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kill'em with kindness. (mw)

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MessageSujet: kill'em with kindness. (mw) kill'em with kindness. (mw) EmptyDim 25 Oct - 16:16

malia williams.
ft. danielle campbell.
» prénoms : malia selwyn aspen tamina. » nom de famille : williams. » nom d'usage : malia williams. » surnom/pseudonyme : malia. » nationalité : américaine. » origines : américaine et d'anciennes traces d'origines mexicaines. » date de naissance : trente-et-un octobre mille neuf cent quatre-vingt-treize, vingt-deux ans. » lieu de naissance : salem, medical center north shore, massachussets. (usa). » lieu de résidence actuel : salem, massachussets (usa) depuis deux mois. » occupation actuelle : étudiante par correspondance (depuis peu) en troisième année de médecine à l’université de berkeley, à san francisco. » statut civil : célibataire.

god bless america (& its citizens)
ce qu'il faut savoir sur ton personnage



» family is like the branches on a tree. we all grow in different directions, yet our roots remain as one. ~ « la famille a toujours été une chose concrète aux yeux des gens, un homme, une femme, un amour, des enfants et voilà, vous avez la famille nucléaire typique. Pour certains, ce n’est que fantaisies, un mythe pour d’autre, une évidence pour les plus chanceux. Quoiqu’il en soit, il y a une chose qui est certaine dans cette histoire : on ne choisit ni son sang, ni son appartenance familiale. Les enfants naissent pour le plaisir d’un amour naissant, paraît-il. Dans le cas de la famille Williams, les enfants naissent à chaque coup de reins que la mère veut bien recevoir du même homme. » Voilà ce que pourrait répondre ou penser très fort la jeune Malia Williams, quatrième enfant de la fratrie Williams composée de six gosses.

Malia Williams est née la nuit du trente-et-un octobre mille neuf cent quatre-vingt-treize, le soir d’halloween avec deux mois d’avance. Née prématurée à sept mois, l’enfant a débarqué dans le monde tel un véritable coup de canon prêt à tout détruire –au sens propre comme au sens figuré-. Le nouveau-né passa deux mois en couveuse le temps de terminer son terme de croissance avant de rentrer dans cette maison qui attirait bien des regards. Mais du haut de ses deux mois, que connait-elle de la vie ? Que connait-elle de la véritable signification de son nom ? Du sang qui coule en elle ? Rien, c’est juste un bébé qui ne demande qu’à être porté, aimé, nourrit et changer sept fois par jour en moyenne. Autant dire que le bébé fit passer un sale moment à la mère qui la relégua très vite dans les bras de sa tante. La mère Williams, trop occupée par son action au sein de la vie, trop focalisée sur le maintien de son titre qu’elle délaissa l’enfant qu’elle n’avait pas voulu de base. Malia est une erreur, une grossesse qui n’aurait jamais dû exister, un déni de grossesse qui s’est seulement déclaré au cinquième mois. Pensez bien qu’il était trop tard pour avorter, surtout qu’elle tombait réellement au mauvais moment de l’année. Mais faut croire que cette petite force de la nature en avait décidé autrement. Se faisant une place au sein de cette famille avec le statut de petite dernière (pour l’instant) plus particulièrement auprès de sa grande sœur Blake, l’enfant grandit protégée de bras qui l’empêchaient de voir les menaces extérieures.

