train d’être déneigée, je voyais un homme de taille moyenne, d’un certain âge, cheveux gris, qui faisait ce travail avec passion. Arrivant alors à sa hauteur, je me disais bien que je pouvais aussi faire attention à lui. Roulant un peu moins vite, il y avait mon coéquipier qui se réveillait. Il fit une grimace comme à son habitude lorsqu’il reprend vie après une nuit de garde. Allant me garer sur la place qui était pour moi à ma disposition. Néanmoins, je ne comprenais pas trop pourquoi est-ce que cette famille avait des droits surdimensionnés ? A chaque fois que je m’occupais d’une famille, je devais avant tout les faire respecter mes décisions. Là c’était l’inverse !

Sortant de la voiture, déposant mes pieds sur le sol qui n’avait plus de neige. Je voyais le vieil homme prendre les valises dans le coffre. Je lui disais alors que je pouvais le faire, mais il me répondit qu’il était le majordome et qu’il faisait son travail. Mon coéquipier riant face à la situation, je ne savais pas trop quoi dire de plus. Grimaçant de rage, je fermais ma portière, de toutes évidences, je ne sentais pas trop bien les choses. Comprenant alors pour une fois, que j’avais ainsi une bonne idée pour la suite. La porte du chalet s’ouvrit, et je vis l’une des sœurs Vodianova, il s’agissait de Tasha, elle était la plus gentille des deux, elle avait l’air fatiguée. Puis la tante vint dire au majordome qu’il fallait que l’on rentre rapidement à cause du froid.

L’entrée se trouvait bien petite, mais elle débouchait directement dans le salon, le reste de la petite famille se trouvait là. Abby, la plus peste des deux, j’avais du mal avec elle, elle me gonflait en plus, à avoir toujours raison ! Elle voulait sans cesse me dire mon métier alors qu’elle-même ne connaissait pas le mien ! Le majordome revenait alors avec nos valises, lui disant que cela irait mieux si on restait dans le salon. Il me disait que cela était contre ses principes, mais bon, je lui répondais alors que cela était aussi contre les miens de dormir dans un lieu n’ayant pas accès à la porte d’entrée. Bien entendu, il finit par céder, et je déposais nos valises et matériels pas loin du canapé dans un coin de la pièce. M’approchant un peu plus des personnes présentes, je me présentais à nouveau.


- « Bonjour, nous sommes Us Marshall, voici mon coéquipier Jim Barton, et je suis Eileen Hannah Rochester. Nous sommes ici à la demande du juge qui doit mettre Monsieur Vodianova en garde à vue dans le but de le mettre en prison. Normalement, la protection de témoin agit après le procès mais vu la situation, on a dû le faire avant. » 

Il était bien sûr certains pour moi, que je ne reste pas sans dire la suite des évènements qui était censé se produire.

- « Il est donc normal que je demande avant tout une entière coopération de votre part. Après il est préférable que vous preniez en compte mes demandes pour faire en sorte que cela se passe bien pour tout le monde. »

Tasha me demandait alors.

- « En fait on doit vous obéir si j’ai bien compris ? »

Il était donc évident que je n'aurais plus qu'à répondre à la question, mais il a fallu que se soit Abby qui réponde à ma place ! Tasha s'en allait au même moment avec la tantine. Je me tournais vers mon interlocutrice.
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MessageSujet: Re: Un p'tit tour à ski ? (pv Abby ) Un p'tit tour à ski ? (pv Abby ) EmptyMer 9 Mar - 16:38

Un p'tit tour à ski ? (pv Abby ) 982404icone9png Un p'tit tour à ski ? (pv Abby ) Erw04
Je ne parlerais qu'en présence de ma Vodka. Et pas de la Polonaise, donnez-moi de la vraie, de la pure, de la RUSSE!

