the great escape
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under control. (manuela)

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MessageSujet: under control. (manuela) under control. (manuela) EmptyVen 25 Mar - 18:45

manuela de gacio
ft. blanca suarez
» prénoms : manuela belén   » nom de famille : de gacio » nom d'usage : manuela de gacio » surnom/pseudonyme :  elle n'en a pas et a horreur qu'on lui en donne » nationalité : américaine » origines : brésilienne » date de naissance : 28 mai 1988 (27 ans)  » lieu de naissance : chicago (illinois) » lieu de résidence actuel : washington dc » occupation actuelle : collaboratrice d'un sénateur du congrès en charge de la relation publique. » statut civil : en couple avec un homme politique de 15 ans son aîné, en campagne pour rentrer dans le conseil municipal de washington

god bless america (& its citizens)
ce qu'il faut savoir sur ton personnage


gluttony ; gula
placing concern with one's own interests,
above the well-being or interests of others.

1. family is power ». Précieux joyau de Rio, fortunée et influente, l’illustre maison De Gacio est l’une des plus anciennes noblesses du Brésil. Pointure indétrônable de la sphère politique nationale, elle compta parmi ses rangs bon nombre d’avocats, gouverneurs, conseillers et secrétaires d’Etat. Terre promise de cette famille droguée au pouvoir, le Brésil se souleva et s’enrichi sous leur direction avant qu’ils ne répandirent leur domination sur le sol américain. Le jeune Luis De Gacio, à cette époque déjà bourré d’ambitions, débarqua à Chicago dans une prestigieuse université américaine pour y étudier le droit et l’économie. Une institution familiale. Là-bas, il rencontra l’amour de sa vie une belle new-yorkaise au doux nom de Josephine Beaufort– fille de bonne famille et déjà promise à une brillante carrière d’avocate – Juste avant l’été quatre-vingt-huit, ils accueillirent une petite Manuela sur leur terre de prédilection : Chicago. Sous le soleil écrasant de Rio le jour de leur union, entrelacés sur le toit d’une demeure gigantesque, ils s’étaient promis l’accès au pouvoir. Pour y parvenir, ils misèrent sur leur famille modèle : un couple d’intellectuels ayant travaillés dur pour réussir, une histoire à la American Dream. Mais ce n’était pas leur image irréprochable qui plaisait le plus. C’était leur fille. Enfant talentueuse et adroite, docile et attachante, Manuela savait déjà parfaitement se jouer des médias. Très vite, elle comprit et accepta son rôle. Elle était l’idéal, les manières, la beauté et la politesse à la fois. Une petite bulle d’enfant sage entre deux affreux monstres mordus de politique. Durant des années, leur maison a vu défiler tout le beau monde de Chicago, un va-et-vient incessant de moitiés inconnus. C’est le business, qu’elle entendait jour et nuit. Faut se faire voir, faut se faire entendre. Les voix, c’était comme ça qu’elles se gagnaient. Le jour de son élection, son père victorieux, désormais gouverneur de l’Etat de l’Illinois, a pris sa fille de dix ans dans ses bras devant une foule de partisans. Manuela était son arme de séduction, la pièce maîtresse de son investiture. Elle passait les trois-quarts de son temps avec lui, dans les coulisses de ses meetings et apparaissaient bien souvent à la fin des discours sous une pluie d’applaudissements. Elle était d’un naturel admirable, maniant l’art de la communication aussi bien que ses parents. Du haut de ses dix ans – et de ses quelques centimètres de talons – elle avait fière allure sur la scène, le corps droit comme un i.

