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old habits, new habits • pv

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MessageSujet: old habits, new habits • pv old habits, new habits • pv EmptyMer 29 Déc - 8:07

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old habits, new habits

•• musique du rp : cliquez ici s'il vous plait, merci bonsoir, enjoy (:

pv martin de thomas • j'étais semi inspirée pour le rp, j'espère que ça te plais quand même langue. en tous cas, n'est pas un chef d'œuvre, mais c'est ce dont j'ai été capable Razz

L'amour ressemble étrangement à la haine. La joie, n'est jamais bien loin de la colère. la mort est souvent signe de naissance... on dit souvent que lorsqu'une personne meurt son âme se transporte pour donner naissance à une autre personne qui le mérite plus que la précédente. Cette théorie est difficile à croire, selon moi. La mort est froide. Il n'y a aucun paradis, aucun enfer. Ni bien, ni mal. La mort laisse planer les âmes dans les airs, nues de corps et d'esprits. Pourquoi devrait-elle apporter le bonheur à d'autres si les concernés souffrent de la perte d'un être ? pourquoi le mal de quelqu'un devrait automatiquement apporter le bien d'un autre ? Pourquoi simplement, la vie en entier doit elle punir les innocents pour récompenser les malhonnêtes ? Le fantasme de la mort c'était emparé de moi, elle avait pris ce qui me restait. Simple et précise, elle avait frappé sur la plus vulnérable quitte à l'épuiser jusqu'à la corne. Elle avait laissé en moi un vide qui jamais plus ne serait habité. J'étais vivante, pourtant c'était tout comme si la mort m'avait frappé sans crier garde. En me prenant le seul être qui comptait encore sur moi, elle m'avait détruite. Ni ma famille, ni mon 'copain' n'avait besoin de mon existence pour le moment. Lui, ce petit bout de vie qui flottait dans mon ventre, était le seul à dépendre de moi quant à sa survie. Si je me nourrissait, il pouvait manger. Si je marchait, alors il me suivait. Si j'arrêtais de respirer, alors il mourrait. Et pourtant... pourtant je n'ai pas provoquer cette fin. Pourtant, à cet instant, c'était plutôt moi qui avait l'impression de dépendre de lui pour ma propre survie. Il était parti, comme tout les autres. Il m'avait laissé seule, comme tout les autres. Mais contrairement aux autres, lui, il avait découvert avant qu'il ne soit trop tard que demeurer avec moi serait nocif pour lui. Il était parti, pour son bien. Pour celui d'Anton. Pour le mien. Quand mon corps m'avait cloué à ce lit d'hôpital, alimentée par les multiples filages et tubes médicaux, je m'étais promis d'être sage en mémoire de cet ange qui m'avait abandonné. Je m'étais promis de ne pas céder à de folles envies, parce que la vie ne tenait maintenant qu'à un simple fil. à la moindre erreur, je risquait de ne pas m'en sortir. Traquée comme je l'avais été, bien pire aurait pu m'arriver. La chance, comme certains l'appelleraient, m'avait sauvée. Moi, j'appelais ça mon cauchemar. Bien des gens auraient été heureux d'être dans ma situation : c'est-à-dire s'en sortir sans séquelles bien visibles. Ce qu'ils ne savaient point demeurait la douleur moral que je devais endurer et m'accommoder chaque jours. Chaque jours étaient de pires en pire. Je vivais et grandissais avec ce remord de, et j'en étais convaincue, avoir provoquer cette perte. Après tout, j'en avais été responsable. et moi, j'avais fais la folle, sans prendre conscience du réel danger que je courais. Vivre avec ce sentiment était sans doute pire que de vivre avec un simple deuil.

