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« The past never stays in the past » with Chelsea C. Safton

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MessageSujet: « The past never stays in the past » with Chelsea C. Safton « The past never stays in the past » with Chelsea C. Safton EmptySam 2 Jan - 14:22

    « The past never stays in the past » with Chelsea C. Safton Jensen-danneel-je...-100-100-1715387 « The past never stays in the past » with Chelsea C. Safton J-d-jensen-ackles...-100-100-1715397
    (c) Livejournal
    « The past never stays where in the past »

    Mon réveil sonnait mais c’était comme si je ne l’entendais pas. J’étais plongé dans un sommeil si profond que mon réveil avait du sonné pendant près de 10 minutes consécutives. Je ne m’en rendis pas compte mais lorsque Moira entra dans ma chambre et ouvrit les rideaux, je me réveillai en sursaut. Moira, qui est la femme à tout faire et mon agent aussi par la même occasion, venait de me réveiller. Celle-ci se permis de me faire quelques remarques comme quoi elle avait eu peur que je sois mort dans mon sommeil vu que mon réveil sonnait depuis bien une dizaine de minutes. Sa réplique eu le don de me faire rire. Cependant, je ne comprenais pas pourquoi mon réveil s’était mis à sonner aujourd’hui. Nous étions samedi et depuis que j’étais revenu de New York, ville où j’avais passé une année entière à percer en tant que star de cinéma, je me réservais mes samedis. En effet, à New York, m’a vie avait été très mouvementé si bien que je n’avais quasiment plus de vie privée. Entre les paparazzis qui me couraient partout et les foules de jeunes filles complètement hystériques, je n’avais su où donner de la tête. J’avais passé mon temps à d’immense galla, à signer des autographes et à tourner de nouvelles scènes dans mes deux films qui avaient été un succès immense et qui avaient été la une du box office mondiale. J’avais réalisé l’un de mes plus beaux rêves. J’étais devenu populaire voire une star mondialement connue. Revenir à Berkeley n’avait pas été si difficile tout compte fait. Après tout, cela faisait plusieurs mois que je n’avais plus aucun nouveau film intéressant si bien que ma vie avait commencé à prendre un tournant des plus ennuyants. Je ne pouvais pas continuer ainsi c’est pourquoi j’avais repris l’avion pour la Californie, ville où j’avais grandit et où j’avais tous mes souvenirs, les plus anciens comme les plus forts.

    Voilà pourquoi j’essayais de me réserver mes samedis histoire de profiter des joies de la vie comme je n’avais pas vraiment bien pu le faire à New York. Malgré tout mon argent, je n’avais pas pu le dépenser comme bon vouloir puisque mes journées étaient toujours remplient si bien que je n’avais même pas eu le temps d’aller m’acheter de nouvelles fringues, c’était Moira qui se chargeait de faire les boutiques à ma place et de me rapporter des vêtements. Heureusement, elle me connaissait par cœur et savait parfaitement quels vêtements j’allais aimer et lesquels, au contraire, n’étaient pas du tout dans mes habitudes ou dans mes goûts.
    Il me fallu quelques minutes avant de me lever. J’enfilai mon peignoir blanc et descendit à l’étage de ma grande villa. Je cherchai Moira des yeux et comme je ne la vis pas, je me permis de crier son nom mais aucune réponse. Décidément, je ne savais pas du tout ce qui se passait mais je n’en avais qu’à faire, j’avais une faim de loup ! Je me dirigeai donc vers la cuisine et découvrit mon petit déjeuner déjà préparé sur la table. Des croissants, deux jus de fruits à différents fruits et d’autres éléments tout aussi appétissant. Je pris mon petit déjeuner tout en allumant ma chaîne hifi et en la branchant sur la radio locale de Berkeley. Ils annonçaient un jour ensoleillé ce qui eu le don de me mettre de très bonne humeur pour débuter la journée. Je pris mon portable déposé sur un petit meuble de la cuisine et composai le numéro de Moira vu que je ne savais pas où est-ce qu’elle se trouvait. Celle ne me répondit pas. Peu importe !

    Je remontai à l’^étage après avoir terminé mon petit déjeuner et je préparai des vêtements que je déposai soigneusement sur mon lit puis, je pénétrai dans ma salle de bain. Je retirai les seuls vêtements que je portais soit un caleçon et mon peignoir puis je me glissai délicatement sous la douche. Après l’avoir pris, j’enroulai une serviette de coton blanche autour de ma taille et passai ma main sur le miroir embué. Je me regardai et me brossai les dents pour ensuite me coiffer. Je ne fis rien de très extravagant. Comme à mon habitude, un peu de gel et le tour était joué. Ensuite, je sortis de la salle de bain pour me retrouver dans ma chambre et je ne pris pas les vêtements que j’avais préalablement déposés sur mon lit. Je décidai d’aller faire un peu de jogging ce matin vu la météo qui annonçait un magnifique soleil radieux. Je pris donc des vêtements adéquat au spot que j’allais pratiquer puis, je pris mon I-Touch dernière génération et sortit. En effet, le soleil était déjà présent ce qui réchauffait largement l’atmosphère. Je me mis à courir jusqu’à que je sois arrivé à la plage. Je commençai à marcher tout en reprenant calmement mon souffle et en adressant quelques sourires à ces charmantes demoiselles que je croisais et qui semblaient intéressées.
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MessageSujet: Re: « The past never stays in the past » with Chelsea C. Safton « The past never stays in the past » with Chelsea C. Safton EmptySam 2 Jan - 22:52

L'amour n'a aucun prix. Encore faudrait-il trouver le marchand.