2. love is a game » Elle a grandi dans cette maison de prestige, charmante et chic, bien souvent admirée par les passants. C’était la plus belle du quartier, qu’ils disaient sans parvenir à entrevoir l’entrée majestueuse de ce royaume caché. Un immense portail en fer forgé dissimulait des regards indiscrets les mystères de la maison De Gacio. A l’intérieur, les secrets dansaient au grand jour. Simple spectatrice des tumultes amoureux de ses parents, Manuela affrontait quotidiennement leurs infidélités mutuelles. A la maison, Maman aimait Papa. Papa aimait Maman, et d’autres filles aussi parfois. Elle le savait parce qu’elle avait vu, l’autre jour, sa tante Sophie sortir du bureau de son père le corps à peine habillée. On lui disait de se taire, que c’était normal ces choses-là. Alors, elle s’est tu. Jusqu’à atteindre cet âge transitoire où les belles années d’enfance laissent place à la réalité de l’adolescence. Elle prit conscience de l’étrangeté de cette relation, commença à poser des questions. Elle avait treize ans. Elle comprenait tout désormais. Mais comprendre n’arrangeait rien. La faille était faîte. Les De Gacio avaient mis tant d’années à forger cette image modèle qu’ils peinaient eux-mêmes à la sauver. Après quinze années de mariage, deux mandats et pas une seule affaire publique en leur défaveur, leur duo, pourtant intouchable, se mit à battre de l’aile. Manuela avait seize ans, elle était une adolescente populaire traînant avec sa bande de copines toutes plus riches les uns que les autres. Pour l’éloigner de leurs déboires conjugaux, ils l’envoyèrent sur des yachts de milliardaires au large des côtes méditerranéennes. Mais la réalité était là : Manuela n’aimait pas d’amour, elle n’y connaissait rien.  La loi lui disait d’aimer mais elle, elle préférait coucher. Fille aux sentiments instables, elle n’éprouvait rien pour les hommes si ce n’est une brève ébauche de désir. Elle s’éclatait comme des milliers de feux d’artifice de par le monde, consciente de la fascination qu’elle exerçait sur eux. Manuela était belle, d’une beauté généreuse, coquette et toujours bien apprêtée pour aller séduire ces monsieurs. Parfois, ils osaient lui demander si elle les aimait. Mais à quoi bon lui poser des questions dans une langue qu'elle ne parlait pas.

3. policy is success » Noblesse du nom, les De Gacio aspirent tous à l’éclat du pouvoir. Comme chaque membre de cette illustre famille, Manuela a été éduqué dans le respect des valeurs de la maison : justice, authenticité, raffinement et diplomatie. Très tôt, elle fut l’atout de charme de son père, propulsée dès l’âge de cinq ans sur le devant de la scène publique. Lorsqu’elle grandit, il l’emmena avec lui partout lors ses déplacements. Elle s’amusait à écrire ses discours, à lui lire les critiques de la presse, assise dans son grand fauteuil en cuir de gouverneur. Manuela était née pour la politique, comme ses ancêtres avant elles. Des ancêtres qui avaient leurs portraits fièrement exposés dans les couloirs de leur maison. Après avoir excellé à chacun de ses examens de fin d’année à la sortie du lycée, elle intégra tout naturellement la prestigieuse université de Columbia, à New-York. Brillante étudiante en droit, elle multiplia ses interventions dans la sphère politique locale à tout juste vingt ans. En parallèle de ses études, elle accompagna le conseiller du maire de New-York pour y apprendre les exigences du métier. Puis, ses talents d’oratrice et son fort attrait pour les affaires publiques attisèrent l’intérêt de l’agence Bakers&Associates, un cabinet de conseil en communication politique, qui l’embaucha sur le champ. Une fois diplômée de Colombia, Manuela retourna travailler à Chicago en tant que stagiaire en charge de la communication du bureau de campagne d’un ami de son père. Suite à son élection, elle s’installa à Washington, le lieu de pouvoir de l’Amérique. Pour exister, elle se montra dans des bals de charité, des meetings de partisans, des dîners entre avocats. Ce fut ainsi qu’elle rencontra, Georges Howard, un homme politique ambitieux de quinze ans son aîné qu’elle parvint à séduire sans trop de difficultés. Impitoyable sur la scène politique comme dans la sphère privée, Manuela est prête à tout pour parvenir à ses fins. La réussite, le succès, l’admiration des siens. Elle a le sang du pouvoir dans les veines, une braise dominatrice au fond des orbites.  

