| | | [HOT] Je te désire ... plus que je désire vivre ... {Naomi&Nath} |  |
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![[HOT] Je te désire ... plus que je désire vivre ... {Naomi&Nath} Empty](https://2img.net/i/fa/empty.gif) | | Sujet: [HOT] Je te désire ... plus que je désire vivre ... {Naomi&Nath} Dim 18 Avr - 21:53 | |
| ![[HOT] Je te désire ... plus que je désire vivre ... {Naomi&Nath} 010-6](https://2img.net/h/i568.photobucket.com/albums/ss121/Ending_violent/010-6.png) ONE LOVE - ONE GIRL - ONE HEART Feat Naomi June Venn ; Nathaniel Vergil Atwoodth« Tu ne sais pas ce que tu es pour ma vie »J’étais là, immobile à regarder cette horloge dans le haut du centre commercial. Les mains dans les poches, j’étais fasciné par cette machine qui m’indiquait l’heure. Pas la bonne bien sûr, je me demandais quand j’allais enfin arrêter d’être à l’agonie ainsi, à n’attendre que la fin. J’avais tout gâché, absolument tout gâché avec Naomi. L’expression de mon visage était neutre, comment faire plus simple que ça ? Aucune idée. Les gens passaient autour de moi sans se soucier de ce que je faisais et puis c’était tant mieux, j’étais quitte de changer de place parce que tout le monde me regardait. Finalement je faisais un pas, puis deux, puis trois, marchant en continue vers un magasin totalement aléatoire, je me promenais juste pour me changer les idées, me dire qu’au final je n’étais pas un déchet de la société comme je pensais l’être. Je ne sais pas si ce petit tour allait avoir un effet sur ma façon d’être, mais bon qui ne tente rien n’a rien non ? Enfin bref je marchais péniblement dans le centre commercial, le regard vide, les cernes moins présentes qu’auparavant, ces somnifères marchaient bien finalement puisque je recommençais à reprendre des forces. Puis finalement je croisais le regard de la femme de ma vie. Son regard, mon plus beau paysage, mon plus beau dessin. Mon cœur s’emballa tandis que, gêné, je baissais les yeux en espérant qu’elle ne m’est pas vue. Puis finalement elle venait dans ma direction, chose que je ne voulais pas, puisque je savais que je ne résisterais pas à l’envie de pleurer dans ses bras tellement elle m’avait manquée, tellement j’avais envie d’elle. J’accélérais donc le pas, laissant Naomi me suivre sans vraiment le faire exprès. J’étais fatigué, puisque le sommeil m’avait tellement manqué que j’avais emmagasiné une dose énorme de fatigue. Puis la porte des toilettes des hommes se dessinait sous mes yeux, puis je me glissais à l’intérieur. Je savais que Naomi était une fille têtue et qu’elle m’attendrait, c’est pourquoi, l’idée des toilettes n’en était pas vraiment une bonne. Je m’appuyais sur le lavabo, regardant mon visage zombifié, mon visage transformé par la fatigue, la déprime et la tristesse. Je me demandais comment un simple sentiment avait pu provoquer en moi un déclique surprenant au point de me changer complètement. Finalement je restais devant la porte, pétrifié, je voulais voir cette femme, je voulais avoir une nouvelle fois la possibilité de caresser son visage ainsi que son corps. Naomi June Venn se prénom et se nom représentaient toute ma vie, tout mon univers, mon monde ainsi que mon amour. Je n’aimais qu’elle et je ne pouvais aimer qu’elle, je ne sais pas comment m’exprimer et je dois dire que ça me fait peur. Heureusement les toilettes sont propres, mais bon ce n’est pas ça le plus important. Finalement je m’approche de la porte des W.C posant mon tête péniblement contre celle-ci en lâchant des larmes de tristesse, puis dans une voix totalement tremblantes et marquant la tristesse, je lui faisais comprendre que je voulais qu’on parle sérieusement elle et moi. « Na..Na..Na…omi … s’il te plaît … reprend ta place dans ma vie … je ne supporte plus cette douleur … » Je marchais péniblement vers le mur opposé à la porte avant de me laisser glisser, impuissant au sol, mes larmes ruisselant sur mes joues, tellement je pleurais. Je n’étais qu’un faible au final, je faisais le méchant, mais tout ce que je voulais c’était qu’elle redevienne mienne, c’était ce que je désirais le plus au monde. Je me disais souvent que je ferais tout pour la protéger, encore aujourd’hui d’ailleurs. Je sais que si elle voulait vivre, je lui donnerais ma vie, je sais que si elle avait besoin d’une transplantation d’organe, je lui donnerais volontiers les miens, parce que j’aime cette fille et que pour elle je serais prêt à faire des sacrifices et à soulever les montagnes les plus lourdes du globe.
Dernière édition par Nathaniel V. Atwoodth le Mer 5 Mai - 16:07, édité 1 fois |
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| | Sujet: Re: [HOT] Je te désire ... plus que je désire vivre ... {Naomi&Nath} Mer 21 Avr - 13:31 | |
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I'm in love with you
and it's forever.
![[HOT] Je te désire ... plus que je désire vivre ... {Naomi&Nath} Hayden19](https://img.photobucket.com/albums/v431/buffyfan73/Avs/Mine/04-24-05%20Hayden%20and%20Conor/Hayden19.png) ![[HOT] Je te désire ... plus que je désire vivre ... {Naomi&Nath} Img-132344x16jt](https://2img.net/h/moe.mabul.org/up/moe/2010/04/21/img-132344x16jt.png) ![[HOT] Je te désire ... plus que je désire vivre ... {Naomi&Nath} Img-132253ae52k](https://2img.net/h/moe.mabul.org/up/moe/2010/04/21/img-132253ae52k.png) L'amour ne commence ni ne finit comme nous le croyons.
L'amour est une bataille, l'amour est une guerre, l'amour grandit.
