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Alex et ses drôles de dames - Plage nudiste - Terreur - faire du baby sitting

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MessageSujet: Alex et ses drôles de dames - Plage nudiste - Terreur - faire du baby sitting Alex et ses drôles de dames - Plage nudiste - Terreur - faire du baby sitting EmptyMar 27 Nov - 16:22

    « Devenir adulte, c'est reconnaître, sans trop souffrir, que le "Père Noël" n'existe pas. » A 23 ans, je suis encore restée une enfant qui refuse de grandir. L'enfance c'est de croire qu'avec le sapin de Noël et trois flocons de neige toute la terre est changée. Je suis une éternelle rêveuse, si je le pouvais, je resterais la tête dans les nuages, cependant, quelqu'un retient mes pieds sur terre : ma fille. Je ne m'en plains pas, au contraire si j'ai gardé mon âme d'enfance, c'est certainement grâce à ma fille, mais depuis que je suis mère, j'ai dû apprendre à devenir responsable... Des responsabilités, je n'en avais guère. Adolescente, je me laissais vivre au jour le jour sans me soucier du lendemain. Cette période me manque, pourtant, si on m'offrait la chance de retourner en arrière, je ne l'accepterais pas. Ma fille, c'est ce qui m'est arrivé de mieux, alors je n'échangerais ma place pour rien au monde. Longtemps, j'étais honteuse d'être nostalgique en repensant à ma vie avant Louise, pour moi, en tant que mère, je ne devrais normalement jamais regarder en arrière. Cependant, il y a quelques mois, en me rendant à un cours de dessin en dehors de la fac, j'ai rencontré plusieurs mères célibataires, et elles m'ont rassurée en me disant qu'elles aussi, elles repensaient souvent à leur vie d'avant. Elles ont effacé mes craintes et mes doutes. J'aime passer du temps avec elle, car même si au sein de l'université, j'ai rencontré des personnes sur qui compter, elles ne peuvent pas comprendre totalement ce que je vis, il faut être parent pour le comprendre. Ce groupe de mères que j'avais rencontré, me permettait ainsi de prendre un peu de recul avec ma vie étudiante et d'avoir à portée de mains des baby-sitter. En effet, il ne faut pas oublier que je reste étudiante, alors il m'arrivait de sortir et faire la fête, et les mères étaient, à chaque fois, d'accord pour garder Louise. J'ai toujours promis que j'allais leur rendre un jour la pareille et ce grand jour est enfin arrivé. En effet, pour les remercier, je leur offrais une journée dans un SPA pour qu'elles puissent enfin prendre du temps que pour elles, et je me chargeais donc de garder leurs enfants gratuitement. Je crois que ça faisait de moi, une chouette baby-sitter ! Cependant, je ne savais pas ce qu'il allait m'attendre et j'ai très vite senti que j'allais me retrouver dépassée quand tous les enfants sont arrivés chez moi. La plupart des mères avaient plusieurs enfants, me voilà donc mère, le temps d'une journée, de neuf enfants. L'angoisse.... Je ne voyais pas comment j'allais pouvoir gérer tous ces mômes. Finalement, une idée me venait à l'esprit : il me faut un assistant et je pensais tout de suite à Eileen, ma sœur de cœur. J'aime passer du temps avec elle, et en plus, le baby-sitting ce n'est pas son truc, alors voir sa tête quand elle va se retrouver avec tous ces enfants, ça va juste être mémorable. Cruelle ? Oui, je ne le nie pas. Avec le bordel que les enfants mettaient dans mon appartement, je préférai envoyer un SMS à Eileen : « Coucou ma Eileen ! On m'a parlé d'une plage à l'ouest de San Francisco, apparemment elle vaut le coup d'oeil. On se fait une après-midi là-bas ? » Une journée à la plage avec des enfants, quoi de mieux pour les distraire ? Une fois qu'Eileen me répondait par SMS qu'elle était d'accord, je préparais quelques affaires et sortis de chez moi. Une fois, la dure épreuve du métro avec neuf enfants, j'arrivais à proximité de la plage. Eileen n'était pas encore arrivée. Après 5 minutes d'attente, la jolie blonde arriva et voyant son regard interrogateur face à tous ces enfants, je me contentais de crier un SURPRIIIIIIIIISE!. Cependant, la surprise ne semblait pas plaire à Eileen, mais je ne voulais qu'elle me lâche. J'avais promis de rendre service à des copines ! Ça va être drôle ! Et puis, tu n'as pas le choix ! Seule, je ne vais pas survivre ! Et comme ça, tu pourras ajouter expérience de baby-sitting  sur ton CV! dis-je en rigolant. Alors que je tirais Eileen vers la place, je demandais aux enfants de me suivre et là stupeur quand mes pieds frôlent le sable... Mais que vois-je à l'horizon ? Mais il n'y a que des kikis à l'air ? Bon dieu! Si, moi, j'étais plutôt gênée par la situation, les enfants, eux, ça ne semblait pas les perturber, ils étaient déjà tous en train de courir partout... Certains hommes nus s'approchaient de moi, apeurée par leur machin à quelques centimètres de moi, je levais les yeux au ciel ! Trop de kikis, tue le kiki !
