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On ne souffre jamais que du mal que nous font ceux qu'on aime. Le mal qui vient d'un ennemi ne compte pas.

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Kevin F. Tatcher
there's no place like berkeley
Kevin F. Tatcher
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MessageSujet: On ne souffre jamais que du mal que nous font ceux qu'on aime. Le mal qui vient d'un ennemi ne compte pas. On ne souffre jamais que du mal que nous font ceux qu'on aime. Le mal qui vient d'un ennemi ne compte pas. EmptyLun 28 Mar - 22:59

L'honnêteté, la sincérité, la simplicité, l'humilité, la générosité, l'absence de vanité, la capacité à servir les autres - qualités à la portée de toutes les âmes- sont les véritables fondations de notre vie spirituelle.



Ne jamais avoir de préjugés. La preuve : Kevin avait rencontré une splendide jeune femme à son boulot. Qui aurait pu croire qu’une telle femme puisse travailler dans la police ? Si Kevin l’avait rencontrée dans la rue, il aurait surement pensé qu’il s’agit d’une de ses mannequins, ou actrice. Il faut se l’avouer qu’elle a tout pour être une de ces filles-là. Pourtant, elle travaille bel et bien dans le district de Kevin. Imaginez donc qu’il n’a pas pu la laisser toute seule parmi tous ces mâles. La première fois qu’il l’a rencontrée, il s’est présenté, et lui a proposé d’être en quelque sorte son mentor. D’être celui sur qui elle pouvait compter si elle avait des ennuis au boulot, ou si elle avait tout simplement des questions sur le fonctionnement de l’endroit. Elle avait accepté, et ça avait été avec impatience qu’il attendu son premier appel, ou message. Il n’est pas du tout le genre à s’impatienter d’une fille, mais il est vrai qu’elle lui avait tapé dans l’œil. Et cela faisait trop longtemps qu’il était célibataire, et qu’il n’avait pas rencontré une aussi belle fille. Tout de même, il ne voulait pas paraitre trop collant, et lui laissa tout l’espace qu’il lui fallait. Mais très vite il s’aperçut qu’elle l’appelait très, voire trop, souvent. Et leurs rendez-vous se firent vite en dehors du boulot. Au café, dans un bar, chez Kevin, et enfin chez elle. Au moment, où leur relation allait prendre le tournant qu’il souhaitait tant depuis des semaines, il apprit pour son cancer. Fichu cancer qui venait tout gâcher entre eux. Il s’éloigna donc de la jeune fille. Il évita les rendez-vous en sa compagnie, il l’évita même au boulot. Il répondait à un message sur deux. Il évitait toutes conversations sérieuses sur elle. Il savait pleinement que ce qu’il faisait n’était pas bien, qu’il devait des explications à Alicia, seulement, il ne pouvait même pas la regarder dans les yeux. Encore moins depuis qu’il avait rencontré une autre femme. Une femme qui partageait la même maladie que lui. Il n’en oubliait pas son Alicia pour autant. Les deux femmes étant très différentes l’une que l’autre. Il ne pourrait pas choisir. Bien qu’il se sent plus proches de la deuxième, du fait de son cancer. Mais peut-être que sur le long terme, elle lui ferait trop penser à ce moment déplaisant de sa vie. Alicia, quant à elle, lui ferait vivre la jeunesse. Seulement, la question n’est pas là pour l’instant, étant donné qu’il va se faire opérer le lendemain de ce jour-ci. Ce jour où il a décidé de faire un peu de shopping, de remplir un peu son armoire après le rangement de printemps qu’il y avait fait. Il fallait bien qu’il fasse quelque chose durant son temps libre. Son médecin l’avait empêché de travailler durant la semaine précédent l’opération. Soit disant car il ne devait pas être dans un état de stress avant la chirurgie, cela risquerait d’avoir un impact sur son réveil. Kevin n’y croyait pas une seule seconde, soit son chirurgien fait bien son boulot et il se réveille, soit il se rate et il meurt. Ce n’est pas plus compliqué que cela. Pas besoin d’inventer une histoire de stress, et de zen attitude. Pourtant, il avait bien du se résoudre à rester chez lui toute cette semaine. Il n’était presque pas sorti, à part pour aller donner toutes ses affaires à une association. Et cette fois-là, où il s’était décidé à changer un peu de style vestimentaire. Il voulait paraitre plus jeune, malgré ses vingt-huit ans. Après tout, c’est peut-être le dernier jour où il pourra se faire plaisir et jouer à l’adolescent. Alors que ça faisait bien une heure qu’il faisait du shopping (mais n’avait acheté qu’un petit tee shirt blanc, avec une écriture bleue dessus), il vit au loin Alicia. La catastrophe allait arriver s’imaginait-il. Il tenta de marcher, tout en feintant de regarder les vitrines, et de ne pas la voir. Il savait pertinemment que ça n’allait pas marcher, mais pourquoi pas tester. Peut-être qu’elle voulait aussi l’éviter, après tout ce qu’il a fait. Mais c’était mal pensé, car il entendit sa petite voix l’appeler. Mince. Souris. Il se retourna et se retrouva face à elle. « Salut. » Lui dit-il avec sa voix des plus gentilles. Ce n’était pas à lui de lui en vouloir, mais à elle. Il ne pouvait qu’être gentil avec elle. Avec sa princesse.
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MessageSujet: Re: On ne souffre jamais que du mal que nous font ceux qu'on aime. Le mal qui vient d'un ennemi ne compte pas. On ne souffre jamais que du mal que nous font ceux qu'on aime. Le mal qui vient d'un ennemi ne compte pas. EmptyJeu 7 Avr - 15:28