La texture de ce fauteuil rouge sous mes doigts ne m’avait pas réellement manqué et pourtant, je me retrouvais là, mon regard plongé dans le vide. Je n’avais pas pris de rendez-vous, je n’avais pas donné de nouvelles depuis des mois et pourtant, il n’avait suffit que de quelques mots pour que finalement il me donne une heure à laquelle venir. « Ca ne va pas, j’ai besoin de vous docteur. » Quelques mots simples prononcés d’une voix si effrayée qu’il n’a put réellement me laisser seule. Et je crois que c’est ce que j’ai toujours aimé. Pouvoir avoir confiance en lui, c’est la raison principale pour laquelle j’ai réussi à tout lui avouer. C’est lui qui m’a aidé après le décès de mes parents, il ne m’a jamais abandonné, toujours écouter, et il a sut réellement me donner la force d’avancer et d’oser en parler, alors forcément j’ai eut ce satané besoin de tout lui confier une nouvelle fois. « Parlez moi Mademoiselle Venn, vous sembliez si désœuvrée, parlez moi… » Désœuvrée ? J’ai toujours, au long de mes relations eut la peur effroyable de perdre les gens que j’aime. C’est sûrement ce qui m’a toujours poussé, quelque soit la relation, à fuir et à prendre peur. Tromper. C’est ce que j’ai fait à chaque fois que j’ai aimé quelqu’un, parce qu’ainsi je le forçais à ne pas me proposer d’engagement trop intense, même si je le désirais. C’est ce qu’il s’était passé avec Nathaniel. Cette relation semblait ce que j’avais jusque là eut de meilleur dans ma vie. Stabilité, amour, confiance, tout semblait être fait pour que nous soyons réellement heureux. Mais j’ai pris peur une nouvelle fois et j’ai foncé dans les bras d’un autre, juste parce que je ne supporterai jamais de perdre quelqu’un que j’aime. Pas un de plus. Mes parents, ma sœur, c’est amplement suffisant. Pourtant, aujourd’hui, je me rends compte que Nathaniel me manque. L’assurance d’être bien qu’il m’apportait, à présent évanouie, créé un vide immense en moi. C’est comme si il n’y avait plus rien, juste du vide et de la peur. Le néant. Le chaos. Rien de plus, rien de moi. Sauf que je ne porte pas en moi le vide, plutôt la vie. Et que cette nouvelle me fait d’autant plus peur. Je suis incapable de prendre soin de quelqu’un, je ne sais pas prendre soin de moi-même. « Je… Je suis seule et enceinte… » Ses sourcils s’arquent au dessus de ses yeux ridés et je sens de la surprise dans son regard. Ma main se pose machinalement sur mon ventre encore plat. Cela ne fait qu’un mois et pourtant, je sens qu’il y a bien quelque chose à l’intérieur de mon corps. Un petit être qui me demandera bien trop d’amour que je ne pourrais lui en apporter seule. Il paraît que les enfants orphelins ont énormément de mal à s’attacher à quelque chose, à avoir une vie de famille comblée. Parce qu’ils ont sans cesse peur de tout perdre. Mais moi c’est bien pire, j’ai l’impression qu’en devenant mère je serai la prochaine sur la liste de la mort. Et le pire dans tout cela, c’est qu’une seule et unique personne saurait me réconforter, m’ôter ces idées sottes de la tête. Le seul que j’aime réellement plus que tout, le seul que je désire à mes côtés. Mais il ne veut plus me parler, il ne veut plus de moi dans sa vie. Mon corps tremble et je ne m’en aperçois pas, je ne sens plus mes membres, je suis incapable de prononcer un mot de plus, et mon visage pâlit à vue d’œil, si bien que le psychologue vient prendre place à côté de moi et pose sa main sur mon épaule afin de me rapprocher de lui, et de me coller contre son torse. Cet homme est comme mon père depuis que je n’en ai plus. Il m’a supporté, aidé, conseillé durant toute cette longue année. Et je dois avouer que là, il semble tout aussi perdu que moi puisqu’il ne parle pas. Pendant quelques minutes un silence s’installe. Je suis partagée en deux, l’envie de fuir et de ne rien avoir affronté, et l’idée que ce bébé ressemblera très certainement comme deux gouttes d’eau à son père, ce qui m’obligera forcément à l’aimer. Je ne sais pas ce que je veux. Enfin si, je veux Nathaniel, plus encore que je ne désire continuer à vivre…
Je me souviens encore des mots qu’il a prononcés par la suite, « Cherche à reprendre contact avec lui Naomi, parle lui… Ton corps entier a besoin de lui, même ce petit être. » A-t-il dit en touchant mon ventre, tel un père l’aurait fait. J’ai finalement quitté son cabinet et ait vogué au hasard dans les rues de cette immense ville, jusqu’à me retrouver là, au centre commercial, à une heure si tardive qu’il devrait bientôt fermer ses portes. Mais l’agitation ne combla cependant à aucun instant le vide et la solitude dans laquelle je me sens enfermée depuis maintenant quelques semaines. Tout aurait put être différent et tout ne tenait qu’à moi et uniquement à moi. J’ai tout gâché. Je flâne, et à chaque fois qu’un homme lui ressemblant de dos se retourne j’espère le voir. C’est fou, comme mon être entier le cherche, sans cesse, depuis son départ. Et quelle fut ma surprise lorsque ce fut réellement son visage qui apparut dans la foule. Je fermais les yeux, pensant à une illusion mais je vis parfaitement ses traits lorsque je les rouvris et son regard triste semblait m’avoir reconnut puisqu’il fit demi-tour me fuyant. « Parle-lui. » Ces paroles résonnent dans ma tête et je ne peux m’empêcher de me hisser entre les gens pour le suivre, quelque soit l’endroit où il ira, quelque soit l’endroit où il s’arrêtera, je le suis inlassablement. Et il s’engouffre finalement dans les toilettes pour hommes. Il me fuit définitivement, il ne désire en aucun cas me parler, me voir, et pourtant de mon côté je rêve de lui, de ses mains prenant les miennes, de ses bras me berçant. Je ne me suis jamais sentie aussi mal, et ça m’empêche de faire demi tour, je reste là, devant cette porte. Complètement stoïque devant mon tendre qui m’échappe. Finalement, j’entends sa voix, entrecoupées de pauses courtes. Et ses mots réchauffent doucement mon petit cœur, je me sens poussé des ailes, revivre, sans pourtant pouvoir l’expliquer. Rien n’est encore fait mais je sais que je rêve que mes espoirs ne soit plus vains. J’inspirai doucement, pour ne pas manquer d’air avant de m’infiltrer à mon tour dans les toilettes. Je poussais difficilement la porte, à bout de forces et je me retrouvais face à lui. Le battant de la porte se referma et je fis alors face à Nathaniel, assis au sol, les yeux embués de larmes. Mon cœur se serra comme d’habitude lorsque je voyais Nathaniel dans cet état. Finalement, d’un pas peu sûr de moi je me dirigeais vers lui, tout doucement, m’arrêtant quelques fois, malgré la courte distance à parcourir. Finalement, je me laissais glisser à ses côtés, fixant la porte, ayant trop peur de son regard plein de haine et de rancune…. Et je restais ainsi, stoïque à ses côtés et pourtant, malgré la douleur, la peur, et tout ce qui se passait en moi, je me sentais revivre de par sa proximité. « Nathaniel… Je suis désolée… Je… Je ne voulais pas… Te faire de mal… Te faire pleurer… Je… Je voudrais te laisser tranquille, quitter ta vie parce que tu m’as suffisamment fait comprendre qu’il n’y avait plus de place pour moi, mais je veux être avec toi, juste avec toi. Je veux… Une autre chance, je veux essayer de te rendre heureux, de me faire pardonner… De… » Je cherchais péniblement mes mots, mais je n’y parvenais pas vraiment en réalité… Que dire ? Que faire ? Quand on a brisé le cœur de celui que l’on aime le plus au monde. Mais je n’eus pas le temps d’ouvrir de nouveau la bouche que la lumière s’éteignit instantanément. Je ne compris pas réellement ce qu’il se passait. Plus aucun bruit autour de nous, machinalement, je me rapprocher de Nathaniel. Telle une enfant, j’ai toujours eut cette satanée peur du noir. Oui, je suis encore une enfant, alors comment pourrais je prendre soin d’un bébé ? Je sens la peau de Nathaniel contre mon bras et c’est comme une brulure, des picotements sur ma peau. « Nathaniel, j’ai besoin de toi… »
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| | Sujet: Re: [HOT] Je te désire ... plus que je désire vivre ... {Naomi&Nath} Mer 21 Avr - 21:38 | |
| ONE LOVE - ONE GIRL - ONE HEART Feat Naomi June Venn ; Nathaniel Vergil Atwoodth« Tu ne sais pas ce que tu es pour ma vie »
Son corps chaud juste à côté du mien me réchauffait le cœur. J’étais heureux de la voir, même si je ne faisais que pleurer en ce moment. Si elle le désirait, je changerais les saisons pour elle, je serais son homme pour la vie, j’serais celui sur qui elle pourra toujours compter, même dans les moments difficiles. Cela faisait tellement longtemps que je n’avais pas senti la chaleur de sa peau contre la mienne et je dois dire que j’étais quelque peu ému, enfin rien de bien difficile puisque je pleurais comme une fillette dans des toilettes assis contre un mur aux côtés de celle que j’aime. Je ne savais pas quoi faire exactement, j’avais réclamé sa présence et pourtant je me demandais ce que je pouvais dire, ce que je pouvais faire, pour lui montrer que je l’aime, que je désire vivre à ses côtés, que je voudrais qu’elle revienne dans ma vie. Je ne voulais pas qu’elle pleure ou qu’elle vienne me rejoindre par pitié pour moi, enfin je savais qu’elle n’était pas ainsi. La sentir à mes côtés me fait un bien fou, je me dis pour la première fois depuis environ un mois que je n’suis plus seul et ça me fait du bien, tellement de bien que j’en pleure presque de joie. Je sais qu’elle partage la même douleur que moi en ce moment-là et pourtant, je ne cherche pas à fuir, mais plus à l’aider, comme j’ai toujours voulu le faire. Veiller sur elle est ma grande passion, prendre soin d’elle est une activité qui me plaît et la consoler est ce que je sais faire de mieux. Finalement, je faisais le premier pas, déposant mon épaule sur la sienne, lui faisant le premier câlin depuis environ un mois. Son odeur me manquait, ce mélange de parfum de luxe qui sentait si bon me manquait et je dois bien avouer que je n’étais pas malheureux de le retrouver. Je glissais une main dans la sienne, laissant mon cœur s’emballer, laissant mon corps décompresser et bizarrement proche d’elle, je pouvais enfin dormir, mais ce n’était pas le moment de faire une sieste, non du tout. J’avais autres choses de mieux à faire, reconquérir Naomi June Venn, par tous les moyens possibles. Je ne voulais qu’elle, je ne désirais qu’elle, comment l’oublier ? Impossible. Je ne pouvais pas, c’était bien trop dur de vivre sans elle, c’était comme m’enlever le cœur ou une partie de moi.
