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« Tout vient à point, à qui sait attendre »

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MessageSujet: « Tout vient à point, à qui sait attendre » « Tout vient à point, à qui sait attendre » EmptySam 16 Mar - 20:58



Tout vient à point à qui sait attendre.


On s'était donné rendez-vous pour prendre un café ensemble, comme à notre habitude depuis que l'on s'était rencontré. À dire vrais, je ne connaissais pas encore très bien l'enceinte de la grande Berkeley. Je venais de débarquer et l'université était immense ! Je n'avais pas eut l'occasion de fréquenter de telles écoles auparavant. La chance n'avait pas vraiment été de mon côté depuis petite et j'avais dû faire tourner la roue moi-même. Je savais me débrouiller seule et pour être honnête je préférais même faire les choses de mon plein gré. J'avais appris que l'on était toujours mieux servis que par soi-même. Mais lorsqu'il s'agissait de Casey, c'était différent. Je ne pensais pas pouvoir dire ce genre de chose un jour. Je n'aurais franchement même jamais songé faire confiance aussi rapidement à un homme à nouveau. Surtout dans les circonstances où l'on s'était rencontrés.

Un vendredi soir, deux ans plus tôt...
Assise à une table près du comptoir, sirotant mon capuccino, je tuais le temps. Aujourd'hui était mon jour de congé et je venais d'arriver à San Francisco depuis peu. Je ne connaissais rien, n'y personne. Du coup, par un jour de mauvais temps, j'avais choisi un café au hasard et m'y étais installée le temps d'un moment de réflexion et de détente. J'avais tout quitté il y avait déjà 4 ans, et pourtant à chaque fois que j'arrivais dans un nouveau lieu, j'avais le ventre noué. L'adrénaline de la découverte, de l'inconnu. Et puis, quand on ne connait personne et que l'on se cache déjà derrière un mur de mauvaise confiance en soi, on se demande sur qui on va bien pouvoir tomber. Même si au fond, j'adorais qu'aucun jour ne se ressemblent, l'excitation peut parfois être plus effrayante qu'agréable. Alors que je m'accordais cette pause, un jeune homme m'aborda de manière directe, regard intense en prime. Il me demanda simplement le journal qui était posé sur ma table et que je venais de terminer. Pour être totalement honnête, je dirais que c'était le genre à attirer l'oeil. Le genre dont il est difficile de détourner le regard. Il avait un regard qui donnait l'impression de lire en moi, et même s'il y avait un côté effrayant à cela, il fallait avouer que ça m'intriguait plus qu'autre chose. Il m'avait littéralement subjuguée, même si je m'étais renfermée dans une carapace face aux hommes, j'avais envie d'en savoir plus sur lui.

Aujourd'hui...
J'attendais Casey à l'Albatross. En arrivant, je portais mon regard sur la pièce, plutôt peu remplie. Ne voyant aucun Casey dans les environs, je décidais de commander un café - pour changer - et d'aller m'installer. C'était plutôt ironique de voir à quel point nos lieux de rencontres ressemblent à chaque fois d'une façon étonnante au lieu où nous nous étions connus la première fois. Comme si le passé voulait constamment nous dire "Hey ! Tu te souviens de cette première rencontre ? Tu te souviens de ce que tu as ressentis ? Et bien, c'est ça la vraie vie". C'était comme si nous faisions tout en sorte - involontairement - pour que nous n'oublions jamais cette première soirée passée ensemble. Car oui, aussi bizarre que cela puisse être, Casey m'avait immédiatement initiée à la vie nocturne de San Francisco. Et j'avais surtout acceptée d'être emmenée. Il avait tout de suite trouvé mon point faible, mon côté "party girl" qui me faisait faillir à chaque fois. Et qui m'avait surtout faire faillir face à son charme.
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MessageSujet: Re: « Tout vient à point, à qui sait attendre » « Tout vient à point, à qui sait attendre » EmptyDim 17 Mar - 22:24

    La journée avait commencé depuis un bon moment pour le joueur de baseball. Un entrainement et un appel plutôt inattendu de son père qui lui demandait de vérifier un dossier en toute urgence et de le rappeler. Au final, cette petite histoire l’avait mis en retard à un certain rendez-vous que le jeune homme attendait depuis déjà un petit moment, mais ce n’était pas ça qui ferait courir Casey Raffaele Morello sur le campus. Au contraire, sans vraiment se presser, les cheveux encore humides, un sourire rieur sur les lèvres, il marchait sans se presser vers l’Albatross tout en se replongeant dans les souvenirs d’une certaine soirée s’étant passée deux ans plus tôt…