Malia Williams, qui ne connait pas ce nom. si les gens ne la connaissent pas personnellement, ils savent qui elle est et ce qu’elle peut représenter. Dernière descendante (à ce moment-là) de Abigail Williams, figure importante dans la grande chasse aux sorcières de Salem pour avoir dénoncé de nombreuses âmes perdues, elle demeure encore encrée dans les esprits. Bien évidemment, tout cela se répercute sur les générations suivantes, l’enfant fait trembler les voisins. Car si elle n’a rien demandé, Malia –comme ses grand-frères et sœurs avant elle, est née avec le sang de nombreux innocents sur les mains. Combien de fois de son jeune âge, a-t-elle vu ses voisins changer de trottoir quand elle se promenait encore en couche culotte avec sa sœur Blake ? Combien de fois a-t-elle croisé les regards méprisants sur la fratrie ? De sa petite taille, tout cela est devenu routine.

en résumé ~ malia williams, fille de isadora williams et de benjamin woodward, quatrième enfant d’une fratrie de six enfants, petite sœur adorée de blake williams. née le trente-et-un octobre mille neuf cent quatre-vingt-treize à salem, prématurée de deux mois. erreur de la nature. descendante directe de abigail williams.  


» silence is golden … unless you have a toddler, in that case silence is very very suspicious. ~ l’enfance de Malia s’est passée quasiment sans la présence des williams. si elle a vécu ses cinq premières années sous la garde de sa tante paternel et de ses frères et sœurs, surtout sous la protection et l’amour de Blake, Malia s’est vue partir pour d’autres horizons quand son père est décédé, noyé, quand elle n’avait que cinq ans à peine. C’est sur un commun accord entre la tante et la marâtre williams que la décision fut prise, Malia partirait avec Serena où bon lui semblait. À ce moment-là, sa tante ne lui avait pas dit que papa était mort, pour elle, il était juste partit travailler. Elle est partit le jour de l’enterrement de son père, sans pour autant y assister, convaincue que son papa allait revenir. si elle n’avait pas de lien avec sa mère, elle l’avait avec son père. le jour de son départ, Malia dit au revoir à ses frères et sœurs comme si elle allait revenir de la garderie. Un au revoir à long terme. C’est à huit ans, lors des premières vacances là-bas qu'elle comprit que son père était mort. Elle le pleura, beaucoup.

Le changement ne fut brutal que sur l’absence de Blake, un point de repère crucial pour la gamine qui l’avait prise pour modèle, essayant d’être sa copie conforme. Habituée par la quasi présence de sa tante, elle passa une enfance relativement posée sous le soleil de San Francisco. Elle n’était plus LA Williams, LA Malia, non, elle était juste la choupette du coin, une gamine au sourire qui faisait craquer tous ses petits camarades masculins dans sa nouvelle classe. Il n’y avait aucun rapprochement entre la lignée williams et elle. C’était une williams parmi les Fitz, les Johnson, les Parker. Une enfant parmi tant d’autre. Ah, si, elle était relativement connue pour son rire taquin et ses conneries en tout genre. Véritable bout en train, elle en faisait voir de toute les couleurs à ses maîtresse, en commençant par le jetée de copaux sales du hamster de la classe comme poussière de fées sur tout le monde a je mange de la colle et j’en mets dans les cheveux du garçon devant moi. Bref, l’enfance de Malia fut un véritable Roller Coster de sensations sur tous les points. Et cela dura jusqu’à ses onze ans. Sa dernière révolte fut le jour où elle balança son cahier d’histoire sur son professeur pour avoir grondé injustement une camarade alors que c’était la première de classe qui avait fait la connerie.

Du côté famille, Malia a toujours gardé contact avec eux, plus particulièrement avec Blake étant donné que soit on voulait pas parler avec une mioches, soit ils étaient trop petits pour parler. Quoiqu’il en soit, le lien entre Blake et Malia se renforçait de plus en plus chaque jours, jusqu’à faire exploser les notes téléphoniques. Malia et sa mère adoptive (tante) avaient convenu que toutes les vacances, ils les passeraient à Salem, en famille, malgré les reproches, les dîners familiaux sur le qui-vive, Malia prenait du plaisir même si c’était trop court. Quant au lien mère/fille il n’existait pas, il n’avait jamais réellement existait. Malia n’a jamais cherché à se rapprocher de cette femme qui lui faisait toujours des remarques négatives, il lui semble même qu’elle ne l’a jamais appelé maman mais par son prénom directement (et encore aujourd’hui). Préférant de loin se calquer sur Blake ou sur mama (Serena). Elle s’entend plutôt bien avec ses les autres enfants de la fratrie mais ce n’est pas non plus le grand amour. Les querelles entres eux sont épiques.