Puis finalement, je pris la parole pas pour lui dire que je l’aimais, mais pour expliquer mon comportement et la rassure à ce sujet, j’étais tellement proche d’elle que la coquille qui entourait mon cœur n’allait pas tarder à céder, j’avais besoin d’elle et quoiqu’il arrive, j’serais là pour elle, j’serais là pour la rendre heureuse. « Mon ange … Naomi … mon cœur … je vais t’expliquer … Tu sais depuis un mois, je ne suis plus du tout le même qu’avant … parce que j’ai tellement souffert, tellement eu mal, que j’ai changé … en mal … au téléphone je n’avais qu’une envie, te crier que je t’aime … mais je ne le pouvais pas, j’avais bien trop d’orgueil pour ça et tu sais très bien que … je ne suis pas comme ça d’habitude … Naomi je te demande pardon pour tout … j’ai besoin de toi ma chérie … » je glissais un baiser sur sa joue, avant de me redresser contre le mur et de regarder la porte. Je m’en voulais de lui avoir fait du mal, je m’en voulais de ne pas avoir été là pour elle, je voulais cette fille, je la désirais et là maintenant je voulais qu’elle réchauffe mon cœur. Naomi June Venn, un prénom et un nom qui représentaient tellement de choses pour moi, je l’aimais, comment le nier ? C’était impossible, comment l’oublier ? Impensable, elle avait marquée ma vie et quoi qu’elle fasse ça aurait toujours été le cas. J’aimais cette femme, j’en étais dingue, fou, accro tout ce que vous voulez. Et là maintenant, je vendrais mon âme au diable juste pour pouvoir revivre en sa compagnie. Je ferais tout pour elle et je ferais tout pour la rendre heureuse, quitte à rendre des personnes malheureuses. Parce qu’elle faisait naître en moi un désir fou, un désir de vouloir faire beaucoup pour elle. Je ne sais pas si au final elle voudra de moi, peut-être qu’elle me voulait juste en ami, je n’en savais rien, mais je la désirais dans ma vie à nouveau, puisque je l’aimais comme un fou. Mon cœur c’était elle, ma vie c’était elle, mon univers également et mon monde par la même occasion, elle représentait le rêve de toute une vie, le rêve d’un nouveau départ en ma compagnie. « Naomi June Venn … je n’ai jamais cessé de t’aimer … » Puis ma main venait rejoindre la sienne.
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| | Sujet: Re: [HOT] Je te désire ... plus que je désire vivre ... {Naomi&Nath} Mer 28 Avr - 10:41 | |
| ![[HOT] Je te désire ... plus que je désire vivre ... {Naomi&Nath} 781833Sans_titre_9](https://2img.net/r/hpimg10/pics/781833Sans_titre_9.png) Je voudrais réellement trouver les mots pour qu’il m’accorde enfin son pardon. Mais je ne veux en aucun cas brusquer son jugement, à sa place, je ne sais même pas si j’aurai été capable d’avaler une telle nouvelle. Quand il semble si mal, ce n’est pourtant rien comparé à ce que j’aurais subit si cela s’était produit dans le cas inverse. J’aurai vu en son geste un désintéressement total de notre relation, et une envie de s’en aller tout bonnement. J’ai toujours été habituée à ce que les hommes m’abandonnent, définitivement, en me trompant. Thomas en est le parfait exemple et même si cette histoire remonte à quelques temps elle m’a tout le temps hanté. Et aujourd’hui, j’ai tout simplement l’impression d’être obligée de trahir les gens qui m’aiment, pour le faire avant qu’ils ne le fassent. J’agis impulsivement, inconsciemment, pourtant j’aurai du voir, que cette fois ci ce ne serait pas pareil. Parce que Nathaniel ne comptait peut être même pas m’abandonner, du moins, pas de si tôt. Et pourtant, je me retrouve là, à avoir tout bonnement fichu en l’air les quelques chance de retrouver celui que j’aime, pourtant, lorsque ses lèvres s’entrouvrent pour parler, je n’ai nullement peur des mots qui en sortiront. Parce qu’il ne semble plus m’en vouloir comme autrefois. Je sais bien que cette blessure ne cicatrisera sûrement jamais, mais il ne semble pas aussi déboussolé que je ne l’aurais pensé, pas aussi emplie de haine que je le pensais jusqu’à présent. Au contraire. Il semble presque enclin à une discussion. Mais je vois dans ses yeux une douleur bel et bien présente qui tort mon estomac de douleur. Je ne rêve que d’une chose, me réfugier au creux de ses bras, embrasser le coin de ses lèvres et m’abandonner à notre amour. Mais il y a encore tellement de chose qui nous sépare, et je suis totalement perdue, depuis bien des jours maintenant. Lassée, abandonnée. Je ne sais même plus où je suis, qui je suis et vers où je désire aller. Mais ses mots me font un bien fou. Lorsqu’il prononce certaines paroles, je sens les battements de mon cœur s’accélérer. « J’ai besoin de toi. » C’est à ce moment là que mon doigt se perd doucement sur sa joue et qu’elle la caresse tendrement. Je suis là. A présent, je sais que je veux réellement que les choses marchent pour une fois, et pourtant, je ne sais comment m’y prendre pour l’emmener avec moi sur la route d’une belle histoire. Une crampe s’empare de mon ventre, comme si l’on cherchait à me rappeler cet enfant qui prend vie à chaque instant un peu plus. Je ferme les yeux et lorsque je les rouvre, la lumière s’est éteinte, brusquement, je ne cherche pas immédiatement à comprendre en réalité, parce que je suis là, assise sur un sol très certainement sal, mais en compagnie de celui qui m’a tant manqué. La peur du noir s’empare de moi, mais lorsqu’il prononce de nouveaux mots d’amour, je ne peux m’empêcher de ne penser à rien d’autre qu’à lui… Etrangement, mon corps se voit projeté contre le sien, et je me colle à lui, doucement. J’approche mon visage du sien dans le noir, sans vraiment comprendre ce qu’il se passe, où nous sommes, pourquoi nous en sommes là. Son souffle ne tarde pas à se faire sentir sur ma peau. Sa main rejoint la mienne alors que ses lèvres se referment. Je reste à quelques centimètres de son visage un bon bout de temps en réalité, le temps de pouvoir prendre conscience que j’ai cette envie de l’embrasser qui s’empare de chacun de mes membres, et qui plaque mes lèvres contre les siennes avec douceur et tendresse. Finalement, nos visages se heurtent l’un à l’autre, et la passion que j’ai toujours ressentit pour lui se fait fortement ressentir, tandis que nos salives se mélangent, tandis que nos langues se cherchent. Je savoure cet instant, je ne veux en aucun cas me détacher de lui, ma main presse la sienne dans la mienne. Juste pour prendre conscience que c’est bien lui. Son parfum, la texture de sa peau, la douceur de ses lèvres sont tant de choses qui m’ont énormément manqué. Je ne saurai dire à quel point tant j’ai ressentit ce vide sans lui. Et c’est un énorme bruit qui me fait sursauter et qui pousse nos lèvres à se détacher. Etrangement, je me sens alors totalement perdue. Mes doutes reviennent alors qu’ils avaient totalement disparus pendant ce baiser. Et si Nathaniel trouvait ce geste déplacé. Mal à l’aise, je me retrouve alors à nouveau, à ses côtés, dans l’obscurité, et cette fois ci je me demande en plus quel a put bien être le bruit de fer contre le sol. Je me redresse rapidement en me demandant