❝ everytime she smiles, I love her more ❞

LUCAS & LEO    Il commençait à faire tard, et j’en avais tout simplement marre de réviser mes cours. Il était 20h. J’avais besoin de prendre l’air, et pourquoi pas manger un petit truc. Je sortis de la maison des Omégas, là où j’étais précédemment. Pour terminer dehors. Un grand vent frais vint me chatouiller le visage, que j’enfouis dans ma veste. Et zut. Il ne faisait pas aussi froid durant la journée. J’hésitais alors à marcher un peu plus pour me retrouver on ne sait où. Fort heureusement pour moi je me retrouvais au niveau de l’Albatross. J’y jetais un coup d’œil. Je ne connaissais pas, je n’y avais jamais mis les pieds. Pas mal de jeunes s’y trouvaient. Ça semblait alors plutôt sympa. Je me décidais à y entrer pour m’asseoir à une table, seul. On vint me demander ce que je voulais. Une petite salade que je pris, plus une bière. Je ne savais pas trop quoi penser de ce dîner que j’étais sur le point de prendre. Ça ne me serait surement jamais arrivé si j’étais avec Aleyna, et qu’on n’avait pas eu cette dispute. Comme pourrait le dire l’expression du moment : « je suis au bout de ma vie » en ce moment. Après seulement quelques minutes on me servit. Je souris à la serveuse. Pour commencer alors à manger. Mais à peine la salade entamée que j’avais déjà terminé ma bière pour en commander une autre. Et cela neuf fois d’affilé. Oh je n’étais pas bourré. Pas encore. J’avais juste une grosse envie d’aller aux toilettes. Et à cette pensée je me mis à rire. Oh, en fin de compte l’alcool commençait peut-être à monter. Je regardais ma salade, que je n’avais toujours pas terminée. Je relevais ma tête et je vis une jolie blonde entrer dans la place. Je lui fis un coucou de la main. Je regardais cette main, qui me semblait bouger toute seule. Alors avec l’autre main qui me restait je stoppais celle qui faisait coucou. Léo arriva, et se posa à mes côtés. « Une sirène est dans la place ! Faites attention, bouchons nous tous les oreilles. » Oh non. Décidément l’alcool parlait déjà à ma place. Et je vis ma dixième bière arriver à ma table. Je fus même étonné d’avoir encore toute ma tête pour les avoir toutes comptés. A moins que j’ai l’impression d’en avoir bu dix, alors que c’est bien plus. Je regardais la jeune fille. « Tu veux quelque chose à boire ou manger ? Bon à manger je t’offre le reste de ma salade, elle me fait de la peine. Et puis j’ai presque plus d’argent sur moi là. Tout est partit avec ça. » Je lui montrais alors ma bière. Cela sous entendait tout de suite que j’en avais pris plusieurs, et que ça n’était pas ma première de la soirée. Mon regard se posa sur l’horloge, et je vis qu’il était 20h50. Oh mon dieu que le temps passe vite, ou au contraire pas assez. Et moi qui suis déjà pas dans mon état normal, à cette heure là. Je ne suis pas fier de moi du tout. La faute à Aleyna.