en résumé ~ à cinq ans, malia partit vivre avec sa tante à san francisco après le décès de son père. elle a développé un lien très fort avec sa grande sœur, protégée par sa personne, de près ou de loin, malia s’est toujours sentit complète. elle n’aime pas, ne supporte pas sa mère biologique, ne l’a jamais appelé maman. ce mot est réservé à sa tante. / bout en train, jeune enfant pleine de vie, elle a eu une enfance normale, loin de salem, loin de sa mère.


» if there was an award for laziness, i'd probably send someone to pick it up for me. ~ l’adolescence. Période qui selon les adolescents doit être la plus emblématique de leurs vies. Ça a été le cas pour la williams. Parfaitement moulée dans un cadre californien, Malia s’est faite une place de choix dans la vie de son lycée. Populaire pour sa beauté, elle l’est aussi pour sa danse mais surtout pour le groupe d’amies qu’elle s’est faite au fil du temps. Un groupe composé de cinq filles, the squad. Tout le monde le connaissait, même les profs. Jenna, Sibille, Mina, Louna et Malia. Cinq filles aux physiques avantageux mais surtout avec la même déficience mentale, car si il y avait une connerie à faire même minime, c’était pour elles. Entre voyage à Paris, à New-York et Rome, elles ne se sont jamais quittées. Chaque fille représentait un doigt sur une main. Elles étaient soudées, tellement soudées que les histoires de mecs leurs passaient au-dessus de la tête. hoes over bros. Et s’il arrivait une attirance pour un ex, c’était séance de thérapie de groupe. Elle en a passé des journées au centre commercial avec elles, les soirées d’études où elles étudiaient à s’en faire saigner le nez, les coups de fils à trois heures du matin pour dire je veux une glace.

L’école, une prison pour certains -la majorité, une chance pour d'autres. Malia ne se débrouillait pas trop mal. Elle n'a jamais pris l'école du mauvais côté. Bonne élève, pas la première ni la dernière, elle n’avait pas besoin de bosser comme une forcené pour avoir une bonne note –sauf lorsqu’elle passe plus de temps avec sa carte bleu qu’avec ses bouquins. Malia est une jeune femme pleine de capacité, si bien qu’elle est longtemps restée sans savoir quoi faire pour la suite. Enchaînant même les petits boulots pour se faire de l'argent de poche, elle ne savait pas réellement dans quoi se focaliser.  Il y avait bien une chose qui aurait pu la mener loin, la danse. Malia fait de la danse contemporaine depuis qu’elle a douze ans. Très douée, elle a participé à quelques compétitions où elle a réussi à se classer. Mais Malia ne danse pas pour la gloire, elle danse parce qu’elle aime ça, elle exprime des choses –contrairement à sa grande gueule- qu’elle ne peut dire à haute voix. Des ressentis sur son passé qu’elle arrive à faire comprendre à travers des pas. C’est l’un de ses moyens de communication. elle parle aussi souvent de l'amour, terme, sentiment qu'elle n'a pas encore ressentit, elle a vécu des petites histoires, mais rien de bien marquant. Rien d'extraordinaire qui aurait le mérite qu'elle plaque le terme "grand amour" au-dessus.

» now you understand why peter pan didn't want to grow up. ~ après le lycée, la jeune malia est entrée dans les rangs de berkeley, en médecine. pourquoi médecine ? simplement parce que ça la branchait bien. dans sa tête, malia se dit qu’elle est jeune, qu’elle a encore du temps pour se trouver, et puis pourquoi pas commencer là-dedans ? c’est un milieu comme un autre. c’est ce qu’elle s’est dit quand elle a rempli le dossier d’inscription, aujourd’hui là voilà en troisième année de médecine, avec une plutôt bonne moyenne. ça lui plait, beaucoup.