THE POLICE LINE
Being honest may not always get you many
Friends, but it’ll always get you the right ones
Fight trough the hard times & be grateful for the good

✼ ✼ ✼



uptown manhattan, time warner center, the moment of truth. J’ai toujours été loin des codes, loin des règles. Ce qui est assez paradoxale étant donné mon métier, mais je suis comme ça, mystérieuse, incernable, incompréhensible. Je ne suis pas toujours aussi difficile, j’ai toujours le sourire ce qui aide beaucoup dans la socialisation. Cela m’a également beaucoup rendu service lorsque j’ai rejoint l’équipe du meilleur ami à mon père : la police scientifique de New York. Arrivée sur place, j’ai été très bien accueillie. J’ai rencontré beaucoup de monde, tous les policiers se sont montrés serviables. Après tout mon objectif ici est de réussir et si vous me connaissez bien, vous savez que tout ce que j’entreprend est couronné de succès. Kevin a été dès le départ d’une grande aide, je ne me plaignais pas car il était définitivement beau garçon. Il est vrai qu’au début je ne pensais pas que quoi que ce soit puisse se passer entre nous, puisque les relations entre collègues ne sont pas vraiment tolérées. Mais bon ce n’est pas nouveau : Alicia est loin des règles, loin des codes. On a vite commencé à se voir en dehors du l’unité policière, nos rendez-vous se multipliaient vite et notre relation évoluait constamment. D’un jour à l’autre, tout change. Kevin devient distant, il évite tout contact avec moi : messages, appels, sorties, même au boulot j’étais victime de cette distance. Je vivais dans l’incompréhension depuis quelques semaines, sans le moindre pouvoir de changer les choses ou d’avoir des explications. Je ne baissais pas les bras pour autant, puisque quand je veux quelque chose, je l’obtiens et ce n’est pas mon petit con sexy de demi-policier qui allait faire changer ma façon de faire. Il me plaisait, je ne mentirais pas sur le sujet, on s’entendait bien, même si je ne veux pas aller trop vite, même si je n’irais pas trop vite, j’avais besoin d’explications. Malheureusement j’étais impuissante face à cette situation que je voulais voir cesser. Je ne lâchais pas l’affaire mais je lui courrais pas après pour autant. Pour me changer un peu les idées, enfin plutôt pour gaspiller mon argent avec la meilleure chose au monde : des vêtements, des chaussures, des accessoires. Je suis une pure fille, oui, je ne peux pas faire autrement. Je m’habille vite dans une petite robe moulante de couleur kaki, une pochette Moschino noire et je prends une petite jaquette si jamais j’avais froid. J’attrape mes clés rapidement et m’empresse de rejoindre ma Porsche Cayenne blanche matte. Après avoir conduit une bonne demi-heure –vive le trafic de new york city– je finis par parquer ma voiture dans le parking destiné à cet effet. Une fois dans le centre commercial, je regarde les vitrines de cette immense galerie commerciale avec temps et patience. Ce n’était pas le meilleur endroit pour faire du shopping mais les studios de Time Warner se trouvent au sous-sol de celui-ci et étant donné que ma