Ah, la neige ! Le froid et tous ces petits détails faisant que la blondinette avait l’impression d’être à nouveau en Russie…Mais ce n’était pas le cas. A la place, on l’obligeait à se rendre dans un chalet enneigé, loin de tout, pour assurer sa protection. Elle n’avait même pas eu le temps de prévenir Aaron de son absence, et ce fut pourquoi, avant même que sa jumelle ne s’en aille avec leur tante pour un monde meilleur, elle la chargea de passer le mot. Si le jeune homme rentrait à l’appartement et découvrait que la blondinette, enceinte jusqu’au fond des yeux que l’on a envie d’appeler monsieur, n’était pas présente, pour sûr il allait se payer une bonne syncope. Aaron n’était uniquement sur-protecteur, il avait peur à juste titre qu’il ne lui arrive une bricole. Non seulement Abby était sans arrêt ennuyée par le FBI du fait de son lien de parenté avec Dimitri Vodianov, mais sa cécité n’arrangeait strictement rien à la situation, bien au contraire. Sans sa canne d’aveugle et son fidèle labrador Coca, elle était perdue, et n’avait aucun moyen de se repérer. Néanmoins, ce n’était pas l’envie de fuir qui lui manquait, maintenant qu’elle était contrainte de rester pour un temps T dans un chalet. Disons que cette bâtisse, luxueuse et à l’image de la famille de milliardaire dans laquelle elle était née, avait été adorée par Abby lorsqu’elle était enfant et qu’elle venait y passer toutes ses vacances de Noël. Mais l’idée même de passer ne serait-ce qu’une nuit en présence de cette Eileen Rochester de son coéquipier lui donnait une nausée indicible. Quitte à passer pour la pire peste que la terre ait portée en son sein, la jeune femme avait la nette intention de mettre le paquet. Être déraisonnable, c’était comme une seconde nature. Elle haussa donc les épaules face au discours purement ennuyeux de cette chère Eileen, partant du principe que cela rentrait par une oreille pour mieux ressortir par l’autre dans la seconde qui allait suivre. Si elle pensait avoir les épaules pour la protéger, sous le fallacieux prétexte qu’elle était US Marchall, alors elle se plantait le doigt dans l’œil jusqu’au coude, ou même jusqu’aux doigts de pied. Abby n’avait pas besoin de pouvoir la voir pour être persuadée qu’elle n’avait pas la carrure pour un métier purement masculin. C’est comme si on demandait à une boulangère de tenir un gros calibre et de tirer sur tout ce qui bouge en temps de guerre…Abby elle-même était persuadée qu’elle pouvait bien mieux se débrouiller sans Eileen qu’avec elle. Une chance encore qu’elle soit accompagnée d’un partenaire masculin ! Mais allait-il rester, ou les laisser « entre femmes » alors qu’elles n’avaient strictement rien en commun ? Allez savoir…Pour l’instant, la jolie blonde n’avait pas dégoisé le moindre mot, fidèle à son tempérament aussi glacial qu’une brise en plein hiver en Russie.

ABBY – « Je suis censée faire quoi, ici ? Vous « regarder » jouer aux cartes ? Non parce que si c’est ça, c’est clair qu’on ne va pas s’entendre. Déjà, parce que je n’ai rien demandé, et surtout pas un garde chiourme de votre trempe. Soyons sérieux trente secondes ! Vous pensez pouvoir faire quoi, si un sniper me fait sauter la cervelle ? Vous allez présenter vos excuses parce que vous n’êtes qu’une bande d’incapables ? Joli, ça promet ! Sérieusement, je ne vois pas l’intérêt. Mon père n’enverrait pas ses chiens galeux à ma poursuite, ça je peux vous l’assurez. Le truc, c’est que vous ne le connaissez pas, alors que moi, si. Cette mascarade est grotesque…Je suis enceinte, pas en sucre, et à moins que vous ne sachiez faire des massages de pieds, je n’ai strictement rien à faire ici, et encore moins à obéir à vos ordres…Vous pensez que j’ai cinq ans ou quoi ? Ridicule ! »

Fidèle à son admirable façon d’être une tête de mule, Abby voulut aussitôt se faire la malle, armée de sa canne d’aveugle dans une main, de la laisse de son chien dans l’autre. Mais le fameux coéquipier Jim eut tôt fait de la saisir par les épaules pour l’obliger à s’asseoir. Il la menaçait peut-être du regard, mais en attendant, s’il n’avait pas compris qu’elle était aveugle et que ce genre de manœuvre n’avait aucun effet, il ferait mieux de retourner faire quelques années d’études histoire d’être fini de cuire…Abby demeura, montre en main, trente secondes assise avant de se relever. Le fameux Jim n’avait pas encore dégoisé un mot, elle non plus, tout se passait dans le regard. Il n’y avait plus qu’à prendre les paris sur le premier qui allait sauter à la gorge de l’autre…Abby était particulièrement douée pour mordre, mais en tout cas pour aboyer plus fort que les autres. Qu’il soit Marshall ou pas, ce guignol n’aurait strictement aucun effet sur elle, c’était une chose certaine. Haussant les épaules, Abby n’hésita pas une seconde à le lui faire comprendre grâce à un sourire narquois proprement provocant.

