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Le jeu permet de s'amuser, mais quand devient-il dangereux ? + VIXIE

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Le jeu permet de s'amuser, mais quand devient-il dangereux ? + VIXIE Empty
MessageSujet: Le jeu permet de s'amuser, mais quand devient-il dangereux ? + VIXIE Le jeu permet de s'amuser, mais quand devient-il dangereux ? + VIXIE EmptyJeu 2 Avr - 15:01


On passe notre vie entière à s'inquiéter de l'avenir, a faire des projets pour l'avenir, à essayer de prédire l'avenir... Comme si savoir à l'avance pouvait amortir le choc. Mais l'avenir change constamment. L'avenir est le lieu de nos plus grandes peurs, et de nos espoirs les plus fous. Mais une chose est sûre quand finalement, il se dévoile... L'avenir, n'est jamais comme on l'avait imaginé ! ~ (vixie/adrian)

« Bon sang cette connexion de m**de !! » Adrian claquait sa chaise contre le bureau en se levant, il était à cran. Rester enfermer toute la journée ou presque dans cette minable chambre d’hôtel commençait à le rendre fou et sa connexion internet n’arrangeait rien à tout ça. Il fallait réellement qu’il se trouve un appartement et vite, il n’avait pas voulu prendre le temps de le faire jusque-là mais maintenant cela devenait un cas de force majeur. Son scénario était bientôt fini et il en était fier mais là il devait sortir d’ici car autrement il allait finir par se pendre, bien qu’il ne soit même pas sûr que le plafond supporter son poids. Il entend tellement les personnes de la chambre d’au-dessus qu’il est persuadé que si ceux-ci sautent un peu trop sur le sol ils finiront par lui tomber dessus c’est pour dire. Il était 23 heures et le brunet s’allongea sur son lit. Il n’avait pas envie de dormir mais que pouvait-il faire d’autre ? La seule idée qui lui vint à l’esprit fut de sortir pour aller un boire un coup en boîte de nuit, qui sait peut-être qu’il finira par s’amuser même si cette pensée le fait rire car il y a peu de chance. Il hésite pendant plusieurs minutes à se lever pour se préparer. Certes il veut découvrir la ville, chaque recoin, chaque endroit tendance mais pourtant il sait très bien ce que les gens pensent lorsqu’ils voient un mec qui vient tout seul en boîte de nuit, ils se disent qu’il ne veut qu’une chose c’est draguer des filles pour en ramener un maximum dans son lit. Et la encore il sourit à sa pensée car c’était loin d’être son cas. Non il avait juste envie de boire un verre tranquille juste histoire de dire bon je me couche pas à 23 heures et puis il espérait aussi qu’à son retour ses voisins du dessus auront fini leur ébats sexuels car il commence à en avoir marre de dormir avec un casque avec de la musique toutes les nuits pour espérer pouvoir s’endormir, car croyez-moi c’est assez encombrant. Finalement assez désespéré Adrian se leva enfin, enfila un T-shirt propre, noir, un pantalon clair, ses chaussures et hop direction… Direction dehors pour l’instant car il ne savait même pas ou est-ce qu’il allait trouver une boîte de nuit ou un bar à Brooklyn. Il doit y en avoir c’est certain mais disons qu’il a plus fait le tour de New York que de Brooklyn depuis son arrivée. Il marcha donc vers le centre de Brooklyn la où il lui semblait le plus probable de trouver des jeunes et lorsqu’il en trouva, il se mit à les suivre discrètement, suivant également le bruit dans la rue, espérant que ça ne l’emmène pas vers un groupe de dealer. Finalement il arriva devant the bell house. Le seul soucis c’est qu’il ne savait absolument pas comment il allait faire pour retrouver son chemin au retour mais il décida qu’il réfléchirait à tout ça plus tard. Il rentra donc à l’intérieur, l’ambiance avait l’air plutôt cool, et la musique aussi alors il se dirigea vers le bar et s’y accouda avant de demander au serveur leur meilleur boisson car il n’a jamais été très doué pour choisir sa boisson, il ne sait jamais ce qu’il veut, quoi goûter etc… alors il préfère leur laisser libre choix. Comme ça c’est à eux de se torturer l’esprit. Il regardait attentivement la salle, malgré l’heure il y avait déjà du monde ici et il se doutait que l’endroit allait se gorger de monde dans les heures à suivre. Il se tourna à nouveau de l’autre côté, et vit son verre, il remercia le serveur et but une gorgée. Il ne savait absolument pas ce qu’il y avait dedans mais ce n’était pas mauvais alors il en but une autre gorgée mais fut stoppé par quelqu’un qui lui attrapa le bras d’un geste vif. Il se tourna alors vers la personne et découvrit le visage d’une jeune femme, plutôt jolie d’ailleurs mais il se demandait bien ce qu’elle lui voulait. D’autant plus qu’il n’avait aucune envie de se faire draguer, il voulait juste boire un coup ce n’est pas si compliqué à comprendre non ? Mais avant de dire à la jeune femme qu’il n’était pas intéressé il voulait tout de même attendre de voir ce qu’elle allait lui dire, peut-être qu’elle voulait simplement s’approcher du bar ou que sais-je.
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MessageSujet: Re: Le jeu permet de s'amuser, mais quand devient-il dangereux ? + VIXIE Le jeu permet de s'amuser, mais quand devient-il dangereux ? + VIXIE EmptyLun 13 Avr - 0:36


I figure life's a gift and I don't intend on wasting it. You don't know what hand you're gonna get dealt next. You learn to take life as it comes at you... to make each day count.


