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| Don't stop me, i'm going to my home • ft. Thomas | |
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Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: Re: Don't stop me, i'm going to my home • ft. Thomas Ven 13 Aoû - 12:16 | |
| Ne te vexe pas mais remplume toi un peu et peut-être qu'un jour j'aurais envie de coucher avec toi et j'ai envie de t'embrasser est-ce un crime ?? Je ne vais rien te cacher, tu es une belle jeune femme attirante c'est tout je ne vois pas le mal à te le dire. En quoi je ne suis pas totalement parfait ?? Si j'ai fais une erreur dis moi pour que je ne la commette plus
Je marchais toujours avec elle main dans la main, elle me dit qu'elle se moquait bien des rumeurs sur elle, sur nous a vrai dire moi aussi je m'en fichais bien de ce qu'on pouvait dire sur moi.
Je me moque des rumeurs
Je n'avais pas fait attention où nous marchions, une rue étroite s'imposa à nous, sur le coup je ne comprit pas trop, on avait marché comme ça sans réfléchir à notre destination. Puis elle se blottit dans mes bras, je resserrais mon emprise sur elle et comprit que tout son blabla c'était du flan elle voulait coucher avec moi là dans cette rue, je ne fais pas ça en public non mais et puis je me voyais mal la repousser mais j'avais pas envie de faire ça, pas maintenant et puis comme je lui avais dit gentiment je la trouvais un peu trop mince à mon goût.
Euh ... je crois qu'on devrait resté sur les boulevards
Elle leva la tête vers moi, elle semblait surprise de ce que je venais de dire mais je n'avais vraiment pas envie de faire ça. Je al pris par la main pour continuer à marcher dans les rues commerçantes. Pas mal de gens nous bousculait, je prenais Elzbieta par la taille pour la tenir contre moi et la protéger des passants.
En effet le film est génial mais tu vois à la fin on voit une image de Marianne sur son canapé toute contente d'avoir sa drogue et juste avant on voit Jared dans son lit d'hôpital qui pleure j'ai haïs Marianne parce que je me suis dit que son mec était en train de mourir et elle est toute contente parce qu'elle a sa drogue et elle ne pense même pas à lui. La musique est très prenante quand même et elle t'accompagne pendant tout le film, il est bourré d'émotion et franchement tu te dis que jamais tu ne toucheras à la drogue de ta vie ou aux amphétamines. Euh ... si jamais je me retrouve avec un mec faut vraiment que je sois bourré parce qu'il est hors de question que ça arrive
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| Sujet: Re: Don't stop me, i'm going to my home • ft. Thomas Ven 13 Aoû - 16:21 | |
| Se remplumer ? Elle savait qu’elle devait le faire, mais ça allait aller de pire en pire. Pour le moment, elle mangeait encore un tout petit peu, mais sans plus. Ça ne la vexa pas, mais elle fut confrontée à la dure réalité des choses. Elle maigrissait trop vite, et cela la rendait moins jolie qu’elle pouvait l’être en étant un peu plus dans ses formes habituelles. Au moins il avait été franc, et ce n’est que ça qu’elle voulait. S’il pensait ça, pourquoi d’autres mecs ne le penseraient pas non plus ? C’était fichu pour qu’elle ait un quelconque copain à ses côtés, mais à vrai dire, elle n’en voulait pas. Elle ne ferait que penser à lui, à ce salaud qui lui a fait subir ce cauchemar. Elle ne veut plus aucune relation avec quiconque, et ne pourra plus faire l’amour avec un homme. Ses images reviendraient bien trop vite dans son esprit. Elle ne put lui donner un sourire, elle se sentait mal, elle se mit à trembler. Sa tête se mit à tourner, elle vit double. Ses yeux se fermèrent pendant quelques secondes, elle écouta le reste de ce qu’il lui disait. Elle avait froid, et pourtant la chaleur revenait.
T H O M A S - Ne te vexe pas mais remplume toi un peu et peut-être qu'un jour j'aurais envie de coucher avec toi et j'ai envie de t'embrasser est-ce un crime ?? Je ne vais rien te cacher, tu es une belle jeune femme attirante c'est tout je ne vois pas le mal à te le dire. En quoi je ne suis pas totalement parfait ?? Si j'ai fais une erreur dis moi pour que je ne la commette plus.