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MessageSujet: Re: Alex et ses drôles de dames - Plage nudiste - Terreur - faire du baby sitting Alex et ses drôles de dames - Plage nudiste - Terreur - faire du baby sitting EmptyMer 28 Nov - 13:14

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FRANI & EILEEN . OLYMPIADES



Depuis mon entrée à Berkeley l’an passé, j’avais fais un petit bout de chemin. J’avais rencontré des gens vraiment formidables et certains étaient devenus mes amis. De vrais amis comme jamais je n’aurais pu l’imaginer, des amitiés réelles et sincères, basées sur la confiance, le partage et la rigolade. Parmi tous mes nouveaux amis une personne sortait du lot. Francesca, surnommée Frani, elle avait été l’une des premières à m’accueillir, elle me considérait comme sa petite sœur, me protégeait et était toujours de très bon conseil. En cas de problème je savais que je pouvais compter sur elle, je pouvais l’appeler à n’importe quelle heure du jour ou de la nuit je savais qu’elle serait la pour moi. Avec elle j’arrivais à me confier facilement, j’étais incapable de lui mentir, elle me comprenait trop bien. Elle savait presque tout de moi, de ma vie, de ma famille, de ma relation destructrice avec Jorden, de mes relations d’un soir avec les hommes. Frani était la personne dont j’avais toujours eu besoin en réalité, une sœur de substitution.

Parcourant les vitrines des grands magasins des yeux je m’émerveillais face aux décorations de noël. J’adorais cette période de l’année, mais Noël ne représentait pas que de bons de souvenirs. A Vegas, les fêtes de Noël étaient impersonnelles, il n’y avait rien de familial, à Sin City les casinos restaient ouverts le soir de Noël, et cette nuit censée être magique ressemblait à un nouvel an anticipé. Alcool, drogues et cadeaux hors de prix, bien loin de la distribution des cadeaux et des parts de bûche glacée. Le regard perdu, errant des les rues de San Francisco j’entendis mon téléphone sonner, je venais de recevoir un message. C’était Francesca, elle voulait qu’on passe l’après midi toutes les deux, elle avait entendu parler d’une plage à l’Ouest de la ville. Un sourire apparu sur mon visage, j’étais ravie de savoir que nous allions nous voir, ça faisait tellement longtemps. Nos emplois du temps respectifs, la nouvelle cohabitation sur le campus avaient eu raison de nous, si bien que ces derniers temps nous nous étions un peu éloignées. Cet après midi était donc l’occasion rêvée pour retrouver Frani, rire, aller boire un verre, parler de tout et surtout de rien. Tournant les talons je regagnai ma Porsche rouge tout en répondant à Francesca par un simple « J’arrive ». M’enfonçant dans le siège en cuir, le sourire sur mon visage ne se dissipait pas. J’allumais la radio, fredonnant l’air du dernier tube à la mode, tout en roulant en direction de l’océan. Arrivant sur place, je garais mon bolide dans une ruelle et regagna la plage. Je regardais l’océan, et profitai de cette bouffée d’air iodée qui me faisait le plus grand bien. Retirant mes chaussures à talons avant de marcher sur le sable je cherchais Francesca du regard. Soudain je la vis un peu plus loin, ses cheveux bruns dans le vent, et neuf petites choses autour d’elle. Levant un sourcil interrogateur j’accéléras le pas jusqu’à elle. Je l’entendais alors crier « Surprise » et je manquais de m’étouffer. C’était quoi la surprise ? Ces neufs mioches qu’elle n’arrivait pas à gérer seule ? Avait elle pris un hallucinogène lorsque l’idée que je pourrais l’aider moi Eileen Rosenbach lui était passée par la tête ? Je devais me rendre à l’évidence, Frani