the great escape
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l'enfer c'est les autres >> Jean-Paul Sartre

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MessageSujet: l'enfer c'est les autres >> Jean-Paul Sartre  l'enfer c'est les autres >> Jean-Paul Sartre EmptyVen 19 Fév - 11:06

Alicia Richardson
ft. kristina bazan
» Prénoms : alicia chloë roseberry » Nom de famille : richardson » Nom d'usage : alicia robertson » Surnom/pseudonyme : ali » Nationalité : sud-africaine et américaine » Origines : mexicaines et britanniques » Date de naissance : février 1992 » Lieu de naissance : johannesburg, afrique du sud » Lieu de résidence actuel : fraîchement installée à new york city dans un quartier de manhattan » Occupation actuelle : travaille dans la policee scientifique américaine et business woman » Statut civil : actuellement célibataire

       
god bless america (& its citizens)
ce qu'il faut savoir sur ton personnage


« What was it like to lose him ? it was like hearing every goodbye ever said to me – said all at once »

Je suis chanceuse d’être née dans un cadre monétaire privilégié. Lorsque tu habites dans une métropole aussi dangereuse que Johannesburg, tu ne peux pas te permettre de faire partie d’une classe sociale inférieure. Malheureusement, beaucoup n’ont pas la même chance que moi et j’en suis consciente, c’est pourquoi je ne plains pas, jamais. Je peux avoir plein de défauts, mais une de mes qualités que j’enlace est ma reconnaissance. Ma ville natale serait donc Johannesburg. Ce n’est pas une ville comme les autres, pas que toutes celles du monde soient pareilles, au contraire, selon les régions du monde, chaque endroit a ses empreintes, sa valeur, ses cultures, ses habitudes. C’est non seulement la métropole avec les taux d’homicide plus élevés au monde, mais aussi une des villes les moins sûres de la planète. En vivant au quotidien avec le poids de tels chiffres, tu es vite reconnaissante de pouvoir habiter dans une maison bien protégée par des hautes clôtures munies de barbelés, de fils électriques et entièrement surveillée par des compagnies de sécurité privées. Je ne craignais rien, du moins c’est ce que mes parents m’ont fait croire depuis toute petite, jusqu’à ce que j’aie perdu mon frère jumeau, Alejandro. Il faisait partie du même rang social que moi et pourtant il n’est plus parmi nous. La vérité est que, qui que l’on soit, où que l’on soit, peu importe le statut social à laquelle on appartient, peu importe nos origines ou encore à quel point notre maison est bien protégée du mal : on n’est jamais à l’abri. C’est toujours difficile de perdre un être qui nous est cher, surtout quand cette personne représente une grande partie de ta vie. Il faut simplement avoir le malheur d’être au mauvais endroit au mauvais moment pour que tout bascule. C’était en 2011, j’avais dix-neuf ans. C’est jeune dix-neuf ans, même si l’on est juste récemment adultes à cet âge-là, c’est loin d’être la moitié de notre vie, nous sommes encore que des grands enfants, rien d’autre. À mon avis l’âge ne compte pas réellement, peu importe à quel point de notre vie nous nous trouvons, ce sera tout aussi dur de voir quelqu’un partir et surtout de ne pouvoir rien y faire. Je n’ai clairement pas tenu le coup, en tout cas pas le premier jour, pas la première semaine, pas le premier mois, pas la première année. Je me suis également beaucoup renfermée, c’est une vraie épreuve de sueur, je n’aime pas m’ouvrir aux gens, je n’aime pas exposer mes sentiments et je suis désormais munie d’une fierté que je jugerais déplacée. Vous savez ce sentiment quand on est tellement habitués à quelqu’un qu’à des moments, vous n’étiez plus qu’un seul être humain ? D’un jour à l’autre j’ai perdu cette autre moitié, qui me consolait quand j’avais besoin, je ne faisais rien sans Alejandro, cela a été un vrai choc, mais grâce au soutien de mon entourage, j’ai pu me relever et survivre à cette tragédie.