quelle heure il peut bien être. Rapidement, je crois que je comprends, que le magasin vient tout juste de fermer et que le bruit de fer contre le sol n’est autre que celui des rideaux métalliques empêchant l’entrée du centre commercial la nuit. A croire qu’à chaque fois que nous nous retrouvons avec Nathaniel, nous sommes confinés, voir bloqué dans un endroit. Je dois avouer cependant que l’espace semble bien plus propice à pouvoir se déplacer que dans un petit ascenseur. Finalement, je reporte mon attention sur Nathaniel, je ne saurai dire s’il a compris ou non. En réalité, j’ai semblé absente quelques instants. « Je… Je pense que le centre commercial vient de fermer… » Je viens tout juste de prononcer ces quelques mots que je me rends compte qu’ils semblent ridicules face à ceux qu’il a lui-même prononcé un peu avant. De plus, mon corps entier rêve de lui prononcer un ‘je t’aime’ chose que j’ai pourtant toujours énormément de mal à prononcer. C’est très simple, je ne le dis jamais, ou presque, je n’ai jamais été doué pour exprimer mes sentiments, encore moins depuis le décès de mes parents. Mais je m’y heurte finalement… Avec l’envie de lui prouver que je tiens réellement à lui. Il sait si bien combien j’ai du mal à formuler ces trois petits mots. Mes yeux se sont peu à peu habitués à l’obscurité, bien que je me sente peu en sécurité, et je vois les grandes courbes de son corps dans le noir. « Nathaniel… Je… Je t’aime. Vraiment. Et je veux être avec toi… Je te promets que dès à présent je ferai tout pour que cela marche, je te promets… » Et c’est loin d’être une promesse en l’air… |
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| | Sujet: Re: [HOT] Je te désire ... plus que je désire vivre ... {Naomi&Nath} Dim 2 Mai - 21:45 | |
| ONE LOVE - ONE GIRL - ONE HEART Feat Naomi June Venn ; Nathaniel Vergil Atwoodth« Tu ne sais pas ce que tu es pour ma vie »
Naomi … June … Venn … cette fille représentait tellement de choses pour moi, pour ma vie, pour mon monde. Retrouver son corps, son sourire, ses mimiques me faisaient tellement de bien que je souriais bêtement avec quelques larmes dispersées sur mon visage. Je ne savais pas vraiment quoi lui dire de plus et son je t’aime libéra mon cœur de ses chaines pour rejoindre le sien. J’étais à elle, est-ce depuis longtemps. Seulement elle ne le savait pas, parce que je me braquais sans cesse de peur de ne pas souffrir une nouvelle fois. Au final, c’était dans des toilettes totalement sales, que je lui avouais tout. Je me relevais, histoire de ne pas rester plus longtemps sur le sol dégoutant et je relevais ma femme, la seule et l’unique. Je gardais ma main fermement dans la sienne, lui souriant avec de caresser son visage en l’embrassant tendrement, habitude qui m’avait totalement manqué. Désormais, je n’étais plus une coquille vide, j’avais retrouvé mon cœur, celle que j’aime et que je désire aimer toute ma vie. Je décidais finalement de l’entraîner en dehors des W.C, jugeant qu’il y avait nettement mieux comme endroit pour des retrouvailles. Je la serrais contre moi, passant mon bras sur ses épaules, lui montrant que j’étais là maintenant et qu’elle n’avait plus rien à craindre de la solitude. J’en étais dingue, je ne pouvais absolument pas le nier, j’avais besoin d’elle, comme j’avais besoin d’oxygène, comme j’avais besoin de mon cœur. Au début, je ne pensais pas réellement entreprendre une relation sérieuse avec Naomi, j’avais peur de la décevoir, mais avec le temps, j’avais envie d’elle un peu plus chaque seconde, chaque minute, chaque jour passé avec elle. Fonder une famille avec elle dans le futur était une de ses choses à laquelle je pensais souvent. En faite je savais qu’elle ferait une très bonne mère, elle était faite pour ça et d’ailleurs, je dois bien avouer que ce que j’aime chez elle, c’est son côté maternel, c’est une femme mature et je ne peux rien lui reprocher par rapport à cela. Je glissais un petit baisé sur son front, laissant mes lèvres collées à ce dernier, je ne voulais plus la lâcher. Elle m’avait bien trop manqué pour cela. En y repensant elle m’avait parlé avant qu’on s’en aille, mais je pensais que de part mes gestes elle aurait compris que je ressentais exactement la même chose qu’elle, mais bon je préférais lui dire carrément tout ce que j’avais sur le cœur en ce qui la concerne. Ce n’était pas des mots que je prenais à la légère, à vrai dire j’aimais lui dire ce que je ressentais, puisqu’au final, j’aimais la voir touchée par mes sentiments. Ce que je ressentais pour Miss Venn, je ne l’avais jamais ressenti pour une autre fille. Vous savez, cette façon de ne voir qu’elle, cette façon de penser qu’aucune femme ne lui arrive à la cheville, cette façon de pensée qu’elle n’est pas seulement une simple femme, mais qu’elle est une déesse incarnée. Bien que j’ai pu la blesser, j’en suis sincèrement désolé et je sais que maintenant, j’ai réussis à sauver mon couple, d’une fin certaine. Je me stoppais quelques instants, la regardant droit dans les yeux en saisissant ses mains. J’allais lui dire absolument tout ce que je ressentais pour elle, absolument tout. Je souriais, puis finalement j’improvisais ce que je voulais dire depuis bien longtemps. « Tu sais Naomi, je n’ai jamais cessé de penser à toi. Je veux dire, t’es unique en ton genre et je ne dis absolument pas ça parce que je suis amoureux mon ange. Ecoute … je crois en nous. J’ai confiance en toi Naomi et je fais totalement un trait sur le passé. Maintenant j’aimerais vivre en ta compagnie le moment présent si tu le veux bien, j’aimerais qu’on évite de parler de Cooper. Mon bébé … c’est juste toi et moi maintenant, contre le monde entier si tu le veux. Tu sais Naomi, au début je ne le pensais pas, mais tu m’as ouvert les yeux. Je sais ce que je veux et ce que je désire plus que tout au monde, c’est toi mon ange. J’aimerais vivre avec toi ainsi que vieillir avec toi. J’aimerais que tu sois la femme de ma vie Naomi, que tu sois la mère de nos enfants. J’aimerais fonder une famille avec toi et avec toi seule. Je t’aime Miss Venn, que tu le veuilles ou non. » Finalement, je ne lui laissais même pas l’opportunité de répondre à ce que je venais de dire et je la serrais contre moi en l’embrassant. Puis je la laisse parler en avançant, main dans la main avec elle. J’étais l’homme le plus heureux du monde à ce moment là et je ne désirais à aucun moment que nos retrouvailles se terminent. Bien qu’ont étaient bien trop occuper à se retrouver et que le magasin semblait être fermé, je remarquais qu’un magasin de literie était à notre disposition, immédiatement je l’entrainais dedans, histoire de dormir au chaud et tranquillement. Mais aussi pour qu’ont parlent de tout ça calmement et ainsi savourer nos retrouvailles. |
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| | Sujet: Re: [HOT] Je te désire ... plus que je désire vivre ... {Naomi&Nath} Mer 5 Mai - 17:58 | |
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L'amour ne commence ni ne finit comme nous le croyons.