    Dure réalité que celle de la vie d'un étudiant. A prendre exemple sur papa et maman, on pourrait croire qu'ils ont eu leur travail d'un simple claquement de doigt. Et pourtant, eux ont été les premiers à trimer pour se chercher quelque chose de convenable. La génération d'aujourd'hui n'était que celle dont on voyait dans les films pour adolescents : des fêtes à n'en plus pouvoir, des cours où l'on voyait la moitié des étudiants travailler, de l'alcool .. Et surtout du sexe. Du jeu et encore du sexe. Il n'y avait que ça. La jeunesse américaine avait bel et bien changée en plusieurs décennies. Et dans l'université de Berkeley, tout était déjà emménagé pour savoir ce qui allait se passer. Certains étaient promus à un avenir brillant et novateur. D'autres se foutaient complètement de leur réussite à part mettre leur bordel c'était tout ce qui importait. Certains passaient leur temps à draguer tandis que d'autres la compétition était le seul mot d'ordre. Les éducations se mélangent, les têtes aussi. Cela formait l'université que représentait Berkeley. Parmi eux, se trouvait une petite rouquine bien pimpante qui avait tout une histoire à écrire dans cette université. A entendre son nom de famille, une réputation s'était déjà formée lorsqu'elle était arrivée parmi tous les petits nouveaux. Elle n'était qu'en première année, seulement. Et pourtant, le destin de cette petite rouquine semblait déjà tracé.

    Elle s'appellait Chelsea. Chelsea Catalina Safton. Eh oui, Safton. Un nom sûrement bien connu déjà à Berkeley. Zacary était sûrement le pire coureur de jupons qu'elle ne connaisse. Et elle ? Eh bien, elle était sa petite soeur. Sa protégée en quelques sortes. Si Zac' n'avait pas été son frère, Chelsea serait certainement sortie avec lui sans problèmes. Mais si il n'avait pas été là, elle n'aurait pas été la femme qu'elle est aujourd'hui. Avant, c'était un laideron. Jamais on aurait pu regarder Chelsea comme ça à présent. Maintenant, elle n'était qu'une bombe sexuelle. Mais les hommes n'étaient jamais arrivé à l'avoir dans son lit. Peu d'hommes étaient passés dans ses filets. Et même très peu avaient réussis à savoir qui était véritablement la vraie Chelsea. En réalité, un homme s'était peu à peu démarqué du terrain. Elle était sortie avec lui pendant quelques mois, on aurait presque dit l'amour parfait. Seulement, il était parti pour d'autres horizons. Et Chelsea dans tout ça ? Eh bien, elle était redevenue la petite joueuse d'avant. Sans se douter que dans cette journée rempli de révisions pour le premier examen blanc, elle allait revoir un de ses premiers amours de Berkeley, Thomas Johansten.

    Droit civil, droit pénal ... Potassant dans ses bouquins, il faut dire que Chelsea n'arrivait à rien aujourd'hui. Fermant à double tour la porte de sa chambre, la petite rouquine salua ses amies avant de descendre dans le hall de la maison IOTA. Charmante petite maison ou Chelsea passait la plupart de son temps à ramener plusieurs garçons ... Pour repartir seule. La jeune femme prit sa voiture en direction de la plage. Peut-être qu'elle croiserait quelques hommes à ramasser, ou plutôt à séduire. Vétue seulement d'une mini jupe et d'un top blanc, la jeune femme enclencha le contact de sa voiture puis prit la direction de cette fameuse plage ... Quelques minutes plus tard, la rouquine trouva de justesse une place de parking tout près de l'entrée. Pourquoi autant de monde ? Chelsea était légèrement intriguée par cette arrivée. Sortant sa serviette et ses produits de beauté qui étaient dans son sac de plage, avant de descendre. Plusieurs filles s'étaient regroupées. Chelsea observa en leur direction pour savoir ce qui attiraient leurs regards. En descendant les marches, elle vit quelqu'un dont elle ne croyait plus jamais voir. Thomas. Son Thomas, l'un des premiers pour qui Chelsea avait jeté son dévolu mais peut-être un peu trop. Elle posa sa serviette et ses produits pas très loin de lui, avant de décaler les mèches de cheveux qui volaient au vent. Oserait-elle s'approcher ? Ou pas ...
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MessageSujet: Re: « The past never stays in the past » with Chelsea C. Safton « The past never stays in the past » with Chelsea C. Safton EmptyLun 4 Jan - 20:18

    « The past never stays in the past » with Chelsea C. Safton Jensen-danneel-je...-100-100-1715387 « The past never stays in the past » with Chelsea C. Safton J-d-jensen-ackles...-100-100-1715397
    (c) Livejournal