« Success is to be measured not so much by the position that one has reached in life as by the obstacles which he has overcome »

Malgré tout ce qui s’est passé, ce n’est pas pour autant dire que ma vie a été des plus malheureuses. J’ai beaucoup souffert, ceci est garanti mais mes parents se sont toujours assurés que je ne manque de rien et pour ça, j’en serais éternellement reconnaissante. On dit souvent que l’argent ne fait pas le bonheur, mais moi je pense que cela aide en beaucoup de choses, en tout cas pour mon cas. Sans J’ai poursuivis mes études universitaires dans une des facultés les plus prestigieuses du monde, Witwatersrand. Je suis chanceuse de ce côté là aussi, je n’ai pas toujours aimé étudier, mais j’ai toujours fait en sorte de rendre mes parents fiers, parce qu’après tout ce qu’ils font pour moi, la moindre des choses c’est leur épargner la peine de devoir s’inquiéter avec mes résultats scolaires. Dès que j’ai commencé à prendre goûts aux études, j’ai vite compris quel était mon destin. J’étais prête à continuer d’exceller, parce qu’après c’était mon but ultime dans la vie, depuis que mon frère jumeau avait rejoins le paradis, je m’étais promise de ne jamais baisser les bras, de grader et de continuer à nourrir mon côté déterminant et ambitieux. Le succès est vite devenu ma priorité. Du haut de mes vingt-quatre ans je suis fière de pouvoir dire que je travaille actuellement dans la police scientifique américaine. L’influence sociale de ma famille, de mon père surtout qui a vécu pendant plusieurs années entre Washington et New York, en raison de ses parents séparés, m’a permis de pouvoir trouver cette place dans la cour des grands. J’ai de la chance, je ne me plains pas, je suis fière et je ne veux que grader, me construire. Mais pour expliquer comment j’en suis arrivée là, j’ai parlé à mes parents de mon envie de m’aventurer à San Francisco, mais c’est finalement vers New York que je me suis tournée. Professionnellement, cela n’a pas été très compliqué étant donné qu’un des meilleurs amis de mon père est à la tête d’une équipe de police scientifique new-yorkaise. Il n’a pas hésité à m’intégrer à son équipe lorsqu’il a su mon intérêt. Me connaissant depuis gamine, il a toujours apprécié mon ambition, ma détermination, ma force et mon envie de progresser. Au niveau professionnel, il me connaissait assez bien pour savoir que j’avais quelque chose à apporter à son équipe, à cette ville.

« Cherish your human connections - your relationships with friends and family »

Comme je l’ai déjà précisée, je suis une chanceuse qui est née dans une famille aisée. Les Richardson sont très respectés à Johannesburg, nous avons hérité de la noblesse de nos ancêtres, un couple de colons britanniques qui ont fait fortune dans l’immobilier. Pour que l’héritage de la famille continue de s’épanouir, mon père investi un certain montant dans son métier, il ouvre son propre cabinet d’avocat, ce qui lui permet de s’occuper d’affaires importantes qui lui rapportent. Toutes ses heures de travaillent lui ont permis de gagner plusieurs affaires, on ne compte plus ses victoires. Ma mère est une neurochirurgienne diplômée et reconnu mondialement, elle m’a toujours rendu fière et malgré son emploi de temps chargé, elle a toujours été présente dans toutes les étapes de ma vie, c’est elle mon véritable pilier. Je suis née à Johannesburg et je suis très attachée à mes origines. Ma mère était mexicaine et sud-africaine, le Mexique est un pays que je chéris beaucoup et que j’ai visité plusieurs fois. Mon père quant à lui est né en Amérique à Washington, ville qu’il a décidé de quitter après la rencontre avec ma mère. L’Afrique du sud a été pendant de nombreuses années ce que l’on appelle chez soi. Avec mes frères et sœurs on est restés bloqués dessus, cette endroit nous plaisait, nous ne ressentions pas le besoin de vivre ailleurs. Mais après la mort de mon frère jumeau, la presse nous étouffait, après une rude épreuve pareille, j’avais comme une brulante envie de continuer à m’épanouir quelque part d’autre, loin de tout ces drames. Mais ce n’est pas une décision que j’ai prise à la légère puisque je suis l’aînée, la grande sœur, rôle que j’ai toujours embrassé avec amour, je juge la famille comme étant la chose la plus importante au monde. A dix-huit ans, je ne pouvais pas partir toute seule, je n’étais pas prête, c’est donc pour mon plus grand bonheur que mes parents ont décidé de s’installer dans la ville natale de mon père Washington, où je me suis naturalisé américaine. Après avoir quitté ma ville natale, c’est Washington que je quitte pour poursuivre mes rêves à New York, la tête pleine d’espoir et d’ambition, avec seuls buts : le succès et le bonheur.