J'aurais dû lutter. Mais lutter signifie me mentir. Lutter, c'est faire semblant d'être forte alors que l'ont sait être faible. être forte signifie s'efforcer à sourire, même lorsque le ciel nous tombe sur la tête. Or, je ne sais être forte. Plus maintenant. Lutter me prend trop d'énergie. Lutter me demande trop de volonté. Je préfère être lâche, pour le moment. Je préfère me laisser divaguer, quitter à devoir remonter la pente de plus bas.. plus tard. Je me néglige, c'est temps-ci. Ça me fait peine à voir. Cheveux rarement bien coiffé, maquillage rarement époustouflant comme à mon habitude : j'enfile même de vieux sweat n'ayant pas le courage de fouiller dans la garde-robe. Ou alors est-ce simplement pour camoufler mon ventre qui n,est plus arrondis ? Personne, sauf Anton bien sûre, est au courant de mon accident. Personne ne connais la vérité. Personne n'a appris la perte tragique de mon bébé, mon enfant. Je ne pouvais le nier : il était mien et je l'avais perdu. C,était même surprenant que, une nouvelle fois, je n'ai pas fais la une de watch out, ce qui va s'en dire devrait arriver dans quelques temps, je n'en doute point. L'amour, la guerre, la haine, la joie : tout cela semblait trop demandé pour moi. J'étais.. comment peut-on dire.. Déconnectée de mon vrai moi. à des milliers de kilomètres.

La soirée était douce, j'avais eu besoin de prendre l'air. Marcher. Aérer et mon corps, et mon esprit. Sous les spotlights de la ville, j'évitais mon ombre terrifiante. J'avais peur de tout et, qui plus est, j,avais encore plus peur de me retrouver seule. Me cachant à travers la foule, j'essaie tant bien que de mal de camoufler mes angoisses. Et s'il arrivait par derrière ? Et s'il savait où j'étais ? Et si l,envie lui prenait de finir son boulot et de m'achever.. me brûler vivante ? « un peu d'argent pour un sans abris ? » m'avait agressé un SDF, sans domicile fixe.... j'avais eu peur et de sursaut je m'étais éloignée à grand pas. Que m'avait-il pris de sortir comme ça ? j'avais peur d'être suivit. La paranoïa me rattrapait. Roder seule ne m'avait jamais plut, encore moins maintenant. Agressée deux fois, j'en avais eu pour mon quota. à tout vitesse, mon coeur bondissant de ma poitrine, j'entrai dans le premier endroit encore ouvert que je trouvai. Un Bar. Nullement le meilleur endroit pour se recueillir, j'en conviens, mais tout de même plus rassurant que les rues de San Francisco. Je me dirigeais jusqu'au comptoir où je pris place sur un haut tabouret entre deux hommes. Un vieux à moustache qui semblait s'endormir sur son verre et, au contraire de celui-ci, un jeune homme qui se noyait dans son élixir. Un jeune homme que je connaissais bien... envers qui notre relation n'étais pas des plus positives. Auparavant, elle aurait pu l'être. Maintenant, il m'avait exaspéré, m'abandonnant lui aussi dès qu'anton était à nouveau entré dans ma vie. Tout en prenant ma commande, je relevai mes cheveux bouclés en une haute négligée queue de chevale. « gin fizz por favor » puis je me tournais vers Martin « la boisson est ta seule amie ? » je plongeais alors mes yeux dans mon verre fraichement arrivé dissimulant par le fait même l'affreuse vérité : la voisson était elle aussi ma seule amie
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MessageSujet: Re: old habits, new habits • pv old habits, new habits • pv EmptyJeu 6 Jan - 22:36

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AMBRAE ; MARTIN

    «Tu agis sur mon être comme une caresse.» Tu m'apaises, me rends heureux. En un seul mot, tu arrives à me calmer, tu me fais découvrir de nouvelles choses, je ne pouvais pas tant espérer d'une femme comme toi. Tu combles mes espérances. Tu es celle qui me permet de réussir, de croire en moi, d'être celui que j'ai toujours été, je ne pourrai jamais autant te remercier que me mettre à tes genoux • • Martin De Thomas