« Vixie, ma douce, puis-je m'entretenir avec toi ? » Mauvais présage que voilà. Aussi aimant soit-il, le père de la demoiselle ne l'appelait "ma douce" que dans des circonstances particulièrement agaçantes : lorsque la conversation visait certaines réglementations qui ne plaisaient guère à sa fille. Son père connaissait bien son mauvais caractère et préférait, en règle générale, l'adoucir un tant soit peu, quitte à utiliser des petits surnoms d'affection pour l'amadouer, lorsque le sujet risquait de lui déplaire. Peu optimiste, la jolie brésilienne releva son regard noisette, d'un air peu assagi, vers son paternel. Elle aurait dû le savoir : les week-end passés au domaine familial ne ressemblaient guère aux retrouvailles du commun des mortels. Si pour certains, quelques jours partagés avec les parents pouvaient s'apparenter à de joyeuses vacances, il n'en était rien pour la famille Oswald-Macieira. Ce matin là, un samedi pour être exact, Vixie se trouvait au comptoir de la cuisine, s'évertuant à couper avec douceur des abricots frais pour le petit déjeuner. En brésilienne qui se respecte, elle ne pouvait passer une seule journée sans se gaver au possible de fruits en tout genre. Elle était sobrement vêtue d'une magnifique robe blanche en dentelle qui - visiblement - coûtait les yeux de la tête, et le tissu dénuant ses épaules lui permettait de profiter comme il se devait du beau temps de la journée. Ses cheveux chatoyants, aux reflets châtains à tendance auburn, étaient relevés en une queue de cheval minutieuse, tandis quelques mèches rebelles et ondulées s'étaient échappées de cette coiffure distinguée tantôt pour couvrir sa nuque, tantôt pour encadrer son visage poupin. Ainsi, elle donnait l'impression d'être aussi pure qu'un ange, aussi innocent qu'un oisillon. C'était ainsi que ses parents la percevaient. Un oisillon au fichu mauvais caractère, certes, mais un oisillon quand même. Plus encore, son père, Connor, ne pouvait se résoudre à ne la voir autrement qu'une douce princesse des temps modernes. La plus belle, la plus gracieuse, plus intelligente, la plus "tout". Et ce, malgré ses nombreux défauts. Bien sûr, il s'agit là d'une vision partagée par tous les papas du monde, mais autant dire que celle de Connor Oswald se révélait assez excessive. Au point de vouloir protéger sa douce fille de tous les parias qui rodaient autour d'elle. D'après lui, très peu pouvaient prétendre être à la hauteur de sa petite protégée, tant soit peu qu'il puisse être digne de s'allier au célèbre nom des oswald-macieira. Et sur ce point, autant dire que madame Macieira, sa femme brésilienne, le rejoignait entièrement. C'est pour ces raisons que, ce matin-là, le couple quadragénaire s'approcha de la jeune femme, qui pouvait déjà sentir les effluves d'une leçon de morale à venir : « Dis-nous, ce Tyler qui t'accompagnait, lundi dernier ... C'est un ami, n'est ce pas ? » Si prévisible. Elle aurait du s'en douter. Ses parents n'appréciaient en aucun cas les rapprochements qui pouvaient se faire entre leur tendre fille et un individu de sexe opposé quel qu'il soit. C'est pourquoi, lorsqu'ils avaient croisé leur princesse au centre-ville, accompagnée d'un Tyler trop entreprenant à leur goût, la veille de cela, leur idéal en avait pris un sacré coup. Tyler n'était qu'un ami, mais il avait suffit à Vixie que d'un coup d'oeil pour comprendre que leur attitude l'un envers l'autre laissait supposer le contraire, du moins au regard de ses deux parents suspicieux au possible. C'est pourquoi la jolie brune se doutait depuis la veille que le sujet allait venir sur le tapis tôt ou tard. Après tout, tous les amis, les flirts, prétendants, et connaissances y étaient passés. Pourquoi Tyler échapperait-il à la règle ? Tentant de rester impassible face à cet interrogatoire qui l’ennuyait profondément, la brésilienne coupa un nouveau bout d'abricot, le fit glisser entre ses lèvres avec gourmandise avant d'assurer d'une voix douce : « Oui papa, sois rassuré. Tout ce qu'il y a de plus platonique. » elle se voulait douce, légère, presque amusée par cette surprotection répétitive. Cela aurait pu être le cas, si cette situation ne devenait pas profondément agaçante. Elle poursuivait, innocemment, sa préparation culinaire fruitée, sans même remarquer le regard grave et particulier que posait ses parents sur sa personne. « Tu es sûre, ma chérie ? » bien évidement, qu'elle l'était. De toutes manières, elle faisait strictement ce qu'elle voulait. Si Tyler avait été son petit-ami, elle n'aurait eu aucun mal à le cacher. Vixie, c'était ça. Un mélange de mauvais caractère, d'impulsivité, de caprices, et d'entêtement excessif. Ses parents savaient appréhender ses défauts mieux que personne. Partant de là, la belle ne fut pas surprise de constater qu'un simple " non, ne vous inquiétez pas " ne risque pas d'éteindre la méfiance de ces deux fouines anglo-brésiliennes. Tout comme elle se doutait qu'une tirade de plus ne les convaincrait certainement pas davantage. Elle se contenta donc d'hausser doucement sa tête, leur adressant un regard sincère en gobant un nouveau fruit. Sans défense de sa part, ses parents ne pouvaient contre-attaquer à nouveau. Sauf que ce jour là n'était pas comme les autres. L'enjeu n'était pas le même, il risquait de changer le cours de sa vie à venir. Et ça, l’insouciante Vixie n'en avait pas encore conscience. « Vixie, nous devons te parler de quelque chose d'important, ta mère et moi. » du haut de ses vingt-trois ans et de son insolence habituelle, Vixie haussa un sourcil désabusé. [...]
« Me marier ... Moi ! Je n'arrive pas à le croire ... A vingt-trois ans, sans mon accord, avec quelqu'un que je ne connais pas ! » furibonde, Vixie redoubla de colère à chaque phrase prononcée, décuplant son accent brésilien au fil des minutes. La nuit était déjà tombée, et pourtant, elle ne décolérait en aucun cas, bien au contraire. Installée sur la banquette arrière d'une voiture de luxe, vêtue d'une robe dos-nu beige aux bordures dorées, la jeune brésilienne tenta de calmer son comportement ardent en jetant des regards agacés à travers la fenêtre teintée. Cette soirée est réservée à la fête, mais il fallait bien l'admettre : suite à la bombe qu'avaient lâché ses parents ce matin-là, elle n'avait aucune envie de se déchaîner, ni même de plaisanter autour d'un verre. Fort malheureusement, l'idée plaisait pourtant aux autres : autant à ses parents - qui ne supportaient plus de l'entendre révolutionner la villa - qu'à ses amis, qui n'aurait certainement pas apprécié son absence. Ainsi, elle serait présente. Présente, mais boudeuse. On ne peut pas tout avoir, dans la vie. « Tu devais bien t'y attendre, non ? Après tout, ces projets de mariage parfait, ça date pas d'hier ... Tes parents ont toujours voulu offrir leur poupée au plus offrant. C'est le système, Vik. Tu t'en doutais déjà ... » déclara Samuel Vixon, troisième du nom. Fils d'un grand PDG international, particulièrement proche des parents de Vixie. Les deux autres damoiseaux qui l'accompagnaient ce soir-là n'étaient autre que de jeunes millionnaires faisant partis du cercle très restreint qu'avait tracé les parents de Vik au profit de cette dernière. Ce sentiment de chaperon n'avait pour effet que d'excéder la jeune femme davantage. En effet, Vixie se sentit, à nouveau, confrontée au problème. Et le ton de Samuel le confirma : la décision qu'avaient pris les parents de la jeune femme lui semblait tout à fait logique. C'était leur monde, après tout. Peut-être souffrait-elle inutilement, à se débattre de cette manière. Une chose est sûre : Samuel n'avait pas tort sur un point. « Oui, c'est vrai ... Mais je ne sais pas ... Je pensais qu'il s'agissait de paroles en l'air. Ou peut-être que je pensais pouvoir trouver une solution d'ici-là. Je ne pensais pas que ça viendrait si vite ... » ou peut-être avait-elle tout simplement fermé les yeux sur une réalité qui la rebutait. A ses yeux, ce n'était qu'une idée abstraite, un projet surréaliste. Elle ne connaissait même pas le nom, le visage, ou la personnalité de l'heureux élu. A cette idée, son poing se referma sur sa cuisse découverte. Visiblement, la tension était perceptible, puisque Xavhier prit la parole en posant sa main frigorifiée sur celle de Vixie : « Calme toi, Vik. Essaie de passer une bonne soirée malgré tout. » Comment pouvait-elle ? Ses géniteurs venaient de lui annoncer qu'ils la vendaient à un parfait inconnu qui répondait à leurs critères et non les siens, et désormais elle s'apprêtait à passer la soirée avec des connaissances qui allaient se charger de surveiller la jouvencelle promise qu'elle était. Non, décidément, la soirée commençait très mal.
Et les voilà, tout quatre débarqués fraîchement, accostant le territoire du bell house. Déambulant avec aisance du haut de ses escarpins blanc-cassé, Vixie ne faisait preuve d'aucune bonne volonté. Elle n'était pas disposée à s'amuser ce soir-là, d'autant plus que les regards de ses compagnons se faisaient sévères à chaque tentative d'approche émise d'individu de sexe opposé. Vixie se sentait tout bonnement prise au piège, agacée au plus haut point. En un mot, elle étouffait. Sa vie lui appartenait, à elle seule. Pourtant, depuis ce matin, elle était victime d'une désagréable sensation : le sentiment que celle-ci lui filait entre les doigts, sans qu'elle puisse y changer quoi que ce soit. Il était temps de prendre les armes, de s'affirmer, et de montrer qu'elle n'était pas qu'une vulgaire poupée de chiffon dont on pouvait disposer à tout moment. Redressant fièrement son visage, Vixie eut une brillante idée qui illumina l'idée qu'elle se faisait de sa soirée, qui promettait d'être morne jusque là. Au centre de la piste, elle laissa son regard déambuler dans la foule, à la recherche d'un signe distinctif, d'une intuition. Elle savait se fier à son instinct. Et ce soir-là, son instinct lui intima de se diriger vers ce garçon. La vingtaine, installé au comptoir, la peau blanche et des cheveux légèrement ébouriffés, une attitude détachée. Indéniablement mignon, qui plus est. Un alibi parfait. Un bon pressentiment lui fit pousser des ailes, et celles-ci l'amenèrent tout droit au comptoir auquel le jeune homme était accoudé, et ce sous le regard suspicieux des hommes qui l'avaient accompagnée ce soir et qui restaient, au loin, à quelques mètres. L'impulsivité étant son apanage, Vixie posa doucement une main sur l'épaule du garçon pour qu'il se retourne vers elle, avant de déclarer sans détour : « Bonsoir ... Hum. Excuse moi, je sais que ça va te paraître totalement surréaliste et vraiment très, très étrange ... Rassure toi, je ne suis pas une dragueuse de soirée qui va passer toute la soirée à chercher à te ramener chez moi ou je ne sais quoi d'autre encore, et je ne veux pas te déranger alors que tu attends certainement quelqu'un ou quoi, mais ... » comment lui demander un tel service sans qu'il la prenne pour la dernière des allumées ? Là était la question. Le mieux était de ne pas réfléchir bien longtemps, au risque de ne plus laisser aucun doute sur la question. La brésilienne jeta un regard rapide vers les trois garçons - de l'autre côté de la boite - avant de replacer une mèche ondulée auburn qui lui tombait dans les yeux. Elle posa à nouveau son regard sur l'inconnu et affirma franchement : « Il faut que tu me parles. Regarde moi, fais semblant de me connaître. Ne sois pas surpris, décontracte toi. Je t'assure, actuellement, pour moi, c'est une question de vie ou de mort. » en espérant qu'il soit le genre de garçon chaleureux, ou du moins, un minimum réceptif. La malchance voudrait qu'elle tombe sur un garçon agressif, dragueur, ou peu enclin à lui sauver la mise. Mais elle espérait que le karma prenne en compte que la malchance s'en était assez prise à elle pour aujourd'hui. Peut-être pourrait-elle oublier Vixie, l'espace d'une soirée ?
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Le jeu permet de s'amuser, mais quand devient-il dangereux ? + VIXIE Empty
MessageSujet: Re: Le jeu permet de s'amuser, mais quand devient-il dangereux ? + VIXIE Le jeu permet de s'amuser, mais quand devient-il dangereux ? + VIXIE EmptyVen 17 Avr - 14:25