    Je venais très souvent sur cette plage il y a plus d’un an, lorsque j’étais à Berkeley même puis, j’étais partit pour New York afin de tenter une nouvelle expérience. Cette expérience m’avait d’ailleurs très réussi si bien que maintenant, il m’était impossible de sortir sans que des fans ne me reconnaissent et se jettent à mon cou pour me demander un autographe. La plupart de mes fans n’étaient autre que des jeunes demoiselles. C’était tout bénéfiques certes, cependant, elles étaient bien trop jeunes et puéril pour m’intéresser en quoi que ce soit. Peut être bien une nuit, un moment de plaisir, qui se refuserait ça ? Cependant, je trouvais cela lassant c’est pourquoi j’avais décidé de quitter New York. Après tout, à quoi bon être devenu célèbre mais si c’est pour rester seul ? Je ne cherche pas l’amour pour autant, je suis plutôt le genre de garçon à collectionner les filles et cela depuis bien des années malgré avoir connu l’amour, une seule et unique fois. C’était Soukaïna. Elle, elle avait su me faire comprendre quel est ce sentiment si profond qui vous fait perdre la tête. J’avais bel et bien eu d’autres aventures, après tout, les filles, ce n’est pas ce qui manque chez moi, loin de là. Cependant, je n’avais pas tellement eu d’histoire sérieuses, sans doute parce que ce n’est pas ma tasse de thé. Bizarrement, les filles se bousculent toutes à ma porte dans l’espoir d’être la nouvelle madame Johansten mais après avoir passé une semaine en ma compagnie, je vous garantie qu’elles préfèrent toutes fuir et moi aussi tiens ! Ce n’est pas vraiment que je suis une personne difficile à vivre mais je n’aime pas la monotonie. J’ai toujours besoin de mouvement, de changements. Je déteste rester dans un quotidien ennuyant voilà pourquoi les femmes fuient la plupart du temps, elles préfèrent le calme, le serein. Ouais, c’est bien un truc de filles ça je vous dis !

    Enfin bref, je courais depuis de bonnes minutes et je fus obligé de ralentir le rythme pour reprendre mon souffle. J’ai beau être un sportif, je ne suis pas non plus superman après tout. Je marchais tranquillement, mes deux écouteurs dans les oreilles et j’écoutais cette musique rock des années 70 se répartir dans tout mon corps. Qu’est-ce que je pouvais apprécier ces moments là. Contrairement à certaines personnes qui ne seraient pas du tout dans leur élément en ce moment-même, moi je l’étais si bien que je profitais de cet instant de solitude. Pour une fois que je n’avais pas une foule hystérique de jeune demoiselles à mes talons. Depuis mon retour à Berkeley, tout était si différent. J’avais l’impression de retourner dans un monde plus au moins normal. Mes films sont tout aussi connus à Berkeley qu’à New York mais à croire que les filles de Berkeley sont bien plus timides ou alors, je ne leur fait pas le même effet. Après tout, les salles de cinéma sont bien mieux construites à New York alors que peut être je passe mieux dans les écrans New Yorkais… enfin bref, je parlais peut être un peu trop vite – comme j’en ai toujours l’habitude – puisque je me retournai en l’espace de quelques secondes et je remarquai toutes ces personnes derrière moi. La majorité étaient des filles mais il y a avait tout de même quelques garçons. Je regardai autour de moi afin de voir si ils étaient bien en train de me suivre moi et apparemment oui puisque je ne vis aucune star ou top modèle dans les alentours. Je leur adressai un sourire, le plus beau de mes sourires avant de poursuivre ma route. Je n’avais pas le temps de m’arrêter davantage et perdre mon temps à signer des autographes ou à donner mon numéro, pas aujourd’hui.

    J’avais repris ma course de sorte à semer la foule quand j’aperçu cette jeune femme sur la plage. Je ne mis pas très longtemps à reconnaître son visage. Il s’agissait bel et bien de Chelsea C. Safton. J’étais sortit avec elle et j’étais peut être bien tombé amoureux de cette fille… enfin, je ne parle pas du grand amour hein, mais quelque chose avec des sentiments peut être bien. Je ne bougeai pas pendant quelques minutes, histoire de la regarder puis, je me décidai à aller la voir. Après tout, je doutais fortement que mademoiselle allait venir à moi, les filles étaient bien trop fières d’elles-mêmes pour faire un geste pareil !

    MAXWELL : « Alors, on a décidé de prendre le soleil ? »
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MessageSujet: Re: « The past never stays in the past » with Chelsea C. Safton « The past never stays in the past » with Chelsea C. Safton EmptyLun 8 Fév - 0:23


    Sur cette plage, était gravé des souvenirs incomparables. Des flash-back remontaient souvent dans la tête de la petite rouquine et pas que d'elle. Il y avait ces feux de camps sur la plage, ou encore le premier baiser. Ou même les After des bals de fin d'année. Chelsea se sentait comme chez elle maintenant à Berkeley. C'était un établissement pas comme les autres. Elle avait fait la connaissance de nombreuses personnes et il faut l'avouer beaucoup de garçons avaient fondus sur sa plastique de rêve. Mais il arrivait quelque fois à Chelsea de repenser à la fille qu'elle était avant. Ce gros tas, qu'on appelait la grosse vache. Elle n'avait rien pour plaire et pourtant tout lui était destiné. Son frère l'avait relevé et on peut dire qu'il lui avait posé un tremplin pour voir la femme que Chelsea était devenue. Peu de personnes connaissaient son passé. Et heureusement. Imaginez la tête de Thomas Johansten par exemple si il apprenait que autre fois la belle et pimpante Chelsea Catarina Safton n'était qu'une pauvre fille grosse et moche ? Il n'aurait même pas fait attention à elle ou même pire ... Peut-être aurait-elle été sujette à des moqueries en venant de sa part ? On ne sait pas de quoi est fait le monde. Tout ce que Chelsea savait et disait souvent, c'est qu'il fallait faire une croix sur le passé et aller de l'avant. Chelsea croyait avoir adopter cette formule du bout des doigts et pourtant cette fois-ci, il s'agissait toujours de la même personne : Thomas. Le passé reste le passé mais pourtant Chelsea ne pouvait plus arrêter d'y songer. C'était une histoire passionnée. Et au moins, elle ne se sentait pas obligée de remettre le costume de la sirène vengeresse.