La vie est bien pour elle. Avec son lot de positivité comme ses complications. La famille –surtout Blake, les autres font leurs vies- les amies qui sont toujours là, moins qu’avant mais tout de même là, et sa mère, les amours. Il n’y a qu’une chose qui commence à noircir le tableau, son nom qui commence à faire parler de plus en plus à Salem. Et bien sûr, pas pour les bonnes raisons. Elle a peur Malia, elle a peur que cette partie de sa vie fait surface ici, rompant le doux calme de son quotidien. De plus, elle voit de plus en plus sa mère essayait de la faire revenir dans sa ville natale, ce que Malia a refusé pendant longtemps. Voulant garder ce qu’elle avait réussi à construire de ses propres mains. Mais pour la mère Williams ça passait mal, les gens commençaient à parler sur cette histoire, une enfant bannie, voilà ce que devenait Malia au fil du temps. Mais si Malia s’évertue à rester à San Francisco, la vie en décide autrement, c’est à dix-neuf ans qu’elle apprend que Blake, sa Blake est dans le coma. C’est sans se soucier de quoique ce soit qu’elle revient à Salem. Pas pour sa mère, pas pour la ville, pour Blake. Pour sa sœur. Celle qui lui avait appris la vie par téléphone et pendant les vacances. Malheureusement, Isadora prit ce retour comme une aubaine, la fille exilée revient à la maison, celle qui fait des grandes études de médecine, mais très vite, Malia reprit les choses, elle n’était pas là pour elle, mais pour Blake. Ce qui jeta un froid aux allures de guerres sur la famille. Et cela dura pendant près de deux ans.
Malia faisait des allers et retours entre SF et Salem pour s’occuper d’elle et de sa sœur. Quand elle fêta ses vingt-et-un ans, Malia partie à Vegas pendant près de quinze jours avec ses amies. Des vacances qu’elle avait méritées. Deux semaines de montagnes russes, Malia n’avait jamais autant fait la fête de sa vie. C’est d’ailleurs là-bas qu’elle perdit sa virginité, une histoire qui avait duré près d’une semaine mais qui avait été tellement de choses pour elle. Des sentiments en combustion, des regards brûlants … une histoire qu’elle casa épique dès son retour à San Francisco.

C’est en juillet deux-mille quinze, qu’elle décide de poser sa valise à Salem, pour une durée indéterminée. Seulement, son arrivée ne fut pas silencieuse, car c’est en passant sur la place commune qu’elle entendit le premier ‘sorcière’. Malia n’est pas au bout de ses surprises, elle n’avait jamais vu pareille animosité et c’est sans compter le réveil de sa sœur et son changement de comportement. Le long fleuve tranquille de Malia Williams vient de se transformer en une rivière sauvage.

en résumé ~ malia est revenue à salem par intermittences pour être au chevet de sa sœur, une façon pour elle de repayer ce qu’elle avait reçu pendant toutes ses années. elle est en troisième année de médecine par correspondance avec berkeley. elle habite l’ancien appartement de sa tante en attendant de trouver son propre chez soi. elle est actuellement en recherche d’emploi et essaye de comprendre le changement de comportement de blake.