On passe notre vie entière à s'inquiéter de l'avenir, a faire des projets pour l'avenir, à essayer de prédire l'avenir... Comme si savoir à l'avance pouvait amortir le choc. Mais l'avenir change constamment. L'avenir est le lieu de nos plus grandes peurs, et de nos espoirs les plus fous. Mais une chose est sûre quand finalement, il se dévoile... L'avenir, n'est jamais comme on l'avait imaginé ! ~ (vixie/adrian)

Il se rendait compte que depuis son arrivée à New York il n’avait pas passé une seule soirée dehors, enfin du moins dans un bar ou une boîte. Pas qu’il tienne absolument à devenir le roi de la nuit mais il est tout simplement bien trop occupé par son projet et une fois le soir arrivé il préfère s’endormir tôt au lieu de sortir. Pourtant il aurait pu demander à Millie de sortir avec lui mais il a toujours peur de déranger, pourtant dieu sait qu’une sortie avec Millie serait des plus intéressante. Ils se sont toujours tellement assumés ensemble que passer la soirée ensemble, dans un bar, ils trouveraient certainement des tas de conneries à faire. Mais finalement Adrian décide de sortir seul et se dit que si au final il a trop l’impression de passer pour un pervers il boira son verre cul sec et rentrera à l’hôtel immédiatement. Enfin immédiatement ce n’était peut-être pas le mot puisqu’il allait falloir qu’il retrouve le chemin. Il était assis depuis à peine 10 minutes que déjà une fille vint lui parler. A croire qu’il était bien trop irrésistible. A ses mots il fronça les sourcils. Celle-là on ne lui avait encore jamais fait, c’était une première. En quoi cette conversation était-elle pour elle une question de vie ou de mort ? Il ne la connaissait même pas, et malgré ses dires il avait bien peur que ce soit une technique de drague et se méfiait donc. Pourtant elle semblait sincère et en la voyant regarder à plusieurs reprises derrière elle il remarqua un groupe de trois jeunes hommes qui la fixait. Bon soit elle voulait leur échapper, soit il y avait une autre raison qu’il ignorait mais quoi qu’il en soit il décida de l’aider. Un jour sa bonté le perdra mais que voulez-vous, elle avait l’air si désespéré et pour être franc lorsqu’elle posa à nouveau son regard sur lui il ne put résister plus longtemps. Puis il se dit que si ce n’était pas lui elle irait surement voir un autre garçon pour lui sauver la mise et même s’il se fiche bien qu’elle aille voir quelqu’un d’autres il n’aimerait pourtant pas qu’elle tombe cette fois-ci sur un dragueur ou bien même sur un manipulateur qui se servira d’elle après lui avoir rendu ce service. Adrian a toujours été enclin à aider les autres et ce soir ne manquerait donc pas à l’exception. Histoire de rendre tout ça crédible il posa alors sa main sur son bras avec un sourire pour essayer de mimer une scène de retrouvaille. Puis il se mit à parler « Je n’attends personne ne t’inquiète pas » Il pouvait parler à voix haute puisque ces trois compagnons se trouvait à plusieurs mètres et avec la musique il était impossible qu’ils aient compris ce qu’il avait dit. Il essayait de garder un grand sourire sur son visage pour jouer la comédie au maximum et jetant à nouveau un coup d’œil discret aux trois jeunes hommes il lui demanda finalement «Sa ne me dérange pas de jouer la comédie, mais est-ce que je peux au moins te demander pourquoi c’est si important ? » Elle aurait été accompagné d’un seul garçon il se serait certainement dit que c’était pour le faire fuir, ou bien pour le rendre jaloux ce qu’il aurait beaucoup moins apprécié car il n’avait pas vraiment envie de se prendre un coup de la part d’un petit ami un peu trop impulsif et possessif. Mais ici il y avait trois garçons, et Adrian avait beau réfléchir à une situation cohérente, une histoire qui est du sens il ne voyait vraiment pas pourquoi elle lui demandait tout ça « Ces garçons qui te fixent là-bas tu les connais je suppose ?  Parce qu’ils n’ont pas l’air vraiment heureux de te voir me parler et peu importe qui ils sont je n’ai pas vraiment envie de me battre avec ces trois-là, déjà parce que je ne fais pas le poids, et surtout parce que je suis pas venue ici pour me créer des embrouilles » Il voulait l’aider c’était certains mais il voulait également connaître ces intentions. Malgré tout il continua de jouer la comédie et commanda un verre pour la jeune femme. C’est ce que ferait un ami non ? Et il pensa que c’était ce qu’il devait jouer, du moins c’est le rôle qu’il préféra adopter dans le doute. Pendant quelques secondes Adrian s’attarda un peu plus sur la jeune femme, la détaillant tout en restant respectueux comme à son habitude. Elle détonnait parmi les autres filles présente dans la pièce, elle semblait plus classe, plus féminine sans pourtant paraître complètement décalé. Elle semblait plus belle que toutes les autres filles présente, sa robe était sexy, glamour, mais loin d’être vulgaire. Finalement à côté d’elle il avait l’impression de ne ressembler à rien. Elle dégageait quelque chose, il ne saurait pas expliquer quoi mais sa attisait sa curiosité. Finalement le serveur arriva et il tendit son verre à la jeune femme et leva le sien tout en lançant « A cette soirée ! » Bien sur tout ceci n’était que théâtre, il voulait l’aider et jouer donc le jeu à fond en faisant donc croire à ses amis qu’ils se connaissaient bel et bien.
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MessageSujet: Re: Le jeu permet de s'amuser, mais quand devient-il dangereux ? + VIXIE Le jeu permet de s'amuser, mais quand devient-il dangereux ? + VIXIE EmptyDim 10 Mai - 1:26