L'amour est une bataille, l'amour est une guerre, l'amour grandit.
J’aurais voulut pouvoir dire que je peux me débrouiller seule, que même si Nathaniel ne désire plus jamais entendre parler de moi, je pouvais avancer. Mais c’était faux, totalement faux. C’est impossible, inconcevable, peut être parce qu’avant même d’être l’homme que j’aime il est le précieux ami d’enfance sur qui j’ai toujours put compter. Et que finalement, je suis dépendante de lui, et ceux sûrement pour des années. Mais à présent que je lui ai ouvert mon cœur, à présent qu’il m’a aimé, je ne peux me passer de cette sensation. J’aime sentir son regard amoureux se poser sur moi. Ce simple petit geste me fait me sentir toute chose. Je rougie, je ne trouve plus mes mots, je tremble légèrement, mon cœur semble s’armer d’ailes pour me monter sur un petit nuage et j’en oublie tous les problèmes du quotidien. J’ai toujours voulut savoir ce que cela provoque que le grand amour, et je crois désormais l’avoir découvert, dans ses bras. Je ne peux m’empêcher d’être touchée par ses paroles, ses mots me bercent de bonheur, je me sens envahie d’une joie sans fin et j’ai l’impression de bouillonner à l’intérieur, de revivre, de redevenir invincible. Comme si le fait qu’il soit là, m’aider à redevenir moi-même. Naomi June Venn. Entière. Comme si la vie était en moi, c’est sûrement ce que l’on appelle la féérie des sentiments amoureux…
Son étreinte et ses baisers révèlent en moi un désir presque incontrôlable. A présent, des images peu orthodoxes se faufilent dans mon esprit, et je ne désire qu’une chose, l’avoir encore plus près de moi. Sentir de nouveau ses doigts glissant sur ma peau brûlante, créant sur leur chemin, une légère sensation de brûlure agréable. Je veux sentir ses lèvres se glisser sur mon cou et dévorer celui-ci de petits baisers tendre. Je veux à nouveau laisser libre court à la passion que je ressens pour lui, mais je me reprends rapidement. Voilà maintenant quelques temps que nous ne sommes pas vus et je doute que Nathaniel ait les mêmes envies que moi, à cet instant précis. Je tente de calmer mes hormones qui bouillonnent. Mes joues sont toutes chaudes, peut être même qu’elles sont à présent de couleurs pourpres et j’espère que dans l’obscurité dans laquelle nous sommes plongés, Nathaniel ne remarque pas grand-chose. Cependant les quelques lumières qui restent éclairent suffisamment les traits de son visage pour que je ne puisse enfin lire qu’il semble aller mieux. Les larmes, les cris, semblent à présent loin derrière nous. Et je respire à nouveau le bonheur dont nous étions avant les principaux acteurs. Je sais exactement ce dont j’ai envie, une relation saine, semblable à celle dont toutes les petites filles rêvent lorsqu’elles s’imaginent en robe blanche. Je n’irai pas jusqu’à dire que je veux épouser Nathaniel car nous sommes encore si jeunes, mais je désire réellement construire quelque chose à ses côtés, être contre lui, avancer main dans la main, en regardant un objectif commun. Ce ne sera bien sûr pas de tout repos, il faudra calmer ses angoisses après ce qu’il s’est passé, il faudra calmer les miennes sur ce que je ne parviens pas à lui annoncer, mais n’est ce pas cela la force d’un couple ?
Je marche, une main dans la sienne et la seconde posée sur mon ventre, machinalement. Cet élan protecteur envers l’enfant qui grandit en moi est instinctif et lorsque je me rends compte de ce geste, je dégage ma main de sa place sur mon abdomen. Je ne désire nullement éveiller les soupçons de qui que ce soit, pas même de Nathaniel. Je ne saurais comment lui annoncer une telle chose et pourtant, je ne veux pas lui mentir, encore une fois. Mon estomac grommèle, et je devine qu’il doit être pas loin de vingt et une heure puisque la faim s’empare de mon être. Mais en réalité, la principale faim en moi, est celle qui ne désire qu’une chose, le corps de Nathaniel. C’est fou, peut être est ce dont vrai que les pulsions sexuelles des femmes enceintes sont encore moins possible à refouler que celle d’une femme normale. Et contre toute attente, Nathaniel m’entraîne à ses côtés vers un magasin de literie qui semble s’offrir à nous, comme par un hasard fou et heureux. Il m’est arrivé de faire un petit tour dans cet endroit particulier, des chambres y sont dressées et c’est toujours avec un grand plaisir que j’ai aimé m’imaginer dans chacune d’entre elles. Je dois pourtant avouer que j’ai toujours eut un coup de cœur pour celle qui semble être la chambre la plus chère. Une magnifique chambre blanche, dont les draps et les coussins d’une couleur si pure donne l’envie de se fondre dedans. Cette chambre à baldaquin a toujours retenu mon attention, cependant, je ne suis pas sûre de pouvoir réellement faire entrer un tel lit dans l’ancienne petite chambre d’étudiante que j’avais chez les OMEGA, ce serait à présent bien plus pratique. J’entraîne machinalement Nathaniel vers ce coin de l’immense boutique de literie, comme pour la lui montrer, finalement je me retourne vers lui lorsque notre marche ralentit et que nous nous trouvons face à ce petit cocon de pureté. « J’ai toujours beaucoup aimé cette chambre, et j’ai jamais réellement osé aller m’asseoir sur ce lit, à croire que ce soir tout est permis. » Nathaniel ne semble pas bouger, ma main glisse finalement de la sienne et je fais le tour du petit bureau décoratif pour me laisser tomber sur le lit. La douceur du drap, le moelleux du matelas ne mettent pas vraiment longtemps à me conquérir. Si je l’avais essayé plus tôt je n’aurai pas résisté à me l’offrir, c’est certain. Finalement, je me retrouve agenouillée sur le lit, en face d’un Nathaniel qui persiste dans une position verticale. Je lui souris tandis que les quelques spots laissant évacuer une lumière rouge nous illumine quelques peu. « Viens… » Et pourtant je ne vois en aucun moment dans ses gestes qu’il s’approche de moi. C’est alors, que finalement, je décide de laisser libre court à mes pulsions de femmes enceinte. Son corps m’appelle à la tentation et je ne désire qu’une chose, Nathaniel, là, maintenant contre moi… Finalement, tout en plongeant mes yeux dans les siens, mes mains se glissent sous mon haut, que je remonte lentement sur ma peau bouillante, laissant ainsi entrevoir la peau hâlée de mon ventre, encore heureusement plat, et finalement, je fais remonter le bout de tissus jusqu’à m’en débarrasser réellement, ne laissant alors plus que mon soutien gorge couvrant ma poitrine plutôt bien formée. Et dire que si je décide de garder cet enfant, celle-ci se montrera bien plus volumineuse encore…. Je lui envois le bout de tissus, comme pour l’inviter à me rejoindre, tandis que je repousse ma longue chevelure brune dans mon dos… « Nathaniel, j’ai besoin de toi… » C’est avec sensualité que je ne me prive pas de l’inviter oralement à me rejoindre dans ce lit particulièrement enclin à des folies nocturnes…
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| | | | Invité Invité
| | Sujet: Re: [HOT] Je te désire ... plus que je désire vivre ... {Naomi&Nath} Mer 5 Mai - 20:48 | |