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LUCAS & LEO    Je pensais passer la soirée tout seul, ou du moins avec aucune fille. Bien que j’aurais surement préféré voir Aleyna franchir cette porte plutôt que Léo. Quoique, au vu de mon état, c’est bien mieux comme ça. Peu importe comment la blonde peut me voir, je m’en fous pas mal. D’ailleurs, je n’essayais même pas de me taire pour ne pas dire de conneries. Ah non. Je faisais limite exprès de dire toutes ces bêtises. Comme si c’était ma seule façon là de m’amuser. Avec Léo. Une ex-copine avec qui je n’avais jamais mis les choses au point. Elle m’avait trompé, alors bon, qu’est ce que j’aurais pu lui dire ? Ou même elle encore. Tout avait déjà été dit. Et contrairement qu’avec Aleyna, je n’avais pas cherché l’affrontement. Au contraire, je n’ai rien dit, je me suis tut, et j’ai tout simplement coupé les ponts. L’ignorance ça fait tout autant mal que des paroles. Depuis cette relation, nous n’avions jamais encore réellement parlé de ce qui s’était passé. Mais me retrouver avec elle durant les Olympiades m’avait fait réaliser que j’étais passé à autre chose, alors pourquoi pas renouer nos liens ? Et c’est bien pour cette raison que je lui avais fait signe de venir me rejoindre, à ma table. « Très bien princesse, je me tais. » venais-je de lui dire tout en la regardant droit dans les yeux. Elle était toujours aussi belle, voire encore plus jolie. Elle était devenue une vraie femme, et ça me plaisait. Mais peu importe, car je ne remettrais jamais rien avec elle. Elle m’a bien trop blessé dans le passé pour remettre ça. Elle se mit à parler de mes soit disant groupies, ce qui me fit sourire. C’est vrai que pas mal de filles tournaient autour de moi, mais depuis que je suis avec Aleyna, je n’y fais plus attention. Je m’en fous royalement. A mes yeux, il n’y en a qu’une et il s’agit d’Aleyna. Je regardais autour de nous. Que des hommes. Mais où sont les femmes ? Bonne question. Oh et puis peu importe car j’ai Léo, rien que pour moi. « T’as vu ça. C’est étrange d’ailleurs non ? » Demandais-je légèrement ironiquement car au fond ça ne m’atteignait pas du tout. Et ça me faisait même plutôt du bien. De ne pas me sentir observer par des regards de filles en chaleur. Je lui proposais enfin le reste de ma salade, qu’elle prit avec grand plaisir, malgré son envie de pizza. « C’est pour ta silhouette que je n’ai pris qu’une petite salade. » A croire que j’avais su qu’elle allait venir. N’importe quoi moi. Elle me demanda enfin si quelque chose n’allait pas. Ma tête se releva d’un seul coup vers elle, et je la regardais. Me demandant s’il fallait que je lui dise ou pas. Après tout, nous nous retrouvions tout juste, je me voyais donc mal lui raconter mes problèmes. Mais après tout, pourquoi pas. « Je crois bien que je suis un con. » lui répondis-je en finissant ma bière de l’instant. Je regardais dans mon portefeuille. Plus rien, même pas pour une dernière bière. Je ne pouvais même pas offrir quoique ce soit à mon amie. Je soufflais, et posais mes coudes sur les coudes, regardant dans le vide. Pensant à Aleyna, et à tout ce qui s’était passé dernièrement entre nous.

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LUCAS & LEO    Toutes les nuits je ne faisais plus que le même rêve, ou plutôt cauchemar. Je revoyais Aleyna et elle m’avait totalement rayé de ses souvenirs, ne se souvenant même plus de moi. Plus rien de tout ce que j’avais fait pour elle n’était dans ses souvenirs. C’était comme si toute ma relation avec Aleyna n’avait été qu’un rêve, un fantasme. J’essayais alors de ne plus dormir, pour ne pas me réveiller en sursaut, transpirant comme un gros cochon, malgré qu’on soit en hiver. Je ne savais même plus ce qui relevait du réel ou du rêve. Vraiment. Plus le temps passait, et plus je me