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This ain't a meeting, this is movie! [Lexie & Will]

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MessageSujet: This ain't a meeting, this is movie! [Lexie & Will] This ain't a meeting, this is movie! [Lexie & Will] EmptyMer 26 Aoû - 2:31

    Savez vous qu’en Californie il ne fait pas toujours beau ? Que comme partout l’état à le droit à sa dose de pluie torrentielle et diluvienne qui à la mauvaise idée de tomber le mauvais jour à la mauvaise heure ? Evidemment, San Francisco n’était pas protégée par un dôme qui la protégeait des intempéries, vent, pluie, grêle, orage et tout ce que la dame de la météo sait vous prédire en se trompant. Oui, prédire la météo n’était rien qu’un jeu de boules de cristal s’entrechoquant de toute évidence. La pluie tombait drue dans les rues de San Francisco, mais Will était deja à quelques kilomètres de sa fraternité et bon, quitte à être trempé, autant arrivé à sa destination plutôt que de faire demi tour. Il avait rendez vous au cinéma avec Evan, celle ci lui ayant dit qu’ils se rejoindraient la bas. William avait bien évidemment accepté, trouvant l’idée plutôt bonne vu que la journée du jour devait être soit disant caniculaire et les salles de cinéma étaient, à San Francisco, climatisées. Ce n’était vraiment pas un luxe quand en plein été, il faisait une chaleur insupportable au dehors. Rentrer dans une salle ou il faisait vingt degrés, peut-être vingt cinq était un véritable délice, après, la qualité du film, peu vraiment importait au fond. Il trouva une place assez près de l’entrée du cinéma, ce qui, encore une fois, était une réelle chance tant la population berkeleyenne était attachée à se garer n’importe ou et n’importe comment. Pourtant, William aurait clairement pu prendre le bus ou le métro, ou encore le tram, mais le jeune homme était vraiment attaché à son petit confort quotidien, même s’il devait aller garer sa voiture tres loin pour jouir de ce privilége. Pour une fois, ce ne fut pas le cas. En descendant de son luxueux coupé payé par ses soins, il eut un sourire de satisfaction se disant que tout irait bien au moins aujourd’hui, même si la pluie tombait encore plus fortement qu’il n’y avait que cinq minutes. Il courra assez vite pour aller se mettre à l’abri, et rentra donc dans le cinéma, se faufilant entre les groupements de jeunes pour aller voir ce qu’il y avait à l’affiche. Il sentit en même temps son portable vibrer. C’était Evan qui s’excusait de devoir annuler à la toute dernière minutes mais elle ne pourrait pas être à l’heure à San Francisco. Elle lui promettait de remettre le ciné au lendemain même en s’excusant une nouvelle fois. William soupira de lassitude, déçu de ne pas pouvoir profiter d’un après-midi avec elle, mais réfléchit aussi à la situation. Il ne pourrait rien faire de son après-midi avec cette pluie torrentielle, alors que faire ? Puisqu’il était au cinéma, autant aller au cinéma.

    La journée du jeune homme n’avait pas spécialement bien commencée, cela expliquait le soupir de lassitude qu’il avait émis. Non, ce n’était pas du tout contre Evan, mais bien contre sa sœur qui pour une fois, avait presque réussi a le mettre en colère. Elle repoussait encore la date de son retour à Berkeley, aimant le confort de son petit hôtel à Hawai, la ou elle pouvait se reposer sans rencontrer de flash et d’appareil photo à chaque coin de rue. Tant pis, il attendrait pour lui dire qu’il était retomber dans ce vieux travers qu’il avait promis de cesser après l’unique rupture horriblement difficile qu’il avait subit. Maintenant, il était officiellement avec quelqu’un, avec Evan, même pas une bêta. Evidemment, tout cela ne se savait pas encore dans Berkeley, et mieux vallait il en fait que cela ne se repende pas trop. Il ne voulait pas surexposé la jeune femme comme lui l’était en permanence. Elle serait partout ensuite, Internet, journaux, magazines et la plupart du temps, on ne dirait sûrement pas que du bien d’elle alors pour le moment, c’était bien ainsi. La pression pouvait parfois être insurmontable et il ne voulait franchement pas imposé cela à la blondinette. Bref, revenons en a la journée du jeune homme, se levant tot, beaucoup plus tot que d’habitude à cause de sa sœur l’appelant. Il avait été courir, ce que d’habitude il ne faisait que tres rarement, mais à huit heures du matin, que voulez vous faire d’autres pour passer le temps dans une maison ou les autres personnes dorment encore à poing fermé ? Rien n’était vraiment trop possible et l’air frais avait eut le mérite de réveiller totalement le playboy des delta. Ensuite, il avait consulté ses emails, apprenant de ce fait qu’il ne verrait pas sa famille au total ce week end. Cela faisait pres de deux mois qu’il n’avait pas vu ses parents, et des fois, un peu de rapports familiaux ne faisait pas de mal mais la… Mais bon, il s’était dit que vu qu’il voyait celle dont son esprit ne se passait plus cet apres-midi, cela irait mieux. Et non.