| ONE LOVE - ONE GIRL - ONE HEART Feat Naomi June Venn ; Nathaniel Vergil Atwoodth« Tu ne sais pas ce que tu es pour ma vie »
La soirée était à nous. Je voulais la passer avec elle quoiqu’il arrive. Au final, être enfermé ici n’était pas une mauvaise idée en soit, bien au contraire. En faite je remerciais presque le ciel de m’avoir donné une soirée plutôt originale avec la femme de ma vie. Malgré le fait que j’ai essayé de vivre sans elle durant un an, je n’ai aucune honte à dire que c’est impossible. J’ai trop besoin d’elle, de son parfum si magnifique qui enchante mon nez à chaque respiration, de son sourire qui illumine mes yeux à chaque fois que je l’aperçois, de ses baisers remplient de tendresse et d’affection qui me donnent sans cesse des frissons, j’ai besoin de sa beauté naturelle mais tellement parfaite. Marcher en sa compagnie, avec sa main dans la mienne me réchauffe le cœur, je suis si heureux en ce moment que je me vois vraiment mal aller avec une autre femme qu’elle. Naomi, j’ai tellement besoin d’entendre se prénom toute ma vie, tellement besoin de rester son unique et seul homme. Je ne savais pas pour elle, mais j’avais envie d’elle. Très envie d’elle. J’avais chaud, mais j’espérais qu’avec le peu d’éclairage, elle ne l’apercevrait pas. Je ne voulais en aucun cas l’obliger à faire ce don j’avais envie, surtout pas après nos retrouvailles. Le seul problème, c’est qu’après chaque contact de ses lèvres ou bien de sa main contre une partie quelconque de mon corps, la chaleur s’intensifiait et forcément j’allais finir par exploser, ce que je ne désirais absolument pas. Je ne voulais pas qu’elle pense que je ne voulais que son corps, bien que je le désirais grandement, je ne pouvais pas le dire puisque ce que je voulais c’était la femme entière. Je ne sais pas comment Naomi a réussit à me rendre accro d’elle ainsi. Sans vous mentir, à l’heure actuelle, je ne vois qu’elle et la vie ne vaut la peine d’être vécue qu’en sa compagnie. La chaleur stagna quelques instants avant de me laisser tranquille, enfin c’était ce que je pensais, mais en faite elle n’avait fait que stopper l’action qu’elle avait sur mon corps. Naomi et moi pénétrons finalement dans le magasin de literie, choisissant notre lit pour la nuit, bien que le choix soit difficiles, elle optait pour la chambre la plus chère, rien d’étonnant, puisqu’elle était, une nouvelle fois, du même avis que moi.
Elle s’installa dans le lit, réclamant ma présence, mais moi je restais de marbre. Je ne pouvais rien faire d’autre que la contempler, résistant à la tentation de lui faire passer la plus belle soirée et les plus belles retrouvailles de toute sa vie. Ce que je voulais au final ? Même si je le refusais, c’était de lui montrer que Cooper n’était pas à ma hauteur. Au fond de moi, c’était une petite vengeance que je voulais prendre sur l’homme qui avait brisé ma vie. Sa voix devenait de plus en plus sensuelle et je dois dire que Naomi m’attirait énormément. Comment résister à cette femme ? Qui de plus, est la femme de ma vie ? Aucune idée mais je n’allais pas tarder à craquer, je le sentais, au final, je ne pensais pas qu’elle me désirait également, mais la façon de me demander de la rejoindre me laisse … perplexe. Je dirais que je n’ose toujours pas la rejoindre, de peur d’avoir mal compris, mais au final, elle me donnant un nouveau signal, bien plus excitant et bien plus intéressant. Elle retira son haut, sensuellement, je bouillonnais, mon corps était en feu, j’étais un vrai volcan à l’heure actuelle. Et finalement la voir sous mes yeux à demi-nu n’arrangeait pas les choses. Je suis sûr qu’au fond, elle m’avait sentit légèrement excité, elle était sans doute au courant de mon attirance excessive pour elle. Mais disons qu’elle voulait jouer à un jeu et que je m’y prêtais sans hésiter. Je souriais légèrement, m’approchant d’elle, venant coller mon corps encore habillé contre le sien à demi-nu avant de l’embrasser sensuellement, jouant avec plaisir avec sa langue. Je retirais finalement mon haut, qui dévoilait mon corps chaud, mes formes plus ou moins généreuses aux yeux des femmes. Je collais alors cette chaleur contre la sienne, passant mes mains sur ses cuisses en l’embrassant tendrement, avant de déboutonner son bas et le retirer, pendant ce temps-là, je laissais mes lèvres dévorer son cou avec passion et sensualité, passant légèrement ma langue sur cette partie, histoire de la faire frissonner. J’étais d’humeur joueuse ce soir, disons qu’elle allait être servit et je pense sérieusement qu’elle pouvait déjà réserver son ticket pour le septième ciel, car elle allait l’atteindre ce soir, même si elle ne le savait pas encore.
Je glissais mes mains dans le bas de son dos, avant de descendre mes lèvres une nouvelle fois dans son cou, en passant sur le lobe de son oreille droite pour mordiller sensuellement ce dernier. Je rabattais la couverture sur nos corps qui s’entremêlent, histoire de ne pas avoir froid et de pouvoir nous couvrir si jamais quelqu’un arrivait, comme par magie. Je descendais mes lèvres sur ses épaules, puis sur sa poitrine avant de descendre sur son ventre, m’occupant personnellement de ce dernier avec ma langue et mes lèvres, le caressant avec perfection. Je remontais finalement vers ses lèvres, la serrant contre mon corps bouillant. Je la désirais et je lui montrais bien, elle allait être satisfaite, elle semblait n’avoir aucun doute là-dessus mais tout de même. Finalement histoire de rendre la chose plus excitante, j’allais murmurer à ses oreilles quelques petites choses, histoire de lui donner envie de moi. « Oublie toutes les expériences que tu as connus jusque là … ce soir ce ne sera même pas égalable tellement j’ai envie de toi Naomi … » Je laissais finalement mes mains parcourir son corps, le caressant du bout des doigts, pour la faire frissonner. Je détachais finalement son soutien-gorge avant de finalement coller son corps plus intensément contre le mien, en ne cessant aucunement de l’embrasser avec passion. Elle ne m’avait jamais vu comme ça et je pense que son absence dans ma vie y est pour beaucoup et c’est pourquoi, aujourd’hui je la désire ainsi, je la désire comme un fou. Finalement, mes lèvres descendent une nouvelle fois le long de son cou, traînant quelques secondes avant de ralentir sur ses épaules et finalement m’occuper de ses formes généreuses. J’utilisais ma langue ainsi que mes lèvres, avec sensualité, avec passion, histoire de ne lui laisser aucuns répits. Ce qu’elle ne savait pas c’est que je n’allais pas m’arrêter là, au contraire, j’étais loin, très loin d’en avoir finis avec elle et ça, elle devait sans doute le savoir. Ce soir, j’allais totalement montrer mon envie d’elle, totalement me dévoiler comme elle ne m’avait jamais vu et lui laisser gentiment oublier tous les ringards d’avant. Je n’étais pas le top du top au lit, mais je restais un Atwoodth, un vrai.
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| | | | Invité Invité
| | Sujet: Re: [HOT] Je te désire ... plus que je désire vivre ... {Naomi&Nath} Jeu 13 Mai - 21:59 | |
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I'm in love with you
and it's forever.
