fall for you. (blake)

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“ Sometimes the last thing you want to be is just friends, being limited to looking into their eyes seeing the miracle and dream you can't have. ”

Un déluge de sms s’abattait sur le téléphone de Travis. Beaucoup de personnes de son entourage lui demandaient s’ils pouvaient avoir des entrées gratuites pour la soirée de ce soir. Il esquissa un sourire, ces gens-là le contactaient uniquement lorsqu’ils avaient quelque chose à demander, par intérêt. Il ne leur en voulait pas, non, tout le monde agissait de la sorte à Salem. Non, ce qu’il ne supportait pas, c’était la manière dont ils se comportaient lorsqu’ils avaient besoin de ce service, comme s’ils étaient tout à coup devenus ses meilleurs amis. Cette hypocrisie l’exaspérait tellement qu’il eut envie de leur répondre d’un cordial « allez vous faire foutre. » Néanmoins, il contint ses colères, s’évitant par la même occasion de perdre un nombre non négligeable de clients. Salem était une petite ville, il ne pouvait pas se permettre de se mettre à dos de nombreuses personnes sans mettre en péril l’équilibre financier de son établissement. Tout fonctionnait au bouche-à-oreille ici - il ne le savait que trop bien - un petit écart pouvait ruiner une réputation entière. Il gèrerait les cas de ces pique-assiettes lorsqu’ils se présenteraient devant la boîte ce soir, pas avant. La seule personne qui avait la garantie de rentrer sans payer ce soir était Blake, sa meilleure amie. En regardant l’heure, il se rendit d’ailleurs compte qu’il était temps pour lui d’aller la chercher. Elle lui avait demandé de venir la chercher et de l’accompagner à la soirée, à la seule différence que lorsqu’elle profiterait de son établissement pour faire la fête, lui serait occupé à travailler (même s’il n’allait certainement pas cracher sur les quelques verres que les clients lui offriraient). Mais ce mode de vie - malgré toutes les contraintes qu’il imposait - lui plaisait pour le moment. Il aimait son job, ne passait pas tout son temps derrière un bureau et surtout, il était son propre patron et cela, ça n’avait pas de prix. Alors oui, son père n’était pas fier de lui, Travis ne dégageait pas la même image sérieuse que lui, il n’était pas un requin en affaires, mais tout cela, le fils unique Abbott n’en avait plus rien à faire. Pendant trop longtemps les jugements sévères de son père l’avaient affecté, plus maintenant. Maintenant il ne visait plus qu’à être une personne épanouie, heureuse dans ce qu’elle faisait, et tout cela, en dépit de ce que son père pouvait bien penser. Lui faire plaisir, il avait essayé et essayé, il s’était donné du mal pendant des années pour être le fils que son père aurait voulu avoir. Mais tous ces efforts n’avaient pas été suffisant, rien ne l’était jamais aux yeux d’Edgar Abbott, perfectionniste au possible. C’est dans cet état d’esprit - lassé de devoir toujours prouver sa valeur et désormais indifférent quant au fait d’être une déception aux yeux de son père - que Travis arriva devant l’appartement de Blake. Blake, elle, au contraire de son père, Travis avait de plus en plus envie de se battre pour bien paraître à ses yeux. C’était une sensation bizarre, nouvelle, il n’était pas habitué à cela, en tout cas, pas avec elle. Aussi loin qu’il s’en souvienne, ils avaient été meilleurs amis, tout avait été toujours simple entre eux, mais l’accident de Blake était venu changer la donne. Tout ce temps passé à son chevet, tout ce temps à s’inquiéter pour elle, tout ce temps à se demander ce qu’il adviendrait si jamais elle ne sortait jamais du coma, tout cela avait fait naître chez lui des sentiments nouveaux. Des sentiments qu’il ne contrôlait pas, des sentiments qu’il refoulait aussi bien qu’il le pouvait. Elle était sa meilleure amie et rien de cela ne pouvait changer. Il se le répétait encore et encore, pour se convaincre lui même que ce qu’il pensait ressentir n’était qu’une connerie passagère qui repartirait aussi vite qu’elle était arrivée. Comme à son habitude, Travis ouvra la porte sans prendre le temps de frapper et fit directement irruption dans l’appartement de Blake, criant déjà avant même d’avoir mis un pied dans le logement. « J’espère que t’es prête à bouger ton cul ! » Son cul. Ce fût la première chose que vit Travis lorsqu’il entra chez Blake. Elle était là, en plein milieu de la pièce, entièrement nue. Les yeux écarquillés, il mit un certain temps avant de reprendre ses esprits, complètement déconcerté par la scène dont il venait d’être témoin. « Wow, je ne m’attendais pas un accueil si chaleureux » lâche-t-il en rigolant nerveusement pour masquer la gêne qui le gagnait progressivement. Être mal à l’aise n’arrivait que rarement à Travis qui n’avait honte de rien, mais dans ces rares moments, le sarcasme était son arme favorite. La plupart du temps, cela lui permettait de détourner l’attention et d’éviter de dévoiler son malaise. Il mit finalement une main devant ses yeux avant de reprendre. « Allez va donc t’habiller, je ne veux pas en voir davantage, t’es bonne mais quand même. » ponctué par ce même petit rire nerveux. Des filles nues, Travis en avait vu bien plus que la moyenne, mais cette fois-ci c’était différent, c’était Blake. Même s’il l’imaginait d’une manière un peu différente qu’une meilleure amie ces derniers temps, il n’était tout de même pas préparé psychologiquement à assister à un tel spectacle. A présent, la chose qu’il redoutait le plus était que le rouge ne lui monte aux joues et trahisse son malaise. Après quelques instants, Blake n’était toujours pas partie s’habiller et la gêne de Travis grandissait de seconde en seconde. Même avec une main sur les yeux, il ne pouvait s’empêcher de revisionner l’image qu’il avait perçu quelques secondes plus tôt. « Non, sérieusement, va t’habiller Blake. »