m’avait tendu un piège, et venait de me mettre devant le fait accompli. Malgré tout je ne lui en voulais pas, elle avait voulue bien faire, mais jamais je ne m’étais occupé d’enfants, je ne savais pas comment m’y prendre avec eux. La, il n’était pas question d’un ou deux gosses mais de neuf, j’ignorais pourquoi mais j’avais un mauvais pressentiment. Devant mon visage complètement défait Frani tenta de me convaincre, de se justifier, ce qui dans le fond me faisait un peu sourire. « Je te le dis tout de suite, je ne sais pas m’occuper des enfants, et mon CV me convient très bien …, mais tu as gagné, parce que c’est toi et que je ne suis pas du genre à laisser mes amis dans la galère. » Je regrettais déjà d’avoir accepté de l’aider en voyant ses marmots qui courraient partout le long de la plage, une petite fille arriva à ma hauteur. Elle avait de longs cheveux blond très fins et de grands yeux verts. « Frani c’est elle ta copine Barbie qui vient passer la journée avec nous ? ». Elle était vraiment mignonne, je décidais de la prendre par la main afin de rejoindre le reste de la tribu. Je notais au passage dans un coin de ma tête que Francesca m’avait comparé à Barbie pour que ces momes daignent m’accepter. Je cherchais alors des yeux la petite Louise, la fille de Francesca qui me connaissait plutôt bien maintenant. Elle jouait avec un autre enfant dans le sable et autour d’eux, des gens, des gens nus, complètement. Francesca sembla s’en rendre compte également et je ne pu m’empêcher de rire aux éclats. Me tournant vers mon amie je lui lançais « Qui t’as parlé de cet endroit sympa déjà ? ». Jetant ma veste dans le sable je me mit assise dessus, guettant les enfants d’un œil attentif. Puis soudain je me mit à les compter, 1,2,3,4,5,6,7,8 … Je me mordis la lèvre inférieure et recommença, j’étais certaine qu’ils étaient neufs quand j’étais arrivée. « Frani, combien de gosses tu gardes aujourd’hui ? Huit ou neuf ? Parce que je crois qu’on a un problème ». l’un d’eux avait du disparaître pendant que nous discutions, ou que Frani se concentrait sur la nudité des personnes présentes, quoi qu’il en soit, perdre un gosse n’était pas prévu dans le plan de départ.
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MessageSujet: Re: Alex et ses drôles de dames - Plage nudiste - Terreur - faire du baby sitting Alex et ses drôles de dames - Plage nudiste - Terreur - faire du baby sitting EmptyJeu 29 Nov - 12:13

    Si un jour on m'avait dit que j'allais être baby-sitter, je ne l'aurais jamais cru. En effet, garder des enfants ne fait pas partie des principes des Pelizza Da Volpedo. Je ne suis pas une fille qui va passer sa vie à profiter de l'argent de la famille sans bouger le petit doigt, bien au contraire, l'ambition est une vertu que l'on nous enseigne très tôt. Ainsi, mon projet est de reprendre le musée de mon père, et je travaille dur pour y arriver, mais faire des petits boulots à côté pour se faire de l'argent de poche, je n'ai jamais eu besoin de le faire. Aujourd'hui, c'était donc ma grande première. J'avais l'impression d'être une adolescente qui exerce son premier job. J'étais persuadée que tout allait bien se passer, car, pour moi, garder des enfants, ce n'était pas la mer à boire. Je savais très bien m'occuper de fille alors aujourd'hui, c'était la même chose multiplier par neuf ! Je pris quand-même soin de prendre une épaule sur qui me reposer : Eileen. Je m'étais déjà préparée à l'avance à sa réaction face à tous ces mômes, elle me prévenait qu'elle ne savait pas garder des enfants mais qu'elle restait pour moi. C'était ça entre nous : toujours là l'une pour