« I have a dream that my four little children will one day live in a nation where they will not be judged by the color of their skin, but by the content of their character »

Dans la vie, j’ai toujours été plutôt indépendante, mais la vraie raison pour laquelle j’ai toujours été couronnée de succès est ma force d’esprit. Je ne suis pas toujours facile à vivre étant donné mon fort caractère ainsi que ma fierté, puis mon apparente douceur n’est qu’un moyen pour amadouer les autres et se jouer de leurs faiblesses. Si j’ai bien appris une chose au long de toutes mes années d’existence, c’est que tu ne gagnes jamais une bataille en étant sincère, parce que le monde ne l’est pas en lui même et pour affronter certains êtres, il faut se baisser à leur niveau. Je suis pourtant rayonnante, j’ai toujours ce sourire aux lèvres que l’on dit contagieux. Je sais ce que je veux et surtout ce que je ne veux pas, je réussis tout ce que j’entreprends, parce que je me donne les moyens de réussir surtout, mais aussi parce que je suis talentueuse. Je n’aime pas me dévoiler, je suis du genre mystérieuse, exposer mes sentiments n’est pas ce à quoi j’adhère le plus. Plutôt paradoxale, charismatique, souriante, sociable mais réservée : personne ne peut vraiment savoir quand je vais mal puisque je peux très bien le cacher. À mon avis, chacun a déjà d’assez gros ennuis dans sa vie, il n’en vaut pas la peine que j’en rajoute avec les miens. Il faut contaminer les gens de fou-rires et de bonheur, c’est de quoi la vie est vraiment bâtie. En conclusion, j’ai deux facettes : celle en public, joyeuse, sans le moindre problème, un vrai rayon de soleil et celle cachée qui est forcément plus sombre, alimenté par le décès d’Alejandro surtout, qui explique mon renfermement.

« Wherever you go, go with all your heart »

Peut-être que j’ai vécu toute ma vie à Johannesburg mais cela ne veut pas dire que je ne connais pas le monde. Je suis une passionnée de culture, je voyage énormément, dès que je peux, je pars à l’aventure. J’ai eu l’occasion de visiter plusieurs endroits dans les quatre coins du monde. Lorsqu’on se soumet au mode de vie d’autres peuples, on apprend beaucoup plus que leur culture, on se nourrit de leur sagesse, de leur bonté et tu es obligé de quitter ces endroits, les uns plus spéciaux que les autres, avec un cœur nourri de tellement de bonnes choses que tu veux faire qu’une chose : transmettre. À seulement vingt-quatre ans j’ai déjà posé mes pieds sur le sol américain, africain, européen, asiatique et australien. Mais j’ai de loin finit la quête du sens de la vie, la quête de soi que chacun fait différent ; moi je le fais à travers mes voyages, à travers le partage que ce mode de vie permet. J’ai encore beaucoup de merveilleux endroits dans le monde que je dois visiter, beaucoup de religions que je dois traiter, la biodiversité est énorme aussi. Le monde est tellement vaste, il n’y a jamais moyen de s’arrêter.
       