posais la question de la réalité de ma relation avec Aleyna. Était-ce vraiment arrivé ? Avais-je vraiment vécu tout cela avec elle ? Pareil en ce qui concerne Léo. Lorsque je la vis, je me mis à me demander si on avait vraiment eu une relation ensembles. Après tout, je l’avais toujours trouvé aussi charmante, belle, magnifique. Je l’avais surement croisé un jour dans les couloirs, et j’avais fait ce rêve : ce rêve me montrant avec Léo, quelques années plus tôt. Mais un rêve peut-il sembler aussi réel ? Je n’en suis pas certain. Seulement, au vu de mon état, tout est possible. Ou plutôt : tout me semble possible. « Ah oui peut-être. Ca me prouverait donc que ce n’est pas parce que je suis devenu moche, ou très bête aux yeux des femmes. C’est vrai que sentir bon ca change tout. Tu trouves que je pue ? » Et pour la peine, je lui fis sentir ma bouche. Comme si le parfum se mettait dans la bouche. Non non Lucas, arrêtes ça tout de suite. Au contraire, je continuais. Tout en rapprochant de plus en plus ma bouche grande ouverte du nez de Léo. Une bouche qui devait bien puer, oui, la bière. En un instant j’eus un éclair de lucidité. Je fermais ma bouche, et me mis à sentir mes dessous de bras. « Oh putain mes bras sentent la bière. A croire que j’ai remplacé mon déo de ce matin avec une bouteille de bière. » Ce n’était pas gagné pour Léo de comprendre tout ce que je disais. Car tout ce qui sortait de ma bouche, à part l’odeur de la bière, n’était que sottises sur sottises. Mes idées n’étaient plus vraiment très claires. Bien que je fusse assez lucide au point de remarquer que tout ce que je disais n’était que conneries. « Oh pourquoi ? Moi je trouvais que tu marchais très bien. Surtout en sous-vêtements. » Et je me mis alors à m’imaginer la jeune fille en sans vêtements. Pervers que je suis. Ce que l’alcool ne nous fait pas faire quoi. Je me mis à lui dire alors que je me pensais très con. Je la regardais, surpris par sa question. Ça ne se voyait pas que j’étais con ? Non vraiment. Je la regardais avec des gros yeux. Pour enfin lever la bouteille de bière qui était devant moi. « MAIIIIIS parce que je bois, que je t’imagine toute nueeeeee, et que. Bah j’sais plus le reste. Ah si si. Je crois que j’ai fantasmé toute une vie avec une certaine euh… une sigma je crois. Une euh. Son prénom ça finit par Na ! Leynaaaaaaaaa! » Quelle idée d’avoir une Aleyna et une Leyna dans la même confrérie aussi. « Rassures- moi, on a bien eu une relation ensembles hein ? Ne me dis pas que j’ai fantasmé sur toi aussi. J’ai l’impression de m’inventer une fille avec toutes les meufs d’ici. » Je n’avais même pas fait gaffe à avoir dit fille au lieu de vie. Ce qui faisait surement référence à la fille d’Aleyna. Je voulais surement dire que je m’étais imaginé avoir une fille avec elle. Une fille qui serait vraiment à moi, et non à un autre.

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LUCAS & LEO    Il fallait tout de même le faire : se sentir les aisselles devant aisselle, juste après qu’elle vous ait dit pour rigoler avec vous que votre odeur passait. Bon apparemment j’avais oublié de mettre du déodorant ou même du parfum ce matin. Ou alors j’étais tellement dans un sal état que je me sentis puer, et l’aide de Léo ne m’aidait pas du tout. Après tout, elle ne m’aidait pas du tout. Au contraire, elle m’enfonçait encore plus dans mon délire. Et bizarrement ça me plut. Ca me plut de voir qu’elle rentrait dans mon jeu et qu’elle n’essayait pas de me faire sentir bien, beau et sentir bon, juste pour me faire plaisir, et espérer quelque chose avec moi. Ce que font énormément de filles. Elles pensent qu’en vous complimentant de milles compliments vous allez vous jeter sur elles tout de suite. Peut-être que ça fonctionne avec d’autres, mais pas moi. Je sais très bien ce que je vaux, ou