Even now I'll see him looking at her, his eyes milky yet full of longing,
and all she ever gives him is a gentle, absent nod.
Perhaps this is the nature of true deprivation : a lifetime of love, tenderly spurned

La robe blanche ne conviendrait pas, trop salissante. Naturellement, elle ne pouvait pas se permettre d'enfiler une jupe qui arriverait à peine au-dessus du genou. Elle se rendait dans le club de Travis, où la règle première était de laisser la voie vers sa petite culotte dégagée et rapidement accessible. Comme la sortie de secours pour les pompiers. Et elle espérait bien qu'une tripotée de pompiers viendrait faire l'état des lieux à sa sortie à elle, ce pourquoi elle décida qu'elle irait au plus simple : sans la culotte. Tourmentée entre une petite robe prune audacieusement échancrée et une autre bleu nuit qui lui assurerait des plans culs à en perdre l'équilibre, Blake se tenait complètement nue dans son living room, les deux cintres dans les mains, lorsque Travis fit une apparition qu'elle jugea prématurée. Ou bien avait-elle oublié l'heure, une fois de plus ? Elle aurait du sursauter. Ou au moins essayer de se couvrir, autant que faire se peut. Mais à la place, elle jeta sur lui un regard amusé. Et ce regard-là dura longtemps. Elle n'était pas pressée. Ni par le temps, ni par les circonstances. Blake était à l'aise avec sa nudité, à tel point qu'elle pouvait aisément s'imaginer descendre dans la rue dans son plus simple appareil, et aller au boulot, ou bien faire ses emplettes sans le moindre soucis. Elle l'observa un moment en silence, se demandant si à un moment il allait oser regarder ce qui se trouvait sous ses habituels tailleurs, et ses robes trop serrées. Si aucun vêtement ne l'habillait, son assurance foudroyante la nimbait d'un éclat mordoré qui la rendait indéniablement plus attirante. Blake était plus belle nue qu'habillée. Un artifice aussi dérisoire qu'une robe ne rendait, et ne rendrait jamais justice au galbe de ses seins, et de ses hanches. Elle trouva regrettable que Travis n'ait pas le cran de s'en rendre compte, et poussa un soupir. Ce n'était pas comme s'il allait en faire quoi que ce soit après. Elle aimait son corps, et était sûre qu'il l'aimerait aussi. À regarder, bien sûr. Quel mal y avait-il à juste regarder ? Elle n'en vit aucun. « .Quand est-ce que l'accueil n'a pas été chaleureux ici, hein ?. » demanda-t-elle, perplexe, et pas le moins du monde embarrassée par sa tenue toute légère. Travis la regardait comme on regarde le soleil sans lunettes. Entre temps, elle avait reposé ses affaires sur le divan, et posa ses mains sur ses hanches parfaitement sculptées par des heures et des heures de sport quotidien. Elle posa un regard à la fois tendre et défiant sur lui, avant de relever sa remarque d'un ton indigné : « .Bonne ? Bonne ? Regarde-moi mec, je suis spectaculaire. » Spectaculaire, rien que ça. Blake trouva le mot si approprié qu'elle éclata d'un rire chantant. Quel mal y avait-il à avoir une très haute estime de sois-même ? Beaucoup s'accordait aujourd'hui sur le fait qu'il n'y avait rien de plus sexy qu'une femme pleinement consciente de ses atouts et Blake se réjouissait des regards lubriques qui affûtaient son sex appeal scandaleux. Là se trouvait la raison majeur qui la poussait à sortir ce soir avec Travis : elle voulait du regard pervers, et du sexe à en perdre connaissance. Elle n'attendait évidemment rien de Travis, mais s'amusa de constater qu'il se fermait catégoriquement à l'idée de voir plus que ses bras dénudés. Bien sûr, elle comprenait bien le concept de l'amitié fille-garçon, mais n'était pas certaine de vouloir franchement en respecter les codes en sachant que Travis était dans sa vie depuis l'enfance, et qu'il n'y avait probablement rien qu'il n'ait jamais vu avant aujourd'hui. Elle se trompait. L'avoir vue se baigner en culotte à l'âge de cinq ans dans la marina ne comptait pas. Pour elle si, mais sûrement pas pour lui… et pour toutes les règles morales incluses dans le principe de l'amitié platonique. « .Quoi ? Y a quelque chose qui te dérange ? Tu sais combien de mecs voudraient être à ta place ? . » Selon elle au moins une bonne majorité de l'humanité. Certains se feraient certes un malin plaisir de cracher sur son indéniable charme, au nom d'idéaux idiots et d'un puritanisme obsolète qui jugeait Blake pour son lignage, et non pour son cul (qu'elle avait de divin), mais penserait sans aucun doute à elle tard le soir, la main dans le pantalon. Ce qu'elle trouvait plus pathétique qu'amusant. Sans s'habiller, elle le rejoignit d'une démarche féline, et planta ses talons à quelques pas seulement de lui. « .Puceau. » finit-elle par lâcher, les mains sur les hanches. « .Allez, c'est que des seins, et du cul, et un tout petit peu de ch-ok, ça va, j'arrête. » Si prêt d'aller trop loin, elle s'était rattrapée, et se mit à rire d'un rire à la fois ferme et mélodieux. « .T'es mignon quand tu rougis. » Pour accompagner sa maxime, elle pointa son doigt vers sa joue en un geste gracieux, et la lui caressa du bout de l'ongle. Cependant le temps s’égrainait, et son attitude ne la ferait pas choisir la tenue adéquate plus vite. Ce pourquoi elle en vint à proposer un compromis alléchant (et aucune autre alternative) à un Travis toujours sur le pallier : « .Tu me dis laquelle tu préfères, je l'enfile et met fin à ton calvaire. » Elle retourna vers sa penderie improvisée, soit son sofa, tout ça pour lui foutre les deux robes sous le nez. La bleu nuit, Travis, la bleu nuit, pensa-t-elle, en avançant la robe prune un poil plus vers lui. Ah, l'esprit de contradiction féminin.