    C'était bien lui, cette charmante tête blonde au sourire charmeur. A l'époque ou il était à Berkeley, il l'avait admiré pendant des heures à ses entraînements de pompom girl. Jusqu'à ce qu'il fasse le premier pas. Pour Chelsea qui croyait que c'était une aventure comme toutes les autres qu'elle avait eu elle s'était vraiment bien trompée sur ce coup. Thomas était le meilleur ami de son frère. C'était le cliché parfait. Ils formaient un trio à tomber par terre. Ils sortaient ensemble, faisaient la fête ensemble. Tout était parfait. Peut-être même un peu trop. Et c'est lorsque la sensation d'étouffement commençait à faire son apparition, les deux tourtereaux décidèrent de mettre un terme à leur relation. Chelsea faisait semblant mais ... Quand on a le coeur brisé, il est difficile de le réparer. Thomas fut l'un des seuls pour qui Chelsea ressentit quelque chose au fond de son coeur remplit de haine envers la gente masculine. On pouvait dire que Thomas Johansten était un petit vénard au fond. Sortir avec Chelsea était aujourd'hui un honneur. Parce que oui, la petite rouquine ne traîne pas avec n'importe qui et n'importe quoi.

    Ses lunettes de soleil Guess brillaient de mille feux. Jusqu'à ce qu'une ombre vienne perturber le début de son bronzage. Elle savait qui c'était. Elle savait qu'il allait venir la voir. Chelsea était facilement repérable. Il n'avait pas changé d'un trait. Toujours ce regard charmeur, cette étincelle dans les yeux qui les faisaient toutes craquer. Mais au moins, Chelsea C. Safton pouvait se vanter d'être sortie avec cet homme. Et si elle devait recommencer, elle n'hésiterait même pas. Oui, il faut l'avouer. Chelsea n'avait jamais vraiment oublié Thomas. Comment oublier cet homme ? Comment oublier l'amour tout simplement ? Elle retira ses lunettes de soleil et plongea son regard dans le sien tout en se décallant de sa serviette afin de lui laisser une petite place. Eh oui, Chelsea allait encore piquer l'homme aux fans hystériques. A cette moindre pensée, Chelsea jubilait déjà.

    - Rien de tel que le soleil pour te remettre d'aplomb, après des révisions un peu .. lassantes. Ca me fait plaisir de te revoir Thomas ! Après tout ce temps ...


    Chelsea l'observa de haut en bas avant de reprendre.

    - Assieds toi je t'en prie, à moins que tu ai un empêchement pour venir t'assoir à mes côtés ?
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MessageSujet: Re: « The past never stays in the past » with Chelsea C. Safton « The past never stays in the past » with Chelsea C. Safton EmptyMar 16 Fév - 14:17

    « The past never stays in the past » with Chelsea C. Safton Jensen-danneel-je...-100-100-1715387 « The past never stays in the past » with Chelsea C. Safton J-d-jensen-ackles...-100-100-1715397
    (c) Livejournal

    Je n’avais pas revu Chelsea depuis un certains temps. Nous étions sortis ensemble il y a quelques années à présent et je n’avais jamais vu quelque chose de sérieux entre nous. Enfin, je savais que la relation que nous partagions n’allait pas déboucher sur quelque chose de sérieux, c’était presque… logique ? Et puis, j’étais loin d’être prêt pour une quelconque relation. Sans oublier qu’à cette même époque, il y avait cette autre fille qui m’intéressait. Soukaïna James. Oui, j’imagine que vous devez la connaître puisque tout le monde la connait. Comment passer à côté de cette fille ? Ce fut la star de l’université de Berkeley pour ne pas dire de la Californie. Non, peut être pas c’est vrai mais à Berkeley, tout le monde la connaissait et elle avait réussit à me séduire. Je n’en ai pas la moindre idée de la façon dont elle s’y est prise mais oui, elle m’avait séduit. Pourtant, je dois dire que Soukaïna est une fille qui est loin d’avoir les caractéristiques d’une jeune femme qui peut me plaire. Elle est petite, légèrement potelée, brune, enfin bref, tous ces petits détails qui, pourtant m’ont fait tomber dans un piège, celui de l’amour. Ma relation avec Chelsea était donc des plus compliquées. Elle n’a jamais su que j’ai rompu – ou plutôt – que nous avons rompu parce que ça n’allait pas à cause de Soukaïna. Même si tout le monde voyait qu’il se passait bel et bien quelque chose entre nos deux personnes, elle était fiancée, elle avait deux enfants. C’était presque impossible qu’il se passe quoi que ce soit entre nous surtout qu’elle se disait totalement heureuse et que cela pouvait se lire sur son visage rayonnant. Cependant, je le sais parce que je suis le seul à qui elle ne s’est jamais confiée de la sorte, elle mentait. Elle ne l’était pas réellement. Elle l’aurait été avec moi, j’en suis plus que certains mais non, elle avait préféré quitter le continent américain pour l’Europe, la France. Oui, quel beau pays n’est-ce pas ? Personnellement, j’en ai toujours gardé un mauvais souvenir…