    Deux ans plus tôt
    C’était incroyable comment le temps passait vite… Plus de six mois déjà qu’il était revenu d’Italie, plus de six mois déjà qu’il avait déménagé à San Francisco. Les premiers temps avait été atroces. Dire que partir vivre au pays de ses ancêtres étaient une punition et que deux ans plus tard il ne voulait plus quitter la Sicile. Quel retournement de situation. L’Italie l’avait changé, mais après quelques semaines de retour en sol américain, le New-Yorkais avait déjà commencé à reprendre quelques bonnes vieilles habitudes; la fête en premier, l’alcool en deuxième, les bon plaisirs en troisième, dépenser son argent sans compter en quatrième… et les filles en dernier. Oui, les filles en dernier… Il lui avait fallu un bon moment pour retomber dans le jeu de la séduction bien qu’avant, c’était un de ses jeux préférés. L’étudiant en premier année disait que c’était simplement par manque d’intérêt, mais au fond, peut-être était-ce à cause de cette Luciana, cette petite amie qu’il avait eue lorsqu’il était en Sicile. Enfin, si c’était vraiment le cas, il ne l’admettrait jamais. Finalement, avec le temps et un peu d’encouragements de la part de Jayson, le brun avait fini par réussir à passer par-dessus son blocage.
    D’ailleurs en parlant de Jayson, comme chaque vendredi, il aurait dû rencontrer son cousin, mais celui-ci avait des plans avant la énième fille depuis le début de l’année. Du coup, Casey s’était ramassé dans ce café. Rien de tel qu’un vendredi soir à siroter un bon café en faisant ses lectures pour ses cours. Quelle bonne blague, il n’était pas Aidan après tout! Ses livres avaient beau être ouverts devant lui, ses méninges eux marchaient à 100 à l’heure pour trouver un moyen de pimenter cette soirée.
    Et c’est là qu’elle était entrée. Avec ses cheveux foncés, ses yeux bleus et ses formes de rêve. Presque trop jolie pour le rôle. Vous savez, le rôle de la fille n’ayant pas vraiment confiance en elle qui se fait emballer par le fils d’un mafieux. Mais il ne fallut à Casey que de croiser son regard une fois, tandis qu’il demandait ce foutu journal qu’il ne comptait même pas lire, pour comprendre qu’elle était exactement cette fille. Quoique un peu plus que ce genre de fille si unidimensionnelle. Cette fille-là, elle était spéciale, elle était différente. Différente des filles qui manquent de confiance en elles, différentes des filles qui avaient trop confiance en elles. Différente des gosses de riches, différente des filles de la rue. Oh, oui, il la voulait, mais il ne voulait pas que ça; il voulait savoir son nom, son histoire, ce qu’elle avait en tête, qui elle était, où elle allait, d’où elle venait. C’était la première fois qu’il trouvait une fille si fascinante.
    Le delta déposa le journal dont il venait de prendre possession sur la table sans jamais détourner son regard de la belle inconnue. « Je ne vous ai jamais vue par ici avant, nouvelle dans les parages? » C’était un risque, un risque pur et simple puisque lui-même n’avait pas pour habitude de venir en ce lieu, mais n’importe quoi était bon pour ouvrir la conversation, entendre sa voix, connaitre son nom… Il lui tendit la main, son sourire le plus irrésistible aux lèvres « Casey. Enchanté. »

    Temps présents

    À peine entré dans le café, son regard scanna l’endroit. Pas trop longtemps, car aussitôt, son regard fut attiré par cette belle brunette aux yeux bleus et aux formes de rêves assise à une table face à la porte. D’un pas assuré, le Delta se dirigea vers elle. « Bonsoir » souffla-t-il en se penchant pour lui faire la bise avant de s’installer en face d’elle. Il resta un moment silencieux, son regard fixé sur la jeune femme, avant de reprendre la parole sur un ton léger : « Alors, on se fait à la vie d’étudiante à Berkeley? »

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MessageSujet: Re: « Tout vient à point, à qui sait attendre » « Tout vient à point, à qui sait attendre » EmptyLun 18 Mar - 19:31


Passé
« De même. Je m'appelle Abbygail, mais tu peux m'appeler Abby. À vrais dire, oui, je suis nouvelle. Je viens tout juste d'arriver. » Sa prestance était incroyable. Il dégageait quelque chose qui ne pouvait qu'attirer la personne qui se trouvait en face de lui. Mais après-tout il restait un homme. Je me devais de rester méfiante. Ils paraissent différents, spéciaux, et finalement, ils restent ce qu'ils sont : des joueurs. Malgré tout, je ne restait pas froide pour autant. « Tu viens souvent ici ? C'est la première fois que je mets les pieds dans cet endroit. » J'avais décidé d'engagé la conversation, après-tout je devais bien me faire quelques connaissances pour ne pas me retrouver complètement larguée. J'avais toujours été forcée de me débrouiller seule face à l'inconnu. Mais l'habitude n'y fait rien, je préférais être accompagnée plutôt que totalement seule. Bon, mieux valait seule que mal accompagné, évidemment. Selon ce qu'il me répondrait, selon la notoriété qu'il aurait pu avoir, il me servirait tôt ou tard. C'était horrible de penser de cette façon, mais c'était ainsi que je voyais le sexe opposé depuis plusieurs années maintenant. Je les utilisait comme ils m'avaient utilisée autrefois. Je me vengeais, très clairement. Et je n'aurais pas pu nier que cela me procurait une certaine satisfaction. Mais au fond de mon coeur, je croyais toujours à l'impossible. Je croyais toujours à la différence et je laissait toujours une chance à un nouvel individu de faire ses preuves. Après, ce serait à prendre ou à laisser.