l'autre. Et c'était donc parti pour la journée : les deux gosses de riches se lancent dans le baby-sitting. Tellement sûre de moi sur ma réussite, je perdais un peu confiance quand je me retrouvais sur une plage rempli de personnes à poil. Tous ces seins et zizis qui se balançaient à tout va, étaient assez étranges. D'un côté, ça me répugnait, mais d'un autre côté, je ne pouvais pas m'en empêcher de jeter des coups d'oeil à droite à gauche, cependant j'étais un peu effrayée quand une troupe de kikis s'approchait de moi. Je vous jure : une dizaine de zizis qui foncent droit sur vous, ça fout les jetons...c'est tellement imprévisible ces petites(ou grosses) choses-là . Cependant, Eileen semblait amusée de la situation. Je ne sais plus qui m'a parlé de ça... Certainement quelqu'un qui a voulu me faire une mauvaise blague. Mais l'amusement allait être de courte durée et alors que mon regard hésitait entre maintenir les yeux au ciel et zieuter les gens à poil, Eileen mit vite fin à cette hésitation quand elle me demanda le nombre d'enfants que j'avais à garder. Huit ? Elle est sérieuse, elle vient de dire qu'il y avait 8 enfants ? Je me tournais vers eux. 1,2 ,3,4,5,6,7,8 et.... Cela ne faisait que cinq minutes que j'étais arrivée et j'en avais déjà paumé un ? Finalement, la confiance que j'avais dans cette mission de baby-sitting, s'effondrait comme un château de cartes. Non, mais en fait, ils n'étaient que huit, ça doit être ça. dis-je pour tenter de me rassurer. J'énumérais tous les prénoms dans ma tête mais tout se mélangeait et j'étais incapable de savoir quel est l'enfant qui manquait à l'appel, Louise était bien là pour mon plus grand soulagement, mais je ne parvenais toujours pas à trouver l'enfant qui s'était fait la malle. L'angoisse montait en moi, c'était la première fois que l'on me confiait des enfants et résultat : ils étaient sur une plage nudiste et un enfant avait disparu ! Bravo Francesca ! Au lieu de chercher la personne manquante, je me préparais déjà à annoncer l'horrible nouvelle à l'une des mères, mais à laquelle des mères ? Perdre un enfant, c'est ce qu'il y a de pire au monde, si un jour, il arrivait un malheur à Louise, je m'en remettrais jamais et aujourd'hui, à cause de moi, une mère allait vivre ce terrible drame. Cependant, tout n'était pas perdu quand un kiki...enfin un homme à poil se mit à crier «Il y a une petite fille dans la mer ! » Je suivais ce qu'il pointait du doigt. Madisoooooooooooooon ! . C'était la plus jeune de tous les enfants, elle avait tout juste trois ans et ne savait probablement pas nager. L'angoisse me fixait au sol, j'étais incapable de bouger, je m'écroulais sur le sable et poussais un cri de terreur. Au secours! Et alors que je fixai Madison se débattre dans l'eau, une troupe d'hommes et de femmes à poil se mirent à courir pour aller la secourir, on aurait cru une scène d'alerte à malibu chez les nudistes. Finalement, je trouvai la force de me relever et m'approchai de la mer tout en priant pour que l'un des nudistes qui s'était improvisé sauveteur, arrive à secourir Madison. Les larmes coulaient sur mes joues, moi, qui étais sûre de moi, je me retrouvais complètement désarmée. Des peurs, j'en ai vécues dans ma vie, mais une comme celle-ci, c'était la première fois. On dit qu'il faut une première à tout... J'espère que cette angoisse se terminera par une fin heureuse. Tous les enfants étaient venus m'entourer et j'essayais tant bien que mal de les rassurer. Certains pleuraient, d'autres criaient et moi je faisais les deux et une question vint à mon esprit : Allais-je être responsable de la mort de quelqu'un ?