Elle ne fit même pas attention à ce qu’il venait de dire, si elle grossissait un peu pour reprendre ses formes, il aurait peut-être envie de l’avoir dans son lit. Si elle était dans son état normal, elle se serait sentie gênée, et serait partie tout de suite, ne voulant même pas entendre la suite de ce qu’il peut dire, mais elle n’avait pas assez de force pour faire tout ça. Elle ne savait même pas si c’est un crime, non ça ne devait pas l’être, du moment que ça restait une envie non atteinte. C’est surement pour cette raison, qu’elle soit une femme attirante, qu’elle a attiré ce psychopathe à lui faire tout ce mal. A cet instant même, elle se détesta, mais surtout elle détesta Thomas de lui dire tout cela. C’était elle qui lui avait demandé de lui dire la vérité, mais sans qu’il le sache, il lui faisait du mal. L’Homme est une erreur même de Dieu, on était tous une erreur, on en faisait tous des erreurs. C’est ce qu’elle avait envie de lui dire. Ou en tout les cas, elle, elle était une grosse erreur de la nature. Jusqu’ici, elle n’avait jamais dit une telle chose, mais tout avait changé.
E L Z B I E T A - Je … euh … Je le sais. Je n’étais pas comme ça avant, il y a encore quelques jours. Je ne pense pas que ça ne soit un crime, du moment que ça reste juste une envie, et non une obligation que tu m’infligerais. Là, ça en serait un. Tu ne vois pas le mal à me le dire, et pourtant y en a un. Je ne sais pas si tu vas enfin comprendre ce qui m’est arrivé, ça peut se deviner très bien, mais bon. Personne n’est parfait, tout simplement. On fait tous des erreurs.
Alors qu’ils continuaient de marcher, pour aller nulle part à vrai dire, ils parlaient du fait de ce qui pourrait se dire sur le campus si on les voyait ainsi. Elle lui avait avoué qu’en ce qui la concerne, elle s’en fiche de ce qu’on peut dire sur elle, et ses relations. Apparemment, Thomas était pareil qu’elle sur ce point là, comme sur bien d’autres d’ailleurs.
T H O M A S - Je me moque des rumeurs.
Un petit sourire se fit sur son visage. Elle était juste heureuse qu’il soit comme elle. Ils pouvaient alors être libres sur leur action, sans se soucier des rumeurs, vu que les deux s’en fichaient pas mal. Ils flânaient dans San Francisco, jusqu’à se trouver dans une petite ruelle. Elle aurait alors eu peur, mais avec Thomas à ses côtés, tout allait mieux. La peur était dissipée, mais elle se jeta quand même dans ses bras. Aucune attention n’était derrière tout ça, elle n’avait qu’envie de ses bras, rien d’autre de son corps. Elle n’y avait même pas pensée une seule seconde. C’est pourquoi elle ne comprit pas pourquoi il ne voulait pas rester ici, non pas qu’elle le voulait, ça lui allait aussi de se retrouver quelque part où c’est plus fréquenté. Mais cet envie, juste après qu’elle se soit jetée dans ses bras, n’était surement pas du à une coïncidence.
T H O M A S - Euh ... je crois qu'on devrait rester sur les boulevards.
E L Z B I E T A - Oh non, ne me dis pas que t’as pensé que je voulais coucher avec toi…
Elle ne put le regarder dans les yeux, rien que le fait de lui demander ça, ça la mettait mal à l’aise, et s’il avait vraiment cru ça, il se trompait bien sur la personne d’Elz. Mais si elle s’était trompée, peut-être qu’elle se faisait des films, et là, elle se sentirait encore plus mal de lui montrer qu’elle avait elle-même pu penser à une telle sottise. Les boulevards étaient toujours extrêmement bien fréquentés. On avait l’habitude de tout ce monde, mais Elz n’aimait pas. Elle se blottit encore plus elle-même contre Thomas qui la tenait par la taille. Elle pouvait ainsi toujours sentir son odeur, étais-ce un parfait ? Son gel douche, ou encore son odeur naturelle ? Elle ne savait pas vraiment, cela pouvait être un tout aussi.
T H O M A S - En effet le film est génial mais tu vois à la fin on voit une image de Marianne sur son canapé toute contente d'avoir sa drogue et juste avant on voit Jared dans son lit d'hôpital qui pleure j'ai haïs Marianne parce que je me suis dit que son mec était en train de mourir et elle est toute contente parce qu'elle a sa drogue et elle ne pense même pas à lui. La musique est très prenante quand même et elle t'accompagne pendant tout le film, il est bourré d'émotion et franchement tu te dis que jamais tu ne toucheras à la drogue de ta vie ou aux amphétamines. Euh ... si jamais je me retrouve avec un mec faut vraiment que je sois bourré parce qu'il est hors de question que ça arrive.