L'amour ne commence ni ne finit comme nous le croyons.
L'amour est une bataille, l'amour est une guerre, l'amour grandit.
« Un jour Naomi tu seras amoureuse, tu sentiras à l’intérieur de ton cœur que cette personne est faite pour toi. Quand tu la regarderas, tu verras en elle la seule façon d’avancer, d’aller bien, de sourire. Tes yeux pétilleront, ce sera comme si tu avais avalé des papillons, sans même y faire attention. Dans ton ventre tout se retournera, et tu seras alors heureuse. Comme si rien ne pouvait plus t’atteindre. Le plus dure ma chérie, ce sera qu’il t’aime lui aussi et que vous parveniez tout deux à vous entendre, et à avancer ensemble, mais sache une chose… Le grand amour vaut le coup de se battre, vraiment, et je sais de quoi je parle. Si je ne m’étais pas battue, moi et ton grand père n’en serions pas là, alors ne te fais pas de soucis ma chérie, le grand amour saura te trouver… Mais en attendant, va jouer avec Nathaniel dans la piscine, je vous appelle lorsque le gâteau sera cuit… » Cette voix si douce m’avait ce jour là, pour la première fois de ma vie, parler du grand amour, de celui qui impose en nous une seule et unique évidence. C’est le bon, l’unique, le grand. A l’époque, je ne me serai jamais douter que ce grand amour grandissait à mes côtés, et pourtant, aujourd’hui, si j’écoute mon cœur et non ma raison, je sais que je l’ai rencontré. Que je l’ai en fin de compte toujours eut non loin de moi, l’homme de ma vie. J’ai essayé de le chercher ailleurs, j’ai essayé d’avancer sans lui, j’ai finit par revenir vers lui et j’ai pris peur de nouveau. Je me suis enfuie, je l’ai poussé à me détester, mais il est impossible de lutter. Ma grand-mère avait raison sur une chose au moins, le grand amour vaut le coup de se battre. Nathaniel vaut le coup que je lutte inlassablement pour sa confiance et son amour, pour sa présence et pour toujours.
Il paraît que l’amour fait naître une excitation plus grand encore qu’en temps normal, faire l’amour avec des sentiments est paraît il beaucoup plus porteur à un plaisir intense et je dois avouer que depuis que je connais Nathaniel, je ne pourrais plus jamais dire que le sexe et les sentiments n’ont aucun rapport. Il me suffit de me trouver près de lui, de l’embrasser, pour avoir immédiatement envie d’être encore plus proche de lui. Je le désire, je le veux, réellement, tout contre moi, pour cette nuit de réconciliations. En lui courant après quelques heures plus tôt, je n’aurais jamais crut que nous en arriverions là, tout les deux, que nous serions de nouveau un couple, de nouveau ensemble, à affronter mes erreurs passées pour tenter d’avancer et je dois avouer que c’est ce que j’aime. Ce ‘nous’ que nous formons est indestructible, j’en ai l’intime conviction, à l’intérieur de moi-même, et cette fois ci, je ne me pose même plus la question qui trotte dans la tête d’un bon nombre de gens ‘Est-ce le bon ?’ parce que, à présent, j’en suis tout bonnement certaine. Et je suis prête à le lui montrer, tandis que je tente de l’amener à me rejoindre sur ce lit splendide. Je n’attends qu’une chose, que son corps vienne se coller au mien, une heure, deux heures, toute la nuit… Et finalement, ses gestes vont dans le sens de mes désires puisque Nathaniel me rejoint, doucement. Je souris, et ne tarde pas à être submergée de bonheur lorsque je plaque mes lèvres aux siennes. Je sens ma libido s’élever doucement, tandis que sa langue s’amuse adroitement avec la mienne. Cet homme est simplement un concentré d’excitation. Il lui suffit d’une seule caresse, d’un seul geste de tendresse pour bouleverser mon être entier. Ses lèvres se glissent sur ma peau, doucement et je me laisse tout simplement faire alors qu’il plaque mon corps contre son torse tout juste dévêtu. Ses lèvres glissent alors dans mon cou, puis sur la naissance de mes seins, sans que je ne puisse résister à la tentation de glisser ma main dans ses cheveux. Il me provoque, il m’excite, volontairement, je le comprends rapidement. J’aime sa façon entreprenante de me montrer son envie, et je ne suis pas apte à résister à l’appel de son corps, pas ce soir, ni aucun autre. Je frémis tandis que sa langue s’amuse au même titre que ses lèvres sur ma peau clairement bouillante. Mes mains glissent sur son dos tandis qu’il retire la couette sur nous, ses baisers ne font qu’augmenter la température de mon corps. Je sens ses lèvres se glisser sur mon corps, ses mains agiles se glisser aux endroits où les caresses deviennent clairement plus excitantes que jamais. Ses lèvres remontent tantôt vers les miennes et je m’en empare tant que j’en ai l’occasion, avec passion et tendresse à la fois, avant qu’il ne reparte explorer mon buste, ma poitrine. Je frissonne, je suis réactive, je ne peux empêcher mes sens d’être en éveil, je me cambre entre ses mains, mais finalement, je ne le laisse pas descendre plus bas sur mon corps. Mes mains se glissent entre nous et je le ramène à la hauteur de mon visage. Doucement, je dépose un baiser sur le coin de ses lèvres, puis plus langoureusement, je l’embrasse. Je veux sentir Nathaniel plus près encore de moi, je veux ne faire plus qu’une avec lui, je veux m’offrir à ce jeune homme qui semble enclin à ce genre de comportement puisqu’il n’a pas manqué de me retirer la totalité de mes vêtements, ou presque puis un petit string de couleur vive reste encore présent pour cacher la partie la plus intime de mon anatomie. Doucement, sans cesser de l’embrasser, je le fais pivoter sur le côté, de façon à prendre le dessus cette fois ci. Je me retrouve rapidement sur lui, et plonge mes yeux dans les siens, d’une façon plus qu’insistante. Il est tellement beau, tellement parfait. Les traits de son visage font naître le désir en moi. Chacun de mes membres ne rêvent que d’une chose, lui appartenir définitivement. Ses paroles me touchent, créer une petite sensation de picotement dans mon ventre. Mon estomac se retourne, ma main vient caresser tendrement sa joue, et je souris inlassablement, collée contre lui, maître de ses gestes. Doucement, finalement, je dévore sa joue de petits baisers tendrement déposés, avant de descendre dans le creux de son cou. J’insiste avec ma bouche sur sa peau si douce, je ne cherche qu’une chose, éveiller le désir de mon partenaire, plus encore qu’il ne l’a déjà. Mes mains prennent de l’avance sur mes lèvres, elles descendent explorer son corps, son torse pour commencer, avec une douceur et une sensualité à rendre fou tous les hommes. Mes lèvres propagent des petits baisers sur son torse, doucement, elles descendent. Je ne me prive pas d’émoustiller l’homme que j’aime avec quelques petits coups de langue tout en descendant inlassablement, sur son ventre. Je relève les yeux vers lui et je caresse doucement son corps… « Je suis prête à toute oublier ce soir Nathaniel… » Tandis que je lui dédie ces quelques mots, mes mains défont délicatement sa ceinture, et se glissent finalement entre son jean et son boxer, faisant glisser le premier sur ses jambes, doucement, pour finir par l’aider à le retirer, définitivement. Je ne suis plus apte à stopper quoi que ce soit, bien au contraire. A travers le bout de tissus restant, je caresse la partie sensible de Nathaniel, tout en embrassant délicatement le bas de son ventre…