ABBY – « Qu’est-ce que vous allez faire, hum ? M’attacher, me battre jusqu’à ce que je ne puisse plus me relever ? Vous feriez mieux d’avoir un nombre impressionnant de plans B en stock, parce que je vais vous rendre la vie impossible jusqu’à ce que vous vous décidiez à me ramener chez moi. Et vous faire changer de métier, ou vous en donner l’envie, voilà quel est mon but. Je suis la protégée la plus insupportable sur laquelle vous pouviez tomber, quel manque de bol ! Alors, Jimmy…On a toujours les couilles de jouer les gros bras ? A moins que ce ne soit une attirance vis-à-vis du fait de pouvoir se taper une femme sur le point d’accoucher ? Essayez donc, je n’ai pas mis de culotte aujourd’hui vous n’aurez qu’à soulever ma robe. »

Provocante comme elle l’avait rarement été, Abby s’amusait d’imaginer la tête d’Aaron si jamais il entendait pareil discours de sa blondinette préférée. Ce n’était pas dit qu’il soit gêné, cela dit. Mais mission accomplie, le fameux Jim fut proprement incapable de répondre quoi que ce soit face à la provocation de l’aînée Vodianova. Victoire ! Eileen ne disant rien, elle devait être estomaquée du toupet de sa petite protégée, ou bien réfléchir à une idée de lui coudre la bouche de la manière la plus efficace. Quoi qu’il en soit, elle n’était pas plus à la noce que son collègue qu’Abby se plaisait à provoquer de la pire des façons. Ce n’était qu’un homme face à une très belle femme…Très, très enceinte peut-être, mais elle était tout de même rudement séduisante et parfaitement au courant de ses atouts. Enceinte ou pas, aveugle ou pas, la langue d’Abby était encore suffisamment agile et aiguisée pour mettre mal à l’aise même le plus charismatique des hommes. C’était une victoire éclatante que la sienne, et qui lui permit de reprendre sa canne d’aveugle ainsi que la laisse de son chien en main, en vue de se diriger vers la sortie du chalet, on ne peut plus fièrement. Le toupet, il n’y a que ça de vrai…

ABBY – « A l’avenir, je ne parlerais qu’en présence de ma vodka. »


Laissant échapper un rire narquois, moqueur et cynique, la blondinette ouvrit la porte à la volée avant de la claquer derrière elle. Il neigeait à gros flocons dehors, et si elle n’avait pas porté ce manteau typique russe avec de la fourrure, elle aurait gelé instantanément de froid. Mais l’âme brûlante de la jolie blonde ne pouvait être arrêtée par quelques intempéries…Au contraire, elle descendit l’escalier quasi gelée du chalet, découvrant avec un délice on ne peut plus certain le goût de la liberté une fois que ses pieds furent posés dans la neige n’ayant pas été foulée. Elle ne savait pas où elle allait, elle n’avait aucune conscience du danger, mais ce n’était pas bien important : C’était excitant, et il n’y avait rien d’autre à ajouter en vérité.
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MessageSujet: Re: Un p'tit tour à ski ? (pv Abby ) Un p'tit tour à ski ? (pv Abby ) EmptyMer 9 Mar - 19:31

On peut dire que je suis tombée sur le grelot le plus moche de la Terre entière ! Hum, et voilà qu’il a fallu qu’elle me fasse un caprice bien présente, de toute manière, qu’elle ait une langue ou pas, je me disais une fois de plus que je ne serais pas trop sans réponse…..Hihih, elle ne sait pas trop sur qui elle est tombée….Voyant la porte fermée, je me disais une fois de plus que je pourrais aussi m’amuser un peu plus….Niark, niark, lorsque je veux, je suis un vrai diablotin ! Gare à vos fesses…Me dirigeant une fois de plus vers la porte, je l’ouvris, puis comme je voyais cet ours de fourrure assez comique au fond, je ne voyais qu’un gros gag dans la neige ! Passant la porte, je disais tout simplement…


- « En Chine, on dit le proverbe suivant, « L’arme des hommes et le sabre, celui des femmes et leurs langues de vipères. » En vous voyant je ne voie plus qu’une enfant gâtée par la richesse et un caractère en forme d’iceberg à la noix, soyez heureuse dans votre malheur au lieu de croire qu’au fond tout vous ait du. Vous voulez rester dehors et bien soit rester y. Après tout c’est votre santé, remarque si vous êtes malade, il me sera plus facile de vous gardez au lit. Mais je ne pense pas que le ou les vies que vous allez donner vont accepter que vous soyez malade. Après c’est comme vous voulez, de toute manière vous êtes vaccinés et majeure. Mais si je veux, je peux vous pourrir la vie autant que je veux…. »