4. strength is weakness » Juchée sur ses escarpins Louboutin de dix centimètres, taillée comme une guêpe dans son ensembles sur-mesure, Manuela fait sensation dans les couloirs réputés du Congrès. Femme indomptable, connue et reconnue pour sa ténacité sans égale, elle mène d’une main de maître les affaires publiques du sénateur pour lequel elle travaille. Son regard froid en dissuade plus d’un de lancer une quelconque blague déplacée en pleine réunion de campagne. Les gens la savent douée, acharnée au travail et beaucoup de ses rivaux ont préféré lâcher les armes plutôt qu’affronter cette prédestinée de la politique. Passionnée et créative, elle sait être là où on l’attend le moins et ne rate pas une occasion pour prendre l’avantage sur ses ascendants. Négocier une page de couverture dans un magazine masculin à grande portée médiatique, organiser à la dernière minute une séance photo pour parfaire l’image de son boss, Manuela ne craint rien et surtout, personne. Cette gamine n’a même pas trente ans, mais elle en impose, qu’est-ce qu’elle en impose. Sa fierté n’est, en réalité, qu’une coquille précieusement gardée pour rafistoler quelques-uns de ses cassures. Ses mystères, ses secrets, sont comme des silences qu’elle boit d’une traite le soir, seule dans son bureau. Le manque de repères familiaux, l’alcool comme anesthésiant, le sexe comme remède à l’amour. Ses fossés du passé ont fait ce qu’elle est aujourd’hui. Une femme sûre d’elle, charismatique, infidèle et quelque peu égarée. Enfant déjà, elle voyait dans la glace de la salle de bain le regard étrange d’une fille un peu paumée, le même qu’elle retrouve parfois dans les toilettes d’un bar. Elle incarne plusieurs personnages en un, si convaincante qu’il reste impossible de savoir lequel elle a été, est ou sera.

5. she » (miroir). Maquillage impeccable, vêtement taillé sur-mesure et sourire de façade, elle contemple ce reflet lisse, cet air assuré dans chaque mouvement, dans chaque regard. Elle scrute avec angoisse sa silhouette élancée en priant matin et soir pour ne pas prendre un gramme. Elle se souvient de ses heures adolescentes passées enfermée dans sa salle de bain à examiner chaque parcelle de son corps. Elle, qui n’existait nulle part dans le regard de ses parents, était devenu obsédée par l’idée de leur plaire. Poussée dans sa quête de réussite, de perfection. (insomnie). Une fumée cendrée et pâle roule lentement au-dessus de sa tête en plein cœur de la nuit. Elle fume depuis le crépuscule du soir, assise à son bureau en s’enivrant de caféine. Elle ne dort pas, Manuela. La nuit, elle chute, elle perd pieds dans le tourment de ses pensées. Hantée par de lointains cauchemars aux contours familiers. (alcool). Anesthésiée par la brûlure de son gosier, elle ne ressent plus rien. Ses doigts frôlent le verre glacé, le liquide incolore l’attire dans ses bas-fonds, s’amuse avec sa volonté fragile. Seule, elle se livre à elle-même, désinhibée de tout autre regard. Elle boit. Avec tristesse, avec pulsion. La chaleur enflamme sa bouche puis glisse dans sa gorge pour désinfecter ses maux. (médicaments). Ils sont cinq, le matin, cinq le soir. Jaunes, blancs ou roses, tranquillement déposés dans sa palette de bleue. Elle les prend depuis dix ans en secret. Personne ne le sait et personne ne doit savoir. Jamais, elle ne faiblit et parvient aisément à la dissimuler. Sa maladie.

public knowledge
mise en situation rp



- -
everybody loves the things you do, from the way you talk to the way you move,
'cause you feel like home you're like a dream come true
but if by chance you're here alone, can i have a moment, before i go.
'cause i've been by myself all night long,
hoping you're someone i used to know.
when we were young, adele
- -