» she's a roller coster. ~ + malia aime la vitesse et l'adrénaline. + malia elle est pas méchante, juste chiante. accueillante, aimable, ambitieuse, appliquée, attentionnée, autonome, battante, bagarreuse, bienveillante, bordélique, charmante, chiante, chieuse, créative, débordée, délicate, dévouée, digne de confiance,  directe, douce, dormeuse, drôle, dynamique, énervée, étourdie, franche, froussarde, généreuse, grande gueule, gourmande, hésitante, honnête, humaine, impulsive, indépendante, intelligente, intéressée, jalouse, joueuse, juste, logique, maladroite, marrante, minutieuse, modeste, moqueuse, naïve, obstinée, ouverte d’esprit, polie, perdue, positive, prudente, rassurante, réaliste, réfléchie, réservée, respectueuse, rigoureuse, rusée, sang chaud, sensible, sociable, soigneuse, souriante, spontanée, stable, stressée, timide, tranquille, trop calme, trop gentille, vraie (parfois vulgaire).

» ~ malia elle est chiante et le sait. elle ne peut s'en empêcher, elle est née comme ça et mourra probablement en faisant chier le monde. + malia, elle ne sait pas faire un lit correctement, c'est juste mission impossible pour elle, puis de toute façon à quoi bon, elle pourrait passer ses journées au lit, ça ne la dérangerait pas du tout, au contraire. même james bond ne pourrait lui apprendre comment faire. c'est mission impossible. + malia elle est bordélique mais retrouve toujours tout dans son bordel, et ne retrouve rien quand c'est rangé. + elle étudie la médecine en troisième année à berkeley. + malia elle est du genre une totale accro aux disneys et connait toute les chansons par coeur + lorsqu'il pleut, matin, midi ou soir, jour ou nuit, elle sort dehors et commence à danser, surtout la nuit quand elle est en nuisette -même si après elle se tape un rhume + elle tente d'oublier son lignage maudit. + ne supporte pas ses périodes de règles et devient complètement folle au point de vouloir taper tout le monde, même si ce n'est pas nouveau. + elle déteste avoir un bouton sur le visage, elle pique une crise à chaque fois même si sa mère lui répète que ce n'est pas la mort et qu'il y a beaucoup plus grave, auquel elle répond : "avec tout ce que j'achète comme produit pour avoir une belle peau, il me coûte cher ce bouton" + aime faire chier pour un oui pour un non + elle est très proches des gens, réellement sociable, elle peut parler à un inconnu sans problèmes. + elle est amie des licornes et une fervente partenaire des pandas + quand elle s'ennuie en cours elle hurle : fuck the world, i'm a panda + elle n'a pas vraiment le vertige sauf pour la grande roue et l'accro-branche. + elle mixe ses pops corn et ses m&m's ensemble + malia, elle adore manger, elle ne mange pas pour vivre, elle vit pour manger, les plats italiens et les plats français, elle n'en fait qu'une bouchée. + elle est une addict des séries, got, dw, tvd, pll, revenge, ouat, ahs. + aime écouter les bo des séries et films. + aime les chansons aux teintes fantastiques qui l'aident à s'endormirent dans des rêves qu'elle contrôle plus ou moins + elle habite dans le vieil appartement de sa tante. + sa voiture, son portable, son ipod sont ses bébés. + elle aime les voitures, plus que les mecs. + elle a fêté ses vingt-et-un ans à vegas. + malia c'est un radiateur sur place, elle a rarement froid. + smalia voudrait se marier avec max irons. + elle ne tient pas l'alcool, mais vraiment pas, après un verre elle est euphorique, deux verres, elle ne sait plus compter, trois verres elle est à quatre pattes. + elle sort des conneries plus grosse qu'elle. + elle danse toujours, c'est sa passion, il n'est pas rare de la voir danser. elle ne s'en cache absolument pas. + elle fuit de très loin sa mère biologique. + aime blake plus que tout. + elle n'aime pas les films d'horreur mais en regarde quand même, elle aime se faire peur, même si pour elle, regarder un film d'horreur consiste à se boucher les oreilles, se cacher les yeux et bouffer un oreiller, ne lui confié pas de pop corns si vous n'avez pas envie de faire le ménage après.

