ft. zac efron
» Prénom(s) : Kevin Felicity » Nom de famille : Tatcher » Nom d'usage : Tatcher » Surnom/pseudonyme : Kev » Nationalité : Américaine » Origines : Québécoises & américaines » Date de naissance : premier avril mille neuf cent quatre vingt sept » Lieu de naissance : montréal » Lieu de résidence actuel : New York City » Occupation actuelle : policier à la NYPD » Statut civil : célibataire |
god bless america (& its citizens)
ce qu'il faut savoir sur ton personnage
» travaille à la nypd depuis seulement deux ans.
» il résout des meurtres non élucidés.
» son père est pompier.
» sa mère est morte dans un incendie lorsqu'il avait 12 ans.
» sa mère était banquière.
» alors qu'il n'avait que 3 ans, il s'est fait enlevé avec son père, pour faire chanter sa mère et qu'on puisse braquer sa banque.
» depuis quelques temps il commence à faire des rêves de cet enlèvement, sans forcément les comprendre.
» il adore jouer au billard.
» il adore le champagne.
» ses relations amoureuses ne durent jamais plus de six mois, car il se lasse rapidement.
» il adore sortir avec ses amis, et faire la fête jusqu'au bout de la nuit.
» il n'assume pas du tout de vieillir.
» personne ne sait pour son deuxième prénom qui est Felicity.
» ses parents ont toujours voulu avoir une fille, d'où ce deuxième prénom féminin.
» a peur du feu.
public knowledge
mise en situation rp
Assis dans mon canapé, j’étais en train de faire un point sur ma vie. J’avais déjà 27 ans, et ça ne faisait que deux ans que je gagnais véritablement ma vie avec le métier qui me plait vraiment. Jusqu’ici je faisais des tas de petits boulots par ci par là. Dès lors qu’on cherchait quelqu’un pour un petit travail, c’est moi qu’on appelait car on savait que j’accepterais toujours. J’ai toujours su que je voulais faire quelque chose pour venir en aide aux autres. J’avais pensé à suivre les traces de mon père, seulement me retrouver près d’un feu m’était trop difficile. A cause de ce qui a pu se passer concernant ma mère. Je n’arrive même pas à accepter un petit feu de camp, ou alors un feu de cheminée, alors côtoyer le feu tous les jours m’était impossible. Alors oui, j’avais pris du temps pour trouver ma voie, mais je l’avais enfin trouvé. Et puis comme on le dit si souvent : « vaut mieux tard que jamais ». Je me suis spécialisé dans les affaires non élucidées, encore une fois, c’était lié à l’affaire de ma mère. On n’a jamais trouvé qui a causé ce feu meurtrier, et ça me fait mal. Alors j’ai décidé d’aider ces familles à faire leur deuil en élucidant les affaires que mes collègues ont en quelque sorte abandonné. C’est ma façon de les aider. (…) Tout en réfléchissant, j’observais ce petit appartement du Bronx. Je loge ici depuis des années maintenant. Dès lors que j’ai emmené ici à New York. Lorsque j’ai pris la décision de quitter mon Canada pour venir travailler dans la grande Pomme. C’est toujours plus facile de trouver du travail dans d’aussi grandes villes. Puis, cette ville m’a toujours attirée, avec ses énormes gratte-ciels, et ses petites rues d’Harlem, ou de Brooklyn. Oui, je m’y suis tout de suite senti à l’aise. Seulement, n’ayant pas beaucoup d’argent, j’avais attiré au Bronx, dans un petit appartement appartenant à un vieil immeuble. Aux premiers abords, on pourrait penser que mon appartement est très lugubre, mais pas du tout. J’ai fait tous les travaux nécessaires pour qu’on s’y sente à l’aise. Depuis, les gens ne font que me dire qu’ils aiment l’ambiance qui y est. De toute façon, je ne me vois pas le quitter maintenant. C’est un petit peu dans cet endroit que j’ai tout vécu. Ma première fois, ma première cuite, mes plus grandes peines, les annonces des bonnes nouvelles. J’ai vécu d’énormes choses dans cet appartement, et j’y tiens. Je n’ai même plus peur d’emmener des filles ici, car je sais qu’elles vont adorer l’endroit. D’ailleurs elles ont toujours du mal à partir. Je commence même à penser que des fois