who plays the part ?
ce qu'il faut savoir sur toi


       
» Prénom : brun(ette)a
       » Pseudo : nameless sky
       » Âge : dix-sept ans
       » Scénario ou personnage inventé : scénario de swan
       » Des multicomptes ? rip juliet
       » Impression sur le forum :  :mimi:
       » Crédits :  singing
       » Le mot de la fin : comme quoi on finit tous par revenir un jour ou l'autre et on s'en plaint pas  l'enfer c'est les autres >> Jean-Paul Sartre 277800
       
       
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MessageSujet: Re: l'enfer c'est les autres >> Jean-Paul Sartre  l'enfer c'est les autres >> Jean-Paul Sartre EmptyVen 19 Fév - 11:09


public knowledge
mise en situation rp


« Alicia Richardson, nineteen years old, lives in Johannesburg »
Je n’oublierais jamais ce jour, c’était un dimanche ensoleillé. Tout était au rendez-vous pour que ce soit une de ses belles et chaudes journées de printemps, à l’abri de toutes mauvaises choses. Aucune chance que ma journée soit ruinée, je m’étais réveillée confiante et heureuse, je n’oublierais jamais ceci. Si on m’avait dit qu’une tragédie arriverait ce jour même, je n’y croirais pour rien au monde. C’était une journée colorée, à mon réveil, je me tourne vers la salle de bain d’abord, pour me doucher, appliquer mes soins de visage afin de garder ma peau de bébé bien hydratée. Je décide de m’habiller ensuite, direction ma garde-robe qui, dans ma maison familiale, se trouve intégrée dans ma chambre un peu comme une suite, tout de même assez grande, pas aussi bien que celle de mon appartement de luxe à New York, mais elle n’était pas mal pour une maison partagée avec tous mes frères et sœurs. Nous étions une famille nombreuse, ce qui selon moi est indispensable dans la vie, tu as toujours quelqu’un vers qui te tourner à n’importe quel moment de ton existence selon différents types de problèmes. Quand on rentre dans la pièce intégrée à ma chambre, ma garde-robe donc, on ne peut apercevoir que deux grands rideaux de fausse fourrure blanche qui ont dû couter une fortune à mon père, car c’est un tissu qui imite la vraie fourrure d’une façon très douce. Mon père me les avait achetés comme cadeau pour la saint-valentin, l’année de mes seize ans. Nous avions l’habitude de nous acheter des cadeaux et nous le faisons toujours étant donné mon célibat incontournable. Lorsqu’on ouvre le rideau on découvre deux allées moyennes, une où l’on peut apercevoir des deux côtés toutes mes chaussures de soirée, mes baskets et tout ce qui va avec, puis de l’autre côté mes vêtements. Au centre de la pièce, nous avons installé un meuble blanc, rose bonbon et doré, digne d’une vraie princesse, où sont posés mes accessoires. J’attrape des pantalons boyfriend que j’assemble avec un t-shirt de couleur grise avec des coupures sur les côtés inférieurs, laissant ainsi entrevoir un minimum mes hanches ; je choisis ensuite une de mes petites vestes de printemps, une rouge pour ajouter un peu de couleur à cette tenue. Pour couronner le tout, des escarpins blancs et une pochette de cette même couleur. Un maquillage simple et un rouge à lèvres rouge sang afin de finaliser la tenue. J’étais prête à sortir. Je descends à l’étage pour rejoindre le petit-déjeuner que ma mère avait préparé, c’était un rituel, nous n’avions pas tous toujours le temps de manger ensemble le matin durant la semaine, donc on faisait l’effort le dimanche. « Oh maman, des pancakes avec du miel, mes préférés. Tu es vraiment la meilleure maman du monde » disais-je en lui déposant un tendre baiser sur sa joue gauche, tout en serrant un petit peu ses épaules entre mes deux bras. On était une famille heureuse, nous étions bénis, chanceux et reconnaissants. Une fois le petit déjeuner consommé, nous partons tous de nos côtés, mais mon frère jumeau, Alexander n’était pas rentré, je ne sais pas dans quel genre de connerie il s’était encore fourré. Il était le plus rebelle d’entre nous, tout comme moi, il déteste les injustices et ne peut pas vivre avec il doit toujours riposter. « Maman, où il est Alex ? Je voulais lui dire au revoir avant de partir pour le Kenya » Elle m’indique qu’il a passé la nuit chez son copain Kyle, c’était un garçon que j’avais fréquenté quand j’avais seize ans, une belle histoire d’amour qui avait duré trois ans, mon premier amour en somme. Dieu sait comment ça s’est fini. Je lui écris un message sur le moment pour lui rappeler que je partais bien aujourd’hui, pour m’assurer qu’il était au courant qu’il ne me verrait pas pendant une