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MessageSujet: Re: Alex et ses drôles de dames - Plage nudiste - Terreur - faire du baby sitting Alex et ses drôles de dames - Plage nudiste - Terreur - faire du baby sitting EmptyDim 2 Déc - 11:17

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Francesca me connaissait mieux que personnes, par conséquent je percevais cet après midi comme une sorte de test. Peut être voulait voir quel était mon degré de maturité, voir si j’étais suffisamment responsable pour gérer neuf gosses. Je n’avais jamais fais ce genre, pire encore, je n’appréciais pas vraiment les enfants, les gosses c’est mignon au début et puis après ils hurlent, crient et font des caprices. Je savais que j’allais adorer mes enfants dans le futur ; mais ceux des autres je ne pouvais pas, ce n’était pas possible. Je devais tout de même reconnaître que la fille de Frani, la petite Louise sortait du lot, elle était plus calme, plus mignonne, elle avait les yeux de sa maman. La petite jouait dans le sable avec un autre enfant tout en me faisant des signes de la main. Les autres mioches courraient dans tous les sens, se lançaient du sable au visage, et hurlaient tellement fort qu’ils ressemblaient à une bande de singes. Je ne tentais même pas de les calmer et préféra m’asseoir sur le sable et ne pas les quitter des yeux ; je pouvais les surveiller mais il ne fallait pas trop m’en demander non plus. Frani savait qu’au fond et malgré les efforts que je faisais pour elle je n’en restais pas moins une Rosenbach, une fille à papa, quelqu’un d’inapte par conséquent au baby-sitting. Je lui fis signe de venir près de moi, j’avais tout de même dans l’espoir de profiter de cette journée pour parler avec mon amie, j’avais des tas de choses à lui dire. Néanmoins le décor n’était pas propice à la conversation, neuf mômes surexcités, et quelques personnes complètement qui avaient l’intention de se baigner. Voir des gens nus ne me gênait pas plus que cela en soit, sauf que la j’avais l’impression de voir mes grands-parents, ce qui était plutôt dérangeant. « Si je survis à cette journée, je crois que tu me devras un bon restaurant » dis je amusé. L’endroit n’était pas vraiment adapté aux enfants et j’imaginais déjà la tête des mères si elles apprenaient que leurs chères têtes blondes courraient entre des gens nus. Observant ces mômes je me revoyais des années plus tôt avec mes parents en vacances, à l’époque ou nous étions encore une famille, à l’époque ou le sourire sur mon visage avait encore quelque chose de vrai. Les vacances en famille c’était terminé, depuis que mon père avait gagné des milliards, que ma mère préférait vivre sur un yacht, nous n’étions plus rien que des gens riches mais seuls. Comptant les enfants j’arrivais au chiffre huit, pourtant lors de mon arrivée ils étaient neuf du moins j’en étais presque convaincue. Je fis cette remarque à Frani, mais elle m’assura que j’avais du rêver et qu’ils n’étaient que huit depuis le départ. Mais je sentais qu’elle n’en était pas tout à fait sure, et qu’au fond la seule chose qui comptait vraiment était que Louise soit ici. Haussant les sourcils je lui reposais la question « Tu es vraiment sûre ? ». Alors qu’elle était sur le point de me répondre par l’affirmative, un des nudistes hurla «Il y a une petite fille dans la mer ! ». Immédiatement je me relevai et regarda l’océan. Il disait vrai, une gamine d’environ trois ans s’essayait à la natation. Francesca resta immobile et hurla le prénom de l’enfant, elle était tétanisée, effrayé. Elle devait imaginer le pire, imaginer que cette fille allait mourir et que ce serait de sa faute, je devais faire quelque chose. Ni une, ni deux je retira ma jupe et mon débardeur et couru vers l’eau en sous vêtement. Mon instinct parlait, je ne pouvais pas laisser un bébé mourir. « J’y vais, poussez vous ! ». Je poussais tous les nudistes sur mon chemin et plongea dans l’eau. J’avais toujours été une bonne nageuse, merci papa pour les vacances dans les îles, pour les balades en yacht, j’allais donc pouvoir ajouter ça sur mon CV « sauveteuse en mer », juste à coté de la mention « experte en baby-sitting ». Francesca trouva la force de s’approcher du rivage tandis que j’avais réussie à attraper la petite Madison. Elle allait bien, avait seulement bu quelques tasses, heureusement on l’avait vu suffisamment tôt, autrement le scénario ne se serait pas terminé de la même manière. Une fois sur le sable la petite pleurait et avait très froid. J’essuyais ses larmes dans un élan de gentillesse et lui retira ses vêtements complètement trempés avant qu’elle n’attrape un rhume. « Ca va aller Madison ce n’est rien ». J’en oubliais presque Francesca, Portant la petite Madison dans les bras je me dirigeais vers mon amie. Francesca pleurait elle avait peur, et tous les enfants se tenait autour d’elle. « Frani ça va arrête elle n’a rien regarde, elle est vivante c’est bon tu n'as rien fait de mal ». Je tentais de rassurer mon amie et attrapa le gilet sur le sable afin d’enrouler Madison dedans, puis je posa l’enfant entre les bras de Francesca. Elle ne serait responsable de la mort de personne. Pas aujourd’hui du moins.
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