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“ Sometimes the last thing you want to be is just friends, being limited to looking into their eyes seeing the miracle and dream you can't have. ”

Alors qu’il pensait passer seulement quelques secondes dans l’appartement de Blake, le temps de la récupérer de l’emmener au Silver Spur, le voilà qui affrontait une situation qu’il n’avait pas vu venir et avec laquelle il n’était pas à l’aise, et encore, c’était un sacré euphémisme. Cette attirance qu’il éprouvait envers sa meilleure amie était toute récente et il ne savait encore guère comment la dompter. Partagé entre la honte et le désir ardent, il avait du mal à savoir quelle mentalité adopter en sa compagnie depuis quelques temps. Alors la trouver là, chez elle, en plein milieu de son salon, complètement nue, le bloquait complètement. Quelques années auparavant, il se serait sûrement amusé de la scène, aurait chambré Blake et aurait en aurait assurément profité pour se rincer l’oeil au passage. Mais aujourd’hui, la donne avait changé. Au fond de lui, il redoutait de dévoiler son attirance si jamais il n’avait ne serait-ce que l’audace d’observer le corps divin de Blake. Il ne se rendait pas compte que cette gène qu’il donnait en réponse était bien plus suspicieuse qu’un regard lubrique et une vanne un peu graveleuse. Bien sûr, au fond de son âme, une partie de lui avait envie de profiter de cette vision exquise que Blake lui offrait, mais tel un adolescent timide, il n’osait pas, rongé par la gène. C’était un comble, lui, le bout-en-train, celui qui profitait de chaque situation pour faire le con, celui qui aimait les formes des femmes plus que tout, se retrouvait presque tétanisé en voyant sa meilleure amie dans le plus simple appareil. Il avait l’air d’un con. Et plus les secondes passaient, plus il s’en rendait compte, s’armant de sarcasmes pour masquer ce qu’il considérait comme flagrant. « Il y a chaleureux et chaleureux. Disons que je ne m’attendais pas à ce que tu t’offres à moi de la sorte. Il marqua une courte pause, reprenant un peu de sa contenance, avant de reprendre. C’est flatteur, vraiment, mais je ne voudrais pas ôter ce privilège aux clients de mon établissement. En bon commerçant, bien entendu. » La vérité : si. Si, il prendrait un malin plaisir à griller la politesse à tous ces pauvres types qui allaient tourner autour d’elle ce soir. C’était toujours pareil, à chaque fois. Il ne se passait pas une soirée ou presque sans qu’elle rentre chez elle avec un mec différent. Des cas sociaux qui ne la méritaient certainement pas. Pas comme lui estimait la mériter, en tout cas. « Spectaculaire ? » questionna-t-il, tout en la regardant en essayant tant bien que mal de prendre de la distance par rapport à la situation. « Mouais, à voir. Je vois rien que je n’ai jamais vu chez une autre fille en tout cas. Après, la manière dont tu te sers de tout cela est peut-être spectaculaire, ça je ne suis pas en position de juger. » malheureusement eut-il envie d’ajouter. La rabaisser un peu, c’était encore le meilleur moyen pour lui de faire en sorte que son attirance reste secrète. En effet, il ne souhaitait en aucun cas que Blake découvre qu’il ne la voyait désormais plus simplement comme sa meilleure amie, mais également comme le fruit d’un désir défendu. Jamais elle ne le verrait de cette façon là, il en était intimement convaincu. Alors plutôt que d’ébranler une amitié qui durait depuis aussi loin qu’il s’en souvenait, il préférait prendre sur lui et enfouir ce qu’il prenait comme une folie passagère bien profondément dans les méandres de son coeur. Mais bien évidemment, le malaise qui gagnait Travis ne passa pas inaperçu aux yeux de Blake, qui, comme il pouvait s’y attendre, profita de cette situation pour le provoquer. Des mecs qui aimeraient être à sa place, il savait qu’il y en avait beaucoup, il en faisait la douloureuse expérience à chaque fois que Blake mettait les pieds au Silver Spur. Et clairement, il aimerait aussi. Il aimerait pouvoir profiter du