E L Z B I E T A - J’ai détesté ce moment, mais en même temps j’ai adoré. C’était tellement triste, mais en même temps, j’étais submergée par ce film. J’ai aussi aimé le moment où les deux amis de sa mère se sont prises dans les bras et ont pleuré. Je me suis dis : tu vois que tu as des amis. Du fait qu’elle ait dis à son fils qu’elle n’avait plus personne, et que ses amis ça n’étaient pas la même chose. Je suis bien d’accord, la musique est envoutante. A mon goût, la bande sonore est une chose très importante dans un film. Et là, c’était juste parfait. J’ai beaucoup aimé le fait qu’ils montrent que les médicaments étaient aussi de la drogue, c’est en quelque sorte pour prévenir tout le monde. Le sujet de la drogue est un sujet dur à interpréter, mais là ils l’ont fait super bien. Je me disais la même chose avec les filles … |
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| Sujet: Re: Don't stop me, i'm going to my home • ft. Thomas Dim 15 Aoû - 9:58 | |
| J'écoutais attentivement ses paroles, je réfléchissais qu'avait-elle puis suir pour dire des choses ainsi, elle disait qu'elle ne voulait pas qu'on l'oblige à faire quelque chose mais moi je n'oblige jamais les gens à faire ce que je veux, les filles viennent d'elle même. Soudain l'illumination ce fit, je comprenais enfin ce qu'elle avait subi un homme ou plutôt un monstre parce que dans ce cas c'est plus un mostre qu'un homme pour pouvoir faire une chose pareille l'avait violé. Je me tournais vers elle contemplant cette fille qui n'était qu'une petite chose sans défense, je l'a egardais avec des yeux immenses assez horifiés et ne préférant pas imagine la scène qui avait pu se produire.
Si ça peut te consoler jamais je ne te ferais un truc pareil, je n'oblige pas les gens à venir vers moi ... jamais
Elle semblait soudain si fragile à mes yeux, pourquoi quelqu'un avait voulu lui fare ça et était passé aux actes ?? Je ne comprenais tout simplement pas qu'il puisse exister des gens pareils dans ce monde de fou, elle frissonnait avit-elle froid ?? Je ne savais pas trop mais je mis mon sweet sur ses épaules, je ne savais pas si ça l'aiderait mais au moins j'aurais fait ça. Je marchais avec elle, je ris quand elle dit que 'avais cru qu'elle voulait coucher avec moi, intérieurement je me sentis gêné d'avir penser un truc pareil.
Je me rappel que c'est toi qui m'a emmené dans cette ruelle alors oui je me suis posé des questions
J'avais dis ça d'une toute petite voix, elle allait me prenre vraiment pour le roi des c**, le mec qui se croit irrésistible au point qu'une fille prenne les devant et veulent faire de moi son objet, ça me déangerais pas d'être un objet c'est comme ça que me voyait cette fille dans l'université si on se revoyait c'était uniquement pour qu'on se fasse plaisir et on s'appelerait une fois ou deux pour s'amuser mais voila je restais justeun objet pourelle parce qu'elle avait déjà des tonnes de mecs à ses pieds.
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| Sujet: Re: Don't stop me, i'm going to my home • ft. Thomas Dim 15 Aoû - 14:27 | |
| T H O M A S - Si ça peut te consoler jamais je ne te ferais un truc pareil, je n'oblige pas les gens à venir vers moi ... jamais.
Ce tout nouvel ami venait de comprendre. Ca ne la dérangeait pas que les gens l’apprennent par eux-mêmes, du moment qu’elle n’avait pas besoin d’en parler plus que ça. Elle lui fit un petit sourire, c’était des paroles sincères et vraies, elle le croyait, elle croyait en lui. Comment avait-elle pu croire qu’au début il lui voulait du mal ? C’était un jeune homme des plus normaux, sincères, et enfin gentils. Elle l’imagina très bien en super bon pote, avec qui on rigole tout le temps. Mais surtout elle le voyait en DELTA, homme à femmes. Au moins, elle était tout même heureuse de l’avoir connu ainsi, comme ça elle pouvait avoir le privilège de le connaitre vraiment, et pas comme tous ces étudiants qui pensent le connaitre alors que pas du tout. Elle a eu des discussions avec lui, bien profondes, et que personne ne pourra jamais imaginer. Elle n’ira pas voir les étudiants et faire savoir qui est vraiment le Thomas derrière le coureur. Ce n’est pas du tout son genre, et puis, qu’est ce que ça pourrait lui rapporter ? Rien.