non au contraire, pas besoin d’une fille pour me le dire. Sauf Léo peut-être. Car elle, peu importe ce qu’elle peut me dire. Je l’entends comme un compliment. Elle venait de me dire que je ne sentais pas forcément la rose, mais je pris cela comme un compliment. « On ne peut pas être parfait. Toi-même tu sais. » Oups, je n’aurais peut-être pas du prononcer la fin, mais c’était dit. Je la regardais, la main devant la bouche. Tel un enfant qui venait de faire une bêtise. Mais après tout, j’avais dis la vérité. On peut penser aux premiers abords que la jolie jeune fille est parfaite, mais pas du tout. Bon ok, son corps l’est. Mais côté personnalité, elle est loin de l’être. Encore moins depuis qu’elle a pu me tromper. Et si elle m’a trompé, n’a-t-elle pas pu faire la même chose à d’autres ? Vous voyez en elle la perfection là ? Elle semblait pourtant bien accepter l’autodérision, alors j’espérais qu’elle ne prenne pas trop mal ce que je venais de lui sortir aussi naturellement. C’en avait été presque méchant sur le coup, alors que je n’avais pas voulu l’être. Vraiment pas. Je lui en avais voulu par le passé. Plus trop maintenant. J’avais enterré notre histoire. Je ne l’oubliais pas pour autant, oh non. J’essayais juste de passer par-dessus, et construire une nouvelle relation, totalement amicale, avec elle. Bien que ça n’allait pas être facile si je lui disais de telles choses. « Du D ? Mais c’est le strict minimum ça tu rigoles. Nous on veut du F ! » Je rigolais bien sur. Au contraire, un bonnet D devait être le maximum pour moi. Plus gros, c’est vraiment trop gros pour moi. Et après tout, qu’est ce qu’on peut en faire de tous ces seins après ? Moi ça m’importe peu, bien qu’il m’en faut quand même un peu, je ne souhaite pas une poitrine d’enfant. Alors oui des fois je peux comprendre des femmes qui veulent se faire augmenter la poitrine, celles qui font du A voire moins. Après, ça n’en vaut pas le coup. A moins si ce n’est pour avoir du C. Surement le bonnet parfait pour moi. Et me voilà qui divaguais sur la taille des seins des femmes. Et celle de Léo ? Ça passait ! Je l’écoutais me parler de Leyna. Pour enfin ouvrir grands les yeux. Mais de quoi elle me parlait de Leyna elle ? Je pestais, pour enfin lui répondre. « Mais de quoi tu me parles de Leyna toi, j’ai dis AAAAAAAAAAAaleyna. AAAAAAa, tu l’entends le A devant le Leyna ? Ma copine c’est… ou c’était, je sais plus, Aleyna. Et pas Leyna. Rhoo lala. J’ai besoin de prendre une douche, mais toi de te laver les noreilles. » Je disais les choses pour tout de suite oublier quelques secondes après. Il me semblait vraiment avoir parlé d’Aleyna et non Leyna. Donc oui, pour moi la fautive était Léo et non moi. C’était elle qui avait mal entendu et moi qui avait bien parlé. Ah si seulement je pouvais arrêter de boire toute cette bière. Cette bière qui me fait penser ne pas avoir eu de relation avec Léo, qui celle-ci le prit très mal. Oh j’ai touché son égo. Je me mis à rire, et lui pointa mon doigt sur son nez « Pouet pouet. Je rigolais princesse. » Juste pour lui faire plaisir que je lui dis cela. Ne pas l’entendre me faire une crise, toute une histoire sur notre relation. Je ne voulais pas plus en entendre parler. Pourquoi m’inventerais-je une histoire avec une fille qui me trompe ? C’est bien trop tordu comme fantasme. Ça ne peut que donc être la vérité. Il n’y a que la vérité qui est aussi tordu. Je voulus me lever de ma chaise, pour venir lui faire un câlin, pour m’excuser, mais je ne tins pas pour debout alors pour la peine je me retrouvais les fesses par terre. Je lui tendis les bras, pour lui demander « Câââââââlin princesse, steuuuuuuuuu plait. » J’en avais surement besoin. Besoin d’un quelconque contact attendrissant avec quelqu’un. Spécialement une fille. Et oublier le manque d’Aleyna ainsi.