semaine au moins. Ma sœur Amanda a repris une partie de l’entreprise familiale d’immobilier, en fait nous, les Richardson, nous possédons des immeubles, des palaces, nous avons la chance d’avoir un très grand héritage venu de nos ancêtres, des colons britanniques qui ont fait fortune dans l’immobilier. Ma sœur est une accro au travail, elle adore ça c’est vraiment dans ses gênes. Moi actuellement je travaille à 80% dans une équipe new-yorkaise de la police scientifique, dont Theodore, un des meilleurs amis de papa est à la tête. Cela a donc été facile de m’intégrer, je suis chanceuse. Mais je gère également une partie de notre héritage, je suis une femme d’affaires dans le sang, je ne me sentais pas à l’aise de ne pas jouer un rôle dans la croissance de notre fortune familiale. J’investis dans l’immobilier parfois, mais je fait surtout partie de voyages humanitaires, je compte bientôt débuter mon projet d’ouvrir une association. Mais à l’époque, ce dimanche-là je n’avais que dix-neuf, je gérais déjà une partie de l’immobilier, mais je terminais encore mes études. Une fois le petit-déjeuner avalé en compagnie de ma nombreuse famille. « Bon ciao les amis, on se revoit dans une semaine » J’embrasse chacun des membres de ma famille présents, ils me souhaitent un bon séjour et en saisissant la valise que j’avais préparé la veille avec mes besoins, je pars dans le garage pour prendre ma voiture. À peine dans ma Porsche Cayenne blanche  matte, je sentais déjà la chaleur que cette journée dégageait. Je me balade dans Johannesburg pendant un instant, pour aller me parquer devant le manoir de mon meilleur ami, Christian, lui aussi issu d’une classe sociale aisée. Il monte dans la voiture, nous étions arrivés à la conclusion hier qu’on prendrait la mienne, on se bat toujours pour savoir qui va conduire, parce qu’on adore de le faire tous les deux. On avait décidé de passer une semaine en voyage humanitaire au Mozambique. Nous étions des entrepreneurs, des voyageurs, des aventuriers, des personnes d’affaires à tous les niveaux. Et nous le sommes toujours d’ailleurs. Nous participons à des voyages humanitaires, parce qu’on trouve que vivre et être nées en Afrique (même si on est de race blanche et riches malgré tout) est un véritable bonheur, parce que l’Afrique est un trésor et les gens ne le savent pas ou du moins ils l’oublient. Vivre à quelques kilomètres de la pauvreté est frappant, nous avons une chance immense de pouvoir les aider les personnes qui ont le plus besoin de soutien dans ce monde, et nous pouvons les aider : elles sont juste à côté de chez nous et nous en avons les moyens. On en conclut donc, que c’est un miracle, on le dit une aventure, une destinée. Nous étions toutes les deux des aventurières et adorions prendre quelques jours de congé pour découvrir des parties du monde. Pour arriver à Mozambique il fallait environ treize heures, car nous allions dans le sud. C’était pas beaucoup pour nous deux, on aimait bien ça. Pendant le chemin, je reçois un message de ma sœur Amanda qui dit : quelque chose s’est passé avec Alex, il faut que tu rentres à la maison maintenant. Je m’inquiète directement, heureusement je n’ai fait qu’une heure de route avec Christian. Je me dépêche, je roule le plus vite possible. Je m’imaginais toutes sortes de scénarios possibles dans ma tête, Alexander a le don de se fourrer dans des affaires dangereuses, il est comme moi : il aime l’inaccessible, le danger, briser les règles. Je reçois un deuxième texto, de mon père cette fois. J’ai à peine le temps de le lire qu’il m’appelle directement. Il me demande où j’étais, je répondis : Papa, je suis à vingt minutes de Johannesburg, je vais arriver, que s’est-il passé ? Il ne me donne pas plus d’informations, sûrement qu’il ne voulait pas me le dire par téléphone, il m’annoncera à mon arrivée que mon frère a rencontré des problèmes graves. Il me demande de rejoindre tout le monde au salon, tous mes frères et sœurs étaient là. Il nous raconte avoir été demandé à la morgue pour reconnaître un corps. « C’était Alexander » Cette phrase me hantera toute ma vie, jusqu’à aujourd’hui. Je tombe à terre, aucun de mes membres n’avaient ni la force, ni l’envie de supporter le poids que ce soit de mon corps ou de cette nouvelle.
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Catahleen Hammersmith
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MessageSujet: Re: l'enfer c'est les autres >> Jean-Paul Sartre  l'enfer c'est les autres >> Jean-Paul Sartre EmptyVen 19 Fév - 11:12