Ils sont tous là. Partisans, sénateurs et jeunes pousses du parti venus célébrer la réélection de son doué de père. Lui est resplendissant de gloire, accueillant avec classe chacun de ses invités dans la grande salle de réception de leur maison. Au première loge, Manuela, petite merveille d’à peine seize ans dans sa robe Lanvin, assiste à une scène dont elle semble s’être habituée. Les gens viennent la féliciter avec une ferveur aussi grande que celle de son père, comme si elle aussi avait gagné. Un sourire béat sur ses lèvres framboises, elle fait preuve d’un véritable professionnalisme discutant slogan de campagne et missions locales avec les convives. Entre deux conversations intellectuelles, elle succombe au désir sournois d’un verre de champagne déposé entre ses mains par un charmant serveur. Son allure chaleureuse ne tient qu’au liquide acide qui ruisselle dans sa gorge. Lentement, elle sent la saveur sucrée de l’alcool se répandre sur sa langue. Du coin de l’œil, elle l’observe. Sa mère, entourée des belles dames adultères du parti qui savent comment remplir leur devoir vis-à-vis de leur enfant sans jamais les aimer. Elle l’observe en s’imaginant quels invités elle aurait bien pu emmener dans la chambre parentale pour assouvir ses passions. Dans une autre vie, elle aurait fait éclater toutes ces histoires familiales, elle l’aurait obligé à se lever, à se conduire comme une mère. Mais elle ne pouvait détruire l’empire colossal que sa famille avait bien des décennies à bâtir. Elle était une De Gacio. La combinaison parfaite de l’insensibilité et de la jouissance. Un être porté par l’amour du pouvoir et gâtée par l’argent. Manuela est atrocement merveilleuse, dangereusement froide. Elle est devenue leur reflet, le visage identique de leurs valeurs, ils sont en elle aussi bien qu’elle est en eux. « Mr. et Ms. Moore, permettez-moi de vous la présenter. » lança fièrement Luis, son diable de père, grand parleur dans son smoking italien. Il plaça une main aimante autour de sa taille, saluant deux pointures du milieu l’ayant soutenu durant toute sa campagne. Dès lors, elle orchestra son sourire de circonstances, infaillible et terriblement séduisant même lorsqu’elle croisa le regard de l’avocat. Il s’appelait Ryan, la trentenaire déjà bien entamée, père de famille aimant et mari dévoué. Elle serra sa mâchoire, goûta au plaisir amer de le retrouver là, en face d’elle, bien loin de ses draps. « Manuela, je suis ravie de pouvoir enfin vous rencontrer. Votre père est très talentueux mais laissez-moi vous avouer – sans aucune offense pour vous, Mr. De Gacio – que vous l’êtes d’autant plus. » lui confia sa femme, lacérée dans son tailleur de femme d’affaires. Puis, elle tendit sa main franche et sévère qu’elle serra sans réfléchir. « Le plaisir est partagé. » Une réponse brève arrachée au plus profond de son être. Un long frisson parcouru son bras pour remonter jusqu’à sa nuque lorsqu’elle dut serrer la main de Ryan. Elle savait. Elle savait qu’il était marié mais ignorait tout de ses relations avec son père. Une étrange sensation attaqua les parois de son terrible cœur d’adolescente. Elle le dévisagea, obligée de refouler son dédain dans le fond de sa gorge. « Enchanté, Mr. Moore. »



- -
they all feel the same adjust to the fame, cause no one will love you like her,
it's pointless like tears in the rain,
so now that she's gone, embrace all that come,
and die with a smile. don't show the world how alone you've become.
tears in the rain, the weeknd
- -

La belle Dolce Vita dans la nuit lumineuse. Elle habite sa robe échancrée, à bout de souffle. Des heures déjà qu’elle se déhanche imperceptiblement entre les astres colorés de l’immense piste de danse. Son cœur brûlant se nourrit de ses excès passés, battant frénétiquement comme chacun de ses membres dorés. Elle s’amuse, toute sourire, en faisant virevolter les mèches brunes de ses cheveux. Sa langue est sèche, en manque. Elle a soif, soif d’alcool. Mais la musique assourdissante qui frappe ses tympans envoûte chaque parcelle de son corps et fait disparaître ses envies. Elle se sent étonnement légère comme portée par la frénésie ambiante. Dans la pénombre, elle survit. Le monde entier défile au-dessus d’elle sur cette plage italienne, un soir d’été. Un instant, elle sent une main étrangère caresser sa peau, chatouiller sa taille. Elle se retourne, elle le voit. Grand brun, charmant et vraisemblablement bien plus vieux qu’elle. Son cœur se mets à danser, lui aussi. Elle lui sourit en découvrant l’intégralité de son visage sous les lumières des spots. Son regard explorateur s’aventure dans ses cheveux sombres que sa main ne manqua pas de parcourir. Leur corps se rapprochent, lui, la dévisage succinctement posant de longues secondes ses yeux noirs sur sa poitrine naissante. L’odeur de son parfum sucré vient animer ses narines. Elle le veut pour Elle, elle le veut à Elle. Sa main attrape dangereusement la sienne. Il murmure à son oreille quelques mots en italien qu’elle parvient miraculeusement à comprendre. Alors, ils s’éloignent de la foule, attirés par le large. Bouche contre bouche, peau contre peau, c’est l’aventure, c’est laborieux. Elle est courageuse, serrant fort les dents pour évacuer la douleur. Ses yeux humides observent attentivement le ciel étoilé de Sicile. Elle pense à sa copine, Chloé, qui l’a fait. Elle se dit qu’elle aussi.