    Nous ne nous étions pas quittés dans de mauvais termes, au contraire tout s’était relativement bien passé. Certes, une rupture est toujours quelque chose d’assez difficile mais bon, c’était sans doute mieux ainsi car à cette époque, nous n’étions pas prêts pour une vraie relation. Ou plutôt, je n’étais pas prêt pour une relation. Malgré tout, je ne peux pas nier que j’avais bel et bien des sentiments pour cette rouquine. C’est vrai que c’est d’abord par son physique que j’ai été séduit et c’est principalement pour cette raison aussi que je suis sortit avec Chelsea mais, nous avons partagé beaucoup de choses ensemble que j’ai appris à voir une autre fille à l’intérieur de ce corps de déesse. Malheureusement, ce n’était pas suffisant à me faire oublier celle que j’aimais vraiment et voilà pourquoi notre couple n’a pas du tout fonctionner.
    Ensuite, je suis partit en France, puis à New York et je n’ai plus jamais revu Chelsea. Elle ne m’a pas manqué pour être franc, sauf dans les moments où j’étais seul et que je cherchais de la compagnie pour partager mon succès d’acteur. C’est vrai que je n’ai eu aucun mal à me trouver des filles – comme ça à toujours été le cas – mais si j’avais pu l’avoir à mes côtés je n’aurais sans doute pas refusé.

    J’avais fini par laisser ma fierté de côté – pour une fois – et j’étais allé la voir. Je me rappelle très bien qui est la fille que j’ai en face de moi et je savais qu’elle n’allait pas faire le premier pas dans le cas où elle m’avait vu. Bizarrement, j’étais plus que persuadé qu’elle avait du remarquer ma présence. D’un autre côté, beaucoup de filles s’étaient réunies quand elles m’avaient vu. Les moments où je regrette ma popularité… La foule s’était peu à peu dissipée étant devenu douer pour semer les foules en folie. Comme quoi la popularité n’apporte pas que des inconvénients au contraire.

    CHELSEA : « Rien de tel que le soleil pour te remettre d'aplomb, après des révisions un peu .. lassantes. Ca me fait plaisir de te revoir Thomas ! Après tout ce temps ... »

    THOMAS : « Ah parce que tu révises toi maintenant ? C’est bien ! » fis-je tout en plaisantant bien entendu. « Moi aussi ça me fait plaisir Chelsea. »

    Malgré tout se qui s’était déroulé entre nous, Chelsea restait un excellente amie voilà pourquoi oui, à moi aussi ça me faisait plaisir de la revoir. Je me suis toujours très bien entendu avec elle et ce n’est pas demain la veille que cela risque de changer j’imagine.

    CHELSEA : « Assieds toi je t'en prie, à moins que tu ai un empêchement pour venir t'assoir à mes côtés ? »

    THOMAS : « Hum je pense que je vais pouvoir t’accorder un peu de mon temps. »

    Tout en souriant, je m’assis à côté de la belle rouquine. J’aimais jouer mon prétentieux, surtout depuis que je suis devenu une star du cinéma et qu’en effet, mes journées sont plutôt pas mal occupées, entre autre par les différentes séances photos, les propositions que je reçois pour diverses choses peu intéressantes etc.

    THOMAS : « Alors, qu’est-ce que tu deviens mise à part une flemmarde posée au soleil ? »
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MessageSujet: Re: « The past never stays in the past » with Chelsea C. Safton « The past never stays in the past » with Chelsea C. Safton EmptyVen 2 Avr - 18:22

    Les temps avaient tellement changés. Le temps ou Chelsea était restée avec Thomas Johansten semblait tellement lointain à présent. Tout était si différent. Pourtant, Chelsea ressentait toujours les mêmes palpitations à son égard. Toujours cette attirance physique en plus d'être attirée par l'homme que représentait Thomas. Il était devenue une star du cinéma mais il n'en restait pas tout de même le Thomas qu'elle avait connue grâce à Zacary, son grand frère. Il n'avait pas changé, peut-être que Chelsea allait rester axée sur les années lycées. Les années rose, où le sexe et la popularité ne faisait plus qu'un. Chelsea pouvait se considérer comme ambassadrice de cette catégorie là. Heureusement que Chelsea ne savait pas tout de leur rupture... Sinon, la jeune IOTA serait tombée de haut, comme pratiquement à chaque fois. Il l'avait quittée à cause de Soukaïna mais ça, elle ne le savait pas. Et ce n'était peut-être pas si mal que ça, au final. Pour Chelsea, la relation qu'ils avaient n'était plus aussi complice qu'avant. L'éloignement remarqué chez le jeune homme eut le sens inverse chez la jeune femme qui voulait elle aussi " voir du pays " comme on dit. La rupture se passa bien, étonnamment bien. Pour Chelsea, les ruptures se passaient toujours bien. Soi c'était elle qui les provoquait soi c'était la vie. Chelsea ne se sentait pas vraiment prête à une relation sérieuse. Malgré tout, Thomas fut le seul homme dont elle tomba réellement amoureuse. Et même si elle voulait le nier, elle ne s'était pas réellement remise de cette séparation.