elles préfèrent mon appartement à moi. Ce qui me convient. Je ne compte pas me poser tout de suite, même si tous mes amis me disent qu’il le faudrait étant donné que j’arrive sur la trentaine. Oh bon sang, laissez-moi profiter de ma jeunesse. Je suis beau, les filles m’adorent, alors pourquoi me contenter que d’une seule ? Je ne suis pas prêt, ça ne sert à rien de me forcer. Puis, il m’arrive d’être sous couverture, je ne pense pas que ça va rassurer la fille. Ca ne rassure pas mon père, alors une fille serait en paranoïa totale. Je ne me vois pas donner des explications à tout moment. J’ai besoin de ma liberté. Je n’ai pas besoin qu’une fille me demande toujours ce que je fais, où je suis, quand est ce que je rentre, et j’en passe. Je suis déjà assez débordé comme ça avec mon travail, et mes soirées. Je ne veux pas me rajouter une surcharge de travail en plus avec une femme à mes côtés. Parce que oui : avoir une femme à ses côtés c’est un très gros travail. Il faut la rassurer, et ce n’est pas facile du tout. (…) Il est difficile d’imaginer qu’un policier comme moi, puisse vivre dans un tel quartier et immeuble, pourtant c’est le cas. Je n’ai pas peur, et puis ça me permet d’avoir de l’argent de côté pour mes petits plaisirs. De plus, à côté de mon travail de policier, il m’arrive de jouer au garde du corps auprès de personnalités importantes, ou non. Spécialement le soir, car c’est souvent à ce moment-là que je suis libre mais que surtout on a besoin d’un homme à ses côtés pour ne pas se faire agresser. J’ai spécialement des clientes. Elles m’apprécient beaucoup, surement pour mon physique, mais aussi pour mon humeur, mon professionnalisme, ma gentillesse, et toute mon attention envers elles. Oui, je suis un peu parfait sur les bords, mais je ne le dis pas, sinon on penserait que je suis trop prétentieux. Je n’y peux rien si c’est la vérité. (…) Après avoir autant réfléchi sur ma vie et sur ce que je devenais, je m’étais couché, seul, dans mon lit. Le sommeil était arrivé très vite, sans même que je ne puisse m’en rendre compte. Mais je m’en rendis compte, lorsque les cauchemars firent leur apparition. Je me réveillais, tout en sueur, dans mon lit. Encore ce foutu cauchemars. Je voyais des tonnes d’armes pointés sur moi, des hommes cagoulés, prêts à tirer si je me mettais à pleurer. Comme si je pleurais moi. Non, mais sérieux quoi. Je pouvais sentir des bras autour de moi, puis le noir complet pour enfin entendre de terribles menaces. Des bruits de coups. Des pleurs d’une femme. Je n’avais jamais réellement compris le sens de ces rêves terribles, jusqu’à ce que j’en parle à mon père. Qui, lui, su me répondre. Il devait s’agir de mon enlèvement avec lui. On faisait chanter ma mère, pour qu’elle fasse entrer des hommes à la banque et qu’ils la dévalisent. Seulement, ils n’avaient pas réussi. La police avait pu intervenir. C’est à partir de ce moment que je commençais à avoir des soupçons concernant la mort de ma mère. Et si tout cela n’était qu’une question de revanche ? Tuer la femme qui les avaient empêché de gagner énormément d’argent, en utilisant ce dont son mari lutte tous les jours : le feu. Tout était lié. Il ne me manquait plus que les preuves. Et comme tous les soirs, je me lève du lit pour retrouver cette pièce « secrète » où les murs sont recouverts de journaux, de papiers quelconques. Oui, je sais bien que cette affaire m’obsède, mais je me suis promis de l’élucider, pour mon père et moi, et mes promesses je les tiens toujours.
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ce qu'il faut savoir sur toi
| » Prénom : alo. » Pseudo : blue romance. » Âge : 20 ans. » Scénario ou personnage inventé : personnage inventé » Des multicomptes ? lubja & le prochain perso pour elz » Impression sur le forum : je vais bien m'amuser sur tge :D » Crédits : tumblr. » Le mot de la fin : rip bcu mais bienvenue à tge
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