who plays the part ?
ce qu'il faut savoir sur toi


» prénom : kassandra.
» pseudo : kass. (papouche mais seulement pour nanouche)
» âge : vingt-deux ans.
» scénario ou personnage inventé : personnage inventé. (ouais, encore une brune laugh)
» des multicomptes ? rip (même si elles sont tjrs alive) ma sara, anastasia, talya, rosy.
» impression sur le forum : toujours aussi magnifique, je crois que c’est vraiment le seul forum qui me fait cet effet-là, de toujours avoir envie de revenir, je dois sérieusement avoir un problème pour être de retour avec mon année qui s’annonce, mais que voulez-vous.
» crédits : bannière (allysargnt, tumblr) icons (flighticons, tumblr) gifs (tumblr)
» le mot de la fin : surpriiiiiiiiiiiiiise. nahahaha ! bon, je recherche des liens pour ma malia, alors n’hésitez pas du tout :plop: sachant qu’elle a fait salem, san francisco et vegas. bon j'avoue que je ne sais pas vraiment si ça va être salem ou sf pour le lieu actuel mais osef, yolo kill'em with kindness. (mw) 277800
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MessageSujet: Re: kill'em with kindness. (mw) kill'em with kindness. (mw) EmptyDim 25 Oct - 16:16


public knowledge
mise en situation rp



The sky looks sad in your eyes.
★ ★ ★
but if you close your eyes, does it almost feel like nothing changed at all ?
and if you close your eyes, does it almost feel like
you’ve been here before ?