    Est ce que Chelsea avait retrouvé l'amour après Thomas ? Bien sur. Mais pas aussi "intense" nous dirons. La jeune femme a eu une seule relation sérieuse, avec Sterling. Mais toute bonne chose a une fin on dit. Chelsea préférait passer son temps à jouer. Mais bientôt, il serait aussi temps de changer les choses. Pour le moment, la jeune femme était bien trop occupée à faire remonter le passé et toute la souffrance qu'elle avait endurée. Pour elle, se venger n'était jamais assez. Il fallait toujours plus, aller encore plus loin que la méchanceté. Pourtant, en dehors de ce caractère d'allumeuse et croqueuse d'homme, se cachait une femme au caractère tout à fait unique et sympathique. Rien à voir avec cette carapace qui n'était qu'au fond une protection pour essayer d'oublier le passé douloureux que la jeune femme avait connu lors de ses années collège. Thomas avait apprit à voir autre chose que la Chelsea allumeuse que tout le monde connaissait. Des fois, la petite rouquine se demandait pourquoi ça n'avait pas marché entre eux. Mais ressasser le passé n'était pas si bon que ça. Et pourtant Chelsea y était en plein dedans. C'est la que la jeune femme se rendit compte qu'elle n'allait pas de l'avant non, elle retournait sans arrêt en arrière.

    En voyant l'expression de Thomas lorsque la jeune femme lui parla de ses révisions, le visage de la cheerleader s'illumina d'un grand sourire colgate. En effet, c'était rare de voir Chelsea réviser surtout pour le droit. Mais si elle était à Berkeley, c'était également pour devenir avocate et pour défendre les gens. Tout comme son frère l'avait défendu par le passé. Une sorte d'hommage peut-être ?

    - Mmh ... Je sais, tu n'as pas l'habitude de me voir la tête dans les livres mais tu sais ça m'arrive ! Rarement, mais ça m'arrive ! lança t-elle dans un dernier rire.

    La jeune femme était ravie. Il allait enfin lui consacrer un peu de temps. Après tout ce temps, ils avaient pas mal de choses à se raconter. Enfin surtout Thomas. Comment se passait sa carrière et tout ça. Chelsea n'avait pas vraiment grand chose à raconter. Elle était restée la même, l'unique rouquine Chelsea.

    - Tu m'en vois ravie ! elle marqua une pause puis reprit immédiatement. Oh bah tu sais la routine d'une étudiante en droit, ce n'est pas vraiment passionnant. Mais toi ! Raconte moi, ta carrière et tout ça ? Ca doit être excitant tout ce que tu fais !
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MessageSujet: Re: « The past never stays in the past » with Chelsea C. Safton « The past never stays in the past » with Chelsea C. Safton EmptyDim 4 Avr - 14:06

    « The past never stays in the past » with Chelsea C. Safton Jensen-danneel-je...-100-100-1715387 « The past never stays in the past » with Chelsea C. Safton J-d-jensen-ackles...-100-100-1715397
    (c) Livejournal

    CHELSEA : Mmh ... Je sais, tu n'as pas l'habitude de me voir la tête dans les livres mais tu sais ça m'arrive ! Rarement, mais ça m'arrive !

    Je ne pu m’empêcher de sourire face à la remarque de la rouquine puis je m’installai à côté d’elle sur le sable chaud de la Californie. En y repensant, cet endroit m’avait beaucoup manqué durant mon voyage. J’ai été beaucoup pris à New York, je n’avais quasiment aucun temps libre et la plupart de mon temps libre, je le passais chez moi à relire, relire et relire encore mes textes pour les apprendre par cœur. Je n’avais pas le droit à des oublis ou des erreurs. Après tout, je débutais tout juste en tant qu’acteur et il fallait que j’assure. D’ailleurs, tout le monde avait été surpris de ma facilité à apprendre mes textes. Cependant, ils étaient loin d’être au courant que pour les savoir parfaitement à ce point là, je passais des heures entières à les apprendre. Mais au fond, cela ne me dérangeait pas la moindre. C’est moi qui ait choisi de faire ce métier d’action, c’était moi qui avais décidé de quitter la Californie pour me rendre à New York et pour devenir une star très reconnue. J’y étais parvenu et même si cela avait du me demander énormément d’efforts, je ne regrette pas aujourd’hui d’avoir autant travaillé pour arriver à un succès pareil. Je peux me plaindre d’un autre part c’est vrai. Pourquoi ? Parce que maintenant, je me retrouve à nouveau à Berkeley, dans cette université que j’ai fréquenté durant deux années consécutives et je suis redevenu un étudiant comme les autres avec quelques plus dirons-nous. Heureusement, je n’ai pas encore tout laissé de tombé du monde des strass et des paillettes. Au contraire, j’ai signé récemment pour la marque Hemerson, une marque de vêtement très haute gamme dont j’en suis l’égérie masculine. Mais au fond, ce n’est pas ce que je veux faire toute ma vie. Avant c’était le cinéma, maintenant il y a un peu de mannequinat mais plus tard, ce que je suis vraiment décidé à faire, c’est devenir le meilleur chirurgien plastique de toute la Californie. C’est un rêve comme un autre, peut-être que celui-ci est plus difficile à atteindre parce qu’il faudra que je travaille encore plus mais je suis prêt à tout pour y parvenir alors oui, je suis certains d’y arriver.

    CHELSEA : « Oh bah tu sais la routine d'une étudiante en droit, ce n'est pas vraiment passionnant. Mais toi ! Raconte moi, ta carrière et tout ça ? Ca doit être excitant tout ce que tu fais ! »

    Je souris à l’enthousiasme de Chelsea. C’est bizarre mais tout le monde à cette réaction en me revoyant. Ils sont tous là à être heureux pour moi, à m’envier et je les comprends. J’ai vécu une expérience unique, la popularité, jouer dans des films, faire du cinéma, enfin, en résumé, faire ce que j’aime, c’était tout simplement magnifique. Mais quand on y est vraiment plongé dedans, croyez-moi, on ne trouve rien d’exceptionnel à tout ça. Les journées sont longues et les nuits courtes. La vie sociale ? Il vaut mieux la laisser de côté parce que quand vous êtes devenu un acteur comme moi, vous n’en avez plus. Même si j’ai longtemps regretté de ne plus avoir de propositions intéressantes pour les mois à venir, au fond, je me dis que ce n’est pas plus mal comme ça.