sœur travaille là-bas, j’avais pensé d’y faire un petit saut ensuite. Après une heure de shopping –clairement pas suffisante, il faut le dire– j’avais déjà les mains remplies de sacs, ce qui n’était pas très confortable. Je décide donc d’aller les poser dans ma voiture, pour revenir ensuite moins chargée. En remontant, je m’arrête vers une boutique colorée. Je m’arrête car j’aperçois au loin quelqu’un qui m’est très familier. Kevin. Il était là, au moins endroit, au même moment, comment ne pas croire au destin après des rencontres pareilles ? Je me presse d’aller vers lui, c’était le moment de demander des explications, de parler et peut-être, qui sait, comprendre enfin ce qui se passait dans la tête du beau Tatcher. En m’approchant, sa beauté me frappait tellement, que je dus m’arrêter quelques secondes. Je me reprends vite pour l’interpeller aussitôt. « Kevin » lui dis-je en touchant son épaule délicatement pour qu’il se retourne vers moi. Je ne savais pas quoi dire d’autre à vrai dire, j’étais complétement bloquée face à lui. « Salut. » me dit-il d’une voix douce mais quelque peu nerveuse. Je ne savais pas par oû commencer, cela faisait maintenant quelques temps qu’il évitait tout contact avec moi, j’ignorais comment réagir face à cette situation. Miraculeusement, les mots me viennent instinctivement. « Je savais que le destin nous réunirait à nouveau » Le destin, le destin… Pas tout le monde y croit, mais moi j’y croyais, j’y ait toujours cru en cette idée que chacun a une destinée et une tâche particulièrement pendant son existence. Fixant son visage, j’entrevois un sourire. Il se retrouvait comme piégé face à moi, c’est ce qu’il devait se dire dans sa tête. Après quelques instants je place mes bras autour de son cou et lui fait un chaleureux câlin, je ne savais pas vraiment ce que je faisais c’était comme l’instinct qui agissait à ma place. Je reste comme ça pendant quelques secondes. « Que fais-tu enfermé ici, lors d’une aussi rayonnante journée ? » C’est vrai que je n’étais pas très bien placée pour parler étant donné que j’étais exactement au même endroit que lui, mais je ne le vois pas très souvent trainer dans les centres commerciaux, à moins qu’il s’y soit rendu pour une raison particulière. Pour l’instant je décide de ne pas mentionner le fait qu’il m’évite incontestablement, j’espérais qu’il m’invite à prendre un verre, à nous asseoir, qu’il m’accorde un moment, j’avais besoin d’une explication claire, précise et qui tienne la route.
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Kevin F. Tatcher
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MessageSujet: Re: On ne souffre jamais que du mal que nous font ceux qu'on aime. Le mal qui vient d'un ennemi ne compte pas. On ne souffre jamais que du mal que nous font ceux qu'on aime. Le mal qui vient d'un ennemi ne compte pas. EmptyLun 11 Avr - 20:10

L'honnêteté, la sincérité, la simplicité, l'humilité, la générosité, l'absence de vanité, la capacité à servir les autres - qualités à la portée de toutes les âmes- sont les véritables fondations de notre vie spirituelle.