© CREDITS - BASTILLE - POMPEII





Son téléphone calé entre son oreille et son épaule droite, la jeune femme converse avec l’un de ses amis tandis qu’elle fouille activement dans son sac à main à la recherche de quelque chose. Ses doigts glissent, touchent, s’entrechoquent contre tous un tas de conneries. Clés, rouge à lèvre, portefeuille, monnaie, calepin, stylo, bref tout ce qui peut se trouver dans le sac à main d’une jeune femme de vingt-deux ans, presque. Elle ne fête que ses vingt-deux ans dans deux jours. Le 31. Lors de la soirée Halloween. Mais cette année ne sera pas la même. Elle s’arrête dans sa recherche et soupire longuement, son regard parcourt rapidement le salon dans lequel elle se trouve. A la recherche de cet objet. Si elle ne le trouve pas maintenant, elle risque probablement de faire une crise. Son attention se porte sur une vieille photo d’elle et de sa sœur Blake. Légèrement jauni par le temps, elle donne un aspect éternel. Elle sent son cœur s’alourdir dans sa poitrine quand elle repense au passé. Blake et Malia. Un lien tellement fort qu’il était difficile de le briser. Pourtant, les choses ne sont plus les mêmes. Plus depuis qu’elle s’est réveillée de son coma. Elle n’est plus la Blake qu’elle connaissait, cette fille qui avait toujours le sourire quand elle était avec elle-même si les journées étaient difficiles. Elle pince les lèvres et détourne son regard. Les choses s’arrangeront, oui, avec le temps elles s’arrangeront. « .non, ne t’inquiète pas je t’écoute, je cherche juste quelque chose … […] hein, non t’inquiète c’est rien de grave mais quand même ! » Malia s’approche de la table et déverse le contenu de son sac. Rien. Il n’est pas là. Elle jure. « .mais merde, il est où ce putain de portable !! » elle se frotte le front de sa main gauche et tente de calmer l’énervement. Elle revient tout de suite à la réalité en entendant son ami explosé de rire. Elle fronce légèrement les sourcils. « .pourquoi tu te marres parker ? » elle doit attendre encore un peu avant qu’il ne s’arrête et lui explique le pourquoi du comment. C’est face à ses explications qu’elle se laisse tomber par terre, atterrissant sur les fesses. « .mais c’est pas possible … je suis vraiment un boulet sérieux ! aish, ça c’est à cause de ta ville parker ! salem est un gros bordel, san francisco n’était pas comme ça ! » qu’elle s’apitoie. Elle récupère l’objet en question et le regarde quelque seconde. L’Iphone 6 rose gold tient dans sa petite main, avec son pouce, elle effleure l’écran tactile et le déverrouille très vite avec son mot de passe, elle met la conversation téléphonique sur haut parleur et regarde le temps de conversation. 37 mins et 47 secondes, 48, 49, 50 … « .et toi, tu pouvais pas me le dire plus tôt au lieu de te payer ma tête ? » qu’elle lâche portant son téléphone devant son visage. Ouais, c’est vrai, il a raison. Elle ne lui avait pas dit ce qu’elle cherchait au départ, comment aurait-il pu le savoir ? Une douleur se fit réveiller au niveau de ses fesses ce qui lui arracha une grimace. Elle prend son portable et cherche rapidement l’option pour lui envoyer une photo d’elle, par terre. « .ouais, bin si avec ça je me retrouve pas avec un bleu sur les fesses … » il ne comprend pas mais très vite, il reçoit l’image et se fout encore plus de sa tête. C’est avec un profond soupire qu’elle se relève pour essayer de ranger le bordel qu’elle venait de mettre. « .attend … » lâche-t-elle en regardant vers la porte d’entrée. Quelqu’un vient de sonner. Elle désactive le mode hautparleur et lui demande d’attendre quelques secondes. Elle se dirige vers la porte d’entrée, où les coups se font de plus en plus insistants. Elle lève les yeux au ciel et ouvre la porte. Son cœur fait un véritable raté dans sa poitrine qu’elle se voyait déjà être embarqué par les pompier pour réanimation. La seule personne qu’elle fuyait depuis deux mois se tenait sur le pas de la porte. Isadora Williams, sa ‘mère’ biologique, il faut le dire. Elle abaisse son portable et croise les bras, se postant devant l’entrée avec son petit mètre soixante. Elle avait bien l’intention de la faire rebrousser chemin, et très vite. « .que me vaut l’honneur de votre visite, Madame Williams ? » non, il n’y a pas de joie, ni de sentiments. C’est avec un visage implacable qu’elle attend la réponse de cette femme qu’elle n’a jamais vraiment porter dans son cœur. « .puis-je rentrer au moins ? et je n’accepte pas que tu me parles sur ce ton ? » un sourire narquois sur les lèvres, Malia rit de cette réplique. « .J’étais sur le point de partir, je suis dans l’incapacité de vous faire rentrer. Et puis, quel ton Madame ? » Mais Madame Williams répliqua juste par un geste, elle poussa Malia sur le côté et rentra dans l’appartement sans son consentement. « .Vous savez qu’avec ce que vous venez de faire, je peux aller par la police pour intrusion ? » Sa mère se retourne vers elle, après avoir scanner le vieil appartement de la tante en un magnifique studio. Il faut le dire, Malia met quand même un point d’honneur à la décoration. « .je n’aime absolument pas le ton que tu portes à mon égard. » Malia hausse les épaules, elle n’a que faire de ce qu’elle aime ou de ce qu’elle n’aime pas. Après tout, elle n’est pas là pour elle, mais pour Blake. « .je n’avais pas d’autre choix que de venir directement vers toi étant donné que tu me fuis depuis que t’es là. » Malia fit un sourire. « .bonne déduction. » ce qui la vaut un regard noir de la part de la marâtre. « .bon, qu’est-ce que tu as dire ? je n’ai pas le temps, je dois aller voir quelqu’un. .qui ? .je n’ai pas à vous le dire. .j’ai tous les droits, tu es ma fille. » Malia ne put s’empêcher d’éclater de rire. Elle ment, elle n’a jamais été considérée comme sa fille. « .depuis quand ? depuis ma naissance, où sûrement quand je suis partie le jour de l’enterrement de papa ? où quand tu as appris que j’étais en médecine à Berkeley ? » qu’elle siffle entre ses dents la Malia. Amertume, Haine, Crainte, Horreur, voilà ce qu’elle éprouve envers la femme qui la longtemps considérée comme une erreur de parcours. « .et si tu reviens pour me demander encore une seule fois de revenir habiter à la maison, tu peux rêver les yeux ouverts. Je n’habiterais pas sous le même toi que ta personne … » et la claque part trop vite, sans qu’elle ne s’en rende compte. C’est la joue endolorit qu’elle retient les larmes montés. « .dégage de chez moi. c’est non, compris. Je dois aller voir Blake et mon papa. » mon papa. si l’évocation de ex-mari aurait été brutale, celle de mon papa était fatale. Lui montrant bien la différence qu’il pouvait y avoir entre eux. Isadora n’était qu’une femme qui portait le même nom de famille tandis que le père avait été une figure paternelle pour elle –enfin, le peu de temps où il était encore présent. Elle se décale et laisse passer la tornade Williams sortir de son havre. Elle sait qu’il y aura des représailles mais Malia est prête. La porte claque et c’est un hurlement qui vient de ses entrailles les plus profondes qu’elle s’exprime. Elle se reprend, colle son téléphone près de son oreille et lâche un « .je suis désolée, parker, je te rappelle tout à l’heure. » Elle raccroche rapidement, le regard noir toujours rivé sur la porte. Sa respiration est rapide. Mais quelle belle connasse. Mais elle ne paie rien pour attendre, Malia a l'intention de lui faire abandonner sa petite idée de faire d'elle la fille objet, parce que c'est ce qu'elle veut. Faire d'elle un modèle de réussite. Mais Malia n'est absolument pas de cet avis.