Présent
Il était là, il venait d'entrer en scène. Il me faisait toujours cet effet incroyable, comme une grosse bouffée de chaleur, à chaque fois que je le voyais. Il y avait plus qu'une alchimie entre nous, c'était de la magie. Et je n'avais pas peur des mots avec lui, par-ce qu'on était toujours sur la même longueur d'onde. Je n'avais jamais vraiment connu quoi que ce soit du genre avec un homme. À dire vrais je ne leur avait jamais laissé l'opportunité. Enfant, j'avais subis trop de traumatismes dont je ne parle toujours pas aujourd'hui, que personne ne sait et que je cache au mieux. Mais carapace ou pas, ces cicatrices sont belles et bien présentes. Et les hommes avaient rapidement étés rayés de ma vie, surtout de ma vie d'adolescente. Mes véritables amours ont été des femmes. Même si j'avais pu très bien m'entendre avec certains garçons, le côté charnel m'effrayait. Leur violence m'effrayait. Je devais reconnaitre que c'était autre chose avec les américains. Les arabes ont une violence, une haine dans leur gêne que les femmes ne font qu'aggraver au lieu d'y apaiser. Mais les hommes occidentaux, ils savent se comporter de manière plus compatissante, parfois. C'était peut-être ça qui m'avait fait baisser ma garde avec Casey. Par-ce qu'il me prouvait chaque jour que même si un homme reste un homme, il peut tout de même traiter une femme avec respect. J'espérais ne jamais me tromper en ce qui concernait mon ami, par-ce que je risquerais de tomber de haut, trop haut. La magie deviendrait rapidement cauchemars, et mes cicatrices fermées se rouvriraient. « Je ne m'y ferais jamais je crois ! » je lui affichais mon sourire le plus sincère qu'il soit. « Alors, comme ça tu fais attendre une jolie femme ? T'en as mis du temps à arriver ! » L'après-midi s'annonçait taquine. Par-ce qu'il y avait toujours cette ambiguité entre nous. Par-ce que c'était devenu un jeu et qu'on aimait ça. Je jouait l'indignée et il jouait l'inaccessible. Mais c'était ça qui faisait la force de notre lien. Une amitié ornée d'un brin de séduction. Qui sait où cela finirait par nous mener. J'avais déjà prouver que je pouvais être jalouse, défaut que je ne me connaissait même pas avant Casey. Lors de soirées, quand il se montrait trop proche de certaines inconnues - ou pas - j'avais du mal à être délaissée. Je demande déjà beaucoup d'attention en temps normal, j'ai besoin de l'appui d'un regard pour me sentir belle, désirable. Alors quand il s'agissait de Casey, il était parfois trop dur de voir son regard se détourner de moi, pour se poser sur d'autres. Mais je crois que cela l'amuse plus qu'autre chose, finalement, tout ceci ne doit pas le laisser indifférent lui non-plus.
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MessageSujet: Re: « Tout vient à point, à qui sait attendre » « Tout vient à point, à qui sait attendre » EmptyMer 20 Mar - 20:29