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Etait-elle réellement condamnée à subir les lubies de ses parents, quelles qu'elles soient ? C'était donc ça, ce à quoi elle devait s'attendre ? La ligne de son chemin de vie qui l'attendait se trouvait donc être si désespérément impétueuse ? Le fait que son père soit un milliardaire propriétaire d'une entreprise internationale, et sa mère une riche descendante de la famille royale du Brésil, leur conféraient-ils la légitimité nécessaire pour choisir ce qu'elle devait faire de sa vie, sur tous les plans ? Visiblement, c'était le cas. Au grand désespoir de la principale intéressée. Vixie avait toujours considéré la vie comme un vaste terrain de jeu qu'elle pouvait exploiter à sa guise. Elle n'était pas de ceux qui détruisaient leur vie à l'aide de seringues, de plans d'un soir endiablés, et de scandales dignes des frasques de Jared Leto, Pete Doherty et Miley Cyrus réunis. Mais elle restait malgré cela une fervente adepte de l'adage on n'a qu'une vie. Et s'il y avait une seule autre chose à savoir à son sujet, c'était sans aucune contestation possible son entêtement et son arrogance. Dès lors qu'elle avait de bonnes raisons de le faire, Vixie Oswald-Macieira s'offrait le luxe de tenir tête à tous ceux qui se dressaient sur son chemin. Et fuir le mariage arrangé que ses parents venaient tout juste de planifier lui semblait être une raison des plus manifestes pour prouver à tous et chacun qu'elle entendait bel et bien régir sa vie comme elle l'entendait. Cette soirée tombait à pic : il était l'heure de montrer qu'elle ne comptait pas se laisser dominer de la sorte, quand bien même elle n'avait pas encore croisé le regard de celui qui était censé accompagner ses jours et ses nuits, quand bien même elle ne connaissait pas encore tout à fait les paramètres et les obligations auxquelles elle se devait de se soumettre au vue d'adopter la nouvelle vie que ses parents avaient soigneusement et égoïstement planifiée pour elle. C'est dans un état d'esprit proche de la fureur de vivre qu'elle débarqua dans la boite de nuit. Accompagné de ses trois amis, elle n'en restait pas moins pleine de reproches à leurs égards. Car eux-non plus ne la comprenaient pas. Ils ne saisissaient ni son envie de liberté, ni son besoin de s'affranchir de l'autorité à laquelle le monde des milliardaires new-yorkais cherchait à la soustraire. Il était temps pour eux également de comprendre qui elle était réellement. Des garçons capables d'assimiler le fait que Vixie devait se marier à un homme, sans se soucier du fait qu'elle soit heureuse ou non, ne pouvaient être que bien trop corrompus pour se comporter en amis fidèles. Le brouhaha assourdissant de la boite, mêlé à l'odeur d'alcool aux nuances de fumée lui montèrent à la tête. Ses yeux observateurs s'amusèrent à scruter les visages des jeunes qui étaient venus oublier leurs problèmes dans la décadence, pendant que les trois garçons s'acclimataient sans mal à l'ambiance de la soirée. Lorsque le regard de Vixie se posa sur une silhouette en particulier, quelques secondes suffirent pour qu'elle quitte ceux qui l'accompagnaient. En moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, elle abordait l'inconnu qui semblait plus que surpris de son intervention. Elle ne pouvait que le comprendre. Le regard brun de la demoiselle était anxieux, et se concentrait sur le visage de ce garçon, dans l'attente d'une réponse qu'elle espérait positive. Il pouvait très bien l'envoyer sur les roses, se désintéressant complètement des problèmes que pouvaient connaître cette illustre inconnue. Elle sentit alors sa main fraîche se poser sur son bras. C'était bon signe, la situation semblait jouer en sa faveur : « Je n’attends personne ne t’inquiète pas » à cette réponse, la brésilienne lui offrit un sourire apaisé. Visiblement, il usait du langage corporel pour simuler une scène de retrouvailles, et au vu de la manière dont ses amis les fixaient, nul doute que cela fonctionnait plutôt bien. En attendant, à cette proximité, Vixie eut l'occasion de l'observer avec plus d'attention. Il avait la peau clairs, les traits fins et bien tracés. Le nez légèrement en trompette, et des cheveux bruns en bataille. Il semblait assez musclé derrière cette apparence de garçon svelte. Son regard, aux teintes légèrement dorées, était doux et expressif. Les goûts et couleurs ne se discutent pas, bien sûr, mais d'après Vixie, celui-ci correspondait incontestablement à ce qu'on pouvait définir comme étant un beau garçon. Un charme, certain et énigmatique à la fois, se dégageait de lui. A vu d’œil, il paraissait plutôt grand, certainement plus grand qu'elle. Il n'y a pas à dire, elle n'avait pas fait un mauvais choix. Ils jouaient, certes, mais autant savoir allier l'utile à l'agréable. «Sa ne me dérange pas de jouer la comédie, mais est-ce que je peux au moins te demander pourquoi c’est si important ? » la question était légitime, mais la réponse n'était pas des plus simples. De plus, pour qui allait-elle passer ? Une petite fifille bourgeoise insupportable, réservée telle une voiture de location à un parti qui gagnait des millions par jour, et qui osait se plaindre parce qu'elle se refusait à cette vie-là ? Elle ne voulait pas passer pour une capricieuse qui oser se lamenter alors qu'elle avait tout à sa portée. Elle hésita quelques peu, mais ne parvint pas à poser les mots sur ce qu'elle vivait, elle ne parvenait même pas à dénicher une explication cohérente. Elle se contentera alors de dire : « C'est vraiment ... Une histoire très compliquée. Pour te résumer la situation à sa base la plus élémentaire, disons que je déteste qu'on me dise ce que j'ai à faire. Et en ce moment, c'est la dernière lubie de mon entourage. Je veux échapper à ça. » Ainsi, elle n'avait pas eu à mentir. Seulement, elle réalisa que le jeune homme pouvait trouver le problème futile à souhait, c'est pourquoi elle s'empressa d'ajouter en avant qu'elle avait peut-être exagérait sur les termes, mais que son aide n'en restait pas moins importante : « Bon, d'accord, ce n'est pas réellement une question "de vie ou de mort", mais ça peut vraiment m'aider. » Elle remarqua alors le regard du jeune homme balayer la pièce pour se poser furtivement sur les trois garçons qui la chaperonnaient ce soir-là. Il les avait donc aisément remarqués, peu étonnant compte tenu de l'insistance de leur regard : « Ces garçons qui te fixent là-bas tu les connais je suppose ?  Parce qu’ils n’ont pas l’air vraiment heureux de te voir me parler et peu importe qui ils sont je n’ai pas vraiment envie de me battre avec ces trois-là, déjà parce que je ne fais pas le poids, et surtout parce que je suis pas venue ici pour me créer des embrouilles », ce qu'elle pouvait aisément comprendre. Malgré les doutes qu'il avait sur le sujet, l'inconnu prit soin de lui commander un verre. Il continuait à jouer le jeu, en dépit de ses questions. Vixie apprécia vraiment cette initiative, aussi simple soit-elle. Car elle lui fit comprendre qu'il s'agissait d'un garçon gentil. Vraiment gentil. Peu auraient pris le risque de se causer des ennuis pour une fille qu'ils ne connaissaient pas. Elle lui offrit à nouveau un sourire suite à cette commande, et en parallèle, elle jugea bon d'être entièrement franche avec lui. Elle avoua donc sans détour : « Oui, je les connais. » en hochant légèrement la tête. Mais elle mit malgré tout un point d'honneur à apporter des explications pour le mettre à l'aise : « Je te rassure tout de suite, je ne serais jamais venue te voir si je pensais que mon intervention pourrait te causer des ennuis. Je ne suis pas venue te voir pour te créer des problèmes. Tu n'en auras aucun, je peux te le garantir. » Non, elle n'était pas de ce genre-là, loin de là. Le genre de minettes qui adoraient accaparer l'attention et qui aimaient se sentir désirées par plusieurs hommes à la fois, au point de faire en sorte que les garçons se battent pour obtenir ses faveurs. Non, Vixie, elle, ne supportait pas les conflits inutiles, et n'était en aucun cas vouée à l'adoration de sa personne ou à l'attrait qu'elle pouvait exercer. Elle, tout ce qu'elle souhaitait était de vivre sa vie comme elle l'entendait, fréquenter les personnes qu'elle voulait fréquenter. Et curieusement, le genre de personnes qu'elle voulait côtoyer, justement, c'était le genre de ce garçon. Simple, gentil, et charismatique. Elle ne connaissait ni l'étendue de son compte en banque, ni son nom, ni son métier. Et très franchement, elle s'en fichait éperdument. A l'instant présent, elle appréciait sa gentillesse et son coup de main. Assise à côté de lui devant le comptoir, elle profita de la proximité pour poser sa main sur son bras, jouant à nouveau sur la vision que pouvaient avoir les trois hommes au loin. Elle ajouta avec sincérité en fixant son regard dans le sien : « Ils ne te taperont en aucun cas. Déjà, parce que ce sont des mauviettes bourgeoises. Ils n'ont jamais cherché à bousculer quelqu'un, et c'est certainement pas maintenant qu'ils vont commencer, même à trois ils auraient bien trop peur de se prendre un petit coup de poing. Crois moi, je mise plus sur toi que sur eux. » Ce qui n'était que pure vérité. Ils n'étaient pas du genre à avoir le courage nécessaire pour affronter qui que ce soit. Ils jouaient les gros bras, les hommes qui contrôlaient le monde, se disaient-ils. Mais dès lors que les choses se gâtaient, ils seraient certainement les premiers à déguerpir. Du moins, ceux qui l'accompagnaient ce soir-là. Elle accompagna sa tirade d'un sourire amusé et complice. Elle poursuivit : « Ensuite, ils n'ont aucune raison de le faire. J'imagine que tu penses que l'un d'eux est mon petit-ami, ce n'est pas le cas. Je ne sors avec aucun d'entre eux. » elle était certaine qu'il devait s'agit du scénario qui se mettait en place, instinctivement, dans sa tête. Or, elle n'avait jamais été en couple avec l'un d'entre eux. Elle ne savait même pas si elles pouvaient les considérer comme de véritables amis. En somme, elle n'avait plus vraiment de certitude dans sa vie. Seulement celle qui consistait à jouer le jeu avec ce garçon-là. « Et pour finir, si jamais un élan de courage venait à leur monter à la tête, je leur écraserai une bouteille de vodka sur la tête avant qu'ils arrivent jusqu'à toi. Tu vois, t'es en sécurité avec moi. » ajouta t-elle d'une voix malicieuse. cette tirade était destinée à user de l'humour, souhaitant le mettre à l'aise afin qu'il comprenne qu'elle ne voulait pas lui attirer d'ennuis, lui faire comprendre qu'elle était inoffensive. Le pire dans tout cela, c'est qu'elle était tout à fait capable d'entreprendre de tels desseins. Assommer ses compagnons à l'aide d'une bouteille s'il cherchait des ennuis à quelqu'un qui n'en demandait pas. Oui, Vixie est aussi imprévisible. Le serveur arriva à ce moment-là et déposa les verres devant eux. Le jeune homme face à elle attrapa le sien et le leva vers elle en déclarant : « A cette soirée ! » un sourire étira ses lèvres rosées avant qu'elle ne lève elle-même son verre en répondant à son tour : « A cette soirée ! » elle but une gorgée de l'alcool qui contenait, et jeta très furtivement un regard discret vers le groupe de garçons plus loin. Ils semblaient visiblement agacés par la proximité qu'elle entretenait avec le jeune homme qu'elle faisait semblant de connaître, et cette vision-là la réjouissait. La soirée était bonne, bien que surprenante. Elle posa à nouveau son regard noisette sur celui qui avait accepté le deal, et lui avoua : « Tu me sauves, t'es un ange. » elle porta une nouvelle fois le verre à ses lèvres pour absorber quelques gorgées de plus. Elle posa doucement son verre sur le comptoir en le gardant toutefois en main. Elle se pencha très légèrement vers son interlocuteur, dégageant au passage une de ses mèches cuivrées qui glissait sur son visage, et elle lui demanda : « Dis moi, est ce que je peux te poser une question ? »

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Le jeu permet de s'amuser, mais quand devient-il dangereux ? + VIXIE Empty
MessageSujet: Re: Le jeu permet de s'amuser, mais quand devient-il dangereux ? + VIXIE Le jeu permet de s'amuser, mais quand devient-il dangereux ? + VIXIE EmptyMar 12 Mai - 11:58