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Constance La Tour Dubois
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MessageSujet: Re: kill'em with kindness. (mw) kill'em with kindness. (mw) EmptyDim 25 Oct - 16:17

kaaaaaaaaaaaaaaaaaaaass :mimi: :plop:
viens on fait un lien nahahaha !
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MessageSujet: Re: kill'em with kindness. (mw) kill'em with kindness. (mw) EmptyDim 25 Oct - 16:23

juliaaaaaaaaaaaaaaaaaaa. :plop: :mimi:
ooooh ouais, carrément partante même kill'em with kindness. (mw) 200685765 kill'em with kindness. (mw) 2921736968

( en plus j'ai pensé à toi, jeudi je suis aller à disney ... j'ai vu peter pan kill'em with kindness. (mw) 3705570351 )
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MessageSujet: Re: kill'em with kindness. (mw) kill'em with kindness. (mw) EmptyDim 25 Oct - 16:28

rebienvenue kass :mimi: :plop:
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MessageSujet: Re: kill'em with kindness. (mw) kill'em with kindness. (mw) EmptyDim 25 Oct - 17:10

rebienvenue kass :plop:
et excellent choix !
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MessageSujet: Re: kill'em with kindness. (mw) kill'em with kindness. (mw) EmptyDim 25 Oct - 17:11

rebienvenue ici :plop: excellent choix d'avatar :mimi:
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Winnie Ferguson
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MessageSujet: Re: kill'em with kindness. (mw) kill'em with kindness. (mw) EmptyDim 25 Oct - 17:22

Papouuuuuche :plop: :plop:
La vérité j'ai vu le titre de la fiche j'ai compris direct que c'était toi kill'em with kindness. (mw) 277800 laugh
Rebienvenue ici :mimi: et tu me reserves ( as usual ) un lien de fou hein kill'em with kindness. (mw) 277800 :plop:
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MessageSujet: Re: kill'em with kindness. (mw) kill'em with kindness. (mw) EmptyDim 25 Oct - 17:27

kaaaaassouuuuu :mimi:
roh mets-la à Salem, parce que j'ai trop de photos Danielle/Phoebe donc on devra avoir un lien et tout et et tout nahahaha ! kill'em with kindness. (mw) 200685765
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