    L’amour est la haine sont des sentiments qui sont unis par un lien fort. Quand on déteste une personne, on finira par l’aimer ou par la détester encore. Mais ce qu’il fallait savoir c’était que aimer ou détester une personne est une épreuve fatigante qui épuisait une personne moralement et physiquement. Martin avait détesté les personnes qui l’entouraient, il ne cessait pas de le faire, pour lui il fallait détester chaque personne. Il ne fallait pas les aimer c’était se rabaisser à un niveau inférieur. Il se protégeait des autres. Il avait peur d’être critiqué, on avait tellement été sur lui pour qu’il soit parfait qu’il était obsédé par son image et par ce qu’il pouvait dégager. Une mauvaise réputation n’était pas vraiment grave. On pouvait parler de toi dans ton dos. Et que l’on parle de toi en bien ou en mal l’essentiel est que l’on parle de toi. L’image qu’il pouvait dégager était soignée. Il ne passait pas le nez dehors sans avoir pris une douche et être présentable devant tout le monde c’était assez psychologique. Il devait absolument être parfait et ça marchait, les filles venaient lui picorer dans la main comme des hirondelles si l’on puit dire gentiment. La haine qu’il ressentait envers les personnes tout autour de lui était une protection. On pouvait se moquer de lui, on pouvait le critiquer, lui cracher du venin… Comment pouvait-il se protéger contre toutes ces attaques qui provenaient sur lui-même pour le détruire ? Il utilisait son humour ironique et devenait infecte avec les autres. Ce n’était que de la protection. Après comme tout être humain, car Martin est bel est bien un être humain, il a besoin d’exprimer ses sentiments autant la haine que la colère. Bien entendu, il était plus doué pour exprimer sa colère que pour montrer sa gentillesse et son amour. Peu de personnes y avaient droit. Il s’interdisait d’aimer quiconque, bien sûr deux personnes manquaient à cet appel. Constance, la jeune femme qu’il aimait comme un fou, mais aussi sa petite Lindsay. Lindsay n’était autre que sa filleule, la fille de sa colocataire Blacberry et de son meilleur ami Maddox. Il avait hérité du titre de parrain, un titre duquel il se serait bien passé quand il a eu Lindsay dans ses bras pour la première fois de sa vie, mais au fur et à mesure, il s’est mis à aimer cette petite fille comme si c’était la sienne, c’est bien trop à dire, mais elle comptait pour lui bien plus que sa vie. Martin était très attaché à cette petite. Il veillait sur elle comme un grand frère, mais il ne se gênait pas pour lui faire faire des bêtises, il était même le roi, réclamant presque les foudres de la mère de la petite. Cette gamine pouvait tout faire du grand Martin de Thomas, le meilleur comme le pire. C’était amusant de voir la facilité qu’elle avait pour lui rendre le sourire, elle agissait sur lui comme un petit rayon de soleil. Après ça, Martin se disait pas apte à avoir un enfant, et bien il était encore bien loin du compte. Comme toujours. La nuit était vite tombée sur la ville. Des milliers de lumières éclairaient les rues de la ville étudiante. Elles agissaient comme des petits joyaux scintillants sur une couronne faite d’or que les jeunes aristocrates portaient sur leur tête pour montrer qu’ils étaient souverains du pays. Martin était accoudé à la fenêtre d’une grande demeure en centre de la ville, il regardait la circulation se faire de plus en plus longues. Les gens rentraient du bureau, d’autres faisaient des allés retours vers leur lieu de vie, et certains s’apprêtaient à sortir. Quant aux moins courageux, ils prenaient le métro ou le bus. Martin hésitait à sortir ce soir, il n’avait pas vraiment grand-chose à faire dehors à cette heure-ci sauf aller à un bar pour terminer la nuit par une virée sur une piste de danse et rentrer à pas d’heure en charmante compagnie. Mais l’envie n’y était pas tellement, il fallait un grand choc pour que ça lui arrive. Ting Ting ! L’ascenseur de la demeure venait de s’ouvrir, il arqua un sourcil et se tourna vers l’intéressé qui venait de se présenter ou devrais-je dire l’intéressée. Sa mère. Taraniah De Thomas venait de faire son entrée en beauté si l’on peut dire. Le sourire fin à ses lèvres rosées de son habituel rouge à lèvres hors de prix. Les cheveux bouclés châtains mi-longs tombant dans son dos sous la pression de leur lourdeur à cause des boucles parfaitement dessinées. Comme toutes les femmes riches de son entourage, elle était habillée de son habituel tailleur noir qui lui serrait le corps. Petit