    Au cinéma, William regardait les films à l’affiche. Evidemment, il y en avait pour tout les goûts, mais un attira son attention car il se reconnu dans les photos du film. Oui, c’était un parmi lesquels il jouait, et malheureusement, la il n’avait ni casquette ni lunettes de soleil pour se dissimuler dessous et derrière. Tant pis, il devrait se la jouer particulièrement anonyme. Dans ce cinéma bondé, qui ferait attention à lui après tout ! Il pouvait presque se dire que vu qu’il était seul, il arriverai plus facilement à rejoindre la salle du film qu’il choisirait. Il regarda les autres films et se décida pour un film de guerre mêlé d’humour, un registre qui pourtant attirait du monde par son seul casting et par le nom de son réalisateur. Il y aurait du monde dans la salle noir, tant pis, mais c’était le seul film qui l’intéressait réellement. Apres tout, il n’allait tout de même pas aller voir le film duquel il était une des tetes d’affiche, il se trouverai bien trop mauvais acteur surtout sur grand écran. Enfin bon, ce n’était pas l’important, il fallait juste qu’il passe le caisse et la sécurité et ensuite il serait dans le noir. Il fendit la foule, regardant vers le sol pour éviter que son visage ne soit trop exposé à la lumière et s’avança vers les caisses, la ou une queue commençait à se former. Afin de la rejoindre, il accéléra le pas, et bouscula une jeune femme sans le faire exprès. Il n’avait pas vraiment regardé ou il allait. Il releva la tête, s’exposant à la lumière des projecteurs de ce cinéma rendu gris par le mauvais temps de dehors, sans vraiment s’apercevoir quau dessus de sa tête se trouvait… sa tête, en dix ou quinze fois plus grande, un véritable panneau publicitaire de lui et d’une partie des têtes d’affiches du film dans lequel il jouait. N’ayant pas remarqué ce détail, il s’adressa a la jeune femme :

    - Je suis désolé, excuse moi.

    Une fois qu’il s’était assuré qu’elle allait bien, la jeune star de cinéma s’apprêta à repartir en direction des caisses. Il n’avait pas vraiment attendu que la jeune femme lui réponde, trop obnubilé par évité ce qui lui était arrivé avant hier, c’est à dit un groupement de gens autour de lui pendant une demie heure. Sauf que c’était dans un bar et pas dans un cinéma. Heureusement pour lui, il pu atteindre directement une caisse qui venait de se libérer et ne pas attendre. Enfin une bonne nouvelle. Il s’adressa à la guichetière, une femme d’environ une trentaine d’année aux cheveux roux coupés assez courts. Relevant la tête, découvrant son visage, il espérait juste qu’elle ne dirait rien, le prenant juste pour quelqu’un qui ressemble vaguement à cette star connue. Et c’est ce qu’elle fit. Il lui demanda une place pour Inglourious Basterds, lui tendant un billet de dix dollars sur lequel elle lui rendit de la monnaie puis il s’en alla. Il n’avait pas donné sa carte bancaire sur laquelle elle aurait pu voir le nom de famille du jeune homme. Peut etre devenait il paranoïaque, mais cela était déjà arrivé dans d’autres endroits alors mieux valait il se montrer prudent. Ayant passé cette étape, le jeune homme se mit à chercher sa salle. Pas facile dans un cinéma que l’on ne connaît pas du tout lorsqu’on vient plus ou moins d’arriver en ville.
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MessageSujet: Re: This ain't a meeting, this is movie! [Lexie & Will] This ain't a meeting, this is movie! [Lexie & Will] EmptyMer 26 Aoû - 22:18

    Je n’y comprends plus rien. Non vraiment, je suis complètement larguée. Cela fait maintenant quelques mois que je vis sur la côte Ouest des USA. Et je vais avouer que je m’y sens drôlement perdue. Ici c’est « Short & Débardeur » toute l’année. C’est Soleil, et température de 30°, 350 jours par an. C’est Noël et Nouvel-An autour d’un barbecue. Les saisons n’existent pas. Les gens sont bronzés toute l’année. Quel bordel ! Non sérieusement, pour une fille qui débarque fraichement de la côte Est (plus précisément de Washington. Et NON, Obama n’était pas tout à fait mon voisin…) c’est carrément une catastrophe naturel qui s’abat sur mon mode de vie. Oui, parce que, MOI, j’aimais acheter pleins de manteaux et de bottes en hiver. J’aimais porter des gros pulls. J’aimais voir la neige à Noël, et j’aimais déguster un chocolat chaud quand je rentrais du lycée aux alentours de janvier/février et qu’il faisait -3°. Ici, c’est carrément un autre environnement. Et je déteste cela. Une fois mes études achevées, je pars pour New-York, je retourne dans mon côté de pays Américain. Là où le système des Printemps/Eté/Automne/Hiver existe réellement.
    Ce matin en me levant, j’eu ce drôle de réflexe qui fut de me réveiller en plissant les yeux. Car, dans ma chambre universitaire, les volets font émettre les rayons du soleil le matin, qui à 8h00 tapante sont, habituellement, en plein dans ma figure. Mais ce matin … RIEN ! Que se passe t-il ? Je me demandai si j’étais morte ! Puis, je réalisai que Non. Et en me levant, j’aperçus DE LA PLUIE ! BEAUCOUP DE PLUIE. Un putain de temps de chien. Des cordes qui tombent. DE LA FLOTTE qui arrose la pelouse de Berkeley. HALLELUJAH. Je me préparai en vitesse, et avec un grand sourire, me dirigea vers mon immense dressing dressé juste pour moi, et ouvrit 2 grandes portes que je n’avais plus ouvertes depuis des mois et des mois : Les Portes De Mes Fringues Spécial Froid. AHHH ! C’est merveilleux ! Je regardai tout mon attirail et remarqua que j’avais de très jolies choses. Un Sweat Berkeley Rose. Des millions de pull en cashmere. Des grosses écharpes en mailles. J’adore. J’adore & J’adore. 37 minutes plus tard, je m’étais enfin décidai, et j’avoue que ce n’étais pas une chose facile que de choisir. J’opta pour : Une Robe Grise Taille Empire, avec en dessous un sous-pull Violet (mais un violet doux, pas agressif pour les yeux) & un sautoir assortis (très important les accessoires) ; avec des collants marrons clairs, et des ballerines du même marrons que les collants. Sans oublier l’indispensable : MON MANTEAU. Un magnifique manteau Diane Von Fustenberg : Gris, avec des carreaux comportant des lignes … Marrons & Violettes. PARFAIT PARFAIT PARFAIT !