E L Z B I E T A - Merci Thomas.
C’était suffisant pour lui faire comprendre ce qu’elle voulait et ce qu’elle ressentait. Elle le remerciait d’être là, mais surtout maintenant elle avait entièrement confiance, et ne pensera plus du tout à quelque chose comme quoi il lui voudrait du mal. Tout ça c’était du passé maintenant. Elle le connaissait, il la connaissait, ils n’étaient plus des inconnus l’un pour l’autre. Oui, elle était heureuse d’avoir fait la rencontre d’un jeune homme comme lui. Ils ne sont pas tout comme ça, puis ça ne sonne pas aux portes. A vrai dire, elle voulait même le voir sur le campus, et voire comment il se comportait à l’université, avec les filles, même si elle imaginait très bien comment ça pouvait se passer, comme avec tout DELTA. Alors qui avait emmené qui dans cette ruelle ? Pour Thomas, c’était Elz, mais pour la jeune fille c’était lui. Elle le suivait et n’avait pas regardé où ils allaient. Alors lorsqu’elle l’entendit dire que c’était elle qui l’avait emmené ici, elle se mit à rire, et le tapa un peu. Un petit coup de poing sur l’épaule, en signe qu’elle rigolait tout de même.
T H O M A S - Je me rappel que c'est toi qui m'a emmené dans cette ruelle alors oui je me suis posé des questions.
E L Z B I E T A - Tu rigoles là j’espère. C’est toi qui m’as emmené ici. Pff. Les DELTA et toi, vous pensez toujours que tout revient au sexe, c’est hallucinant quand même. Enfin ce n’est pas un reproche hein.
Loin de là le reproche. Au contraire, elle trouvait ça amusant, même si ça la mettait un peu mal à l’aise et que sur le coup elle fut un petit peu gênée, mais c’était passé. Les malentendus, ça pouvait très bien exister avec ce genre de garçons, qui ont très souvent qu’une seule chose en tête. C’était peut-être une généralité, mais qui dira que les coureur de jupons ne pensent pas la plupart du temps qu’à faire l’amour, et plus que cette acte, tout simplement : le sexe. Pour chaque confrérie, il y a un mot qui désigne parfaitement les gens, à quoi ils pensent le plus souvent. C’est toujours une généralité, et bien sur, pour Elz il n’y avait pas que le sexe pour eux, mais c’était quand même la majorité du temps. Et ça, si Thomas le niait, elle voulait bien … et bien, elle ne savait pas, et ne voulait même pas en parler avec Thomas. Elle le regarda et sourit.
E L Z B I E T A - Ce n’est pas que je m’ennuie, ou que tu me fais chier, mais je pense que je vais rentrer chez moi. |
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| Sujet: Re: Don't stop me, i'm going to my home • ft. Thomas Dim 15 Aoû - 19:26 | |
| Elle me dit que nous les Delta pensions souvent au sexe c'était vrai mais quand même il y avait d'autre chose dans la vie comme les études ça c'était plus important qu'voir une fille dnas son lit parce uqe pour attirr une fille il ne suffisait pas que d'avoir un corps d'Apolon mais d'avoir aussi une tête bien remplie et puis il y avait l'histoire c'était super important pour moi, la musique, le cinéma ....... et oui aussi les filles, le sexe enfin bref toutes ces choses que font les garçons de mon âge. J'y pense pas toute la journée si c'est la question, j'ai d'autres préoccupations dans la vie tu sais genre ma mère qui m'engueule toutes les cinq minutes Je souris de ma bêtise mais elle aussi, ça faisait du bien de voir un sourire sur ce joli visage quand même. Nous arrivions devant un arrêt de bus, elle me dit qu'elle avait envie de rentrer chez elle, je regardais l'heure sur ma montre il était déjà 17 heures. En effet il fallait qu'elle rentre même si il était tôt pour rentrer chez elle à moins qu'elle est des tyrans pour parents. Je pris un papier dans ma poche, dénichant un stlo et lui écrivit mon numéro de téléphone que je lui tendais. Si un jour tu veux avoir une conversation autement philosophique ou tout simplement parler ben appel moi ça me fera plaisir ... il n'y a aucune obligation tu peux le jeter dans l'égout dès que je serais parti J'attendis que le bus arriva pour lui faire un signe de la main et partir en direction du parking où j'avais laissé ma voiture.