Mon corps est en extase, ma libido semble atteindre des sommets, et pourtant, je n’ai nullement l’intention de m’arrêter là. Je veux lui prouver combien je l’aime, combien je suis désolée, combien je le désire lui, et aucun autre. Je voudrais simplement l’en convaincre, et ces méthodes peu orthodoxes, en plus de servir ma cause, m’excite grandement. Finalement, tout en remontant embrasser ses lèvres du bout des miennes. Les picorant pour commencer avant de jouer de ma langue contre la sienne, mes mains se glissent sous son boxer, comme pour l’exciter plus encore, et doucement je sens alors que mon homme semble commencer à être réellement excité. Certaines choses ne trompent pas. Je dépose mes lèvres sur son cou, puis je mordille le lobe de son oreille droite, tout en susurrant quelques mots à son oreille, tendrement et sensuellement. « J’ai très envie de vous Monsieur Atwoodth. Là et maintenant… » Je ne lui laisse pas le temps de réagir, mes lèvres se glissent sur sa peau lisse pour rejoindre mes mains, et augmenter son plaisir de façon clairement convaincante. Ma bouche se retrouve alors à prendre la place de mes mains, et c’est ma langue qui caresse alors une certaine partie du corps de Nathaniel. Partie particulièrement réactive à ces caresses… Mais rien n’est terminé… Ce n’est que le début d’une nuit pleine de promesses, une nuit à se battre, de façon plaisante, pour notre amour…
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| | | | Invité Invité
| | Sujet: Re: [HOT] Je te désire ... plus que je désire vivre ... {Naomi&Nath} Ven 14 Mai - 10:45 | |
| ONE LOVE - ONE GIRL - ONE HEART Feat Naomi June Venn ; Nathaniel Vergil Atwoodth« Tu ne sais pas ce que tu es pour ma vie »
La sensualité de cette femme ne faisait qu’augmenter ma chaleur corporelle, je n’allais pas tarder à bouillir, à devenir aussi chaud qu’une seule goutte eau sur mon être s’évaporait en seulement quelques secondes. Je n’avais jamais bouillonné ainsi, c’était nouveau pour moi. J’avais tellement chaud que des gouttes de sueur perlaient le long de mon visage et de mon torse nu. Lorsqu’elle glissa ses mains sur ma ceinture, je me suis tout de suite dis que la chaleur n’allait pas cesser de grimper, bien au contraire. Lorsqu’elle venait caresser le lobe de mon oreille avec sa langue, mon cœur s’emballa. Le pire, c’est lorsque sa main est venue saisir mon entrejambe. Je la laissais faire, je n’étais pas de taille, je ne pouvais pas résister c’était presque impossible. Puis finalement, ses lèvres descendaient le long de mon corps, caressant et frôlant ainsi ce dernier avec une sensualité impressionnante. Cette femme savait si prendre et je dois dire que le fait de ne pas l’avoir vu depuis longtemps m’influence sur le fait que je la désire et que je suis prêt à accepter le plaisir qu’elle va me donner. Elle semblait prendre plaisir à se faire désirer, à me faire bouillonner, mais elle n’allait pas être déçue, oh que non. Finalement je sentais ses lèvres me procurer du plaisir, mais je ne pensais pas que ça allait totalement me donner chaud. J’étais comme un volcan qui va bientôt se réveiller, je ne désirais qu’une chose : Exploser. Je voulais immédiatement me faire désirer aussi, mais avant ça, je devais attendre qu’elle finisse son action et je dois dire que je n’étais pas vraiment en bonne position pour lui résister. Ca me procurais tellement de bien, tellement de plaisir que je ne pouvais pas retourner la situation à mon avantage, il fallait que je l’admette, elle m’avait totalement maitrisée. Je n’étais plus maître de mon corps et je l’avais bien remarqué, j’aimais ce qu’elle me faisait, comment ne pas aimer en même temps. Je la laissais caresser l’endroit le plus sensible de mon corps avec sa langue, sa bouche et ses mains douces. Je ne pouvais rien faire contre cette femme. Je la désirais et elle me procurait un plaisir intense, j’étais comme désarmé face à elle. Ma respiration s’intensifiait plus la chaleur montait et je dois dire que Naomi y était pour beaucoup. Cette fille avait le don de m’exciter, c’était vraiment incroyable. Je n’aimais pas lui dire, mais c’est la stricte vérité.
Je n’aimais pas penser que d’autres avant moi étaient sans doute passé par là, c’était une certaine jalousie, bien que je savais que ce soir, ce qu’elle allait vivre ne serait pas comparable à ses autres relations, je n’aimais pas me faire à cette idée que je n’étais pas le seul. Me dire qu’elle m’avait trompée me rapprochais du fait qu’elle l’avait sans doute fait ça aussi. Mais peu importe. Moi j’allais être meilleur que les autres, parce que Naomi June Venn n’est pas un vulgaire bout de chair humaine pour moi, mais bien la femme de ma vie. Et chaque geste de ma part était mêlé à l’amour que je lui portais. Les autres n’allaient plus être à la hauteur de ses attentes après ce que j’allais lui donner, aussi bizarre que cela puisse paraître, j’étais incroyablement sur de moi, mais bon l’amour donne des ailes comme on dit. Finalement elle se détachait de mon point sensible pour venir caresser mes lèvres, immédiatement, je prenais le dessus, elle m’avait tellement donnée de plaisir que c’était à moi de lui rendre l’appareil. Je l’embrassais sensuellement dans le cou avant de venir mordiller sa lèvre inférieure gentiment. Je laissais ma bouche descendre le long de son cou, la caressant, lui donnant de la chaleur au fur et à mesure que j’arrivais à destination. Je décidais finalement de la faire attendre, avant de lui procurer du plaisir avec ma langue, je remontais par le chemin inverse, toujours avec mes lèvres qui caressait sa peau. Elle avait toujours ce petit bout de tissu qui camouflait la partie la plus sensible de son corps et je ne considérais pas cela comme une barrière puisque en caressant lentement ses lèvres, je glissais une main derrière le bout de tissu. Je caressais avec délicatesse cette petite partie de son corps qui était la plus sensible, histoire de lui donner chaud. « Moi aussi je vous désire Mademoiselle Venn… » Après ses paroles, je descendais une nouvelle fois le long de son corps, retirant au passage son sous-vêtement, histoire de m’occuper d’elle plus intensément. J’arrivais finalement a destination, mais avant ça, je glissais ma langue le long de ses cuisses, j’aimais me faire désirer, encore plus ce soir d’ailleurs.
Finalement, ma langue venait glisser sur la partie sensible de son corps, je m’amusais à lui procurer du plaisir. Je lui rendais l’ascenseur entre guillemet. Mais bon je savais qu’elle n’allait pas tenir longtemps puisque la vitesse d’action de ma langue était en train de concurrencer l’armée de l’air. Je décrivais des cercles, des mouvements verticaux et horizontaux avec ma langue. Je n’avais jamais été aussi vite avec cette dernière de toute ma vie, mais au moins, je me donnais à fond pour elle. Je voulais absolument lui donner le maximum, histoire qu’elle comprenne que tout ce qu’elle a connut avant, ce n’était rien comparé à ça. Nous deux. Juste nous. Finalement, je m’aidais de mes doigts, pénétrant la partie sensible en ne cessant pour rien les coups de langues. Je me donnais à fond pour elle, mais je savais très bien pourquoi je le faisais. Pour moi, si elle m’avait trompée, c’est que je ne la satisfaisais pas assez et c’est pourquoi, ce soir je lui montrais de quoi j’étais capable. Je ne lui avais jamais fais cela et pourtant, j’y prends moi-même du plaisir parce que je lui en donne beaucoup. Je voulais vraiment qu’elle m’appartienne et j’espérais réellement qu’elle ne désire que moi après cela, c’était mon souhait le plus cher. J’avais besoin de cette femme et je ne m’en cachais pas.
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