Martin se demandait comment elle faisait pour respirer, cette interruption le fit perdre ses moyens, ça faisait bien une dizaine de mois qu’il n’avait pas eu de nouvelles de sa mère. Cette dernière posa sur la console en verre son dernier sac de marque de luxe qu’elle avait certainement acheté à New York étant donné qu’elle habitait là-bas. Elle racla sa gorge, ce qui attira automatiquement l’attention du jeune garçon. « C’est comme ça qu’on vous a pris à dire bonjour à votre meilleure jeune homme ? ! ». Impuissant face aux appels de sa mère, il se rapprocha d’elle, la baisa d’un seul côté et la regarda dans les yeux. Elle était bien plus petite que lui. Autrefois, elle était bien plus grande que lui. Elle semblait immense par rapport àce tout petit enfant pleurant à chaque fois que sa mère partait, autrement dire rarement puis qu’elle n’était jamais avec lui. Maintenant, elle semblait encore plus frêle, elle semblait fragile. Ses épaules n’étaient pas si épaisses. Elle ressemblait à tous ces mannequins anorexiques. Elle ne pouvait pas lever une charge supérieure à cinq kilos. « Je.. Je vous demande pardon mère, mais votre arrivée fut une surprise pour moi, je ne m’y attendais pas, si bien que j’ai prévu des plans pour ce soir, si ça ne vous dérange pas, je dois partir. Je m’excuse, mais je ne peux fausser compagnie à mes amis. ». Comme il s’y attendait très bien, elle n’y voyait pas le moyen d’intervenir, elle faisait de ces mères qui n’en avaient rien à faire de leur enfant, pas qu’elle n’aimait son fils quoi qu’elle ne devait pas le porter dans son cœur, mais elle ne faisait que travailler à son cabinet à New York. On ne peut pas être célèbre et s’occuper de son enfant, tout n’est pas possible. Elle interpella la domestique présente dans la maison et lui réclama de lui faire couler un bain chaud qu’elle aromatiserait avec des fleurs de roses. Martin soupira, il pouvait tout dire à sa mère, elle se fichait de tout. Il saisit les clopes qui étaient restés à porté de sa main et Martin prit la poudre d’escampette dès que sa mère eut le dos tourné. Arrivé en pleine ville, il se demandait ce qu’il allait faire, il n’avait nul endroit où aller à cette heure aussi tardive de la nuit. Soupirant, il joua son portable marchant droit devant lui, le regard fixé sur son cellulaire. Il ne décrocha même pas, il ne profitait pas du paysage qu’il y avait tout autour de lui. Mais en levant la tête une seule fois, il tomba sur un bar. Il avait besoin de décompresser. Boire un petit coup ne lui ferait certainement pas de mal. Il poussa la porte et rentra dans la pièce surchauffé par un chauffage centrale qui dominait sur le côté. Il prit position sur un de ces tabourets hauts qu’on trouve aux pieds des bars. Il s’assit dessus et commanda un verre de gin. L’alcool ne cessait de lui faire penser à Constance, au mal être qu’il ressentait envers elle. Il trouvait particulièrement pathétique de noyer ses pensées dans un verre d’alcool et pourtant depuis quelque temps, il ne cessait de le faire pour alléger ses pensées. La porte par laquelle il venait de passer ne tarda pas à s’ouvrir une deuxième fois. Il ne prêta pas à la personne qui venait de prendre place à ses côtés, ll laissa son regard aller sur le côté et découvrit les traits d’une femme. Mais la voix qui sortit de ses lèvres raisonnèrent en masse dans la tête du jeune garçon qui ne mit pas longtemps à découvrir son interlocutrice. Ambrae. Cette jeune étudiante qui était dans la même université que lui à Berkeley. Il soupira et joua avec son verre un petit moment. « la boisson est ta seule amie ? ». Ces paroles le firent rire, mais pas dans le bon sens, il releva la tête, la fusillant du regard, elle devait avoir l’habitude depuis le temps. Il ne faisait que mépriser les personnes tout autour de lui, et elle ne faisait pas l’exception, bien au contraire, il avait longtemps voulu son malheur pour noyer le sien. C’était sa seule hâte, voir tout le monde aussi malheureux qu’il ne pouvait l’être. « Ouaip je n’ai pas d’autre ami, elle au moins, elle me déçoit pas et elle est toujours pour moi ! Mais je vois que tu viens faire la même chose ». Sourire ironique sur les lèvres, il ne pensait pas ce qu’il pensait, bien sûr qu’il avait des amis, enfin pas des amis mais des meilleurs amis, c’était mieux. Après tout, un meilleur ami est toujours plus important qu’un ami. Ses ces dernières réflexions, il déposa le verre et en commanda un autre au serveur.
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