    C’est bien d’être habillé. Mais maintenant, que faire ? Je décida de sortir de ma chambre, pour profiter un peu du mauvais temps. Bizarre non de dire cela ? Et une fois sous la pluie. Des frissons me parcoururent tout le corps. La pluie me dérangeait. J’avais peur pour mes cheveux tout justes bouclés. NON j’étais devenus une phobique de la pluie, l’une de ses nanas ayant froid pour rien. NON ! Je me mis à l’abri dans le hall du bahut et réfléchi à ce que je pouvais faire de mon après-midi maintenant que j’étais habillée.



    Je gara ma Mini-Cooper Rouge près de l’entrée du cinéma. Tiens c’est marrant, les places sont chers ici… Et bien entendu, comme il y avait 2 voitures à chaque extrémités, je du faire : UN CRENEAU ! Je n’arrive pas à les faire, mais j’essaya. OUP’S Je percute la voiture juste devant. PUTAIN CA CRAINT LA ! Puis, en m’énervant, en me repositionnant tout en me repérant : BRAQUE, BRAQUE, BRAQUE … Je réussis ! De nouveau : HALLELUJAH ! En sortant, j’aperçus juste devant moi une magnifique bagnole coupé. J’émis un sifflement, et regarda si je ne l’avais pas amoché. ARF ! J’avais rayé la carrosserie … De nouveau : OUP’S ! Que faire ? J’étais sous la pluie, et ouvrit rapidement mon sac pour attraper papier et stylo pour écrire mon numéro de portable, en précisant : « Désolée pour votre voiture. Appeler moi, je paierai la peinture. » Puis je glissa le mot dans le coffre. Oui, sur le pare-brise, il va prendre la flotte.
    Après avoir regardais pendant 12 secondes les affiches, je décida sans réfléchir d’aller voir le film de l’un de mes acteurs favoris : William Carmichael. Son film était sortis il y a peu, et en tant que fan je me dois d’aller le voir. C’est obligé. Les files d’attente n’avancent pas. Les gens sont tous venus au ciné n’ayant rien d’autre à faire. Et moi j’attends… Limite je m’endors, je pense au film et me dit que William & moi ferions un très beau couple. Je nous imagine dans ma mini-cooper à rouler sur la route 66 et à se faire des sourires béats l’un à l’autre… Qui n’a jamais fantasmer sur son L’UN de ses acteur préféré ? (HJ : Sûrement pas les Marine de BCU. =D) Quand je sens que l’on me bouscule. « Je suis désolée, excuse moi. » Je me tire de ma rêverie. Et ne réponds rien. D’habitude quand les gens te poussent, ils ne prennent pas la peine de s’excuser, mais là si… C’était un garçon… Assez grand & brun. Il avait la tête baissé, mais j’avais déjà vu ce dos en photos… Attendez… Je regarda l’affiche du film de William C. puis regarda le brun-de-dos … Mon regard alla de l’affiche, au jeune homme. De l’affiche, au jeune homme … Quand soudain ! NON ! Impossible ! Je décida de suivre le garçon, juste pour m’assurer que j’étais en plein délire. Il était en train de prendre un billet. Personne ne semblait l’avoir reconnu, ni même ne lui avait sauté dessus. Non je dois être en plein délire là… C’est impossible !
    Je m’avança vers lui. Je n’avais pas encore vu son visage. Merde alors… Retourne-toi espèce d’idiot ! RHOOO ! Puis, je pris mon courage à deux mains, et arrivais à sa hauteur… Je lui tapota 3 fois l’épaule avec mon index, TOURNE TOI, et lança tel une gamine de 8 ans qui interpelle son père :


    - Hey !
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