Me dirigeant alors vers ma voiture, je prenais le temps de vérifier si je n’avais rien oublié ou bien fermé la voiture. De toute manière, je ne voyais pas trop alors comment dire si j’allais alors aussi faire en sorte de lui pourrir la vie une fois de plus. Me souvenant que j’avais une bouteille de wisky dans ma voiture, je me rendais compte que Jimmy était sur le pas de la porte, il me regardait avec un air bizarre….Me faisant signe qu’au fond, je ne devais pas m’inquiéter pour autant, je ne voyais pas trop alors quoi faire d’autre à part, m’amuser un peu à titiller Abby. Voyant que mon coéquipier me regardait avec un air bizarre, je le voyais qu’il jetait un œil à ce que je tenais dans ma main. Il ne disait rien comme à son habitude, il préférait ne rien faire de plus au lieu de le faire à ma place ! Il me laisser dans la mouise la plus totale qui existe ! Le voyant rentrer pour s’occuper des autres membres de la famille.

La neige me faisait du bien, les quelques flocons, cela me faisait à mon petit côté irlandais bien trempé. Je ne comprenais pas trop pourquoi est-ce que les gens qui ont alors une maladie ou autre, qu’il devait avant tout se sentir mal dans leurs peaux. Au fond, il n’y a que la vérité qui blesse, et bien sûr je ne devais pas le faire avec les gens que je protégeais, mais bon, parfois, j’en avais une envie des plus folles…Regardant alors Abby qui voyait la vie alors plus ou moins en rose, je l’observais un moment, elle avait l’air de savourer la neige. Peut être que la sensation des les avoir sur la peau qui fond devait lui manquer un peu..Bien qu’elle dise qu’elle n’est pas en sucre, je suis certaine d’une chose, elle n’est pas si forte qu’elle le dit, au fond d’elle, il y a une petite part qui s’inquiète un peu parfois. Alors que je ne voyais pas trop comment dire ce que je voulais lui dire, je disais tout simplement….


- « On ne choisit pas sa famille, mais ces amis, oui, alors au lieu de vous dire que votre père ne va pas faire quelque chose pour vous. Au fond, bien qu’il soit plutôt méchant, il ne faut pas oublier que votre vie de toute façon est tel un destin, et qu’on ne peut pas aller à l’encontre du destin. Enervez-vous, crier si cela vous fait plaisir, je resterais ici, et je ne compte pas partir pour vous faire plaisir. Si cela vous fait du bien d’hurler et bien soit, hurlez, mais sachez que vous aurez toujours une famille et des amis qui compte pour vous. Après si votre caractère est d’être ingrate et bien soit, c’est vous. Mais quelque soit votre vie, on a toujours besoin d’aide. Alors il y a forcément une raison si vous en êtes arrivé là, donc arrêtez de vous plaindre et vivez tout simplement votre vie. Il est bien sûr que l’on ne fait pas toujours ce que l’on veut. Sachez que j’ai pleins d’autres plans B dans mes poches, et que s’il le faut, je prendrais le temps de vous gâcher votre séjour ici. Déjà que venir ne me plaisait pas malgré que cela soit mon travail, je vais de toute façon vous mâter alors pour être franche, même s’il vous arrivait un truc, à la rigueur je m’en fiche royalement. Je m’en fiche que vous soyez mécontente ou pas heureuse que je sois là, c’est mon travail, et rien ne pourra changer quelque chose au fait que je suis là pour faire en sorte qu’il ne vous arrive rien. »

M’approchant alors d’Abby, je pensais à comment je faisais pour aider ma mère ivre et qui me hurlait dessus sous prétexte que je n’étais qu’une bonne à rien. La prenant alors par le bras, je l’asseyais sur les marches, après tout, il y avait une chose que je ne comprenais pas trop comment l’aider, mais je lui disais alors dans le coin de l’oreille.

- « J’ai l’habitude avec une mère alcoolique depuis ma plus tendre enfance, un père mort, et une mère qui vous hurle que vous êtes une bonne à rien sous prétexte que vous voulez montrer un peu d’amour….Donc je vous plaignez pas… »

Bien sûr en me relevant, je ne pouvais pas m’empêcher de me dire qu’au fond, la vie était alors une vie bien mouvementée. Bon ça y est, je savais alors que j’aurais du mal avec elle, qu’Abby me ferait vivre toutes sortes de couleurs. Enfin, pour une fois, je prenais le temps de savourer cet instant, rien qu’un moment, je me disais alors que la vie serait alors bien plus amusante si on y mettait un peu de piment…..Oh cela va devenir sacrément épicé….Oh yearh !

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Jake Fitzgerald
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MessageSujet: Re: Un p'tit tour à ski ? (pv Abby ) Un p'tit tour à ski ? (pv Abby ) EmptySam 14 Mai - 20:05

sujet classé - corbeille
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