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LUCAS & LEO    Ah oui les gens pensent que Léo n’est pas parfaite juste parce qu’elle a embrassé Taylor Swift ? Les gens sont cons, parce qu’au contraire, pour moi, ça ne peut que l’en rendre encore plus parfaite. Je ne sais pas ce que nous avons, nous, les hommes, avec ce fantasme de voir deux femmes s’embrasser, mais je fais partie de ceux qui aiment bien voir ça. Plus qu’un baiser, je ne sais pas si j’en serais capable, mais un simple baiser, je trouve cela terriblement sexy, et excitant. Léo avec Taylor Swift, ça aurait pu en devenir un fantasme. Et non seulement que pour moi. Beaucoup d’hommes devaient penser cela, sans pour autant l’avouer. Et la bière me faisait réellement penser à des choses totalement stupides. Avec tout ce que j’avais ingurgité, je n’avais plus du tout les idées très claires, mais surtout j’étais sur la voie pour avoir un gros bidon que seuls les gros buveurs de bières ont. Et ça je ne veux pas. J’aime trop avoir un corps parfait, pour le gâcher avec de la bière. Alors d’un coup, je rejetais la bière que j’avais dans la bouche pour la remettre dans la canette. Vraiment pas classe. Je regardais Léo, et en signe d’excuse je lui dis « Je ne veux pas avoir de ventre à bière. La bière c’est terminée pour moi ! » Normalement je suis un mec plutôt classe, mais bourrée, je deviens le gros cochon qu’aucunes filles ne pourraient vouloir. Après tout, je ne veux aucunes filles ; je veux Aleyna. Mais ne parlons pas de ça. Ne pas gâcher ce beau moment que je passe avec Léo, depuis tout ce temps où nous nous ne sommes pas parlé, voire ignorer. Il ne fallait pas que je gâche cette soirée en pensant à une autre. Il fallait que je me concentre sur Léo, même si cela en arrive à me l’imaginer nue avec une grosse poitrine. Ce que je peux être le stéréotype de l’homme ! J’avais toujours essayé de ne pas tomber dans ces préjugés de l’homme, et pourtant c’est ce que je faisais en ce moment-même. L’alcool ce n’est vraiment pas bon pour mon cerveau et ma personnalité. A croire qu’il existe deux Lucas en moi. Je n’entendis que le mot « fatiguée », alors avec un grand sourire, je répliquais tout de suite. « Si t’es fatiguée, je peux te raccompagner jusque ton lit… » Décidément, pour que j’en vienne à lui dire cela, je ne devais vraiment plus être dans mon état normal. Et je le remarquais alors qu’on se mit à parler d’Aleyna, ou de Leyna. Je ne savais plus trop. Je repris une gorgée de ma bière, ayant déjà oublié ce que j’avais dit à la jolie blonde quelques instants auparavant. Mais aussi le fait que j’avais recraché dans cette bière. Un vrai dégoutant que je fais. Elle me fit la réflexion comme quoi les deux se ressemblaient plutôt, et en y réfléchissant elle n’avait pas tort. N’ayant pas toute ma tête, je m’imaginais alors un mélange des deux, ce qui me fit rire. « C’est vrai que toi t’es trop différente d’elles, c’est peut-être ça qui m’a fait aller vers Aleyna. » Et voilà encore une petite pique que je lui lançais, toute en douceur. A voire si elle allait comprendre. Ou même si moi j’allais la comprendre, car seulement quelques secondes après que j’eus dit ça, je fronçais les sourcils : dubitatif sur ce que je venais de dire. J’haussais les épaules, n’y prêtant pas plus attention. De toute façon, elle était blonde, elle n’allait pas comprendre. Ce que je peux être méchant envers quelqu’un que j’apprécie au fond. Une personne que j’apprécie tellement que je souhaitais lui faire un câlin, avant que je tombe au sol. Je me mis à en rire, surement à cause du fait que Léo avait elle aussi rigoler. Mauvaise va. Elle voulut m’aider, après ma demander, à me relever, mais c’était sans compter que soit disant on allait voir sous sa jupe. Je lui pris encore plus sa main, la tirant vers moi, pour enfin me retrouver sous elle. Oups. « Bah maintenant je sais pas comment tu vas faire pour te relever élégamment sans qu’on voit ton string ! » Je ne savais pas comment les filles faisaient pour porter ces jupes et robes. Elles ne pouvaient pas tout faire à cause de ces vêtements. Je ne pourrais pas être une fille. Non, vraiment pas. Mais qu’est ce que c’est sexy une fille avec de tels habits. Je la poussais sur le côté, pour tenter de me relever tout seul, ce que je réussis. Je lui tendis la main. En espérant que je ne tombe pas sur elle de nouveau.