En venant ici, notre cher Kevin ne pensait pas rencontrer quelqu’un. Il savait très bien qu’il y allait avoir du monde, car c’est toujours bondé dans un centre commercial. Et il avait alors pensé que même s’il y avait une connaissance au même endroit, ils ne se rencontreraient pas. Mais c’était très mal pensé, car il rencontra la dernière personne qu’il avait envie de rencontrer en ce jour. Il aurait pu vouloir la rencontrer après son opération, mais pas avant. Pourquoi ? Parce qu’en ce jour, il pourrait faire tout et n’importe quoi. Et la concernant, il avait envie de goûter à ses lèvres, de passer un bon moment avec elle. Pourtant ils n’en étaient pas encore à ce stade. Evidemment qu’il y avait une grande complicité entre eux, malgré qu’ils travaillent au même endroit. Il ne pourrait pas le nier. Seulement, cela fait trop longtemps qu’il n’a pas eu une relation avec une quelconque fille. Il n’a passé que des nuits. Et ça serait très bête de se mettre avec une fille juste avant son opération, et lui faire du mal en mourant sur la table d’opération. C’est pourquoi il avait souhaité prendre ses distances, et arrêter de la voir. Bien que cela avait été très difficile étant donné qu’ils travaillent au même endroit et qu’ils fréquentent les mêmes personnes. Pourtant il avait été assez fort pour l’ignorer, et lui montrer qu’il ne souhaitait plus avoir de contact avec elle. Il avait réussi jusqu’à maintenant. Quelle mauvaise idée d’être venu ici, il aurait du rester chez lui. Au moins chez lui, il aurait été certain de ne pas tomber sur Alicia, à moins que celle-ci décide de venir chez lui. Il la regarde, sans rien dire de plus. Il l’avait salué car il reste tout de même poli, mais il fallait qu’elle comprenne qu’il n’allait pas s’attarder ici, avec elle. Encore une fois, il pensait très mal. Elle vint lui passer les deux bras autour de son cou pour lui faire un énorme câlin. Il eut envie de la repousser, et pourtant il apprécia cette étreinte, sentir de près son odeur. Il se laissa aller, et ferma les yeux pendant un court instant. Contrairement à ce qu’il avait pensé, il aurait aimé que cet instant dure beaucoup plus de temps, et fut donc déçu lorsqu’elle mit fin à ce câlin. Il la regarda, ou plutôt ses lèvres. Il ne l’écoutait pas du tout. Il avait entendu qu’elle lui avait posé une question, sans pour autant savoir quelle était cette question. « Quoi ? » Et son regard se reposa sur ces lèvres qui lui donnait tant envie. C’était comme s’il était sous l’emprise de cette partie du corps d’Alicia. Il savait que pour faire partir cette tentation il fallait y céder. Mais il n’allait pas l’embrasser maintenant, alors qu’il l’avait tant ignoré ces derniers jours. Elle lui parla de nouveau, mais une nouvelle fois, il ne l’écouta pas. Oh et puis merde, il se retrouva à la plaquer contre la vitrine du magasin le plus proche et à l’embrasser. Maintenant elle allait pouvoir lui poser toutes les questions du monde, il ne sera plus sous l’emprise de ces lèvres. Ce baiser dura un court instant, car il y mit fin très vite. Il ne voulait pas qu’elle le prenne pour un cinglé, bien que ça devait être mal partit étant donné qu’il venait de lui sauter dessus, après l’avoir évité. « Ça va et toi ? » Il avait imaginé que sa question portait sur son état d’esprit du moment. Il avait peut-être tout faux, mais généralement c’est ainsi que des retrouvailles se déroulent. On se salue, on se demande comment on va, et on demande des nouvelles. Et cela n’inclut jamais de baisers entre ces différentes étapes. Peu importe, Kevin a bien décidé de profiter aujourd’hui. Et comme l’a dit Alicia, le destin les a réunit, et ça doit bien être pour une raison.
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