    Deux ans plus tôt
    Bien que fluente en anglais, elle avait un léger accent, différent de celui des américains typiques comme lui, mais tout de même Casey ne pouvait tout de même pas deviner d’où elle venait. Maintenant, les questions se bousculaient sur ses lèvres, mais, pas de presse se disait-il, ils avaient toute la soirée pour apprendre à se connaitre. Et puis, c’était déjà décidé; ce soir elle était toute à lui, si elle avait d’autres plans, qu’elle se prépare à les reporter. De toute façon, elle venait d’arriver en ville, n’étais-ce pas ce qu’elle avait dit? La brunette ne devait surement pas avoir d’autre endroit où aller que celui-ci. Au final, l’américain avait gagné son pari.
    Abbygail avait-elle dit, ou plutôt, Abby. C’était un nom qui lui allait à ravir. Néanmoins, il ne poussa pas plus loin. Un simple enchanté et toujours ce même sourire avant de prendre une gorgée de son breuvage. Elle lui avait peut-être dit qu’elle était nouvelle dans le coin, elle lui avait peut-être dit son nom, mais s’il continuait à pousser, il y avait beaucoup de chance qu’elle le prenne pour le mec lourd et parasite.
    « Tu viens souvent ici ? C'est la première fois que je mets les pieds dans cet endroit. » Il tourna la tête vers elle lorsqu’il entendit à nouveau sa voix, l’air totalement désinvolte, mais à l’intérieur le jeune homme célébrait sa victoire. Le delta reposa sa tasse sans se presser, son sourire charmeur tournant en une expression amusée. La question qui se posait était s’il allait être sincère avec elle ou lui mentir. Casey n’avait aucune scrupule à mentir, surtout lorsque c’était pour emballer une fille. Jamais grand-chose de sérieux; il n’allait jamais se faire passer pour une star ou un australien, c’était plutôt des petits mensonges cumulés. Alors, allait-il commencer ce jeu qui impliquait que dès le lendemain ils ne se parleraient plus? Depuis quelques semaines, il avait eu trop peu de rencontre du genre sans lendemain, Abby ferait une belle exception.
    « Honnêtement? Pas vraiment, une ou deux fois par mois, j’ai simplement pris ma chance. » Aucune gêne transparaissait sur son ton, c’était toujours de l’amusement, peut-être un légèrement du flirt, et aucun regret. Pour le moment, il ne regrettait pas en tout cas. Alors, autant mettre carte sur table non? Le New-Yorkais se pencha légèrement vers son interlocutrice, une expression téméraire sur le visage : « As-tu des plans ce soir? »


    Temps présents

    À chaque fois qu’il se trouvait en face de son amie, Casey ne pouvait s’empêcher de se demander s’il réellement choisi l’exception à ce moment, ou si l’exception s’était-elle imposée d’elle-même? L’étudiant n’avait aucuns regrets, mais cette décision restait tout de même curieuse pour lui. Enfin… Aucuns regrets… C’était vite parler… Il ne regrettait pas d’avoir gardé Abby dans sa vie, par contre, c’était une autre histoire de n’avoir pu la mettre dans son lit. Parce qu’effectivement, « rien » ne s’était passé entre eux. C’était l’un des grands mystères de la vie du Delta, et qu’on se le dise, ce n’était pas par manque de désir envers la belle Omega, mais elle était réellement différente des autres. C’était surement pour cela qu’il n’avait pas encore abandonné son cas, car en temps normal, une fille qui le faisait courir trop longtemps finissait par le désintéresser. Ce n’était pas d’amies qu’il manquait; il y avait toutes les Beta de sa confrérie pour ça, du coup, lorsque le sportif laissait tomber le cas d’une fille c’était définitif. Mais pas Abby. Abby et lui était réellement devenus… amis. Aussi étonnant que cela puisse paraitre et il appréciait réellement sa compagnie. Ça rendait la frustration du au désir beaucoup plus supportable au final.
    « Je ne m'y ferais jamais je crois ! » Il la tête avec un léger sourire, se souvenant lui-même de ses premières semaines à Berkeley et chez les Beta Delta « C’est ce qu’on se dit tous au début, mais tu vas vite te sentir à la maison ici. » Abby était belle, intelligente et fêtarde, elle se ferait vite à la vie sur le campus. Et puis la confrérie Omega était parfaite pour elle, elle s’y sentirait à son aise. Oui, Casey s’inquiétait du bien-être de son amie, mais tout comme avec Aidan, Jayson ou ses autres cousins il ne le laissait pas paraitre.
    « Alors, comme ça tu fais attendre une jolie femme ? T'en as mis du temps à arriver ! » Il rigola en baissant la tête un court instant « Il faut quand même se faire désirer, non? Sinon tu vas finir par me prendre pour acquis! » L’américain passa sa langue sur sa lèvre inférieure avant de sa caller dans son siège confortablement. « Un appel de mon père après l’entrainement. J’ai dû vérifier des trucs pour lui… » Ils étaient peut-être amis, mais Casey restait toujours évasif en ce qui concernait son père et d’où tout son argent venait. Tout ce qu’il pouvait dire, c’était que son père était un investisseur et que lui s’occupait des livres de comptes pour le territoire de San Francisco. C’était réellement tout ce qu’il faisait, il ne trempait dans rien, mais de simples investissements, aussi nombreux soient-ils, n’étaient pas assez pour tout expliquer. Mais après tout, on n’annonce pas comme ça en se présentant qu’on vient d’une famille de mafioso. « Ça te dirait de changer de nos... habitudes ce soir » Et de la façon dont l’étudiant le dit, habitudes pouvait référer à plein de choses, comme le fait de s’en tenir qu’au jeu de séduction…
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MessageSujet: Re: « Tout vient à point, à qui sait attendre » « Tout vient à point, à qui sait attendre » EmptyMar 23 Avr - 19:27

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