On passe notre vie entière à s'inquiéter de l'avenir, a faire des projets pour l'avenir, à essayer de prédire l'avenir... Comme si savoir à l'avance pouvait amortir le choc. Mais l'avenir change constamment. L'avenir est le lieu de nos plus grandes peurs, et de nos espoirs les plus fous. Mais une chose est sûre quand finalement, il se dévoile... L'avenir, n'est jamais comme on l'avait imaginé ! ~ (vixie/adrian)

« C'est vraiment ... Une histoire très compliquée. Pour te résumer la situation à sa base la plus élémentaire, disons que je déteste qu'on me dise ce que j'ai à faire. Et en ce moment, c'est la dernière lubie de mon entourage. Je veux échapper à ça. » Ces quelques phrases n’éclairèrent guère le jeune New Yorkais mais il comprit que c’était certainement fait exprès. Peut-être n’avait-elle pas envie de lui dévoiler tous ces secrets. Il tenta d’analyser ce qu’elle venait de lui dire malgré tout pour essayer d’en savoir plus par lui-même, mais finalement la seule conclusion à laquelle il arriva c’était qu’on la forçait à quelque chose apparemment. Mais alors qu’est-ce que ces trois garçons là-bas avaient à faire la dedans ? Peut-être étaient-ils trois prétendants que ces parents avaient choisis pour elle et elle devait en choisir un. Non c’est idiot aujourd’hui plus personne ne fait sa à part les familles princière non ? Et il avait du mal à croire que c’était une princesse, bien qu’elle soit irrésistiblement belle et qu’elle est surement plus de classe que n’importe quel fille dans cet endroit mais que ferait une princesse dans un endroit pareil pour une sorte de « premier rendez-vous ». Non il n’y avait pas de doute c’était simplement l’imagination du brunet qui s’emballait en se créant des films à propos de la jeune femme. En tout cas il avait décidé de l’aider et ne comptait pas changer d’avis de plus passer quelques minutes à ces côtés était finalement bien plus divertissant que de rester seul au comptoir à boire son verre comme un dépressif. Et puis un peu de compagnie ne lui fera pas de mal surtout une si bonne compagnie. Malgré tout il s’inquiétait des trois garçons qui le fixaient maintenant depuis plusieurs minutes. Il décida d’ailleurs d’en faire part à la jeune femme dont il ne connaissait d’ailleurs toujours pas le nom. « Je te rassure tout de suite, je ne serais jamais venue te voir si je pensais que mon intervention pourrait te causer des ennuis. Je ne suis pas venue te voir pour te créer des problèmes. Tu n'en auras aucun, je peux te le garantir. » Il n’avait qu’une envie c’était de la croire pourtant les regards de plus en plus insistant sur lui ne le rassurait pas vraiment. Ce n’était pas un lâche il n’allait pas s’enfuir en courant si les trois possible prétendant rappliquaient, mais se faire déformer le visage n’était pas non plus dans la liste de ses priorités. La dernière fois qu’il c’était battu il était encore à Berkeley, il c’était battu pour elle… Pour celle qu’il aimait… Et il faut bien admettre que pour quelqu’un qui ne se bat jamais et face à un grand sportif il c’était quand même bien débrouillé. Cependant la rage en lui avait surement augmenté son adrénaline ce qui expliquerait pourquoi il avait été aussi performant ce jour-là. Mais là il n’était en aucun cas énervé puisqu’il ne connait pas ces personnes et même si c’était le cas on sait tous comment se finit un combat à trois contre un. Il n’y a que dans les films ou le doute est possible. Sa main se posa sur son bras et il posa instinctivement le regard sur celle-ci, déconcerté, avant de se rappeler qu’ils jouaient toujours la comédie. Elle tenta finalement de le rassurer et cela fonctionna plutôt bien. Trois bourgeois ? Elle devait certainement faire également partie de ce milieu alors. Peut-être que son idée de départ était réelle en fin de compte. Peut-être que ces parents voulaient que l’un d’entre eux soit leur futur beau fils. Mais une fois de plus elle mit fin à ses pensées en expliquant qu’aucun d’eux n’était son petit ami «En effet c’est ce que je pensais car c’était la seule raison valable à laquelle je pensais pour qu’ils me regardent ainsi et pour que tu me demande de jouer la comédie mais je dois avouer que maintenant je suis un peu perdu » Finalement peut-être que l’explication était toute simple, peut-être qu’elle n’avait tout simplement pas envie de passer la soirée avec eux mais alors pourquoi ne pas lui avoir dit la vérité ? Plus il réfléchissait à tout ça plus il s’embrouillait, rien ne coïncidait et aucune de ses idées ne semblait correspondre, seulement Adrian a un esprit très cartésien et le fait de ne pas comprendre ce qui se passait ici le frustrait. Malgré tout il décida que ce n’était pas le plus important et décida d’oublier l’espace d’un instant toutes les questions qui surgissait dans son esprit. « Bon tu m’as convaincu même si je ne te laisserais pas risquer de tâcher ta tenue avec de la vodka » L’humour. C’était sa technique lorsqu’il sent qu’il y a de la gêne ou qu’il veut détendre l’atmosphère et elle semblait adopter la même attitude ce qui le fit sourire. Plus détendu il prit son verre et décida de trinquer à cette soirée, pour jouer la comédie principalement mais également parce que pour l’instant il passait un bon moment en compagnie de la jeune femme qui était toujours sans identité. « Tu me sauves, t’es un ange » Un fin sourire se dessina sur les lèvres du brunet, il hocha simplement la tête pour lui faire comprendre qu’il était heureux de pouvoir l’aider. Adrian but une nouvelle gorgée de son verre se focalisant seulement sur la jeune femme pour essayer de ne pas se poser davantage de question à propos de ses trois compagnons au fond de la salle. En la voyant se pencher vers lui il resta immobile, laissant son regard chercher le sien. Une question ? Mais que pouvait-elle bien pouvoir lui demander ? « Oui bien sûr vas-y » Curieux de savoir la nature de son questionnement il ne pouvait pas lui dire non. Il reprit son verre en main pour en boire une nouvelle gorgée en attendant qu’elle formule son interrogation.
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MessageSujet: Re: Le jeu permet de s'amuser, mais quand devient-il dangereux ? + VIXIE Le jeu permet de s'amuser, mais quand devient-il dangereux ? + VIXIE EmptyMar 19 Mai - 22:12


I figure life's a gift and I don't intend on wasting it. You don't know what hand you're gonna get dealt next. You learn to take life as it comes at you... to make each day count.