spectacle qu’elle offrait sans avoir à craindre de dévoiler une attirance qui allait bien au delà du physique, bien au delà du simple sexe de sortie de boîte, alcoolisé, maladroit, indifférent, répondant à une simple pulsion, un simple manque, un simple besoin primaire. Ca, tout comme Blake, il en était adepte, c’était plus ou moins devenu la routine au fil des années. Mais ce qu’il se surprenait à vouloir avec elle n’était pas qu’une simple baise avant de fuir au petit matin, regrettant ses choix entre deux vomis, non, il voulait plus. Il voulait plus sans vraiment savoir quoi. Les petits rituels de couple n’étaient absolument pas son genre, les sentiments, la fidélité non plus, il n’avait jamais donné là dedans, mais se surprenait aujourd’hui à s’imaginer dans une relation exclusive avec Blake. Mais tout cela ne pouvait arriver que dans un monde parallèle, et encore… « Et toi, tu sais combien de filles ont déjà été à ta place ? Il faudra plus que de jolies seins et un cul d’enfer pour m’impressionner Williams. » lâcha-t-il dans un léger rire. Plus les secondes défilaient, plus la confiance le regagnait, comme convaincu par toutes ces répliques qu’il déblatérait. C’est un éclat de rire sincère qui sortit de sa bouche lorsque Blake le qualifia de puceau. Petit à petit, son malaise s’évanouissait, laissant au place à cet esprit de défi que sa meilleure amie avait instauré. « Ah oui ? Tu veux que je te fasse la démonstration de mon expérience peut-être ? » Il laissa un court blanc, comme pour attendre une réponse sans pour autant lui laisser le temps de placer le moindre mort — trop apeuré par la réplique que pourrait lancer Blake - avant de reprendre. « C’est bien ce que je pensais. » Il espérait ainsi mettre un terme à cette rixe et marquer par la même occasion la fin de l’exhibition de Blake et de ses parties intimes. Il ne put pourtant s’empêcher de répondre à une nouvelle de ses répliques, ayant définitivement pris part à ce jeu de provocation dans lequel Blake l’avait entraîné. « Seulement quand je rougis ? Moi qui croyais être mignon en toutes circonstances... Blake Makena Piper Talissa Williams, vous me brisez le coeur. » balança-t-il, la main sur la poitrine et la mine faussement vexée, un jeu d’acteur digne d’une mauvaise telenovela. Et puis finalement, le moment que Travis attendait avec impatience arriva : Blake était fin prête à enfiler une robe et à cesser de lui infliger cette sensation à la fois paradisiaque et infernale. « Ceci dit, si tu viens à poil au club, je suis certain que ça fera grimper le chiffre d’affaires de la soirée. Mais puisque j’aimerai éviter des émeutes dans mon établissement, montre-moi ces robes. » lui répondit-il, un léger sourire aux lèvres. Il se saisit ensuite des deux robes que Blake lui tendit, jetant au passage un discret regard vers son postérieur qu’il n’avait apparemment pas encore eu le temps d’étudier suffisamment. « Hmmm. La prune est plus classe. La bleue t’ira mieux. » Il continuait de la taquiner bien qu’il savait pertinemment qu’il allait regretter d’avoir dit ça plus tard dans la soirée. La robe qu’il lui avait conseillé de porter était bien plus suggestive que l’autre et par conséquent il allait devoir assister, impuissant, aux approches plus pathétiques les unes que les autres de mecs eux-même plus assoiffés de sexe les uns que les autres. D’une manière un peu ridicule, il se mit dos à elle pour qu’elle puisse s’habiller sans qu’il ne la regarde, alors qu’il venait de la voir nue pendant de nombreuses secondes. « T’as d’autres choses à faire ou t‘es prête à aller te faire draguer par tous les mecs du Silver ? » lâcha-t-il finalement, une pointe de jalousie dans la voix.

Spoiler:

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» Let the sky fall [Taj]
» 'Cause tonight will be the night that I will fall for you...
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» I don't want to fall apart ↯ Artémis
» Cut off all the ropes and let me fall. - Lubja

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