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Don't stop me, i'm going to my home • ft. Thomas Dim 15 Aoû - 20:10 | |
| Le sexe, après tout il n’y a peut-être pas que les DELTA qui ne font que penser à ça. C’est une image qu’on leur a attribué, mais aussi c’est ce qu’on pense d’eux, sans vraiment se soucier qu’ils sont comme les autres au fond. Enfin, Elz s’en souciait, et savait que derrière chaque personne quelque ce soit la confrérie, il y avait une personne comme tant d’autre sur terre. Alors qu’elle venait de faire une allusion à cela, elle ne sut même pas où menaient ses propres pensées à elle. De toute façon, il pouvait penser à ce qu’il voulait quand il le voulait. Ce n’est pas encore puni par la loi de penser qu’à ça, et à mettre en pratique tout autant. Pour Elz tout le monde a un esprit pervers, qu’on montre ou pas. A qui on veut, mais surtout à des moments précis. Pour elle par exemple, elle ne l’était qu’avec son copain, et personne d’autres. Ce n’est pas son genre de faire son obsédée avec des personnes qu’elle ne connait pas assez bien. Disons, que oui, elle est un peu coincée niveau « Elzbieta dévergondée ». Puis, en ce moment, le mot « sexe » ne lui revient qu’en se souvenant de son viol, le mot « sexe » ne tourne plus qu’autour de ça, et rien d’autre.
T H O M A S - J'y pense pas toute la journée si c'est la question, j'ai d'autres préoccupations dans la vie tu sais genre ma mère qui m'engueule toutes les cinq minutes.
Lorsqu’il parla de sa mère, et qu’il avoua qu’elle l’engueulait toutes les cinq minutes, elle ne sut pas vraiment quoi penser, ni quoi répondre. Elle devina juste que sa relation avec sa maternelle ne devait pas être le pur bonheur. Et en y repensant bien, elle l’avait bien vu lorsqu’il avait eu ce coup de fil au café tout à l’heure. Même si elle ne comprenait pas la langue, elle avait bien pu comprendre ce que Thomas ressentait, et elle avait entendu la façon dont il avait parlé, etc. ce sont des choses qu’on peut deviner alors. Ils continuaient de marcher, et cette fois-ci, Elz regardait où ils allaient, ne voulant pas se retrouver quelque part qu’elle ne voulait même pas imaginer. Faisant bien attention de rester sur les boulevards comme l’avait demandé Thomas, juste après avoir pensé qu’elle ait pu vouloir coucher avec lui, dans cette petite ruelle. Maintenant, elle pouvait en rire.
E L Z B I E T A - Je comprends.
Les deux se mirent ensuite à rire de la bêtise de Thomas. Il la faisait rire, sourire, elle eut envie de se reprendre en main. Et elle s’en obligerait s’il le fallait, elle n’aurait qu’à penser à lui, et ça devrait faire l’affaire. Enfin c’est ce qu’elle pensait, mais des fois le mal est bien plus fort que nos envies. Les au revoir se firent. Alors que les deux attendaient tranquillement à l’arrêt de bus qui allait emmener directement Elz vers chez elle, il sortit un morceau de papier, plus un stylo, pour ensuite écrire quelque chose dessus. Elle devina alors tout de suite que c’était son numéro de portable. Elle le prit lorsqu’il lui donna en disant un petit quelque chose, qu’elle apprécia. Le bus arriva, et elle monta. Elle fit un petit signe de la main à son nouvel ami, et s’installa au fond du bus. Elle regarda ce numéro, et ne sut pas quoi en faire. Mais elle le garda en main, tout en le froissant dans cette main fragile. Elle avait alors l’impression qu’elle le garderait pour toujours. Elle regarda les gens autour d’elle, et se mit à sourire, mais en même temps une tristesse revint en elle, dans son regard. Et les dernières paroles de Thomas lui revinrent à l’esprit.
T H O M A S - Si un jour tu veux avoir une conversation aoûtement philosophique ou tout simplement parler ben appel moi ça me fera plaisir ... il n'y a aucune obligation tu peux le jeter dans l'égout dès que je serais parti. T H E E N D |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Don't stop me, i'm going to my home • ft. Thomas Dim 15 Aoû - 20:19 | |
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| Sujet: Re: Don't stop me, i'm going to my home • ft. Thomas | |
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