Faire la fête toute la nuit. S'amuser, oublier ses problèmes, donner naissance à des paris tous plus fous les uns que les autres. Oui, Vixie était de ce genre-là. Le genre de fille qui n'aimait pas passer tout son temps à polir son image. Le genre qui aimait profiter des gens autour d'elle, qui n'avait aucune retenue, et qui pouvait se lier avec le parfait inconnu. Certes, parfois, il s'agissait là d'une entreprise plutôt risquée. Il n'était pas rare de tomber sur ceux qui avaient l'habitude de traiter les filles de la manière la plus pitoyable qu'il soit, ou pire encore, tomber sur ceux qu'il valait mieux éviter de fréquenter. Mais c'était les risques de la vie qu'elle menait, et la belle brésilienne les assumait sans mal. Qui plus est, ce soir-là, la surprise était plus que bonne. Elle qui pensait trouver une excuse pour se défaire des responsabilités qu'elle venait de découvrir, réalisait qu'elle était en train de faire la rencontre d'un garçon qui aurait pu continuer sa route sans jamais croiser la sienne, si jamais elle n'avait pas été prise d'une idée totalement surprenante. La vie de Vixie présentait toujours milles et une surprises. Cette fois-ci, la dernière en date fut plutôt bonne. «En effet c’est ce que je pensais car c’était la seule raison valable à laquelle je pensais pour qu’ils me regardent ainsi et pour que tu me demande de jouer la comédie mais je dois avouer que maintenant je suis un peu perdu » réaction tout à fait compréhensible. A sa place, nul doute que les questions se seraient également multipliaient au sein de son esprit. C'était sûrement la première fois qu'une fille l'abordait de cette manière, et à cette idée, la douce brune fut amusée. Elle se permit même d'ajouter, accompagné d'un sourire mutin : « je crois que j'aime bien surprendre » laissant planer le mystère quand à ses intentions et à sa situation. Tout ce qu'il lui importait présentement était de faire comprendre à ce bel inconnu qu'elle ne souhaitait en aucun cas lui créer des problèmes, de quelque sorte que ce soit. Elle ne souhaitait pas jouer de lui, non plus. S'il y avait bien une personne sur cette terre qui était honnête et ne se plaisait jamais à jouer avec les sentiments ou les émotions des gens, c'était certainement la fille des macieira. Famille brésilienne du nom.  « Bon tu m’as convaincu même si je ne te laisserais pas risquer de tâcher ta tenue avec de la vodka » elle ria à son intervention, appréciant les touches d'humour qui permettaient de rendre cette rencontre plus agréable qu'elle ne l'avait prévue : « Attentionné, en plus de ça. » elle accompagna sa réplique d'un geste, apportant son verre à ses lèvres afin de boire, à nouveau, quelques gorgées du breuvage qu'il venait de lui offrir. Aussi simple soit-elle, cette rencontre la détendait, l’apaisait. Lui permettait de penser à autre chose qu'aux engagements qu'elle se voyait obliger de prendre, à la vie qu'on planifiait pour elle sans qu'elle puisse y changer quoi que ce soit. Elle se sentait tout bonnement emportée par un courant qui ne lui autorisait le moindre contrôle. Une véritable vague brésilienne : insurmontable, mortelle, surprenante, ingérable. Une vague à laquelle on ne s'attend jamais vraiment. Elle découvrait ce soir-là un petit vent de fraîcheur, qui lui permettait de se dégager de cette vague, l'espace de quelques secondes. En plus de présenter l'avantage de provoquer la rage des chaperons qui l'avaient accompagnée ce soir, Vixie réalisa que ce genre de petit plaisir était tout ce qu'il lui fallait, présentement. Seulement rencontrer un individu gentil, ouvert, qui n'avait pas la moindre idée de la somme de son compte à banque, de son nom de famille, et de tout ce qui s'en suivait. Elle aimait ça. Particulièrement ce soir. Quelques échanges en plus en une dizaine de minutes suffirent à Vixie pour que celle-ci se sente à l'aise. Elle profita de cet instant pour observer le garçon qu'elle avait choisi avec plus d'attention. Fine observatrice, elle ne tarda pas à en déduire qu'il devait être le genre de garçon honnête, gentil, l'ami idéal sur lequel on pouvait compter, mais aussi bourré de charme. Le genre de garçon qui ne devait pas laisser les filles indifférentes, mais qui pourtant, n'en avait réellement pas conscience. Mais en plus de tout cela, son attitude et ses traits attirèrent son attention. Il lui paraissait réellement familier, au-delà du jeu de "bons amis" qu'ils se plaisaient à jouer. Cette impression ne la quitta pas. Pire encore, elle grandissait au fil des minutes. S'autorisant quelques coups d'oeil observateur vers le jeune homme, elle entreprit une nouvelle fois d'avaler une gorgée de sa boisson. Elle ne pouvait garder ses réflexions pour elle, c'était mal connaître Vixie que de penser le contraire. Elle demanda alors l'autorisation, espérant qu'il ne considère pas sa franchise comme déplacée.  « Oui bien sûr vas-y » plus proche de lui, elle s'autorisa un nouveau coup d'oeil vers le regard du jeune homme. Un regard qu'elle était certaine d'avoir déjà croisé. Cette certitude lui donna le courage nécessaire pour lui demander : « Est ce qu'on s'est ... » déjà vus quelque part ? Oui, mais voilà, elle n'eut pas le temps de poser sa question. Pour la bonne et simple raison que son téléphone portable vibra dans la pochette aux tendances beiges qui lui servait de sac ce soir-là. Laissant sa phrase en suspend pour se consacrer quelques secondes aux messages qui se succédaient à une vitesse remarquable, elle jeta un oeil à l'écran.
texto. C'est qui, le gars avec qui tu traînes ?
texto. Vixie, je te rappelle que tu viens de te fiancer.  

Et voilà qu'une vague de mécontentement balaya, à nouveau, son esprit enfantin. Constamment épiée, constamment jugée. N'avaient-ils donc pas compris que Vixie Oswald Macieira faisait ce qu'elle voulait ? Qu'elle ne se considérait pas comme étant fiancée, du moins tant qu'elle n'aurait pas rencontré ledit prétendant choisi par ses deux bourgeois de parents, et jugé en conséquence ? Motivée par un élan survenu de nul part, elle décida d'opter pour une réponse non pas textuelle, mais une réponse visuelle. Quoi de mieux qu'un beau pied de nez pour affirmer son indépendance, pour faire en sortes que ses accompagnateurs ferment leur clapet, une bonne fois pour toutes ? Vixie ne demandait simplement qu'à être tranquille, juste ce soir. Était ce réellement trop demander ? Elle releva son regard aux teintures brunes vers le jeune homme dont elle venait de faire la connaissance, et dans une assurance surprenante, modifia sa question - à l'origine totalement différente - pour finalement formuler : « Est ce je peux t'embrasser ? Ou est ce que ce sera totalement déplacé au point que tu me jetterais un verre de vodka à la figure si j'essaie ? » elle renvoya un regard sérieux - lui prouvant ainsi qu'elle ne se moquait en aucun cas de lui è malgré une pointe d'humour dans sa demande, faisant en sorte de détendre l'atmosphère du mieux possible.
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MessageSujet: Re: Le jeu permet de s'amuser, mais quand devient-il dangereux ? + VIXIE Le jeu permet de s'amuser, mais quand devient-il dangereux ? + VIXIE EmptyLun 1 Juin - 12:09


On passe notre vie entière à s'inquiéter de l'avenir, a faire des projets pour l'avenir, à essayer de prédire l'avenir... Comme si savoir à l'avance pouvait amortir le choc. Mais l'avenir change constamment. L'avenir est le lieu de nos plus grandes peurs, et de nos espoirs les plus fous. Mais une chose est sûre quand finalement, il se dévoile... L'avenir, n'est jamais comme on l'avait imaginé ! ~ (vixie/adrian)

Plus la soirée avançait, plus la jeune femme parlait et moins la situation avait de sens aux yeux de Adrian. Il c’était fait une idée bien construite dans la tête et voilà qu’elle la détruisait un peu plus au fur et  mesure qu’elle s’exprimait face aux interrogations du brunet. Ses idées volaient en éclat si bien qu’il était maintenant complètement perdu. Habitué à comprendre tout ce qui se passe aujourd’hui et de nature à vouloir savoir comment fonctionne chaque chose ici il n’était pas dans sa zone de confort, cette conversation le déstabilisait plus qu’il ne voulait bien le montrer mais en tant que bon gentleman il évitait de poser trop de questions et se contentait d’aider la jeune femme. Mais sauver une princesse en danger lorsque l’on ignore ce qui la menace cela devient tout de suite plus complexe. « je crois que j'aime bien surprendre » Surprendre ? Oui c’était bien le mot, il était surpris en effet. Le sourire de la jeune femme lui fit oublier ses questions l’histoire d’un instant et il se reconcentra alors sur son rôle de… Ben de quoi d’ailleurs il n’en savait toujours rien. Amant ? Amis ? Connaissance ? Cousin ? Il se rendit compte que finalement il ne savait pas quel rôle jouer alors il continua de la même manière qu’il avait commencé, touchant son bras de temps à autres au fil de la conversation et faisant des grands sourires même si la dessus c’est vrai qu’il ne se forçait pas vraiment.  « Attentionné, en plus de ça. »  Il fit un sourire à sa réflexion puis fit une légère révérence en ajoutant « L’homme parfait pour vous servir » Il rit légèrement, il ne la connaissait pas pourtant il savait qu’elle ne prendrait pas sa pour de la vantardise, elle semblait avoir compris que ce n’était pas dans ses habitudes et que tout ça n’était qu’humour. Les deux jeunes gens continuèrent alors à boire leur breuvage tout  en discutant de tout et de rien.  Ils semblaient aussi à l’aise l’un que l’autre comme si cette situation n’avait rien d’étrange. Adrian n’avait même pas l’impression de jouer la comédie en lui parlant alors pour ses trois accompagnateurs cela devait paraître encore plus réel. Pendant la conversation le brunet observait la jeune femme plus attentivement, la couleur de ses yeux avait attiré son regard immédiatement lorsqu’elle était venu l’aborder. Ils n’ont rien d’exceptionnelle me direz-vous, pourtant si, ils sont couleurs noisettes, marrons clairs, une couleur si pure qu’il n’a vu que très rarement. Il était attiré par ses yeux comme si ce n’était pas la première fois qu’il les voyait. Il pensa alors que c’était simplement une de ses impressions de déjà vu qu’on a tous un jour. Soudain elle voulut le questionner alors après avoir acquiescé il attendit sa question plusieurs secondes. Obligeant son esprit à ne pas réfléchir à la question que cela pouvait être car son cerveau était déjà remplit d’assez d’incertitude pour l’heure. Sa voix commença à se faire entendre mais elle s’arrêta subitement au beau milieu de sa phrase, fronçant les sourcils Adrian se rendit compte qu’elle avait alors les yeux rivés sur son écran. A en voir la façon dont son visage changea d’expression il se doutait que ce n’était autre que ses accompagnateurs qui venaient de l’interpeller par message, un léger coup d’œil vers eux alors qu’elle avait encore le visage rivé sur son écran de téléphone le confirma. Finalement la question brisa le silence et sortit immédiatement le jeune homme de ses pensées. L’embrasser ? Pas qu’il était contre surtout face à une si jolie fille mais n’avait-elle pas dit que aucun de ses hommes n’était son petit ami ? Alors pourquoi vouloir l’embrasser ? Oui car il doutait que ce soit simplement parce qu’elle en avait envie, non rien de leur rencontre ni de leur conversation n’était naturel. C’était simplement une façon de plus pour qu’elle arrive à son but. C’était une simple suite à la comédie qu’ils jouaient depuis le début pourtant même s’il ne s’agissait que d’un simple baiser Adrian ne pensait pas que cela irait aussi « loin ». Elle rajoute une touche d’humour à laquelle il n’est pas insensible, elle semble fonctionner de la même façon que lui, sans prise de tête et essayant de ne pas glacer ou changer l’atmosphère régnant entre eux deux. Il aurait pu croire que c’était une blague pourtant son regard disait tout le contraire. Un baiser. Ce n’était rien. Il n’avait aucun compte à rendre à personne puisqu’il est célibataire. Pourtant il a peur que cette histoire ne s’arrête pas la, il a peur que ce baiser entraîne d’autres choses. Pas de sentiments oh non mais des complications face aux trois garçons ou à une quelconque autre personne. « Non quand même je n’oserais pas surtout que de l’alcool dans les yeux cela doit être une douleur atroce » Il n’avait pas encore répondu à la question et essayait de retarder au maximum ce moment pour être sûr de sa réponse même si en réalité il le savait déjà. Peu importe le genre de garçon qu’est Adrian, quel homme célibataire dira non à une fille d’une telle beauté lorsqu’elle lui demande de l’embrasser ? « D’accord, tu peux m’embrasser, mais seulement à condition que tu finisses par me raconter pourquoi je dois me forcer à embrasser une si jolie fille » Oh non il ne se forcerait pas le moins du monde mais il continuait cette conversation comme ils l’avaient tous les deux commencé, avec des pointes d’humour un peu partout. Adrian n’avait pas envie de prendre cette situation trop au sérieux pour l’instant au risque de se poser trop de question « Et dernière condition, tu devras me dire ton prénom après ce baiser car je n’ai pas envie de la jouer prince charmant et cendrillon » Au moins d’habitude lorsqu’il embrasse une fille il connait au moins son identité, certes cela ne change rien me direz-vous mais le jeune homme avait du mal avec tout ce mystère qui planait autour d’elle peu importe à quel point cela la rendait attirante les mystères ce n’était pas vraiment son truc. Il décida de la laisser agir car à vrai dire il ne savait pas vraiment quoi faire. Bien sur que si il sait embrasser une fille il a pas deux ans non plus messieurs dames mais le faire ainsi sur demande cela rendait la situation bien différente que tout ce qu'il avait vécu jusque la.
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MessageSujet: Re: Le jeu permet de s'amuser, mais quand devient-il dangereux ? + VIXIE Le jeu permet de s'amuser, mais quand devient-il dangereux ? + VIXIE EmptyMer 22 Juil - 19:40