rebienvenue et bonne fiche. :plop:
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MessageSujet: Re: l'enfer c'est les autres >> Jean-Paul Sartre  l'enfer c'est les autres >> Jean-Paul Sartre EmptyVen 19 Fév - 12:15

merci stéph :mimi:
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Edison L. Allen
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Edison L. Allen
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MessageSujet: Re: l'enfer c'est les autres >> Jean-Paul Sartre  l'enfer c'est les autres >> Jean-Paul Sartre EmptyVen 19 Fév - 13:07

oh kristina :plop: je l'ai vu à paris elle est sublime :mimi:
welcome back kisskiss
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MessageSujet: Re: l'enfer c'est les autres >> Jean-Paul Sartre  l'enfer c'est les autres >> Jean-Paul Sartre EmptyVen 19 Fév - 16:57

rebienvenue bruna :mimi:
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MessageSujet: Re: l'enfer c'est les autres >> Jean-Paul Sartre  l'enfer c'est les autres >> Jean-Paul Sartre EmptyVen 19 Fév - 18:16

re-bienvenue donc :plop: et bon courage pour ta fiche :plop:
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MessageSujet: Re: l'enfer c'est les autres >> Jean-Paul Sartre  l'enfer c'est les autres >> Jean-Paul Sartre EmptyVen 19 Fév - 19:19

Edison L. Allen a écrit:
oh kristina :plop: je l'ai vu à paris elle est sublime :mimi:
welcome back kisskiss

ouiii elle est vraiment magnifique hanwi :plop:

Sienna Whitaker a écrit:
rebienvenue bruna :mimi:

merci ma julie :plop:

Zoey Rhimes a écrit:
re-bienvenue donc :plop: et bon courage pour ta fiche :plop:

merciii bien :mimi:
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James Carmichael
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James Carmichael
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MessageSujet: Re: l'enfer c'est les autres >> Jean-Paul Sartre  l'enfer c'est les autres >> Jean-Paul Sartre EmptyVen 19 Fév - 20:25

bon retour parmi nous et bon courage pour ta fiche :plop:
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MessageSujet: Re: l'enfer c'est les autres >> Jean-Paul Sartre  l'enfer c'est les autres >> Jean-Paul Sartre Empty

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