Elle manque de tomber. Debout, marchant mécaniquement dans les couloirs de l’hôpital de Chicago, elle sent ce nœud mortuaire lui prendre la gorge et lui pincer le cœur. Elle peine à respirer, tétanisée par les paroles qu’elle vient d’entendre. Bien loin de ses préoccupations quotidiennes, elle ose lâcher les armes. Se montrer faible devant un petit groupe de gens, sans doute tous malades. Comme elle. Tout est flou et intenable. Un court instant, ses yeux vides se déposent sur la feuille chiffonnée qu’elle tient dans les mains. Y a toute sa vie là-dedans. Dans ce bout de papier qu’elle a traînée des semaines dans le fond de son sac à main. Au départ, tu commences à douter puis tu te dis que ça ne peut pas tomber sur toi. Et, si, c’est bien toi, la petite idiote qui a foutu sa vie en l’air. Mais là, tu n’y penses pas. Tu en encaisses. Impuissante, elle avance. Avancer pour vivre, oui, mais vivre comment et surtout combien de temps. Elle n’a même pas vingt ans, bordel. Son corps semble s’effondrer au fur et à mesure de ses pas alors que son terrible cœur et paralysé par un sentiment amer. Elle s’arrête un millième de secondes, refoule les lourdes larmes présentes dans ses yeux, elle avance. Bientôt, la sortie. Ils n’y sauront rien, qu’elle se dit. Arrivée péniblement devant l’immense entrée de l’hôpital, elle s’allume une cigarette et avant de finir, tends la feuille vers son bec pour l’admirer se consumer sous ses yeux.



who plays the part ?
ce qu'il faut savoir sur toi


» prénom : brittany
» âge : vingt-six ans
» scénario ou personnage inventé : inventé, as always
» des multicomptes ? swan cartwright-hansen, ma princesse  under control. (manuela) 3862249771
» impression sur le forum : tge, c'est comme la maison  under control. (manuela) 3705570351
» crédits :
» le mot de la fin : washingtonnn dc  under control. (manuela) 2921736968  under control. (manuela) 2921736968
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MessageSujet: Re: under control. (manuela) under control. (manuela) EmptyVen 25 Mar - 19:23

ma blanca d'amouuur :mimi:
rebienvenue brit, amuse-toi bien avec ce nouveau personnage :plop:
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June D. J. Martin
there's no place like berkeley
June D. J. Martin
prénom, pseudo : Fanny, Fannence, la plus mignonne des mignonnes, Fannou
date d'inscription : 19/06/2011
nombre de messages : 20204
avatar : Selena Gomez

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MessageSujet: Re: under control. (manuela) under control. (manuela) EmptyVen 25 Mar - 21:49

bonne chance avec ce nouveau perso :plop: je viendrais te quémander un lien, j'ai déjà une idée nahahaha !
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Stana N. S. Dickens
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Stana N. S. Dickens
prénom, pseudo : alo.
date d'inscription : 07/04/2013
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disponibilité rp : deux sur cinq (o p e n )
avatar : aurora mohn.

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MessageSujet: Re: under control. (manuela) under control. (manuela) EmptyVen 25 Mar - 22:49

have fun avec ce perso :plop:
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MessageSujet: Re: under control. (manuela) under control. (manuela) EmptySam 26 Mar - 8:48

re-bienvenue, brit' et bon courage avec ce personnage :)
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Catahleen Hammersmith
there's no place like berkeley
Catahleen Hammersmith
prénom, pseudo : Stéph'
date d'inscription : 27/07/2013
nombre de messages : 5350
disponibilité rp : nathaniel ;
avatar : shay mitchell

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MessageSujet: Re: under control. (manuela) under control. (manuela) EmptySam 26 Mar - 9:16

Bonne fiche & have fun. :plop:
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Jake Fitzgerald
there's no place like berkeley
Jake Fitzgerald
prénom, pseudo : elo, lodiie
date d'inscription : 22/10/2009
nombre de messages : 37026
avatar : sam claflin

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MessageSujet: Re: under control. (manuela) under control. (manuela) EmptySam 26 Mar - 11:17

bonne fiche avec ce nouveau toi :plop:
très belle fiche déjà entamée !
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MessageSujet: Re: under control. (manuela) under control. (manuela) EmptySam 26 Mar - 11:23

ouuuuh faudra que je lise tout ça :plop: rebienvenue à la maison avec ce nouveau personnage under control. (manuela) 2762726275
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MessageSujet: Re: under control. (manuela) under control. (manuela) EmptySam 26 Mar - 11:50

Re bienvenue, bonne fiche :plop:
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MessageSujet: Re: under control. (manuela) under control. (manuela) Empty

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