I figure life's a gift and I don't intend on wasting it. You don't know what hand you're gonna get dealt next. You learn to take life as it comes at you... to make each day count.


Ce n'était pas commun, comme rencontre. Loin de là. Même pour Vixie, qui pouvait être connue comme étant impulsive et surprenante, et qui plus est, avait été à l'origine de cette confrontation surprenante, la situation se révélait assez cocasse. Certes, elle était déjantée, à sa manière, malgré les convenances exigées par sa riche famille, mais sauter sur les inconnus pour jouer au jeu "on se connait, non ?" n'était en aucun cas une habitude. Heureusement, d'ailleurs. Pourtant, ce jeu se révélait de plus en plus distrayant. La Vixie qui était excédé par le comportement de tous ceux qui l'entouraient, tous ceux qui étaient censés vouloir son bonheur avant toute chose, retrouvait petit à petit le sourire, et se plaisait même à oublier les obligations qu'on venait de lui présenter. Tout cela grâce à ce garçon, cet inconnu. Comme quoi, le destin est parfois fait de peu de choses. Le bonheur et les bonnes surprises aussi. En jouant le jeu comme il le faisait, celui qui se tenait face à elle n'avait aucune idée d'à quel point il était en train de sauver sa soirée, dans tous les sens du terme. Elle s'amusa à lui attribuer des qualités à haute voix. Surfant sur la vague d'humour qu'elle venait d'enclencher, l'inconnu fit une référence en ajoutant d'une voix guillerette : «L’homme parfait pour vous servir » elle ne put s'empêcher de rire. Un bon rire, un rire franc, un rire amusé. Celui qui faisait qu'elle était à l'aise, et qu'elle était heureuse de rencontrer quelqu'un qui prenait les choses à la légère, et qui savait manier l'autodérision. Le genre de personnes qui se faisaient rares, dans son milieu. Il fonctionnait comme elle. Il ne prenait pas la mouche, il aimait plaisanter. Et ce soir-là, c'était tout ce dont elle avait besoin. Leur conversation commençait à prendre forme, et Vixie abandonna petit à petit la comédie, pour laisser place à la bonne surprise qu'elle avait de rencontrer un garçon agréable, visiblement aussi simple qu'elle. Elle ne jouait pas avec les gens. Jamais. C'est pourquoi, dès le départ, elle avait expliqué à ce solitaire le plan qu'elle avait en tête. Sauf que désormais, elle appréciait sa présence, et sa conversation. C'est pourquoi elle ne se refusa pas un véritable échange. Loin des fausses apparences qui l'avait poussée à venir lui parler. Elle eut alors l'occasion d'en apprendre un peu plus. Rien de précis, rien de concret, rien de personnel. Juste un échange quelconque, mais un échange agréable. Elle eut l'occasion de l'observer, analyser ses traits, comme elle le faisait naturellement à chaque rencontre. Des cheveux bruns en bataille, un regard doux chocolat, un petit nez légèrement en trompette. Musclé, mais pas trop. Il était assis, mais Vixie songeait qu'il devait la dépasser d'une dizaine de centimètres. Rien d'excessif. En résumé, un garçon mignon, mais également une apparence qui lui semblait étrangement familière. Ce bon moment fut, toutefois, gâché par l'attention que leur portaient les trois chaperons de la jeune fille de riche, mais aussi par les textos qu'ils s'amusèrent à lui envoyer. Elle en perdit le sourire, à la vitesse de la lumière. Cet excès de colère, associé au fait qu'elle se sentait désormais à l'aise avec l'inconnu qui se trouvait face à elle et qui ne devait pas comprendre grand chose au remue-ménage dont il était à la fois témoin et acteur, lui donna des ailes, au point de lui poser une question qu'il n'avait certainement pas l'habitude d'entendre : je peux t'embrasser ? Malgré l'audace de cette demande, Vixie ne comptait pas revenir en arrière. Elle n'était pas du genre à s'offusquer, à rougir, à tenter d'effacer son audace à coup de "excuse moi, c'était une question idiote, oublie ce que j'ai dis". Non, non. Elle maintient son regard, et s'amusa même à ajouter une pointe d'humour pour rendre le tout moins solennel. Il ne devait pas croire qu'elle se fichait de lui, ou qu'elle voulait lui attirer des ennuis quels qu'ils soient. Parce que c'était loin, loin d'être le cas. « Non quand même je n’oserais pas surtout que de l’alcool dans les yeux cela doit être une douleur atroce » cette réponse, étrangement, la mit à l'aise. Puisque, malgré son assurance, Vixie avait peur de passer pour une allumeuse, ou une fille à problèmes, à ses yeux. Sa tentative d'humour lui fit comprendre qu'il ne voyait pas les choses sous cet angle, heureusement. Ce qui ne l'étonnait pas grandement, d'ailleurs : il restait un inconnu, dont elle ne connaissait même pas le prénom ou l'âge, mais pourtant, elle commençait à le cerner. Et du peu qu'elle avait su apprendre de lui, la brésilienne pouvait avancer qu'il n'était pas de ceux qui jugeaient, ceux qui se refermaient comme des coquilles vides, ceux qui ne connaissaient pas l'ouverture d'esprit. Elle lui offrit un doux sourire avant de répondre sur le même ton : « je te remercie de penser à mes mirettes ! » Cela dit, il n'avait pas répondu à sa question première. Ce qui forma une petite boule de pression au creux de son estomac. Se prendre un râteau n'était jamais agréable pour personne, même si il succédait une demande aussi spéciale que la sienne. Elle retint sa respiration : « D’accord, tu peux m’embrasser, mais seulement à condition que tu finisses par me raconter pourquoi je dois me forcer à embrasser une si jolie fille » la voilà rassurée. Il n'avait donc pas été visiblement choquée par l'audace de sa demande. Il s'était même permis une pointe d'humour à son tour, ce qui eut le don de la faire sourire. Sans compter qu'elle n'était pas passer à côté du compliment qu'il venait, indirectement, de lui faire et qui ne pouvait que lui faire plaisir. Il ajouta presque immédiatement une autre condition : « Et dernière condition, tu devras me dire ton prénom après ce baiser car je n’ai pas envie de la jouer prince charmant et cendrillon » la légèreté avec laquelle il s'était amusé à lui présenter ses conditions fit fleurir un sourire amusé sur les lèvres de la jeune femme. Elle commençait à vraiment l'apprécier pour sa simplicité. Simplicité qu'il n'hésitait pas à mettre en avant alors qu'elle venait de le confronter à l'intervention la plus étrange de toute son existence. C'est à ce moment précis qu'elle réalisa qu'elle était tombée sur celui qui fallait. Un garçon avec qui elle pouvait bien s'entendre. « ça me parait raisonnable, comme requête. » affirma t-elle d'une voix solennelle, teintée d'un amusement non dissimulé. D'ailleurs, elle se permit une pointe d'humour à son tour : elle se pencha légèrement, se rapprochant légèrement, le tout en ajoutant : « Au cas où je perde ma chaussure ce soir, je te préviens : je chausse du trente-huit. Et j'habite bien à New York. » le tout affirmé avec beaucoup de sérieux, mais tout de suite suivi par un sourire angélique et soudain. Après tout, Cendrillon aurait certainement eu beaucoup moins de problème si elle avait confié au prince sa taille et son prénom. Ça aurait très certainement arrangé tout le monde, soit dit en passant. Se soumettant aux conditions qu'il venait de lui dresser, elle confirma à voix haute : « Marché conclu, je te le promets. » maintenant, restait à faire ce qu'elle avait prévu. Rien n'est moins compliqué pour des jeunes d'embrasser un individu du sexe opposé, ça l'était, visiblement, davantage lorsqu'on le connaissait depuis quelques minutes, mais surtout, après en avoir fait la demande dans de telles conditions. C'était pourtant un simple baiser, elle ne lui avait pas demandé de lâcher sa vie pour faire le tour du monde à ses côtés, de se marier à Las Vegas sur le chemin, et d'avoir tant copuler qu'ils auraient déjà trois enfants en revenant à New York. Fort heureusement, contrairement au jeune homme, Vixie n'était pas du genre à se poser trop de questions, au contraire. La plupart du temps, elle agissait avant de réfléchir. Ce qui lui valait, dans certaines situations, certains problèmes, inévitablement, surtout lorsqu'elle était adolescente. C'est pourquoi, sans réellement réfléchir, avec douceur, elle s'approcha encore de l'inconnu, réduisant dangereusement l'espace qui les séparait jusque-là, qui était déjà assez mince à la base, puisqu'ils étaient assis côte à côte. Elle s'offrit une petite pause de quelques instants, observant le jeune homme de ses grands yeux noisettes. Il lui paraissait davantage familier, sous cet angle. Ne cherchant pas plus de réponses à ses questions qui lui parurent - à cet instant - sans fondements et inutiles, elle s'approcha de quelques centimètres encore, pour finalement, déposer ses lèvres rosées sur les siennes. Dans un baiser tout d'abord léger qui s'allongeait au fil des secondes, ses lèvres cherchaient, petit à petit, telle une caresse, les siennes. Certes, ils s'embrassaient pour sauver les apparences, mais ça ne l'empêchait pas d'en profiter un petit peu. Après tout, un baiser restait toujours agréable, quel que soit le contexte. Elle finit par rompre le contact et s'éloigna très légèrement de son visage dans un geste doux, le tout avant de rouvrir les yeux. « Je me suis pas transformée en citrouille, t'as vu ? » elle lui adressa alors un petit sourire mutin et complice.