    THOMAS : « Oh, tu sais, pas tant que ça ! » répondis-je en jouant les modestes puis je repris « Non, en fait c’était génial d’être acteur mais bon, maintenant il y a d’autres choses qui m’intéressent. Et toi alors, tes études de droit, ça se passe plutôt bien apparement. » fis-je en montrant ses bouquins d'un petit signe de tête.
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MessageSujet: Re: « The past never stays in the past » with Chelsea C. Safton « The past never stays in the past » with Chelsea C. Safton EmptySam 1 Mai - 20:49

    Chelsea se demandait comment elle réagirait si elle était à la place de Thomas. Etre une superstar, adulée de tous les hommes qui passaient. Cela lui permettrait d'exercer sa vengeance de plein pied. Mais aussi, adieu les fêtes pour les séances photos à 8 heures du matin, adieu l'alcool et autre variantes parce que ça donnait une mauvaise image. Adieu la liberté également, parce qu'il fallait sans cesse semer les paparazzis qui traînaient dans le coin. Non, ce n'était pas une vie comme Chelsea l'imaginait. Mais pourtant, si elle devait faire comme Thomas, elle assumerait sûrement. Cela allait lui éviter de faire des études inintéressantes et surtout en contraste total avec ce qu'elle est vraiment. Mais pourtant, cette petite bimbo était capable d'aller haut et elle le savait parfaitement. Il existait juste cette nonchalance de l'étudiante qui voulait avant tout profiter de sa vie de jeune. En même temps, à 19 ans, on avait encore la vie devant soi avant de penser à son futur métier. Mais si Chelsea avait choisit Berkeley, c'était avant tout parce qu'elle ne voulait pas perdre son frère et également que le métier d'avocate l'avait intéressée, surtout dans les séries télévisées. Mais il s'avérait que le droit était bien plus compliquée que dans les petits feuilletons. Maintenant qu'elle était à Berkeley, elle ne comptait pas partir sans avoir obtenu son diplôme. Chelsea n'était pas vraiment une bosseuse mais disons qu'elle ferait le strict minimum pour obtenir ce qu'elle voulait. Il y avait bien plus important à présent, les garçons. Et sa notoriété de capitaine des cheerleaders de l'équipe de basket de l'université. La rouquine avait vu gros, mais elle avait obtenu ce qu'elle voulait avant tout et c'était l'essentiel.

    THOMAS : « Oh, tu sais, pas tant que ça ! »

    Chelsea avait donc eu ses propres opinions à peu près juste. En étant une star mondialement connu, on disait adieu à la vie et à tous ces artifices. Plus aucune vie privée, obligé de se cacher pour même aller à la boulangerie du coin pour aller chercher son pain quotidien. Se cacher derrière des gardes du corps, au cas où une fan hystérique viendrait à lui sauter dessus. Bref, rien qu'à cette idée là, Chelsea regarda autour d'elle si jamais un photographe ne traînait pas dans le coin. Peut-être qu'ils avaient déjà pris leurs clichés et demain serait à la une du premier journal quotidien. La petite rouquine se fichait d'avance si jamais sa photo se retrouvait en couverture, elle avait retrouvée Thomas, celui qu'elle connaissait de Berkeley et non celui que l'on voyait dans les plus grands films à jouer quelqu'un qui ne lui ressemblait pas. Rien que cette pensée en tête avait laissé la marque d'un large sourire sur le visage de la belle IOTA.

    - « Bizarrement, je m'en doutais. Tant qu'ils ne te suivaient pas jusque dans tes toilettes, on ne tire pas la sonnette d'alarme hein ! »

    Chelsea avait toujours la dernière petite blague pourrie pour amuser la galerie ce qui laissait chez elle un naturel que pas grand monde du moins surtout les hommes ne connaissait. La rouquine laissait derrière elle une réputation de croqueuse d'homme, d'une manipulatrice sans coeur. C'était ce qu'elle était certes mais dans sa carapace se trouvait une autre personne. Et seul les privilégiés à l'avoir découvert, avaient l'honneur de savoir qui était réellement Chelsea Safton.

    - « Donc, tu reprends tes études de médecine plastique. Prêt à refaire les seins de Madonna. Tu sais que bientôt, tu me feras penser à ces médecins dans Nip/Tuck. En plus parfait, bien sûr »

    Chelsea laissa une main glisser dans sa longue chevelure puis plongea les mains dans son sac pour y sortir son paquet de Marlboro et sa bouteille d'eau. Elle alluma sa cigarette avant de prendre une gorgée d'eau. Avec une chaleur pareille, elle avait de quoi pour boire. Tendant son paquet de cigarette et sa bouteille d'eau à son charmant DELTA, elle se demandait ce qu'il allait prendre XD.

    THOMAS : « Non, en fait c’était génial d’être acteur mais bon, maintenant il y a d’autres choses qui m’intéressent. Et toi alors, tes études de droit, ça se passe plutôt bien apparement.»

    Tirant sur sa cigarette à fière allure, Chelsea ne prit pas longtemps à répondre à sa question en riant.