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Le jeu permet de s'amuser, mais quand devient-il dangereux ? + VIXIE Empty
MessageSujet: Re: Le jeu permet de s'amuser, mais quand devient-il dangereux ? + VIXIE Le jeu permet de s'amuser, mais quand devient-il dangereux ? + VIXIE EmptyJeu 30 Juil - 14:57


On passe notre vie entière à s'inquiéter de l'avenir, a faire des projets pour l'avenir, à essayer de prédire l'avenir... Comme si savoir à l'avance pouvait amortir le choc. Mais l'avenir change constamment. L'avenir est le lieu de nos plus grandes peurs, et de nos espoirs les plus fous. Mais une chose est sûre quand finalement, il se dévoile... L'avenir, n'est jamais comme on l'avait imaginé ! ~ (vixie/adrian)

En rentrant dans ce bar il y a quelques heures Adrian était loin de se douter que sa soirée aurait pris une telle tournure. Il c’était rendu dans ce bar un peu par hasard, cherchant simplement à sortir de sa chambre d’hôtel. Il avait pensé que boire un verre ou deux l’occuperait un petit moment bien qu’il n’aime pas vraiment trainer tout seul. Adrian n’est pas un solitaire, comme tout le monde il aime se retrouver seul de temps en temps mais jamais plus de quelques heures. Il aime être entouré, parler, rire. S’il est aussi sociable c’est certainement parce qu’il a passé son enfance seule après la mort de ces parents, et détestant cet état dans lequel il était-il avait alors décidé de sortir, de se faire des amis et depuis il a continué à s’en faire de nouveaux. Bien sur il sait qu’il ne peut pas compter sur toutes les personnes de son entourage, ce serait bien trop beau. Il sait qui sont les personnes de confiance et d’ailleurs ce soir il en aurait bien invité une pour venir avec lui dans ce bar mais la réalité est qu’il est tout seul à New York. Il est à nouveau seul dans cette immense ville, tentant de se faire sa place comme il l’avait fait à San Francisco il y a des années. Finalement ce soir il n’était plus seul, il était en compagnie de cette belle inconnue et au-delà de la comédie qu’il avait accepté de jouer il prenait du plaisir à discuter avec elle, elle qui semblait avoir le même humour que lui, la même répartie. Si au départ sa requête avait attisé sa curiosité désormais il éprouvé un réel plaisir à continuer leur échange. Il s’amusait de ses remarques et elle riait des siennes. Une vraie bonne ambiance c’était installé entre ces deux inconnus. Puis cette discussion pris alors un nouveau tournant à la demande de la jeune femme. S’embrasser ? N’étais-ce pas pousser la comédie un peu loin ? Pourtant il fallait bien l’avouer au-delà du fait qu’il voulait l’aider il ne pouvait pas nier que l’embrasser serait également très agréable.  « je te remercie de penser à mes mirettes ! » A sa remarque il se retint d’ajouter « Il serait dommage d’abîmer de si joli yeux » Mais il resta muet trouvant que cette phrase le ferait passer pour quelqu’un d’un poil trop charmeur. Puis finalement il répondit à son interrogation principale, mettant des conditions à tout cela. Il accepté de jouer le jeu mais donnant donnant il voulait quelque chose en retour et ce qu’il demanda lui semblait être la moindre des choses  « ça me parait raisonnable, comme requête. » et elle semblait du même avis que lui ce qui le ravit. La plupart des garçons aurait certainement accepté à condition d’une promesse d’un café le lendemain, ou d’un ciné un jour mais pas lui. Non sa curiosité prenait le dessus sur son attitude habituel de mâle. « Au cas où je perde ma chaussure ce soir, je te préviens : je chausse du trente-huit. Et j'habite bien à New York. » Elle réussit à le faire sourire à nouveau, comprenant alors qu’elle était vraiment sur la même longueur d’onde que lui. Aidé par l’humour des deux inconnus la scène semblait beaucoup moins étrange. Sa question semblait même devenir complètement banale alors que ne l’oublions pas elle lui a quand même demandé si elle pouvait l’embrasser et ceci c’était loin d’être banale pour le brunet. Trente-huit. New York. Il décida de retenir sa dans un coin de son cerveau malgré le côté humoristique de sa phrase. Elle habitait donc à New York. Il pourrait donc tout à fait être en mesure de la croiser à nouveau malgré l’immensité de cette ville et cette pensée le fit sourire. « Marché conclu, je te le promets.» Acceptant le marché il ne leur restait donc plus qu’une chose à faire. S’embrasser. Alors qu’ils avaient surement tous les deux déjà pratiqué de nombreux baiser aujourd’hui cette tâche semblait beaucoup plus compliqué. Il faut dire que tout le naturel du baiser que Adrian adore avait disparu après cette demande par conséquent il ne savait plus vraiment comment agir. C’est pourtant pas sorcier il a déjà fait sa des centaines de fois il lui suffit de poser ces lèvres sur les siennes. Même un enfant de trois ans sait le faire. Heureusement la jeune femme semblait se poser beaucoup moins de questions que lui. Il regarda son visage s’approcher du sien, ses pupilles plongé dans les siennes avant que leurs lèvres ne soit scellés. Les yeux clos Adrian laissa ses lèvres chercher les siennes dans une infinie douceur, puis ouvrit les yeux lorsque le contact eu disparu et la regarda à nouveau, un fin sourire sur les lèvres. Une nouvelle remarque qui agrandit son sourire puis il vint lui répondre « Tant mieux je ne suis pas trop légumes mais alors dis-moi quel est ton vrai prénom Cendrillon » Bien que Cendrillon lui aille plutôt bien en réalité mais après ce moment de douceur il avait envie plus que jamais de connaître l’identité de cette belle inconnue. Adrian se recula alors légèrement et laissa son regard vagabonder un peu plus loin, la ou les acolytes de la jeune femme était posté. Des regards furibonds le menacèrent, des flammes dansant dans leur regard mais comme elle l’avait prédit plus tôt aucun d’entre eux ne bougea, maintenant il ne restait plus qu’à savoir qui était ces gars et pourquoi est-ce qu’ils avaient l’air si contrarié et Ad savait qu’il n’allait pas tarder à le découvrir.
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