    - « Oh mon dieu, si j'avais su que c'était aussi dur, j'aurai pu être mannequin. Mais, j'ai choisi le droit et je le garde. C'est comme avec les hommes. Quand tu trouves le bon, tu le lâches plus. »

    En parlant de ça, comment Thomas avait vécu ses relations amoureuses lors de sa carrière. Chelsea allait sûrement paraître déplacée ou même un peu trop curieuse, mais cette question lui brûlait la langue à vrai dire.

    - « Et pour toi, l'amour se passait comment ? Difficile de ne pas avoir de vie privée quand on est une star ... »
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MessageSujet: Re: « The past never stays in the past » with Chelsea C. Safton « The past never stays in the past » with Chelsea C. Safton EmptyDim 2 Mai - 16:30

    La vie d’une star c’est quelque chose c’est le moins que je puisse dire ! Depuis ma plus tendre enfance j’ai baigné dans la popularité alors, je savais un peu ce que c’était de se faire reconnaître parmi une petite foule et, en devenant acteur, c’est avant tout pour la popularité que je me suis lancé dans le cinéma. Certes, la comédie m’a toujours beaucoup intéressé cela dit, apprendre des textes et se glisser dans différentes personnes qui ne vous ressemble vraiment pas, c’est quelque chose de très difficile et parfois peu intéressant suivant le personne que vous jouez. Moi, j’ai eu cette chance de jouer des rôles tout à fait intéressants qui avaient un tant soit peu de ressemblance avec ma personnalité. Certes, c’étaient loin d’être mes doubles cela dit, j’avais demandé aux scénaristes de me laisser modeler légèrement mes personnages et, ayant acquis assez rapidement la confiance des scénaristes, ceux-ci m’ont laissé faire.
    Pour tout vous dire, devenir un acteur du jour au lendemain a été une mission très difficile pour une personne comme moi qui n’avait jamais pratiqué ce genre d’activité auparavant ni même jouer dans le théâtre de mon collège ou lycée. A vrai dire, j’ai toujours trouvé ridicule les personnes qui se glissent dans la peau de quelqu’un qui ne leur ressemble pas du tout. Je n’avais pas encore compris à quel point ça pouvait être amusant au final si le personnage en question est intéressant. Je dois cependant avouer que mes premiers mois furent très dur. Je n’ai jamais été très doué en cours, surtout pas pour apprendre ou retenir les choses importantes alors, apprendre un texte d’une centaine de page, ce n’était vraiment pas facile. Heureusement que je suis du genre obstiné et borné. J’avais passé un nombre incalculable d’heures à répéter mes textes au point de les savoir par cœur et de me retrouver face à de grandes personnalités qui nieraient que je suis nouveau dans ce milieu. Au final, la comédie avait été une expérience très intéressante et surtout enrichissante mais ce n’était pas vraiment mon truc il faut croire.

    CHELSEA : « Bizarrement, je m'en doutais. Tant qu'ils ne te suivaient pas jusque dans tes toilettes, on ne tire pas la sonnette d'alarme hein ! »

    Je ne pu m’empêcher de rigoler face à cette remarque qui pourtant, ne me demanda aucune réponse. En même temps, étant devenu quelqu’un d’extrêmement populaire et surveillé par les paparazzis, j’imagine que si cette situation m’était arrivée, on aurait eu droit à cette information plus que gênante sur tous les magasines people. Cela dit, il m’était arrivé une fois de rentrer dans mon loft à New York et, en sortant de l’ascenseur qui me permettait d’enter dans mon loft, de me retrouver nez à nez avec un photographe. Je n’ai jamais su comment se dernier avait réussi à pénétrer chez moi et heureusement que ce n’était qu’un paparazzi et par un tueur à gage où je ne sais quoi encore. Une journée entière à tourner des scènes ou à signer des autographes me procuraient déjà suffisamment de sensations sans rajouter un voleur quand je rentre chez moi chercher le repos.

    CHELSEA : « Donc, tu reprends tes études de médecine plastique. Prêt à refaire les seins de Madonna. Tu sais que bientôt, tu me feras penser à ces médecins dans Nip/Tuck. En plus parfait, bien sûr »
    THOMAS : « J’espère bien ! D’ailleurs, peut-être que dans l’avenir on se recroisera quand tu voudras te refaire au botox. »

    Bien entendu, je plaisantais et je ne pu m’empêcher de rire après cette réplique. Même si j’étais en train de plaisanter en ce moment, je m’étais rendu compte en vivant parmi les stars durant une année à quel point certaines stars sont complètement obnubiler par leur physique. Certaines stars peuvent dépenser des millions de dollars rien que pour se refaire un cul d’enfer. Certes, je ne devrais pas halluciner de la sorte puisque plus tard, ce sera moi qui me ferai des sommes aussi importantes cela dit, quand je m’en étais aperçu, ça m’avait énormément surpris.

    CHELSEA : « Et pour toi, l'amour se passait comment ? Difficile de ne pas avoir de vie privée quand on est une star ... »
    THOMAS : « C’est vrai, mais je dirais plutôt, difficile d’en avoir une ! Entre les journées de 12 voire 14 heures, les séances d’autographes aux quatre coins du monde, t’as pas vraiment le temps pour ça. Heureusement que la majorité de mes fans sont des filles ! Ca ma permis de faire de charmantes rencontres. » répondis-je en souriant avant de continuer « Et de ton côté ? Est-ce que Mademoiselle Safton a enfin trouvé l’amour ? ou alors est-elle encore raide dingue de moi ? » rigolais-je.
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